Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

élections - Page 714

  • Civitas a fait tomber les barrières du politiquement correct

    Dans la Marche contre l’antichristianisme et la politique antifamiliale vue hier à Paris, ce qui était intéressant à observer, ce n’était pas tant la quantité des participants mais plutôt la composition de la foule. Civitas qui organisait cette marche pourra se targuer d’une avancée non pas numérique mais stratégique en ayant obtenu l’effondrement de bien des barrières psychologiques qui freinaient jusqu’ici la collaboration entre certaines mouvances toutes sincèrement mobilisées pour défendre la Famille contre la politique destructrice de nos gouvernants.

    Hier, il y avait là des militants de l’UNI, des gens engagés dans la tendance la plus droitière de l’UMP, quelques maires et élus de petits villages, l’ancien sénateur Bernard Seillier et son épouse qui fut député européen, tous deux figures éminentes du MPF, des militants du Printemps Français, de l’Action Française, de la Dissidence Française, du Renouveau Français, des Jeunesses Nationalistes, des royalistes, des patriotes, des « collectionneurs » de garde à vue, des militants pro-vie, des responsables locaux des AFC, des catholiques engagés et des Français qui ne pratiquent plus. Il y avait là toutes les forces vives des veilleurs debout et autres sentinelles qui se retrouvent à la place Vendôme ou lors d’un chahut de ministres. On pouvait reconnaître parmi la foule Nicolas Bernard-Busse, cet étudiant qui a fait 29 jours de prison pour s’être opposé à la dénaturation du mariage, et le Dr Xavier Dor...Par

    pour lire la suite

  • Jean-François Copé favorable au mariage pour tous : réaction immédiate de la Manif pour tous

    On ne badine pas avec le Mariage.

    Lettre ouverte de Ludovine de la Rochère :

    "Monsieur le Président,

    Sur le plateau de France 2, lors de l’émission « Des paroles et des actes »  du 10 octobre dernier vous avez déclaré, je vous cite : « Je n’ai jamais eu d’opposition d’aucune sorte à l’idée du mariage homosexuel ».

    Devant l’étonnement des journalistes présents qui vous interrogeaient, vous avez ajouté, et je vous cite à nouveau : « Pour le mariage, je n’ai, comme personne parmi les Français, d’objection de fond contre le mariage homosexuel ».

    Voilà bien un reniement en bonne et due forme dont je prends acte, tout comme les millions de Français qui, tout au long du débat sur l’adoption de la loi Taubira, ont explicitement manifesté contre le principe même de ce « mariage ».

    C’est votre parfaite liberté de vous déjuger ainsi aujourd’hui. Tout comme c’est la nôtre de dire qu’il est bien difficile d’accorder sa confiance à un haut responsable politique qui peut ainsi radicalement changer de position sans autre raison apparente que de vouloir plaire à une infime minorité de personnes au prix, de facto, de son propre électorat.

    Parce que nous sommes attachés aux valeurs du mariage, nous donnons du prix à ce qui lui est indissociable : la fidélité et le respect des engagements pris.

    Vous comprendrez dès lors que sans un rappel précis, sincère et explicite de votre plein engagement à nos côtés « contre le mariage pour tous » et contre la loi Taubira, les millions de manifestants, citoyens électeurs, sauront se souvenir de ce reniement le moment venu.

    Je vous prie d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de ma considération distinguée".

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/10/jean-fran%C3%A7ois-cop%C3%A9-favorable-au-mariage-pour-tous-r%C3%A9action-imm%C3%A9diate-de-la-manif-pour-tous.html

  • L'UMP, complice de la guerre éclair menée au Parlement européen contre la Vie et "l'un de nous"

    L'affaire est importante et se jouera dans les 24 heures. Zenit publie cet article complet qui montre la fallacieuse manoeuvre dénoncée ci-dessous par le président de la Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe et qui cherche à s'opposer à l'action trop forte pour les détracteurs de la Vie, l'un de nous, que nous vous invitons à rejoindre si ce n'est pas encore fait.

    L'UMP une fois encore, joint ses voix à cette avancée de l'anti-culture de mort qui veut non seulement  instituer un droit fondamental à l'avortement, mais tente d'ouvrir cette voix à la PMA. Lecture :

    "Le président de la Fédération des Associations Familiales Catholiques en Europe (FAFCE), Antoine Renard, dénonce une "guerre éclair" au Parlement européen contre le respect de la vie humaine. Il proteste: "en soutenant une résolution au Parlement européen", certains membres du Parlement "neutralisent l'initiative citoyenne européenne en faveur de l'embryon humain "Un de Nous"." Voici ses explications.

