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élections - Page 721

  • Qui n'est pas franc-maçon à Narbonne ?

    Si l'auteur de cet article semble bien naïf - il présente notamment une loge comme "catholique" - il a pu interroger un certain nombre de "frères" et cela donne ceci :

     

    "On prête à l'ancien sous-préfet de Narbonne, Gérard Dubois cette petite phrase en forme interrogative, lors de son arrivée dans notre ville, "mais qui n'est pas Franc-maçon à Narbonne ?" Il faut dire qu'historiquement la Franc-maçonnerie est "surreprésentée à Narbonne qui reste une ville de 50 000 habitants", dixit un ancien Vénérable de l'une des principales loges présentes sur les bords de la Robine. (...)

    Faut-il seulement rappeler que Narbonne n'est pas dans notre Midi une exception : à Béziers comme à Montpellier, les Frères sont bien présents dans tous les secteurs d'activité. "Il est donc normal, dans ces villes, et par conséquent à Narbonne, que l'on trouve les mêmes proportions dans les listes qui se présentent aux municipales", souligne un 'frangin' prêt à entrer dans la campagne. (...)

    La présence d'un Frère sur une liste du Front de Gauche (la tête de liste n'est pas désignée) comme sur une liste du Front National (elle sera conduite par Jean-Marc Péréa), fera toujours figure d'exception... Les Loges et les extrêmes, qu'elles soient de droite comme de gauche, n'ont jamais fait bon ménage. En revanche, les Francs-maçons seront bien présents sur les listes conduites par Jacques Bascou, Frédéric Pinet et Didier Mouly. Au sein du conseil municipal sortant, ils sont une bonne douzaine, et la même proportion se retrouvera sur la prochaine liste de Bascou. L'opposition municipale actuelle n'est pas en reste, avec parfois des situations cocasses puisque certains peuvent être à la fois opposants politiques et frères de la même loge. La liste de Didier Mouly comptera évidemment des Francs-maçons, ce qui était déjà le cas dans toutes les précédentes listes NN. De même que celle qui sera conduite par Frédéric Pinet."

    Louise Tudy   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Manif pour tous : « C’est le moment de se faire entendre des politiques »

    Manif pour tous : « C’est le moment de se faire entendre des politiques »

    Devant près de 600 personnes réunies ce soir à l’Athénée municipale à Bordeaux, Le collectif « La manif pour tous » a lancé, ce mercredi à Bordeaux son « Grenelle de la famille ».

    Celui-ci s’organise autour de six grands thèmes qui seront développés dans six grandes villes : le couple à Lyon, la filiation à Nantes, l’éducation à Lille, la lutte contre la paupérisation des familles à Paris, la solidarité intergénérationnelle à Marseille et la qualité de vie à Bordeaux.

    Ces séances de débat se dérouleront à partir de novembre et décembre. Une synthèse des six thématiques sera effectuée, et la rédaction du projet de loi se fera en eux temps : « les principes fondateurs » prévus pour la mi-janvier et « les mesures proposées » pour la fin-février début mars.

    Pour sa présidente, Ludovine de la Rochère, il est temps « de se faire entendre des politiques ». Après avoir expliqué le but de ce « Grenelle », cette dernière ne souhaite pas relâcher la pression sur les partis politiques « Nous irons voir les candidats aux municipales et leur demanderons quels seront leurs projets, comment ils perçoivent la loi Taubira sur le mariage homosexuel et quelles sont leurs convictions sur la libéralisation de la PMA et de la GPA ».

    Plusieurs intervenants se sont ensuite succédés à la tribune, notamment Véronique Signorini pour les AFC (Associations Familiales Catholiques), Jérôme Brunet (président de l’appel des professionnels de l’enfance), ou encore Albéric Dumont, coordinateur de la Manif pour tous.

    Du côté de la mairie de Bordeaux, s’il y a peu de chances qu’Alain Juppé reçoive les faveurs électorales des défenseurs de la famille (ce dernier ayant « déconseiller de manifester »), on pouvait noter la présence d’Hugues Martin et d’Anne Brézillon. Le candidat du Front national, Jacques Colombier, était également présent, ce dernier ayant participé à toutes les manifestations organisées par le collectif.

    grenelle-de-la-famille

    manif-pour-tous

    http://www.infos-bordeaux.fr/2013/actualites/manif-pour-tous-cest-le-moment-de-se-faire-entendre-des-politiques-5091
  • Fabrice Robert : “Novopress média incontournable de la réinformation”

    PARIS (NOVOpress) - Entretien avec Fabrice Robert, fondateur et directeur stratégique de Novopress

    Novopress vient de faire peau neuve. Pouvez-vous revenir rapidement sur la genèse de ce média ?

    Novopress.info a été créé en 2005. 8 ans déjà !

