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Europe et Union européenne - Page 558

  • Allemagne : une élève est battue parce qu’elle est blonde et chrétienne, le directeur d’école lui conseille le hijab

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    Allemagne – dans une école de Francfort, une élève a été victime de harcèlement par des élèves musulmans parce « qu’elle était blonde, chrétienne et ne portait pas de foulard islamique », le directeur de l’école a suggéré que la victime devait se couvrir d’un hijab pour avoir la paix.

    La mère de l’élève a confié à BILD que sa fille était victime de harcèlement de la part de filles musulmanes à un point tel qu’elle devait «la faire sortir de l’école pour la protéger».

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  • 22 avril : Marche pour la Vie Bruxelles

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les syndicats sont financés par l Europe et cachent son influence politique

    Les syndicats français (CGT,CFDT,FO,CFTC,UNSA) sont financés par l’Europe et cachent aux français les vrais coupables de la destruction des acquis sociaux et du droit du travail.

    https://www.patriote.info/videos/union-europeenne/les-syndicats-sont-finances-par-l-europe-et-cachent-son-influence-politique/

  • Arguties, russophobie, hypocrisies, bobocratie…l’actualité de la semaine vue par Bruno Gollnisch

    L’actualité de la semaine vue par Bruno Gollnisch, dans une vidéo tournée, une fois n’est pas coutume,  non pas depuis le parlement européen  mais  au siège du  FN à Nanterre,  mardi 27 mars. Les thèmes suivants ont été évoqués:

    • Arnaud Beltrame, un héroïsme qui s’inscrit dans une tradition
    • Virée sanglante de Lakdim, l’islam(isme) en accusation ou la faute à  l’immigration ?
    •  Interdire le “salafisme” dit Manuel Valls…mais peut-on interdire une idée?
    • Election présidentielle en Russie, nouveau prétexte à l’expression de la russophobie
    •  Affaire Skripal, un cas d’école d’hypocrisie des “occidentaux”
    • Election présidentielle en Egypte, de Morsi à Sissi…
    • Gollnisch cité en Tunisie, gros malaise en  bobocratie!
    • Carles Puigdemont arrêté en Allemagne: le droit d’asile à géométrie (très) variable de l’UE
  • LA FRANCE ET L’EUROPE CONTRE POUTINE : AVEUGLEMENT OU FANFARONNADE ?

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    Après l’expulsion, en Angleterre, de vingt-trois diplomates et, aux États-Unis, de soixante ressortissants russes, présentés comme des espions, les États membres de l’Union européenne, réunis à Bruxelles, ont décidé de rappeler leur ambassadeur en Russie pour « consultations ». Ils envisagent aussi de chasser des diplomates russes : suivisme ou incapacité de mener une politique propre ?

    La diplomatie semble la pire des hypocrisies. Après l’empoisonnement de l’ex-espion Sergueï Skripal en Angleterre, Donald Trump a voulu montrer sa solidarité avec Theresa May : les dirigeants européens ont suivi.

    C’est sans doute, en langage diplomatique, ce qu’on appelle l’indépendance. De quoi rendre gaulliste le plus antigaulliste : le général de Gaulle, lui, au moins, était sourcilleux de la souveraineté française.

    « Les dirigeants de l’Union européenne se sont entendus pour considérer, avec le gouvernement britannique, que la Russie est très probablement derrière l’attaque de Salisbury et qu’il n’y a pas d’autre explication possible », a écrit Donald Tusk, le président du Conseil européen, sur son compte Twitter.

    Que penser d’une politique qui se décide sur des convictions intimes et non des réalités objectives ? Les relations internationales se limitent-elles à un jeu de rôle ?

    Empoisonner un ex-espion russe qui a vendu des secrets à un gouvernement étranger n’est pas une conduite recommandable. Mais, si l’on en croit de nombreux films et romans d’espionnage, les Britanniques n’ont jamais été les derniers à utiliser des moyens peu orthodoxes pour se débarrasser d’ennemis encombrants. Ne parlons pas des Américains, qui ont toujours les droits de l’homme à la bouche… et ne manquent pas de les bafouer quand il y va de leurs intérêts. Quant à François Hollande, il aurait personnellement ordonné l’élimination, par la DGSE, d’une quarantaine d’individus dangereux pour l’État. Flanby donnant le permis de tuer, ça étonne et ça détonne !

    Il faut donc expliquer autrement que par la réprobation morale les mesures prises à l’encontre de la Russie ; contre Poutine, devrait-on dire plutôt. Qu’il ait ou non, de près ou de loin, trempé dans cette affaire de poisons, il vient d’être réélu triomphalement : même les médias n’ont pas osé contester sa victoire, qu’ils ont expliquée par la « désinformation du peuple » (de quoi rire, quand on observe la façon dont la pensée unique tend à s’imposer en France).

