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élections - Page 724

  • Le régime grec « prépare » l’arrivée de maires de l’Aube dorée

    « Le parti ultranationaliste l’Aube dorée pourrait contrôler des municipalités à l’issue des élections municipales de mai 2014. Le parti post-communiste Syriza a déjà donné pour instruction à ses électeurs de soutenir, en cas de deuxième tour opposant un candidat du Parti conservateur Nouvelle Démocratie et un candidat ultranationaliste, le candidat conservateur. Le système politique en place suit désormais, dans son combat contre l’aube dorée, la stratégie suivante : « Si nous ne pouvons pas les empêcher de faire élire des maires, nous allons rendre les maires inutiles. » La première étape a été la dissolution de la police municipale, une force de police faible qui était sous le contrôle du maire. L’objectif de cette suppression n’est pas de réaliser des économies, car les membres de cette police municipale ont été réengagés au sein de la police grecque qui est nettement mieux équipée. Cette dernière se trouve sous la direction du ministre de l’intérieur. En supprimant la police municipale, le système politique en place empêche les futurs maires de l’Aube dorée d’utiliser ces forces de l’ordre pour protéger des rassemblements ou des marches de membres de leur parti.

    Un quotidien proche du Parti conservateur Nouvelle Démocratie a publié des informations mettant en avant le fait qu’une réforme des élections municipales et régionales est en préparation.
    L’objectif est de ne plus permettre à un seul parti de contrôler l’organe législatif d’une municipalité ou d’une région. Le maire ou le dirigeant de la région pourrait se retrouver sans majorité de son parti au sein du Conseil municipal. ou régional. Les autres partis pourraient ainsi au sein de municipalités prises par un maire de l’Aube dorée rejeter toutes  les décisions du maire. »

    Source Lionel Baland

  • [exclusivité Novopress] Marine Le Pen participera à ATREJU, la grande fête de la destra sociale italienne

     

    [exclusivité Novopress] Marine Le Pen participera à ATREJU, la grande fête de la destra sociale italienne

    06/09/2013 – 20h25
    ROME (NOVOpress) -
    Décidément, à l’approche des élections européennes ça bouge en ce moment. C’est ainsi que nous apprenons ce jour que la présidente du Front national, Marine Le Pen, participera le mercredi 11 septembre à une table ronde consacrée à l’Europe lors de la grande fête de la destra sociale italienne, aujourd’hui largement regroupée au sein du parti “Fratelli d’Italia”.

     

    La fête “Atreju” (du nom du héros du film “L’histoire sans fin”) se tiendra du 11 au 15 septembre à Rome. En dehors des débats politiques se tiennent aussi des expositions artistiques, des concerts, un peu à la manière des anciennes fêtes “Bleu Blanc Rouge” du FN.

    Dans cette table ronde, intitulée “Le procès de l’Europe”, Marine Le Pen débattra avec Giulio Tremonti, sénateur et ancien ministre de l’économie de Silvio Berlusconi, Joseph Daul, président du groupe PPE au Parlement européen, ou encore l’eurodéputé italien Carlo Fidanza, membre de Fratelli d’Italia.

    Lors de cette édition d’Atreju sont notamment aussi attendus Flavio Tosi (maire de Vérone, Lega Nord) ou encore le très controversée ministre de l’Intégration d’origine congolaise Cecilia Kyenge.

    Crédit photo : DR http://fr.novopress.info

  • Naturalisations : 600.000 électeurs nouveaux pour le Parti socialiste

    PARIS (NOVOpress via Kiosque Courtois) – « Ils sont en train de brader la France ! ». Nadine Morano, qui fut pourtant ministre d’un gouvernement particulièrement laxiste en matière d’immigration, n’a pas de mots assez forts pour fustiger l’explosion des naturalisations, en hausse de 14% en l’espace d’un an grâce à l’action zélée du ministre de l’Intérieur, Manuel Valls. Lequel s’est félicité de ce « beau combat pour la France ».

    Hollande, ne pouvant imposer le droit de vote des étrangers, se livre donc à une véritable entreprise de contournement. Est ainsi acté la quasi-disparition des critères de naturalisation, entre autre l’abrogation de l’obligation de détenir un CDI et la suppression des questionnaires de culture et de langue française. Le fait même d’avoir été clandestin, et donc d’avoir violé la loi française, n’est plus un obstacle à la naturalisation. 2013 s’annonce comme une année record avec un taux d’avis favorable des préfets qui passe de 40 à 61 %. Le chiffre record de 2012 de 100.000 immigrés naturalisés par voie réglementaire, en plus des 20.000 naturalisés par mariage, sera largement dépassé. Afin de saper les derniers îlots préfectoraux de résistances, la prochaine étape vise à harmoniser les pratiques de l’administration par la création de « plates‑formes régionales » pour l’instruction des dossiers.

