Europe et Union européenne - Page 443
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Guillaume Bernard s'exprime sur les élections européennes
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Frédéric Boccaletti : « Non, le Var, ce n’est pas Facholand »
Manon Aubry, tête de liste de La France insoumise aux élections européennes, a déclaré, ce week-end, dans une réunion publique : « Moi qui ai grandi dans le Var, à Facholand. » Réaction au micro de Boulevard Voltaire de Frédéric Boccaletti, conseiller régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur et délégué départemental du Rassemblement national dans le Var.
Manon Aubry a déclaré devant 200 militants :’’ moi qui ai grandi dans le Var à facholand, je sais ce que c’est de se battre’’.
Le Var est-il facholand ?Le Var n’est pas du tout facholand ! On est bien loin de cette caricature-là. Les Varois ne sont pas des fachos. Ils sont simplement des nationaux sincères qui aiment leur nation et ce qu’elle représente. Ils ont l’amour sincère de la patrie. Malheureusement Manon Aubry ne peut pas s’empêcher de tomber dans l’insulte de l’ensemble des Varois.
Les électeurs du Rassemblement national étaient bien évidemment visés. Elle insulte l’ensemble des Varois et un magnifique département.
Je trouve cela assez gonflé de la part de cette personne qui fait partie de l’extrême gauche. Cette idéologie politique a fait plusieurs dizaines de millions de morts à travers le monde. C’est d’autant plus choquant quand c’est repris par la presse. Var-Matin reprend l’intégralité des propos de Manon Aubry. La mère de Manon Aubry, Catherine Poggy Aubry est elle même candidate sur liste de la France Insoumise en 57e position. C’est une ancienne journaliste de Var-Matin. Il y a peut-être une relation de cause à effet dans tout cela. Je trouve cela totalement lamentable, autant de la part de Manon Aubry que du journaliste de Var-Matin.Le Rassemblement national est bien implanté dans le département et dans la région.
Voyez-vous une sorte de reconnaissance vis-à-vis du Rassemblement national ?Je n’attends aucune reconnaissance de cette personne-là. Il est vrai que nous sommes bien implantés dans le Var et dans la région PACA. Madame Aubry peut se garder les insultes. Avant de monter au cocotier, faut-il encore avoir le caleçon propre.
Quand on reprend les propos récents de monsieur Thomas Guénolé et les attaques qu’il fait contre la France Insoumise et Monsieur Mélenchon, je pense qu’en termes de démocratie, son propre mouvement n’a pas beaucoup de leçons à donner.La campagne européenne de la région PACA a commencé depuis quelques semaines. On a vu une tête de liste En Marche en difficulté face à la liste du Rassemblement national.
Pensez-vous que votre formation politique soit en mesure de gagner et de dépasser la République En Marche ?J’en suis convaincu. Je pense que le soir du premier tour, nous arriverons en tête. Madame Loiseau est en train de s’écraser complètement en plein vol. On l’a vu au-delà de tout ce qu’elle peut représenter politiquement. Elle aussi était donneuse de leçon. On l’a vu face à Marine Le Pen. Elle lui disait’’ j’ai hérité le combat contre l’extrême droite de mon père’’.
Cette dame a oublié qu’elle avait elle-même participé à une liste où le GUD était représenté. On tombe encore une fois dans la leçon et la caricature.
Mais il faut surtout retenir les idées que portent Madame Loiseau et Manon Aubry. Elles sont totalement à l’opposé de ce que nous voulons pour l’Europe. Ces deux candidates sont favorables à l’Union européenne telles qu’elle est aujourd’hui, voire à aggravation de la situation de notre nation.
Nous ne sommes pas du tout favorables à cette Union européenne. Nous voulons une Europe des Nations changées de l’intérieur avec nos alliés européens.https://www.bvoltaire.fr/frederic-boccaletti-non-le-var-ce-nest-pas-facholand/
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Rapport de la CNCDH : « Vivre ensemble »… mais sans les Blancs
La CNCDH ou « commission nationale consultative des droits de l’homme », supposément « indépendante », selon son site, a rendu son 28e rapport concernant la « lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie » le 23 avril 2019. L’idée générale ? Malgré la violence islamo-terroriste récente ou l’immigration de masse qui ne dit pas son nom, les Français seraient de plus en plus tolérants. Une enquête de 300 pages vient appuyer cette idée. Qu’apprenons-nous cependant en lisant plus attentivement ? Que l’islamophobie est une forme spécifique de discrimination (mais pas la christianophobie), que le calcul de l’indice de tolérance divise la population en Noirs, juifs, maghrébins, musulmans et roms (pas de Blancs, chrétiens ni d’Européens concernés), que le racisme concerne les « minorités », que la prédisposition à la tolérance est liée à « l’orientation politique » (le rapport identifie les méchants sympathisants LR et RN), que la délinquance à caractère raciste baisserait, à l’exception des actes antisémites, que les actes anti-chrétiens sont dilués dans les actes antireligieux, que la majorité des actes racistes ne seraient pas déclarés…
Un exemple d’islamophobie ? « L’opinion négative d’une partie des Français reste cependant marquée par leur perception d’une religion conquérante et par le sentiment que certaines pratiques musulmanes sont peu compatibles avec le “vivre ensemble”. »
Le rapport recommande par ailleurs de cadrer médiatiquement et politiquement l’information, d’agir à l’école ou de « lutter contre le “racisme policier” et la violence qui peut en découler (notamment mettre un terme aux pratiques abusives et discriminatoires des forces de police constatées dans le cadre des contrôles d’identité, et lorsqu’elles sont avérées, les punir fermement) ».
