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Europe et Union européenne - Page 555

  • 10 ans d’« indépendance » du Kosovo : bienvenue dans le pandémonium de l’Europe – par Nikola Mirkovic

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    Le Kosovo demeure une zone très instable qui peut de nouveau embraser la région.

    Avant toute chose, il faut clarifier la situation du Kosovo, qui n’est pas « indépendant », comme certains veulent nous le faire croire. Des Albanais du Kosovo ont déclaré leur indépendance le 17 février 2008, mais cela n’en fait pas un pays indépendant pour autant. La résolution 1244 de l’ONU souligne que le Kosovo fait partie de la Serbie et l’ONU elle-même ne reconnaît pas le Kosovo indépendant. C’est, d’ailleurs, la position officielle du Vatican, de la Russie, de l’Espagne, de l’Inde… et de nombreux pays qui refusent de reconnaître l’indépendance de cet « État » artificiel, haut lieu du crime organisé et calvaire des orthodoxes serbes.

    La situation du Kosovo, aujourd’hui, est catastrophique. Plus de 1.000 Serbes ont été assassinés et 250.000 Serbes chrétiens ont dû fuir la région depuis l’arrivée de l’OTAN. 150 églises chrétiennes ont été détruites pendant qu’en même temps, 800 mosquées se sont construites et que le Kosovo devenait le premier fournisseur, par tête d’habitant, de djihadistes en Europe. Les Serbes, devenus minoritaires sur leur propre terre, continuent de subir une purification ethnique qui n’émeut guère les grandes consciences européennes.

    Le Kosovo est une des régions les plus jeunes et également les plus pauvres d’Europe, avec 60 % des jeunes au chômage, 30 % de la population vivant sous le seuil de pauvreté et 10 % de la population survivant en extrême pauvreté avec moins d’un euro par jour. C’est un paradoxe incroyable pour une région qui a reçu plus d’argent, par tête d’habitant, que l’Europe avec le plan Marshall. La situation est tellement catastrophique que des milliers d’Albanais eux-mêmes fuient maintenant la région par dizaines de milliers.

    Et c’est normal que le Kosovo ne s’en sorte pas. Les pays de l’OTAN, qui ont fomenté la guerre en ex-Yougoslavie en formant et en finançant l’armée terroriste de l’UÇK, ont choisi ces mêmes terroristes, majoritairement issus du crime organisé, pour diriger le « pays » une fois la guerre terminée. À quoi fallait-il s’attendre d’autre ? Pensait-on, sérieusement, que Hashim Thaçi, l’actuel « président » du Kosovo, chouchou des chancelleries occidentales et ex-chef de l’UÇK, dont un rapport du Conseil de l’Europe dit qu’il est « le plus dangereux parrain de la pègre de l’UÇK », devienne du jour au lendemain un philanthrope humaniste doté d’un sens aigu de l’économie et de la gestion d’un pays ? Évidemment que non. Thaçi a été mis en place parce qu’il ferme les yeux sur les prédateurs économiques, issus des pays de l’OTAN, qui rachètent la région pour une bouchée de pain, abusant de la main-d’œuvre à bas prix et rapatriant les dividendes dans leurs pays d’origine.

    Le Kosovo demeure une zone très instable qui peut de nouveau embraser la région. Maintenant, plus que jamais, il faut mettre fin à cette ingérence funeste de l’Union européenne et des États-Unis en Serbie et laisser l’État de droit serbe régler lui-même ses problèmes internes.

    Nikola Mirkovic

    Texte repris du site Boulevard Voltaire

    https://fr.novopress.info/

  • Retour des djihadistes : des stratégies différentes pour l’Europe, la Russie et les USA

    Face au recul de Daesh, le problème du retour des djihadistes se pose plus que jamais.

    Rapatriés dans leur pays d’origine ou traduits en justice en Irak ou en Syrie, chaque pays a sa propre stratégie.

