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Europe et Union européenne - Page 559

  • Le réveil d’une activiste gauchiste pro-réfugiés : « pour l’Allemagne, c’est déjà trop tard »

     

    Rebecca Sommer a fondé en 2012 l’association d’aide aux réfugiés Arbeitsgruppe Flucht + Menschen-Rechte (AG F+M). A la fin de l’été 2015, cette artiste, photographe et journaliste auteur de documentaires applaudissait la décision d’Angela Merkel d’ouvrir en grand les frontières de l’Allemagne aux « réfugiés » bloqués en Hongrie, malgré l’effet de pompe aspirante que cela devait créer.

    « A ce moment-là, je voulais aider chaque personne et je croyais vraiment que tous ces gens fuyaient un enfer et se trouvaient dans la détresse la plus absolue », a expliqué l’activiste allemande dans une interview publiée par l’hebdomadaire conservateur polonais  Do Rzeczy  le 15 janvier dernier à qui elle à parlé de son réveil face à la réalité.

    En 2015, son ONG comptait près de 300 bénévoles qui donnaient des cours d’allemand aux nouveaux arrivants. Si elle dit aujourd’hui n’avoir jamais été en faveur d’une immigration illimitée, avant sa prise de conscience la militante des droits de l’homme Rebecca Sommer n’en était pas moins très attirée par l’apport multiculturel de cette immigration de masse, comme le montre cet article publié en décembre 2015 par un journal berlinois et repris sur le site de l’ONG AG F+M.

    Les agressions sexuelles de Cologne ont marqué le début du réveil des bénévoles

    La prise de conscience de cette représentante typique des activistes droits-de-l’hommistes bien ancrés à gauche date de la Saint-Sylvestre 2015 à Cologne. Elle a bien dû reconnaître à ce moment-là, ainsi qu’elle l’avoue sans détour au site anti-islamisation polonais euroislam.pl, que les comportements des agresseurs nord-africains et moyen-orientaux de Cologne s’inscrivaient tout à fait dans la culture musulmane des nouveaux arrivants qu’elle avait elle-même rencontrés jusqu’ici : « C’est le moment où je me suis dit : “Rebecca, tu dois maintenant mettre le holà, ne serait-ce qu’en tant que militante pour les droits des femmes.” »

    Auparavant, se justifie Rebecca Sommer, « Je croyais que [leur] vision moyenâgeuse allait changer avec le temps […] mais après avoir vu ces situations se répéter et avoir observé ce qui se passait autour de moi, bénévole, j’ai dû reconnaître que pour ce qui est des réfugiés musulmans, ils ont grandi avec des valeurs totalement différentes, ils ont subi un lavage de cerveau depuis l’enfance et sont endoctrinés par l’islam et n’ont absolument pas l’intention d’adopter nos valeurs. Pire encore, ils nous regardent, nous les infidèles, avec dédain et arrogance. »

    Des réfugiés « arrogants » selon Rebecca Sommer

    Dans son interview pour le site euroislam.pl, l’activiste pro-réfugiés précise que le mépris pour les modes de vie occidentaux et pour les femmes ne concerne pas que les musulmans pratiquants, mais la majorité de ceux qui ont grandi au sein de la culture musulmane. Elle parle aussi de sa grande déception quand elle s’est aperçue comment un groupe de « réfugiés » qu’elle avait personnellement aidés et qu’elle croyait être ses amis pratiquaient avec elle la taqqiya. « Je me suis brutalement aperçue que ces gens que j’avais aidés, qui mangeaient, buvaient, dansaient et riaient avec moi, qui ne priaient pas, qui n’allaient pas à la mosquée, qui ne respectaient pas le ramadan, qui se moquaient de la religion et des personnes profondément religieuses, ne m’appelaient pas autrement que « la stupide putain allemande » quand ils mangeaient ma nourriture et se reposaient dans mon jardin. » Elle reconnaît toutefois qu’elle avait été prévenue par des Arabes et des Kurdes arrivés eux aussi récemment en Allemagne justement pour fuir l’oppression musulmane.

    Rebecca Sommer affirme ne pas être un cas isolé, que de nombreux autres bénévoles ont aussi eu cette même prise de conscience tardive et qu’il y a beaucoup moins de bénévoles prêts à travailler avec les nouveaux arrivants aujourd’hui en Allemagne. Elle reconnaît aussi que, par leur nombre, ces immigrants musulmans sont une menace pour le mode de vie des Allemands, et que cela va empirer avec le regroupement familial.

