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élections - Page 717

  • Le vote ethnique c’est maintenant : lancement du Parti de la banlieue

    PARIS (NOVOpress) – Le lancement de cette nouvelle formation politique s’est effectué dans un lieu symbolique et emblématique du Grand Remplacement. A Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), le 31 octobre dernier, est ainsi né le Parti de la banlieue, qui milite pour le multiculturalisme. Dirigé par Abdel-Malik Djermoune, ce parti milite notamment pour la promotion encore plus forte du multiculturalisme – comme si ce n’était déjà pas la politique mise en oeuvre au quotidien par François Hollande et Jean-Marc Ayrault, pour l’instauration du droit de vote des étrangers et pour la légalisation du cannabis.

    Reconnaissant qu’un Français sur 4 est d’origine étrangère, le Parti de la banlieue souhaite incarner cette société multiculturelle et lui donner une expression politique loin des émeutes ou de la récupération par les grands partis. Un avant-goût de cette représentation politique du multiculturalisme – en somme le vote ethnique – a été donné lors de la primaire socialiste pour l’élection municipale à Marseille…

    Disposant de quelques sections en Ile-de-France et en Martinique, ce parti compte présenter quelques candidats lors des prochaines élections municipales et être présent sur l’ensemble du territoire français d’ici un an.

    http://www.youtube.com/watch?v=-4V54n248ZY

    http://fr.novopress.info/143826/le-vote-ethnique-cest-maintenant-lancement-du-parti-de-la-banlieue/#more-143826

  • Les « potes » du PS devraient bientôt prendre la porte…

    Il se dit de plus en plus que les jours d’Harlem Désir dans son fauteuil de premier secrétaire du PS sont comptés. Celui qui fut toujours placé, jamais élu, est parvenu à faire la quasi unanimité des parlementaires socialistes contre lui ! Ses propos dans l’affaire Leonarda n’ont fait qu’attiser le mécontentement des élus socialistes à son encontre. En effet, ceux qui songent à se faire réélire et doivent pour cela arpenter le terrain se rendent bien compte que leur électorat affiche de plus en plus ouvertement son ras-le-bol d’une immigration envahissante. Autant dire que le numéro de soutien d’Harlem Désir à une Leonarda qui déclare à la télé qu’un jour elle reviendra en France et que c’est elle alors « qui fera la loi » passe très mal. Le 22 octobre dernier, lors d’une réunion de groupe des élus socialistes, Harlem Désir a même été obligé de renoncer à prendre la parole en entendant les chahuts provoqués par l’évocation de son nom.

    C’est grâce au soutien de la « bande des quatre » comme dit Jean-Marc Ayrault, c’est-à-dire Peillon, Valls, Moscovici et Le Foll, qu’il avait obtenu le poste de premier secrétaire du parti. Il ne devrait pas y rester au-delà des élections européennes.

    En attendant, un de ses proches vient d’être averti qu’il prenait la porte. Mehdi Ouraoui était le directeur de cabinet du premier secrétaire du PS. Un choix personnel de l’ancien président de SOS Racisme. Or, de l’ensemble des secrétaires nationaux jusqu’au plus petit personnel de la rue de Solferino, tout le monde s’accorde pour détester Mehdi Ouraoui et son arrogance légendaire. Sur recommandation explicite de l’Elysée, le petit Mehdi a donc appris qu’il pouvait préparer ses cartons et vider son bureau.

    La suite ici => http://medias-presse.info/les-potes-du-ps-devraient-bientot-prendre-la-porte/

  • Du P.S. par Georges FELTIN-TRACOL



    Le thème principal du n° 44 (été 2013) de la revue quadrimestrielle Réfléchir et Agir porte sur le socialisme identitaire. À côté de diverses contributions, on peut lire un bref débat sur le mot même de socialisme entre l’ami Eugène Krampon et l’auteur de ces lignes. Eugène soutient la nécessité d’en conserver le terme parce qu’il demeure compréhensible, en dépit de tous les dévoiements imaginables, alors que le solidarisme et le justicialisme restent obscurs pour les populations européennes.

