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Europe et Union européenne - Page 536

  • Bravo l'Italie ! Bravo Salvini !

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    « L’Aquarius avec 141 autres immigrants à son bord : une propriété allemande, affrété par des ONG françaises, avec un équipage étranger, dans les eaux maltaises, battant pavillon de Gibraltar. Il peut aller où il veut, pas en Italie ! »

    Matteo Salvini (Twitter).

    Le navire humanitaire Aquarius avec 141 personnes, sauvées au large de la Libye, a de nouveau été interdit d’entrer dans un port italien, a indiqué le ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini dans un tweet.

    Avec 141 migrants secourus près de la Libye, le bateau humanitaire Aquarius, affrété par l’association SOS Méditerranée, a de nouveau voulu entrer dans un port italien, mais a reçu un refus de la part du ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini.

    A lire aussi dans Lafautearousseau ...

    Le mouvement perpétuel

    Quel Aquarius pour sauver l'Europe ? 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • François d'Orcival : « Mais comment font les Anglais ? »

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    « Non seulement les Britanniques travaillent plus et plus longtemps que nous, mais ils comptent 3 millions d'actifs de plus que nous »

    En reprenant cet article de François d'Orcival qui nous intéresse comme  essentiellement informatif [Figaro magazine du 10.08] nous ne faisons pas d'idéologie, nous ne prenons pas l'économie britannique comme modèle, ni son libéralisme comme transposable. A vrai dire, la politique économique des Anglais nous paraît en réalité surtout dominée par deux composantes : le pragmatisme et la défense opiniâtre des intérêts anglais. Cette disposition d'esprit et cette modalité de leur action nous paraissent par contre enviables. Ce sont des qualités qui nous manquent.    LFAR

    L'énergie politique, fiscale et sociale déployée par les gouvernements qui se succèdent outre-Manche laisse rêveur.

    Croissance molle, fragilité politique, blocages pour cause de Brexit… Eh bien, malgré tout ça, les Anglais continuent de figurer devant nous au classement de la production de richesses et de la création d'emplois. Certes, si nos populations sont comparables, selon les sources (65,6 millions de Britanniques), ils produisent plus de richesses par tête que nous (40.050 dollars contre 38.178, chiffres de la Coface) et leur dette publique est inférieure de 10 points à la nôtre - en baissant même chaque année -: 87,2 % du PIB contre 97,6 % ! 

    Explication : non seulement les Britanniques travaillent plus et plus longtemps que nous, mais ils comptent 3 millions d'actifs de plus que nous (32,4 contre 29,3)… En un an, nous avons créé 341.000 emplois et eux, 542.000 emplois privés venus compenser la diminution de 100.000 emplois publics ! Un dernier chiffre pour couronner le tout : leur taux d'activité des 16-64 ans vient d'atteindre les 75,7 % - un record jamais franchi depuis quarante-sept ans ! Le nôtre est aussi à son plus haut (depuis 1975), mais il se place à 4 points derrière… Bref, taux de chômage français: 9,4 % des actifs ; taux britannique: 4,2 %.

    Quel est donc le secret ? Une énergique politique, fiscale et sociale. Ce que les dirigistes français appellent d'un mot anglais devenu un épouvantail du vocabulaire politique: le dumping ! On se souvient de la phrase prononcée par David Cameron, alors premier ministre de Sa Majesté, devant un parterre de chefs d'entreprise français en 2012 quand François Hollande décidait d'augmenter massivement leurs impôts : « Pour vous, nous déroulerons le tapis rouge. » Comprendre : nous, nous allons vous les baisser pour vous attirer.

    Cette phrase reste la frayeur de nos énarques fervents défenseurs du « modèle social français » - et européen. Ce que ceux-ci redoutent par-dessus tout: que les « Brits » qui s'en sortent déjà si bien ne profitent du Brexit pour créer chez eux une gigantesque zone franche ouverte sur le grand large. D'où la position de blocage adoptée par les commissaires européens, à commencer par celui chargé de la négociation, le Français Michel Barnier, qui s'est fait leur porte-parole. Or, plus celui-ci bloque, plus il donne de temps aux Anglais pour adapter leur économie et leurs finances à la sortie de l'actuel cadre européen en peaufinant ce « tapis rouge » ou ce « dumping fiscal » tant décrié…  

    A lire aussi dans Lafautearousseau ...

