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Europe et Union européenne - Page 337

  • Une pétition réclame l’envoi de troupes françaises à la frontière gréco-turque !

    Une pétition, qui a été lancée le 4 mars, réclame l’envoi de troupes françaises à la frontière gréco-turque.

    Voici le texte de présentation :

    Erdogan, le président islamiste de la Turquie, a ouvert ses frontières et encourage des dizaines de milliers de migrants à déferler sur l’Europe à travers la Grèce. Sa volonté de déstabiliser et islamiser l’Europe n’est pas nouvelle. Aujourd’hui, il menace de lancer sur notre continent les presque 4 millions de migrants musulmans présents dans son pays.

    À la frontière, les migrants tentent de prendre d’assaut au cri d’Allah Akbar les barrières mises en place par les forces de l’ordre et l’armée grecques. La population est venue prêter main forte aux garde-frontières, même les paysans font barrage avec leurs tracteurs !

    Les Grecs sont pour l’heure seuls à faire face à cette menace. Le Danemark et l’Estonie ont déjà proposé l’envoi de bateaux et d’avions de surveillance ainsi que d’équipages de garde-côtes. La France, elle aussi, doit envoyer de toute urgence des navires et des hommes de nos forces armées pour épauler les Grecs face à cette invasion car c’est bien toute l’Europe qui est menacée !

    Pour signer la pétition : http://www.france-petitions.com/petition/654/pour-l-envoi-de-troupes-francaises-a-la-frontiere-greco-turque

    https://fr.novopress.info/

  • De l’Italie aux Etats-Unis, le combat pour la vie avance

    De l’Italie aux Etats-Unis, le combat pour la vie avance

    En Italie, 70 % des gynécologues refusent de pratiquer l’avortement au nom de leur liberté de conscience.

    Aux Etats-Unis, la Cour suprême doit valider ou annuler une loi votée en Louisiane, qui impose à un médecin, prêt à pratiquer l’avortement, de travailler à moins de 50 kms du lieu de l’avortement. Par effet en chaine, une seule clinique demeurerait capable de faire des avortements dans toute la Louisiane. Cela se produit au moment où les Etats du Sud multiplient les législations pro-vie. Dans l’Alabama, un médecin qui pratique un avortement, même après un viol, risque désormais 99 ans de prison. En Georgie ou dans le Tennessee, le délai pour avorter est désormais de 6 semaines. Sur les 50 Etats américains, 28 sont engagés dans des démarches de limitation de l’avortement. L’objectif est que la Cour Suprême change la jurisprudence nationale, qui autorise l’avortement depuis 1973 et le célèbre arrêt Roe contre WadeLa Cour Suprême devrait rendre sa décision en juin.

    Aujourd’hui, les deux juges les plus âgés de la Cour Suprême (où ils sont nommés à vie) sont des magistrats progressistes, ils ont 86 et 81 ans. Donald Trump (qui a déjà nommé 2 juges conservateurs) pourrait, s’il est réélu, miser sur leur disparition pour les remplacer et ancrer la Cour pour 10, 20, 30 ans.

    https://www.lesalonbeige.fr/de-litalie-aux-etats-unis-le-combat-pour-la-vie-avance/

  • Munich sur Bosphore

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    Par Natacha Polony

    Le nouveau ces visages. De nouveau ces gens entassés dans des canots, ou massés devant les barbelés d’une frontière. De nouveau leur désespoir et leur révolte. En fait, ils n’avaient jamais disparu. Ils étaient entassés dans des camps, du côté de la frontière turco-syrienne, ou dans le pourtour des métropoles, Istanbul, Izmir... Ils tentaient de survivre, de s’intégrer, de se forger un avenir. Mais voilà qu’ils réexistent tout à coup dans la stratégie de Recep Tayyip Erdogan. Des pions sur un échiquier. Des pions qu’on peut envoyer crever dans des canots de fortune après avoir affrété des bus et lancé des messages mensongers sur l’ouverture des frontières.

