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– 56% des Français estiment que les dirigeants populistes défendent aussi bien la démocratie que les dirigeants occidentaux traditionnels – 24% pensent que les populistes défendent moins bien la démocratie – 20% pensennt qu’ils la défendent mieux
Offensive. Le président français et Angela Merkel en prennent pour leur grade, tandis que l’ex-députée du Vaucluse apporte son soutien à Viktor Orbán.
Marion Maréchal est bel et bien de retour en politique. Dans une interview accordée au quotidien italien Corriere della Serra, repérée par Le Figaro, l’ancienne députée du Vaucluse, qui vient de lancer son école, l’Issep, tire à boulets rouges sur la politique immigrationniste de l’Europe, s’en prenant violemment à Emmanuel Macron et Angela Merkel.
Si les fonctionnaires de la Commission européenne considèrent que l’état de droit n’est pas respecté en Pologne et que l’indépendance de la justice n’y est pas respectée, les tribunaux des autres pays membres doivent-ils exécuter les décisions des tribunaux polonais et les mandats d’arrêt européens émis par eux ? La Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE) avait à se prononcer le 25 juillet sur une demande adressée par une juge – qui s’est avérée être aussi militante LGBT – de la Cour suprême irlandaise. C’est toute la coopération judiciaire au sein de l’UE qui est remise en cause…
La décision de la CJUE risque de rendre les mandats d’arrêts européens inapplicables
Après deux mois de détention pour avoir simplement divulgué un reportage sur le procès d'une bande d'immigrés pakistanais violeurs et criminels qui sévissait en Grande Bretagne, le journaliste militant patriote Tommy Robinson vient d'être enfin remis en liberté.
Depuis son incarcération scandaleuse, un mouvement populaire sans précédent s'est développé dans tout le Royaume Uni, ainsi que dans toute l'Europe, pour exiger la libération ce nouveau héros du peuple anglais. Le gouvernement britannique a donc été obligé de céder... Tant mieux !
Royaume-Uni – Le quotidien Daily Mail, citant une source gouvernementale, révèle que l’auteur de l’attentat suicide de Manchester qui avait fait 22 morts en mai 2017 était un « réfugié » sauvé par la marine britannique.
Salman Abedi, d’origine libyenne, faisait partie des 110 personnes évacuées par le navire britannique HMS Enterprise et conduites à Malte en août 2014, selon le journal.
Il s’était fait exploser, à l’âge de 22 ans, à la sortie d’un concert de la chanteuse pop américaine Ariana Grande à Manchester (nord-ouest de l’Angleterre), tuant 7 enfants et 15 adultes. « Que cet homme ait commis une telle atrocité sur le sol britannique après avoir été sauvé de Libye est une pure trahison », a commenté une source gouvernementale citée par le journal.
Selon un ami de la famille Abedi, cité par le Wall Street Journal l’an dernier, Abedi s’était rendu en Libye avec son père en 2011 pour se battre aux côtés d’une milice de Tripoli en lutte contre le régime de Mouammar Kadhafi.
Katrin Ebner-Steiner n’est pas seulement « confiante ». Elle est « très confiante ». Vice-présidente de la fédération bavaroise du parti d’extrême droite Alternative pour l’Allemagne (AfD), cette experte-comptable qui fête cette année ses 40 ans et aime répéter dans la même conversation qu’elle est « catholique » et « mère de quatre enfants », n’en revient pas: « Franchement, comment pouvions-nous espérer nous trouver aujourd’hui dans une situation aussi favorable ? Avec ce qui s’est passé ces derniers temps, nous pouvons faire un carton cet automne ! », s’enthousiasme-t-elle depuis la terrasse d’un bistrot de Deggendorf, opulente cité des bords du Danube où elle défendra les couleurs de l’AfD lors des élections régionales bavaroises du 14 octobre.
