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A la une de cette édition, nous reviendrons sur les institutions européennes qui veulent augmenter les futurs budgets de Bruxelles, et mettre en place des taxes à l’échelle européenne pour les financer.
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A la une de cette édition, nous reviendrons sur les institutions européennes qui veulent augmenter les futurs budgets de Bruxelles, et mettre en place des taxes à l’échelle européenne pour les financer.
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Au programme de cette édition, retour sur la paix en Ukraine au lendemain de la rencontre russo-américaine. Alors que le chemin paraît encore bien loin pour mettre un terme à la guerre, l’Union européenne agite toujours les feux.
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Au programme de cette édition, Emmanuel Macron veut imposer un label pour les médias. Après sa bataille pour la censure des réseaux sociaux, le président entend maintenant serrer la vis des médias pour accroître le contrôle de l’information.

Travailleuse acharnée et fine stratège, Sarah Knafo bouscule les codes d’une vie politique française anesthésiée par le conformisme. À 32 ans, cette énarque passée par la Cour des comptes est bien plus qu’un « bras droit » d’Éric Zemmour : elle est l’une des rares figures de la jeune génération capable de renvoyer les ayatollahs du politiquement correct à leurs contradictions, chiffres en main.
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Au programme ce soir, Volodymyr Zelensky à Paris pour sortir du scandale de corruption en Ukraine. Alors que Donald Trump tente de réinstaurer la paix, le président ukrainien est empêtré dans une affaire de détournement de fonds de plusieurs de ses proches… L’occasion de se réfugier aux côtés d’Emmanuel Macron, ravi de l’opération diversion.


par Raphaël Besliu
Le chef du gouvernement belge a tapé du poing sur la table ce jeudi 27 novembre. Dans un courrier au vitriol, Bart De Wever démolit point par point le projet d’Ursula von der Leyen visant à ponctionner les avoirs russes bloqués chez Euroclear pour renflouer l’Ukraine.
Sur quatre pages, le dirigeant flamand ne mâche pas ses mots contre ce «prêt de réparation», qu’il juge n’être qu’un habillage juridique pour une saisie de fonds souverains. C’est un précédent dangereux que la Belgique ne compte visiblement pas cautionner sans broncher.