    ***

    Le Parlement européen s’apprête à voter, mardi 22 octobre prochain à Strasbourg, une résolution sur « la santé reproductive et sexuelle ». Ayant exprimé leur soutien pour ce texte, les députés européens de l'UMP soutiennent la neutralisation politique de l'initiative citoyenne européenne "Un de Nous" (soutenue par plus de 1.3 million de citoyens de l’UE). Leur position sera vraisemblablement identique à celle de l'UDI, du Modem, des Socialistes, des Verts et des Communistes. La jurisprudence de l’Union européenne qui constitue la base de cette initiative sera ainsi bafouée, ce dont les lobbies pro-avortement s'en félicitent. Un projet de résolution alternative a été déposé pour offrir une vraie alternative au projet initial, faisant respecter le droit communautaire et "Un de Nous".

    Déni de bon sens

    La volonté de certains membres du Parlement européen de neutraliser politiquement le succès de l'initiative citoyenne européenne "Un de Nous" se manifeste par le chiffre A7-0306/2013. Ce projet de résolution déclare l'avortement un droit fondamental, demande une garantie de financement aux associations promotrices de l'avortement, se déclare favorable à la PMA pour célibataires ou lesbiennes, portant ainsi atteinte au droit des enfants de connaître, dans la mesure du possible, leur père et leur mère.

    En revanche, les droits des parents en matière de choix éducatif et de l'avortement des adolescentes, ainsi que le droit à l'objection de conscience devraient être mieux régulés pour empêcher leur mise en œuvre, selon ce texte. Un déni du bon sens que le Parlement européen se plaît souvent à constater chez les autres. Par la voix de Jean-Pierre Audy (Conseiller municipal de Meymac, circonscription du Centre - Massif central), l'UMP a officiellement annoncé soutenir cette résolution malgré l'opposition au sein du groupe PPE, et s'est ainsi isolée au sein de sa famille politique.

    Une initiative conforme au droit

    La situation juridique est pourtant sans appel : La Grande Chambre de la Cour européenne de Justice a déclaré pour droit (C-34/10) que l'Homme existe à partir de la fécondation et que l'embryon humain représente un stade précis du développement du corps humain. C'est pourquoi l'embryon humain est investi de la pleine dignité humaine, et protégé par les instruments communautaires et internationaux à cet égard. "Un de Nous" demande la mise en œuvre de cette jurisprudence, là où la vie et la dignité de l'embryon humain sont mises en péril : la recherche ; l'avortement et la santé reproductive et sexuelle dans la coopération au développement. La Commission européenne, politiquement et juridiquement responsable des initiatives citoyennes au niveau communautaire, a déclarée « Un de Nous » conforme aux règles prévues par la législation, et l’a autorisé.

    L'avortement ne fait l'unanimité dans aucune instance décisionnelle. C'est pourquoi fut inventé le concept technique "santé reproductive et sexuelle et les droits y afférant". Son contenu inclusif se découvre à l'image d'une poupée russe: la santé reproductive contient la "régulation de la fertilité" qui à son tour contient la terminaison de grossesse (avortement). Par cette approche inclusive, les institutions nationales et internationales peuvent promouvoir et financer des programmes d'avortement sans même prononcer le mot mal aimé, avec un budget-cadre de plusieurs centaines de millions d’euros offert par l’UE" (suite).

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Leur « laboratoire » est un film d’horreur !

    Matérialisation des rivalités, des animosités, des détestations, des  luttes de courants qui agitent le PS, l’aile gauche du parti a fait descendre dans la rue cette fin de semaine quelques milliers de lycéens manipulés. Ils entendaient  protester spontanément (sic) contre Manuel Valls suite à l’expulsion de la kosovare Léonarda et de sa famille. La cote de popularité de M. Valls ne fait pas que des heureux rue de Solferino… Toujours dans l’indécision, François Hollande a jugé habile de couper la poire en deux en offrant samedi à Léonarda de rentrer en France, mais sans sa famille. Le ministre de l’Intérieur s’est rallié à cette proposition après avoir laissé entendre qu’il pourrait démissionner s’il était déjugé et que cette jeune romanichel revenait en France… Reste que le vœu de M. Hollande lui a valu un double tacle : celui de la collégienne qui veut se réinstaller  avec toute sa (nombreuse) fratrie mais aussi du  premier secrétaire du PS.

     « Tous les enfants de la famille de Léonarda doivent pouvoir finir leurs études en France accompagnés de leur mère » a jugé Harlem Désir. Et comme après tout ce sont les Français qui payent les folies de l’immigration-invasion,  le Parti de Gauche de Jean-Luc Mélenchon en a rajouté une louche en estimant  d’une « cruauté abjecte » le fait de sommer une collégienne de choisir entre vivre en famille ou poursuivre ses études en France.