    L’activiste Rebecca Sommer connaît personnellement des personnes qui s’apprêtent à émigrer d’Allemagne vers la Pologne pour fuir l’insécurité

    Elle a d’ailleurs confié à l’hebdomadaire polonais Do Rzeczy connaître personnellement des Allemands qui s’apprêtent à émigrer en Pologne parce qu’ils en ont assez, et elle a ajouté : « Si la Pologne et la Hongrie ne cèdent pas sur cette question, vous pouvez devenir des pays vers lesquels s’enfuiront certains Allemands et Français. Vous pouvez devenir des îlots de stabilité en Europe. »

    Des îlots de stabilité mais aussi de démocratie, car Rebecca Sommer constate aussi que la démocratie n’existe plus vraiment en Allemagne. Son réveil sur ce plan date également de l’épisode de Cologne, quand les médias n’ont pas pris la défense de la société allemande mais sont au contraire devenus partie intégrante d’un système malade, et quand la police, sous la pression des dirigeants politiques, a cessé d’informer les citoyens. Et la nouvelle loi allemande qui oblige les réseaux sociaux à bloquer les contenus prétendument haineux a accentué la censure. C’est ainsi que, quand la militante des droits de l’homme a voulu dénoncer des conversions forcées à l’islam en Indonésie, son compte a été bloqué. Ce n’est d’ailleurs sans doute pas un hasard si c’est à des médias polonais qu’elle se confie aujourd’hui, car quel média allemand accepterait-il de publier de tels propos ?

    Le réveil d’une gauchiste pro-réfugiés face à l’islam

    Le problème, pour Rebecca Sommer, c’est aussi que les Allemands ne cherchent pas du tout à imposer leurs propres normes aux nouveaux arrivants. « Nous avons un énorme problème avec la gauche et les Verts » pour qui « il n’y a pas de culture allemande ». Cette Berlinoise n’ose plus sortir seule pour la Saint-Sylvestre et elle a déjà été agressée cinq fois par des hommes parlant l’arabe !

    Elle pense que pour l’Allemagne, c’est déjà trop tard, et elle compte émigrer pour sa retraite. L’islam politique est déjà présent partout, y compris au gouvernement, dans les partis politiques, dans la police et dans les écoles, et avec le regroupement familial des millions d’immigrants musulmans supplémentaires vont venir. Dans la capitale allemande où elle réside, des quartiers entiers sont déjà dominés par la communauté musulmane qui forme une société parallèle.

    « Tous ceux qui vivent à Berlin et s’occupent des immigrants voient ce problème. La seule exception, ce sont ceux qui ne veulent tout simplement pas le voir parce qu’ils sont adeptes d’une idéologie et sont aveugles et sourds à la réalité », conclut Rebecca Sommer dans son entretien avec Do Rzeczy.

    Lire l’article sur Reinformation.tv

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    http://grandfacho.com/reveil-dune-activiste-gauchiste-pro-refugies-lallemagne-cest-deja-tard/

  • « Réfugiés » musulmans, il s’agit bien d’une invasion

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    Le rapport Europe’s Growing Muslim Population édité par le Pew Research Center le 29 novembre 2018 montre l’évolution supposée de la population musulmane d’Europe selon plusieurs perspectives, notamment avec afflux de réfugiés.

    Voici quelle est la situation en 2016 selon l’étude :

    • Plus de 20 % de musulmans : Chypre (25,4 %).
    • Plus de 10 % de musulmans : Bulgarie (11,1 %).
    • Plus de 6 % de musulmans : France (8,8 %), Suède (8,1 %), Belgique (7,6 %), Pays-Bas (7,1 %), Autriche (6,9 %), Royaume-Uni (6,3 %), Allemagne (6,1 %), Suisse (6,1 %).
    • Plus de 3 % de musulmans : Norvège (5,7 %), Grèce (5,7 %), Danemark (5,4 %), Italie (4,8 %), Slovénie (3,8 %), Luxembourg (3,2 %).
    • Moins de 3 % de musulmans : Finlande (2,7 %), Espagne (2,6 %), Malte (2,6 %), Croatie (1,6 %), Irlande (1,4 %), Portugal (0,4 %), Hongrie (0,4 %), Roumanie (0,4 %), Estonie (0,2 %), Lettonie (0,2 %), Tchéquie (0,2 %), Lituanie (0,1 %), Slovaquie (0,1 %).
    • Pas de musulmans :

    Voici selon l’étude l’hypothèse du pourcentage de musulmans en 2050, perspective basse (frontières fermées sans re-migration) :