Pourquoi un tel optimisme, outre la dynamique du parti depuis les élections de septembre 2017 qui lui ont permis de compter 92 députés au Bundestag ? Pour Mme Ebner-Steiner, la réponse tient en deux noms : « Merkel et Seehofer ». A ses yeux, la chancelière fédérale, présidente de l’Union chrétienne-démocrate (CDU), et son ministre de l’intérieur, patron de l’Union chrétienne-sociale (CSU) bavaroise, sont « les meilleurs alliés objectifs » de l’AfD. « Avec leurs gesticulations, ils ont fini par perdre le peu de crédibilité qu’il leur restait », estime Mme Ebner-Steiner, pour qui la fermeté affichée de M. Seehofer en matière de politique migratoire « n’est que du bla-bla ». […]
Des migrants après leur arrivée en Espagne, Ceuta le 26 juillet 2018
Par Gilles William Goldnadel
Le 26 juillet dernier, plus de six-cents migrants ont franchi la barrière de sécurité qui sépare le Maroc de l'enclave espagnole de Ceuta. Gilles-William Goldnadel revient sur cet événement et analyse le traitement de cette actualité dans les médias français. [Figarovox, 30.07]. Il le fait avec courage, lucidité, sans craindre de dire les choses. Il a raison. LFAR
On se souvient sans doute que la section presse du parquet de Paris avait eu l'étrange autant que funeste idée de poursuivre Nicolas Dupont-Aignan pour avoir osé employer l'expression « invasion migratoire ».
Fort heureusement les juges parisiens, le mois dernier, ont mis un point d'arrêt à cette nouvelle tentative de voir limiter la liberté d'expression lorsqu'elle dérange l'idéologie réflexe de certains qui accusent ou d'autres censés informer.
Mais au-delà même de la liberté de penser et de dire, certains faits mettent la réalité la plus crue et la plus malodorante sous les yeux et le nez de ceux qui ne veulent ni voir ni sentir.
En Tunisie d'abord. Voilà deux semaines qu'un navire, le Sarost 5, contenant à son bord 40 migrants africains, attend vainement que les autorités tunisiennes leur donne l'autorisation d'accoster. L'ancien président tunisien, Moncen Marzouki, a tancé ses successeurs sur sa page Facebook : « que direz-vous, lorsque la France, l'Espagne ou l'Italie laisseront des migrants tunisiens se noyer sans réagir ? ». L'ancien président est bien l'un des seuls à être sévère envers les autorités de son pays. Les hommes à la peau très sombre n'y sont pas bien traités. Mon confrère l'avocat tunisien maître Ftouh Souhail, opposant notoire et courageux aux islamistes radicaux, révélait récemment que son pays serait le deuxième pays le plus intolérant d'Afrique selon une étude récente de l'institut indépendant Afrobarometer. Il était également placé au niveau 2 sur la liste des pays pratiquant la traite transnationale des personnes selon le rapport 2016 du bureau de contrôle et de lutte contre la traite des humains du Département d'État des États-Unis. Mais nul ou presque ne s'en soucie.
Est-ce que le Sarost 5 vous dit quelque chose ? Les Français ne le connaissent pas parce que leur presse n'a pas songé à leur dire. Voilà un non-dit qui dit beaucoup de choses.
Il dit qu'en réalité la presse idéologisée, souvent à son insu, ne se soucie aucunement du sort des migrants africains. Il dit que la manière dont ceux-ci sont ou non accueillis ou traités par les pays non occidentaux ne les intéresse pas non plus. Il dit que la seule chose qui passionne la presse est ce qui peut être exigé ou reproché à l'homme occidental en termes d'obligation morale.
C'est au demeurant dans ce cadre très restrictif que le navire l'Aquarius, affrété par SOS Méditerranée et subventionné indirectement par la très idéologique Open Society de George Soros, n'a pas songé une seconde, en contradiction avec le droit maritime international du secours en mer, de réclamer l'accueil à l'Algérie ou à la Tunisie pourtant plus proches mais à l'exiger de la plus lointaine mais européenne Italie.