    Notre vieil « ennemi héréditaire », l'Angleterre ...

    Guerre fiscale intra-européenne 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • À droite contre le mondialisme

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    Ligne Droite cliquez ici

    Le clivage gauche/droite a changé de nature. Il porte désormais non plus sur la question de la propriété privée des moyens de production, mais sur celle de l’identité. Aussi la droite nouvelle doit-elle se positionner clairement à droite comme défenseur de notre identité face à la menace mondialiste.

    Une Nouvelle Gauche

    Après la chute de l’URSS et du communisme en Europe, la gauche s’est progressivement ralliée au néo-capitalisme mondialiste pour finir par prendre le visage de la Nouvelle Gauche, incarnée aujourd’hui par Emmanuel Macron.
    Consciente que les solutions collectivistes qu’elle soutenait auparavant ont perdu toute crédibilité, cette Nouvelle Gauche a renoncé aux réformes socialistes de la société. Dans le même temps, elle a abandonné les classes moyennes et populaires aux conséquences désastreuses du libre-échangisme et de la dérégulation de l’économie, pour ne se préoccuper désormais que des minorités qui constituent son réservoir électoral et tout particulièrement des immigrants, érigés pour la circonstance en prolétariat de rechange.
    Aujourd’hui, la gauche ne s’intéresse plus aux questions sociales, comme par exemple le processus d’appauvrissement qui touche un nombre croissant de nos concitoyens. Pour continuer dans le registre du progressisme, elle se complaît au contraire dans les réformes dites « sociétales », qui consistent à déconstruire la société, les mœurs et la décence commune, aux dépens du plus grand nombre. Ce qui en retour favorise la marchandisation de l’homme et constitue une aubaine pour les grandes firmes mondialisées. La Nouvelle Gauche fait ainsi le lit du néo-capitalisme.

    Mais toujours de vieilles utopies

    Ce faisant, la Nouvelle Gauche reste fidèle aux constantes de l’idéologie de gauche et à ses plus vieilles utopies. Le mondialisme et l’immigrationnisme ont simplement pris la place de son internationalisme d’antan. Sa négation de la nature humaine, et donc de l’identité, s’incarne aujourd’hui dans la théorie du genre, dans un féminisme agressif ainsi que dans son goût pour tout ce qui est métissage. Sa haine sociale vise désormais non plus les capitalistes, mais au contraire les classes moyennes et populaires, coupables de vouloir défendre leur identité et de mal voter. Son vieil égalitarisme s’exprime de nos jours à travers la promotion d’un individualisme radical et dans l’idéologie des droits de l’homme. Enfin, son constructivisme, ou sa prétention à faire le bonheur des gens malgré eux, prend la forme de l’écologie punitive et de l’hygiénisme totalitaire de l’État « Big Mother ».
    Quant à l’extrême gauche, elle prospère, soutenue par le système médiatique et la bienveillance de certains juges. Fonctionnant comme le « service action » de l’oligarchie, elle soutient l’immigration et combat violemment tous ceux qui s’opposent au Système.

    Un nouveau clivage politique

    Dès lors, le nouveau clivage gauche/droite ne porte plus comme au XXe siècle sur la question de la propriété privée des moyens de production puisque le communisme est mort, ni sur la Révolution puisque la Nouvelle Gauche se place maintenant du côté des puissants.

    Il oppose désormais deux camps :
    — d’un côté, les libre-échangistes, les atlantistes, les immigrationnistes, les libertaires et les déconstructeurs, qui constituent la Nouvelle Gauche et incarnent les principales composantes du Système que les oligarques de Davos veulent imposer aux Européens ;
    — de l’autre, les défenseurs de l’identité, de la souveraineté, des valeurs et de la liberté des peuples européens, comme du respect des cultures et de la multipolarité du monde, c’est-à-dire tous ceux qui devraient être incarnés politiquement par la droite nouvelle.