    Ce « grand remplacement », pour reprendre l’expression de Renaud Camus, n’est pas nouveau : déjà sous Sarkozy, l’ancienne majorité y avait largement contribué. Le 3 mai 2010, le quotidien Aujourd’hui en France écrivait : « Les naturalisations explosent à Paris où grâce à la récente simplification des démarches, le nombre des étrangers naturalisés a doublé par rapport au 1er trimestre 2009, soit une augmentation de 52 % ». Fin de citation. Diktat de l’oligarchie cosmopolite, ce phénomène se retrouve dans tous les pays européens. Ainsi en Italie, la ministre de l’intégration, Cécile Kyenge, d’origine congolaise a réaffirmé sa volonté de voir s’instaurer le droit du sol.

    Cette course folle des politiques européens avait été théorisée un peu avant les élections présidentielles de 2012 par le cercle de pensée Terra Nova, proche du Parti socialiste. Selon ce dernier, le PS s’étant coupé de sa base sociologique ouvrière, c’est dans la masse des immigrés que se trouve pour les socialistes les nouveaux gisements de voix qui doivent les maintenir indéfiniment au pouvoir « La France des quartiers populaires [comprendre des quartiers ethniques] est massivement à gauche (…) la France de la diversité est aujourd’hui la composante la plus dynamique, tant électoralement que démographiquement, de la gauche en France. » (rapport de 2011). Entre 2002 et 2010, il y a eu environ 700.000 naturalisations en France, ce qui, selon Terra Nova, a arithmétiquement produit quelque 600.000 électeurs nouveaux pour le Parti socialiste.

    http://fr.novopress.info/141237/naturalisations-600-000-electeurs-nouveaux-pour-le-parti-socialiste/#more-141237

  • Le guépard ne lâche rien, Anne-Sophie et Christiane agents recruteurs du FN

    On prête au défunt roi du Maroc, Hassan II, d’avoir dit un jour que le déclin de son pays serait signé le jour ou s’y construirait des maisons de retraite. Il signifiait par là que cela serait le signe tangible du délitement des liens familiaux d’entraide et de solidarité, notamment entre les générations,  qui font aussi la force d’une nation, cette grande famille élargie…. Quelle aurait été sa réaction en apprenant que sur le modèle communautariste  anglo-saxon, un promoteur britannique a décidé de bâtir une maison de ce type dans un village de l’Aude, mais une résidence de luxe précise le prospectus ,« un oasis privée pour la communauté gay et lesbienne qui souhaite mener une vie active et saine dans le climat chaud, amical et sain du sud de la France ». Imaginons un seul instant la réaction des autorités morales progressistes si un promoteur basait demain sa publicité sur la réalisation d’ une résidence pour « hétérosexuels »  désirant vivre « une vie active et saine dans le climat chaud, amical et sain du sud de la France » Les mots n’auraient plus le même sens…

     Nous l’avons vu en début de semaine avec les réactions indignées du microcosme au passage d’Alain Delon  lundi dans l’émission  C a vous sur France cinq animée désormais par Anne-Sophie Lapix.

    Mme Lapix  était  surtout connue jusqu’alors pour la manière détestable avec laquelle elle recevait Marine Le Pen dans l’émission politique de Canal plus qu’elle animait. Une hargne dont le résultat fut surtout  de faire grimper  par réaction le taux d’adhésion au FN.  Cette fois elle a encaissé sans broncher les propos de la star sur le mariage homosexuel.

     Invité a préciser les propos qu’il avait déjà tenu dans le Figaro Magazine en août , Alain Delon a réaffirmé   qu’il n’avait « rien contre les gays qui se mettent ensemble » mais qu’il considérait l’homosexualité comme étant «contre-nature». « On ne va pas refaire le débat » (sic), s’est contentée de dire la délicate Anne-Sophie,  courageuse, mais pas téméraire…

     Le samouraï il est vrai se contrefout largement du politiquement correct, a tel point qu’il avait invité Jean-Marie Le Pen , les deux hommes se connaissent de longue date, lors de la cérémonie de remise de sa médaille des Arts et lettres…par Jack Lang ! Il insista tout particulièrement  pour que le président du FN soit alors de la fête.

