
Passés maîtres dans l’art de la dissimulation, les Frères musulmans et leurs associations islamistes ont trouvé dans les instances bruxelloises un sas d’entrée privilégié pour pousser leur avantage en Europe. Aux frais du contribuable. Enquête.
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Passés maîtres dans l’art de la dissimulation, les Frères musulmans et leurs associations islamistes ont trouvé dans les instances bruxelloises un sas d’entrée privilégié pour pousser leur avantage en Europe. Aux frais du contribuable. Enquête.
Le chancelier allemand Olaf Scholz connaissait à l'avance les plans du président américain Joe Biden pour punir le peuple allemand en faisant exploser les pipelines Nord Stream.
Cette connaissance entraînera la mort politique de Scholz. Il n'est pas exclu que le chancelier allemand en exercice soit jugé pour trahison d'État.
Jeudi 9 mars, le prince et la princesse de Galles, olim "Kate et William", visitaient le centre musulman Hayes, à Londres.
On sait que la famille royale en général, et que les héritiers du trône en particulier, sont rompus à l'exercice, et qu'ils ont toujours su faire ce qu'il fallait.
L’OTAN passe discrètement « à autre chose » que l’Ukraine – vers une guerre froide contre la Chine, tandis que les États-Unis préparent une guerre froide de sanctions « sans précédent » contre Pékin.
Lors d’une récente interview, Nicholas Burns, l’ambassadeur des États-Unis en Chine, après avoir qualifié la Chine de « menace », a déclaré sans ambages : « Nous sommes le leader de cette région [indo-pacifique]. Et nous restons ». L’interviewer, Mike Gallagher, membre du Congrès des États-Unis, a décrit la nouvelle guerre froide des États-Unis comme n’étant pas un match de tennis courtois, mais une lutte existentielle pour la vie au XXIe siècle.
Effet boomerang pour l'Occident
L'économie russe à genoux ?
Un vent de panique est-il en train de souffler sur les secteurs bancaires américains et européens ? S'il est encore trop tôt pour le dire, les difficultés rencontrées par la banque californienne SVB Financial Group semblent largement se répercuter en Europe dans la matinée du 10 mars.
C’est une enquête qui fera référence et que nos dirigeants politiques devraient lire avec attention. Le Frérisme et ses réseaux de Florence Bergeaud-Blackler est une somme impressionnante dans laquelle l’anthropologue au CNRS décrypte le fonctionnement du mouvement islamiste des Frères musulmans. La chercheuse explore ses racines historiques et ses fondements doctrinaux, mais surtout met en lumière la manière dont il s’est internationalisé, faisant de l’Europe sa terre d’élection. Préférant la duplicité à la confrontation, davantage stratèges que théologiens, les Frères ont su étendre leur emprise sur les institutions européennes par le biais d’une myriade d’associations « antiracistes » et par la subversion des « droits de l’homme ». Leur but final, souligne Florence Bergeaud-Blackler, n’est autre que l’accomplissement de la prophétie califale, c’est-à-dire l’avènement d’une société islamique mondiale, dont l’Europe, pourrait être l’épicentre.
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Source : Le Figaro 9/3/2923
Seulement voilà, l’Angleterre nous démontre qu’avec un tant soit peu de volontarisme, une autre société est possible, comme on dit à l’extrême gauche.
Sur fond de crise énergétique et de coopération industrielle sur l’armement, l’aéronautique et l’espace, les relations franco-allemandes se sont dégradées. Avec en arrière-plan « l’ami américain » et la diabolisation de toutes les opinions dissidentes. Interrogé pour le site Politically Incorrect News par Nicolas Faure (le germaniste, à ne pas confondre avec son homonyme Nicolas Faure d’I-Média et Sunrise), voici les réponses (en français) de Jean-Yves Le Gallou. Nos lecteurs trouveront en lien la publication en allemand.
Nicolas Faure : En France comme en Allemagne, il est de bon ton de qualifier avec le terme infamant d’« extrême droite » tous ceux qui défendent le camp national. Comment expliquer un tel recours à l’invective de la part des médias et des politiques ?
C’était de la même inspiration que la loi Climat et Résilience de 2021 - française mais déclinée partout - qui imposait à toutes les agglomérations de plus de 150.000 habitants la mise en place, au 31 décembre 2024, de ZFE (zones à faibles émissions).