Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élections - Page 716

  • Effrayer le bourgeois… ça fonctionne encore ?

    Un moment  bien choisi? Alors que la cote de popularité de l’action de François Hollande et de Jean-Marc Ayrault   a  de nouveau fortement reculé au mois d’octobre, les politiciens  centristes François Bayrou (MoDem) et Jean-Louis Borloo  (UDI) ont choisi hier d’officialiser par une « charte » leur mariage de raison, après onze de séparation, en créant une nouvelle structure baptisée l’Alternative. Une manière de se positionner sur un créneau qu’ils espèrent porteurs, celui  des déçus de l’UMP tout en espérant rallier à la marge  des  électeurs de la gauche modérée.  Selon le baromètre Ifop-Paris Match publié hier, 75 % des personnes interrogées désapprouvent l’action du chef de l’État, soit six points de plus qu’en septembre, et ce décrochage des avis positifs se constate en effet non seulement auprès des sympathisants socialistes (63 %, – 12), mais aussi  auprès des sympathisants du Front de Gauche, dont un tiers seulement  expriment un avis positif (35 %, – 14) et des Verts (39 %, – 10). 

    Si ce mariage inquiète une UMP en voie d’implosion et ne fait pas l’unanimité au sein de l’UDI de M.  Borloo - beaucoup n’ont pas digéré l’appel à voter Hollande de Bayrou au second tour de la présidentielle- , Marine Le Pen a constaté l’évidence en relevant dans cette union tactique un «élément de clarification bienvenu» . «Les Français y verront donc un peu plus clair: quatre partis défendaient hier les mêmes choix de fond, UMP/PS/UDI/MoDem ; aujourd’hui ils ne sont plus que trois. Tant mieux.»

    Car en fait d’alternative, elle n’est pas en effet tant programmatique que dans la volonté d’offrir en tête de gondole  aux électeurs lassés par l’UMPS tentés par l’abstention, la possibilité d’acheter, sous un  habillage différent,  peu ou prou la même politique sociale-démocrate et européiste. Cette alternative doit donc  se comprendre  aussi comme un moyen  de contrecarrer la progression du FN qui sème l’effroi dans les cénacles du Système.

    Plus prosaïquement encore,  nos deux compères vont aussi  tenter par le  biais de cette structure de sauver les meubles lors des élections de 2014 et/ou d’exister médiatiquement, pour autant une addition de faiblesses  n’a jamais fait une force…

    Le député PS de Paris,  Jean-Christophe Cambadélis,  l’a bien compris. Dans un entretien accordé hier  au quotidien Ouest-France et au site internet linternaute.com, l’ex militant trotskyste et membre dirigeant de SOS Racisme réitéré sa conviction selon laquelle  la France s’apprêtait à basculer dans un « tripartisme » avec un  » FN (qui) va occuper entre 18 et 25% de l’électorat ».

    Avec un culot assez phénoménal et une mauvaise foi toute aussi énorme, M.  Cambadélis a aussi  déclaré  que « Depuis 15-20 ans, et c’est tant mieux, les mairies ont été dépolitisées, le débat a été exclusivement sur ce qui était bon pour la ville ». C’était donc le bon temps et tout fonctionnait formidablement bien dans le meilleur des mondes. Oui mais voilà prévient-il , soucieux d’effrayer le bourgeois,   »l’entrée du FN (dans les mairies, NDLR) va modifier ce paramètre. »

    En effet, assène-t-il, « On ne va pas discuter de la rocade, de la 2e piscine ou de la bibliothèque mais vous aurez dans 700, 800 conseils municipaux des responsables du FN qui poseront la question de la priorité nationale, de la préférence nationale. Tout ceci va être un facteur de trouble dans chacune des villes et un élément de la tentative de conquête du Front National ».

    « Il y a une dynamique propre du Front National poursuit-il,  appuyé sur la xénophobie (mot utilisé par l’UMPS pour désigner  la volonté  légitime de défendre la France et les Français d’abord NDLR) et une volonté punitive des élites, des gouvernements et de tout ce qui représente Paris, Bruxelles, etc., qui est très forte en France, avec des Français qui désespèrent de la situation ».

    Dans ce schéma, il est certain que l’UMPS et son clone triste l‘Alternative ont du souci à se faire, d’autant que  l’aveuglement  de « nos élites » ne se dément pas. En témoigne le surréaliste entretien accordé par  Christiane Taubira à Libération et  publié aujourd’hui.

