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Europe et Union européenne - Page 556

  • Brèves d’Europe

    Autriche. Vienne va retirer les permis de séjour d’une quarantaine d’imams et fermer sept mosquées, une décision sans précédent. « Les sociétés parallles, l’islam politique et les mouvements radicaliss n’ont pas leur place dans notre pays », a déclaré le chancelier Sebastien Kurz.

    La communauté musulmane d’Autriche est proportionnellement l’une des plus importantes d’Europe : pas moins de 8 % des résidents de ce pays comptant 8,7 millions d’habitants se déclarent de cette confession. Dominée par les représentants turcs.

    L’Autriche, qui assurera la présidence de l’UE au 1er juillet, va organiser un sommet extraordinaire des chefs d’État à Salzbourg la troisième semaine de septembre. Ce sommet sera le premier consacré à la sécurité intérieure et au contrôle des frontières de l’UE, avec des propositions de mesures communes.

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  • Budapest criminalise l’aide aux « immigrés illégaux» et taxe les ONG immigrationnistes

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :

    Le gouvernement hongrois vient d’introduire un dispositif législatif criminalisant les activités d’aide aux immigrés illégaux commises par des activistes et permettant de prélever une taxe de 25 % sur le financement étranger des ONG soutenant l’immigration illégale. Les sommes ainsi collectées serviront à renforcer la protection des frontières de l’UE. Ce projet vient d’être adopté à une écrasante majorité (160 voix contre 18) par le parlement malgré les mises en garde de diverses institutions telles que l’OSCE, du Conseil de l’Europe et, bien sûr, Amnesty International.

    Cet ensemble de mesures, dénommé «Stop-Soros», fait partie d’un plan gouvernemental de lutte contre l’influence des réseaux libéraux-libertaires de George Soros qui jouit de l’appui de la quasi-totalité des 2,3 millions de citoyens hongrois consultés.

    Toute organisation soutenant l’immigration illégale grâce à des ressources financières étrangères, sera enregistrée et obligée de rendre compte de son activité.
    Une taxe de 25 % sur leurs financements étrangers leur sera alors imposée et les sommes collectées seront investies dans la protection des frontières.
    Il sera possible de poursuivre tout participant à l’organisation de l’immigration clandestine. Cette mesure restera en vigueur jusqu’à la fin de la crise migratoire.

    https://fr.novopress.info/

  • Quelques techniques de désinformation

    6a00d83451619c69e2022ad354cd06200c-800wi.jpgPar Ligne droite :

    "[...] Le silence absolu

    La technique de désinformation la plus simple, la plus facile et la plus répandue consiste à censurer totalement les informations qui vont à l’encontre du politiquement correct et qu’on veut cacher au public. Ainsi ne parle-t-on jamais du risque de voir l’immigration provoquer un basculement civilisationnel dans notre pays. 

    La fausse symétrie

    La fausse symétrie consiste à mettre sur le même plan des idées ou des groupes qui n’ont pas le même poids ni la même légitimité afin de dévaloriser les uns et de mettre en avant les autres. Ainsi, placera-t-on au même niveau les voyous des banlieues et les policiers auxquels ils sont confrontés. On expliquera qu’il y a une incompréhension réciproque entre les uns et les autres et que le dialogue entre eux devrait être amélioré. Une symétrie entre les deux parties totalement illégitime car on ne peut pas mettre la police qui incarne l’État et qui est chargée de faire respecter les lois sur même plan que les jeunes qui les bafouent. Mais l’objectif est précisément, sans en avoir l’air, de dévaloriser la police et de réhabiliter les jeunes des zones de non-droit.