    La question sémantique garde toute son importance dans la guerre des idées. Si le socialisme devient identitaire ou « européen » comme l’écrivait régulièrement Jean Mabire, il importe néanmoins d’en redéfinir le concept et de lui redonner un sens révolutionnaire, novateur et rebelle, quitte éventuellement à le reformuler à l’aune de la quatrième théorie politique conceptualisée par Alexandre Douguine. Ce travail lexical exige en priorité une claire distinction du Parti socialiste (P.S.) de Flamby, de Jean-Marc (Z)Ayrault et d’Harlem Désir ainsi que de leurs pitoyables homologues sociaux-démocrates.

    La tâche semble impossible. En réalité, elle est fort simple grâce du fait des reniements successifs des dirigeants du P.S. Lui-même ancien responsable de la formation de Léon Blum, de Guy Mollet et de François Mitterrand, le co-président du Parti de Gauche, Jean-Luc Mélenchon, assène de rudes coups à ses anciens camarades. Favorable à l’« éco-socialisme » dans une perspective développementaliste et industrialiste, Mélenchon s’estime seul véritable héritier de Jean Jaurès et des ténors du socialisme institutionnalisé. Avec la virulence qu’on lui connaît, il ose dénier au P.S. – aujourd’hui au pouvoir – de se qualifier de « socialiste » et préfère le nommer avec un mépris superbe de « solférinien », de la célèbre adresse parisienne de son siège national du P.S., rue de Solférino.

    Pour une fois, le camarade Mélenchon a raison de contester à son ancien parti l’emploi du mot « socialiste ». Depuis le tournant de la rigueur en 1983, le P.S. s’est plié au Diktat des marchés mondiaux, de la finance planétaire et de l’Oligarchie transnationale. Sa soumission au mondialisme après avoir célébré pendant des décennies un internationalisme éthéré a été récompensée par la nomination à la direction générale de l’O.M.C. et du F.M.I. de Pascal Lamy et de Dominique Strauss-Kahn. Les « solfériniens » ont tué leur socialisme au nom du financiarisme le plus débridé.

    Cette trahison, en germe dès la naissance de la S.F.I.O. en 1905 avec les possibilistes et les partisans de l’action parlementaire, s’accompagne d’un changement profond de l’électorat « socialiste ». Si les ouvriers, les employés et le gros des catégories populaires et moyennes l’ont délaissé, une compensation s’effectue avec de nouveaux électeurs issus des couches intermédiaires aisées, des catégories sociales à haut revenu et des effets d’une immigration de peuplement massive. Dompté et désormais laquais du fric sans frontières (pléonasme !), le P.S. détourne son désir de révolution en s’attaquant aux normes culturelles traditionnelles européennes.

    Hantant les coulisses d’un pouvoir légal mais illégitime, les « solfériniens » propagent par différents canaux des thèmes homosexualistes (le mariage inverti), relativistes (réformes judiciaires qui livrent l’Hexagone à la délinquance), libertaires (dépénalisation du cannabis, voire de toutes les drogues) et extrême-féministes (pénalisation des clients de prostituées, interdiction de la fessée et de la gifle adressées aux enfants par leurs parents) qui ne répondent pas aux attentes de la population. Qu’il est loin le temps où les députés socialistes comptaient parmi eux Alfred Gérault-Richard (1860 – 1911) ! D’abord élu du XIIIe arrondissement de Paris entre 1895 et 1898, il sera ensuite le représentant de la Guadeloupe de 1902 jusqu’à sa mort. Cet ami de Jaurès et d’Aristide Briand conviendrait certainement à la fort prude Najat Vallaud-Belkacem, Pasionaria à la petite semaine du néo-puritanisme gauchard. Auteur d’une courte biographie, Bruno Fuligni le qualifie d’« ouvrier tapissier, maquereau, poète, spadassin, maître chanteur, industriel, séparatiste montmartrois… (1) ». Outre qu’on a l’impression qu’il décrit une formation politique particulière, Bruno Fuligni ne cache pas que Alfred Gérault-Richard vécut un temps grâce aux charmes de sa petite amie… On a enfin dénicher la figure tutélaire d’Osez le féminisme et des FemHaine ! Au moins, cet homme-là n’escroquait pas ses électeurs… La volonté effrénée des nouveaux « gardes roses » de sanctionner des comportements ataviques accompagne la mutation anthropologique hyper-individualiste à l’œuvre.