    La question centrale de l’identité

    Le clivage principal entre la droite et la gauche porte ainsi désormais sur la question de l’identité.

    Héritière de l’esprit des Lumières, la Nouvelle Gauche nie la nature de l’homme et croit que tous les hommes sont interchangeables. Pour cette raison et malgré ce qu’elle prétend, elle ne représente pas à proprement parler un humanisme, à la différence de la Droite qui a toujours pris en compte la nature de l’homme et la diversité des sociétés.
    La Nouvelle Gauche veut réduire l’humanité à son plus petit commun dénominateur, la dissoudre dans un grand néant métissé et lui imposer un modèle unique, alors que la droite a de tout temps eu pour vocation de préserver mais aussi de valoriser la diversité du monde.
    La Nouvelle Gauche, contrairement à ce qu’elle affirme, ne défend aucune valeur, car elle prêche constamment le relativisme, le nihilisme et la haine de notre civilisation. Seule la droite peut aujourd’hui défendre les valeurs de notre civilisation, notamment face à l’islamisme qui les menacent avec la complicité de la Nouvelle Gauche.
    Enfin, la Nouvelle Gauche n’incarne plus l’espoir des peuples comme autrefois la gauche puisqu’elle n’est plus que le parti des puissants, des lobbies, des minorités et des immigrants. Alors qu’au contraire les valeurs de la droite la placent maintenant du côté des peuples, des peuples qui veulent rester eux-mêmes et qui refusent qu’on les « change », qu’on les déconstruise ou qu’on les transforme en agrégats de « communautés » indifférentes ou hostiles.

    La Nouvelle Gauche, qui incarne le Système de Davos et dont l’idéologie politiquement correcte provoque chaos et destruction, a perdu toute légitimité à incarner le progrès de notre civilisation. Aussi, la droite nouvelle devient-elle l’espoir de tous les Européens. Et c’est bien le positionnement à droite face à la Nouvelle Gauche qui constitue la seule alternative crédible.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/08/13/a-droite-contre-le-mondialisme-6072247.html

  • Débarquement des migrants de l’Aquarius : l’Espagne dit « non »

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    Si l’Aquarius avec à son bord 141 « migrants » fait à nouveau cap vers la bien-pensante Espagne qui lui avait ouvert ses ports il y a deux mois, l’Espagne elle a changé de cap dans sa politique d’accueil des migrants. Après l’euphorie, voici venir le temps de la grosse déprime…

    Depuis vendredi dernier le bateau Aquarius vogue donc sans but portuaire, le pays des Ibères ne l’invitant pas comme par le passé récent à accoster dans une de ses villes méditerranéennes. Open Arms, l’ONG espagnole propriétaire du navire, a lancé un appel dramatique aux autorités bruxelloises afin qu’elles interviennent pour qu’un port lui soit ouvert mais cette fois-ci Madrid a fait la sourde oreille. Un signe tangible que le premier ministre espagnol, le socialiste Sanchez, rattrapé par la réalité de l’invasion migratoire et du ras-le-bol de ses concitoyens, est décidé a changé sa politique de l’accueil radical, en s‘alignant sur la fermeté de l’Italie, qui fut accusée pourtant il y a un mois par ce même Sanchez, à l’unisson avec Macron, « de manque de solidarité et d’insensibilité » pour avoir refusé les 600 clandestins de l’Aquarius.

    Ainsi, si la commune de Barcelone, toujours inspirée pour s’opposer au gouvernement madrilène, s’est offerte à accueillir les nouveaux migrants de l’Aquarius, Madrid s’y oppose en arguant que « l’Espagne n’est pas le port le plus sûr selon la loi ». Un dur bras de fer s’amorce entre la ville catalane aux velléités d’indépendance et l’exécutif espagnol. « Même dans ce cas nous nous offrons pour recevoir les migrants » a répliqué le vice-maire de Barcelone délégué aux droits sociaux, Laia Ortiz. Elle a en outre insisté pour que des permis temporaires pour le travail soient concédés aux clandestins.