     Il est certes légitime de trouver anormal de séparer les membres des familles étrangères. Celles-ci affirme Bruno Gollnisch, doivent être en effet regroupées dans leur pays d’origine et non pas en France. Quant à Léonarda, elle pourrait certainement être inscrite dans un des établissements  français existant au Kosovo pour y poursuivre sa scolarité, à Pristina notamment,  indique le député européen FN.

     Le cas Léoanarda est largement un leurre, l’arbre qui cache la forêt de l’immigration de peuplement, mais c’est devenu un symbole, comme l’était aussi, ô combien, cette primaire socialiste qui s’est achevée hier soir à Marseille sur des divisions criantes.

     Cela n’était un secret pour personne, l’Elysée et  la direction du PS ne voulaient à aucun prix que  Samia Ghali la sénatrice socialiste des quartiers Nord,  candidate-égérie officielle de la diversité,  soit désignée comme chef de file  pour les municipales à Marseille.

     Dans le contexte actuel, et au delà même de la question des compétences de Mme Ghali à diriger la seconde ville de France, sa candidature aurait été catastrophique ont donc jugé les pontes socialistes. L’afflux de vote en sa faveur en provenance des fameux quartiers nord n’aurait pas (pas encore ?) compensé la fuite ou la grève du vote de nombreux autres électeurs de gauche. Bref, il était hors de question de faire de Mme Ghali l’incarnation du PS face au maire sortant UMP Jean-Claude Gaudin mais aussi face au FN Stéphane Ravier en mars prochain…  

    Jean-Pierre Mignard, le président de la Haute autorité des primaires socialiste,  a salué sans rire hier soir  le bon déroulement d’un scrutin dans une fédération PS ravagée par les « affaires »,  qui  est intervenu dans un climat épouvantable. On en frémi d’avance, et cette phrase est au mieux très malheureuse,  il a ajouté que Marseille était le « laboratoire de la France » à venir !

     Au vu de l’état de déliquescence, de submersion, de tiers-mondisation de cette ville après des décennies de cogestion UMPS, ce laboratoire là les Français ne souhaitent pas y entrer, ne veulent pas en goûter plus avant les mauvaises potions, n’y en être les cobayes ! C’est d’ailleurs pourquoi nos compatriotes se tournent vers le FN ! Merci de cet aveu M. Mignard…

     Samia Ghali a reconnu la victoire de son adversaire, le  bateleur de foire Patrick Menucci  (57,16% des voix contre 42,84% à sa rivale), mais elle a eu raison de souligner qu’elle a perdu face à une vaste coalition «de cinq candidats plus le gouvernement ». Un Menucci soutenu en effet au second tour par François Hollande et Harlem Désir depuis l’ élimination au premier du ministre Marie-Arlette Carlotti qui n’avait pas fait le déplacement hier soir…

     Depuis le Vieux-Port, Mme Ghali a laissé ses partisans huer le gouvernement,  certains d’entre eux expliquant aux médias leur intention de voter en mars 2014 pour Gaudin plutôt que Menucci. Il est vrai que c’est peu ou prou le même programme. « Je voudrais dire à Jean-Marc Ayrault, à François Hollande, que nous sommes avant tout des Marseillais, pas des sous-Marseillais. Nous réclamons ici à Marseille l’aide qu’il n’a jamais apportée, oui, le comité interministériel n’a pas porté ses fruits » , a-t-elle affirmé.

     Nous voudrions dire de notre côté au ministre de la « Justice », Christiane Taubira, que les Français qui votent FN, les militants et adhérents frontistes ne sont pas des sous-hommes.

     L’ex militante indépendantiste Guyanaise s’est saisie d’un reportage diffusé jeudi sur France 2, pour déverser sa haine contre l’opposition nationale. Dans cette émission il était fait état dans les Ardennes, d’une (ex) candidate FN Anne-Sophie Leclère, alors candidate FN aux municipales à Rethel, qualifiant le garde des sceaux de « sauvage ». Elle donnait aussi à voir  la page facebook de cette jeune femme ornée d’un photomontage pour le moins maladroit et malheureux car ambiguë, en ce qu’il pourrait peut être  laissé entendre que Mme Taubira est comparée à un «singe ».

     Selon des propos diffusés par France Bleu, Mme Taubira  a évoqué samedi  «la pensée mortifère et meurtrière (du)  Front National ». « Cette militante (Mme Leclère, NDLR) (…) n’a pas compris que sa direction a dit qu’il faut faire semblant » « , le contenu de cette pensée mortifère et meurtrière, c’est les Noirs dans les branches des arbres, les Arabes à la mer, les homosexuels dans la Seine, les Juifs au four et ainsi de suite ».