    Les porte-parole fabriqués

    La technique des porte-parole fabriqués est utilisée, de son côté, lorsque les médias du Système décident d’une campagne d’opinion, pour lancer une idée ou un mot d’ordre nouveau. On voit alors fleurir des porte-parole jusque-là totalement inconnus à qui on offre avec complaisance des temps d’antenne significatifs. Ces individus, souvent issus de l’extrême gauche, viennent généralement de déposer les statuts d’une association et ne représentent guère qu’eux-mêmes et les quelques militants qui les entourent. Aussi ne devraient-ils pas être sollicités par les journalistes. Pourtant, les micros se tendent vers eux pour recueillir les propos que les manipulateurs veulent diffuser sur les antennes et qu’ils ne pourraient pas tenir eux-mêmes. Ainsi a-t-on vu de tels porte-parole apparaître pour dénoncer le harcèlement subi par les femmes lorsqu’une campagne de ce type à été lancée de façon très orchestrée et totalement artificielle par les médias.

    Les cas particuliers caricaturaux

    Une autre technique très répandue pour dénoncer une pratique que l’on veut stigmatiser est celle du cas particulier caricatural. L’idée est de prendre un cas particulier tout à fait exceptionnel choisi pour susciter un sentiment de révolte et de le présenter comme illustratif des pratiques que l’on veut dénoncer. Ainsi ira-t-on faire un reportage sur l’interpellation, dans son milieu scolaire, d’une jeune fille étrangère qui devait être expulsée du pays avec sa famille. L’idée est de scandaliser l’opinion et de montrer à quel point la politique d’expulsion des clandestins constitue une honte morale puisqu’elle conduit à arrêter les enfants dans leur classe devant leurs petits camarades. Le caractère exceptionnel des circonstances qui ont entouré cette expulsion et le fait qu’elle ne soit nullement représentative des expulsions en général ont été évidemment passés sous silence, car c’est l’ensemble des expulsions que les manipulateurs cherchent à présenter comme odieuses.

    L’image choc

    La technique de l’image choc est quant à elle la méthode de manipulation la plus efficace et la plus spectaculaire. L’exemple le plus emblématique est celui de la photo montrant un enfant mort sur une plage turque à la suite du naufrage d’un bateau de migrants. Cette photo qui a fait le tour du monde a été utilisée pour déclencher une émotion qui a servi à accréditer la thèse que les Européens, en refusant d’accueillir les migrants, étaient responsables de nombreux morts. Une accusation évidemment absurde qui ne prenait par ailleurs nullement en compte les conséquences catastrophiques de ces migrations pour la civilisation européenne. Le but recherché était en effet de pouvoir exercer une forte pression sur les dirigeants européens, laquelle a effectivement été orchestrée par les médias avec des résultats incontestables pour les manipulateurs puisque c’est après la diffusion de cette photo que Mme Merkel a ouvert les portes de l’Allemagne au flux des migrants. Notons qu’à l’inverse les images chocs sur les violences islamistes sont soigneusement et systématiquement occultées.

    Le micro trottoir truqué

    L’une des techniques de désinformation et de manipulation les plus fréquentes et les plus faciles à réaliser est le micro trottoir truqué. Il s’agit d’interroger les gens dans la rue afin de recueillir leur opinion sur un sujet donné. Pour s’assurer de pouvoir diffuser des réponses allant dans le sens qu’il souhaite, le journaliste va solliciter un nombre de personnes important afin de retenir in fine les trois interventions qui correspondent le mieux au message qu’il veut faire passer. Ensuite, sans évidemment se préoccuper de savoir s’il est ou non représentatif, il présentera son reportage comme s’il avait cherché à montrer quel était l’état de l’opinion. Résultat : le téléspectateur aura l’impression que l’opinion en général penche pour la thèse politiquement correcte, celle préalablement définie par le journaliste et par le Système. Ainsi, par exemple, lors d’un attentat islamiste, les personnes interrogées par les chaînes de télévision sont-elles toutes sur la ligne du Vivre ensemble, comme si, dans ces dramatiques occasions, il n’y avait jamais un seul Français en colère contre l’islam et les musulmans. [...]"

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • EMMANUEL MACRON ATTEINT LE POINT GODWIN : LA « LÈPRE POPULISTE », C’EST COMME LA « PESTE BRUNE »

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    Emmanuel Macron se rêve en successeur de Mitterrand et voit en Angela Merkel la nouvelle Helmut Kohl. Il ne lui reste plus qu’à trouver son Ernst Jünger et le tableau sera complet.