    En attendant, Malte et l’Italie ont refusé au bateau d’accoster chez eux. SOS Méditerranée et Médecins sans Frontières ont faits avoir par twitter :

    « Les autorités maritimes de Malte et de l’Italie ont informé le bateau Aquarius qu’elles ne concéderont pas un lieu sûr de débarquement aux 140 personnes à bord. Nous avons rejoint une position de stanby exactement entre Malte et l’Italie. Nous restons en attente d’ultérieures indications. »

    La fermeté de l’Italie et de son ministre de l’Intérieur Matteo Salvini fait de émules pour le plus grand dam du business lucratif du trafic d’êtres humains et de l’humanitarisme mondialiste.

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/debarquement-des-migrants-de-laquarius-lespagne-dit-non/96554/

  • L'Europe dispendieuse assassine - Nous n'avons pas besoin de tous ces parasites illégitimes !

  • Trump, un an après Charlottesville : « Paix à TOUS les Américains ! ». L'Amérique en est loin... Et nous ?

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    L'an passé, à Charlottesville, les confrontations entre manifestants avaient été violentes

    Hier dimanche, les médias ouvraient leurs flashes d'information sur le rassemblement des « suprémacistes blancs » prévu le soir même à Washington, square La Fayette, face à la Maison Blanche, renouvelant celui qui s'était tenu à Charlottesville l'an dernier à même date, dans un climat de violences dont les images avaient fait le tour du monde. Voici ce que nous avions écrit l'an dernier de cet événement [21.08.2017]. Nous n'avons rien à y changer. Notre conclusion vaut surtout pour la France.  LFAR 

    Dans l'affaire de Charlottesville, Trump, malgré ses volte-face grotesques et erratiques, a tout de même une idée et elle est juste.

    C'est qu'il y a de la violence, de la haine, de l'irrationnel et même du racisme dans les deux camps. Les renvoyer dos à dos fût-il discutable. Car, même s'il est tu, si l'évoquer est inconvenant, le racisme antiblanc est bel et bien une réalité. Aux Amériques, comme ailleurs. Plus qu'ailleurs, bien-sûr. Par surcroît, une forme de racisme antiblancs s'est développée du côté des Blancs eux-mêmes. Là-bas comme ici.

    Nous ne sommes pas assez bons connaisseurs de la politique intérieure américaine pour avoir une appréciation du détail.  

    1973544756.jpgMais il nous paraît évident que la violence et la haine demeurent inscrites au cœur de la société américaine et que l'une et l'autre tiennent, en bonne part, à la toujours problématique coexistence entre Blancs et Noirs. La question raciale que l'on voulait croire résolue aux Etats-Unis ne l'est nullement. Elle traverse l'histoire et la société américaines depuis plus ou moins deux siècles et n'a, comme on l'a proclamé à tort, nullement disparu. On disait le racisme éradiqué, il n'en est rien. On pourrait presque le dire consubstantiel et intrinsèque à la société américaine, ce qui ne semble pas pouvoir être dit, du moins à ce degré, d'aucune nation européenne. 

    2720994725.2.jpgLa décision de retirer la statue du général Lee à Charlottesville n'était pas - la suite l'a montré - un acte d'apaisement mémoriel ni de paix civile... Les anachroniques et allogènes svastikas brandis par des suprémacistes blancs hallucinés n'étaient, non plus, ni pacifiques ni malignes.  

    Ce que nous montrent ces événements est que si l'on veut des peuples paisibles mieux vaut l'homogénéité - culturelle, ethnique et même raciale - que la diversité. Point d'angélisme : cette dernière nourrit les haines détestables et crée des conflits endémiques. 