     Le FN a  annoncé  qu’il engageait une procédure judiciaire contre Mme Taubira. «  Rien ne justifie l’expression d’une telle haine à l’encontre d’un Mouvement « tout entier et de ses millions d’électeurs ».

     Autre preuve de cette panique du Système,  Alain Delon  fut  vivement critiqué  dans les médias pour avoir dernièrement osé dire du bien du Front National. Il a  choisi de démissionner de son titre de président d’honneur à vie du Comité Miss France.

     Une manière pour cette icône du cinéma  de pointer l’hypocrisie de la  société Miss France qui avait alors fait savoir qu’elle « ne s’associait pas aux propos tenus »  puisque « l’élection Miss France est un événement et une grande émission de divertissement populaire qui réunit tous les Français, et qu’elle est par nature à l’écart de toute prise de position politique (…). »

     « Votre comité a cru bon de réagir publiquement, avec véhémence, à mes propos sur la politique de la France. Vous en avez parfaitement le droit. Mais ce n’est pas vous qui me lâchez, c’est moi qui pars » a écrit Alain Delon à la société Miss France.

     « Votre polémique a-t-il ajouté, est aussi absurde que narcissique et obsessionnelle. Votre attitude est un mépris à l’égard de votre public qui est en droit de voter pour qui il veut, un déni de réalité manifeste (…) . Afin de me remplacer, vous conseillerais-je de contacter Charles Berling ou Richard Berry, qui, eux, semblent partager vos idées. »

     MM. Berry et Berling qui pourraient aussi remplacer avantageusement dans leurs rôles d’acteurs  MM. Valls et  Menucci ou Mme Taubira, au point où nous sommes descendus, cela ne pourrait pas être pire…

    http://www.gollnisch.com/2013/10/21/laboratoire-film-dhorreur/

  • Qui n'est pas franc-maçon à Narbonne ?

    Si l'auteur de cet article semble bien naïf - il présente notamment une loge comme "catholique" - il a pu interroger un certain nombre de "frères" et cela donne ceci :

     

    "On prête à l'ancien sous-préfet de Narbonne, Gérard Dubois cette petite phrase en forme interrogative, lors de son arrivée dans notre ville, "mais qui n'est pas Franc-maçon à Narbonne ?" Il faut dire qu'historiquement la Franc-maçonnerie est "surreprésentée à Narbonne qui reste une ville de 50 000 habitants", dixit un ancien Vénérable de l'une des principales loges présentes sur les bords de la Robine. (...)

    Faut-il seulement rappeler que Narbonne n'est pas dans notre Midi une exception : à Béziers comme à Montpellier, les Frères sont bien présents dans tous les secteurs d'activité. "Il est donc normal, dans ces villes, et par conséquent à Narbonne, que l'on trouve les mêmes proportions dans les listes qui se présentent aux municipales", souligne un 'frangin' prêt à entrer dans la campagne. (...)

    La présence d'un Frère sur une liste du Front de Gauche (la tête de liste n'est pas désignée) comme sur une liste du Front National (elle sera conduite par Jean-Marc Péréa), fera toujours figure d'exception... Les Loges et les extrêmes, qu'elles soient de droite comme de gauche, n'ont jamais fait bon ménage. En revanche, les Francs-maçons seront bien présents sur les listes conduites par Jacques Bascou, Frédéric Pinet et Didier Mouly. Au sein du conseil municipal sortant, ils sont une bonne douzaine, et la même proportion se retrouvera sur la prochaine liste de Bascou. L'opposition municipale actuelle n'est pas en reste, avec parfois des situations cocasses puisque certains peuvent être à la fois opposants politiques et frères de la même loge. La liste de Didier Mouly comptera évidemment des Francs-maçons, ce qui était déjà le cas dans toutes les précédentes listes NN. De même que celle qui sera conduite par Frédéric Pinet."

    Louise Tudy   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Manif pour tous : « C’est le moment de se faire entendre des politiques »

    Manif pour tous : « C’est le moment de se faire entendre des politiques »

    Devant près de 600 personnes réunies ce soir à l’Athénée municipale à Bordeaux, Le collectif « La manif pour tous » a lancé, ce mercredi à Bordeaux son « Grenelle de la famille ».

    Celui-ci s’organise autour de six grands thèmes qui seront développés dans six grandes villes : le couple à Lyon, la filiation à Nantes, l’éducation à Lille, la lutte contre la paupérisation des familles à Paris, la solidarité intergénérationnelle à Marseille et la qualité de vie à Bordeaux.