    Sauf que nous ne sommes plus en 1989 et les trois protagonistes qui scellèrent, mano a mano, l’indéfectibilité de l’amitié franco-allemande ne sont plus. Restent des nains politiques qui, à l’instar de la grenouille de la fable, veulent se faire plus imposants que leurs aînés.

    Macron est un européiste dans l’acception la plus fanatique et littéralement intégriste du terme. Un « Européen de dingue », en quelque sorte ! Plus fort que Mitterrand affirmant que « la France est notre patrie, l’Europe notre avenir », le président de la République estime que notre pays a fait son temps ; devenu bien moins que notre passé, il est plus que dépassé, ravalé au rang de souvenir muséal poussiéreux.

    C’est, en substance, la grille d’interprétation que suggère son discours de Quimper prononcé, ce solstice, devant un parterre de quelque trois cents élus locaux devant lesquels, fustigeant la « montée [d’] une lèpre [populiste] un peu partout en Europe, dans des pays où nous pensions que c’était impossible de [la] voir réapparaître », il n’a pas eu un mot pour la France, son histoire plus que millénaire, son peuple souche et sa colère identitaire sourde mais réelle.

    Au lieu de cela, notre Président, dans une diatribe enflammée contre le « nationalisme qui renaît, contre les frontières fermées que certains proposent », a préféré louer « ces terres qui croient dans l’Europe », oubliant au passage que ce sont d’abord des terres ethno-nationales qui sont au fondement de l’Europe.

    En outre, déplore-t-il qu’« on s’habitue à tous les extrêmes, dans des pays qui, depuis des années, sont pourtant pro-européens comme nous », visant ainsi l’Italie et l’Autriche, voire l’Allemagne, où le ministre de l’Intérieur CSU Horst Seehofer s’oppose sévèrement à la folle politique migratoire de la chancelière.

    Chez les mondialistes libéraux-libertaires, on ne peut qu’être « pro-européen ». C’est dire, en d’autres termes, que l’attachement à l’Europe, loin de s’établir prioritairement sur des références civilisationnelles communes que ses dirigeants se plairaient à perpétuer et à honorer, doit se résumer à l’adhésion aveugle, obligatoire et dogmatique à un vaste hypermarché juridico-administratif sans âme et ouvert aux quatre vents.

    Cette rhétorique, adossée à l’antienne frelatée – et fallacieuse – de la nocivité foncière du nationalisme, s’accompagne généralement d’une haine vomitive à l’endroit des peuples accusés de voter mal. On n’est, d’ailleurs, jamais très loin du point Godwin, les pestilences hitlériennes finissant immanquablement par remonter des égouts des « heures-les-plus-sombres… ».

    Ainsi, de la peste brune à la lèpre populeuse et scrofuleuse, le pas est rapidement franchi. Nos démocrasseux, se prenant pour des rois thaumaturges, prétendent extirper les racines du Mal en touchant – c’est-à-dire en froissant injurieusement –, jusqu’à l’extrême mépris, ces galeux d’électeurs désormais soucieux de sauvegarder leur être historique profond et qui optent pour « l’extrême droite ».

    Sur Twitter, Jean-Patrick Fillet, délégué départemental pour la Vendée du Rassemblement national, fait justement observer que « la lèpre est provoquée par le bacille de Hansen. Elle touche les plus “pauvres”. Mauvaises conditions d’hygiène, eau insalubre, malnutrition favorisent son apparition ». Sans commentaire.

    http://www.bvoltaire.fr/emmanuel-macron-atteint-point-godwin-lepre-populiste-cest-peste-brune/

  • Les belles consciences complices du terrorisme

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    Les polémiques médiatiques actuelles montrent à l’évidence que nos dirigeants n’ont, en réalité, aucune intention d’affronter sérieusement le terrorisme islamique.