    Sa politique internationale, sa mainmise sur la Crimée, son alliance avec la Syrie, son autorité même déplaisent aux occidentaux : au lieu de dialoguer avec ce grand pays et d’essayer de le rapprocher du camp européen, ils font tout pour le rendre infréquentable aux yeux de l’opinion, au risque de le rejeter vers la Chine. Vont-ils, en juin et juillet, boycotter la Coupe du monde de football pour humilier Poutine ? Theresa May a déjà annoncé que la famille royale ne s’y rendrait pas. Sûr que Poutine doit se faire du mouron !

    Il est paradoxal que la France critique plus Poutine que les dictateurs islamiques qui apportent un soutien plus ou moins direct aux terroristes. Si elle ne donnait pas à ses voisins l’exemple d’une politique de rapprochement avec la Russie, elle confirmerait qu’elle est redevenue le valet des États-Unis – ou de la finance, ce qui est un pléonasme – et qu’elle a renoncé à sa vocation de grande puissance indépendante.

    http://www.bvoltaire.fr/france-leurope-contre-poutine-aveuglement-fanfaronnade/

  • Déferlement migratoire : La lettre des Bompard au pape François, par Franck Delétraz

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    Reçus lundi au Vatican avec quelque 150 élus de la région PACA, Jacques et Marie-Claude Bompard, accompagnés de Marie-France Lorho, Marie-Thérèse Galmard, Yann Bompard et Xavier Fruleux, ont à cette occasion remis en mains propres au Saint-Père une lettre qu’ils ont joliment tournée pour lui faire part des « doutes » et « incompréhensions » que suscitent les multiples interventions de l’Eglise en faveur de l’accueil des « migrants » et attirer son attention sur la menace que fait peser l’immigration massive sur l’Europe.

    « Une profonde confusion »

    Une démarche particulièrement bienvenue, au moment où de nombreux fidèles s’interrogent en entendant François leur rappeler régulièrement leur devoir d’accueil et où « les paroles et admonestations de quelques clercs sur le sujet » les laissent « dans une profonde confusion ». C’est que, souligne cette lettre, à l’heure où « l’Europe dans son ensemble est en proie à une crise identitaire et politique majeure » et où « la France demeure incertaine dans sa volonté de maintenir (son) identité hellénico-chrétienne », ces paroles créent en nous, catholiques, « un écartèlement moral entre d’une part la nécessité de présenter la paix civile par l’unité et d’autre part l’accueil inconditionnel des migrants, souvent présenté comme un devoir absolu ». Une confusion volontairement aggravée par les médias qui, la plupart du temps, ne rapportent des interventions de François que ce qui sert leur combat immigrationniste. Ainsi, écrivent les Bompard, « dans le discours contemporain, majoritairement véhiculé par des médias ignares et idéologiquement orientés, la parole de l’Eglise n’est perçue qu’à l’aune des valeurs en vogue de la propagande ». Une allusion à ceux qui s’appuient sur une interprétation abusive du Bon Samaritain, en oubliant que Saint Thomas d’Aquin nous a enseigné qu’« il faut que l’affection de l’homme soit ordonnée par la charité, que d’abord et principalement il aime Dieu, ensuite soi-même, enfin le prochain, et parmi les prochains, davantage ceux qui sont les plus proches et plus à même de nous aider ».

    Risque de déstabilisation

    Or, souligne la lettre, « alors même que nombre de nos proches souffrent de la misère matérielle et spirituelle la plus grave », la France et l’Europe « auraient l’obligation morale d’accueillir non seulement les réfugiés de toutes les guerres mais aussi les émigrés de tous les pays, et ce au risque de la déstabilisation politique et sociale ». Il faut d’ailleurs rappeler ici la constitution apostolique Exsul familia de 1952, dans laquelle Pie XII précisait non seulement que l’immigration doit concerner « des étrangers nécessiteux et honnêtes », mais aussi que celle-ci peut être limitée pour des « motifs d’utilité publique ». Or, ce sont précisément ces « motifs d’utilité publique » que mettent en avant les Bompard dans leur lettre. Lorsqu’ils soulignent par exemple que « cette convergence de migrations pour la plupart économiques voile parfois l’arrivée de combattants qui ont pour objectif avoué la conquête religieuse de l’Occident ».

    Aussi demandent-ils au Saint-Père en conclusion de bien vouloir participer « à l’éclaircissement de ces lacunes » afin de « saisir avec clarté où se trouve notre devoir de charité ».

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 23 mars 2018

    https://fr.novopress.info/210132/deferlement-migratoire-la-lettre-des-bompard-au-pape-francois-par-franck-deletraz/

  • Suède : 75% des mineurs clandestins sont en fait majeurs

    Il s'agit des résultats de tests faits sur les pseudos mineurs migrants. En France, combien de temps va-t-on berner la population?

    La affirme que sur 10 000 test osseux effectués sur des clandestins "adolescents", 75% d'entre eux révèlent qu'ils sont majeurs.