    • Plus de 20 % de musulmans: Chypre (25,5 %).
    • Plus de 10 % de musulmans : France (12,7 %), Bulgarie (12,5 %), Suède (11,1 %), Belgique (11,1 %).
    • Plus de 6 % de musulmans: Royaume-Uni (9,7 %), Autriche (9,3 %), Pays-Bas (9,1 %), Allemagne (8,7 %), Italie (8,3 %), Suisse (8,2 %), Danemark (7,6 %), Norvège (7,2 %), Grèce (6,3 %).
    • Plus de 3 % de musulmans : Espagne (4,6 %), Slovénie (4,3 %), Finlande (4,2 %), Luxembourg (3,4 %), Malte (3,2 %).
    • Moins de 3 % de musulmans : Croatie (1,8 %), Irlande (1,6 %), Portugal (0,5 %), Hongrie (0,4 %), Roumanie (0,4 %), Estonie (0,2 %), Lettonie (0,2 %), Tchéquie (0,2 %), Lituanie (0,1 %), Slovaquie (0,1 %).
    • Pas de musulmans :

    Deuxième scénario étudié, hypothèse du nombre de musulmans dans une perspective moyenne en 2050 :

    • Plus de 20 % de musulmans: Chypre (26,6 %), Suède (20,6 %).
    • Plus de 10 % de musulmans : France (17,4 %), Royaume-Uni (16,7 %), Belgique (15,1 %), Norvège (13,4%), Italie (12,4 %), Danemark (11,9 %), Finlande (11,4 %), Allemagne (10,8 %), Autriche (10,6 %), Suisse (10,3 %).
    • Plus de 6 % de musulmans: Malte (9,3 %), Bulgarie (9,2 %), Grèce (8,1 %), Luxembourg (6,7 %).
    • Plus de 3 % de musulmans : Slovénie (5 %), Irlande (4,3 %).
    • Moins de 3 % de musulmans : Portugal (2,5 %), Croatie (2 %), Hongrie (1,3%), Tchéquie (1,1 %), Roumanie (0,8 %), Estonie (0,8 %), Slovaquie (0,6 %), Lettonie (0,2 %), Pologne (0,2 %), Lituanie (0,1 %).

    Troisième scénario étudié, déstabilisation des derniers pays musulmans stables (en particulier Algérie et Egypte), annonçant un flot de réfugiés :

    • Plus de 30 % de musulmans : Suède (30,6 %).
    • Plus de 18 % de musulmans : Chypre (28,3 %), Autriche (19,9 %), Allemagne (19,7 %), Belgique (18,2 %), France (18 %).
    • Plus de 12 % de musulmans : Royaume-Uni (17,2 %), Norvège (17 %), Malte (16,2 %), Danemark (16 %), Pays-Bas (15,2 %), Finlande (15 %), Italie (14,1 %), Suisse (12,9 %).
    • Plus de 6 % de musulmans: Bulgarie (11,6 %), Luxembourg (9,9 %), Grèce (9,7 %), Espagne (7,2 %).
    • Plus de 3 % de musulmans : Slovénie (5,2 %), Hongrie (4,5 %), Irlande (4,4 %).
    • Moins de 3 % de musulmans: Portugal (2,5 %), Croatie (2,1 %), Tchéquie (1,2 %), Estonie (1 %), Roumanie (0,9 %), Slovaquie (0,7 %), Lettonie (0,4 %), Lituanie (0,2 %), Pologne (0,2 %).

    Hristo XIEP

    http://www.medias-presse.info/refugies-musulmans-il-sagit-bien-dune-invasion/87412/

  • La Hongrie veut taxer les ONG soutenant l’immigration illégale

     

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    Hongrie – Le gouvernement hongrois a annoncé sa volonté d’introduire un ensemble de lois visant à taxer les ONG soutenant l’immigration illégale et à utiliser cet argent pour renforcer la protection des frontières. Cette nouvelle étape fait suite aux bons résultats de la consultation nationale sur le plan Soros, sur laquelle 2,3 millions de citoyens hongrois ont donné leur point de vue, quasi-unanimement favorable au gouvernement dans sa lutte contre l’influence des réseaux mondialistes de George Soros.

    Voici la note publiée par le Bureau international de la communication du gouvernement hongrois :

    « Le point de vue du gouvernement hongrois est que l’immigration de masse illégale est un problème qui affecte l’Europe dans son ensemble, ce qui pose de sérieux risques pour la sécurité et peut aussi affecter l’avenir du continent pendant plusieurs décennies.

    Étant en première ligne, la Hongrie est particulièrement exposée aux effets de l’immigration de masse : le nombre d’immigrants entrant dans l’Union européenne à travers le pays avait atteint quatre cent mille en un an.

    Le gouvernement hongrois s’oppose à l’immigration illégale par tous les moyens possibles. Nous devons renforcer la sécurité des citoyens. Notre objectif est que l’Europe continue d’être le meilleur endroit sur Terre pour vivre. Dans l’esprit de cette vision, le gouvernement a présenté un ensemble de projets de loi au Parlement.

    Les dispositions les plus importantes sont les suivantes :

    – Toute organisation qui soutient l’immigration illégale en utilisant des ressources financières étrangères sera enregistrée et obligée de rendre compte de son activité.

