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élections - Page 756

  • La réforme constitutionnelle est enterrée

    Faute de majorité, le chef de l'État ne convoquera pas le Congrès à Versailles.

    Claude Bartolone l'affirme: «Nous n'avons pas la majorité des trois cinquièmes pour faire adopter une réforme de la Constitution, car les groupes UMP et UDI sont contre.» Le président de l'Assemblée nationale confie au Figaro qu'il n'y aura donc pas de réunion du Congrès à Versailles d'ici à l'été, comme l'avait évoqué le ministre des Relations avec le Parlement, Alain Vidalies. Aucun des projets de révision constitutionnelle évoqués en début d'année par François Hollande ne verra le jour: qu'il s'agisse de la réforme du statut pénal du chef de l'État, du Conseil supérieur de la magistrature, de la suppression de la Cour de justice de la République, de la remise en cause du statut de membres de droit du Conseil Constitutionnel accordé aux anciens chefs de l'État, ou encore de l'inscription de la démocratie sociale dans la Constitution. 

    Jacob: «La Constitution, moins on y touche, mieux on se porte» 

    Le chef de l'État ne dispose pas non plus de la majorité des trois cinquièmes au Congrès pour faire adopter le droit de vote des étrangers non communautaires aux élections locales. Le premier ministre, Jean-Marc Ayrault, qui a consulté tous les présidents des groupes parlementaires, s'est heurté à un mur. «La Constitution, moins on y touche, mieux on se porte», rappelle Christian Jacob, le président du groupe UMP. Son homologue du groupe UDI, Jean-Louis Borloo, confie pour sa part qu'il «n'a pas trouvé le premier ministre particulièrement enthousiaste pour convoquer un Congrès». «En réalité, la majorité est assez peu unie sur tous ces sujets. Et le gouvernement essaie de revenir sur ses engagements en en faisant porter la responsabilité à l'opposition», estime l'ancien ministre. Le président de l'UDI, qui, «par principe, n'est pas favorable à ce que l'on touche à la Constitution», ajoute que le gouvernement a d'autres outils à sa disposition: les lois organiques, ou le référendum «sur les grands sujets». Les radicaux de gauche, eux, sont hostiles à deux pans de la révision constitutionnelle: la réforme du statut pénal du chef de l'État, («on ne va pas envoyer le président de la République devant le tribunal correctionnel», dénonce Alain Tourret) et la suppression de la Cour de justice de la République, «qui a prouvé son utilité, notamment lors de l'affaire du sang contaminé», ajoute le député du Calvados. 

    Source  http://www.oragesdacier.info/

  • UMP : une proposition de loi en faveur de l’obligation du vote a été déposée

    votation-cled12petit_0.jpgEn plein débat sur le « mariage » homo, une proposition de loi vient d’être déposée par dix députés UMP, le 6 février dernier, afin de rendre le vote obligatoire en France.

    Cette proposition de loi propose donc de sanctionner les abstentionnistes par une amende à hauteur de 15 euros, et même 45 euros en cas de récidive « dans les cinq ans« . Les députés UMP à l’origine de la proposition de loi prévoient tout de même des dérogations où les citoyens seraient alors exemptés de cette obligation de vote pourvu qu’ils puissent apporter la « preuve de son impossibilité par procuration« , ou en « cas de force majeure« . Cette proposition, quoiqu’issue de la droite parlementaire, compte déjà un solide soutien à gauche : Claude Bartolone, le président de l’Assemblée nationale, qui s’est déclarait personnellement favorable à l’obligation de voter dès 2012.

    Une proposition de loi a un but, selon ses défenseurs : répondre à « la persistance de l’abstention à chaque scrutin« . Nous nous permettons néanmoins d’émettre des réserves sur la méthode qui consiste à rendre, par la contrainte, une démarche aimable et attractive. Curieux procédé. Il eût sans doute été préférable d’user du ressort de la pédagogie : si le vote est bon par nature, il appartient à l’homme public de manifester cette bonté et de susciter dans l’opinion l’attrait du vote. Ou comment changer la contrainte en liberté.