    Nous rappelions  à l’occasion de sa nomination dans le gouvernement Ayrault,  les propos de Mme Taubira qui,  invitée quelques temps auparavant sur RMC dans l’émission « Les grandes gueules », expliquait, croyant être en off, qu’elle se verrait bien quitter notre pays d’ingrats pour aller faire carrière « au Brésil ou en Afrique du Sud »…pays qui ne sont pas minés par le racisme comme chacun le sait…

    Dans Libération, le ministre de la Justice manifeste de nouveau son dépit.  Elle   y fait part de son étonnement   qu’aucune « belle et haute voix (ne) se soit levée pour alerter sur la dérive de la société française », pour pointer le danger pour « la cohésion sociale » que constituent les attaques racistes dont elle a été victime, notamment la phrase entendue dans la bouche  d’une fillette qui ‘l’a traitée de « guenon » lors d’un récent déplacement. »Des millions de personnes sont mises en cause quand on me traite de guenon. Des millions de gamines savent qu’on peut les traiter de guenons dans les cours de récréation! » affirme-t-elle.

    « Est-on encore capable de réagir lorsque la société est ébranlée sur ces fondations ? Les réactions n’ont pas été à la mesure. (…) Ce sont des analyses, pas une alerte, dans le sens où des consciences dans la société française pourraient dire: Attention, ce n’est pas périphérique, c’est une alarme. »

    « Lorsqu’on regarde les chiffres de l’immigration assène encore l’ex militante indépendantiste guyanaise, il faut arrêter d’en faire un feuilleton quotidien! En quoi l’immigration est-elle un problème? En quoi met-elle en danger la société française ? » Avant d’affirmer qu’ »incontestablement », « l’institutionnalisation » du FN favoriserait cette montée du racisme.   »Même si Mme Le Pen fait semblant d’être présentable, les Français savent ce que représente son parti – et son idéologie, qu’elle n’a d’ailleurs jamais reniée, » dit-elle.

    Ses propos sont consternants à plus d’un titre juge Bruno Gollnisch. Sur quelle planète,  dans quel monde vit Mme Taubira?  Sa dénonciation du racisme, contre lequel le programme du FN est le seul véritable rempart,  est totalement hémiplégique et en ce sens nulle et non avenue.

    Ignore-t-elle vraiment, aveuglée par son cosmopolitisme,  que c’est la submersion migratoire non européenne, les profonds bouleversements démographiques de ces trente dernières années  qu’elle feint de ne pas voir (?) qui  sont  la première cause de la montée des tensions ethniques et religieuses?

    Ignore-t-elle que le premier  racisme dont souffre nos compatriotes -ce qui n’excuse en rien les propos dégradants proférés à l’encontre d’autres ethnies-  est le racisme antifrançais et plus précisément  anti-blanc?  Que dans les quartiers pluriels,  dans les cours de recréation, dans les transports en commun,  ce sont les sales français , les insultes contre les gaulois, les bouffeurs de porc , les  fromages et autre faces de craie qui sont de très très loin les plus répandues? Et  cela, sans que de « belles voix » ne s’élèvent  jamais  pour les dénoncer, à commencer dans les allées du pouvoir.

    « Qui veut faire l’ange fait la bête » disait Pascal, ce jugement s’applique pleinement aux figures politiciennes d’un Systéme  qui  s’écroulera inévitablement  sous le poids de ses contradictions, de ses reniements et  de ses fautes.

    http://www.gollnisch.com/2013/11/06/yrou-et-jean-rine-mbadelmis/

  • Sur les comptes de M. FALCO à Toulon Provence Méditerranée

    COMMUNIQUÉ DE PRESSE DE BRUNO GOLLNISCH

    Candidat à la Mairie de Hyères

    Dans Var Matin de ce jour, M. Hubert Falco justifie son bilan de président de la communauté d’agglomération TPM (Toulon Provence Méditerranée). Il argumente notamment sur le bénéfice que les Hyérois en auraient tiré. Quelques réalisations ont eu lieu en effet au nom de cette communauté. Mais cela a surtout ajouté 53 millions d’Euros à l’endettement de la commune : en 2012,  chaque Hyérois était endetté à raison de 959€ du fait de TPM.

    L’absence de toute représentation démocratique d’élus du Front National dans cette institution, ajoute à notre légitime suspicion, M. Falco ayant préféré y voir siéger un élu socialiste. L’élection prochaine au suffrage direct nous permettra enfin d’y voir plus clair, et de dire si les Hyérois reçoivent autant que ce qu’ils donnent, ce qui est (très) loin d’être si évident !

    En fait, ces protestations traduisent surtout une tension croissante entre l’UMP de la communauté et l’UMP hyéroise ou l’UMP-UDI départementale… Les électeurs, eux, ont cessé de donner du crédit à ces jeux politiciens. Ils l’ont montré hier à Brignoles, et peuvent le montrer à Hyères en mars prochain !

    http://www.gollnisch.com/2013/11/05/sur-les-comptes-de-m-falco-toulon-provence-mediterranee/

  • Lyon : Gérard Collomb a fait une OPA sur la fête du 8 décembre

    Christophe Boudot, catholique, marié et père de trois enfants, secrétaire départemental du Front National du Rhône, il est candidat FN à la mairie de Lyon. Il déclare à Présent :

    B"[...] Lyon c’est la ville de Marie. Il faut redonner sa dimension culturelle et spirituelle à la fête du 8 décembre. Gérard Collomb a fait une OPA sur cette fête où traditionnellement les Lyonnais mettent des lampions à leurs fenêtres. Il fait éclairer tout et n’importe quoi à grands frais, comme le Conseil régional par exemple et les bâtiments administratifs pour une fortune (4 millions d’euros). Il a confisqué cette fête aux Lyonnais. Ce n’est plus la fête de Marie ni de l’Immaculée Conception, c’est la « Fête des Lumières » de Gérard Collomb qui gère la ville avec ses réseaux francs-maçons.