    Comme leurs prédécesseurs du Front populaire, ils s’attachent à des slogans absurdes : on calomnie M. Hitler, la plupart des Allemands veulent la paix, n’allons pas les provoquer.

    En conséquence de quoi, il ne saurait être question d’exiger quoi que ce soit des imams salafistes qui sévissent en France.

    S’ils pensent qu’une femme est une moitié d’être humain, sur laquelle n’importe qui peut assouvir ses pulsions à n’importe quel moment, dès lors qu’elle ne porte pas le voile et « donc » se désigne au public comme prostituée, c’est simplement une anodine différence culturelle.

    Il ne saurait pas davantage être question de freiner l’immigration ni même d’exiger de ceux qui entrent sur notre territoire le respect de nos lois et de nos coutumes.

    Et, bien sûr, il va de soi que ceux qui ont pris les armes contre nous doivent pouvoir bénéficier de toutes les garanties du fameux « État de droit » – et donc être préservés de toute sanction proportionnée.

    Vous pensez que j’exagère ?

    Hélas, je crains d’être au-dessous de la réalité.

    Ne regardons que trois des derniers débats médiatiques.

    Tout d’abord, le sort des djihadistes et épouses de djihadistes « français » prisonniers en Syrie et en Irak.

    Tous les jours, des voix exigent que la France demande leur extradition pour qu’ils aient droit à un procès « équitable ».

    Passons sur le mépris que cela implique pour les justices irakiennes et syriennes. Mais le bon sens le plus élémentaire fait comprendre que des personnes qui ont pris les armes contre la France ne peuvent plus réclamer la protection de la France.

    Les « belles consciences » qui réclament ces extraditions croient sans doute que nous avons une mémoire de poisson rouge et que nous avons oublié les plus de 250 morts français des dernières années ?

    Il en va de même pour l’odyssée de l’Aquarius. À en croire les journaux, les fascistes italiens voudraient couler de malheureux réfugiés par le fond.

    Mais, d’abord, il est fort contestable qu’il s’agisse de réfugiés.

    Et, surtout, la nouvelle majorité italienne s’est engagée à juguler l’immigration clandestine. Elle tient juste ses promesses.

    Pourquoi les pays européens auraient-ils un impératif de recevoir sans limitation les millions de personnes qui souhaitent s’y établir ? Alors que personne ne s’interroge sur le refus des pays musulmans d’accueillir leurs coreligionnaires, ne s’inquiète du nombre de djihadistes parmi les « réfugiés », et que personne ne semble s’émouvoir du sort des millions de pauvres français que l’on chasse des hébergements d’urgence pour laisser la place aux nouveaux venus !

    Évidemment, comme Français, je m’inquiète fort de l’affaire de l’Aquarius, puisqu’il y a lieu de craindre qu’Emmanuel Macron se propose d’accueillir toute la misère du monde refusée ailleurs – d’autant plus généreusement qu’il ne paiera pas le coût de cet accueil. Mais je comprends les Italiens.

    Enfin, dernière polémique. Un rappeur du nom de Médine (la ville où Mahomet perpétra tant de massacres), auteur d’un album intitulé « Jihad », doit se produire à l’automne prochain au Bataclan. Les protestations se heurtent à deux slogans : « On ne peut pas limiter la liberté d’expression. » « C’est une salle privée. On ne peut pas agir. » Il y a pourtant fort à parier que, si un groupe de rock néonazi avait imaginé de se produire au Vel’ d’Hiv’, le gouvernement aurait trouvé un moyen de l’empêcher. S’il ne le fait pas ici, c’est qu’il compte toujours sur les voix et sur l’argent des islamistes.

    Guillaume de Thieulloy

    Texte daté du 20 juin 2018 et repris du site les4verites.com

    https://fr.novopress.info/

  • Allemagne : les mensonges de Mélenchon, les vérités de Trump

    Il y a des collisions cocasses dans les déclarations des uns et des autres. Prenons par exemple l’Allemagne ou l’usurpatrice Merkel, ancienne agent de la Stasi et pas plus chrétienne qu’allemande, a suscité ces dernières heures deux déclarations qui ont été répercutées dans les médias.