    Ces séances de débat se dérouleront à partir de novembre et décembre. Une synthèse des six thématiques sera effectuée, et la rédaction du projet de loi se fera en eux temps : « les principes fondateurs » prévus pour la mi-janvier et « les mesures proposées » pour la fin-février début mars.

    Pour sa présidente, Ludovine de la Rochère, il est temps « de se faire entendre des politiques ». Après avoir expliqué le but de ce « Grenelle », cette dernière ne souhaite pas relâcher la pression sur les partis politiques « Nous irons voir les candidats aux municipales et leur demanderons quels seront leurs projets, comment ils perçoivent la loi Taubira sur le mariage homosexuel et quelles sont leurs convictions sur la libéralisation de la PMA et de la GPA ».

    Plusieurs intervenants se sont ensuite succédés à la tribune, notamment Véronique Signorini pour les AFC (Associations Familiales Catholiques), Jérôme Brunet (président de l’appel des professionnels de l’enfance), ou encore Albéric Dumont, coordinateur de la Manif pour tous.

    Du côté de la mairie de Bordeaux, s’il y a peu de chances qu’Alain Juppé reçoive les faveurs électorales des défenseurs de la famille (ce dernier ayant « déconseiller de manifester »), on pouvait noter la présence d’Hugues Martin et d’Anne Brézillon. Le candidat du Front national, Jacques Colombier, était également présent, ce dernier ayant participé à toutes les manifestations organisées par le collectif.

    grenelle-de-la-famille

    manif-pour-tous

    http://www.infos-bordeaux.fr/2013/actualites/manif-pour-tous-cest-le-moment-de-se-faire-entendre-des-politiques-5091
  • Fabrice Robert : “Novopress média incontournable de la réinformation”

    PARIS (NOVOpress) - Entretien avec Fabrice Robert, fondateur et directeur stratégique de Novopress

    Novopress vient de faire peau neuve. Pouvez-vous revenir rapidement sur la genèse de ce média ?

    Novopress.info a été créé en 2005. 8 ans déjà !

    Les médias « classiques » ont longtemps détenu le monopole de l’information. Grâce au réseau des réseaux, il me paraissait important – à l’époque – de tenter l’expérience d’un nouveau média susceptible de proposer une information alternative en ligne. Et le constat est désormais sans appel. Internet a permis de révolutionner l’accès à l’information tout en permettant une diversification de ses acteurs.

    Pourquoi avoir choisi un tel nom ? « Novo » signifie, en latin, « renouveler » ou encore « refaire ». Novopress se donnait alors comme objectif de refaire l’information face à la propagande du système et face à l’« idéologie unique ». On ne parlait pas encore, à l’époque, de réinformation mais l’approche était – avec du recul – assez similaire. Dans un certain sens, on peut dire que Novopress a joué un rôle de précurseur par rapport à qu’il est convenu d’appeler aujourd’hui, la réinfosphère.

    Novopress apparaît donc comme un média incontournable au sein de la galaxie des sites de réinformation. Pour les médias du système, qui aiment bien caricaturer ceux qu’ils ne contrôlent pas, Novopress est présenté comme l’un « des organes de presse les plus influents de l’extrême droite française ». D’autres nous perçoivent plutôt comme « un rouleau compresseur de “réinformation” »…

    Mais le moment nous semblait venu de passer à autre chose. Car il faut sans cesse réinventer, innover, évoluer pour conserver une longueur d’avance. D’où cette refonte qui ressemble, en réalité, à une véritable mutation de forme et de fond et qui permet de faire de ce média, une première en France.

    Quel est le fil directeur de cette refonte de Novopress ?

    Nous sommes partis du principe que l’actualité se fait désormais aussi à travers les réseaux sociaux. L’exemple emblématique reste, sans aucun doute, Twitter. Cette plateforme de microblogging, qui permet d’exposer ses points de vue en 140 caractères, a envahi notre quotidien. Le fameux hashtag (ou mot-dièse) associé au symbole #, se retrouve partout : le web, la presse papier, la radio et la télévision. De plus en plus de personnalités politiques et médiatiques préfèrent s’exprimer, avant tout, sur leur compte Twitter officiel pour contourner le filtre déformant des médias traditionnels. Dans le même temps, on incite de plus en plus le grand public à réagir – via Twitter – au cours d’une soirée politique, un journal télévisé ou une simple émission de divertissement. La télévision amplifie l’audience des réseaux sociaux mais l’inverse est également vrai. Il y a donc aujourd’hui une véritable interconnexion entre les deux types de plateformes. Le concept de télévision « sociale » (ou « Social TV » ) est en plein essor. Nous devons exploiter ce phénomène pour faire passer nos messages dans une optique de guerre culturelle. La piraterie politique à l’abordage de la télévision « sociale » !