    Vous étiez dans la rue pour manifester contre la loi Taubira. La loi votée, quelle attitude sera la vôtre si l’on vous demande de célébrer un « mariage » homosexuel ?

    J’ai défilé à Paris et à Lyon avec mes enfants. Les trois personnes en tête de ma liste électorale sont de la Manif pour Tous. Si je suis maire, je refuserai en ce qui me concerne de marier un « couple » homosexuel et je laisserai ça à l’opposition de gauche. Le candidat UMP Michel Havard n’était pas aux manifs contre le « mariage » gay. Il ménage ses lobbies. Lors du Conseil municipal du 23 septembre dernier, Gérard Collomb, dont on connaît les préférences idéologiques en matière de modèle familial, a mis aux voix une subvention de 15 000 euros en faveur de ARIS, une association LGBTI (Lesbien, Gay, Bi, Trans, Intersexué) du 1er arrondissement de Lyon faisant la promotion de la PMA. Que croyez-vous que Michel Havard a fait ? Lui et son groupe se sont abstenus. Voilà pour le leader de la soi-disant opposition municipale. Grâce à son attitude hypocrite et pusillanime, ladite subvention a été adoptée. Avec le concours de Michel Havard, 15 000 euros vont aller subventionner une association communautariste aux frais du contribuable lyonnais et participer à la désintégration du modèle familial naturel. [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le maire de Tours mis en examen pour des mariages touristiques

    TOURS (Bulletin de réinformation) – Jean Germain, sénateur‑maire socialiste de Tours, est soupçonné de complicité passive dans une affaire de mariages touristiques.

     

    La justice estime que l’élu a célébré des mariages illégaux. Le maire facilitait les affaires d’une ancienne employée municipale reconvertie dans l’organisation de « noces romantiques en Touraine » à destination des touristes chinois.

     

    La mairie de Tours a précisé dans un communiqué que le maire n’est pas soupçonné de s’être enrichi dans cette affaire. L’organisatrice des mariages, Lise Han, est accusée de prise illégale d’intérêts. Le juge d’instruction qui a mis Jean Germain en examen estime que l’élu pouvait être au courant de l’illégalité des pratiques de Lise Han.

    http://fr.novopress.info/143866/le-maire-de-tours-mis-en-examen-pour-des-mariages-touristiques/

  • Coucou les revoilà ! Miracle ! L’UMP reparle !