    A cet ignoble jeu, l’Europe est échec et mat. Trop divisée, trop empêtrée dans ses contradictions. Exactement là où l’attendait le président turc. Ces hommes et ces femmes sont des réfugiés. Ils ont fui leur pays en guerre. Ils ont fui les bombes, la faim, la peur. Et l’honneur de l’Europe est d’avoir inventé le droit d’asile pour tous les êtres humains pourchassés, martyrisés, au nom d’idées politiques et de pulsions guerrières. Ceux, d’ailleurs, qui ne cessent de fustiger le méchant « Occident » prédateur devraient s’en souvenir : cette civilisation européenne qui, certes, a abusé de sa puissance et s’est savamment autodétruite, est celle qui a poussé le plus loin l’idée de respect de toute vie humaine et de protection des plus faibles. Tout n’est pas blanc ou noir. Aujourd’hui, comme en 2015, l’Europe se voit sommée de donner corps à ses principes. Voulons-nous vraiment voir des douaniers grecs tirer sur des hommes, des femmes et des enfants?

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  • La Grèce résiste à l’invasion depuis la Turquie

    La Grèce résiste à l’invasion depuis la Turquie

    Les Premiers ministres hongrois, polonais, slovaque et tchèque ont salué mercredi les efforts de la Grèce pour endiguer l’afflux d’immigrés en Europe suite à la décision de la Turquie d’ouvrir sa frontière occidentale.

    Viktor Orban a affirmé mercredi qu’il y avait «déjà 130.000 migrants au nord et à l’ouest de la frontière gréco-turque qui se dirigeaient vers l’Europe».

    « Cette masse doit être arrêtée le plus au sud possible, et si cela ne fonctionne pas, alors bien sûr, comme en 2015 en dernier recours, les Hongrois seront là pour les arrêter à la frontière serbo-hongroise ».

    Les deux tiers de ces migrants sont des Afghans, des Irakiens et des Africains, et non des Syriens, selon la Russie. De samedi matin jusqu’à mardi après-midi, les autorités grecques ont empêché 26.532 migrants venant de Turquie d’entrer illégalement en Europe. Au total, 218 individus ont été arrêtées.

    Les autorités grecques ont déclaré avoir contrecarré la tentative d’un millier de personnes de traverser à la nage la rivière d’Evros, à l’extrémité sud de la frontière.

    A Evros (Grèce), les fermiers aident les policiers et les militaires à patrouiller la frontière pour stopper l’arrivée de migrants (photo).  Les Grecs en ont marre et chassent les journalistes et les responsables d’associations immigrationistes ! La route terrestre étant compromise, beaucoup de migrants tentent de franchir la frontière par la mer. Sur la journée de dimanche, 17 bateaux et 763 personnes ont débarqué sur l’île de Lesbos.

    Recep Tayyip Erdogan a réaffirmé qu’il ne comptait « pas fermer les portes » de son pays aux migrants.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-grece-resiste-a-linvasion-depuis-la-turquie/

  • Coronavirus en Italie : l’argent des soins de santé a-t-il été dépensé pour l’accueil des migrants ?

    Liberoquotidiano.it – Peu de médecins, peu d’infirmières, peu d’unités de soins intensifs, risque d’engorgement, voire d’effondrement. L’urgence du Coronavirus a mis en lumière ce que les citoyens et les administrateurs locaux savent depuis longtemps.

    Il y a eu l’austérité, la dette à contenir (qui a plutôt explosé), mais pour les migrants, curieusement, on a trouvé les financements. Vous vous souvenez tous d’Emma Bonino, qui a expliqué comment le gouvernement Renzi a obtenu à l’époque une certaine flexibilité (c’est-à-dire la possibilité de faire des déficits) en échange de l’accueil de clandestins.

    Bref, il y avait de l’argent pour l’accueil. Et pas simplement deux sous. Il n’existe pas de comptes précis, mais depuis 2010, l’Italie a dépensé environ 20 milliards pour accueillir et soutenir les demandeurs d’asile ou autres. Durant la même période, le système national de santé a perdu 37 milliards.

    (…) Argent de poche quotidien, dépenses de santé, personnel: les dépenses sont passées d’un peu moins d’un milliard en 2012 à plus de 4 milliards en 2018. Au cours de la période de  2014 à 2016, l’urgence des migrants a coûté – selon une étude du centre d’étude ImpresaLavoro – environ 6 milliards 145 millions d’euros.