    L’une vient du petit tyran gauchiste Jean-Luc Mélenchon, spécialiste de la fake-news ou plutôt de « la vérité vraie du Parti » : « Les migrants syriens sont des gens formés, des médecins, des ingénieurs et le reste ! Ils se sont mis au boulot aussitôt ». A part s’il considère les agressions et les viols comme se mettre au boulot, la vérité est ailleurs comme on dit au FBI… Notons d’ailleurs que l’ami du tiers-monde est totalement d’accord pour dépouiller un pays de ses élites.

    Non seulement les délires du Méchancon sont faux, mais c’est même l’inverse, car l’Allemagne, contrairement à la France, s’informant du niveau de qualification des personnes qu’elle accueille, il est facile de vérifier. La statistique est imparfaite (seuls trois quarts des demandeurs d’asile décrivent leurs compétences, et on ne vérifie pas la réalité de ce qu’ils disent), mais éclairante si on en croit Europe 1 :

    « Sur les 1,3 million de demandeurs d’asile enregistrés en Allemagne depuis 2015, seuls 17% déclarent avoir fréquenté un établissement d’enseignement supérieur (donc moins d’un sur cinq), et la majorité, en réalité, n’a pas dépassé le collège. Les médecins, les ingénieurs, sont très minoritaires, moins de 2% du total. Les migrants syriens, souvent plus diplômés, c’est vrai, ne trouvent pas davantage de travail : selon les derniers chiffres des autorités allemandes, 69.300 Syriens occupent un vrai travail en Allemagne (soumis à cotisations), donc un syrien sur 7. 85% d’entre eux, pour vivre, dépendent de l’aide sociale. Et c’est la réalité que découvrent les Allemands : l’intégration est particulièrement difficile pour les réfugiés, en dépit des programmes de formation, des aides mises en place. Seuls 150.000 réfugiés originaires des huit principaux pays producteurs d’asile ont trouvé un emploi stable depuis 2015. Cela ne veut pas dire que les réfugiés ne travaillent pas : 20% environ travaillent en intérim, dans la restauration, le nettoyage. Mais ce sont de petits jobs, sous-payés, sans avenir. Jean-Luc Mélenchon a raison de souligner qu’un nombre croissant d’entreprises allemandes en profitent, mais ils sont loin de répondre à la pénurie de main d’œuvre. 1,6 million d’emplois ne trouvent pas preneurs aujourd’hui outre-Rhin, mais les réfugiés n’y correspondent pas. Il y a la barrière de la langue, des qualifications bien sûr, mais cela va plus loin. Par exemple, 1,5% des réfugiés en Allemagne, ont une formation médicale. Mais pour travailler outre-Rhin, il faut repasser des diplômes, c’est très long. Un mécanicien qui travaillait dans l’automobile en Irak, par exemple, ne connaît rien, à la mécatronique, or c’est de cela dont l’industrie allemande a besoin. Même dans la construction, les niveaux d’exigence, les pratiques, sont sans comparaison. Résultat les réfugiés doivent tout reprendre à zéro (cours de langue, puis de mathématique, puis de physique, etc…), avant même d’accéder à la formation. Si l’Allemagne manque d’apprentis, seuls 13 000 réfugiés ont achevé un parcours en alternance ces deux dernières années, et il n’y a cette année que 28.000 inscrits. C’est peu, et cela montre à quel point le défi est énorme, pour l’Allemagne, qui prévoit de consacrer 13 milliards d’euros à des cours de langues et des formations pour les migrants d’ici 2022. »

    L’autre nous vient du chef d’Etat américain, Donald John Trump. « Le peuple allemand se rebelle contre ses gouvernants alors que l’immigration secoue une coalition déjà fragile, la criminalité augmente en Allemagne. Une grosse erreur a été commise partout en Europe : laisser rentrer des millions de personnes qui ont fortement et violemment changé sa culture. ». Bien entendu, hurlement des bien-pensants accusant le Président américain de mentir. Or, l’hebdomadaire Valeurs Actuelles prouve (comme nous l’avions fait auparavant dans plusieurs de nos articles) que le tenancier de la Maison Blanche a parfaitement respecté la réalité…