    Les médias « classiques » ont longtemps détenu le monopole de l’information. Grâce au réseau des réseaux, il me paraissait important – à l’époque – de tenter l’expérience d’un nouveau média susceptible de proposer une information alternative en ligne. Et le constat est désormais sans appel. Internet a permis de révolutionner l’accès à l’information tout en permettant une diversification de ses acteurs.

    Pourquoi avoir choisi un tel nom ? « Novo » signifie, en latin, « renouveler » ou encore « refaire ». Novopress se donnait alors comme objectif de refaire l’information face à la propagande du système et face à l’« idéologie unique ». On ne parlait pas encore, à l’époque, de réinformation mais l’approche était – avec du recul – assez similaire. Dans un certain sens, on peut dire que Novopress a joué un rôle de précurseur par rapport à qu’il est convenu d’appeler aujourd’hui, la réinfosphère.

    Novopress apparaît donc comme un média incontournable au sein de la galaxie des sites de réinformation. Pour les médias du système, qui aiment bien caricaturer ceux qu’ils ne contrôlent pas, Novopress est présenté comme l’un « des organes de presse les plus influents de l’extrême droite française ». D’autres nous perçoivent plutôt comme « un rouleau compresseur de “réinformation” »…

    Mais le moment nous semblait venu de passer à autre chose. Car il faut sans cesse réinventer, innover, évoluer pour conserver une longueur d’avance. D’où cette refonte qui ressemble, en réalité, à une véritable mutation de forme et de fond et qui permet de faire de ce média, une première en France.

    Quel est le fil directeur de cette refonte de Novopress ?

    Nous sommes partis du principe que l’actualité se fait désormais aussi à travers les réseaux sociaux. L’exemple emblématique reste, sans aucun doute, Twitter. Cette plateforme de microblogging, qui permet d’exposer ses points de vue en 140 caractères, a envahi notre quotidien. Le fameux hashtag (ou mot-dièse) associé au symbole #, se retrouve partout : le web, la presse papier, la radio et la télévision. De plus en plus de personnalités politiques et médiatiques préfèrent s’exprimer, avant tout, sur leur compte Twitter officiel pour contourner le filtre déformant des médias traditionnels. Dans le même temps, on incite de plus en plus le grand public à réagir – via Twitter – au cours d’une soirée politique, un journal télévisé ou une simple émission de divertissement. La télévision amplifie l’audience des réseaux sociaux mais l’inverse est également vrai. Il y a donc aujourd’hui une véritable interconnexion entre les deux types de plateformes. Le concept de télévision « sociale » (ou « Social TV » ) est en plein essor. Nous devons exploiter ce phénomène pour faire passer nos messages dans une optique de guerre culturelle. La piraterie politique à l’abordage de la télévision « sociale » !

    Vous l’avez compris. Le réseau Twitter va donc logiquement occuper une place centrale sur Novopress. Nous allons mettre en avant les tweets importants, proposer un fil d’information dédié aux hashtags du moment et aux comptes de personnalités qui résistent face à la mondialisation. Mais, de manière plus large, Novopress va désormais mettre l’accent – à travers son contenu – sur les réseaux sociaux (Twitter mais aussi Facebook) et certaines plateformes emblématiques du web 2.0 (comme YouTube, Flickr, etc). Certains développements très spécifiques effectués sur Novopress ne se retrouvent pour le moment – à mon sens – sur aucun site.

    Novopress évolue donc vers une plateforme mixte qui va agréger entretiens, contenus rédactionnels et informations issus des réseaux. Novopress devient un « médiagrégateur social », une sorte d’entonnoir informationnel capable de filtrer l’actualité qui compte.

    Novopress devient un « médiagrégateur social », une sorte d’entonnoir informationnel capable de filtrer l’actualité qui compte.

    Nous allons donc nous appuyer sur des collaborateurs capables de fouiller le web à la recherche du contenu le plus intéressant. Chaque jour, des milliers de contenus pertinents sont noyés dans un océan d’information numérique. Des documents plus anciens peuvent aussi être exhumés et constituer des pépites pour nos lecteurs.

    Notre stratégie suit une double logique : Nous souhaitons informer mais aussi enrichir l’internaute. Par ailleurs, nous savons que le flux d’information en continu crée de l’infobésité. En sélectionnant les contenus intéressants et qualifiés – dont certains n’ont jamais été traités par d’autres – nous voulons recréer de la rareté au sein de l’abondance.

    Peut-on parler de combat culturel ?

    Bien évidemment. Novopress a, d’ailleurs, toujours voulu inscrire son travail dans une logique de combat culturel et technologique. La prise DES pouvoirs – plutôt que DU pouvoir – passe logiquement par la conquête préalable des esprits. Le réseau des réseaux nous permet de mener à bien cette offensive culturelle destinée à réveiller les consciences.

    Aujourd’hui, de plus en plus de Français s’informent avant tout sur Internet et boudent les médias classiques. Et cela concerne toutes les générations. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les jeunes ne sont pas les seuls à être très présents sur le Net. Des études révèlent, par exemple, que les seniors ont aussi largement investis les réseaux.