    Selon le journal italien Libero Quotidiane, lorsque Matteo Salvini était ministre de l’Intérieur, et grâce à la réduction des débarquements et à l’introduction de décrets de sécurité, les dépenses des migrants ont baissé de 1,5 milliard.

    (…) Liberoquotidiano.it via Les Observateurs

  • Les Grecs à l’avant-poste d’une nouvelle immigration massive

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    Par Paul Tormenen, juriste ♦ Le 29 février, le président turc Erdogan a annoncé qu’il allait ordonner aux douaniers de son pays de ne plus garder la frontière avec la Grèce. Si cette annonce n’est pas nouvelle, elle est maintenant mise à exécution. Dans le même temps, de nombreux Grecs manifestent contre la pression migratoire sur les îles de la mer Égée. Mais une réaction ferme des gouvernements européens face aux manœuvres du président turc tarde à se concrétiser. Au risque de créer un nouvel appel d’air aux conséquences incalculables pour les Européens.

    La Grèce, zone de transit

    En septembre 2019, le président turc Erdogan menaçait déjà de « continuer à envahir l’Europe de migrants si la Turquie ne reçoit pas plus de fonds » de l’Union européenne (1). Après le pic de 2015 et une baisse ensuite, le nombre d’arrivées illégales en Grèce recommence à augmenter fortement depuis 2017, avec une accélération depuis le mois de décembre 2019.

      Arrivées illégales en Grèce
    2017 36 310
    2018 50 508
    2019 74 613

    Source : UNHCR Refugee situation

    Le 29 février 2020, le président turc annonçait qu’il laisserait dorénavant les frontières de l’Europe ouvertes aux migrants (2). Selon certaines sources, non seulement la frontière gréco-turque n’est plus contrôlée par les douaniers turcs, en dépit de l’accord signé en 2016 entre l’Union européenne et la Turquie, mais également des migrants seraient fortement incités à se rendre en Europe (3). C’est par milliers que ceux-ci se massent et franchissent illégalement par la mer et la terre une frontière dont la surveillance par les autorités grecques est renforcée (4).

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  • Un ancien juge à la CEDH confirme l’enquête de l’ECLJ sur le scandale Soros

    Un ancien juge à la CEDH confirme l’enquête de l’ECLJ sur le scandale Soros

    Boštjan Zupančič est le juge ayant eu le plus long mandat à la Cour européenne des droits de l’homme, de 1998 à 2016. Il en a présidé la troisième section, et a également été juge à la Cour constitutionnelle de Slovénie et vice-président du Comité des Nations-Unies contre la torture. Il réagit aux révélations sur l’infiltration de la CEDH par des juges liées au réseau de l’Open Society de George Soros :

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  • À Angers comme à Anvers, le soutien à la résistance grec s'organise

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    Angers, affichage de nos camarades de l'Alvarium.

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    Anvers, manif du Vlams belang devant le consulat turc...

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Vers une troisième guerre médique ?, par Benoît Busonier

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    Le parallèle est évident, il est impossible de passer à côté : exactement 2 500 ans après, les Thermopyles sont rejouées. Dans le rôle de Xerxès, Recep Tayyip Erdogan. Dans le rôle des 300 Spartiates et des 700 Thespiens, les soldats grecs. L’Orient leur a envoyé 30 000 soldats, mal équipés, affamés, mal payés, de toutes langues et tribus, c’est-à-dire programmés pour se servir sur le pays, par le pillage et le viol. Certes, les AR-15 ont remplacé les sarisses, mais jusqu’à la fin des temps les hommes porteront des casques pour se battre. Le cou crispé par le casque lourd, les poignets serrant les armes : le contexte change mais les sensations sont les mêmes, de l’hoplite au grenadier voltigeur. En – 480, les soldats se sont fait submerger par le nombre des guerriers, mais ont gagné un temps précieux, permettant à la Grèce de se préparer, si bien que la seconde guerre médique a été gagnée après les batailles de Salamine, Platées, puis du cap Mycale.

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