    Tribune de Michel Geoffroy.
    On les croyait en hibernation pour cause de primaires à l’UMP. Ou bien d’ennuis judiciaires pour Nicolas Sarkozy. Mais non. Le naufrage socialiste annoncé et la perspective des prochaines municipales les ramènent à la vie ou, plus exactement, à la parole. (MG)
    Miracle ! L’UMP reparle !
    On n’avait pas trop entendu l’UMP lors des grandes manifestations contre la loi Taubira. Il est vrai que M. Copé se déclare maintenant personnellement favorable au mariage homosexuel.
    Mais voici que F. Fillon se lance et affirme qu’entre un candidat socialiste et un candidat du Front national il choisirait le moins doctrinaire. Quelle audace ! Quelle aubaine aussi, puisque la gauche, en s’emparant de la phrase – pourtant prudente – lui fait de la bonne publicité. Pensez : Fillon tend la main au diable frontiste !
    J.-F. Copé, soucieux de ne pas se laisser ainsi distancer dans la course aux petites phrases, s’empresse alors de se déclarer pour une réforme du droit du sol. On ne sait pas trop laquelle, à vrai dire, puisqu’il annonce un groupe de travail sur le sujet qui doit rendre ses conclusions dans quelques mois. Mais qu’importe ! Pour un homme qui, si l’on en croit les sondages, serait mal aimé des Français (73% des personnes interrogées auraient une mauvaise opinion de lui, selon un sondage BVA/Aujourd’hui en France/Le Parisien publié le 27 octobre 2013), voilà assurément un bon moyen de faire parler de soi. Seule la communication compte !
    Mais, hélas, voici que N. Sarkozy, de sa retraite, affirme à son tour qu’il faut réformer le droit du sol.
    À qui la prochaine annonce ?
    Les apprentis surfeurs
    Cet assaut de postures et de petites phrases qui éclosent au sein de l’UMP n’abuse personne. Sentant l’opinion se radicaliser – c’est-à-dire identifier et rejeter de plus en plus clairement la racine du mal qui ronge notre pays – les caciques s’efforcent de surfer sur un mécontentement désormais national et non plus seulement populaire.
    Mais personne n’y croit plus vraiment.
    Car cette « droite » implose et n’a plus de chef capable d’imposer une ligne politique claire. Si la défiance caractérise l’opinion vis-à-vis du pouvoir socialiste, une majorité de Français ne fait pas pour autant confiance à l’ex-majorité pour rétablir la situation. Elle reste aussi partagée sur la personne de Nicolas Sarkozy qu’en 2012.
    Les électeurs ont de la mémoire
    Car les électeurs de droite n’ont que trop entendu, depuis 1986, toutes ces belles  promesses électorales destinées à les séduire. Tous ces programmes « de rupture » contre tout : contre le socialisme, contre l’insécurité, contre le fiscalisme, contre l’Etat providence, contre l’immigration irrégulière, contre l’échec scolaire, contre Bruxelles. Mais on attend toujours les ruptures promises.
    En revanche, la « droite » au pouvoir n’a eu de cesse de vouloir ressembler à la gauche et d’en rajouter curieusement par rapport à ce qu’elle dénonçait quand elle se situait dans l’opposition. Comme le déclarait l’historien Pierre Nora : « On oublie parfois combien la droite a contribué à faire entrer dans les institutions les idées de gauche, notamment pour tout ce qui touche au modèle social » (interview au journal Les Echos du 4 octobre 2013).
    Mais les électeurs l’oublient de moins en moins, eux. Mauvaise nouvelle pour MM. Fillon, Copé, Juppé ou Sarkozy !
    Le devoir de mémoire
    Les électeurs n’oublient pas la progression continue des déficits, des prélèvements publics et du chômage sous la gauche comme sous « la droite ». Ils n’oublient pas que l’immigration et l’islamisation, malgré toutes les promesses, n’ont fait que s’accentuer, et la situation des banlieues qu’empirer, malgré les millions qu’on y a déversés.
    Ils n’oublient pas que « la droite », la première, a interdit la préférence nationale avec la loi Pleven de 1972 ; qu’elle en a rajouté sur les lois liberticides votées par la gauche, avec celles sur l’homophobie ou le génocide arménien, et qu’elle n’a jamais remis en cause la loi Fabius/Gayssot comme elle l’avait pourtant promis ; que c’est N. Sarkozy qui s’est fait le promoteur de la « discrimination positive » et de « l’islam à la française » aux dépens des Français de souche.
    Les électeurs n’oublient pas non plus qu’aucun des « superflics » placés à la tête du ministère de l’Intérieur depuis 1981 n’a su enrayer la progression de l’insécurité et de la violence, pas plus que les « réformes de la justice » successives. Ils n’oublient pas que « la droite » leur a aussi imposé un traité européen qu’ils avaient refusé par référendum.
    Ils n’oublient pas enfin le mépris et les invectives dont cette droite a toujours fait preuve vis-à-vis de l’électorat du Front national, pour complaire à l’oligarchie médiatique et àAlain-Juppe ses maîtres.
    La Grande Prostituée
    À droite comme à gauche, l’oligarchie commence à sentir venir le désastre électoral. Elle ressort alors du placard politique, dans la panique, les solutions qu’elle n’a jamais eu le courage de mettre en œuvre quand elle exerçait le pouvoir. Par quel miracle réussirait-elle à le faire maintenant que la situation lui échappe ?
    Telle une vieille prostituée, outrageusement fardée pour cacher ses rides et ses maigres atours, l’oligarchie politique arpente encore les trottoirs pour séduire une nouvelle fois l’électeur. Comme au temps de sa jeunesse.
    Mais les temps ont changé. La vieille prostituée, devenue sourde, n’entend pas l’énorme rire que provoque désormais son apparition sous la lumière du lampadaire. Ni la colère politique qui monte des profondeurs du pays.
    Michel Geoffroy, 28/10/2013
    http://www.polemia.com/coucou-les-revoila/

  • Les dix commandements du bon citoyen

    Le Français doit être abruti par la télévision, abêti par les médias, écervelé par le politique et lobotomisé par les lobbies. Une fois cette réduction de tête réalisée, son code de vie devient le suivant : 

    "En réponse à la très inquiétante explosion de l’incivilité électorale et idéologique, cette charte du bon citoyen sera placardée dans tous les lieux publics du pays à compter du 1er brumaire An II du règne d’Hollandouille Ier.

    1 . Le bon citoyen vote pour le parti socialiste. Il peut voter pour EELV ou le Front de gauche lorsque cela ne nuit pas au candidat PS.

    2 . Le bon citoyen ne manifeste qu’à l’appel des syndicats officiels et tout particulièrement de la CFDT et de la CGT. En revanche, il se détourne des manifestations incontrôlées qui émanent de la société civile.