Rendons-nous au Maroc ensuite, ou plutôt dans cette enclave espagnole postcoloniale nommée Ceuta. (Photo).
La presse française a en effet révélé sans grands excès d'indignation que plus de 600 migrants africains avaient forcé la frontière pour pénétrer en terre hispanique, donc européenne.
Pour pouvoir réclamer ainsi le droit d'asile, ceux-ci n'auront pas lésiné en moyens coercitifs : usage de la chaux vive et jets d'excréments sur les policiers.
Ici encore, il y a beaucoup à dire dans ce qui n'a pas été dit et peut-être pensé.
En surface, le fait qu'un nouveau gouvernement espagnol, dirigé par des socialistes réticents à défendre les frontières externes de l'Europe arrive aux affaires, n'a pas dû échapper à ceux déterminés à les enjamber. Le fait également de ne pas avoir à l'esprit les principes les plus élémentaires du droit des gens. Comme celui qui veut que « la fraude corrompt tout ».
Et qu'ainsi, celui qui utilise la violence ne peut espérer requérir un droit. Fût-ce un étranger non occidental au sein d'un continent tant miné par le doute et la mauvaise conscience que les droits de l'homme moderne célébrés religieusement ne s'appliquent plus vraiment à ses vieux habitants.
En profondeur ensuite. Ainsi donc des migrants africains emplis d'énergie ont brûlé à la chaux vive et jeté des excréments sur des hommes de la garde civile espagnole.
Mon imagination est impuissante à décrire la réaction politique ou médiatique légitime au cas où un policier occidental aurait jeté des excréments sur un homme de couleur noire.
L'antifascisme médiatique et politique devenu fou aura bien du mal à montrer ces images sous le prisme de ses vieux fantasmes frappés d'obsolescence. Raison pourquoi, il ne les a pas beaucoup montrées.
En revanche, l'idée fantasmatique de vouloir brûler ou couvrir d'immondices l'homme blanc consentant correspond assez sombrement à l'inconscient collectif du moment.
Ou plutôt à un certain inconscient collectif déclinant que les hommes les plus conscients d'Europe sont désormais déterminés à dénoncer.
Au risque d'être couverts de ces crachats qu'ils tiennent à présent pour des compliments.
1) Société / Prisons : Plus rien ne va pour Nicole Belloubet
Un mois après la spectaculaire évasion de Redoine Faïd, le ministre de la Justice, Nicole Belloubet, s’active pour combler les failles de l’administration pénitentiaire. Des failles plus que jamais présentes alors que le nombre de détenus a une nouvelle fois battu un triste record.
2) Economie / Le vin bleu s’attaque au marché français
Alors que la France est le premier pays producteur et consommateur de vin rosé, un petit nouveau pousse la porte de nos caves : le vin bleu. Ce breuvage du 3ème millénaire et qui nous vient d’Espagne se rêve déjà en véritable concurrent du rosé !
3) Culture / Patrimoine : le poète ferrailleur breton
4) L’actualité en bref
Pour ceux qui n’arrivent pas à lire cette vidéo, regardez là sur RuTube (juste après)
Au nom du vivre-ensemble, l’Angleterre embastille ceux qui ceux dénoncent les viols de masse commis par des gangs de pakistanais envoyé en prison moins d’un jour après son arrestation, Tommy Robinson, que l’on soit d’accord ou pas avec ses prises de position, est devenu en Europe un symbole de la liberté d’expression bafouée. Il est en danger de mort.
L’affaire Tommy Robinson nous en dit beaucoup sur le soft power totalitaire qui sévit au Royaume-Uni, mais aussi en France. Si vous n'êtes pas féru de réseaux sociaux, vous êtes peut-être passé à côté d'un scandale digne de feu l'URSS Tommy Robinson, c'est ce militant britannique anti-islamisation, qui a été arrêté et condamné le 25 mai dernier pour avoir filmé en direct les prévenus, devant le palais de justice de Leeds, où se tenait l'un des nombreux procès de gangs de violeurs. Motif ? « Outrage à la Cour ».