    Vous l’avez compris. Le réseau Twitter va donc logiquement occuper une place centrale sur Novopress. Nous allons mettre en avant les tweets importants, proposer un fil d’information dédié aux hashtags du moment et aux comptes de personnalités qui résistent face à la mondialisation. Mais, de manière plus large, Novopress va désormais mettre l’accent – à travers son contenu – sur les réseaux sociaux (Twitter mais aussi Facebook) et certaines plateformes emblématiques du web 2.0 (comme YouTube, Flickr, etc). Certains développements très spécifiques effectués sur Novopress ne se retrouvent pour le moment – à mon sens – sur aucun site.

    Novopress évolue donc vers une plateforme mixte qui va agréger entretiens, contenus rédactionnels et informations issus des réseaux. Novopress devient un « médiagrégateur social », une sorte d’entonnoir informationnel capable de filtrer l’actualité qui compte.

    Novopress devient un « médiagrégateur social », une sorte d’entonnoir informationnel capable de filtrer l’actualité qui compte.

    Nous allons donc nous appuyer sur des collaborateurs capables de fouiller le web à la recherche du contenu le plus intéressant. Chaque jour, des milliers de contenus pertinents sont noyés dans un océan d’information numérique. Des documents plus anciens peuvent aussi être exhumés et constituer des pépites pour nos lecteurs.

    Notre stratégie suit une double logique : Nous souhaitons informer mais aussi enrichir l’internaute. Par ailleurs, nous savons que le flux d’information en continu crée de l’infobésité. En sélectionnant les contenus intéressants et qualifiés – dont certains n’ont jamais été traités par d’autres – nous voulons recréer de la rareté au sein de l’abondance.

    Peut-on parler de combat culturel ?

    Bien évidemment. Novopress a, d’ailleurs, toujours voulu inscrire son travail dans une logique de combat culturel et technologique. La prise DES pouvoirs – plutôt que DU pouvoir – passe logiquement par la conquête préalable des esprits. Le réseau des réseaux nous permet de mener à bien cette offensive culturelle destinée à réveiller les consciences.

    Aujourd’hui, de plus en plus de Français s’informent avant tout sur Internet et boudent les médias classiques. Et cela concerne toutes les générations. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les jeunes ne sont pas les seuls à être très présents sur le Net. Des études révèlent, par exemple, que les seniors ont aussi largement investis les réseaux.

    La guerre culturelle passe donc inévitablement par une bonne maîtrise des nouvelles technologies. Un outil de communication comme Novopress doit permettre de contourner le silence médiatique et la diabolisation tout en offrant une plateforme pour susciter des mobilisations militantes. Inutile de se mentir sur la soi-disant « neutralité » des journalistes. Tout média a – un moment ou un autre – une vocation militante. Pour s’en convaincre, il suffit de voir les prises de position des journalistes du système majoritairement en faveur du « mariage pour tous ». Contrairement à ces militants déguisés en journalistes, nous assumons clairement notre rôle de média-militant.

    Ces journalistes qui se proclament « républicains » symbolisent, en fait, cette nouvelle féodalité qui refuse l’abolition de ses privilèges et craint plus que tout de subir un 4 août de la liberté de l’information.

    C’est d’ailleurs à se demander si nous ne sommes pas passés du concept de la lutte des classes à celui de la lutte des médias. Une lutte opposant une caste médiatique jalouse de ses privilèges à des initiatives qui se constituent pour offrir une autre information et démasquer les tenants de l’idéologie unique. Si je voulais être un tant soi peu provocateur, je serais tenté de faire un parallèle historique avec la Révolution française. Ces journalistes qui se proclament « républicains » symbolisent, en fait, cette nouvelle féodalité qui refuse l’abolition de ses privilèges et craint plus que tout de subir un 4 août de la liberté de l’information.

    Comment est-il possible d’aider Novopress ?

    Nous travaillons dans une logique de réseau avec une approche participative. Chacun peut donc participer au projet en nous transmettant des informations (un tweet, un statut Facebook, une vidéo, une photo, un article de presse, un document d’analyse ou de réflexion, etc.).

    Mais il est également possible de participer plus activement en rejoignant l’équipe opérationnelle de Novopress. Pour cela, il suffit de faire acte de candidature en spécifiant ses motivations ainsi que les domaines et sujets que l’on maîtrise (veille, recherche d’information, rédactionnel, traduction, etc.).