    3 . Le bon citoyen regarde les chaînes du groupe France télévision ; il écoute France Inter et lit Le Nouvel Obs. S’il s’identifie aux classes populaires, il peut néanmoins regarder TF1, écouter Jean-Jacques Bourdin et lire Le Parisien.

    4 . Le bon citoyen plébiscite Omar Sy et Jamel Debbouze. Ses hommes politiques préférés sont Bertrand Delanoë et Manuel Valls. S’il est un peu âgé, il peut cependant leur préférer Yannick Noah et Jack Lang.

    5 . Le bon citoyen fait un don annuel au Téléthon et au Sidaction. Le reste du temps il ne s’occupe que de lui-même. Il ne rate jamais les soldes ni la fête de la Musique mais sans perdre de vue que « l’abus d’alcool est dangereux » et que « fumer tue » (suite).

    Si déjà à ce stade, vous ne vous reconnaissez pas dans ces articles ou vous sentez que vous êtes sur une mauvaise pente, rien n'est perdu : restez éveillé et actif contre l'hypnose du politiquement correct!

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/les-dix-commandements-du-bon-citoyen.html

  • LES PIEDS-NOIRS, CES PELES, CES GALEUX… – Mais une communauté que l’on courtise !

    Roger Vétillard*

    Coïncidences? En moins de 4 mois, sont apparus des libellés critiquant voire, pour reprendre un mot à la mode, stigmatisant les pieds-noirs. Imaginons les réactions que de tels faits auraient entraîné si d’aventure un autre groupe humain avait subi le même traitement.

    Reprenons tout cela

    1. Le lundi 8 juillet 2013 dans le journal de France Inter, le journaliste Frédéric Météseau demande à Thomas Guénolé – politologue – de commenter une déclaration de Christian Estrosi, maire de Nice, qui avait dit le même jour sur I Télé et Europe 1 que « les Roms sont souvent des étrangers en situation irrégulière et… qu’à partir du moment où ils envahissent sans droit ni titre et par effraction des terrains de football comme la semaine dernière, je considère que ce sont des délinquants »…
    Réponse de Thomas Guénolé : « C’est un fait que, culturellement, le racisme est quand même plus développé dans le Sud de la France. Cela s’explique en partie, faut dire les choses, par le fait qu’il y a une très forte communauté pied-noir, dans le sud de la France. »
    Et quand des correspondants lui demandent de s’expliquer, il dit tout simplement : » Le présentateur du journal m’a demandé pourquoi le racisme semblait plus présent dans le sud de la France. J’ai avancé comme élément d’explication la présence beaucoup plus forte des Pieds-Noirs dans cette partie du pays. Si le journaliste m’avait invité à expliciter mon propos sur ce point, j’aurais signalé le constat historique à l’appui de cette analyse : à savoir que dans la vie politique française, le vote d’extrême-droite est surreprésenté dans l’électorat pied-noir. Pour autant, je n’ai pas dit une ânerie de type » Tous les Pieds-Noirs sont racistes » : ç’aurait été une pure sottise. En effet les contre-exemples sont faciles à trouver : je pense ainsi à Albert Camus. »

    2. Le mercredi 16 octobre, Eva Joly, ancien magistrat, ex-candidate à la présidence de la République, déclare sur I Télé « Si nous ne sommes pas capables d’intégrer quelques dizaines de milliers de Roms alors que nous avons intégré, en 1962-63, un million de pieds-noirs…». Cela entraîne des réactions indignées d’associations de Français d’Algérie, des partis politiques de droite et aussi de responsables socialistes tels Julien Dray.
    Et puis, sur le site de la LDH (Ligue des droits de l’homme), un bref article non signé écrit qu’il est difficile de trouver à redire dans ces paroles et conclut que ces déclarations n’ont rien d’un amalgame.

    3. Le jeudi 17 octobre 2013, Michel Delarche sur son blog publie un article sous le titre « je ne suis pas raciste, mais… ». Bien sûr cela se veut du second degré, mais écrire que « cela fait plus de cinquante ans que ces gens-là [les pieds-noirs] sont arrivés chez nous et ils ne se comportent toujours pas comme des vrais français. Les vieux, ils n’arrêtent jamais de parler de « comme c’était bien là-bas ». Mais si c’était mieux « là-bas, ils n’ont qu’à y retourner « là-bas », (il y a 40 lignes du même style), n’est pas complètement candide. Et cela a suscité des réactions dont beaucoup restent au premier degré.

    4. Faut-il adjoindre à cette liste l’amendement à l’article 33 de la loi de programmation militaire, présenté le 21 octobre 2013 au Sénat par Mme Joëlle Garriaud-Maylam, (née le 20 mars 1955 à Marnia en Algérie, membre du groupe UMP au Sénat) qui exclut les harkis de souche européenne (dont la plupart étaient pieds-noirs) du bénéfice de l’allocation de reconnaissance ?