    La vague migratoire a entraînée 10% de crimes violents en plus, sur les années 2015 et 2016, 90% de cette augmentation étant due aux jeunes hommes clandestins fraîchement accueillis, âgés de 14 à 30 ans selon une étude parue en janvier 2018. En 2016, les étrangers étaient 3,5 fois plus impliqués dans des crimes que les Allemands, les clandestins 7 fois plus. La même année, la proportion d’étrangers parmi les personnes suspectées d’actes criminels était passée de de 28,7% en 2014 à 40,4% en 2016 avant de se tasser à 35% en 2017 (ce qui reste plus important qu’en 2014).  Des chiffres encore plus élevés dans le domaine des crimes violents (5 fois plus élevés chez les étrangers, 15 fois chez les clandestins) ou dans celui des viols en réunion (10 fois plus chez les étrangers, 42 fois chez les clandestins !). On comprend mieux le silence des féminazes : les victimes ne sont pas intéressantes car n’étant pas attribuables aux hommes blancs chrétiens. Même silence chez la secte conciliaire : on ne peut pas faire de campagne contre le clergé, donc victimes sans intérêts… Il est des silences qui hurlent aux crimes.

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/

  • TOMMY ROBINSON : UN FUTUR MANDELA EUROPÉEN ?

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    Nous avons commémoré, ce mois, un appel historique à la résistance française. Un nouvel appel de juin vient de nous être communiqué – par la résistance anglaise, cette fois.

    Depuis sa geôle où il est confiné à l’isolement, Tommy Robinson s’est exprimé par courrier. Sa lettre est à l’adresse de chaque patriote anglais et européen.

    Il déclare, notamment, dans son texte qu’il aurait jadis accepté de mourir pour que son pays demeurât ce qu’il fut – avant la pression de l’islam. Aujourd’hui, il dit sourire à l’idée que sa mort entraînerait des réactions politiques propres à enclencher un processus historique.

    Tommy Robinson est emprisonné pour s’être comporté en journaliste à propos d’un gang pakistanais accusé de multiples viols et sévices sur de multiples adolescentes, une affaire qui a révélé un mutisme coupable de la part des services sociaux, de la police, des journalistes et de la justice (nous espérons n’oublier personne).

    Il avait déjà tâté de la prison pour une vague histoire de prêt bancaire et de passeport, l’administration pénitentiaire britannique l’avait alors laissé se faire battre comme plâtre par des musulmans ; sa vie n’avait tenu qu’à un fil. Il est vrai que l’Angleterre sait comment humilier les prisonniers politiques, et l’on se souvient du sadisme de certains matons qui maltraitèrent sans retenue les catholiques irlandais. Bobby Sands n’était pas un Tommy Robinson, mais tous deux furent actifs sur fond de troubles politiques. L’originalité de la situation dans laquelle se trouve Robinson est la suivante : si un Sands pouvait être perçu comme un opposant lié au terrorisme, Robinson en est l’antithèse. C’est l’amour d’un homme pour l’identité de son pays qui le voue à la mise aux arrêts.

    Laissons, ici, la comparaison avec Sands et choisissons celle de Nelson Mandela. À l’heure où Jeanne d’Arc est métisse, nul ne doit se choquer de voir en Tommy Robinson un Nelson Mandela européen.

    Que Tommy meure et c’est l’émeute issue des quartiers populaires blancs. De manière assez similaire, que Médine se produise au Bataclan et l’on pourra craindre un coup de force, tôt ou tard. La coupe est (presque) pleine pour de nombreux Européens lassés par le masochisme à gros clous. La politique devient sport de combat.