    Les députés écrivent en outre : « Si le vote est un droit, il doit être également un devoir en l’honneur et en mémoire de celles et de ceux qui ont versé leur sang pour notre Patrie. » Cela n’est qu’une opinion, voire un dogme tel que l’idée est formulée, sans être davantage étayée. Peut-on contraindre les gens à être libres, si tenté que la liberté du citoyen soit suspendue à son droite de vote ? En attendant, ceux qui ont combattu en versant leur sang pour le régime actuel ont d’abord versé le sang des autres. L’histoire est têtue, comme les faits : il est parfois préférable de ne pas l’invoquer quand elle peut se retourner contre vous…

    Le droit de vote est déjà obligatoire dans de nombreux pays, dont certains voisins : la Belgique, le Luxembourg, ou l’Autriche. Plus loin, l’Australie a adopté le principe en 1924. Si jamais cette loi devait passer, espérons que le vote obligatoire aura plus de valeur que le vote non obligatoire : le traité constitutionnel rejeté par les français et adopté par le parlement laisse un goût amer…

    http://www.contre-info.com/

  • Droit de vote des étrangers : c’est reparti !

    Après le mariage pour tous, les socialistes mettent sur la table le droit de vote pour tous ! « Chose promise, chose due », pourrait-on dire, puisqu’il s’agit en effet de la proposition 50 du candidat Hollande. Mais la majorité se heurte ici à un sérieux problème

    Si le gouvernement dispose de la majorité aussi bien à l’Assemblée qu’au Sénat, il ne dispose pas en revanche la majorité des 3/5e, requise pour modifier l’article 3 de la Constitution : or, ce dernier stipule que « sont électeurs (…) tous les nationaux français majeurs des deux sexes. » Alors on va glaner des voix au centre… Les négociations sont engagées.

    Pas davantage l’homme de gauche accepte la différentiation sexuelle entre l’homme et la femme lorsqu’il promeut le « mariage » homo, pas davantage il accepte la distinction entre les nationaux et les étrangers lorsqu’il promeut le vote des étrangers. Il faut niveler les différences en leur préférant l’uniformisation ! Il faut s’émanciper des conditionnements naturels, qu’ils soient liés au sexe, ou bien qu’ils soient liés à l’appartenance à une structure d’enracinement ! En bref, l’homme est indifférencié : asexué et apatride en même temps !

    Alors on observe à gauche une volonté cachée de revenir au suffrage censitaire, en liant l’impôt et le droit de vote ! L’impôt , en tant que tel, n’est qu’une contribution à la vie sociale à laquelle participe l’étranger vivant sur le sol français : la contrepartie de l’impôt, c’est par exemple le bénéfice des infrastructures et des services publics. Quant à la participation à la vie politique (la citoyenneté), qui consiste à déterminer le destin d’une nation, il apparaît évident qu’il est lié à l’appartenance à cette même nation (nationalité). On ne dispose de l’avenir des autres lorsque l’on est invité chez eux !

    A droite, ce n’est cependant pas beaucoup mieux : on entend dire que si l’étranger veut voter, il n’a qu’à solliciter la naturalisation française ! Formidable : par simple démarche administrative, un étranger pourra alors, au-delà même des vœux de la gauche, participer à toutes les élections, également présidentielle ! Ou comment, en fabriquant des français de papier -puisque la nationalité est disponible automatiquement lorsque l’on naît sur le sol français, quand bien même on n’appartient au peuple français, ni par la filiation, ni même par l’adoption des codes et de l’histoire-, on permet à des populations extra-européennes de décider des lois qui régissent la société française !