    Que penser de tout cela ?

    Chacune des déclarations peut faire penser à une expression maladroite. Mais ce qui attire l’attention, c’est la répétition récente d’expressions sans bienveillance et la référence politique insidieuse.

    Thomas Guénolé se réfère explicitement à l’enquête du CEVIPOF. Cet organisme a publié en Mars 2012, avant les élections présidentielles une étude sur le vote pied-noir. Au premier tour, 28% des pieds-noirs et 24% de leurs descendants, auraient voté pour la présidente du Front national alors qu’Ils seraient 26% (pieds-noirs) et 31% (descendants) à se prononcer pour François Hollande et 26% (pieds-noirs) auraient voté pour Nicolas Sarkozy au premier tour, alors que les intentions de vote de leurs descendants en faveur du président sortant plafonnent à 15%. Le total des candidats centristes recueillerait 9% du vote des rapatriés et 14% des voix de leurs descendants.

    Marine Le Pen a obtenu 17,9% des voix, Nicolas Sarkozy 27,18% et François Hollande 28,63% des voix au 1er tour des dernières élections présidentielles. Ce que l’on peut noter, c’est que les pieds-noirs voteraient proportionnellement comme le reste de la communauté nationale pour Hollande, Sarkozy et les centristes, ce qui indique donc que ce sont les autres candidats d’extrême-gauche qui ne bénéficient pas de leurs voix. Il existerait donc une discrète surreprésentation du vote Fn dans la communauté « pied-noir » aux dépens de l’extrême-gauche, mais est-elle liée comme le pense le politologue à du racisme ?

    D’une part, cette surreprésentation n’est pas bien grande, d’autre part il faut intégrer l’histoire et la mémoire de cette communauté qui a eu à souffrir de la responsabilité des gaullistes dans leur exil en 1961-1962, des positions des groupes gauchistes lors de la guerre d’Algérie et à leur arrivée en France, de l’absence de compassion des ONG habituellement promptes à s’émouvoir, alors que Jean-Marie Le Pen et ses amis ont été plus proches d’eux.

    Les PN sont-ils plus racistes que leurs compatriotes français ?

    Dans une telle affirmation, il y a une part d’ignorance, une part de lieux communs et aussi sinon de mauvaise foi, du moins de raisonnement commode. Il y a pêle-mêle dans cette conception erronée de la vie dans l’Algérie d’avant 1962 un anachronisme évident, une mauvaise connaissance des rapports intercommunautaires, de la vie politique française au siècle dernier et de l’histoire de l’Algérie de 1830 à 1962.

    On pourrait faire un cours d’histoire à ce sujet, mais rappelons simplement qu’en 1830, le comte Louis de Bourmont et le dey d’Alger Hussein Pacha ont signé une convention reconnaissant la souveraineté de la France sur l’Algérie. L’article 5 de cet accord garantissait le libre exercice des religions et notamment de la religion musulmane dont les fidèles conservaient leur statut juridique et social, c’est-à-dire qu’ils continuaient à être soumis à la « charia ». Dès lors il y avait inévitablement 2 communautés dans le pays, celle qui relevait du droit français (dont la communauté juive à partir de 1871) et l’autre. Et c’est la IIIème République, qui a refusé d’accorder une pleine citoyenneté aux musulmans.

    La cohabitation des communautés était moins conflictuelle que celle que nous vivons dans certains quartiers de la France d’aujourd’hui. Les fêtes chrétiennes, juives et musulmanes étaient célébrées par tous. Personne ne s’offusquait de voir des femmes voilées dans les espaces publics. En rappelant cela, je veux simplement dire qu’il y avait une tolérance réciproque qu’il est difficile de retrouver aujourd’hui.

    Il n’y avait pas, comme le confirme Mohammed Harbi – historien nationaliste algérien – un système social qui aurait pu s’apparenter à l’apartheid sud-africain. Bien sûr les uns parlaient des « bougnoules » ou des « bicots » et les autres de « gaouri », de « roumi » ou de « youdi », mais à Bab El Oued, à la Casbah, et dans la plupart des villes de l’intérieur, Européens et indigènes vivaient côte à côte. Les choses étaient autres dans le bled ou dans les grandes villes, là où une communauté était bien plus nombreuse que l’autre.

    Pourquoi donc les pieds-noirs qui retournent en Algérie sont-ils accueillis avec autant de chaleur? Pourquoi donc les Algériens qui ont vécu en Algérie française recherchent-ils en France le contact avec les Français qui ont traversé la Méditerranée? Les pieds-noirs ont du mal à pardonner à ceux qui les ont chassés de leur pays natal, au FLN et aux dirigeants algériens qui sont toujours au pouvoir. iIs n’en veulent pas au peuple algérien. Ce n’est pas du racisme, c’est plutôt de la rancune.