     Dans une biographie qui lui fut consacrée il y a quelques années Delon enfonçait le clou: « Jean-Marie Le Pen est un ami disait-il. Il est dangereux pour la   faune politique parce qu’il est le seul à être sincère. Il dit  tout haut ce que beaucoup de gens pensent  tout bas, et que les hommes politiques  s’interdisent de dire  parce qu’ils sont trop démagogues ou trop trouillards.je vais vous le dire mais Le Pen, avec tous ses défauts et ses qualités, est peut être le seul qui aujourd’hui, pense d’abord aux intérêts de la France avant les siens propres »

     En 1999, à l’occasion des élections européennes, Jean-Marie Le Pen avait publié  ses « Lettres Françaises ouvertes » dont une notamment adressée à Alain Delon dans laquelle il rendait un bel hommage à la carrière exceptionnel d’un acteur hors norme. « Rares sont  ceux qui comme toi, comme Brigitte Bardot, comme Autant-Lara, comme Mathieu osent se dire encore fiers d’être français et osent défendre le génie de la France »

     «Ton indépendance farouche, Alain, ton côté je ne dois rien à personne et je vous emm…, ta vie en marge du show-biz et du prêt à penser conditionné, donne de toi l’image d’un homme libre »,  soulignait le Menhir.

     Une espèce en voie de disparition ? Pas si sûr et dans un article du Point consacré aux jeunes frontistes  mis en ligne sur le site de l’hebdomadaire,  le politologue  Jean-Marc Lech constate (se désole) de ce que la génération montante refuse justement le prêt–à-penser et revendique, défende  des valeurs traditionnelles.

      « Avant, les jeunes s’engageaient en réaction, pour des causes comme SOS Racisme ou les manifs contre Le Pen de 2002 . Mais avec la Manif pour tous a émergé une génération de droite qui milite pour une cause, le FN », souligne  M. Lech.

     Jeunes et moins jeunes qui ont été confortés dans leurs convictions par le passage hier de Christiane Taubira sur France2 dans l’émission de David Pujadas, Des paroles et des actes , largement consacrée à sa calamiteuse réforme pénale

     Un internaute commentant cette prestation  sur le site du Point a résumé l’opinion de beaucoup de téléspectateurs : Madame Taubira « s’apprête par son laxisme et son idéologie à élargir toutes les voies pour un transfert de voix de certains électeurs socialistes vers le FN. »

     « Hier soir, elle a montré son vrai visage, très orgueilleuse et pas agréable du tout avec ses interlocuteurs, elle s’est inscrite dans une stratégie d’évitement systématique, évoquant des invectives lorsque les questions devenaient précises. »

     Mais qui a dit que Mme Taubira état systématiquement laxiste ?  Dans une circulaire  du 23 juillet, publiée au bulletin officiel le 30 août, elle donne aux parquets des instructions sur la lutte contre l’homophobie.

     Le ministre de la Justice exige des procureurs de la République de« sensibiliser les associations d’aide aux victimes et les services d’enquête de leur ressort sur la question spécifique des violences et discriminations commises à raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre ».

     Elle recommande ainsi  aux procureurs de « retenir systématiquement la circonstance aggravante de l’orientation sexuelle de la victime » et s’assurer « que les enquêteurs réunissent les éléments en ce sens ».

     Quant il s’agit de défendre son bout de gras clientéliste constate Bruno Gollnisch  Mme Taubira est capable de fermeté. Et tant pis si le Gaulois lambda ne rentre pas dans ses calculs…

    http://www.gollnisch.com/2013/09/06/guepard-lache-rien-anne-sophie-christiane-agents-recruteurs-du-fn/

  • Le FN veut surveiller les blogs de ses candidats

    Extrait d'un courrier du Secrétariat général du FN aux secrétaires départementaux du parti :

    "Aujourd’hui, une nouvelle tempête médiatique est orchestrée par un député UMP en manque de notoriété, au sujet de la « littérature » et des images publiées par un candidat que nous avons investi aux municipales. Bien que nous le répétions à chaque réunion, à chaque Conseil National et à toutes les séances de formation, nos consignes ont visiblement du mal à être retenues et respectées par quelques uns. C’est pourquoi je vous demande, de manière solennelle, de vérifier ou de faire vérifier immédiatement par une personne de votre choix, le contenu des pages Facebook, des tweets ou des blogs des candidats de votre fédération. La discipline est un élément sur lequel nous ne transigerons pas. Chaque candidat doit en effet respecter la ligne politique du mouvement et ne pas se laisser aller à des délires personnels ou idéologiques. Si des cadres ou des candidats venaient à déroger à cette règle, nous serions amenés à en tirer les conclusions qui s’imposent. Je vous informe enfin que Marine Le Pen a prononcé un avertissement à l’encontre du Secrétaire départemental qui avait manqué de vigilance, à propos du candidat énoncé ci-dessus."

    Florian Philippot, quand il demande à Marie-Claude Bompard d'appliquer l'inique loi Taubira dénaturant le mariage, il est dans la ligne politique ou dans un délire personnel ?