    – Une taxe sera imposée sur le financement étranger des organisations soutenant l’immigration clandestine. Ce revenu public sera investi dans la protection des frontières.

    – Il sera possible d’émettre des injonctions contre ceux qui participent à l’organisation de l’immigration clandestine. En substance, de telles injonctions s’appliqueront dans toute zone située à moins de 8 kilomètres de la frontière Schengen. Dans des cas spéciaux, un citoyen de pays tiers pourra être soumis à une injonction restrictive n’importe où en Hongrie. Cette mesure restera en vigueur jusqu’à la fin de la crise migratoire.

    Les consultations nationales de l’année dernière ont montré l’opinion presque unanime des citoyens hongrois, légitimant ainsi le gouvernement pour agir en ce sens : 1,7 million de personnes ont pris part et exprimé leur avis lors d’une consultation nationale au printemps dernier, alors que 2,3 millions l’ont fait l’automne dernier. D’après les résultats, les Hongrois veulent que l’immigration clandestine soit traitée une fois pour toutes. Ils demandent une protection renforcée des frontières au lieu de la relocalisation de migrants. Le gouvernement est également soutenu par les 3,3 millions de personnes qui ont rejeté la réinstallation par quotas des immigrants illégaux lors d’un référendum national en octobre 2016.

    Le gouvernement hongrois est prêt à participer à des discussions ouvertes sur les projets de loi. Il remplit ses obligations internationales, tout en adoptant des mesures démocratiques pour contrer les activités dommageables des réseaux internationaux qui menacent la sécurité de la Hongrie en organisant l’immigration illégale. »

    http://www.medias-presse.info/la-hongrie-veut-taxer-les-ong-soutenant-limmigration-illegale/87394/

  • Les femmes allemandes se rebellent contre les violences des migrants

    Les Allemandes  lancent leur #MeToo contre les violences faites aux femmes par les migrants !

    Les alarmes de poche, qu’on peut acheter pour se défendre, ont une puissance de 120 décibels. C’est le nom que ce nouveau mouvement de femmes en Allemagne a choisi pour alerter l’opinion sur les viols et les meurtres qu’elles subissent en provenance des étrangers.

    is a new initiative by a group of German women who refuse to stay silent about migrant rape, violence and terrorism.
    We bet this won’t get even 1% of the attention that got.
    Let’s get this hashtag trending! https://www.defendevropa.org/2018/migrants/migrant-crime/120db-true-metoo-a-hashtag-fight-migrant-violence-abuse-women/ 

    #120dB: German Women Speak Up Against Migrants Violence, Abuse and Terrorism - Defend Europa

    German women are finally speaking up against the violence, rapes, and terrorism brought in by open-border policies and Islamic immigration. #120dB is the hashtag chosen by these brave women, the real...

    defendevropa.org 

    La vidéo a été visionnée plus de 60 000 en cinq jours, et a généré plus de 800 commentaires. Dans le film, neuf jeunes femmes accusent les pouvoirs publics de ne rien faire pour les protéger :

    « Nous ne sommes pas en sécurité quand nous allons courir, quand nous sortons, quand nous revenons tard. Vous le savez, vous avez ouvert les frontières et nous en sommes le prix. Mais nous ne sommes pas des esclaves, pas des trophées de guerre. »

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/les-femmes-allemandes-se-rebellent-contre-les-violences-des-migrants/87326/

  • Manifestations agricoles dans le sud-ouest de la France

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Avant-hier la totalité du périphérique toulousain était bloqué, tandis que des barrages de ballots de paille, de pneus en feu, de tracteurs et de bennes agricoles étaient disposés aux entrées des villes d’Agen et de Marmande.

    Les protestations démarraient à Montauban dans le Tarn-et-Garonne le 24 janvier dernier, un millier d’agriculteurs avaient ainsi bloqué des axes routiers de leur région. Le mouvement a depuis grossi, bloquant des autoroutes et même un convoi de l’airbus A380.

    Aux alentours de 17 heures, alors que Toulouse était totalement isolée, une délégation composée de syndicalistes et d’élus était reçue au ministère à Paris.

    Pourquoi ces manifestations ?

    L’objet du courroux de nos agriculteurs : une réforme européenne menaçant d’amputer leurs revenus. L’Union européenne demande à la France de revoir la carte des zones défavorisées. Celle-ci détermine le versement de l’indemnité compensatoire de handicaps naturels hors montagne qui répartit près d’un milliard d’euros aux agriculteurs concernés. Pour faire des économies, l’Europe souhaite donc diminuer ces aides, donc réduire cette carte de handicaps naturels, éjectant ainsi 500 communes. Les agriculteurs concernés estiment que sans les indemnités européennes, leurs exploitations ne seront plus viables, puisqu’ils perdraient entre 8000 et 10 000 euros par an.
    Avant-hier en fin de journée, la ville de Toulouse se débloquait : nos agriculteurs ont-ils obtenu ce qu’ils exigeaient ?

