Europe et Union européenne - Page 557
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L'enfumage du racisme
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Mutilations génitales féminines : aveuglement de l’UE en matière d’immigration
Mylène Troszczynski, député FN au Parlement européen, s'est exprimée sur la question des mutilations génitales féminines :
"A l’occasion de la journée mondiale de la lutte contre les Mutilations Génitales Féminines (MGF), la commission du droit de la femme soumettait au vote des députés européens une proposition de résolution.
Ces pratiques barbares, massivement répandues en Afrique subsaharienne et dans de nombreux autres pays deviennent également, hélas, une véritable problématique à l’intérieur de l’Union européenne ; plus d’un million de femmes en seraient victimes dans 13 pays membres de l’Union.
Les quelques propositions positives développées dans la résolution comme de s’appuyer durablement sur les associations qui travaillent au soutien des femmes victimes de ces pratiques sont très vite éclipsées par celles concernant une révision du régime d’asile européen qui ferait des MGF un critère systématique d’octroi de l’asile. Si une collaboration internationale peut être effectivement un moyen d’éradiquer ces horreurs, notamment en proposant aux femmes victimes un service de chirurgie sur place, l’aveuglement de l’Union européenne en matière d’immigration et de ses conséquences nous est apparu ici particulièrement dangereux.
La délégation FN/RBM du groupe ENL s’est donc désolidarisée de cette proposition de résolution en s’abstenant suite au rejet de nos amendements qui tendaient à la rendre plus respectueuse des femmes, des peuples et de leurs intérêts."
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[VIDEO] Donald Trump face à l’Europe
Un an après l’élection de Trump, les cartes du jeu international sont rebattues. Alors que l’on imaginait un frein à l’interventionnisme des Etats-Unis, on assiste au contraire. Jean-Loup Izambert offre un décryptage brillant de la géopolitique américaine actuelle.
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Erdogan se déclare continuateur de l'empire Ottoman
Le 10 janvier à Istanbul, le président turc Erdogan s'exprimait dans le cadre d'une cérémonie au palais Yildiz pour le centenaire de la mort du Sultan Abdulhamid II.
Ni le lieu, ni le monarque ne doivent être tenus pour fortuits : ils représentent ce que l'on peut considérer comme les symboles les plus éloignés de notre culture de cet empire que l'on croyait défunt.
Yildizi Sarayi, le palais de l'Étoile fut certes construit sous la direction de l'architecte italien Raimondo d'Aronco : en fait le 34e sultan de Constantinople craignait les vieilles résidences impériales de Topkapi et de Dolmabahçe qu'il jugeait trop proches du Bosphore et de la Corne d'Or.
Ce souverain terrible, Abdulhamid II (1876-1909), fils cadet du sultan Adulaziz (1861-1865) a mis en effet un terme à l'œuvre réformatrice de ses prédécesseurs commencée sous le règne d'Abdül-meçid (1839-1861), refusant d'appliquer la constitution, qui n'entrera en vigueur qu'après la révolution jeune-turque de 1908-1909.
En 1876 il avait obtenu que soit écarté son frère aîné Mourad V. Celui-ci ne régna que 3 mois ; il sera présenté pour fou, alors qu'en fait, adepte de la franc-maçonnerie, il entendait continuer le programme de réformes de ses 3 prédécesseurs, connu sous le nom de Tanzimat. Cette œuvre de réorganisation avait été préfigurée dès 1830 : cette année-là, où fut reconnue l'indépendance de la Grèce, le sultan-calife Mahmoud II (1808-1839) avait publié cette déclaration officielle : "Je fais la distinction entre mes sujets, les musulmans à la mosquée, les chrétiens à l'église et les juifs à la synagogue, mais il n'y a pas de différence entre eux dans quelque autre mesure. Mon affection et mon sens de la justice pour tous parmi eux est fort et ils sont en vérité tous mes enfants."
Abdulhamid II au contraire cherchera à revenir sur tout ce qui tendait à rapprocher la Turquie de l'Europe.
S'il n'est mort qu'en 1918, il avait été d'abord relégué dans son palais par la première révolution jeune turque de 1908, puis déposé en 1909 et remplacé nominalement par son frère, le fantoche Reshad effendi qui régnera jusqu'en 1918 sous le nom de Mehmed. Le dernier sultan-calife Mehmed VI (1918-1922) s'enfuira, craignant d'être accusé de trahison après la victoire de Kemal et la proclamation de la république. Lui succédera, mais en tant que 101e calife seulement, de 1922 à 1924, Abdül-meçid II dont la fonction fut abolie au bout de deux ans, les actuels islamistes cherchant à la rétablir.
Entretemps Abdulhamid II avait créé en 1890 la milice dite "Hamidiyé". Recrutée dans les tribus montagnardes tcherkesses, kurdes, turkmènes, yeuruk et turcs proprement dits, ses principaux exploits consistèrent à massacrer et piller entre 1894 et 1896 les provinces arméniennes, valant à leur maître le surnom de Sultan Rouge. Le génocide arménien, qu'il est toujours légalement interdit d'évoquer en Turquie, ébauché sous ce règne, reprendra sous une forme plus industrielle, sous la direction d'Enver pacha et de Talaat pacha en 1915.(1)⇓
C'est donc en lui rendant hommage qu'Erdogan, a cru pouvoir déclarer : "la République turque est la continuation de l'Empire ottoman".
"La République de Turquie, comme nos états précédents qui étaient la continuité de l'autre, est aussi une continuation des Ottomans. Bien sûr, les frontières ont changé. Les formes de gouvernement ont changé. Mais l'essence est la même, le cœur est le même, même de nombreuses institutions restent les mêmes.", a déclaré
"C'est pourquoi, considère-t-il, le Sultan Abdulhamid est l'un des plus importants, des plus visionnaires et des plus stratégiquement conscients qui ont laissé leur marque au cours des 150 dernières années", a déclaré le président turc qui est allé un peu plus loin en notant:
"Trop de gens essaient constamment de commencer l'histoire de notre pays depuis 1923. Certaines personnes veulent nous couper de nos racines et de nos anciennes valeurs."
JG Malliarakis
À lire en relation avec cette chronique
"La Question turque et l'Europe" par JG Malliarakis à commander en ligne aux Éditions du Trident, sur la page catalogue ou par correspondance en adressant un chèque de 20 euros aux Éditions du Trident, 39 rue du Cherche-Midi 75006 Paris.
Apostilles
- Enver pacha interviendra au congrès de Bakou cf. mon petit livre "La Faucille et le Croissant" Islamisme et bolchevisme au congrès de Bakou⇑
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Vers un Italexit ?
Lu sur le blog d'Yves Daoudal :
"La Ligue du Nord n’exclut pas une sortie de l’Italie de l’UE si Bruxelles refuse de renégocier d’ici deux ans ses règlements en matière de fiscalité et d’immigration :
« Si d’ici là nous n’avons rien obtenu (…), nous n’excluons pas un retrait, comme la Grande-Bretagne l’a fait », a déclaré à Reuters Claudio Borghi, responsable de la politique économique au sein de la Ligue.
La coalition de droite (Forza Italia, Ligue du Nord, Frères d’Italie), devrait remporter les prochaines élections. A priori le parti de Berlusconi devrait être devant la Ligue du Nord. Mais l’inverse n’est pas exclu. Or l’accord entre ces partis stipule que c’est le parti arrivé en tête qui désigne le chef du gouvernement.
Comme on le sait, Forza Italia est moins eurosceptique que la Ligue du Nord, mais la colère gronde aussi chez Berlusconi contre la rigueur budgétaire imposée par l’UE."
http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2018/02/14/italexit-6026481.html
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Éric Zemmour s’étonne qu’on reproche aux Polonais de réécrire leur Histoire, alors que la France est championne en ce domaine
Eric Zemmour, lui-même juif, trouve paradoxal de reprocher aux Polonais de réécrire leur histoire, sachant que la France a promulgué de nombreuses lois mémorielles dans lesquelles l’Histoire de la France a été réécrite et rendue définitivement obligatoire, sans laisser de possibilité aux historiens de vérifier les faits. Depuis la Seconde guerre mondiale tous les pays envahis par l’Allemagne sont montrés du doigt par Israël et ses affidés et tenus pour responsables des exactions qui ont pu être commises contre les Juifs, par l’envahisseur durant son occupation. La France qui a longtemps refusée d’être tenue pour responsable, s’est finalement couchée devant ce diktat sous la présidence de Jacques Chirac et depuis la litanie des repentances n’en finit plus, quel que soit le président. La Pologne, pays particulièrement martyrisé durant cette période, s’insurge d’être jugée responsable des exactions issues de l’invasion allemande durant la seconde guerre mondiale, et afin d’échapper pour toujours à cette accusation humiliante et « instrumentalisante », a décidé de graver définitivement dans le marbre des lois, l’exemption de la responsabilité du pays dans ces horreurs. La France dans ce domaine, semble championne toutes catégories des lois liberticides, avec flagellations, repentances et écrasements coupables, autant de manipulations mentales qui permettent d’instrumentaliser les consciences pour des buts inavoués.
Il semblerait que certaines victimes pèsent plus lourd que d’autres, car aujourd’hui encore, après toutes les horreurs commises depuis la Seconde guerre mondiale partout dans le monde, en Asie du fait du communisme ou des USA, en Europe du fait du communisme ou dans les Balkans du fait de l’OTAN etc., en Amérique latine, en Afrique actuellement encore, au Moyen-Orient sous la responsabilités des pays occidentaux, auxquels certains génocides islamiques peuvent être co-attribués, etc. etc. Après toutes ces victimes, Israël continue de poursuivre de sa vengeance éternelle les pays qui ont été victimes de l’invasion allemande durant la Seconde guerre mondiale, sans soucis des conflits meurtriers auxquels ce pays contribue lui-même, ni même d’ailleurs, de la part que les Juifs eux-mêmes peuvent avoir dans le second conflit mondiale 1939-1945, d’où ont découlé les invasions et la Shoah.
La Pologne par la loi sensée exemptée pour toujours le pays de cette accusation lourde de conséquences, entend que sa population ne soit pas accablée du poids de la repentance qui permet toutes les manipulations mentales en Occident, ainsi que les contraintes financières qui en découlent. Sous de Gaulle, Pompidou et Mitterrand, les seuls présidents de la République qui ont vécu la Seconde guerre mondiale, il semblait aussi que la position officielle de la France exempterait à jamais son peuple des accusations qui pèsent aujourd’hui contre les Polonais…
Voir aussi:
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L’Alternativ für Deutschland s’apprête à lancer sa propre chaîne de médias
ALLEMAGNE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation deRadio Courtoisie) :
Alice Weidel, députée de l’Alternativ für Deutschland, a déclaré lors d’une interview que son parti allait lancer sa propre chaîne d’information. Elle avance que cette décision est “la seule solution tant que l’AfD reste ignorée par de nombreux médias et délibérément calomniée par des fake news”. Une chaîne télévisée disposant d’une équipe de 20 personnes serait donc lancée en avril, avec comme but d’émettre 24 heures sur 24.Le point de vue du parti sur les actualités allemandes ainsi que des messages et sujets chers à l’AfD seraient donc diffusés.
La fédération allemande du journalisme s’est évidemment outrée de cette initiative, déclarant que cela s’apparentait à de la propagande.
Nul-doute que les sympathisants de l’AfD dont le nombre augmente de jour en jour en Allemagne vont se réjouir de cette nouvelle qui leur offrira une alternative aux médias traditionnels allemands et leur discours aseptisé.
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Premiers revers pour Macron, 2019 c’est déjà demain!
Hier, la majorité de députés à l’Assemblée nationale a voté en faveur du retour à une circonscription unique, nationale pour les élections européennes de 2019. Un scrutin qu sera le premier grand test électoral pour LREM, parti présidentiel éreinté aux sénatoriales et dans toutes les dernières partielles, mais aussi pour l’ensemble des autres formations politiques. Les élus de LR ont dénoncé ce vote, porteur selon eux d’une « déconnexion des territoires », quand bien même les précédents découpages électoraux inspirés du modèle des länders allemands n’étaient pas toujours caractérisés par une grande cohérence ni intelligence… Le 7 février, au parlement de Strasbourg signalait Euractiv, les eurodéputés, eux, se sont prononcés « contre la création de listes transnationales pour les élections européennes de 2019, tout en s’accordant sur la nécessité de modifier la composition du Parlement dans la foulée du Brexit. » Il est rappelé que « les groupes politiques eurosceptiques avaient (…) adopté une ligne de vote opposée aux listes transnationales, préconisant la suppression des sièges laissés vacants pour réaliser des économies. »
« Supprimer les eurodéputés britanniques ferait au moins économiser 40 millions d’euros, donc supprimons au moins 73 eurodéputés », a réclamé l’eurodéputé Marcel de Graff, coprésident avec notre camarade Nicolas Bay du groupe Europe des Nations et des Libertés (ENL). Pour autant, précise encore le site Euractiv, « le groupe PPE (auquel appartiennent les députés LR) a toutefois laissé entendre qu’il soutiendrait l’introduction d’une liste transnationale, mais pas avant 2024. Avec ou sans listes transnationales, les partis nationalistes et eurosceptiques devraient enregistrer de bons résultats en mai 2019. L’AfD, le FN, le Mouvement cinq étoiles de Beppe Grillo en Italie et les Démocrates suédois font tous plus de poids dans les sondages d’opinion qu’il y a cinq ans. »
Ce refus (au moins en 2019) d’une liste transnationale qui avait été annoncée dans le discours du président à la Sorbonne en septembre 2017 , constitue un nouveau camouflet pour Emmanuel Macron et même « un double revers » est-il indiqué, puisque celui-ci avait fait non seulement de « la création d’une liste paneuropéenne un des fers de lance de sa vision pour la relance de l’Europe», mais il s’était aussi opposé « au système actuel de Spitzenkandidat ( candidat tête de liste). » Un système inauguré en 2014, selon lequel la présidence de la Commission européenne doit revenir au candidat du parti arrivé en tête. Or ce dispositif a été « plébiscité par les eurodéputés lors d’un vote qui s’est tenu le même jour. »
Ce qui tout aussi certain c’est que les européistes marchent sur des œufs et pas seulement du fait de la sécession sourde qui se manifeste dans les pays de l’Est et de la mitteleuropa contre la dictature bruxelloise. La Ligue du Nord, membre avec Forza Italia et Fratelli d’Italia d’une coalition électorale portée par un vent favorable dans la perspectives des élections législatives italiennes du 4 mars, vient ainsi d’annoncer par la voix de Claudio Borghi, un des responsables de la politique économique de la Ligue, qu’un « retrait (de l’UE) comme la Grande-Bretagne l’a fait » n’est pas à exclure en cas de refus de Bruxelles de satisfaire aux demandes des patriotes transalpins. Toutes choses qui expliquent la déclaration du porte-parole du gouvernement, Benjamin Griveaux, qui a indiqué lundi devant la presse anglophone à Paris qu’ « il n’est pas question de punir qui que ce soit dans le cadre du Brexit. C’est la pire chose qui puisse arriver et je pense que cela renforcerait le sentiment anti-européen dans beaucoup de pays où on a des élections dans un an… »
Sur le site du journal libéral L’Opinion, le commissaire européen aux Affaires économiques et financières, l’eurosocialiste Pierre Moscovici, faisait part à Nicolas Beytout de ses grandes inquiétudes sur la capacité des forces patriophobes et anti souverainistes à empêcher le réveil des peuples d’Europe. Comme souvent, M. Moscovici a voulu faire peur dans les chaumières en convoquant les vieux démons. Il s’agit encore et toujours d‘inciter les Français et les Européens à ne pas sortir du troupeau, à abolir tout sens critique, à se laisser guider sans protester vers les lendemains qui chantent d’un paradis euromondialiste qui a tout de même des relents d’abattoirs, de terminus historique.
Il est ainsi rappelé que Pierre Moscovici vient de publier fin janvier un livre, Dans ce clair-obscur surgissent les monstres, qui dresse un bilan peu tendre du quinquennat Hollande, livre dont il explicite aussi le contenu de la manière suivante : « les monstres sont le terrorisme, l’antisémitisme, le racisme, c’est au fond la période étrange que nous vivons à l’échelle mondiale parce que le dégagisme est partout. » « On vit dans une époque où émerge un monde nouveau qui est un monde incertain. » Quelle profondeur d’analyse en effet…
Sans grande surprise, M. Moscovici note aussi que que le PS a été frappé par « un choc terminal » en 2017 dont il ne pourrait se remettre selon lui qu’en réaffirmant avec force son européisme, tout en affirmant que « l’avenir de la gauche doit compter et faire avec Emmanuel Macron », avec lequel « (il) partage sa vision sur l’Europe. » Les élections européennes de 2019 sont « un moment clé pour lui », « j’y participerai d’une manière ou d’une autre », indique-t-il encore.
2019 sera également un moment clé pour l’opposition nationale. Sur le site Atlantico, Emmanuel Galiero, journaliste politique au Figaro, tente une analyse prospective sur le devenir du FN qui est, dit-il, « dans une phase intermédiaire où il n’a pas le poids qu’il avait avant la présidentielle, c’est certain. Mais il n’y a pas de quoi dire que son électorat s’est définitivement effondré. Un élément qui permet de douter de cette approche c’est un sondage qui a été fait sur les Européennes. Ce sondage avait situé le FN à 17% dans un contexte où les macronistes atteignaient les 24 ou 26% et les LR étaient à 12%. C’est bien la question européenne qui est le fond de l’argument politique du FN dans ce nouveau clivage et qui sera le socle de leur nouvelle stratégie politique entre les nationalistes et les mondialistes. Sans faire campagne le Front était crédité de 17%, et c’est révélateur d’une forme de résistance de ce parti qui garderait un socle puissant d’électeurs(….). »
«Les prochaines élections qui seront les européennes et les municipales, poursuit-il, seront peut-être pour le Front un mouvement de relance de cet électorat qui les attend pour la défense des oubliés des plus fragilisés contre le mondialiste Macron, le banquier qui voudrait les spolier et s’en prendre aux couches les plus faibles (…). Autre phénomène important, le FN en tant que parti d’opposition était sur une très bonne dynamique depuis les municipales de 2014. Il a été stoppé net à la présidentielle. On peut imaginer que cela a suscité des déceptions très fortes auprès de son électorat. Cela ne veut pas dire que l’électorat a disparu ou qu’il s’est effondré mais plutôt qu’il y a eu un réflexe défensif après ces événements qui a impliqué de resserrer les rangs chez les militants (…) Aujourd’hui l’enjeu pour le FN est plutôt de créer des alliances, comme Marine Le Pen l’a déjà fait avec Debout la France (DLF) de Dupont-Aignan. Il va leur falloir changer la culture du parti qui n’était pas toujours très favorable aux alliances car définitivement plutôt vers cette stratégie que le FN penche aujourd’hui (…).»
« Potentiellement, indique encore M. Galiero, créer une formation commune à droite en jouant sur la dynamique anti-européenne, souverainiste, qui est très forte en Europe. Si elle est portée par le FN, ce serait le mouvement le plus puissant mais cela ne passe plus forcément par des têtes de liste frontistes aujourd’hui. Et ce serait un changement de taille dans la culture du parti, puisque les têtes de listes aux européennes ont toujours été alliés des Le Pen jusqu’ici. Dans le cadre d’une alliance, cela pourrait être l’objet d’un accord.» Hypothèses, pistes, choix tactiques qui seront bien évidemment soupesés, explorés, débattus, au sein de la direction du FN, débat dans lequel Bruno Gollnisch prendra, comme il se doit, toute sa part.
https://gollnisch.com/2018/02/14/premiers-revers-macron-2019-cest-deja-demain/
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Macron : des élections européennes taillées sur mesure - Journal du Mardi 13 Février 2018
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Il faut détruire les 200 bateaux qui servent à l’esclavage humain
Propos de Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, rapportés dans Présent :
« On ne va pas me dire que nous ne sommes pas capables de détruire les 200 bateaux qui servent aujourd’hui à l’esclavage humain sur les côtes libyennes… » « Il faut couler ces bateaux, une fois qu’ils sont vides bien sûr, pour en finir avec les passeurs. »