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les affiches anti-immigration du FPÖ affectent les capacités intellectuelles des immigrés

    Les affiches anti-immigration du FPÖ affectent les capacités intellectuelles des immigrés

    LINZ (NOVOpress via Lionel Baland)En Autriche, une étude du Professeur associé à l’Université Johannes-Kepler à Linz, Markus Appel, conclut que lorsque des étudiants issus de l’immigration voient des affiches avec des images ou des écrits considérés comme hostiles aux étrangers, leurs capacités intellectuelles diminuent.

    Les tests pratiqués par le professeur ont consisté à faire faire des exercices mentaux difficiles à des élèves d’origine étrangère. Des affiches (photo) du FPÖ (1) contenant les slogans : « État social plutôt qu’immigration », « À la maison plutôt qu’islam » et « Allemand plutôt que “Pas comprendre” » leur ont ensuite été montrées. Des tests mentaux difficiles sont alors soumis à ces élèves qui ont beaucoup plus de difficultés à les résoudre alors que si on leur soumet les mêmes tests sans qu’ils aient vu les affiches, ils ne rencontrent pas de difficultés supplémentaires par rapport aux premiers tests.

    Des élèves d’origine autrichienne ont été placés dans des conditions semblables et n’ont pas vu leurs résultats modifiés après avoir regardé les slogans des affiches du FPÖ. Les capacités de réflexion des étrangers soumis à ces affiches du FPÖ baissent de 6 %.

    (1) Les thèmes forts du  FPÖ sont la résistance au grand remplacement de population par l’immigration extra-européenne et une politique pour promouvoir et renforcer la famille et la natalité européenne. Lors des  dernières élections présidentielles il s’est classé en deuxième position.

    http://fr.novopress.info/141137/les-affiches-anti-immigration-du-fpo-affectent-les-capacites-intellectuelles-des-immigres/#more-141137

  • Droit devant !

    Droit devant ! Tiens, c’est septembre, aussi début de l’année, comme c’est le cas pour ceux qui commencent par exemple leur rentrée scolaire. Nous concernant, nous avons en ligne de mire les élections municipales et européennes. Nous allons les gagner. Quant à savoir si c’est la mention « très bien » ou l’excellence accordée par le jury, nous ne savons. Fréquentant avec beaucoup d’assiduité les cafés, je sais le bouleversement dans les pensées. L’alternance de gouvernements de droite comme de gauche est désormais perçue comme négative par l’homme de la rue qui maintenant fait savoir son ire. L’immigration par exemple, et son corollaire la délinquance, sont perçus maintenant comme tels. Fini le temps où le monde des idées format(ait les esprits, déconnecté qu’il en était des réalités. Aujourd’hui, les Français veulent du cash et donc plus de promesses. Cette lassitude qu’ils éprouvent pour la gauche comme pour la droite est réelle. Le Front National n’apparaît plus à leurs yeux comme une structure politique, entendez politicienne. Quelque part, il y a le Front National et le reste. Qui n’est justement aujourd’hui, vraiment qu’un reste. Le Front National aujourd’hui apparaît de plus en plus aux yeux des Français, non pas pour un mouvement politique patriote au nationaliste mais comme une structure, la seule, soucieuse be l’intérêt général. Observez d’ailleurs les vidéos lorsqu’un des cadres du Front National s’exprime : presque à chaque fois, les journalistes enferment le représentant dans les seules configurations ayant trait à la délinquance ou l’immigration. Si on parle beaucoup des Lumières de nos jours, c’est pour mieux les travestir. Le refus des préjugés de la part du Front National, le rend conforme à l’état d’esprit de cette période historique et philosophique. Le Front National ne s’oppose pas par exemple systématiquement et avec préjugés au sujet de la délinquance. Simplement, et ceux qui veulent savoir savent, les emprisonnés ne sont que très peu blancs. Nul racisme donc mais constat propre à l’esprit des Lumières : la rationalité. Si l’immigration favorise la délinquance, fatalement, il faut s’y opposer. Voilà donc l’esprit du Front National. Il y aurait au demeurant une campagne d’affichage à mener dans lesquelles seraient indiquées les phrases prononcée par Jean-Marie le Pen, montrant qu’il avait raison bien avant les autres. Les Français s’en aperçoivent désormais.
    Si d’aventure vous avez loupé le train du Front National, il n’est pas trop tard pour prendre le suivant: il est toujours à votre disposition !

    Gilles Druant http://www.voxnr.com/cc/politique/EFZlEkkykpPgLVoNMT.shtml

  • Gérald Darmanin a-t-il la culotte propre ?