    En acceptant le « bougisme », le P.S. a récusé le socialisme pour devenir un Parti sociétaliste. Qu’est-ce que le sociétalisme ? C’est une idéologie post-moderniste qui privilégie le sociétal. Expression venue d’outre-Atlantique, « sociétal » se distingue du « social ». Son « emploi correspond à un déplacement des idées au sein de la gauche », indique Chantal Delsol (2). Selon la philosophe libérale-conservatrice, « le social relève de l’organisation et de la distribution de la production. Il est clairement lié à l’économie, aux biens quantifiables et monnayables, et à leur répartition. Tandis que le terme sociétal est employé pour désigner ce qui a trait aux comportements de l’individu et à l’évolution des mœurs – il s’agit des normes et non plus de la redistribution des biens; cela concerne la famille, le couple, la liberté individuelle, la vie privée, le sens de la vie, et non plus le niveau de vie, le confort, la sécurité (3) ». Elle ne saisit toutefois pas que la perception sociétale convient parfaitement à l’essence liquide de l’ultra-modernité libérale.

    Bénéficiaires de la mondialisation globale, les sociétalistes ont entamé la démolition des dernières résistances à l’indifférenciation mortifère de la vie et du monde. Après avoir rejeté le spirituel, occulté le politique, hypertrophié l’économique et perverti le culturel, les voilà en train de s’affranchir du social afin de privilégier un sociétal compris comme d’une morale universaliste dissolvante. La félonie est donc totale.

    Face à cette tendance inquiétante, il est temps de redécouvrir le social, cette dimension réelle, concrète, tangible du politique. Contre les métastases du sociétalisme présentes tant chez les « solfériniens » qu’au sein de la fumeuse U.M.P., la nécessité impose de relever un socialisme véritable, de relancer le solidarisme et d’encourager le justicialisme. Les peuples ne vivent pas en société, mais constituent des ensembles complexes de communautés qui perdurent malgré tout sous les gravats individualistes et médiatiques du sociétal délétère.

    Georges Feltin-Tracol http://www.europemaxima.com/?p=3421

    Notes

    1 : Bruno Fuligni, La Chambre ardente. Aventuriers, utopistes, excentriques du Palais-Bourbon, les Éditions de Paris – Max Chaleil, 2001, p. 213.

    2 : Chantal Delsol, « La gauche préfère le “ sociétal ” au “ social ” », Le Figaro, 12 août 2013.

    3 : art. cit.

  • Que font encore les Verts au gouvernement de la France ?

    Les Verts s’opposent frontalement à la politique de défense de François Hollande

    Par opposition au nucléaire et par antimilitarisme, ils votent contre le budget et la loi de programmation militaire

    (Article paru jeudi 31 octobre sur lopinion.fr pour les abonnés et le 3 novembre sur le site Secret Défense)

    Ils sont au gouvernement mais désapprouvent radicalement la politique de défense de ce même gouvernement. Pour Europe Ecologie - Les Verts (EELV), le grand écart continue. Mercredi soir, à l’Assemblée nationale, le groupe écologiste a voté contre le projet de budget de la Défense pour 2014. Leur porte-parole, le député François de Rugy (Loire-Atlantique), a justifié ce choix par l’opposition de son parti à la dissuasion nucléaire. S’adressant au ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian, il lui a reproché d’avoir « reconduit, au nom du dogme dépassé de l’assurance-vie , la posture de vos prédécesseurs en matière de dissuasion. (...) Que nos points de vue divergent est une chose. Que le débat n’ait pas lieu, sur des décisions d’une telle portée financière et stratégique, en est une autre ».