Les fameuses réunions « racisées non mixtes »
Cerise sur le gâteau ? La CNCDH a organisé le 16 mars 2018 un séminaire sur « les nouvelles formes de l’antiracisme en France », avec le CRAN, le Comité Marche du 23 mai 1998, l’association Lallab et le CCIF, qui a promu « l’intersectionalité », usine à gaz militante voulant que toutes les « luttes » de minorités convergent contre la France de souche, un rejet de l’universalisme, qui serait porteur de discrimination vis-à-vis des différentes « identités », et surtout l’affirmation de la nécessité des réunions « racisées non mixtes » non ouvertes aux Blancs, réunions qui ne seraient pourtant pas « racistes ». Par la mise en avant de cette conception racialiste des différences, la CNCDH accrédite ceux qui travaillent pourtant au développement d’un racisme jamais nommé, celui qui s’exerce vis-à-vis des populations de souche dont l’existence même est niée par ces pratiques. C’est bien de négationnisme dont il s’agit et ce négationnisme va vite se diffuser dans tous les établissements scolaires, comme il le fait déjà dans toutes les universités, puisque le rapport est édité par La Documentation Française. Un militantisme raciste anti-« Français de souche » avec la bénédiction de l’Etat en somme.
Paul Vermeulen
Article paru dans Présent daté du 29 avril 2019
https://fr.novopress.info/214402/rapport-de-la-cncdh-vivre-ensemble-mais-sans-les-blancs/
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A un mois des européennes, le RN et LaREM au coude-à-coude
Le nouveau sondage "L'Opinion en direct", réalisé par l'institut Elabe et publié ce mardi, révèle que les listes LaREM/MoDem et Rassemblement national continuent de jouer des coudes, à l'approche des européennes. Mais l'hypothèse d'une liste de gilets jaunes ne paraît plus en mesure de bousculer le scrutin.
À moins d'un mois des élections européennes, les listes La République en Marche - MoDem et Rassemblement national sont toujours au coude-à-coude et en tête des intentions de vote.[...]
En savoir plus sur bfmtv.comhttps://www.peupledefrance.com/2019/04/europeennes-rn-larem-coude-a-coude.html#more
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Royaume-Uni : les partis pro-Brexit caracolent en tête des sondages.
Et la classe politique et les médias français veulent nous faire croire que les Britanniques ne voudraient plus sortir de l’UE et rêvent d’un second référendum :
Mais un autre parti nouveau se taillerait la part du lion, selon cette étude : le Brexit Party, fondé par le député européen populiste Nigel Farage. Ce Parti du Brexit antieuropéen pourrait atteindre selon Yougov 27 % des voix le 23 mai prochain, envoyant ainsi nombre d’élus europhobes à Strasbourg. [source]
Au Royaume-Uni, les pro-Brexit ont désormais leur parti, the Brexit party. Derrière ce mouvement, on trouve Nigel Farage, ancien dirigeant de la formation eurosceptique UKIP. Le parti est en tête des intentions de vote pour les européennes.Le Brexit party est d’ailleurs le premier à être entré en campagne. Nigel Farage tenait un meeting la semaine dernière à Clacton-on-Sea, petite ville à l’est de Londres. Les fans sont venus en force sur la jetée de cette station balnéaire en déclin pour célébrer le retour de leur homme providentiel et ne lui tiennent pas rigueur d’avoir quitté la scène politique en 2016 lorsqu’il a fallu mettre en œuvre le Brexit: “Nigel Farage est le seul politicien qui dit ce qu’il pense et qui fait ce qu’il pense, et c’est pour ça que je l’apprécie. J’ai toujours voté pour lui et c’est d’ailleurs les seules fois où j’ai été prête à faire la queue pour voter”, déclare une de ses supportrices. [source]Deux partis, favorables à une sortie de l’UE sans accord avec les Vingt-sept, leur font directement face : l’Ukip et le Brexit Party, la nouvelle formation de Nigel Farage. L’ancien leader historique de l’Ukip a convaincu une ancienne conservatrice de premier rang, Ann Widcombe, de se joindre à lui ainsi qu’Annunziata Rees-Mogg, la journaliste et sœur du député et Brexiter renommé Jacob Rees-Mogg. Outre Nigel Farage, il présente également deux actuels députés européens élus sous l’étiquette Ukip. Les instituts de sondages placent le Brexit Party en tête des intentions de vote (23 %) ou en seconde position à égalité avec les conservateurs mais très loin du Labour (15 %). L’Ukip, crédité d’entre 4 % et 6 % d’intentions de vote, aura bien du mal à exister. A eux deux, ils devraient néanmoins obtenir plus de votes que les « Remainers ». [source] -