    La seconde leçon de Charlottesville ce pourrait être que, pour compenser un tant soit peu l'évolution des rapports de force dans le monde, laquelle nous est si défavorable, une certaine dose de « suprémacisme » blanc - dans un sens évidemment tout différent du sens américain : fierté à recouvrer, puissance à reconstruire - ne serait pas inutile. En tout cas pas à l'Europe, peuplée de Blancs, qui, après avoir dirigé les affaires de l'univers, se voit, aujourd'hui, à la fois supplantée dans l’ordre de la puissance et envahie dans l’ordre du peuplement par les autres continents. Ce qui ne semble pas améliorer l'état du monde. Et nous prépare un avenir dangereux. 

    Il y eut sans doute un temps où l'orgueil et l'égoïsme européens furent excessifs. L'Europe en paie le prix. L'excès inverse, celui de la repentance, de la haine de soi, de la soumission à tout ce qui nous est étranger, est bien pire et pourrait nous coûter beaucoup plus cher.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • La nouvelle politique pro-famille du gouvernement italien

    Interrogé par La Bussola Quotidiana sur la défense de la famille naturelle, Matteo Salvini, chef de La Ligue, vice-Premier ministre du gouvernement italien et ministre de l’Intérieur, répond:

    Nous y travaillons. J’ai demandé un avis au procureur général, et j’ai donné des instructions aux préfets. (…) La semaine dernière, on m’a dit que sur le site du ministère de l'Intérieur, sur le formulaire de demande d’une carte d’identité électronique, il y avait « parent 1 » et « parent 2 ». J’ai fait modifier le site immédiatement, pour restaurer les mentions « père » et « mère ». C’est une petite chose, un petit signe. Mais ce qui est certain est je ferai tout ce qui me sera possible en tant que ministre de l’Intérieur. (...) Si défendre le concept qu'un enfant doit avoir un papa et une maman signifie être un troglodyte, alors je suis fier d'être un troglodyte.

    Il ajoute :

    Le but que je me suis fixé d’ici la fin du mandat est d’introduire le concept de quotient familial afin de récompenser les naissances et le pari sur l’avenir. En attendant, le premier objectif est de soutenir le secteur productif à travers un abaissement des taxes. Si nous sommes déjà en mesure d’aider, par la TVA, les producteurs, les commerçants, les artisans, les petits entrepreneures, c’est un premier pas. Ils sont aussi pères et mères, un euro d’impôt en moins c’est un euro de plus pour les enfants. Certes, ça ne résout pas tout. Le but est de faire du noyau familial un sujet fiscalement reconnu. Mais déjà en 2018 l’objectif est de réduire les impôts pour beaucoup de gens, et cela sera tenu.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/la-nouvelle-politique-pro-famille-du-gouvernement-italien.html

  • L’Europe a besoin de Nous. Nous avons besoin de l’Europe

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    Par Eurhope ♦

    L’Europe est une entité géographique, historique, ethnique, culturelle, spirituelle et symbolique qui se différencie des autres continents, des autres civilisations et incivilisations.

    L’Europe est un lieu de virilité Olympique, de spiritualité héroïque qui va de pair avec la pratique et le bon sens. C’est un lieu où le sacré, la religion et la mystique ne se perdent jamais dans le tourbillon de l’hallucination, de l’obscurantisme et de la soumission individuelle.

    L’Europe est une civilisation exemplaire, de créativité, d’art, d’imagination, de libertés individuelles, de communauté, de solidarité et de défis.

    Le mondialisme nie l’Europe dans ses fondements en attaquant toutes les caractéristiques européennes, déchaînant des forces obscures, indifférenciées et anti-viriles.

    Le défi géopolitique, historique, ethnique, culturel, spirituel, symbolique se mène principalement sur la tenue de l’Europe et sur la sauvegarde de ses gens.

    Il n’y aura de délivrance sans une volonté de puissance et une acquisition de puissance qui se fondent sur le concept romain d’Imperium.

    L’Europe ne peut être qu’un conseil d’administration géré par des banquiers ou des techniciens, mais doit être avant tout une idée forte, immanente et transcendente, qui exalte et guide toutes ses composantes.