  • Soros : si vous n'avez pas aimé le père, vous n'aimerez pas le fils

    6a00d83451619c69e201bb09f4a580970d-200wi.jpgLorsque les démocrates parlent de «milliardaires républicains» maléfiques comme Sheldon Adelson ou les frères Koch, c'est toujours en termes apocalyptiques. Ils essaient d '«acheter» des élections et cachent leur influence avec de l'argent.

    Mais les démocrates ne parlent jamais de leurs propres milliardaires et des énormes sommes d'argent versées aux causes démocratiques par Tom Steyer, Mark Cuban et J.B. Pritzker, candidat au poste de gouverneur de l'Illinois.

    Et, bien sûr, George Soros. La portée de Soros est internationale. Il a un vaste réseau d'organisations internationales qui font la promotion de ses causes favorites. Et il est un contributeur fiable, parfois obscur, aux causes du Parti démocrate aux États-Unis.

    Mais le fils de Soros, Alexander, est en train de devenir un acteur majeur de la politique démocratique. Selon la Commission électorale fédérale, Alexander a donné 650 000 $ aux campagnes démocratiques et à divers comités en 2017.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Georges Soros demande à l’Union Européenne de « réguler les réseaux sociaux »

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    Il était une fois… ça commence comme un conte de fées… Il n’y a pas si longtemps internet et les réseaux sociaux pouvaient être considérés comme un refuge pour la liberté d’expression et un courant d’air frais loin de la propagande douce des médias dominants.

    Et ce fût le cas. De très nombreux blogs, sites d’analyse, chaines YouTube se sont créés faisant en effet contrepoids aux informations officielles. Toute nouvelle création entrainant des effets d’opportunité inattendus, de nombreux sites dits « putes à clic » ont été créés pour attirer le public – et la publicité – via des informations fantaisistes. Sur un plan plus politique, l’élection de Trump et le Brexit n’allant pas dans le sens de l’histoire, les médiacrates ont trouvé une explication simple : de fausses nouvelles via internet et les réseaux sociaux ont permis ces aberrations, naissance du concept de « fake news ».

    Soros côté pile : pour l’innovation et la démocratie

    Pour mener le combat de l’Empire du Bien, nul n’est mieux placé que le milliardaire américain George Soros. Dans un article de The Guardian publié jeudi 15 février il met en garde contre la liberté des médias sociaux qui peuvent « influencer la manière dont les gens pensent et se conduisent sans même qu’ils s’en rendent compte ». Il ajoute « Ceci interfère avec le fonctionnement de la démocratie et l’intégrité des élections » et le peuple perd « sa liberté de penser ». D’où l’urgence de légiférer pour que la liberté d’expression soit plus strictement contrôlée sur internet et les réseaux sociaux. Que constate George Soros ? Que les géants Facebook et Google sont devenus « des obstacles à l’innovation ». Comprenez : ils ont contribué à libérer la parole aux Etats-Unis comme en Europe. Et plus « ils ont causé nombre de problèmes ». Comprenez : cette libération de la parole est allée trop loin. D’où sa supplique aux autorités de l’Union Européenne pour qu’elles reprennent les choses en mains.

    Soros côté face : renforcer l’autocensure des GAFA

    Habilement, Soros semble s’attaquer au monopole des GAFA mais le véritable enjeu de son discours n’est pas là et il est à double facette. Tout d’abord demander aux autorités politiques de museler Google et Facebook. Ce qui a déjà été fait en Allemagne et ce qui sera peut-être fait par la loi en France en 2018. Ensuite et surtout que Google et Facebook instaurent eux-mêmes leur propre censure pour se protéger d’une possible régulation venue de l’extérieur. Ce qu’ils sont en train de faire. Il est toujours plaisant de voir un pyromane jouer les pompiers. Au nom de l’économie Soros regrette le Brexit et la chute de la livre sterling qui affaiblirait les finances britanniques. Le même Soros le 16 septembre 1992 (Black Wednesday) spéculait contre la livre britannique, la forçait à sortir du Système Monétaire Européen (SME) et empochait un milliard de livres au passage. Au nom de la « liberté du peuple » George Soros veut instaurer « le contrôle de la liberté ». De même que dans le 1984 d’Orwell le ministère de l’Amour organisait la semaine de la Haine.