    Le 21 octobre, au Sénat, le groupe écologiste avait déjà voté contre la Loi de programmation militaire 2014-19, qui fixe les grandes orientations de la défense à la suite des conclusions du Livre blanc approuvé, au printemps, par le président François Hollande. « L’attitude des écologistes est cohérente, mais elle pose problème. Ils incarnent une tradition pacifiste et antimilitariste, mais ils sont au gouvernement... » assure un responsable socialiste. [...]

    La suite ici => http://www.lopinion.fr/blog/secret-defense/verts-s-opposent-frontalement-a-politique-defense-francois-hollande-5694

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Que-font-encore-les-Verts-au

  • Le retour de l'UDF

    Jean-Louis Borloo, patron de l'UDI, et François Bayrou, président du Modem, viennent d'annoncer (1) une conférence de presse, mardi 5 novembre à partir de 17h15. Ce rassemblement sera l'occasion d'acter l'union des deux formations et de présenter leur charte.

    Jean-Christophe Fromantin, député maire de Neuilly-sur-Seine, n'est pas favorable à cette alliance.

    "Les arrangements, les deals, les accords sont hors du temps et des préoccupations des Français. (...) un quiproquo, une confusion entre une vision géographique du centre et une vision politique du centre.

    Concernant la charte d'union, le député Fromantin est sévère :

    "Elles ne sont qu'un cache-misère qui trahit une manoeuvre politicienne plutôt qu'un véritable projet d'alternance."

    Sur son blog (2), il ajoute :

    "Le sujet des valeurs amène à s’interroger sur ce qui fonde le « centre » dans le champ politique. Force est de constater qu’il y a deux manières de le considérer : soit on parle d’un « centre géographique » à mi-chemin entre la droite et la gauche dans l’utopie d’une union nationale ou d’un opportunisme politique digne de la IVème République ; soit on évoque le « centre-droit » comme une force politique singulière, attachée à la liberté d’entreprendre, à la subsidiarité et à une action de l’Etat concentrée sur ses missions régaliennes. Le « centre » vu par le MODEM n’est pas le « centre » qui a rassemblé les fondateurs de l’UDI ; les hésitations et les positions prises par le Président du MODEM en 2007 et 2012 en sont la preuve très concrète. Bâtir cette alliance sur un quiproquo aura des conséquences qui risquent fort d’affaiblir nos idées et notre projet et, par voie de conséquence, de nous éloigner des partenaires naturels avec lesquels nous sommes amenés à préparer l’avenir. Cette alliance UDI-MODEM me paraît ainsi totalement inopportune. Contrairement à ce qu’indique le projet de charte, ce n’est pas un tel attelage qui aura la capacité de régénérer notre pays autour d’une vision et d’un projet d’avenir. Or je continue à croire que l’UDI doit refuser les tactiques d’appareil et qu’elle pourrait, si elle prenait le soin de clarifier ses valeurs et de mobiliser de nouvelles compétences, proposer un vrai projet à la France et aux Français. C’est le sens de ma participation à l’UDI."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/le-retour-de-ludf.html

    1) http://lelab.europe1.fr/t/borloo-et-bayrou-annonce-leur-mariage-par-un-double-tweet-11698
    2) http://www.fromantin.com/2013/11/udi-modem-lalliance-improbable/

  • Entretien avec Romain Lechant, conseiller fédéral de Génération identitaire

    Entretien avec Romain Lechant, conseiller fédéral de Génération identitaire


    PARIS (NOVOpress) – Un an après leur coup d’éclat sur le toit d’un chantier de mosquée à Poitiers qui leur a valu une couverture médiatique sans précédent pour un mouvement de jeunesse “dissident”, Novopress a souhaité faire le point avec Génération identitaire à l’occasion de la conférence de presse qu’ils ont tenue samedi 2 novembre à Paris.

    Un an après l’opération à la mosquée de Poitiers, où en êtes-vous ?

    Comme à notre habitude, nous avons consacré beaucoup de temps à la formation, notamment à travers l’Université d’été identitaire, qui s’est tenue cette année dans le Dauphiné et à la structuration du mouvement. Autant le secrétariat, la logistique de notre boutique que la trésorerie ont du être développés pour suivre une croissance continue. Il y avait des moments où nous avions vraiment de la peine à suivre la demande. Après quelques travaux et séances de travail, nous disposons maintenant des outils nécessaires et nous sommes prêts à relever tous les défis !