    Quant aux propos d’Eva Joly, reconnaissons que comparaison n’est pas raison. Elle qui postulait à la présidence de la République Française, méconnaît l’histoire de son pays d’accueil. Les pieds-noirs sont des Français de souche ou issus de Français naturalisés depuis plusieurs générations. Ils ont montré leur patriotisme au cours des Guerres Mondiales. Ils coulaient rester Français sur leur terre natale. Les circonstances historiques les conduits à se réfugier en France métropolitaine. Ils ont réussi à s’y intégrer en quelques années, même s’ils gardent une nostalgie de leurs jeunes années.

    Les Roms sont une population venue de l’Inde il y a plus de 9 siècles. Ils sont plus de 10 millions en Europe (Bohémiens, Tziganes, Gypsies, Gitans, Romanichels, Manouches). Ils ont conservé leur langue, leur culture, leur mode de vie. Ils ne connaissent pas les frontières et se définissent comme des « voyageurs » ou des « gens du voyage ». Dans les pays où ils sont nombreux, ils ont créé des partis ethniques. Dans plusieurs pays de l’est européen, il y a ou il y a eu dans un passé très récent des ministères chargés des affaires tziganes ou bohémiennes. Pendant la période communiste de ces pays, les Roms furent interdits de bouger, de partir à l’aventure sur les routes et les chemins ; tous à l’usine, aux champs et sur les chantiers. Gare au «parasitisme» qui les conduisait tout droit dans les «camps de rééducation à régime sévère». Pendant un demi-siècle on n’entendit plus parler des Roms de derrière le « Rideau de fer». Et pourtant, 2 générations plus tard, après un demi-siècle de régime soviétique, ils sont revenus à leurs traditions.

    Vouloir comparer des Français d’Algérie venus ou revenus dans la mère patrie où ils se sont rapidement intégrés n’est pas pertinent. De la part d’un ancien magistrat qui avait pour profession de tenter de faire la part des choses, cette analyse superficielle et simpliste est inquiétante. Madame Joly prouve une nouvelle fois qu’elle n’est pas encore tout à fait intégrée à la culture et à l’histoire de la France.

    Lorsque la LDH lui emboite le pas, elle ne fait pas une analyse subtile et laisse apparaître tout le parti-pris qui est le sien. Elle démontre qu’elle n’est qu’une entreprise politique nullement préoccupée des droits de l’homme, toute entière tournée dans une dialectique unilatérale et en dépit de sa profession de foi, sans aucune empathie pour un groupe humain déraciné dans la violence.

    Le texte de Michel Delarge et les réactions suscitées sur son blog, suggèrent plusieurs remarques : se serait-il permis de stigmatiser une autre population, même en employant le second degré ? Sans parler des Roms, des Juifs ou des Arméniens, mais des Portugais ou des Vietnamiens ? Il est trop facile de se réfugier derrière la dérision et l’humour.

    Les pieds-noirs, quel poids électoral ?

    Au terme de cette réflexion, on peut identifier la cause de cette nouvelle mode qui met les Pieds-Noirs au centre de l’actualité. L’étude du CEVIPOF est importante : elle met en évidence le poids de l’électorat pied-noir, évalué à 3200 000 personnes, soit 7,3% des votants potentiels. Dans certaines régions ce poids est encore plus important : 15% en Languedoc-Roussillon, 13% en PACA, 11% en Midi-Pyrénées. Et le vote pour le Fn est légèrement surreprésenté. Mais si l’on compare le vote des pieds-noirs dans les régions du sud à ceux des « non pieds-noirs » le différentiel est moins significatif. Et dans les régions du nord ou de l’est le vote pied-noir est peu différent de celui des « non pieds-noirs ».

    Ainsi derrière des remarques en apparence rationnelles, apparaît une préoccupation politique qui compte-tenu de la montée du Fn en 2013 dans les sondages va devoir être révisée.

    * Roger Vétillard, notre collaborateur, spécialiste de la guerre d’Algérie est l’auteur de deux ouvrages faisant référence, « Sétif, Mai 1945, Massacres en Algérie » Ed de Paris et « 20 Août 1955, un tournant dans la guerre d’Algérie » Ed Riveneuve. Un nouvel ouvrage sur un des autres aspects importants de la Guerre d’Algérie est en cours de publication.

    http://www.metamag.fr/metamag-1648-LES-PIEDS-NOIRS-CES-PELES-CES-GALEUX%E2%80%A6.html

    via http://www.altermedia.info/france-belgique/ethnomasochisme/les-pieds-noirs_87925.html#more-87925

  • Un gouvernement girouette et un peuple qui gronde

    Par Julien Rochedy, directeur national du FNJ

    Il est déplorable de devoir constater à quel point le gouvernement qui préside aux destinées de la France ne sait plus du tout où il va. Nous avions déjà connu un peu cela sous Nicolas Sarkozy, lui qui avait débuté son quinquennat par une politique semi-keynésienne (surtout en faveur du pouvoir d’achat des aisés) pour le terminer sur une politique d’austérité aggravée, au point (rappelez-vous) qu’une boutade sous l’ère Sarkozy était : « Le Président a passé la seconde étape de son mandat à défaire ce qu’il avait fait dans la première ».