    Texte repris du site site de l’OJIM

    https://fr.novopress.info/

  • ALLEMAGNE : VIOLENCE GAUCHISTE CONTRE LES FEMMES QUI DÉNONCENT LES VIOLENCES SEXUELLES DES MIGRANTS ET LA POLITIQUE DE MERKEL

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    Diverses initiatives prises par des femmes, notamment des manifestations, voient le jour en Allemagne afin de dénoncer les violences sexuelles commises par les migrants.

    Ainsi, une marche des femmes s’est déroulée dans ce cadre, ce samedi 17 février 2018, dans le centre de Berlin. Selon la police, 500 personnes ont pris part au rassemblement organisé par madame Leyla Bilge, âgée de 35 ans, kurde et musulmane, membre du parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD) et sympathisante du mouvement anti-islamisation PEGIDA.

    Leyla Bilge, qui se présente en tant que militante des droits de l’homme et qui aide – grâce à son association « Leyla » – les réfugiés yézidis et chrétiens au Proche-Orient et dans les camps de réfugiés situés près de la frontière turco-syrienne, déclare : « Nous sommes ici en Allemagne au XXIe siècle. Il ne doit pas y avoir de retour au Moyen Âge, ni d’introduction rampante de la charia. »

    Le motif de ce rassemblement n’a pas plu à tout le monde et 900 gauchistes ont perturbé et bloqué l’événement durant des heures malgré la forte présence policière. Des affrontements physiques et verbaux ont eu lieu entre les gauchistes et les représentants des forces de l’ordre. Les contre-manifestations, au même titre que la manifestation, ont été autorisées. Par contre, le blocage de la manifestation est illégal. Les deux manifestations se sont dissoutes près de Checkpoint Charlie vers 18 h 30. Les contre-manifestants de gauche reprochent à Leyla Bilge de diffuser une vision raciste et antimusulmane, et d’instrumentaliser le droit des femmes.

    La police a annoncé, en début de soirée, que certains participants à la marche des femmes ont, malgré tout, pu atteindre, en petits groupes, le but ultime : la chancellerie d’Allemagne. Les forces de l’ordre ont qualifié la situation de défi en matière logistique et de sécurité.

    La perturbation par des gauchistes de manifestations de femmes a également eu lieu à Hambourg, dans le nord du pays.

    Le 5 février dernier, la première manifestation du lundi – inspirée de celles qui eurent lieu en 1989 en Allemagne de l’Est et qui conduisirent, à l’époque, à la chute du régime communiste – y a rassemblé 60 personnes. Organisée par une dame indépendante de tout parti ou mouvement politique, dénommée Uta Ogilvie, et visant le départ de la chancelière sous le slogan « Merkel doit partir ! » (« Merkel muß weg »), elle n’a pas provoqué d’afflux de contre-manifestants.

    Cependant, la réussite de ce rassemblement quasi spontané a attiré a posteriori les foudres de membres de milices gauchistes qui s’en sont pris à Uta, à ses biens et à sa famille. Ainsi, dans la nuit du dimanche 11 au lundi 12 février, des gauchistes ont conduit une attaque contre son domicile : la façade de la maison a été salie avec de la peinture, une fenêtre de chambre à coucher a été brisée par un objet contenant de la peinture et celle-ci s’est répandue dans la pièce. Les pneus des deux véhicules de la famille ont été aussi endommagés.

    Le lundi 12 février, en début de soirée, en se rendant à la deuxième manifestation, Uta et son père ont été attaqués par des gauchistes, mais ont pu être extraits par la police. D’autres personnes ont rencontré le même problème. Uta Ogilvie dénonce le fait que, selon elle, ces gauchistes sont financés par l’État, via de l’argent public accordé à des fondations. Afin de protéger sa famille, Uta a été contrainte de jeter l’éponge en déclarant : « Je ne peux imaginer ce qu’il serait advenu si les lits des enfants s’étaient trouvés sous cette fenêtre. »

    Mais une autre dame a décidé de reprendre le flambeau et organise, ce lundi 19 février 2018, une nouvelle manifestation.