    Rien ne se fera sans un réseau puissant de collaborateurs armés – numériquement parlant – et compétents

    Nous avons, avant tout, besoin de têtes chercheuses, de veilleurs et de personnes qui maîtrisent bien les réseaux. Novopress rentre dans une autre dimension, avec une plateforme technique et une approche éditoriale novatrices. Mais rien ne se fera sans un réseau puissant de collaborateurs armés – numériquement parlant – et compétents.

    http://fr.novopress.info/142399/fabrice-robert-novopress-media-incontournable-reinformation/

  • La colère n’est pas télégénique

    En réaction à l’émission Envoyé Spécial du 17 octobre.
    Exposée à la violence physique, l’anarchie migratoire, la précarité sociale, l’effondrement des murs porteurs de la culture populaire, la population française a le droit de se suicider – comme la semaine dernière Alain Vigneron, ce sidérurgiste qui n’intéressera jamais les lycéens bourgeois de l’UDIL – mais surtout, elle a l’obligation de se taire.
    Le reportage d’Envoyé Spécial sur le FN hier et les déclarations de Mme Leclère, l’ex-candidate du FN à Rethel (suspendue ce matin par la direction du FN) sonnent comme un avertissement. La colère monte face à ces souffrances répétés set à l’autisme de l’oligarchie.
    Cette colère monte et fabrique de la haine et du ressentiment. Le ressentiment et la haine sont moches mais la colère affole, fait dérailler, haïr.
    Alors Mme Leclère est ce matin la risée des bonnes âmes. Alors la moulinette à humiliation va continuer pour elle et tous les autres. Elle sera dénoncée, ostracisée, moquée pour ces mots stupides. Mais qui donc s’intéressera à ce qui produit cette violence ?
    Où sont les sociologues médiatiques, toujours prêts à «expliquer» les «incivilités» des casseurs, violeurs, incendiaires pour peu qu’ils soient immigrés ? Où seront-ils lorsqu’il faudra essayer de comprendre Mme Rethel et les centaines de milliers de Fançais en colère ? Nulle part je le crains. Qui s’intéressera au pourquoi de cette colère, de ce ressentiment ? Personne.
    La France gronde. Elle veut être protégée. La contrepartie du pouvoir c’est la protection. Toutes les élites qui l’oublièrent dans l’histoire furent balayées. Il n’y avait pas de caméras pour filmer les visages et les mots de ceux qui firent la révolution de 1789 et les autres dans la rue, mais nous le savons bien, la colère incandescente n’est pas télégénique.
    Les malins et les bonnes âmes pourront continuer à dénoncer, ostraciser, humilier. Pourtant, pour sortir de la spirale du ressentiment et de la violence, il faudra plus de courage, de réalisme politique, de doigté que de condamnations et de mépris.
    Laurent Ozon, 18/10/2013
    http://www.polemia.com/la-colere-nest-pas-telegenique/

  • Dans Paris, les Roms bénéficieront de logements vacants et d’un village d’insertion

    Communiqué de Wallerand de Saint-Just, Candidat du Front National à la mairie de Paris

    Sur proposition de Bertrand Delanoë, le conseil municipal de Paris vient d’adopter à main levée deux mesures que les parisiens apprécieront :

    - Des Roms vont, cet hiver, bénéficier, dans des immeubles parisiens, de « logements vacants » réquisitionnés par l’Etat.

    - Une étude va être menée sur « l’opportunité de créer un village d’insertion dans Paris », probablement au Bois de Boulogne.

    En outre, la ville de Paris souhaite que « la scolarisation des enfants vivants dans les campements parisiens soit une priorité dans tous les arrondissements de la ville. »

    Les parisiens qui attendent depuis des mois ou des années un logement dans notre capitale, comprennent désormais que les Roms et leurs familles sont prioritaires et ce aux frais du contribuable.

    Wallerand de Saint Just candidat du Front National-RBM à la mairie de Paris s’oppose totalement à ces décisions. Il proposera aux électeurs un tract d’information sur cette insupportable discrimination positive et sur cette politique irresponsable.

    http://www.frontnational.com/2013/10/dans-paris-les-roms-beneficieront-de-logements-vacants-et-dun-village-dinsertion/

  • Le PS en coma dépassé : la preuve par Léonarda

    PARIS (NOVOpress avec le Kiosque courtois) - C’est Stéphane Hessel qui, du haut du ciel — peut‑être — doit être aux anges ! L’indignation a atteint de nouveaux sommets dans notre pays à l’occasion de l’affaire Léonarda (qui peut in fine revenir – seule – en France à l’invitation de François Hollande comme il l’a indiqué dans son allocution de ce samedi…). L’ultragauche des « assoces » immigrationnistes, dont le redoutable Réseau éducation sans frontières, puissamment aidée par les relais médiatiques habituels, s’en est donné à cœur joie. « L’inhumanité absolue », « l’immonde », « les valeurs de la gauche bafouées », « la République en danger », « la rafle du Vel’ d’Hiv’ », « la Shoah », et j’en passe. Mais rappelons les faits :

    Rentrés irrégulièrement en France, le 26 janvier 2009, les Dibrani, des Roms soi‑disant kosovars, s’étaient vu refuser leur demande d’asile par l’Office français pour les réfugiés et les apatrides (Ofpra), puis par la Cour nationale du droit d’asile (CNDA) en 2011. Depuis cette date, ils étaient sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français, confirmée par le tribunal administratif fin janvier 2012 puis par la Cour administrative d’appel fin février 2013. La famille demande alors une régularisation au titre de la circulaire Valls de novembre 2012. Mais comme elle ne répond pas à tous les critères, notamment celui des cinq ans de présence, sa demande est rejetée.