    D’un point de vue militant, nous avons mené la campagne Génération Solidaire pour venir en aide à nos sdf de souche lors de l’hiver passé. Campagne qui va être reconduite cet hiver. Nous avons bien sûr occupé le siège du Parti socialiste le 26 mai à l’occasion de la grande manifestation contre le mariage homosexuel. Depuis la rentrée, nos militants ont été tracter devant des dizaines de lycées et de facultés en attendant le démarrage de notre nouvelle campagne “Génération anti-racailles” que nous avons lancée le 2 novembre, axée sur la prévention et l’autodéfense.

    Quels sont les objectifs à moyen et long terme ?

    Nous voulons développer des groupes militants dans toutes les régions de France et cet objectif est prêt d’être rempli puisque nous recevons de nombreuses demandes et comptons des adhérents dans tous les départements. A plus long terme, nous voulons former des militants qui seront capables de prendre des responsabilités dans le mouvement identitaire, mais aussi en dehors afin d’étendre notre influence, d’agrandir notre réseau et d’être le point de ralliement et le bastion de ceux qui refusent le Grand Remplacement et qui sont prêts à engager la reconquête.

    Des membres de Génération identitaire participent-ils aux futures élections municipales ?

    Bien entendu, nous voulons être présents partout y compris sur le terrain électoral. Les compétences et l’activité débordante dont font preuve les militants identitaires sont convoitées par de nombreuses listes à travers la France. Ceux d’entre eux qui disposent du temps nécessaire à une campagne électorale municipale sont encouragés à y participer que ce soit au RBM ou ailleurs.

    Avez-vous noué depuis l’opération de Poitiers, il y a un an, des partenariats avec d’autres structures à l’échelon national ou européen ?

    Des groupes ont vu le jour dans toute l’Europe et particulièrement en Autriche et en Allemagne, inspirés par Génération Identitaire grâce notamment à la vidéo de la déclaration de guerre, qui a été traduite dans près d’un vingtaine de langues européennes. Nous sommes également en contact avec des militants de Flandre, des Pays-Bas, de Scandinavie, d’Angleterre, d’Italie, de Tchéquie, de Slovaquie, d’Espagne et du Portugal. Tous ensembles, nous démontrerons qu’une autre Europe que celle des technocrates de Bruxelles existe et combat.

    Entretien réalisé le 2 novembre 2013 à Paris – Novopress

    http://fr.novopress.info/143660/entretien-avec-romain-lechant-conseiller-federal-de-generation-identitaire/#more-143660

  • La liste des 50 villes - chiffre minimal - où le FN vise la tête selon l'Ifop.

    La liste des 50 villes - chiffre minimal - où le FN vise la tête selon l'Ifop.