    Écrivain et journaliste belge francophone

    Son blog

    http://www.bvoltaire.fr/allemagne-violence-gauchiste-contre-femmes-denoncent-violences-sexuelles-migrants-politique-de-merkel/

  • Stop à l’islamisation ! : les militants de l’AFD manifestent à Berlin

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    À Berlin, des échauffourées ont éclaté entre des manifestants et la police. Ils s’étaient réunis pour tenter d’empêcher un défilé de militants de l’AFD, le parti populiste allemand.

    Plusieurs personnes ont été arrêtées. Les manifestants ont organisé un sit-in sur le tracé du cortège.

    Ils n’ont cependant pas empêché la tenue de la manifestation, dont le principal slogan était “Stop à l’islamisation”. Sur les pancartes des participants, un appel à défendre les droits des femmes.

    L’AFD avait organisé cette manifestation dans le quartier de Kreuzberg où vivent de nombreux musulmans.

  • Allemagne : plus d’un millier de personnes ont manifesté à Berlin pour protester contre l’immigration incontrôlée et l’islamisation de leur pays

    Plus d’un millier de personnes ont défilé à Berlin pour protester contre la violence des migrants. L’organisatrice de la marche dans la capitale allemande est la militante pour les droits des femmes et membre du parti de l’AfD Leyla Bilge.

    L’une des raisons de la protestation était la mise en danger des femmes allemandes par une immigration incontrôlée, pouvait-on lire sur des pancartes.

    Sur un flyer, le groupe exige «la sécurisation immédiate de la frontière allemande et l’expulsion de tous les immigrés illégaux».

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  • Laszlo Földi : une armée musulmane prête à attaquer l’Europe de l’intérieur

     

    Interview de Laszlo Földi, expert en sécurité et en renseignement, sur la télévision hongroise M1

    Journaliste : Y a-t-il quelqu’un en Europe qui sache, à 200'000 près, combien il y a de migrants sur le continent ?

    Földi : Le problème est plus grave que ça. Est-ce que quelqu’un peut dire QUI sont ces 1 million de migrants ? De ce point de vue, la situation est catastrophique. La cause, comme je l’ai souvent dit, c’est la politique des frontières ouvertes, qui laisse entrer des foules innombrables.

    Il y a un an, un an et demi, c’était un sujet tabou ne serait-ce que d’évoquer la possibilité qu’il y ait des terroristes mêlés aux migrants. Dans une émission TV dont je tairai le nom [sur France Inter], le reporter disait qu’il serait stupide pour des terroristes de faire ces voyages dangereux en canots pneumatiques alors qu’ils peuvent voyager confortablement en avion.

    Mais le problème n’est même pas ça. Ils peuvent effectivement venir en avion. Mais le fait est que des milliers de soldats musulmans sont arrivés ici [parmi les migrants]. Il ne s’agit pas de terrorisme au sens classique, mais d’une attaque, d’une invasion qui a deux buts.

    D’abord, faire entrer en Europe le plus possible de soldats bien entraînés, dont la tâche première sera d’enrôler la population musulmane locale, les musulmans de 2e et 3e génération qui vivent dans ces zones de non-droit « qui n’existent pas ». Plus de 50% de cette population ne veulent pas s’intégrer dans la culture d’accueil. Ce sont eux les membres de cette armée potentielle.

    Journaliste : Ces réfugiés (appelons-les réfugiés sur la base de la 51e Convention de Genève), ceux qui ont fui la persécution raciale, religieuse, ethnique ou politique, affrontant des dangers mortels, pourquoi ne sont-ils pas allés dans les riches pays pétroliers voisins ?