    En attendant, et dans l’espoir d’une prise de conscience des enjeux par nos maîtres, souhaitons courage à l’infatigable combattant de la liberté qu’est Tommy Robinson, emprisonné comme le furent d’autres illustres avant lui pour s’être dressés contre l’oppresseur, avant que l’oppresseur ne cède ou ne se sauve en catimini pour échapper au lynchage.

    http://www.bvoltaire.fr/tommy-robinson-futur-mandela-europeen/

  • Macron-Merkel : l’erreur du couple européen, par Ivan Rioufol

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    Le “moteur” franco-allemand est en panne. Il a peu de chance d’entraîner l’Europe. Emmanuel Macron et Angela Merkel, qui se sont retrouvés mardi au château de Meseberg, près de Berlin, pour tenter de canaliser le Conseil européen des 28 et 29 juin, sont incapables d’apporter une solution crédible à la crise migratoire qui ébranle l’Union européenne. La raison en est simple : tous deux sont à la source de l’insurrection des peuples, qu’ils n’ont cessé de mépriser dans leurs aspirations à plus de protection. Demander à Macron et Merkel d’apaiser une opinion européenne en rébellion contre les “élites” est aussi loufoque que d’exiger de deux pyromanes qu’ils gèrent les incendies allumés.

    Faut-il rappeler, en effet, la faute préalable de la chancelière ? C’est elle qui, unilatéralement, a pris la décision en 2015 d’accueillir un million de réfugiés musulmans, sous les applaudissements de prêcheurs de “l’ouverture à l’Autre”. En septembre 2015, Le Point titrait sur “L’incroyable Madame Merkel”, en ajoutant : “Si seulement elle était française”. Le Monde voyait en elle “la fierté de l’Europe” et réclamait pour elle le prix Nobel de la paix. En 2016, des milliers de femmes se faisaient agresser sexuellement par de jeunes arabes à Cologne et dans d’autres grandes villes. En 2017, l’antisémitisme coranique venait en relève de la souillure nazie dont Merkel pensait s’amender par son geste généreux. Depuis lundi, la CSU bavaroise menace Merkel de rompre son accord de gouvernement si aucune solution de renvoi des clandestins n’est trouvée d’ici quinze jours.

    Or c’est cette politique démentielle que Macron a appuyée, en fustigeant les populistes; coupables de mettre en garde contre les difficultés d’intégrer à une culture occidentale des peuples portant une culture islamique. En septembre 2017, à la Sorbonne, son discours sur la refondation de l’UE était tout entier construit sur le rejet des citoyens réclamant davantage de contrôles aux frontières et de vigilance face à l’islam. “Je ne laisserai rien, rien, à ceux qui promettent la haine, la division, ou le repli national”, avait-il lancé dans une inutile véhémence. Son projet, avalisé hier par Merkel, d’un budget commun pour la zone euro est dans la continuité de sa conception comptable et technocratique d’une Union sans affect.

    Cette vision glaciale du couple Macron-Merkel, les Thénardier de l’UE, n’entre pas en résonnance avec ce qui s’exprime actuellement, partout en Europe, dans la renaissance des nations et des frontières. Donald Trump est celui qui, en juillet 2017 à Varsovie (Pologne) a le mieux approché la crise identitaire qui reste à résoudre (bloc-notes du 15 juillet). Le président des Etats-Unis s’était alors notamment fait le défenseur de “la grandeur de l’Occident”. Pas étonnant si, lundi, Trump s’est cru autorisé à commenter les difficultés de la chancelière : “Le peuple allemand est en train de se retourner contre ses dirigeants (…) Nous ne voulons pas que ce qui se passe avec l’immigration en Europe se passe avec nous !”. Macron et Merkel peuvent peut-être encore sauver l’UE. Mais sûrement pas avec leurs recettes.

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 20 juin 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • Les ONG ne s'en font pas : 3000 € pour monter dans l'Aquarius

    Dans un "coup de gueule", Renaud Girard, grand reporter au service étranger du Figaro, accuse lourdement les ONG et les réseaux de passeurs d'alimenter les trafics de migrants.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

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