    A trois mois près, les Dibrani devenaient régularisables : passées cinq années de présence sur le territoire national, un clandestin n’est en effet plus expulsable, cela en application de ladite circulaire Valls. Le père, arrêté lors d’un contrôle d’identité à Colmar, est expulsé vers le Kosovo le 8 octobre. La procédure d’expulsion pour le reste de la famille est fixée au 9 octobre. Ce jour‑là, la police se présente au centre d’hébergement de Levier, dans le Doubs, où elle trouve la mère et cinq des six enfants. Détail horrible : c’est dans un car scolaire, lors d’une sortie avec son collège, que Léonarda est appréhendée. La jeune fille est ensuite conduite à l’aéroport de Lyon pour un départ vers le Kosovo.

    Resat Dibrani, le père de Léonarda est passé par deux fois devant le juge des enfants pour « mauvais traitements » contre ses deux filles. A chaque fois, l’affaire a été classée sans suite, les deux mineures ayant opportunément retiré leur plainte. Il a d’autre part menti sur les origines kosovares de sa famille, dans l’espoir d’augmenter ses chances d’obtenir l’asile en France. Rom né au Kosovo, Dibrani, a fini par avouer qu’il était le seul membre de sa famille à être originaire de l’ancienne province serbe. Hormis la scolarisation des enfants, Dibrani était, selon RTL, « très loin d’avoir fait les efforts nécessaires pour espérer obtenir une régularisation ». Dibrani n’a jamais travaillé depuis son arrivée sur le sol français, il y a près de cinq ans. « En partie faute de papiers, mais surtout faute de volonté », confie un proche de la famille.

    Officiellement, l’homme se contentait de l’allocation du Conseil général du Doubs, de l’ordre de 300 € par mois, et devait sans doute compléter ce maigre pécule par quelques expédients d’usage… Léonarda se montre quant à elle très romanesque dans sa manière de relater les événements. « A Mitrovica (…) on est dehors, on dort sur des bancs », a ainsi assuré la jeune fille. Pourtant, un reportage de BFMTV la montre avec ses parents dans un appartement — deux chambres et une cuisine précise la journaliste. Léonarda évoque également une tentative de suicide, mais, précise‑t‑elle, soignée avec… des cachets ! Mais foin du romanesque. Léonarda, qui devrait bientôt revenir en France où elle sera accueillie en vedette par la grosse presse, n’est qu’une petite victime collatérale de l’affaire.

    Dans le collimateur de la gauche immigrationniste et sans‑papiériste : Manuel Valls, qui malgré une politique hyperlaxiste en matière d’immigration, a le tort, auprès de ses petits camarades, d’être populaire en singeant le Front national, naturellement sans aller comme le parti de Marine Le Pen à la racine du mal : l’ultralibéralisme de l’Europe de Bruxelles, tabou intouchable à droite comme à gauche. Le retour prochain de Léonarda et de sa famille, déjà programmé, fera perdre la face au ministre de l’Intérieur aux yeux de l’opinion publique, révélant que le dur de dur n’est finalement qu’un obéissant petit soldat du Nouvel Ordre mondial. Peut‑on attendre de Valls‑le‑cosmopolite qu’il franchisse le Rubicon en dénonçant un système mortifère ? C’est évidemment trop lui demander… Avec la mobilisation rien moins que spontanée des lycéens par la FIDL (un pseudopode du Parti socialiste), le crime est signé : le coup vient bien de l’intérieur du Parti. Un parti qui, avec un Harlem Désir aux commandes, est aux mains des assoces sans‑frontiéristes, à des milliards d’années‑lumière des préoccupations des Français. La deuxième victime de l’affaire est donc le Parti socialiste lui‑même, qui n’a pas réalisé que les Français ne s’intéressent plus aux immigrés, mais à leur emploi, à leur sécurité, et à celle de leurs enfants. Alors, finalement, merci Léonarda !

    http://fr.novopress.info/142294/le-ps-en-coma-depasse-la-preuve-par-leonarda/