    Le jeune député UMP du Nord, Gérald Darmanin a fait son petit effet en rendant public un courrier adressé à Marine le Pen dans lequel il dénonce la page facebook de François Chatelain, 28 ans, dont les médias croient savoir qu’il était « un potentiel candidat aux prochaines municipales, investi par le FN à Neuville-en-Ferrain » (Nord). Sur la page facebook personnelle de M. Chatelain, et d’après les captures d’écran rapportées sur les sites d’informations, se trouveraient en effet une photo d’une  violence visuelle pour le moins maladroite,  un drapeau israélien en train de brûler assorti de la mention « ici c’est la France »,  et des propos antisionistes très virulents. Le tout cadre plutôt mal avec la communication   que l’on est en droit d’attendre d’un éventuel candidat du FN  à des élections locales. Si tel est effectivement le cas, il  fallait être en tout cas bien naïf pour croire qu’un lien ne serait pas établi entre cette page personnelle et les activités publiques de son auteur.

    Est-il nécessaire de rappeler que le Front National, pas plus aujourd’hui qu’hier, ne pratique  pas l’amalgame,  n’appelle pas  à la destruction de l’Etat d’Israël et n’a jamais brûlé aucun drapeau étranger lors de ses rassemblements ! Et ce, même lorsque ses mêmes drapeaux étrangers flottaient à côté d’une tête de Jean-Marie Le Pen empalée sur un pique, dans une manifestation officielle  à laquelle participait le président de la République de l’époque.

    Bruno Gollnisch pour plagier une formule célèbre, est un national modéré mais n’est pas modérément national. Il  l’a souvent répété, en politique étrangère, dans les relations internationales comme en politique intérieure, un patriote doit toujours se demander si son action répond à la défense de l’intérêt national. Bref, le FN n’est dans l’absolu ni pro ni anti-sioniste, mais pro-Français tout simplement !

    Le FN est cohérent dans sa dénonciation d’une classe politicienne qui suit un mauvais cap, qui a perdu sa boussole nationale pour se faire le relais des vœux du Nouvel ordre mondial  et le défenseur de  l’idéologie mondialiste.

    C’est pourquoi, sans faiblesse mais sans outrances déplacées et contre-productives, l’opposition nationale milite pour l’avènement en France d’une vraie politique de troisième voie, d’indépendance nationale réaffirmée, de souveraineté, afin de répondre au mieux à ce que devrait être le rayonnement international d’un pays comme le nôtre, qui a toujours eu une place à part dans le concert des nations.

     Ce retour d’une France libre et recouvrant son identité,  nécessite aussi  de mettre urgemment et en priorité un frein à la colonisation intérieure dont notre pays est victime.

    Eric Dillies, responsable frontiste de la fédération Flandre Métropole Lilloise, a précisé que  « si les faits sont avérés, si Monsieur Chatelain n’a rien de plus intéressant à faire, je crois qu’il va prendre la porte. Le Front National ne mange pas de ce pain-là. »

    Steeve Briois, Secrétaire général du Front National, a précisé au quotidien gratuit 20 Minutes que la désignation de François Chatelain  était «suspendue». « Nous demandons à nos militants d’être vigilants et de ne pas mettre n’importe quoi sur leur page facebook, surtout lorsque ce ne sont pas les idées que nous défendons ».

    Steeve précise que M. Chatelain sera  «convoqué» ultérieurement «devant la commission de discipline» du FN. Mais aussi que l’ «on trouve ce genre d’individus dans tous les partis, y compris dans celui de Monsieur Mélenchon ou à l’UMP. Gérald Darmanin ferait bien de balayer devant sa porte».

    M. Darmanin, se croit en effet en bonne position pour de se fendre d’une petite leçon de choses en expliquant à  la présidente du FN que « Ce genre de candidat (M Chatelain, NDLR), (…)  va totalement à l’encontre de ce que vous semblez soutenir depuis votre arrivée à la tête du Front National. « J’espère que vous comprendrez que le débat démocratique ne peut se faire qu’avec des acteurs respectant la République et ses valeurs. »

    Directeur de campagne de Christian Vanneste pour les élections législatives de 2007 et les municipales de 2008, M. Darmanin a peut être déjà oublié que les valeurs de la république ce sont aussi le refus des communautarismes et de  la confiscation de la république par des groupes de pression divers et variés, dont l’un d’entre eux a  d’ailleurs obtenu l’exclusion de M. Vanneste de l’UMP.

    M. Darmanin qui a voté contre le Pacte budgétaire européen en octobre 2012 et s’inquiète du port du voile (dans les compétitions sportives), devrait savoir aussi que le respect de la république et de ses valeurs c’est aussi refuser la disparation de la France.  Par le bas dans l’immigration de peuplement, par le haut par sa dilution dans le magma euromondialiste. Tout ce que le sarkozysme  au pouvoir a laissé se poursuivre.