    La guerre culturelle passe donc inévitablement par une bonne maîtrise des nouvelles technologies. Un outil de communication comme Novopress doit permettre de contourner le silence médiatique et la diabolisation tout en offrant une plateforme pour susciter des mobilisations militantes. Inutile de se mentir sur la soi-disant « neutralité » des journalistes. Tout média a – un moment ou un autre – une vocation militante. Pour s’en convaincre, il suffit de voir les prises de position des journalistes du système majoritairement en faveur du « mariage pour tous ». Contrairement à ces militants déguisés en journalistes, nous assumons clairement notre rôle de média-militant.

    Ces journalistes qui se proclament « républicains » symbolisent, en fait, cette nouvelle féodalité qui refuse l’abolition de ses privilèges et craint plus que tout de subir un 4 août de la liberté de l’information.

    C’est d’ailleurs à se demander si nous ne sommes pas passés du concept de la lutte des classes à celui de la lutte des médias. Une lutte opposant une caste médiatique jalouse de ses privilèges à des initiatives qui se constituent pour offrir une autre information et démasquer les tenants de l’idéologie unique. Si je voulais être un tant soi peu provocateur, je serais tenté de faire un parallèle historique avec la Révolution française. Ces journalistes qui se proclament « républicains » symbolisent, en fait, cette nouvelle féodalité qui refuse l’abolition de ses privilèges et craint plus que tout de subir un 4 août de la liberté de l’information.

    Comment est-il possible d’aider Novopress ?

    Nous travaillons dans une logique de réseau avec une approche participative. Chacun peut donc participer au projet en nous transmettant des informations (un tweet, un statut Facebook, une vidéo, une photo, un article de presse, un document d’analyse ou de réflexion, etc.).

    Mais il est également possible de participer plus activement en rejoignant l’équipe opérationnelle de Novopress. Pour cela, il suffit de faire acte de candidature en spécifiant ses motivations ainsi que les domaines et sujets que l’on maîtrise (veille, recherche d’information, rédactionnel, traduction, etc.).

    Rien ne se fera sans un réseau puissant de collaborateurs armés – numériquement parlant – et compétents

    Nous avons, avant tout, besoin de têtes chercheuses, de veilleurs et de personnes qui maîtrisent bien les réseaux. Novopress rentre dans une autre dimension, avec une plateforme technique et une approche éditoriale novatrices. Mais rien ne se fera sans un réseau puissant de collaborateurs armés – numériquement parlant – et compétents.

    http://fr.novopress.info/142399/fabrice-robert-novopress-media-incontournable-reinformation/

  • La colère n’est pas télégénique

    En réaction à l’émission Envoyé Spécial du 17 octobre.
    Exposée à la violence physique, l’anarchie migratoire, la précarité sociale, l’effondrement des murs porteurs de la culture populaire, la population française a le droit de se suicider – comme la semaine dernière Alain Vigneron, ce sidérurgiste qui n’intéressera jamais les lycéens bourgeois de l’UDIL – mais surtout, elle a l’obligation de se taire.
    Le reportage d’Envoyé Spécial sur le FN hier et les déclarations de Mme Leclère, l’ex-candidate du FN à Rethel (suspendue ce matin par la direction du FN) sonnent comme un avertissement. La colère monte face à ces souffrances répétés set à l’autisme de l’oligarchie.
    Cette colère monte et fabrique de la haine et du ressentiment. Le ressentiment et la haine sont moches mais la colère affole, fait dérailler, haïr.
    Alors Mme Leclère est ce matin la risée des bonnes âmes. Alors la moulinette à humiliation va continuer pour elle et tous les autres. Elle sera dénoncée, ostracisée, moquée pour ces mots stupides. Mais qui donc s’intéressera à ce qui produit cette violence ?
    Où sont les sociologues médiatiques, toujours prêts à «expliquer» les «incivilités» des casseurs, violeurs, incendiaires pour peu qu’ils soient immigrés ? Où seront-ils lorsqu’il faudra essayer de comprendre Mme Rethel et les centaines de milliers de Fançais en colère ? Nulle part je le crains. Qui s’intéressera au pourquoi de cette colère, de ce ressentiment ? Personne.
    La France gronde. Elle veut être protégée. La contrepartie du pouvoir c’est la protection. Toutes les élites qui l’oublièrent dans l’histoire furent balayées. Il n’y avait pas de caméras pour filmer les visages et les mots de ceux qui firent la révolution de 1789 et les autres dans la rue, mais nous le savons bien, la colère incandescente n’est pas télégénique.
    Les malins et les bonnes âmes pourront continuer à dénoncer, ostraciser, humilier. Pourtant, pour sortir de la spirale du ressentiment et de la violence, il faudra plus de courage, de réalisme politique, de doigté que de condamnations et de mépris.
    Laurent Ozon, 18/10/2013
    http://www.polemia.com/la-colere-nest-pas-telegenique/

  • Dans Paris, les Roms bénéficieront de logements vacants et d’un village d’insertion

    Communiqué de Wallerand de Saint-Just, Candidat du Front National à la mairie de Paris

    Sur proposition de Bertrand Delanoë, le conseil municipal de Paris vient d’adopter à main levée deux mesures que les parisiens apprécieront :

    - Des Roms vont, cet hiver, bénéficier, dans des immeubles parisiens, de « logements vacants » réquisitionnés par l’Etat.