    Une modification du projet de la carte de répartition des aides a été actée : moins de communes seraient concernées par la baisse des aides ; Pour la suite, cela reste à voir…

    Pour José Bové, député européen et ancien syndicaliste paysan :

    La PAC ne protège pas, on ne fait que réguler la disparition des éleveurs. La vraie question est de savoir comment vont se négocier les futurs accords internationaux et l’importation massive de viande d’Argentine ou du Brésil.

    https://fr.novopress.info/

  • ANGELA MERKEL CAPITULE DEVANT LES SOCIAUX-DÉMOCRATES AFIN DE SAUVER SA TÊTE

    merkel.jpg

    En Allemagne, les chrétiens-démocrates de la CDU, leurs alliés sociaux-chrétiens bavarois de la CSU et les sociaux-démocrates du SPD sont arrivés, ce 7 février 2018, à s’entendre en vue de former un gouvernement que dirigera la chancelière sortante CDU Angela Merkel.

    Ces trois formations politiques, plus que largement sanctionnées lors des élections législatives du 24 septembre 2017, ont décidé de reconduire la « coalition des perdants ».

    Passant outre la sanction infligée par les électeurs, les trois partis du système poursuivront leur politique alors que, dans un sondage INSA réalisé au cours des premiers jours du mois de février, ces trois formations sont données, ensemble, minoritaires à 47,5 %.

    Angela Merkel, qui après l’échec des négociations entre la CDU/CSU, les écologistes et les libéraux du FDP, n’a quasiment plus comme solution pour sauver sa tête que de convaincre les sociaux-démocrates, en plein effondrement et très peu enclins à prendre part une nouvelle fois à la coalition, de participer au futur gouvernement, a donné de nombreux gages à ce parti car les membres de celui-ci seront appelés à se prononcer lors d’un vote par correspondance afin de confirmer la participation de cette formation politique au pouvoir

    Ainsi, l’homme fort du SPD et europhile Martin Schulz reçoit le ministère des Affaires étrangères.

    Le SPD se voit également octroyer le très important ministère des Finances, exercé au cours des années passées par le CDU Wolfgang Schäuble, ainsi que les ministères du Travail, de la Famille, de la Justice et de l’Environnement.

    La CDU obtient, outre le poste de chancelier, la Défense, l’Économie et l’Énergie, la Santé, l’Éducation et l’Agriculture.

    Les très conservateurs sociaux-chrétiens bavarois de la CSU décrochent le ministère de l’Intérieur et de la Patrie, qui leur permettra de gérer l’immigration d’une manière plus ordonnée. Mais aussi celui des Transports et du Numérique, ce qui constitue une bonne nouvelle pour l’Allemagne, car la Bavière, gouvernée par la CSU depuis des décennies, est l’État le plus prospère du pays et le fer de lance de la numérisation de l’économie et peut donc apporter son expérience et ses compétences dans le domaine. La CSU se voit également attribuer le ministère du Développement et de la Coopération économique.

    Alexander Gauland, coprésident du parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD) et codirigeant du groupe des élus de ce parti au sein de la Chambre des députés, estime que la CDU s’est complètement aplatie devant les sociaux-démocrates et ajoute que Martin Schulz peut désormais gérer la politique européenne du pays directement depuis le siège du SPD.

    Selon l’AfD, le futur gouvernement a décidé de poursuivre la politique chaotique d’asile, l’intégration financière européenne aux frais du contribuable allemand et l’extension des restrictions en matière de liberté d’expression. Le parti souligne le non-contrôle des frontières, le non-plafonnement de l’immigration, la non-expulsion de masse d’étrangers en situation irrégulière, la non-correction de la politique énergétique, le maintien de la pression fiscale et le manque d’idées en matière de gestion des pensions et du système de soins, tout en estimant que l’augmentation de moyens attribués à la formation sera neutralisée par leur octroi, en partie, aux migrants.

    Si les plus de 450.000 membres du SPD avalisent la participation au gouvernement, les apparatchiks, qui poursuivent une politique de soumission au lobby mondialiste et européiste, des trois partis qui le composeront devront faire face à la colère d’une partie de la population lors des différentes élections qui auront lieu au cours des quatre années à venir au sein des divers États allemands. La CSU, qui lutte pour le maintien de sa majorité absolue, en sièges, au sein du Parlement de Bavière, la perdra très probablement lors du scrutin prévu à l’automne 2018.