    Le respect de la république et de ses valeurs c’est aussi  le respect du suffrage populaire .  Or c’est le parti de M Darmanin qui a jeté à la poubelle le résultat du référendum  de 2005, le NON de nos compatriotes à la Constitution européenne,  pour la faire adopter en 2008 par les parlementaires et les sénateurs,  avec la complicité du PS, quelques mois après l’élection à l’Elysée du champion de l’UMP.

    Comme le dit ce sage proverbe antillais, « quand on monte au cocotier il faut avoir la culotte propre ». Autant dire que les leçons de morale et de « républicanisme » de M.  Darmanin à Marine et au FN , comme celles de ses collègues des autres partis du Système, sont nulles et non avenues.

    http://www.gollnisch.com/2013/09/04/gerald-darmanin-t-il-culotte/

  • Comment se décide une entrée en guerre selon le pays

     Le Parlement français doit débattre mercredi 4 septembre d'une intervention militaire en Syrie. Cet échange avec le gouvernement n'a pas besoin d'être suivi d'un vote : le président est seul décisionnaire dans ce domaine. Une particularité qui ne se retrouve pas systématiquement ailleurs dans le monde.
    FRANCE
    En France, la Constitution stipule que le président, en tant que chef des armées, est décisionnaire en matière d’intervention à l’étranger. Il dirige les différents conseils et comités militaires. De son côté, le Premier ministre est garant de la Défense nationale. Historiquement, le Parlement n’avait de compétence dans ce domaine que pour déclarer la guerre, une mesure jamais vue du temps de la Ve République.
    Le Parlement n’a, en réalité, qu’un droit d’information sur les opérations extérieures. Il a d’ailleurs fallut attendre 2008 pour qu’une réforme constitutionnelle garantisse ce pouvoir parlementaire qui reste limité. La présidence n’a comme obligation que d’informer les élus, dans les trois jours qui suivent le déclenchement des opérations. Lors de cette information, qui peut être suivie d’un débat, les données présentées restent à la discrétion de l’Élysée qui doit simplement préciser les objectifs de la mission.
    Au cours des années 2000, les parlementaires ont régulièrement dénoncé ce déséquilibre des pouvoirs, obtenant satisfaction en 2008. Les élus votent désormais le maintien d’une opération au cours d’un débat qui doit se tenir dans les quatre mois suivant le déclenchement des hostilités. Jusqu’ici, ils ont systématiquement reconduit les mandats des troupes déployées en Afghanistan, au Liban, au Kosovo, au Tchad, en République centrafricaine, en Côte d’Ivoire, en Libye ou encore plus récemment au Mali.
    Le Parlement bénéficie aussi d’un pouvoir réel en matière budgétaire puisque c’est lui qui valide les comptes de la Défense, notamment pour ce qui est du portefeuille consacré aux opérations extérieures.
    Si malgré tout, le gouvernement décide de soumettre la décision d’une intervention extérieure au Parlement, il peut le faire au titre de l’article 49-1 de la Constitution comme ce fût le cas en 1991 lors de la première guerre du Golfe. Il permet d’engager un débat, éventuellement suivi d’un vote, sur un sujet de politique générale. En cas de refus des parlementaires, le gouvernement peut être amené à démissionner. Une autre version de cette démarche existe au travers de l’article 50-1 qui n’amène que l’une des deux chambres parlementaires à voter et qui n’implique pas de renouvellement du gouvernement en cas de déception.
    ETATS-UNIS
    Aux États-Unis, la relation entre le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif, en matière d’opérations extérieures, est en perpétuelle évolution. La Constitution prévoit que le président est le commandant en chef des forces armées et qu’il peut, en tant que tel, décider d’une intervention et la mener à son terme. Le texte indique que le Congrès, de son côté, a la possibilité de déclarer une guerre, la financer et suivre son avancement. La pratique a montré que le chef de l’État a bénéficié en général, quelles que soient les critiques, d’une très grande autonomie dans la menée d’une opération à l’étranger.
    En 1973, la Résolution sur les pouvoirs militaires a introduit quelques spécificités plus précises. Elle prévoit notamment que le président consulte aussi souvent que possible le Congrès sur les opérations en cours ou à venir. S’il décide le déploiement de la force sans avoir consulté le Congrès, il doit l’en informer sous 48 heures. Les parlementaires bénéficient alors d’un délai de soixante jours pour s’opposer à l’opération. Le cas échéant, le retrait des troupes est obligatoire, situation qui ne s’est présentée qu’une seule fois dans l’histoire récente des États-Unis, au cours de la crise de Mayaguez en 1975.
    La décision de Barack Obama de soumettre une intervention en Syrie à un vote du Congrès est perçue par de nombreux analystes américains comme un précédent. Le président a promis de se plier à la décision des élus, quitte à mettre de côté sa prérogative en matière de décision dans ce domaine. Pour les observateurs, ce choix pourrait réduire durablement la marge de manœuvre du président.