ONG complice des passeurs : qui avait raison ? – Jean-David Cattin (Les Identitaires)
Emmanuel Macron avait accusé en juin 2018 l’ONG Lifeline de « faire le jeu des passeurs ». Voici quelques semaines, c’est Christophe Castaner, ministre de l’Intérieur, qui a officiellement reconnu que les ONG étaient – et sont encore – régulièrement complices des passeurs. Nonobstant, le gouvernement français a annoncé le 13 avril accepter de recueillir plusieurs dizaines de clandestins amenés à Naples par des « complices » potentiels de passeurs.
Le chemin de Damas du gouvernement passe par Rome
Bien sûr, il n’est pas innocent que ces déclarations aient lieu en pleine campagne pour les européennes et que l’immigration y soit justement le sujet de préoccupation numéro un des Français. LREM, piètre mécanique gouvernementale mais excellente machine électorale, ne peut l’ignorer sous peine d’aller à la catastrophe en mai prochain. La récente visite de Matteo Salvini à Paris a certainement dû aider les gouvernants français à y voir clair. L’idéologie sans-frontiériste et les bons sentiments ont semble-t-il encore quelques limites. Celles des faits et de la réalité électorale.
Il aura fallu deux ans au gouvernement français pour admettre la réalité sur les ONG
En août 2017 déjà, un policier italien infiltré dans une ONG avait révélé une collaboration étroite entre celle-ci et les passeurs. En 2018, Médecins sans Frontière continuait à nier cette évidence. Maintenant que le gouvernement français a tranché la question, les ONG sont en très mauvaise posture. Pourtant, un nouvel élément de langage est désormais largement utilisé. Comme la diminution du nombre de morts est indéniable et en progrès régulier, les ONG et leurs relais communiquent sur une hausse du taux de mortalité. Voilà à quelle escroquerie intellectuelle minable en sont réduits ces pseudo-humanitaires pour qui les vies humaines ont décidément une importance très relative.
Ce que disent vraiment les chiffres
Selon les données statistiques du Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés, depuis qu’une politique plus rigoureuse a été mise en place en Méditerranée centrale, le nombre de morts a diminué de moitié chaque année. En 2018, 1 279 migrants ont été retrouvés morts ou ont disparu en Méditerranée centrale, contre 2 874 migrants décédés en 2017, soit une baisse de 54 % en valeur absolue. Durant les deux premiers mois de l’année 2019, les morts et disparus sont passés de 433 à 207 par rapport à la même période de 2018. Soit une nouvelle baisse de 53 % ! La fermeté tardive du gouvernement Gentoli en Italie puis la politique énergique de Salvini en sont indéniablement à l’origine.
Une seule voie possible pour l’Europe et l’Afrique
L’Europe doit être capable de protéger ses frontières, l’Afrique doit être capable de retenir ses fils. Contrairement à ce que laissent entendre les volontaires et dirigeants des ONG, les migrants ne fuient très majoritairement pas la guerre ou la famine. Leur volonté utopique de créer une autoroute migratoire entre les deux continents est injustifiable, illusoire et meurtrière, quelles que soient les bonnes intentions qui la suscitent. Il serait temps qu’ils se rappellent que l’enfer en est pavé.
Jean-David Cattin
Texte repris du site de : Les Identitaires
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Espagne : l'espoir est de retour
Forum SI cliquez ici
Après les élections générales espagnoles du 28, qui voient l’extrême droite enfin de retour au Parlement avec les 24 sièges de Vox, la première réaction s’exprime par une brève formule : « ¡arriba España! »
Ceci dit, il convient de se garder de tout triomphalisme excessif. Tel est le sens du communiqué, traduit de l’italien par ForumSi, mis en ligne par Gabriele Adinolfi, le 28 avril dans la nuit :
« Résultats en Espagne.