    - Une étude va être menée sur « l’opportunité de créer un village d’insertion dans Paris », probablement au Bois de Boulogne.

    En outre, la ville de Paris souhaite que « la scolarisation des enfants vivants dans les campements parisiens soit une priorité dans tous les arrondissements de la ville. »

    Les parisiens qui attendent depuis des mois ou des années un logement dans notre capitale, comprennent désormais que les Roms et leurs familles sont prioritaires et ce aux frais du contribuable.

    Wallerand de Saint Just candidat du Front National-RBM à la mairie de Paris s’oppose totalement à ces décisions. Il proposera aux électeurs un tract d’information sur cette insupportable discrimination positive et sur cette politique irresponsable.

    http://www.frontnational.com/2013/10/dans-paris-les-roms-beneficieront-de-logements-vacants-et-dun-village-dinsertion/

  • Le PS en coma dépassé : la preuve par Léonarda

    PARIS (NOVOpress avec le Kiosque courtois) - C’est Stéphane Hessel qui, du haut du ciel — peut‑être — doit être aux anges ! L’indignation a atteint de nouveaux sommets dans notre pays à l’occasion de l’affaire Léonarda (qui peut in fine revenir – seule – en France à l’invitation de François Hollande comme il l’a indiqué dans son allocution de ce samedi…). L’ultragauche des « assoces » immigrationnistes, dont le redoutable Réseau éducation sans frontières, puissamment aidée par les relais médiatiques habituels, s’en est donné à cœur joie. « L’inhumanité absolue », « l’immonde », « les valeurs de la gauche bafouées », « la République en danger », « la rafle du Vel’ d’Hiv’ », « la Shoah », et j’en passe. Mais rappelons les faits :

    Rentrés irrégulièrement en France, le 26 janvier 2009, les Dibrani, des Roms soi‑disant kosovars, s’étaient vu refuser leur demande d’asile par l’Office français pour les réfugiés et les apatrides (Ofpra), puis par la Cour nationale du droit d’asile (CNDA) en 2011. Depuis cette date, ils étaient sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français, confirmée par le tribunal administratif fin janvier 2012 puis par la Cour administrative d’appel fin février 2013. La famille demande alors une régularisation au titre de la circulaire Valls de novembre 2012. Mais comme elle ne répond pas à tous les critères, notamment celui des cinq ans de présence, sa demande est rejetée.

    A trois mois près, les Dibrani devenaient régularisables : passées cinq années de présence sur le territoire national, un clandestin n’est en effet plus expulsable, cela en application de ladite circulaire Valls. Le père, arrêté lors d’un contrôle d’identité à Colmar, est expulsé vers le Kosovo le 8 octobre. La procédure d’expulsion pour le reste de la famille est fixée au 9 octobre. Ce jour‑là, la police se présente au centre d’hébergement de Levier, dans le Doubs, où elle trouve la mère et cinq des six enfants. Détail horrible : c’est dans un car scolaire, lors d’une sortie avec son collège, que Léonarda est appréhendée. La jeune fille est ensuite conduite à l’aéroport de Lyon pour un départ vers le Kosovo.

    Resat Dibrani, le père de Léonarda est passé par deux fois devant le juge des enfants pour « mauvais traitements » contre ses deux filles. A chaque fois, l’affaire a été classée sans suite, les deux mineures ayant opportunément retiré leur plainte. Il a d’autre part menti sur les origines kosovares de sa famille, dans l’espoir d’augmenter ses chances d’obtenir l’asile en France. Rom né au Kosovo, Dibrani, a fini par avouer qu’il était le seul membre de sa famille à être originaire de l’ancienne province serbe. Hormis la scolarisation des enfants, Dibrani était, selon RTL, « très loin d’avoir fait les efforts nécessaires pour espérer obtenir une régularisation ». Dibrani n’a jamais travaillé depuis son arrivée sur le sol français, il y a près de cinq ans. « En partie faute de papiers, mais surtout faute de volonté », confie un proche de la famille.