    Mais si c’était déjà ridicule sous Sarkozy, on dépasse toutes les bornes avec Hollande. Les palinodies de son gouvernement, notamment en matière fiscale, vont devenir un vrai cas d’école. On ne compte plus les mesures annoncées qui finalement sont supprimées sous la pression ou modifiées au dernier moment, au point que les Français n’y comprennent plus rien du tout. La seule chose qu’ils voient et qu’ils ressentent en revanche, c’est que ce gouvernement cherche par tous les moyens à leur faire les poches, sans cohérence et, surtout, sans justification.

    Cela nous oblige tout de même à répéter la vérité aux Français à propos du racket fiscal qui ne finit plus d’augmenter depuis l’été 2011 : si nous sommes tous touchés aujourd’hui par une hausse aberrante des prélèvements obligatoires, c’est pour satisfaire à la fois l’Union européenne, qui demande toujours plus d’austérité pour sauver son euro qui lui est si cher ; c’est pour le plus grand bonheur des banques qui se gavent avec les intérêts qu’elles prennent lorsqu’elles prêtent aux États à 3, 4, 5 %, alors que la BCE leur prête gratuitement à 1 % ; et c’est enfin pour financer nos acquis sociaux qui, un jour ou l’autre, deviendront OBLIGATOIREMENT infinançables à cause du chômage qui explose et à cause de l’immigration massive.

    Alors, les Français grondent, et ça se voit et s’entend de plus en plus. La colère, cette semaine, est venue de la Bretagne rebelle, celle qui ne veut pas crever, qui ne veut plus payer toujours plus de taxes et d’impôts alors que ses emplois disparaissent à cause de la concurrence déloyale que permet l’Union européenne. C’est pourquoi nous, au Front National, nous avons soutenu et soutenons les bonnets rouges. Ils ont le droit de laisser exploser leur colère, car effectivement cette situation est devenue insupportable.

    Mais nous avons aussi, en tant qu’hommes politiques, à appuyer là où ça fait mal (donc dire la vérité) et à proposer des solutions. Celles-ci sont claires comme de l’eau de roche : tant que nous resterons dans cette Union européenne sans protection et avec son euro cher, tant que nous nous ne protégerons pas nos emplois, tant qu’à nouveau l’État stratège en France ne pourra pas relancer l’économie et tant que nous accepterons sur notre territoire des milliers d’immigrés chômeurs qui coûtent une fortune à nos comptes sociaux, alors oui, nous continuerons à toujours payer plus d’impôts.

    Il faut donc dire aux Français, qui grondent avec raison : « la voie qu’ont empruntée l’UMP et le PS amène obligatoirement à l’étouffement de notre économie. Vous en doutiez ? Regardez à présent. Si vous voulez respirer à nouveau et ne payer que ce qui est raisonnable, il va falloir que vous vous rangiez à nos opinions, les seules qui peuvent changer véritablement la donne. »
    En attendant, difficile d’imaginer que la colère populaire va cesser. Jusqu’où va-t-elle aller ? Allons-nous assister à de nouvelles jacqueries, peut-être même à quelque chose de plus grave ? Nous ne savons pas. Ce que nous savons en revanche, c’est qu’il va falloir changer, et vite. Et ce changement, il s’appelle Marine Le Pen et rien d’autre.

    Source Article  http://www.nationspresse.info/libres-propos/un-gouvernement-girouette-et-un-peuple-qui-gronde

    http://www.altermedia.info/france-belgique/nationspresse/un-gouvernement-girouette-et-un-peuple-qui-gronde_87955.html#more-87955

  • Amiens aux Français ! Le Parti de la France a décidé de descendre dans la rue.


    Amiens aux Français ! par ThomasJoly60

  • Méthode Coué

    Selon un récent sondage, plus de neuf Français sur dix attendent du changement de la part de François Hollande, qu'il s'agisse de sa politique (43%), de sa méthode (30%) ou de son équipe gouvernementale (18%). Réaction de Najat Vallaud-Belkacem, aujourd'hui, sur BFM :
    "Ne changeons surtout pas de cap ! C’est au contraire avec la persévérance et la détermination qui sont celles du président de la République que nous arriverons à obtenir des résultats. Je pense par exemple à cette obsession [de M. Hollande] à l’égard de l’inversion de la courbe du chômage : et bien je suis persuadée que c’est la façon dont nous avons tenu et agi depuis 18 mois qui va nous permettre d’arriver à cette inversion d’ici la fin de l’année, car j’y crois et de façon durable."
    C'est ce qu'on appelle un ministre à l'écoute des Français.

    Louise Tudy
    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/m%C3%A9thode-cou%C3%A9.html