    Földi : Il y a une seconde stratégie, en plus d’envoyer des soldats et des terroristes en Europe, c’est celle de conquérir l’Europe d’une autre manière, plus pacifique. Les pays pétroliers n’accueillent pas ces migrants parce qu’ils savent qu’ils ne sont qualifiés pour aucun travail utile, mais aussi parce qu’ils ont besoin d’une nouvelle base de masse en Europe. Pour quand il n’y aura plus de pétrole et qu’ils viendront en Europe, ils veulent créer des partis politiques pour eux. Ces gens voteront pour les partis islamiques qui seront créés en Europe. Ils auront la masse critique pour entrer au Parlement. C’est donc une occasion parfaite si l’Europe invite chez elle leurs futurs électeurs. Car il ne faut pas croire qu’ils voteront pour les partis traditionnels. Du jour où ces partis islamiques seront établis – et les pays pétroliers ont tout l’argent qu’il faut pour cela – ils [les personnes issues de l’immigration musulmane actuelle] ne voteront pour aucun autre parti.

    Journaliste : La devise de l’Union européenne, c’est « Unité dans la Diversité ». La diversité à laquelle pensaient les pères fondateurs de l’UE (Schuman) n’avait pas le même sens qu’aujourd’hui.

    Földi : Tout à fait, car, en conséquence de la migration, la structure ethnique de l’Europe va changer pour toujours. Diversité voulait dire hongrois ou français, allemand et russe. Ils ne pensaient pas qu’une loi religieuse, la charia, allait être introduite en Europe. Personne n’aurait pu y penser sérieusement.

    Si la situation ne change pas et que l’Europe continue à se débattre dans une guerre interne – car c’est ce qu’on voit - la charia aura pour conséquence, d’ici 1 à 5 ans (j’espère me tromper), que la question sera combien il y a de foyers de guerre civile.en Europe.

    Le problème des no-go zones n’est pas tant qu’on ne peut pas y entrer, ni de jour ni surtout de nuit, mais c’est que des soldats musulmans bien entraînés et bien armés sortiront de ces zones et commenceront à se répandre dans les zones environnantes et à se battre avec la population locale qui tentera de se défendre. Les autorités ne seront pas capables de gérer ce processus avec leur logique actuelle.

    Journaliste : Quelles seront les conséquences, si c’est vrai ce qu’a dit l’ambassadeur de Turquie auprès de l’UE il y a quelquess jours : que si les Turcs n’obtiennent pas l’exemption de visa ce mois-ci [octobre] (pour des séjours de 90 jours pour du tourisme ou des visites à la famille), ils annuleront l’accord avec l’UE sur les migrants.

    Földi : Des foules énormes arriveront. Les Turcs ont utilisé cette menace et tiendront cette promesse.

    Nous devons menacer la Turquie nous aussi. Lui dire qu’on l’exclura de l’OTAN. Le dilemme ici est que si la Turquie est exclue elle ne sera plus tenue de protéger ses alliés de l’OTAN.

    Journaliste : Et leur armée est la deuxième de l’OTAN par le nombre ?

    Földi : Oui. Ils représentent 10%, les Etats-Unis 75% et les autres pays au total 15%. De plus, ces 15% financent les 51% du budget, les Etats-Unis et la Turquie ensemble 49%. Cela veut dire que ces 15% ne sont pas en mesure de faire valoir leurs droits, par ex. pour la protection de l’Europe.

    Journaliste : Que peut faire l’UE contre la Turquie ?

    Földi : L’Europe n’a pas d’antidote contre la Turquie Le dernier accord signé par Merkel a été la tentative de la dernière chance. Là-dessus, personne ne peut la condamner, elle a tenté de construire une défense avec cet accord. Mais cela ne fait que rendre la Turquie encore plus sûre d’elle. Il y a une seule façon de sortir de cette situation : c’est de menacer la Turquie de l’exclure de l’OTAN. Car si elle était exclue de l’OTAN, la Turquie n’existerait plus sur la scène internationale. 

    Traduction anglaise : Crossware pour Vlad Tepes Blog et Gates of Vienna

    Traduction française : Cenator pour Les Observateurs

    https://lesobservateurs.ch/2016/10/09/laszlo-foldi-armee-musulmane-prete-a-attaquer-leurope-de-linterieur/