    La réalite européenne n’est pas celle que nous constatons aujourd’hui. Elle n’est pas celle que nous imaginons, non plus. C’est celle que nous allons créer, dans la sagesse et dans la lutte, par des actions concrètes au niveau européen, pour former et proposer une alternative viable.

    L’Europe, à l’âge des satellites qui a changé les critères du temps et de l’espace et a légué la souveraineté à ceux qui sont en mesure de la gérer à ce niveau, doit innover et actualiser la souveraineté des peuples européens en réalisant cette Europe en parallèle.

    NOUS…

    …devons contribuer à fournir des élites existentielles, culturelles, politiques et de pensée pour le défi que nous devons remporter.

    Il ne s’agit pas tant d’exposer des théories sociales, monétaires, économiques ou institutionnelles (qui sont aussi nécessaires) mais d’aller dans la juste direction pour améliorer les tendances positives.

    Les dénominateurs communs des tendances positives sont: rajeunissement de la population, contenance de l’immigration et inversion de cette tendance, sauvegarde des fondamentaux “volkische” des peuples européens, récupération d’une vision économique non-capitaliste, fondée sur les corporations et les synergies, restauration de la virilité olympique, opposition de l’autonomie des impositions autoritaires et aliénantes.

    Nous devons garantir l’idée que l’Europe conserve et intègre les particularités nationales et régionales, le communautarisme et les libertés individuelles.

    Notre engagement est de faire levier sur tous ces dénominateurs communs pour surmonter toutes ces divergences d’opinion et de fétichisme qui caractérisent l’engagement politique en ce temps des réseaux sociaux.

    Sur ces directives, les Lansquenets s’engagent à soutenir tous les efforts politiques, culturels, socio-économiques et métapolitiques qui vont dans la juste direction pour former une lymphe vitale en Europe et pour l’Europe, celle authentique.

    Ils le feront dans la participation au rôle de Think Tank, dans l’engagement pour l’organisation sociale des producteurs, dans les relations internationales, dans l’exemple de vie et de contribution politique sans interêts propres.

    Ainsi en produisant des idées et des initiatives, butinant sur le meilleur que chaque nation européenne nous lègue, et que chaque personne y participant a à offrir, nous parviendrons à notre cause commune qui se veut le fer de lance d’Europe.

    Eurhope 11/08/2018

    Source : Eurhope, via Metamag

    Crédit photo : Domaine public, via Pixabay

    https://www.polemia.com/europe-besoin-nous-eurhope/

  • Viktor Orbán a raison de dénoncer le libéralisme

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    Au cours du récent discours qu’il a prononcé en Roumanie, Viktor Orbán a mis en avant l’idée selon laquelle, aujourd’hui, le libéralisme est l’ennemi principal des peuples, des nations et des cultures qui leur sont liées. En disant cela, Viktor Orbán fait preuve d’une grande cohérence, ce qui n’est pas très fréquent chez les « nationistes » (notre ami Henri Temple a proposé ce terme dans son ouvrage intitulé Théorie générale de la nation).

    Le libéralisme est souvent associé, par les gens de droite, à la défense de la nation et de la culture nationale ; à tort, parce que la nation (je ne parle pas ici de la nation des révolutionnaires français, qui est constituée des seuls partisans de l’idéologie révolutionnaire, mais de la nation comprise comme une communauté culturelle et historique) est une communauté tandis que la société libérale n’est qu’un agrégat aléatoire d’individus. Le libéralisme philosophique/politique est d’abord et avant tout une idéologie individualiste (dont ont hérité les acteurs de la Révolution de 1789) qui a comme corollaires l’universalisme et le mondialisme ; il est, de ce seul fait, incompatible avec toute idée de communauté nationale telle que définie ci-dessus.

    Certains m’opposeront sans doute que le libéralisme économique n’est pas incompatible avec le « nationisme », ce qui ne va pas de soi. En effet, s’il n’est pas certain que le libéralisme philosophique/politique ne soit qu’une construction intellectuelle visant à justifier le libéralisme économique, il n’y a aucun doute quant à la centralité de l’individualisme au sein de cette doctrine économique. Il est, d’ailleurs, intéressant de noter que tous les courants conservateurs qui l’ont adoptée se sont finalement convertis au libéralisme politique/philosophique, ce qui conforte la théorie de Michéa selon laquelle le libéralisme est comparable à un ruban de Möbius ayant deux faces qui n’en font qu’une seule.