    http://www.contre-info.com

  • Jean-Luc Mélenchon : un révolté en peau de lapin

    On peut quand même se demander en quoi Jean-Luc Mélenchon a-t-il des raisons de se révolter. Il fait partie de ces politiques qui dans la société civile n'auraient pas été grand-chose vu leur bagage scolaire. La politique a été un prodigieux moyen de promotion sociale et économique. Titulaire d'une licence de philosophie il n'aurait pas pu être professeur en classe terminale puisqu'il faut le CAPES ou l'agrégation. Une licence permet tout juste d'être pion ou comme le dirait le directeur d'école à Gérard Jugnot dans les Choristes : « pion-pion-pion-pion-pion... ».
    Ce petit vernis culturel a quand même permis à Jean-Luc Mélenchon d'avoir un baume de culture légèrement supérieur à une classe politique en général inculte, ce qu'on retrouve chez les journalistes. En tout cas, il a eu grâce à la politique des salaires très conséquents : ministre, deux fois sénateur pendant dix huit ans, député européen, maire, conseiller général... Il touchera donc une retraite généreuse. Certains estiment qu'il a gagné 37 000 € mensuel pendant des années. Bref, l'extrême gauche caviar.
    En dépit de son statut de privilégié, il a gardé des comportements des années soviétiques lorsqu'il insulte Marine Le Pen de semi-démente. En URSS on accusait ainsi de dérangement mental les opposants au régime, d'où leur psychiatrisation. Son accusation envers Marine Le Pen est non seulement infâme sur le plan personnel mais aussi politique. Lorsqu'il propose de mettre la famille Le Pen au goulag, personne n'a réagi alors que l'expérience montre que lorsqu'on met une personne dans un goulag, des dizaines de milliers d'autres suivent.
Mélenchon a le droit lui, de tout dire. Il est vrai que beaucoup le prennent pour un clown de la politique.
    Sur le fond, dans son discours il n'y a rien d'original. Il ne fait que ressusciter les vieilles lunes gauchistes, tiers-mondistes, de haine de soi, le métissage étant un moyen de détruire la société. Toutes ces idées reçues sont elles des années soixante et soixante dix, celles de l'adolescence de Mélenchon. Il est vrai que ce dernier est resté un ado (comme les khmers rouges qui ont assassiné la moitié des Cambodgiens). Le socialiste Gérard Collomb, Maire de Lyon déclarait que le programme de Mélenchon avait échoué au Cambodge. Physiquement, on remarque que Mélenchon ne fait pas vieux. Dormir au Sénat pendant dix-huit ans n'a jamais usé personne.
    Il veut faire sortir la France de l'Occident, rattacher la France au Maghreb, construire des mosquées encore et encore, prôner l'universel qui n'est que l'écrasement des êtres. Tous ses délires dignes d'Ubu ne font même pas rire son auditoire qui l'applaudit. En tout cas, le plus triste est que le contribuable et la société paient des mandats électoraux pour nourrir grassement des bouffons politiques.
    Patrice GROS-SUAUDEAU le 23 avril 2012

  • Le roi est toujours seul, par le Crieur du Cœur

    Quelle erreur ! Perdre encore son temps à critiquer François Hollande ! Il n’est pas celui qui a, le premier, ouvert les portes du notre pays à une immigration non contrôlée donc dangereuse ; ni ouvert les caisses de l’État  pour des dépenses inutiles  et des cadeaux stupides !!!

    Car le problème, ici et maintenant, c’est l’amas de courtisans, tous prêts à la lâcheté face aux loups en tous genres – y inclus du mauvais genre – face à la folle exigence des «nécessités de la vie» qui les mène à réclamer chaque jour un peu plus d’anarchie, un peu plus de laisser-aller, un peu plus de trahison des structures indispensables à toute société civilisée. En d’autres temps, on aurait appelé cela «la tactique du salami» ; mais aujourd’hui, un tel terme n’est ni kasher ni halal... il est médiatiquement incorrect. Mais qui est vraiment correct, de nos jours ?

    L’ennemi, il est arrivé en colonnes : de la cinquième à bien d’autres, y compris celle des termites gueulards ! Je n’ai pas dit l’adversaire, car ils ont rapidement tombé les masques. Ils sont les ennemis de toute civilisation, car toute civilisation a besoin, pour survivre, d’une solide base de respect, d’ordre, de discipline, et aussi de mérite. Oui, même le socialisme, que je répudie car on l’a vu à l’œuvre et jugé à ses tristes résultats partout où il a sévi, même le socialisme nécessite indubitablement, pour structurer une société et survivre, d’ordre : c’est indiscutable.