    L’AfD est, désormais, le premier parti d’opposition du pays et bataillera ferme afin de défendre les intérêts du peuple.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog
  • Coup d'arrêt européen à la PMA sans père

    Les Juristes pour l'enfance se réjouissent de ce revers du lobby LGBT :

    6a00d83451619c69e201b7c94e0a9a970b-800wi-1.png"La Cour européenne des droits de l’homme vient de rendre ce jour sa décision dans l’affaire Charron and Merle-Montet v. France. Deux femmes mariées s’étant vues refuser une insémination artificielle par un hôpital français ont saisi la Cour européenne des droits de l’homme. L’hôpital n’avait fait qu’appliquer la loi française qui ne prévoit la PMA que pour compenser un problème d’infertilité pathologique, médicalement diagnostiquée selon les termes de l’article L 2141-2 du Code de la santé publique. Elles invoquaient une prétendue atteinte à leur vie privée et une prétendue discrimination subie par rapport aux couples homme/femme ayant accès à la PMA. La Cour européenne n’examinera pas leur requête car les intéressées n’ont pas épuisé les voies de recours internes. Mais, en tout état de cause, ni la vie privée des intéressées, ni l’égalité ne sont en cause ici.

    Vie privée des femmes ? 

    Les femmes revendiquent leur autonomie à avoir des enfants de la manière qu’elles choisissent ; pourtant, dès lors qu’elles sollicitent le législateur, elles cessent d’être autonomes et le comité d’éthique ne peut que constater l’évidence : ce qui est revendiqué comme une « libre disposition de soi requiert d’impliquer les autres (corps médical, tiers donneur, enfants, société) » (CCNE, Avis n° 126 du 15 juin 2017 sur les demandes sociétales de recours à l’assistance médicale à la procréation (AMP), p. 6). En effet, les femmes qui invoquent leur prétendue autonomie, en réalité exigent de la société qu’elle leur fournisse du sperme. Comme le relève encore le comité d’éthique, la liberté des femmes de procréer, ou non, « lorsqu’elle s’exerce dans la sphère privée, que les femmes soient seules ou en couple, n’autorise pas de droit de regard de la société […]. Mais, lorsqu’il est demandé à la société de reconnaître une possibilité d’accès à des techniques médicales jusqu’à présent réservées aux infertilités de nature pathologique, il est de sa responsabilité de mettre en question les intérêts de ces femmes en les confrontant à d’autres intérêts » (avis p. 18). Or, l’organisation légale de l’insémination de femmes seules ou en couples de femmes priverait, de droit, les enfants concernés de père. Une telle loi, organisant l’effacement du père, méconnaîtrait les droits de l’enfant garantis par la Convention internationale des droits de l’enfant selon laquelle l’enfant a, dans la mesure du possible, le droit de connaître ses parents et d’être élevé par eux.

    Discrimination ? 

    Il faut rappeler que les couples homme/femme n’ont pas droit à la PMA, mais n’y ont accès que s’ils souffrent d’une infertilité médicalement diagnostiquée. Les couples homme/femme fertiles, qui n’ont pas accès à la PMA, ne subissent de ce fait aucune inégalité, pas plus que les femmes seules ou les couples de femmes. L’égalité ne signifie pas de traiter tout le monde de la même manière mais seulement ceux qui sont dans la même situation ou des situations équivalentes. Or, une femme seule ou en couple de femmes ne sont pas dans une situation équivalente, au regard de la procréation, à celle d’un couple homme/femme, vivant et en âge de procréer.

    C’est pourquoi la Cour européenne des droits de l’homme a déjà validé la loi française sur la PMA, dans la décision du 15 mars 2012, Gas et Dubois c/ France (n° 25951/07, § 63). Alors que deux femmes se plaignaient de ce que la loi française réserve la PMA aux cas de d’infertilité pathologique, la Cour européenne a clairement jugé que la loi française n’était en rien discriminatoire de ce fait : « si le droit français ne prévoit l’accès à ce dispositif que pour les couples hétérosexuels, cet accès est également subordonné à l’existence d’un but thérapeutique, visant notamment à remédier à une infertilité dont le caractère pathologique a été médicalement constaté ou à éviter la transmission d’une maladie grave. Ainsi, pour l’essentiel, l’IAD n’est autorisée en France qu’au profit des couples hétérosexuels infertiles, situation qui n’est pas comparable à celle des requérantes [couple de femmes]. Il s’ensuit, pour la Cour, que la législation française concernant l’IAD ne peut être considérée comme étant à l’origine d’une différence de traitement dont les requérantes seraient victimes ».