    Officiellement, l’homme se contentait de l’allocation du Conseil général du Doubs, de l’ordre de 300 € par mois, et devait sans doute compléter ce maigre pécule par quelques expédients d’usage… Léonarda se montre quant à elle très romanesque dans sa manière de relater les événements. « A Mitrovica (…) on est dehors, on dort sur des bancs », a ainsi assuré la jeune fille. Pourtant, un reportage de BFMTV la montre avec ses parents dans un appartement — deux chambres et une cuisine précise la journaliste. Léonarda évoque également une tentative de suicide, mais, précise‑t‑elle, soignée avec… des cachets ! Mais foin du romanesque. Léonarda, qui devrait bientôt revenir en France où elle sera accueillie en vedette par la grosse presse, n’est qu’une petite victime collatérale de l’affaire.

    Dans le collimateur de la gauche immigrationniste et sans‑papiériste : Manuel Valls, qui malgré une politique hyperlaxiste en matière d’immigration, a le tort, auprès de ses petits camarades, d’être populaire en singeant le Front national, naturellement sans aller comme le parti de Marine Le Pen à la racine du mal : l’ultralibéralisme de l’Europe de Bruxelles, tabou intouchable à droite comme à gauche. Le retour prochain de Léonarda et de sa famille, déjà programmé, fera perdre la face au ministre de l’Intérieur aux yeux de l’opinion publique, révélant que le dur de dur n’est finalement qu’un obéissant petit soldat du Nouvel Ordre mondial. Peut‑on attendre de Valls‑le‑cosmopolite qu’il franchisse le Rubicon en dénonçant un système mortifère ? C’est évidemment trop lui demander… Avec la mobilisation rien moins que spontanée des lycéens par la FIDL (un pseudopode du Parti socialiste), le crime est signé : le coup vient bien de l’intérieur du Parti. Un parti qui, avec un Harlem Désir aux commandes, est aux mains des assoces sans‑frontiéristes, à des milliards d’années‑lumière des préoccupations des Français. La deuxième victime de l’affaire est donc le Parti socialiste lui‑même, qui n’a pas réalisé que les Français ne s’intéressent plus aux immigrés, mais à leur emploi, à leur sécurité, et à celle de leurs enfants. Alors, finalement, merci Léonarda !