    Il est évident que le système économique fondé sur la libre initiative des entrepreneurs, la concurrence et le marché est le plus efficace de tous les systèmes économiques qui ont été expérimentés sur une durée significative ; néanmoins, il peut être dévastateur s’il n’est pas étroitement tenu en laisse par le pouvoir politique et surplombé par un ensemble de valeurs conservatrices (importance décisive d’une métapolitique conservatrice). Pour illustrer ce pouvoir dévastateur, il n’est besoin que d’évoquer l’immigration de masse que nous subissons depuis le début des années 1970, laquelle a été voulue par le patronat dès les années 1960 (cf. les mémoires d’Alain Peyrefitte). Récemment, la chancelière d’Allemagne a ouvert en grand les frontières de son pays pour satisfaire aux demandes du patronat libéral et, en France, le lobby hôtelier et les macronistes se félicitent ouvertement de la présence des migrants (avant eux, Pompidou, Giscard, Chirac, Sarkozy ont laissé entrer des populations étrangères pour satisfaire le même patronat). Pour les libéraux, le changement de population ne pose pas de problème parce que, pour eux, le territoire national (mais aussi celui de l’Union européenne) n’est que le lieu d’un marché ouvert à tous les flux.

    Le libéralisme ignore la notion de bien commun (celui de l’ensemble des membres de la communauté nationale) ; les libéraux considèrent qu’il n’y a que des biens individuels et que les entrepreneurs ne doivent pas être limités dans leur recherche de l’enrichissement par les aspirations de ceux (très majoritaires aujourd’hui) que gêne la présence de plus en plus massive d’étrangers africains et maghrébins. Les libéraux, qui en ce début de XXIe siècle ont fait leur jonction avec les libertaires soixante-huitards (Alain Madelin, tout comme Daniel Cohn-Bendit, est partisan de l’ouverture totale des frontières), n’accordent aucune importance aux appartenances communautaires (nationales, régionales, familiales…) qui, selon eux, oppressent les individus (l’ineffable Yann Moix considère que toute réunion familiale relève de l’inceste !).

    Viktor Orbán a raison de dénoncer le péril libéral ; c’est seulement en désignant clairement l’ennemi que l’on peut gagner la bataille.

    Bruno Guillard

    http://www.bvoltaire.fr/viktor-orban-a-raison-de-denoncer-le-liberalisme/

  • Les viols d’Allemandes par des migrants continuent durant l’été

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    Alors que l’Allemagne était autrefois un pays relativement sûr, la politique des frontières ouvertes de la chancelière Angela Merkel a changé la donne. La sécurité des femmes y est remise en question par la présence de migrants, dont certains n’hésitent pas à commettre des agressions sexuelles. Durant l’été 2018, les fortes chaleurs n’ont pas ralenti l’ardeur des assaillants, souvent venus d’outre-mer, qui recourent parfois aux moyens les plus sombres, comme l’usage de la drogue du viol, afin d’assouvir leurs pulsions à l’encontre de la gent féminine.

    Des migrants touchent les parties intimes, les seins ou les fesses des femmes dans les gares, dans les trains, en pleine rue ou lors des festivals. D’autres se masturbent devant des Allemandes. Les tentatives de viol sont monnaie courante. Certaines échouent, mais d’autres aboutissent.

    Ainsi, le 1er juillet, entre 2 h et 3 h du matin à Ingolstadt, en Bavière, une Allemande revenant d’une soirée a été agressée par un homme au teint sombre qui l’a frappée au visage, traînée vers le terrain d’une entreprise et violée.

    Le 5 juillet, à 8 h 15 du matin à Kronach en Bavière, une jeune femme de 18 ans a été agressée, frappée, traînée dans un buisson et violée par un individu à la peau sombre. Alertée par les cris de la victime, une dame s’est approchée du lieu des faits et l’agresseur a pris la fuite.