    Amnéville Moselle 57

    Anzin Nord 59

    Auchel Pas-de-Calais 62

    Baucaire Gard 30

    Berre-l’Etang Bouches-du-Rhône 13

    Bollène Vaucluse 84

    Brignoles Var 83

    Bruay-sur-l’Escaut Nord 59

    Buchy-les-Mines Pas-de-Calais 62

    Carpentras Vaucluse 84

    Cavaillon Vaucluse 84

    Chateauneuf-les-Martigues Bouches-du-Rhône 13

    Châteaurenard Bouches-du-Rhône 13

    Courrières Pas-de-Calais 62

    Dombasle-sur-Meurthe Meurthe et Moselle 54

    Douchy-les-Mines Nord 59

    Fos-sur-Mer Bouches-du-Rhône 13

    Freyming-Merlebach Moselle 57

    Frontignan Hérault 34

    Gignac-la-Nerthe Bouches-du-Rhône 13

    Hames Pas-de-Calais 62

    Hénin-Baumont Pas-de-Calais 62

    La Trinité Alpes Maritimes 06

    Le Pontet Vaucluse 84

    Les Pennes-Mirabeau Bouches-du-Rhône 13

    Liévin Pas-de-Calais 62

    Marignane Bouches-du-Rhône 13

    Méricourt Pas-de-Calais 62

    Mèze Hérault 34

    Miramas Bouches-du-Rhône 13

    Monteux Vaucluse 84

    Orange Vaucluse 84

    Pemmes-les-Fontaines Vaucluse 84

    Pierrelatte Drome 26

    Plan-de-Cuques Bouches-du-Rhône 13

    Pont-Saint-Esprit Gard 30

    Rognac Bouches-du-Rhône 13

    Saint Gilles Gard 30

    Saint-Laurent-de-la-Salanque Pyrénées-Orientales 66

    Sallaumines Pas-de-Calais 62

    Septèmes-les-Vallons Bouches-du-Rhône 13

    Sorgues Vaucluse 84

    Stiring-Wendel Moselle 57

    Tarascon Bouches-du-Rhône 13

    Vauvert Gard 30

    Vedène Vaucluse 84

    Vidauban Var 83

    Vieux-Condé Nord 59

    Wittelsheim Haut-Rhin 68

  • Nicolas Sarkozy préfère la gauche à la droite

    En vacances au Maroc, Nicolas Sarkozy a évoqué le tiercé de de ses responsables politiques de droite préférés : Nathalie Kosciusko-Morizet, François Baroin et Alain Juppé. "Son "tiercé gagnant"? François Baroin (son futur Premier ministre) ; Alain Juppé (celui qu'il soutiendra si lui-même ne se représente pas) et sa protégée, Nathalie Kosciusko-Morizet, qu'il ira aider à Paris." Le tiercé perdant de la droite la plus bête du monde. Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/nicolas-sarkozy-pr%C3%A9f%C3%A8re-la-gauche-%C3%A0-la-droite.html

  • Génération Identitaire présente sa nouvelle campagne « Génération anti-racailles »

