« Faites ce que je dis, pas ce que je fais » : cette phrase est sans doute celle qui résume le mieux l’attitude d’une Commission européenne arrogante et donneuse de leçons vis-à-vis des gouvernements des Etats membres. Des leçons sur la transparence notamment, mais une transparence qui doit s’appliquer à tous sauf à… la Commission elle-même.
Europe et Union européenne - Page 259
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L’opacité de la Commission européenne sur ses négociations avec Pfizer-BioNTech
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Le Danemark lève toutes les restrictions sanitaires
Le Danemark est le premier pays à lever les mesures contraignantes en Europe.
Ce premier février nos voisins danois lèvent toutes les mesures de restrictions, considérant que le peu de dangerosité d’Omicron et la bonne couverture vaccinale du pays permettaient un retour « à la vie d’avant. »
Les autorités estiment en effet que 80% de la population sont protégés des formes graves de l’épidémie.
Le gouvernement mise sur la prudence et le sens des responsabilités des citoyens au lieu d’imposer des restrictions.
CH
https://www.tvlibertes.com/actus/le-danemark-leve-toutes-les-restrictions-sanitaires
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Mystérieux textos entre Ursula von der Leyen et le patron de Pfizer
Des discussions sèment le trouble entre Ursula Von Der Leyen et le patron de Pfizer au sein du Parlement européen, la présidente est pointée du doigt, une médiatrice appelle à une transparence sur ces messages.
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Législatives au Portugal : à peine trois ans après sa création, le parti “Chega”, classé à l’extrême-droite, devient la 3ème force politique du pays
Le Portugal n’avait jamais eu d’extrême-droite parlementaire depuis la Révolution des oeillets. C’est chose faire depuis les législatives du 30 janvier avec le parti “Chega”
(…) Mais la vraie surprise d’hier n’est pas tant la victoire d’un socialiste dans des élections législatives. Non, la vraie surprise d’hier pour les Portugais, c’est la 3e place obtenue par l’extrême-droite de « Chega » qui signifie « Ça suffit ! » avec plus 7% des voix.
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La Hongrie refuse l’envoi de troupes supplémentaires de l’OTAN sur son territoire dans le cadre des tensions entourant l’Ukraine
Le ministre de la Défense hongrois a exprimé son opposition au renforcement de l’OTAN sur son territoire dans le cadre des tensions entourant l’Ukraine. Il a également confirmé l’opposition de Budapest à une éventuelle adhésion à l’Alliance de Kiev.
(…) Tibor Benko s’est exprimé sur la situation en ces termes : «La Hongrie a déjà créé une telle force nationale, développé de telles capacités nationales que, dans la situation actuelle, il n’est pas nécessaire de compter sur d’autres forces et troupes étrangères […] Nous ne considérons pas qu’il soit approprié – et nous ne demandons pas – que des renforts de l’OTAN soient déployés ici. Nous pouvons nous en charger.»
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Ursula von der Leyen sert la soupe de la propagande d’Emmanuel Macron
Dans une vidéo, Ursula von der Leyen, présidente de la commission européenne, annonce que, dans sa grande mansuétude, l’Union européenne va octroyer 7,4 milliards d’euros à la France :
“Nous estimons”. “Nous” est trop bon…
Elle nous parle comme à un pays sous développé qui reçoit une aide du FMI.
Rappelons tout de même que l’article 53 de loi de finances pour 2022 fixe à 26,4 milliards d’euros la contribution de la France au budget de l’Union européenne pour 2022. En 2021, la contribution française au budget européen devait atteindre 28,8 milliards d’euros. Un montant qui représente 18 % des contributions des Etats membres. La France est ainsi le deuxième contributeur au budget de l’UE derrière l’Allemagne (26 % des contributions nationales) et devant l’Italie (13 %).
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Hervé Juvin interpelle le ministre Franck Riester sur la relocalisation
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Il serait temps que les Français le comprennent : malgré les ronds de jambe d’Emmanuel Macron, l’Allemagne n’est pas un allié fiable.
L’Allemagne se montre manifestement trop complaisante avec la Russie dans la crise ukrainienne, répète-t-on à Kiev. Mais l’accusation circule également dans plusieurs capitales occidentales, y compris… à Berlin, où une partie de l’opposition au gouvernement d’Olaf Scholz en profite pour souligner certaines contradictions de sa politique étrangère. Or, Paris se veut plus discret pour ne pas entraver la présidence tournante du Conseil de l’Union européenne, tant vantée par Emmanuel Macron.
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Contre Bruxelles, Carlos Tavares annonce le chaos social. Et s’il avait raison ?
Ce 18 janvier, le patron du jeune groupe automobile Stellantis n’a pas mâché ses mots à l’encontre de la politique industrielle imposée de la Commission européenne. Il lui adresse – par le biais d’une interview faite à Paris et publiée simultanément par quatre journaux européens (Les Échos, Handelsblatt, Corriere della Sera, El Mundo) - une sévère mise en garde quant aux conséquences sociales graves que risque d’entraîner son plan de décarbonation de l’industrie automobile par le tout électrique.
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Face au refus de la Pologne de se soumettre aux décisions de Bruxelles, l’Union européenne lui réclame 69 millions d’euros de pénalités
Face au refus de la Pologne de se soumettre aux décisions de Bruxelles, et notamment à certaines décisions de la Cour de justice de l’UE, l’Union européenne lui réclame 69 millions d’euros de pénalités. Ce n’est pas tout, l’exécutif communautaire menace également de prélever cet argent sur les fonds du plan de relance européen en cas de retard.