    http://fr.novopress.info/142294/le-ps-en-coma-depasse-la-preuve-par-leonarda/

  • Pourquoi les Français sont « en colère » : le rapport secret des préfets

    « Il n’y a guère de raison de penser qu’à la colère qui gronde, ne succédera pas, demain, une de ces sanctions dont on ne pourra pas dire qu’elle est venue par surprise. »
    Un rapport confidentiel des préfets montre les racines d’une exaspération qui peine à s’exprimer sur le terrain social, mais qui menace de tout emporter dans les urnes.
    C’est une note de quatre pages, classée « confidentiel » et rédigée par le ministère de l’Intérieur. Chaque mois, les services de Manuel Valls, sur la foi des rapports que leur adressent les préfets, rédigent une « synthèse », qui est une manière de plonger dans les méandres de l’opinion publique. Elle dit l’esprit du temps, le moral des élus et l’humeur des Français, ceux que l’on entend peu dans les grands médias et qui représentent ce que certains appellent « le pays profond ».
    La dernière en date de ces synthèses a été publiée le 27 septembre dernier. Elle est remontée illico jusqu’au sommet de l’Etat et a été jugée suffisamment inquiétante à l’Elysée et à Matignon, pour que, cette fois-ci, elle soit communiquée aux principaux dirigeants de la majorité.
    La France gronde, les Français sont en « colère ». Ce mot-là, François Hollande, en déplacement la semaine dernière en Haute-Loire, l’a d’ailleurs prononcé publiquement. Dans la synthèse des préfets, il ne figure pas de façon explicite. Mais c’est tout comme ! Les casquettes de la République n’ont pas l’habitude d’employer les formules chocs et les phrases qui claquent. C’est ce qui fait tout l’intérêt de la note du 27 septembre.
    Il faut savoir la décoder pour mesurer son caractère alarmiste. Tout est écrit par petites touches qui signalent, une à une, les sources d’un mécontentement qui monte, qui tourne, qui s’alimente parfois à de petits riens dont on mesure toutefois combien ils pourraient devenir explosifs si demain ils devaient se cristalliser dans un même mouvement. On n’en est pas encore là. C’est ce qui explique, au bout du compte, un climat insaisissable fait d’aigreurs accumulées, sur fond de ressentiment à l’égard de ce qui vient d’en haut, du pouvoir parisien, de ceux qui gouvernent l’Etat.
    « Un sentiment d’abandon »
    Le premier point mis en exergue par les préfets porte sur le monde rural. Celui-ci « s’organise pour revendiquer une spécificité de traitement dans les réformes en cours ». A quelques mois des municipales, il n’y a rien là de secondaire.
    Si le redécoupage cantonal « ne suscite guère de réactions dans l’opinion, il fait parfois l’objet de débats enflammés dans les exécutifs locaux ». Plus que « des accusations partisanes », les préfets notent ainsi « les inquiétudes sur les conséquences d’un tel redécoupage sur le maillage territorial des services publics et l’éligibilité à certaines subventions ou projets d’équipements ».
    Le discours qui monte est tout entier dirigé « contre l’hégémonie des métropoles » que le gouvernement serait en train d’organiser à travers la loi Lebranchu. Chez les petits élus, tout fait désormais sens : les restructurations liées au vote de la loi de programmation militaire aussi bien que la réforme Peillon des rythmes scolaires. Le sentiment qui domine est « un sentiment d’abandon ».
    Le deuxième point abordé par les préfets a davantage fait les gros titres des médias. »Inquiets du discours antifiscal qui pourrait favoriser les extrêmes, écrivent-ils, les élus considèrent que les limites du consentement à l’impôt sont atteintes. »
    Là encore tout converge : « Dans les esprits où domine la hantise du chômage et de la baisse du pouvoir d’achat, la hausse de la fiscalité devient un élément anxiogène de plus. » L’expression utilisée est celle de « choc psychologique » pour « des foyers jusque-là non imposables ». A preuve, « l’afflux record dans certains centres de finances publiques de contribuables à la recherche d’informations « .
    Dans ce contexte, « les élus confient avoir constaté la radicalisation des propos de leurs administrés qui fustigent «un matraquage fiscal“et “une hausse insupportable d’impôts qui financent un système trop généreux“. » Et les préfets de conclure : « La menace de désobéissance fiscale est clairement brandie. »
    Le troisième point abordé par les casquettes de la République porte sur « l’évolution des modes de délinquance ». « Médiatisation croissante des faits divers par les médias locaux [...] dans des régions qui s’en croyaient indemnes » ; « cambriolages, délinquance de proximité, incivilités » : la formule choisie pour résumer le sentiment des Français se passe de commentaire.
    Tout cela « inquiète autant que cela exaspère » C’est ce qui conduit les préfets à souligner que « la population semble désormais prête à s’impliquer davantage dans la lutte contre la délinquance à travers des opérations comme « voisins vigilants » ou “alertes commerce”».
    Enfin, sur un mode un peu plus positif au regard des mesures prises récemment par le gouvernement avec notamment la baisse de la TVA sur la rénovation de logements, les préfets soulignent « la situation de détresse » qui est aujourd’hui celle des professionnels du bâtiment.
    Loin du discours convenu sur les bienfaits supposés du statut d’auto-entrepreneur, ils rappellent ainsi que « dans certains départements, près de 70% des créations d’entreprises artisanales » relèvent de ce dit statut. Ce qui, ajouté à « la concurrence d’entreprises étrangères qualifiée de low cost », entretient un discours récurrent sur la « concurrence déloyale ».
    Ras-le-bol fiscal
    Faut-il dès lors s’étonner que le Front national monte dans les sondages ? Sentiment d’abandon des zones rurales, ras-le-bol fiscal, augmentation de la petite délinquance, détresse du monde artisanal : on retrouve là tous les ingrédients qui, mis bout à bout, nourrissent le programme lepéniste dans ce qu’il a de plus tristement classique. Durant l’été dernier, Hollande confiait volontiers son inquiétude de voir la réforme des retraites « unifier » un mécontentement latent.
    « Si ça prend, disait-il en privé, toutes les catégories qui grognent oublieront leurs antagonismes pour se retrouver derrière la première manif venue. » Le danger n’est plus là. La réforme des retraites, bouclée fin août avec un sens achevé de l’équilibre hollandais, a étouffé dans l’oeuf le mouvement social et du même coup mes projets assassins de la gauche Mélenchon, en lien avec les secteurs les plus durs de la CGT ou de FO.
    Sur le front de l’emploi qui s’améliore doucement, les plans sociaux qui tombent provoquent plus de ressentiments que de mobilisations. De même qu’il existe des grèves perlées, on voit s’installer une colère diffuse qui entretient dans le pays ce curieux climat où l’insatisfaction domine sans que jamais elle ne s’exprime de manière unifiée dans la rue.
    « Ne comptez plus sur notre bulletin de vote »
    Aujourd’hui, on en est là. Les sondages le disent. Les préfets le confirment. Les plus expérimentés des élus de gauche confient, la peur au ventre, que cette situation leur rappelle celle qui prédominait avant leur déroute des législatives de 1993. « Les gens se taisent. Bien sûr, sur les marchés, nos sympathisants viennent râler. Mais tous les autres ont le visage fermé, témoigne un député d’Ile-de-France. Ils se contentent d’un “C’est dur, hein !“ dont on sent bien qu’il veut dire “ Ne comptez plus sur notre bulletin de vote“. »
    L’abstention, voilà l’ennemi. Celui qui fait trembler les candidats de l’actuelle majorité, à l’approche des municipales. Avec, en toile de fond, une attention croissante au discours lepéniste, perçu comme la dernière manifestation possible de ce refus du “système” qui fait désormais florès.
    Dans ce climat délétère, tout est désormais fléché pour que la colère qui monte se porte sur le seul terrain électoral. Quand Jean-François Copé répète à tout-va que la seule manière de « sanctionner le pouvoir » est de favoriser une « vague bleue » aux prochaines municipales, mesure-t-il qu’il ne se trompe sur rien, sauf sur la couleur exacte d’un vote qui s’annonce essentiellement “bleu Marine” ? Face à cela, la majorité ne peut compter que sur l’implantation de ses élus sortants. Elle tente de faire souffler sur le pays un air d’optimisme, encouragé par la croissance qui revient et la courbe du chômage qui devrait s’inverser à la fin de l’année.
    C’est peu et beaucoup à la fois. C’est un peu tard surtout pour espérer que le courant qui enfle, dans les profondeurs du pays, puisse être freiné dans les mois à venir. En 2014, immanquablement, tombera la facture. Pour Hollande, comme pour la droite républicaine, il n’y a guère de raison de penser qu’à la colère qui gronde, ne succédera pas, demain, une de ces sanctions dont on ne pourra pas dire qu’elle est venue par surprise.
    François Bazin, Le Nouvel Observateur, 19/10/2013
    http://www.polemia.com/pourquoi-les-francais-sont-en-colere-le-rapport-secret-des-prefets/