    https://twitter.com/novopress/status/396586013528965120/photo/1

  • Les droits de l'homme, alpha et oméga du front républicain

    Le front républicain prétend s'enraciner dans les droits de l'homme. Mais lesquels ? Ceux de 1789, ceux de 1948 ou les « nouveaux droits de l'homme » ?
    La différence entre le Front national de Jean-Marie Le Pen et le Rassemblement Bleu Marine de sa fille pourrait être illustrée par l'opposition de deux formules. Lors du bicentenaire de la Révolution française, en 1989, le premier avait déclaré que la « Déclaration des droits de l'Homme marque le début de la décadence de la France » ; tandis qu'à l'occasion du Congrès du parti lepéniste à Tours, en janvier 2011, la seconde, citant l'article 2 de la Déclaration de 1789(1), demandait : « Qui, mieux que nous, a défendu ces principes ? »
    De quoi faire trembler sur ses bases le mur du « front républicain », qui a ses fondations dans le terreau des droits de l'homme. Les francs-maçons, qui se présentent en quelque sorte comme les gardiens du Temple, l'ont compris et contre-attaquent : en juillet dernier, la Ligue des droits de l'homme, courroie de transmission du Grand-Orient de France, rappelait les bons principes en fustigeant des propos tenus par Jean-Marie Le Pen à rencontre des Roms : « Cette déclaration indigne confirme la réalité de la pensée de ce parti d'extrême droite, qui demeure fondée sur le racisme, la xénophobie et la haine des étrangers. Un parti qui porte de tels discours doit être combattu avec la plus grande fermeté, sans être dupe des opérations de séduction fallacieuses engagées par ses autres dirigeants. La Ligue des droits de l'Homme appelle à la plus grande vigilance et à dénoncer les alliances ou convergences envisagées avec ce mouvement anti-républicain, notamment en vue des prochaines élections municipales. »
    Ennemi des droits de l'homme, le Front national ? À supposer que la Ligue en soit la gardienne, ce qui est grandement contestable, encore faut-il savoir de quelle déclaration l'on parle. On aurait, à vrai dire, quelque mal à opposer aux propositions du Front national des articles tirés de celle des droits de l'homme et du citoyen de 1789. Pour l'attaquer, les adversaires du parti lepéniste préfèrent donc se référer à la déclaration universelle des droits de l'homme de 1948, qui prévoit dans son article 2 qu'« il ne sera fait aucune distinction fondée sur le statut politique, juridique ou international du pays ou du territoire dont une personne est ressortissante, que ce pays ou territoire soit indépendant, sous tutelle, non autonome ou soumis à une limitation quelconque de souveraineté ».
    La conception de la préférence (ou priorité) nationale, que défend le Front national, contredirait cet article, ainsi d'ailleurs que l'article 1er de la Constitution française, selon lequel la République « assure l'égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d'origine, de race ou de religion ».
    De même, la volonté, inscrite dans le programme mariniste, de prendre des mesures « d'ordre constitutionnel, législatif et réglementaire » pour « stopper aussi bien l'immigration légale que clandestine », ou encore de remettre en cause les accords de Schengen sur la libre circulation des personnes, n'entre-t-elle pas en conflit avec l'article 13 de la déclaration de 1948, qui stipule que « Toute personne a le droit de,quitter tout pays, y compris le sien, et de revenir dans son pays » ?
    René Cassin favorable à la préférence nationale
    À ces objections, Marine Le Pen elle-même avait répondu, au cours d'un débat qui l'opposait à Manuel Valls, le 6 décembre 2012, sur France 2 : « Monsieur Valls, disait-elle au ministre de l'Intérieur, je vais vous demander ce que vous pensez d'une déclaration qui à mon avis est extrêmement intéressante. Elle porte sur la préférence nationale et elle est de René Cassin. René Cassin, c'est le père des droits de l'homme. C'est le rédacteur, en 1948, de la Déclaration universelle des droits de l'homme. C'était le président de la Cour européenne des droits de l'homme. Et il disait, en parlant de la préférence nationale : "une société démocratique peut instaurer des limitations des droits fondamentaux dictées par de justes exigences de l'ordre public et du bien-être, plus rigoureuses pour les étrangers que pour les nationaux. On ne saurait donc considérer que le progrès vers l'universalité dont témoigne la déclaration conduise à l'uniformité du régime de l'étranger et du national." Voilà ce que pensait le père des droits de l'homme de la possibilité de mettre en œuvre la préférence nationale. » Manuel Valls s'était réfugié dans le déni, en accusant contre l'évidence son interlocutrice de déformer les propos et la pensée de Cassai (dont il prenait au passage les mânes à témoin, ce qui tendrait à prouver que le ministre socialiste de l'Intérieur croit au moins à la survivance de l'âme après la mort).
    Reste à savoir, au-delà de la stratégie de « dédiabolisation » de son parti que Marine Le Pen a choisie et qui fonctionne en partie au moins, s'il ne faut pas inverser la question, en se demandant, non pas si le Front national est compatible avec les droits de l'homme, mais si les droits de l'homme sont eux-mêmes compatibles, à terme, avec une conception nationale de la politique. Car leur conception est évolutive, comme on le constate non seulement en comparant la déclaration de 1789, inspirée par les Lumières mais encore très axée sur la notion de citoyenneté, à celle de 1948, beaucoup plus universaliste comme son nom l'indique ; mais aussi en observant son extension, depuis 1948, à de « nouveaux droits de l'homme », comme l'a montré Mgr Michel Schooyans dans son livre La face cachée de l'ONU. Ce professeur émérite à l'Université de Louvain y décrivait de manière très convaincante une « réinterprétation perverse des droits de l'homme » de 1948, aboutissant à contester la souveraineté des États et visant à instaurer un État mondial, appuyé sur un ordre juridique approprié.
    Dans quelle mesure ce projet et cette conception mondialiste et progressiste des droits de l'homme (qui s'expriment aussi à travers l'idéologie du genre et le pseudo « mariage » homosexuel), ne constituent-ils pas, aujourd'hui, les vraies fondations du front républicain ?
    Hervé Bizien monde & vie 22 octobre 2013
    1. « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté et la résistance à l'oppression. » art. 2 de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen.