Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Europe et Union européenne - Page 553

  • La Convention du Conseil de l'Europe sur le genre est nulle et non avenue

    6a00d83451619c69e201b8d2ded5c6970c-250wi.jpgLa Bulgarie et la Slovaquie ont annoncé qu’elles ne ratifieront pas la Convention du Conseil de l’Europe « sur la prévention et la lutte contre la violence à l’égard des femmes et la violence domestique », qui fait un dogme de l’idéologie du genre et de son enseignement à l'école. La Bulgarie assure en ce moment la présidence tournante de l’UE.

    La résolution du Parlement européen qui approuvait la décision du Conseil européen de ratifier ce texte au nom de l’UE (qui l’a signé en juin 2017) est donc nulle et non avenue, comme la décision du Conseil, puisqu’il aurait fallu l’unanimité des Etats membres. La Grèce, la Tchéquie, la Lituanie, la Lettonie, la Hongrie, la Croatie, la Grèce, l’Irlande et le Luxembourg (et le Royaume-Uni), n’ont pas ratifié ce texte de 2011 qu’on peut donc désormais jeter à la poubelle.

    La socialiste française Christine Revault d’Allonnes Bonnefoy, rapporteur du texte, s’était félicitée du fait que

    « maintenant, on peut considérer que l’avortement est un droit au niveau européen ».

    Elle l'a dans l'os. 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les agriculteurs français : de nouveaux serfs ?

    agriculture-assassinee-3eme-edition.net.jpgChaque année, à la fin du mois de février, les médias se mettent à parler du monde agricole, de ses difficultés et des défis qu'il doit relever, tandis que les hommes politiques, du président au conseiller général, se préparent au marathon de quelques heures qu'ils vont effectuer au Salon de l'Agriculture. Chaque année, c'est donc le même rituel, les mêmes déplorations, les mêmes coups de menton, et cette année ne rompt pas avec cette tradition qu'il conviendrait pourtant de critiquer et d'amender, car chaque année, la situation globale des agriculteurs semble bien empirer et les campagnes paysannes poursuivre leur lent et inexorable mouvement de désertification et d'uniformisation paysagère... La surface agricole utile ne cesse de diminuer et, désormais, elle est bien en dessous de la moitié de la superficie totale de la métropole, ce qui peut, légitimement, inquiéter quand on sait que la population française, elle, poursuit sa progression numérique. Dans le même temps, la surface des exploitations, de moins en moins nombreuses, continue à grossir, et les projets d'agriculture intensive de type « ferme des mille vaches » se multiplient, au nom de la « nécessaire compétitivité », et suivant le modèle développé en Allemagne et aux Pays-Bas, modèle qui leur a permis de dépasser la France au rang des pays exportateurs de produits agricoles : la quantité, mais pas forcément la qualité, paraît privilégiée quand les statistiques sont en jeu

    Ainsi, le « pétrole vert » de la France semble-t-il s'épuiser, et le désespoir des agriculteurs n'est pas feint, même s'il semble vain au regard des mécanismes contemporains d'une société de consommation dont la mondialisation a aggravé encore les effets délétères sur le monde paysan, condamné à devenir le serf du Marché mondial et de la Grande Distribution, comme des désirs qu'elle suscite pour s'assurer encore de meilleurs profits sans, pour autant, vouloir les partager avec les producteurs agricoles de base. Bien sûr, tous les agriculteurs français ne sont pas logés à même enseigne, et quelques grands exploitants tirent très bien leur épingle du jeu quand les moyens et petits agriculteurs conventionnels sont trop étranglés par les dettes et les contraintes administratives pour pouvoir, à long terme, survivre dans ce monde concurrentiel. Que les produits agricoles du Mercosur (Marché commun du Sud, constitué de cinq pays d'Amérique du Sud, dont l'Argentine et le Brésil) arrivent bientôt sur les marchés européens et risquent de fragiliser un peu plus le monde agricole français, n'est que la conséquence d'un libre-échangisme que l'Union européenne a, depuis ses origines, favorisé et qu'elle ne remettra pas en cause, malgré les déclarations impérieuses du président Macron : ce dernier, qu'il le veuille ou non, reste et restera coincé par les mécanismes européens et leur logique « libéraliste » qui empêchent toute mesure « protectionniste » de nos marchés comme de nos producteurs. Et l'on entendra le chœur des pleureuses qui, après coup, viendra nous expliquer que tout cela est fort regrettable mais qu'il faut bien se résoudre à accepter cette règle générale pour ne pas faire le jeu des « populismes », bien plus dangereux (selon eux...) que les grandes firmes agro-industrielles mondialisées qui asservissent les agriculteurs à leur ordre maudit ! C'est d'ailleurs toujours le même processus et le même discours depuis quatre décennies au moins, et, pendant ce temps-là, le nombre d'agriculteurs diminue, encore et toujours, suivant la logique Mansholt qui visait, effectivement, à cette diminution : c'était aussi un moyen efficace de faire disparaître une opposition paysanne qui a toujours fait peur aux féodalités urbaines... Moins de paysans, donc moins de « fourches levées », pensait-on dans les couloirs de Bruxelles et des palais de la République !

    Et si ce calcul ne fonctionnait plus ? Si de nouveaux paysans « reprenaient la terre » plutôt que de la laisser « partir » entre les mains d'investisseurs spéculateurs chinois ou coréens, entre autres ? Si le monde agricole se « réinventait » en retrouvant le sens et la cause de la terre ? Si le « redéploiement rural » devenait réalité ? 

    Puisque la République est impuissante à protéger les terres et les agriculteurs de notre pays, non par manque de moyens mais par manque de volonté et de perspective à long terme, il n'est pas interdit de se poser la question d'une Monarchie royale dont le comte de Paris disait qu'elle devait reposer sur des bases paysannes et des bases ouvrières, et qui pourrait mener une nouvelle politique de réenracinement agricole, mieux adaptée au besoin d'équilibre et de partage de nos sociétés contemporaines. Utopie ruraliste, doublée d'une utopie monarchiste ? Si l'on se contente de quelques écrits sans conséquences, sans doute. Mais si l'on pense un nouveau projet de société sans oublier les réalités du présent, réalités qu'il s'agit, non seulement de changer, mais de bouleverser par une autre manière d'imaginer l'avenir et ses racines, et si l'on permet aux idées de s'incarner dans des projets multiples à l'échelle du pays et selon la grande diversité de ses particularités, tout devient, en ce domaine, possible... même le meilleur ! Encore faut-il le vouloir, et que la magistrature suprême de l’État le veuille aussi, ou le permette en rétablissant son autorité politique, autorité nécessaire et légitime sur les féodalités économiques et financières qui ne doivent plus imposer à notre société et à ses producteurs agricoles leurs dogmes et leur « règne d'or et de boue »... A la boue putride des scandales agro-alimentaires, nous préférerons toujours cette terre vivante et créatrice qui ennoblit les travailleurs des champs, et qui est source de« vraies richesses », de celles qui ne sont pas toutes économiques...

    Jean-Philippe CHAUVIN

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1487:les-agriculteurs-francais-de-nouveaux-serfs-&catid=52:2018&Itemid=63

  • L’UE dans la tourmente, l’Italie dans la tempête: des législatives très attendues

    italie-bis.jpgLa nouvelle ne peinera pas grand monde.  Il a été précisé ces dernières heures que le terroriste binational (français de papier) Sabri Essid, demi-frère de Mohammed Merah, originaire de Toulouse, a été exécuté en Syrie,  pays qui fut le théâtre de ses exactions contre la population. République Arabe Syrienne qui se bat toujours avec ses alliés contre les djihadistes, et face  à  Al Qaïda notamment dans la Ghouta, une région agricole dans laquelle sévissent encore des milices islamistes qui utilisent des boucliers humains comme le souligne Alexandre del Valle sur RT. En Allemagne, la crainte d’un terrorisme favorisé par la submersion migratoire est aussi bien présente, au moment ou, rapporte Reuters,  Angela Merkel a présenté  le 26 février aux membres de son parti, l’Union chrétienne-démocrate (CDU), «six membres de son gouvernement de coalition (avec le SPD) avec la promotion de son plus farouche adversaire Jens Spahn, qui récupère le ministère de la Santé (…).»  Celui-ci  s’est signalé par ses très fortes critiques sur la politique migratoire délirante de la chancelière, laquelle a très largement contribué à l’essor électoral du parti anti immigration AfD qui a rallié les suffrages de nombreux électeurs conservateurs. «Si cette promotion (de M. Spahn)  est présentée comme une réponse aux demandes d‘un rajeunissement des cadres et de la direction de la CDU, elle traduit en réalité l’affaiblissement de Merkel, contrainte de ressusciter la grande coalition avec les sociaux démocrates du SPD» est-il encore rapporté.

    En fait de réponse aux inquiétudes du peuple allemand, il convient encore de noter que le gouvernement de Mme Merkel a fait savoir qu‘il n’entendait pas mettre en place un plafond officiel du nombre de clandestins sollicitant une  demande d’asile. La nouvelle coalition souhaite toujours une « solidarité dans le partage des responsabilités au sein de l’UE »,  avec l’intégration de de 180 000 à 220 000 immigrés illégaux (dit réfugiés ou migrants) par an.

    Une question qui sera aussi centrale dimanche prochain lors des élections législatives qui se dérouleront chez nos amis italiens qui éliront 315 sénateurs et 630 députés. Personne n’a oublié le coup de semonce des municipales l’année dernière qui ont vu la quasi totalité des 400 maires qui avaient accepté le  programme gouvernemental de dispersion-répartition des clandestins mordre la poussière… Il pourrait y avoir de nouveau ce 4 mars des pleurs et des grincements de dents dans les rangs des eurolâtres immigrationnistes.

    Nos compatriotes, constate Bruno Gollnisch, sont assez peu informés par nos gros médias de la tournure  proprement cataclysmique de l’immigration sauvage en Italie ces dernières années.  Certes, celle-ci est parfois évoquée par la presse  bien-pensante, au détour de fait divers particulièrement crapuleux impliquant les exilés selon le nouveau terme à la mode, les épithètes de migrants et de réfugiés, désormais démonétisés ne parvenant plus à  susciter la même adhésion. Encore et toujours le choc du réel que la propagande ne peut occulter  très longtemps…

    Un long article paru dans Ouest-France,  consacré à la ville de Ferrare (Emilie-Romagne),  décrit pour le coup assez bien le climat qui règne chez nos voisins transalpins. Un reportage du  journaliste Laurent Marchand  évoque la crise italienne dans cette commune  de 130 000 habitants au riche patrimoine, chargée d’histoire, connue aussi  pour le  Palio San  Giorgio, la plus vieille course de chevaux d’Italie qui se déroule chaque année. Ferrare, ville emblématique de la vieille Europe   dont la cour accueillit notamment Le roi  des poètesLe Tasse (1544-1595). L’auteur de la Jérusalem libérée, décrivant les combats entre chrétiens  et musulmans lors du siege de la ville sainte  au cours de  la première croisade,  serait bien surpris par le spectacle qu’offre cette municipalité actuellement.

    «L’effet conjugué de la crise économique et de la pression migratoire favorisent la Ligue du Nord», laquelle  envisage, petite parenthèse,  comme une possibilité  une sortie de l’Italie de l’UE si Bruxelles refuse de renégocier à l’horizon 2020 ses règlements en matière de fiscalité et d’immigration… ce qui pourrait porter un coup décisif à l’échafaudage bruxellois.  «Désindustrialisation. Dénatalité (une naissance pour deux décès). Immigration. Le seuil de pauvreté, qui a longtemps été dans la fourchette basse à Ferrare, n’a cessé d’augmenter depuis 2008. Un résident sur dix est désormais en dessous de ce seuil. Un cocktail redoutable…» «La Ligue  n’avait pas fait 3 % aux législatives de 2013, elle menace aujourd’hui le candidat du Parti démocrate, Dario Franceschini, le ministre de la Culture sortant.»

    L’auteur de l’article  plante l’ambiance: «Mon train arrive de Rome.  Comment ça va, à Ferrare ? , demandé-je innocemment à mon premier interlocuteur, le chauffeur de taxi.  O ! Troppi extracomunitari ! . La réponse fuse, immédiate.  Trop d’immigrés non européens ! ». Le journaliste  décrit une communauté catholique divisée sur l’accueil de l’immigration massive. «À Ferrare comme ailleurs, pourtant, le vote catholique est divisé sur le sujet. Car depuis 2013, l’Italie vit dans l’urgence migratoire et sans la moindre solidarité européenne. Quelques chiffres donnent la mesure du phénomène sur une période plus longue. En 2007, on comptait 3 millions d’étrangers résidents en Italie en situation régulière. En 2017, 5 millions. Sans compter les 200 000 demandeurs d’asile et 5 à 600 000 clandestins présents sur le territoire. En dix ans qui ont aussi été des années de crise économique, l’Italie a ainsi absorbé 3 millions de nouvelles arrivées. Alors que le revenu par habitant est aujourd’hui encore de 2 % inférieur à celui de… 1999.  Résultat , conclut un militant de la Ligue du Nord,  l’accueil diffus a surtout diffusé le problème ! ».

    La violence de la crise économique n’est donc pas non plus une vue de l’esprit,  «le sauvetage en décembre 2015 de quatre banques italiennes par le gouvernement Renzi a fortement pénalisé 200 000 épargnants italiens», «deuxième sujet sensible durant cette campagne». «Du jour au lendemain, 32 000 épargnants ont tout perdu, explique Gian Pietro Zerbini, responsable des informations générales au quotidien local, la Nuova Ferrara. »

    Cette description d’un pays qui souffre, frappé par une démographie autochtone anémique,  des insécurités (culturelle, économique, sociale) multiples, donne très logiquement une forte résonance  aux  propos de notre camarade Matteo Salvini, député européen, secrétaire fédéral de la Ligue du Nord, dont fdesouche rapportait la réponse à  un évêque pro-immigration massive : «L’Évangile ne dit pas d’accueillir tout le monde. L’Italie a 5 millions de pauvres. Mon prochain est à Milan, Rome, Naples, Turin,...» Avis que les Italiens sont plus susceptible de comprendre que celui de Cécile Kyenge, ancienne ministre de  l’intégration (2013-2014) d’origine congolaise, qui a  déclaré:  «Les Italiens ont besoin d’être accompagnés dans le changement de composition de leur population» et qui estimait quand elle était en poste que  l’immigration clandestine n’est pas un délit.

    Et quid de notre pays ? Gilles Ardinat le note sur le site de L’Incorrect, «pour la seule année 2017, la France a attribué 262.000 titres de séjour et enregistré plus de 100.000 demandes d’asile, soit une immigration équivalent à la ville de Nice en une seule année (sans compter les entrées clandestines dont le nombre est croissant notamment dans les territoires d’outre-mer). Le chaos migratoire menace clairement l’unité, l’identité et la sécurité de la France (sans parler de son coût économique gigantesque).» La réaction c’est maintenant ou jamais. Ce sera nous, nos solutions ou le chaos. Un message que l’opposition nationale  continuera à  porter haut et fort.

    https://gollnisch.com/2018/03/01/lue-tourmente-litalie-tempete-legislatives-tres-attendues/

  • Merkel admet l’existence de zones de non-droit en Allemagne : «Il faut appeler un chat un chat»

    Alors qu’elle peine à rassembler la classe politique à la veille de son quatrième mandat, Angela Merkel admet qu’il existe des zones de non-droit en Allemagne et estime qu’«il faut faire quelque chose pour y remédier».

    A l’occasion d’une interview accordée à la télévision allemande RTL, Angela Merkel a reconnu qu’il existait des «zones de non-droit» outre-Rhin, zones où ses compatriotes ne se sentent pas en sécurité. Elle a en outre admis que l’arrivée sur le territoire de «tant de réfugiés» avait «soulevé de nombreuses questions». Mais la chancelière semble résolue à trouver une solution : «Ces zones existent vraiment et il faut appeler un chat un chat, et il faut faire quelque chose pour y remédier», a-t-elle ainsi déclaré.

    Angela Merkel, qui cherche actuellement à susciter un nouvel élan politique afin de consolider sa position à la chancellerie pour un quatrième mandat, a également assuré à RTL : «Il a toujours été clair pour moi que la sécurité intérieure était un devoir d’Etat. L’Etat a le monopole du pouvoir et doit tout mettre en œuvre pour que les gens aient accès à cette sécurité dans chacun de leurs mouvements, chacune de leurs rencontres au sein de l’espace public.» 

    Voir l'image sur Twitter

    Angela subit "des critiques assez dures de la part de la " selon Georges Estievenart, en direct sur

    
</section>
<section class=

  • Élections en Italie : les évêques se rangent du côté de la gauche immigrationniste

    boldrini-eveque-italie-election-gauche-300x100.jpgDimanche 4 mars les Italiens iront aux urnes voter pour le renouvellement des deux chambres, le Sénat et la Chambre des Députés. Ils devront choisir leurs 630 députés et 315 sénateurs. Cette semaine est donc la dernière ligne droite de la campagne électorale.

    Les évêques italiens, à travers leur Conférence épiscopale (CEI), en dehors de tout respect de la neutralité, sont rentrés dans la bataille. Pour soutenir la gauche immigrationniste. En ayant recours aux symboles et lieux chrétiens dont ils dénient l’usage à leurs adversaires. Alors qu’ils ont critiqué âprement le chef de La Ligue anti-immigrationMatteo Salvini, pour avoir, disent-ils, « instrumentalisé »l’Évangile et le chapelet en les brandissant et faisant serment sur eux lors d’un meeting, ils ont ouvert leurs églises aux politiciens ouverts à l’accueil sans limites : à l’avorteuse Emma Bonino, virulente gauchiste, de tous les combats de la culture de mort ; à la présidente de la Chambre, Laura Boldrini (sur la photo), qui est plus à gauche que son parti, le Parti Démocrate, partisane acharnée du « droit du sol » pour les immigrés, loi dont les Italiens ne veulent pas ; à d’autres candidats de cette gauche anti-nationaliste et mondialiste…

    Parce que pour ces évêques conciliaires post-modernes italiens, aussi progressistes dans le champ politique que dans le domaine religieux, il y a la « bonne » politique, celle de la gauche, qui peut faire entendre sa voix devant l’autel. Et il y a la « méchante », celle de Salvini, qui est contre l’arrivée massive de migrants ou de Berlusconi qui assure qu’il en renverra 600 000 chez eux parce qu’ils n’ont pas le droit de rester et sont « une bombe sociale ».

    Pour Mgr Nunzio Galantino, le secrétaire général de la CEI, de tels discours sont inadmissibles. A Salvini, sans le nommer, il a voulu donner une leçon d’altruisme politique :

    « A qui fait un pillage pseudo-politique je dis : après avoir racketté ces quatre votes en plus, s’il vous plaît, aller faire un tour en Italie, regarder dans les yeux ces personnes et dîtes-moi si vous pouvez continuer à spéculer encore sur l’histoire dramatique de ces personnes. »

    Ainsi qu’au Cavaliere Berlusconi, lui-aussi sans le nommer :

    « La sécurité en Italie n’est pas mise en crise par 4 ou 10 immigrés. La sécurité en Italie malheureusement est mise en difficulté par la pègre. Voilà ce qui détruit l’Italie : la pègre qui n’a pas couleur de peau. »

    A Mgr Galantino, qui vit semble-t-il dans un monde parallèle, celui d’un « vivre-ensemble » utopique, on peut lui rétorquer : pourrait-iltout en les regardant dans les yeux, tenir ce même discours aux parents de la jeune Pamela Mastropietrotuée, démembrée et dépecée, certainement après avoir été violée, par une bande de Nigérians, vendeurs de drogue et en situation irrégulière ?

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/elections-en-italie-les-eveques-se-rangent-du-cote-de-la-gauche-immigrationniste/88164/

  • CEUX QUI ONT ÉTÉ ENVAHIS PAR LES TURCS ONT LA MÉMOIRE LONGUE

    Un Serbe, c’est comme un Hongrois, un Grec ou un Bulgare : ça sait historiquement ce qu’ont vécu nos ancêtres européens aux prises avec les Turcs. Seuls les incultes prétendent que le rappel de certains faits historiques relève de la propagande ; les autres se renseignent sur Google en tapant, par exemple, « massacre d’Otrante » et ils songent « ah, quand même, on nous avait rien dit à l’école ».

    http://www.bvoltaire.fr/ont-ete-envahis-turcs-ont-memoire-longue/

  • En Italie, le mouvement fasciste qui a porté Mussolini est de retour

    CasaPound_marche_2016_Rome-696x522.jpg

    Marche des militants de CasaPound à Rome en juin 2017. Image Facebook/Youtube.

    CasaPound a joué un rôle central dans la normalisation du fascisme dans son pays de naissance. Maintenant, le mouvement essaie d’entrer au Parlement.

    Nous offrons ici à nos lecteurs une traduction de ce reportage paru le 22 février 2018 dans The Guardian, quotidien d’information britannique marqué à gauche. Texte original de Tobias Jones.

    Dans la nuit du 27 décembre 2003, cinq hommes ont pénétré par effraction dans un immense complexe de bureaux vides à Rome, juste au sud de la gare principale de Rome, Roma Termini. Quelques jours plus tôt, ils avaient fabriqué de faux tracts appelant le public à l’aide pour retrouver un chat noir perdu appelé « Pound ». C’était un moyen d’éviter les soupçons alors qu’ils surveillaient le bâtiment avant d’entrer par effraction.

    Rien n’ a été laissé au hasard: la date, entre Noël et le Nouvel An, a été choisie parce qu’il n’y aurait pas beaucoup de monde. Même le nom et la couleur du chat n’étaient pas anodins: « Pound » était un clin d’œil au poète et évangéliste fasciste américain Ezra Pound. Et le noir était la couleur associée à leur héros, Benito Mussolini. Ils avaient prévu de lancer une station de radio à l’intérieur de leur nouveau bâtiment appelé Radio Bandiera Nera – « Radio drapeau noir ».

    L’homme qui donnait les ordres cette nuit-là était Gianluca Iannone. A 30 ans, il était grand, costaud et brusque. Avec sa tête rasée et sa barbe épaisse, il ressemblait un peu à un Hells Angel. Il avait « me ne frego » (« Je m’en fiche » – le slogan utilisé par les troupes de Mussolini) tatoué en diagonale sur le côté gauche de son cou. Iannone était célèbre dans les milieux fascistes en tant que chanteur principal dans un groupe de rock appelé ZZA, et en tant que propriétaire d’un pub à Rome, le Cutty Sark, qui était un point de rencontre pour l’extrême droite de Rome.

    Les cinq hommes étaient nerveux et excités alors qu’ils travaillaient à tour de rôle sur la porte d’entrée en bois avec des pieds-de-biche. Les autres se rassemblèrent à proximité, pour observer et couvrir. Une fois que la porte eut cédé, ils se sont entassés à l’intérieur, la poussant derrière eux. Ce qu’ils ont découvert était époustouflant. Il y avait un grand hall d’entrée au rez-de-chaussée, un grand escalier et même un ascenseur. Il y avait 23 bureaux dans l’immeuble de sept étages. L’occupant précédent, une autorité administrative gouvernementale, avait déménagé une année auparavant, de sorte que l’endroit était gelé et humide. Mais c’était énorme, il couvrait des milliers de mètres carrés. La cerise sur le gâteau, c’était la terrasse: une grande toiture murée d’où on pouvait voir tout Rome. Les hommes s’ y rassemblèrent et se serrèrent dans leurs bras, sentant qu’ils avaient planté un drapeau au centre de la capitale italienne – dans un quartier sensible, Esquilino, qui accueillait de nombreux immigrants africains et asiatiques. Iannone surnommait leur bâtiment « l’ambassade italienne ».

    Ce bâtiment devint le siège d’un nouveau mouvement appelé CasaPound. Au cours des 15 années qui vont suivre, il ouvrira 106 autres centres à travers l’Italie. Iannone, qui faisait partie de l’armée italienne depuis trois ans, a qualifié chaque nouveau centre de « reconquête territoriale ». Parce que chaque centre était autofinancé, et parce qu’ils prétendaient « servir la population », ces nouveaux centres ont ouvert à leur tour des gymnases, des pubs, des librairies, des clubs de parachutisme, des clubs de plongée, des clubs de motocyclisme, des équipes de football, des restaurants, des boîtes de nuit, des salons de tatouage et des salons de coiffure. CasaPound semblait soudain partout. Mais il s’est présenté comme quelque chose au-delà de la politique: c’était de la « métapolitique », faisant écho à l’influent philosophe fasciste Giovanni Gentile, qui écrivit en 1925 que le fascisme était « avant tout une conception totale de la vie ».

    Lire la suite

  • Préférence nationale pour la soupe populaire en raison du comportement des immigrés

    6a00d83451619c69e201b8d2ddee3e970c-200wi.pngEn Allemagne, les organisateurs de la soupe populaire à Essen ont déclaré :

    «En raison de l'augmentation du nombre de réfugiés au cours des dernières années, la proportion de citoyens étrangers parmi les personnes servies est montée à 75%. Pour permettre une intégration sérieuse, nous sommes obligés, pour l'instant, de n'accueillir que des personnes avec un passeport allemand».

    Cette décision a fait scandale.

    Les responsables locaux de la soupe populaire d'Essen ont dénoncé le comportement de certains réfugiés: «manque de respect envers les femmes» ou encore «bousculades» dans les files d'attente. Certains demandeurs d'asile se comporteraient en «profiteurs».

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Voile intégral : vers une interdiction au niveau européen ?

    Femmes-portant-voile-integral-France-decembre-2012_0_730_485-600x400.jpg

    Alors que le débat sur l’interdiction du voile intégral en Allemagne occupe le devant de la scène, Thierry Vallat – avocat au barreau de Paris – estime qu’il pourrait y avoir une interdiction globale au niveau européen.

    https://fr.novopress.info/209748/voile-integral-vers-une-interdiction-au-niveau-europeen/