    Or, ce qu’ils tentent de promouvoir et d’instaurer, ce n’est ni le socialisme, encore moins la  haïssable utopie communiste : c’est l’anarchie totale, la chienlit comme l’avait déjà démasquée le général De Gaulle ; en fait, et il n’y a pas d’autre mot en bon et vrai français : le bordel universel ; même pas l’homosexualité  généralisée, n’en déplaise, mais une plurisexualité, l’infidélité établie comme base de toute relation : le négativisme envers et contre tout !

    Il y a déjà longtemps que le mal-être, cette maladie psychologique aux graves conséquences, cause fréquente de la ruine des institutions, avait déjà atteint, bien avant l’endémie qui ronge et liquéfie les cerveaux (ou ce qu’il en reste) des artistes qui essaient d’être des humoristes, l’expression (ou la pensée) de celui qui a été considéré comme un grand comique, je crois qu’il se nommait Pierre Dac, qui avait lancé, en guise de slogan naïf sous forme de programme d’action, l’affreux aphorisme suivant : «Pour tout ce qui est contre, et contre tout ce qui est pour» !!! Mais quel cerveau sain, normal, pourrait accepter une telle crétinerie qui, de plus, comporte sa stupide contradiction interne !

    Le seul, le vrai problème de notre époque – oui, ça c’est ici et maintenant !- c’est la dissolution des pensées !!!

    Car le pétrole, il va durer encore des décennies ; l’atome ? Mais ça, ça dure des millénaires ! Mais la liquéfaction des cerveaux, donc des sociétés, a déjà commencé ! Et que sera, que pourra être  un « roi » sans âme et sans amis ? Nicolas, François, seront vite relégués au rang de tristes marionnettes d’un passé déstructuré, haché menu par les crocs insensés de toutes ces fourmis rouges et de tous ces termites multicolores, noyant sous les accents du flot de novlangue vomi par ces zombies sous forme de vœux non pieux mais insensés, débiles et déliquescents !!! Et, pire encore, vous citoyennes et citoyens laxistes ou crédules, en serez réduits – et ce sera peut-être encore pire- à appeler à l’aide les militants des partis organisés et majoritaires mais ignorés jusqu’alors, toutes ces « chemises » roses, rouges, vertes, brunes, noires...

    Car toutes les anarchies sont destructrices, de Toulouse à Tombouctou, et elles se noient toutes, toujours, dans une dictature sanglante ; du Proche-Orient à l’Extrême-Orient, et j’en passe, car je ne puis crier toutes les souffrances de cette planète...

    http://www.francepresseinfos.com

  • Les partisans du vote obligatoire feraient mieux de s’abstenir

    Doit-on casser tous les thermomètres ?

    Et si l’on cassait tous les thermomètres, est-ce que la fièvre disparaîtrait ? C’est à cette question enfantine que fait songer la proposition de loi enregistrée sur le bureau de l’Assemblée nationale le 6 février 2013, « visant à rendre obligatoire l’exercice du droit de vote ».

    L’exposé des motifs est à lui seul un morceau d’anthologie : les auteurs de la proposition, parmi lesquels figurent les hérauts de la Droite populaire, Thierry Lazaro et Thierry Mariani, commencent par constater « la persistance de l’abstention à chaque scrutin, en dépit de tous les appels civiques qui invitent nos concitoyens à se rendre aux urnes », un phénomène qu’ils jugent « d’autant plus surprenant que les modalités de vote par procuration ont été assouplies ». Puis, après avoir rappelé, sur un ton qui fleure bon l’école primaire IIIe République, « que dans le passé, nombre de nos compatriotes se sont sacrifiés pour que notre démocratie reste française, libre, et que chacun de nos concitoyens puisse continuer à s’exprimer (…) en élisant ses représentants locaux et nationaux », les auteurs de la proposition en concluent que le vote, s’il est un droit, « doit être également un devoir en l’honneur et en mémoire de celles et de ceux qui ont versé leur sang pour notre Patrie ». « Aussi convient-il d’organiser le caractère obligatoire de l’exercice du droit de vote », qu’ils proposent, avec une audace inouïe, d’inscrire dans le code électoral, et d’assortir d’une amende de 15 €, pouvant monter jusqu’à 45€ en cas de récidive dans les cinq ans.