Vox, avec 10,2 %, obtient 24 sièges.
Les socialistes et Podemos obtiennent la majorité relative et, pour gouverner, doivent s’entendre avec les séparatistes basques et catalans.
L’avancée des populistes espagnols a, par conséquent, un sens en soi, mais n’a pas d’incidence sur un cadre général qui a empiré.
Ceci indépendamment de considérations sur la direction ultralibérale de Vox, qui laisse perplexe, mais qui, en l’état actuel, n’est qu’un élément secondaire.
En somme, le Système tient, s'il ne se renforce pas, même là où les scénarios politiques contraignent les partis de gouvernement à se remettre lentement à évoluer et la déception populaire s’exprime avec des chiffres significatifs. »
En résumé, le séparatisme catalan et la politique immigrationniste débile du PSOE ont provoqué l’exaspération de l’électorat et remis l’extrême droite espagnole en selle. Que celle-ci, comme nombre de mouvements populistes, soit, en partie dotée d’une direction « ultralibérale » est évidemment un facteur de perplexité, comme l’écrit Adinolfi. Cela étant, certains dirigeants de Vox ont quand même une facilité à tendre le bras qui laisse penser que, sous le verni libéral, des tendances plus profondes peuvent se manifester, si l’occasion s’en présente. On verra bien. En attendant, ne boudons pas notre plaisir : l’émergence de Vox est un élément de forte perturbation du Système qui va dans le bon sens. Souhaitons qu’il soit exploité comme il convient…
NDLR SN : Forum SI a bien raison : "ne boudons pas notre plaisir". Depuis le regretté Blas Pinar (président de Fuerza Nueva, décédé en 2014), à la fin des années 1970 et au début des années 1980, la droite nationale espagnole était complètement absente aux Cortes.
Il faut savoir que celle-ci, depuis 40 ans, subissait une escroquerie un peu comparable à ce que fut le gaullisme en France à la même époque. En effet, tout reposait sur une ambiguïté. En 1976, lorsque eurent lieux les premières élections "démocratiques", fut créé à l'initiative d'un ancien ministre du Général Franco, Manuel Fraga Iribarne, un mouvement sensé incarner la continuité. Il s'agissait de l'Alliance populaire. Celle-ci se transforma au début des années 1990, après le retrait de son fondateur, en "Parti populaire". Ce changement de nom coïncida avec un changement d'orientations politique et idéologique puisque le PP devint très vite un parti libéral-conservateur comparable à ce qu'était le RPR en France. Mais, en douce, le Parti populaire continuait à s'accaparer les voix nationales en jouant sur ses racines post franquistes... tout en appliquant une politique de soumission aux désidératas de la finance mondialiste. Mis à part quelques organisations lucides et courageuses comme la Phalange (bien que divisée), tout le monde semblait se satisfaire de cette situation peu reluisante. L'émergence de VOX marque probablement la fin de cette OPA douteuse...
Ce qui est hallucinant depuis ce matin, c'est d'entendre les commentaires fielleux de certains journalistes français qui, en serviles chiens de garde du Système qu'ils sont, s'évertuent à diminuer la victoire des nationalistes espagnols. Pourtant, partis de rien, insultés à longueur de journées par les médias "bien-pensants", culpabilisés pour un passé dont ils n'ont pourtant pas à rougir, les nationalistes de VOX débarquent de manière spectaculaire sur la scène politique ibérique. Que cela plaise ou non aux plumitifs aux ordres, il en est ainsi.
L'Espagne était, jusqu'à ces derniers mois, restée en dehors du vaste mouvement de renaissance nationale et identitaire qui s'apprête à libérer l'Europe du joug des mondialistes. Aujourd'hui, ce vide est comblé... et nous ne pouvons que nous en réjouir.
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
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Tommy Robinson a annoncé sa candidature aux élections européennes
L’ancien fondateur de la English Defense League, connu pour sa mobilisation contre l’islamisation du Royaume-Uni, bénéficie d’un soutien populaire important, qui s’est notamment manifesté lors de sa condamnation, pour avoir filmé l’ouverture du procès concernant les viols collectifs de Telford.
Bien qu’il se soit rapproché de UKIP, le parti souverainiste eurosceptique fondé par Nigel Farage, Tommy Robinson a préféré se présenter en indépendant aux élections européennes.
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Portrait d'Hélène Laporte, deuxième sur la liste RN aux européennes
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Hervé Juvin, candidat aux européennes : “L’Europe ne se fera pas en défaisant les nations qui la composent”
Retrouvez Hervé Juvin, le brillant n°5 de la liste du RN, notamment sur RT
et sur Europe 1 (entre 15 et 25 minutes)
et naturellement sur son site de campagne.