    L’association Juristes pour l’enfance se réjouit de cette décision d’aujourd’hui par laquelle la Cour européenne refuse d’examiner une requête en faveur de la PMA sans père : il existe en effet suffisamment d’enfants privés de père par les malheurs de la vie, ce n’est pas à la loi d’organiser cette privation et cette souffrance."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Election présidentielle russe: Bruno Gollnisch décrypte et répond présent

    Russie.jpgLe show Macron se déplaçait avant-hier en Corse pour délivrer un message jupitérien de fermeté sur les principes républicains. La mise en scène fut  soignée par son service marketing (de presse):  c’est un dialogue parait-il impromptu entre le président de la République interpellé dans une rue d’ Ajaccio par  la femme d’Yvan Colonna, assassin du préfet Erignac (le 6 février 1998), qui a permis à Emmanuel Macron de délivrer pour les télévisons de belles images et  un beau  dialogue empli d’humanité et en même temps intransigeance sur les valeurs.  Non il n’y  aura pas d’amnistie des prisonniers dits  politiques, oui leur retour sur l’île de Beauté est envisageable… L’avenir de  la Corse est dans le « giron républicain » a proclamé M.  Macron.  « J’espère que la République ne faiblira jamais en Corse », a déclaré Dominique Érignac, lors de hommage rendu  à son mari. Au mot république nous préférerions celui moins désincarnée, moins administratif,  plus enracinée et plus  signifiant de France, car c’est bien de cela dont il s’agit. Il n’est pas anodin que celui-ci soit désormais toujours remplacé par celui-là dans la bouche des dirigeants du Système... Bruno Gollnisch rappelait en effet dans sa toute récente vidéo  actualité que le renforcement électoral en Corse ces toutes dernières années d’un courant autonomiste, séparatiste,  voire indépendantistes avait pour cause, non pas unique, mais principale, une question jamais abordée,  le tabou des tabous, à savoir une immigration massive en provenance du continent africain dont la République ne protège pas plus la Corse que les autres provinces françaises. Cette même république pourtant si sourcilleuse  et intraitable quand il s’agit de hurler  au loup contre l’opposition nationale et qui s’est de nouveau  beaucoup agitée pour faire lever l’immunité parlementaire des élus frontistes,  pour des peccadilles, comme  c’est le cas cette fois encore  pour notre collègue Steeve Briois. 

    D’un paranoïa l’autre? BFM TV rappelait hier les propos tenus mardi par le secrétaire d’Etat américain, Rex Tillerson, qui a averti que «la Russie devra faire face à des conséquences si elle intervient dans les élections de mi-mandat aux Etats-Unis (…). Le mois dernier, le directeur de la CIA, Mike Pompeo, avait averti qu’il s’attendait à ce que la Russie essaie d’interférer dans les élections de 2018 comme elle l’a fait selon des agences de renseignement américaines dans l’élection présidentielle de 2016 » ce que le Kremlin comme Donald Trump  nient  catégoriquement.

    Si « l’équipe du procureur spécial Robert Mueller et deux enquêtes parlementaires cherchent à établir si la Russie a interféré dans l’élection présidentielle pour aider Donald Trump à battre  Hillary Clinton »,  d’ores et déjà le département américain du Trésor a publié fin janvier  un rapport dans lequel  on trouve les noms d’environ 200  personnalités (politiques et hommes d’affaires russes) jugées proches de Vladimir Poutine. Un rapport qui pourrait être utilisé  pour punir Moscou de son ingérence supposée qui aurait à elle seule permis la victoire de M. Trump, quand bien même Mme Clinton , certes détestée par l’Amérique profonde, était soutenue  à l’époque sans ambiguïtés   par 95% des gros  médias américains… Mais ce doit être un détail sans importance et de peu de poids  face à la monstrueuse ingéniosité et perfidie des hommes de main du Kremlin capables de manipuler  les  votes de centaines de millions de braves et naïfs  électeurs américains …

    « Ce n’est pas la première fois nous subissons des manifestations d’agressivité » a  déclaré le  secrétaire de presse ( porte-parole)  du président de la Fédération de Russie, Dmitri Peskov. Il a dénoncé la méthode utilisée consistant  à travers ce rapport à  « potentiellement détériorer l’image et la réputation » des dirigeants de  société et politiciens de son  pays; rapport qui s’apparente également  à une « tentative directe et évidente d’influencer les élections », en l’occurrence la présidentielle qui se déroulera  en mars.  A dire vrai, les dresseurs de liste du  département américain du Trésor  ne devraient guère influer sur les opinions  des électeurs de la Sainte Russie.  Soixante-quatre candidats  sont en  lice le 18 mars  pour gagner le fauteuil de la présidence, course électorale dans laquelle, selon les sondages,  Vladimir Poutine, candidat à sa propre succession, est très largement  favori, en l’absence de challengers de poids.