    Il faudra attendre la rentrée du Parlement américain pour engager le vote en question, au cours de la semaine du 9 septembre au plus tôt. En attendant, les élus ont commencé à s’exprimer dans les médias sur le texte de deux pages présenté par le président. La plupart d'entre eux semblent bien décidés à l’amender au maximum pour prévenir toute interprétation abusive du projet, notamment en ce qui concerne le déploiement de troupes au sol.
    GRANDE-BRETAGNE
    Au Royaume-Uni, c’est le monarque qui est seul habilité à déclarer la guerre. Le Premier ministre peut, au nom du roi – ou de la reine – mettre en œuvre un projet d’intervention militaire.
    Les modalités de décision restent parfaitement informelles en Grande-Bretagne. Ainsi, le Premier ministre n’a pas comme obligation de soumettre son projet au Parlement. La tradition veut que le chef du gouvernement le fasse pour les conflits de grande envergure, comme ce fût le cas en 1939 en Europe, en 1982 pour les Malouines ou encore en 2003 pour l’Irak. Le Premier ministre peut cependant décider de passer outre, si l’urgence l’impose. Il doit dans ce cas justifier « le plus vite possible » sa décision.
    Une fois le projet d’intervention communiqué, le Parlement dispose de 48 heures maximum pour proposer des amendements et voter. Dans le cas de la Syrie, les échanges ont duré un peu plus de sept heures avant que les élus ne refusent le déploiement de forces britanniques, avec 13 voix d’écart.
    Le gouvernement pourrait dès lors décider de proposer un nouveau projet d’intervention, en modifiant les modalités de celle-ci. Il assure cependant que l’idée n’est absolument pas à l’ordre du jour et que, dès lors que le Parlement a rejeté l’idée d’une action militaire en Syrie, la question ne serait plus envisagée.
    ALLEMAGNE
    En Allemagne, la Constitution place l’armée sous tutelle du Parlement. Elle répond cependant aux ordres du Chancelier en temps de guerre et du ministre de la Défense en temps normal. La Loi fondamentale prévoit que ce dernier décide de toute question concernant les forces armées, notamment en matière de déploiements à l’étranger.
    L’armée allemande peut intervenir à l’étranger à condition que le Bundestag approuve la mission confiée. Les parlementaires peuvent autoriser ou mettre fin à une opération à l’étranger. Ils ne peuvent cependant jamais proposer une intervention, cette tâche étant dévolue au ministre de la Défense. Traditionnellement, les débats parlementaires avant un déploiement sont particulièrement longs et précis, rendant Berlin peut réactif face à une crise internationale. La Constitution prévoit une exception en cas de déploiement de faible intensité mais cette mesure n’a jamais été utilisée.
    Au sein du Bundestag, la commission de la défense bénéficie d’un statut spécifique. La Constitution allemande considère ce contrôle sur le pouvoir exécutif comme prioritaire. Les membres de cette commission sont les seuls à pouvoir, de leur propre initiative, se constituer en une commission d’enquête spécifique.
    L’Allemagne dispose de plus d’une spécificité parlementaire supplémentaire. Le Bundestag élit tous les cinq ans un Commissaire parlementaire aux forces armées qui n’est ni fonctionnaire, ni parlementaire. Chargé de veiller au respect des droits des forces militaires, il bénéficie d’un droit à l’information et se rend régulièrement sur le terrain. Sans être directement intégré dans le processus de décision, en ce qui concerne les interventions, il est régulièrement entendu par les élus sur les opérations en cours.
    ESPAGNE
    En Espagne, le Premier ministre engage les forces armées sans avoir besoin d’une autorisation du Parlement. C’est ce qui s’est produit lors de la participation de Madrid aux opérations en Irak, en 2003. Depuis 2004, une tradition de consultation parlementaire s’est cependant instaurée.
    PAYS-BAS
    Aux Pays-Bas, une déclaration de guerre requiert la mobilisation des deux chambres du Parlement dans une session extraordinaire. Pour tous les autres types d’opérations militaires, y compris à l’étranger, le gouvernement bénéficie d’une absolue liberté et doit simplement informer les élus. Dans la pratique, le Parlement a toujours été consulté avant que des militaires néerlandais ne soient envoyés en mission.
    ITALIE
    La Constitution italienne prévoit que le gouvernement est responsable de la politique étrangère et de l’action militaire. Sa seule obligation est d’informer le Parlement, sans que les modalités ne soient précisées. La pratique veut que le gouvernement transmette un dossier aux élus ou à l’une des commissions spécialisées. Un débat peut avoir lieu afin d’orienter le projet militaire. Le Parlement exerce un contrôle budgétaire en décidant des moyens alloués aux différentes opérations auxquelles participent les forces italiennes.
    AUSTRALIE
    En Australie, le Premier ministre décide seul du déploiement de forces militaires. Comme en Grande-Bretagne, il peut soumettre ce type de projet à la Chambre des Représentants. Il s’agit cependant généralement d’une note d’information, plus que d’un vote de confirmation. En 2003, lors de l’invasion de l’Irak, Cambera a ainsi organisé un vote parlementaire alors que l’annonce de la participation des forces australiennes avait déjà été annoncée. Les élus réclament régulièrement un meilleur contrôle parlementaire sur cet aspect du pouvoir exécutif.
    Avec RFI http://www.francepresseinfos.com/2013/09/comment-se-decide-une-entree-en-guerre.html#more