Tout dans cette affaire interpelle, à commencer par ce motif étrange comment un quidam dans la rue peut-il outrager la Cour ? Celle-ci avait décidé d'un black-out médiatique total sur l'affaire, officiellement pour préserver la neutralité des débats, mais plutôt pour protéger le vivre-Ensemble. En cause, Telford et Rotherham, deux villes qui sont la honte du Royaume-Uni pendant près de 30 ans, des gangs de Pakistanais ont violé en réunion un millier de mineures, principalement Blanches, parfois Sikhs. Une survivante de Rotherham témoigne « Ils m’appelaient "pute blanche" Parce que j'étais non-musulmane, je méritais d'être punie. » Si l’affaire a duré aussi longtemps, c'est que police, services sociaux, justice et médias l’ont étouffée, par crainte de passer pour « racistes ».
C'est donc de ce « vivre-Ensemble » particulièrement dévoyé que voulait témoigner Tommy Robinson. Fondateur de l'English Défense League, ex-hooligan, il s'est reconverti depuis 2013 dans le journalisme citoyen, téléphone portable au poing, sans peur du coup de poing, ce qui lui a déjà valu des peines de prison avec sursis pour avoir filmé sur les marches d'autres tribunaux, comme le font tous les journalistes. Pourtant, ce 25 mai il était seulement sur le trottoir, pas à l'intérieur du Prétoire cette discrétion citoyenne n’a pas empêché son arrestation, et sa condamnation à 13 mois ferme le jour même, dans des conditions kafkaïennes procès bâclé en trois heures, son avocat ayant été préalablement éconduit et remplacé par un commis d'office.
Kafka chez les Rosbeefs
Le juge a même admis publiquement n'avoir que très brièvement regardé la vidéo de Robinson, lequel ne faisait que répéter des infos publiques, qui ne pouvaient donc influencer le jury. Il s’est aussi moqué des risques pour la vie de Tommy Robinson que lui faisait courir son emprisonnement dans un établissement à forte population pakistanaise.
Et puis son arrestation et son procès ont fait eux-mêmes l'objet d'un « gag order », une ordonnance de bâillonnement. Pendant quatre jours, la presse anglaise n'a pas eu le droit de mentionner l’affaire et les médias qui avaient déjà publié des papiers les ont aussitôt censurés. Et en France ? Il faut croire que le droit britannique jouit de l’extra-territorialité, puisque seule une poignée de sites Internet ont évoqué l'affaire pendant cette période.
Pourtant, grâce aux réseaux sociaux, la mobilisation en faveur du militant sera impressionnante la pétition lancée en sa faveur en Anglais, puis en 6 autres langues, recueille à ce jour plus de 600 000 signatures. Dès le lendemain de son arrestation, une première manif de soutien défilait dans les rues de Londres. Elles se succèdent depuis et celle du 9 juin aurait rassemblé 25 000 personnes. Le Premier ministre néerlandais Geert Wilders a apporté son soutien au militant et Donald Trump Jr., le fils de l'autre, s’est inquiété de son arrestation.
À Paris, ce ne seront que quelques centaines de manifestants qui ont soutenu Robinson le 4 juin dernier, à l’appel de personnalités d'extrême-droite. La presse finira par un peu l'évoquer, de manière neutre pour Valeurs Actuelles ou Libé dans un article de « désintox », et plus abjecte pour L'Obs qui a osé titrer « le scandale de pédophilie de Telford fait le miel de la fachosphère » Comme si le vrai problème n'était pas d'abord que le silence sur les viols de Telford fasse le miel de la gauchosphère, mais surtout que le pays de l’Habeas Corpus et du Free Speech Corner embastille ce qu'il n est pas exagéré d'appeler un dissident.