    Le Figaro  rapporte en tout cas  que « la principale figure de l’opposition,  l’avocat russe Alexeï Navalny », inéligible après avoir été  condamné l’année dernière  « à cinq ans de prison avec sursis pour une affaire de détournement de fonds remontant à 2009 », « appelle au boycott de l’élection présidentielle. » « Avocat de formation, il s’est fait connaître par ses fortes prises de positions contre le Kremlin. Il a également créé la Fondation Anti-Corruption (FBK) en 2011. Il est devenu la figure la plus importante de l’opposition russe. Ancien membre du parti Iabloko, dont il a été évincé en 2007 en raison de sa proximité avec des ultra-nationalistes, et après avoir tenu des propos racistes, il est à la tête du Parti du Progrès depuis 2012. »

    « Ces élections ne sont pas des élections, et mon rôle va maintenant consister à expliquer que cette procédure, qu’ils qualifient d’élections, consiste de fait à renommer Poutine ». Il a déclaré vouloir  convaincre les gens qu’il est impossible de reconnaître ces élections ou ce régime», soupçonnant  Vladimir Poutine qui brigue un quatrième mandat,  de vouloir devenir « empereur à vie. »

    M. Navalny affirme aussi avoir prise ses distances avec une autre opposante sérieuse à M. Poutine,  « Ksenia Sobtchak ( candidate du parti Initiative citoyenne, NDLR) , fille de l’ancien maire de Saint-Pétersbourg Anatoly Sobtchak, qui fut le mentor politique de Poutine. Ancienne présentatrice de télévision, elle a rejoint les rangs de l’opposition en 2011 (…).  Navalny  ( considère)  sa candidature comme un plan du Kremlin,  qualifiant la jeune femme de caricature de candidat libéral. »

    Une dépêche de l’agence Tass semble au moins donner partiellement  raison à Alexeï Navalny sur ce dernier point puisque Ksenia Sobtchak y est décrite comme «  proche de l’actuel président Vladimir Poutine  dont la  candidature a d’ailleurs été saluée par le Kremlin.» Et ce, malgré un programme  divergent puisque  cette jolie jeune femme  prône une république parlementaire, ou encore un  rapprochement avec l’Otan et l’Union Européenne, toutes choses dont elle a fait état   lors de sa toute récente visite aux Etats-Unis.

    Signalons encore que  malgré les accusations de tricheries et de manipulations relayées, suscitées par des officines, des ONG clairement anti russes, à commencer par celles financées par George Soros,   jamais les observateurs  étrangers envoyés dans le passé pour contrôler  le bon déroulement du scrutin n’ont fait état de fraudes téléguidées par le pouvoirBruno Gollnisch a d’ailleurs  accepté  la demande des autorités russes le sollicitant  pour veiller à la bonne exécution  de l’élection présidentielle. « J’ai donné mon accord aux autorités russes pour partir à Moscou le 18 mars en tant qu’observateur étranger. Je dois aller dans plusieurs bureaux de vote pour observer le scrutin et veiller à la pluralité des candidatures et à la sincérité du vote» a précisé le député frontiste.

     Dans les faits nous savons, exception faite de  la Suisse,  qu’il y a au moins  autant de trucages et de verrouillages dans les élections dites démocratiques des pays occidentaux  (à commencer par la France)  qu’il y en a en Russie présentée sans cesse comme une éternelle autocratie.  Alors il se peut que Vladimir Poutine soit un démocrate tempéré, mais comme le notait Bruno Gollnisch « c’est  surtout  l’assomption de la Russie, sa grandeur retrouvée sur la scène internationale, le sursaut national et identitaire russe qui expliquent que ses dirigeants actuels soient traînés dans la boue. Les plus sévères aujourd’hui à l’égard de la Russie sont souvent ceux qui ont longtemps nié l’existence du goulag, la nature totalitaire du communisme et la menace de l’impérialisme soviétique. Pendant 74 ans, les communistes ont piétiné les libertés et les solidarités les plus élémentaires, allant jusqu’à obliger les enfants à dénoncer leurs parents. Il n’est pas étonnant qu’au sortir de ce cauchemar, la démocratie russe ne soit pas encore parfaite. »

    https://gollnisch.com/2018/02/08/election-presidentielle-russe-bruno-gollnisch-decrypte-repond-present/

  • Les négociations autour du Brexit risquent de faire voler en éclats l’UE

    6a00d83451619c69e201b8d2d8560d970c-800wi.jpgC'est ce que pense non pas un eurosceptique mais Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne. Juncker a aussi déclaré que

    « les industries économiques, les multinationales ont essayé de convaincre leurs gouvernements respectifs d’acquiescer à telle ou telle proposition britannique, et à la fin, nous aurons plusieurs extras, plusieurs exceptions qui feront de l’Europe un bazar. »

    Michel Janva

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