    Le 6 juillet, à Planegg, en Bavière, un demandeur d’asile pakistanais de 31 ans a violé une dame de 21 ans qui l’avait invité à son domicile.

    Le 14 juillet au matin, à Münster, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, une joggeuse a été attaquée, traînée dans un buisson et violée. L’auteur des faits, un Polonais de 25 ans, a été arrêté par la police vingt minutes après.

    Le même jour dans la nuit, à Landshut, en Bavière, une dame de 31 ans a été agressée, traînée dans un buisson et violée par un homme au physique méditerranéen.

    Le 28 juillet, à Freising, en Bavière, une dame de 26 ans rentrant d’un bar a été agressée par deux hommes à la peau sombre qui l’ont jetée à terre et traînée au sol. La victime est arrivée à se défendre et à mettre les auteurs des faits en fuite.

    Le même jour, à 5 h du matin, à Memmingerberg, en Bavière encore, une dame de 21 ans, se rendant à vélo à son travail, a été agressée et violée par un demandeur d’asile gambien de 22 ans qui a été arrêté par la police.

    Au cours de la nuit du 30 au 31 juillet, à Fritzlar, en Hesse, une dame de 33 ans a été attaquée au couteau par un homme à la peau sombre, mais a pu s’échapper.

    Au début du mois d’août, à Aschaffenburg, toujours en Bavière, un demandeur d’asile a tenté de violer, au sein d’un centre pour demandeurs d’asile, une pédagogue, mais la victime est arrivée à se défendre.

    Le 4 août, entre 5 h et 5 h 30 du matin à Heilbronn, au Bade-Wurtemberg, une jeune femme assise sur un banc près d’un arrêt de bus et de tram situé dans les environs de la gare a été agressée et traînée vers une voiture par deux individus à la peau sombre, voire de type arabe, qui l’y ont violée.

    Presque au même moment, mais à Fribourg-en-Brisgau, au Bade-Wurtemberg, une dame de 35 ans rentrant chez elle a été agressé par un homme à la peau brune et traînée dans un coin. La victime a crié et des passants ont mis l’agresseur en fuite.

    Le 3 août au matin, à Rosenheim, en Bavière, une femme de 20 ans rentrant d’un bar a été agressée, traînée dans l’entrée d’une cour et violée par deux demandeurs d’asile somaliens.

    Le 5 août au matin, à Arnsberg, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, un Afghan de 17 ans a menacé une allemande de 18 ans à l’aide d’un objet pointu et l’a violée, alors qu’à Kassel, en Hesse, un homme au physique méditerranéen a agressé par-derrière une femme de 21 ans et a tenté de la violer. Pendant ce temps, à Dortmund, en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, une femme de 17 ans a été agressée, traînée dans un buisson et violée par deux hommes, dont un s’exprime avec un accent polonais.

    Le même jour, à Paderborn en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, un Africain de 18 ans, originaire de Sierra Leone, a tenté de violer une Allemande de 65 ans dans l’entrée d’une maison. Un habitant du lieu a tenu l’agresseur jusqu’à l’arrivée de la police.

    Le 8 août 2018, à Lübben, au Brandebourg, trois femmes de 28, 31 et 34 ans ont été attaquées par deux demandeurs d’asile afghans. Une d’entre elle a été étranglée, puis tirée sur le sol. Les trois femmes sont arrivées finalement à s’échapper. Lors de l’arrestation des agresseurs, un policier a été blessé.

    Après une semaine de recherche, la police a arrêté un demandeur d’asile africain pour le viol et l’assassinat d’une dame de 63 ans sans domicile fixe, le 30 juillet 2018, à Hanovre, en Basse-Saxe.

    Ces nouveaux cas s’ajoutent à la très longue liste des victimes de la politique d’Angela Merkel.

    Lionel Baland

    http://www.bvoltaire.fr/les-viols-dallemandes-par-des-migrants-continuent-durant-lete/