    L’argumentaire avancé laisse un peu rêveur : l’ultime justification d’une démocratie à bout de souffle, la seule raison d’aller voter, serait donc d’honorer la mémoire de ceux qui, jadis, se sont sacrifiés pour faire reconnaître ce droit – et plus généralement, sans que l’on discerne bien la corrélation logique, de « celles et ceux qui ont versé leur sang pour notre patrie » ? Nul doute que Jeanne d’Arc, Bayard et d’Artagnan apprécieront l’hommage. [...]

    Frédéric Rouvillois - La suite sur Causeur

    http://www.actionfrancaise.net

     
  • Rome: Casapound Italia présente sa « monnaie alternative »

    Rome: Casapound Italia présente sa « monnaie alternative »

    ROME (NOVOpress) – A l’occasion de la campagne électorale pour les élections régionales des 25 et 26 février prochains, le mouvement de droite radicale et sociale Casapound Italia va présenter à la population une des mesures qui composent son programme politique de rupture: une monnaie « complémentaire », appelée Equo, pour favoriser le commerce de proximité et la solidarité communautaire (ci-dessus).

    C’est Simone Di Stefano, candidat à la présidence de la région, qui, en compagnie de l’expert en systèmes monétaires Giovanni Passali, va présenter cette monnaie alternative inventée par Casapound pour le Lazio.

    Pour Casapound, cette monnaie locale se veut une réponse à la crise permettant «d’économiser de l’argent et donnant de l’élan à l’économie territoriale, les gens étant encouragés à consommer et utiliser des biens et services produits dans la région par les entreprises régionales et les professionnels locaux, bien loin de la logique spéculative ».

    Selon ses promoteurs cette monnaie stimulera l’économie locale et pourrait offrir aux familles jusqu’à 30% de pouvoir d’achat supplémentaire.

    http://fr.novopress.info/

  • La fin du "cumul pour tous" ? Pas pour Najat Vallaud-Belkacem

    Lu ici :

    Najat"Lorsque la porte-parole du gouvernement lance une opération de communication, elle sait y faire. Point presse, interview... Najat Vallaud-Belkacem s'est autofélicitée le 4 février d'avoir démissionné de ses fonctions de conseillère municipale de Lyon et de conseillère communautaire du Grand Lyon afin de respecter "l'esprit" de la future loi sur le non-cumul des mandats. Et d'insister :

    Difficile d'être plus... clair ! Sauf que des zones d'ombre demeurent. Surtout pour la ministre des Droits des femmes, qui détenait jusqu'à aujourd'hui un double record au sein du gouvernement : trois mandats locaux et des indemnités atteignant le plafond légal de 2 757 euros. Une situation qui est loin d'avoir autant évolué qu'elle ne le laisse entendre.

    A l'inverse de plusieurs de ses camarades qui ont abandonné toute fonction ou toute rémunération dans leurs terres d'élection, Najat Vallaud-Belkacem conserve un mandat, celui de conseillère générale du Rhône, qui est aussi le mieux payé, de telle sorte qu'elle atteint toujours le même plafond."

    http://lesalonbeige.blogs.com

  • Projet « Parlement & Citoyens » : le PS craint une « OPA de la fachosphère »

    Le FN cannibalise le lancement du projet Parlement & Citoyens

    Une image inédite… et un certain malaise. Marion Maréchal-Le Pen et Louis Aliot (FN) assis côte-à-côte, presque épaule contre épaule, avec le député Bruno Le Maire (UMP) et le sénateur Joël Labbé (EE-LV), dans un salon de réception de l’Assemblée nationale. Tous ces parlementaires étaient présents mercredi soir, avec des représentants de plusieurs think tanks, au lancement du projet web Parlement et Citoyens, un site qui permet aux internautes de participer directement à l’élaboration de propositions de loi soumises par des parlementaires. Une occasion dont le Front national n’a pas manqué de profiter. «Un événement et une victoire pour nous», disait même Louis Aliot, le vice-président du Front national et animateur du think tank Idées Nation, y voyant un symbole de la «légitimisation» du FN au parlement. [...]