  • Réponse au très court article révélateur (1)

    Il est certaines prises de position que l’on peut qualifier de lapidaires qui, de par leur jusqu’au-boutisme, ne peuvent laisser indifférent. Si la rédaction a jugé intéressant de mettre à disposition du lectorat cette diatribe (1), c’est très probablement parce qu’elle représente un point de vue qui n’est pas isolé.

    Je peux comprendre l’impatience de certains militants dont on pourra surement affirmer qu’ils ont de la bouteille, eux qui se sont investis depuis si longtemps, et qui par voie de conséquence voudraient voir le train de l’histoire, propulsé avec une plus grande célérité.

    Le Front National, de groupuscule qu’il fut autrefois, est désormais un des mouvements politiques majeurs de la France d’aujourd’hui. L’effet d’inertie qui dans un premier temps lui fut néfaste, joue désormais en sa faveur. On considère aujourd’hui que le Front National se situe à une altitude numérique que l’on peut maintenant encadrer en pourcentage de suffrages, par les chiffres de 20 et de 30. On peut donc en déduire aujourd’hui que le Front National n’a plus rien à envier en terme d’audience aussi bien à l’Ump qu’au parti socialiste.

    En conséquence, on peut donc affirmer qu’il est aujourd’hui abusif de prétendre que nous avons les Français contre nous. S’il existe encore réellement dans la France d’aujourd’hui des spécialistes de la désinformation qui semblent avoir fait de la critique unilatérale du Front National l’alpha et l’omega de leur existence, force est de constater qu’ils sont de moins en moins nombreux. Si les Français qui suivent maintenant le Front National ou qui minorent avec le temps leurs critiques sont de plus en plus nombreux, c’est parce que le grand basculement a commencé.

    Si tant de Français ont mis du temps pour nous rejoindre, c’est en grande partie en raison de la désinformation dont nous avons tous été au Front, les victimes. J’ajouterai qu’il ne faut pas omettre non plus que plus nous avançons dans le temps, et plus les prédictions qui étaient déjà les nôtres voilà bien longtemps, s’avèrent aujourd’hui validées au quotidien. Cela aussi, les Français l’ont compris, même si je veux bien admettre que la prise de conscience chez les uns et les autres a pu sembler à certains militants ou sympathisants de toujours, un peu longue.

    Aussi, le parallèle avec Les Palestiniens, s’il peut être effectué, présente tout de même ses limites. Je ne prétends pas que la France d’aujourd’hui, ne soit pas d’une certaine façon en guerre pour sa survie. Quelque part en effet, le Front National lutte aujourd’hui de façon à ce que la France demain, puisse survivre. A la limite, si la guerre, au sens conventionnel du terme était, tout serait alors plus clair pour chacun.

    La destruction de la France, qui a déjà commencé depuis bien longtemps, est malheureusement l’oeuvre d'individus, de prime abord français, même s’ils ont - contradiction - décidé de souscrire au mondialisme anti-français: que des Français pur souche puissent autant trahir, et sans que la plupart des Français - eux innocents - n’en aient conscience, peut en effet nous faire malheureusement regretter l’existence, d’un point de vue théorique, d’une guerre réelle qui aurait le mérite d’apporter toute la clarté.

    Quant au terme péjoratif de «populace», il ne désigne plus son objet habituel. La populace à laquelle il faut aujourd’hui songer n’est plus ni stupide ni pauvre. Elle est au contraire riche et dispose de façon héréditaire du savoir. Elle habite les beaux quartiers, préservés des vices qu’elle a elle même engendrés, et s’estime très sure de son bon droit.