  • La Hollandie, par Jean-Luc TARI

    La Hollandie est un pays qui cultive une exception culturelle. On trouve en Hollandie un président qui n’aime pas les riches et qui fustige les financiers. Pourtant l’État est en déficit permanent et il serait en faillite sans les prêts accordés à des taux avantageux.
    Les discours méprisants ne peuvent qu’inciter les financiers à augmenter les taux d’intérêt pour consentir des prêts à l’État. Mais le président s’en moque car son idéologie archaïque le pousse à stigmatiser les capitalistes.
    La Hollandie a institué un taux d’imposition de 75% pour les contribuables trop riches. Cette mesure confiscatoire a pour conséquence d’accroître l’exil fiscal des citoyens les plus fortunés. Ils investiront et ils dépenseront leur argent à l’étranger.
    D’ailleurs tous les prétextes sont bons pour taxer davantage les citoyens : la lutte contre le tabagisme, contre les accidents de la route, contre l’alcoolisme, contre le déficit budgétaire, contre le réchauffement climatique… Mais la clique de politiciens au pouvoir se complait dans l’autosatisfaction car leur idéologie finissante les incite au matraquage fiscal.
    On peut voir au gouvernement un ministre du redressement productif qui se permet d’insulter des dirigeants d’entreprises. Tel un Don Quichotte des temps modernes, il combat des moulins à vent car il les prend pour de méchants géants. À défaut de redresser la production industrielle, son activisme brouillon décourage les industriels étrangers d’investir en Hollandie. Mais il est content de lui car son idéologie attardée lui enseigne de stigmatiser les grands patrons.
    Cette idéologie a provoqué la misère et l’oppression partout où elle a sévi. Elle a été rejetée par les autres peuples. La bête immonde s’est alors réfugiée en Hollandie. Elle s’est toutefois travestie en baba cool. Elle dégouline désormais de bons sentiments et elle professe qu’il faut accorder des droits aux minorités injustement maltraitées. Les homosexuels doivent pouvoir se marier et adopter des enfants. Les immigrés doivent pouvoir voter. Les prisonniers doivent pouvoir bénéficier de remises de peines généreuses. Les délinquants condamnés par la justice doivent pouvoir éviter la prison si leur peine est inférieure à 5 ans. Les caïds des banlieues et les migrants doivent pouvoir faire des razzias en toute impunité. Les femmes sont également une « minorité » bien qu’elles représentent la majorité du corps électoral : elles doivent bénéficier de quotas au gouvernement et dans les conseils d’administration.
    Cette posture a pour but de masquer l’impuissance des élites socialo-hippies à résoudre les problèmes économiques et sociaux. Néanmoins l’incompétence de la clique au pouvoir s’étale au grand jour et leurs bouffonneries amusent la galerie. Ainsi le ministre de l’Éducation nationale propose un débat sur la dépénalisation du cannabis. Un prisonnier se fait la belle pendant la visite du ministre de la Justice venu assister à un match entre détenus. Des documents confidentiels émanant du ministère de l’Intérieur sont divulgués. Le ministre des Finances s’engage à limiter le déficit budgétaire à 3% du PIB, puis il reconnait qu’il n’y arrivera pas. Le ministre de l’écologie déclare un jour que les arbitrages budgétaires du gouvernement ne sont pas satisfaisants et il est viré le lendemain.
    Ce spectacle surréaliste est le lot quotidien en Hollandie mais les dirigeants sont confiants en l’avenir. En effet, la réduction des inégalités est en bonne voie. Si cette fine équipe reste au pouvoir, tous les citoyens seront rabaissés à un même niveau de pauvreté et de dépendance à un État en faillite.
    Espérons que la majorité silencieuse manifestera prochainement son rejet de cette politique insensée !

    http://www.francepresseinfos.com/2013/09/la-hollandie-par-jean-luc-tari.html