    Pour le député Dominique Raimbourg (PS), il s’agit d’une «tentative intéressante d’amener les citoyens à participer à la complexité des choses».

    Quid du risque de voir la «fachosphère», très active sur Internet, faire une OPA sur le projet en «trollant» les débats  ?

    «Individuellement, ils sont probablement plus fort que toutes les autres forces politiques à ce niveau-là, c’est vrai. Mais collectivement, tous les autres partis représentés sont plus forts qu’eux donc il y aura un équilibre. Les échanges seront de toutes façons modérés.» [...]

    Libération

    http://www.fdesouche.com

  • L’UMP voudrait récupérer Paris, mais ne sait pas avec qui

     L'UMP, qui tente de masquer ses errements sous la fibre martiale de la « reconquête », se prend à rêver de la mairie de Paris, la ville des paradoxes électoraux qui s'est donnée à la gauche en 2001.

    Malade de ses divisions depuis la cassure des années Balladur-Chirac (1995), la « droite parlementaire » croit déceler en Nathalie Kosciusko-Morizet l'hybride politique à même de séduire un électorat qui s'embourgeoise tout en s'ancrant à gauche.
    Lors de l'élection présidentielle du 6 mai 2012, François Hollande l'a emporté largement dans la capitale, qui n'avait jamais placé en tête un candidat de gauche.
    Pensant conjurer les divisions, Jean-François Copé, président de l'UMP après un affrontement fratricide avec François Fillon, a décidé une primaire ouverte pour désigner une tête de liste à même de bouleverser le scénario annoncé d'une victoire en 2014 de la socialiste Anne Hidalgo, la « dauphine » de Bertrand Delanoë. Ce dernier, qui achèvera alors son second mandat de maire, avait annoncé dès 2007 qu'il ne se représenterait pas.
    « Mais il serait bon que nous ne nous combattions pas les uns les autres avant de combattre les socialistes », prévient le député UMP de Paris Bernard Debré.
    UNE PRIMAIRE DÉJÀ CONTROVERSÉE
    L'entrée en scène de Nathalie Kosciusko-Morizet - reflet de « la bourgeoise tout à la fois chic et bohême » (les bobos) susceptible, selon des stratèges de l'UMP, de réconcilier les « beaux quartiers » et les arrondissements populaires, avait paru pacifier la fédération parisienne. Il n'en est rien.
    Le conseiller de Paris Pierre-Yves Bournazel, représentant de l'aile copéiste (minoritaire) et candidat déclaré avec une autre copéiste, Rachida Dati, a dénoncé un « pustch », alors que le dépôt des candidatures sera clos le 28 février pour une primaire ouverte prévue entre la mi-avril et la mi-mai.
    Les Parisiens inscrits sur les listes électorales (environ 1,25 million) et désireux de participer au scrutin électronique devront s'acquitter de deux euros.
    Le "non aligné" Jean-François Legaret, maire du Ier arrondissement qui songe à une possible candidature, se répand en critiques sur l'« opération marketing » de Nathalie Kosciusko-Morizet, qui n'a toujours pas formalisé ses intentions.
    La maire du VIIe arrondissement Rachida Dati, qui avait échoué à contrer le parachutage de François Fillon, refuse de s'avouer vaincue. « Les Parisiens supportent mal le tourisme électoral », dit-elle à propos de « NKM » qui, née à Paris, est maire de Longjumeau (Essonne) depuis mars 2008.
    Souvenons-nous que les primaires UMP, par internet, qui avaient présidé à la candidature de François de Panafieu aux municipales de 2008 avaient déjà été contestées par les autres prétendants, comme Claude Goasguen ou Pierre Lellouche, qui avait dénoncé des fraudes.
    Par ailleurs, quid de l’ambiguïté de Borloo ?...