    Afin de bien me faire comprendre, il ne faut plus associer au terme de «populace» un regard vers le bas, mais lever les yeux vers les sommets qui ne méritent pas leur nom, où l’on verra sans surprise les corrompus associés au grands pouvoir.
    Note :
    (2)"le problème des gens comme nous, et la fumisterie de la comparaison avec les jeteurs de cailloux palestiniens notamment, c'est que nous avons notre propre peuple CONTRE nous, et pas avec nous ce qui est essentiel "de trop grand idéaux pour la basse populace"

  • Dissolution : l’idée fait son chemin

    Mais qui profiterait de nouvelles législatives ?
    Nous avons été les premiers, dans un article, à envisager la dissolution de l’assemblée nationale. Dans notre analyse et dans la perspective de défaites électorales socialistes lourdes aux municipales puis aux européennes, c’était la seule planche de salut politique pour le président Hollande.
    En effet la dissolution ramène  la droite au parlement, le président nomme un  premier ministre de droite qui crame bien sûr l’Ump à nouveau aux affaires  et Hollande a de nouveau une chance pour la présidentielle de 2017. Mais le contexte a changé. La situation du pouvoir s’est considérablement aggravée. L’échec de l’Ump à Brignoles et le désaveu des militants socialistes de Marseille brouillent les cartes.
    Une entrée en force du Fn au parlement ne serait pas pardonnée par l’aile gauche du Ps à Hollande. C’est le grand risque. Pourtant la pression se fait plus forte et notamment de la part du centre qui pense peut-être naïvement tirer les marrons du feu. Cependant son analyse exprimée clairement par Jean-Louis Borloo sur la crise de confiance vis à vis du gouvernement qui imposerait un retour aux urnes par respect des électeurs et de la démocratie risque d’en convaincre plus d’un et même à gauche. La dissolution pourrait également s’imposer en cas d’implosion du gouvernement et même de la gauche. Car la gauche a décidé d’avoir la peau de Valls.
    La preuve par Leonarda.
    C’est peut-être l’affaire qui fait déborder le vase dans les rangs de la gauche ou plutôt le prétexte attendu.  Si de nombreuses expulsions ont par le passé suscité la polémique, celle de Leonarda, une rom kosovare de 15 ans vivant dans le Doubs, est celle de trop pour ne nombreux responsables de la majorité qui pointent du doigt l’action de Manuel Valls, déjà critiqué il y peu, y compris au sein du gouvernement, pour ses récents propos niant la volonté d’intégration d’une majorité de Rom
    Alors on a droit à tout, la petite fille sortie de force du car devant ses camarades… la rafle, la déportation, les heures les plus sombres  etc.… etc. La gauche de la gauche est hystérique face au ministre de l’intérieur et cela ne pourra donc pas durer comme cela longtemps.
    La dissolution c’est peut être finalement la solution à l’implosion, mais certainement pas à la crise du Ps aussi divisée que l’Ump. Il y a deux Ump, il y a deux Ps, il faudra bien un jour en tirer les conséquences.
    Raoul Fougax, MetaMag, 16/10/2013
    http://www.polemia.com/mais-qui-profiterait-de-nouvelles-legislatives/

  • Les incohérences du candidat UMP à Lyon

    Lu ici :

    Havard""Quelle est la position de Michel Havard sur le Mariage pour Tous ?" c'est la question que posent les opposants au mariage gay venus manifester devant la permanence du candidat UMP [à Lyon] à l'occasion de l'inauguration de cette dernière par...NKM.

    Des militants proches de la Manif Pour Tous, des Enfants des Terreaux, des Marianne pour Tous, etc. se sont donnés rendez-vous devant la permanence de campagne de Michel Havard au moment où celui-ci l’inaugurait en présence de Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate elle-même à la Mairie de Paris.

    Havard 2"Ce choix interroge sur le positionnement de Michel Havard concernant le Mariage pour Tous : en effet, alors qu’il a manifesté ostensiblement auprès des Lyonnais l’année dernière, voici que Michel Havard chef de file de l’opposition au Conseil municipal, s’est dernièrement abstenu lors du vote d’une subvention de 15000 € à une association LGBT, et que Michel Havard candidat se félicite aujourd’hui du soutien de celle qui, après avoir pris fait et cause pour le Mariage pour Tous, multiplie les oeillades à la communauté Gay." ont souligné les manifestants dans un communiqué adressé à la rédaction de Lyon 1ère.

    Dans le but d'éclaircir sa position, les anti mariage gay demandent au candidat UMP de les recevoir rapidement et de faire une déclaration publique sur le sujet... En clair, Havard peut-il se passer de la communauté gay pour gagner la ville ?"

    Variante pour la conclusion : Havard peut-il se passer des anti-mariage homo pour gagner la ville ?

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/