  • Un ministre : « Le dernier attentat en France prouve qu’il y a un lien étroit entre immigration et terrorisme. »

    6a00d83451619c69e201bb09fe7884970d-200wi.jpgC'est le ministre hongrois des Affaires étrangères qui déclare cela :

    « La dernière attaque terroriste en France prouve qu’il existe un lien étroit entre immigration et terrorisme. La Hongrie estime que l’immigration n’est pas utile mais est un danger vital, c’est le devoir d’un gouvernement de protéger ses citoyens »

    En France, nos ministres sont convaincus que cela n'a rien à voir... D'ailleurs, l'identité des terroristes le prouve :

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    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/03/un-ministre-le-dernier-attentat-en-france-prouve-quil-y-a-un-lien-%C3%A9troit-entre-immigration-et-terror.html

  • « La qualification dépréciative » : petite leçon de propagande

    Chronique de Paysan Savoyard

    (n°193 – mars 2018)

    Qualifier pour disqualifier, étiqueter pour discréditer, préciser pour déprécier : dans la propagande du Système, les adjectifs qualificatifs occupent une place privilégiée. La technique de « qualification dépréciative » étant utilisée de façon systématique et pourvue d’une incontestable efficacité, il n’est pas inutile de l’examiner en détail.

    Pour tenter de freiner l’influence croissante des forces politiques qui lui sont opposées (le FN en France, l’AFD en Allemagne, le FPO en Autriche, La Ligue et ses alliés en Italie, les partis au pouvoir dans les pays de Visegrad), le Système et ses relais médiatiques leur attribuent de façon systématique des étiquettes dépréciatives et des qualificatifs négatifs ou infâmants. Comme quiconque peut aisément le constater, en écoutant un journal télévisé par exemple, les noms des partis anti Système ne sont jamais prononcés par les politiciens, les journalistes et les commentateurs sans que leur soit accolé un adjectif destiné à les disqualifier : « europhobe », « populiste » ou encore « extrémiste »…  (nous illustrerons la chose à l’aide des articles que Le Monde, l’un des principaux organes de propagande du Système, fait paraître ces jours-ci sur l’Italie).

    L’efficacité de la technique tient à deux paramètres : le choix du terme utilisé, premièrement, sélectionné parmi ceux qui provoqueront le plus sûrement dans l’opinion un réflexe de rejet ; l’effet de répétition, deuxièmement, qui dans l’esprit de chacun finit par rendre le lien entre le nom et l’adjectif évident et incontestable.

    Le lexique utilisé par la propagande du Système pour discréditer les opposants est composé de quatre qualificatifs principaux, qu’il convient de recenser et de décrypter :

    • « L’europhobie »

    Les partis opposants sont qualifiés tout d’abord par le Système et ses relais médiatique de partis « europhobes », ou « eurosceptiques » ou même « anti-européens » (voir cet article et cet autre).

    Le procédé est efficace. La grande majorité des gens en effet sont favorables à l’Europe, à la coopération entre Européens et à la paix en Europe, bien sûr, avant toute chose : ils y regardent donc à deux fois avant d’apporter leur appui à des partis réputés hostiles à la « construction européenne ».

    Or l’accusation est mensongère. Tous les partis anti Système sont certes hostiles à l’UE, à ses méthodes anti démocratiques, à ses orientations mondialistes et libérales, à sa politique immigrationniste. Aucun des partis opposants du Système ne souhaite en revanche la rupture entre pays européens. Aucun ne refuse de rechercher entre eux des coopérations. Aucun ne remet en cause la nécessité de disposer d’institutions permettant d’organiser la coopération entre européens.

    Contrairement à ce que prétend la classe dirigeante, les opposants au Système ne sont donc nullement europhobes : dire non à l’UE, ce n’est pas dire non à l’Europe.

    • « Le populisme »

    Le deuxième qualificatif dépréciatif accolé aux partis anti Système est lui aussi largement utilisé : « populisme ». Les partis en question sont présentés comme « populistes », hostiles aux élites et « adeptes de la théorie du complot » (voir cet article).

    L’effet recherché par le choix du mot populisme est de sous-entendre que les opposants sont des démagogues. Or la démagogie, technique de pouvoir consistant à séduire en proférant des mensonges, en se servant des élites comme boucs-émissaires et en dénonçant des complots imaginaires, ne peut que susciter la réprobation.

    On notera tout d’abord que le terme de populisme n’est jamais clairement défini par ceux qui l’utilisent : la propagande se contente de prononcer le mot, en comptant sur son effet péjoratif.

    De même, concernant l’accusation implicite selon laquelle les opposants sont des démagogues, c’est-à-dire des menteurs, les défenseurs du Système ne donnent jamais de précision sur les mensonges dont il s’agit.

    L’accusation de complotisme est tout aussi floue et infondée. Le concept de « théorie du complot » a été inventé par la propagande du Système pour assimiler les opposants à ces groupuscules délirants qui croient détecter à tout propos des opérations souterraines menées par des forces occultes. Or, s’ils mettent en cause les politiques et les projets du Système, les opposants ne dénoncent en revanche aucun « complot ». Et pour cause : les politiques du Système ne peuvent relever du complot puisqu’elles n’ont rien de secret : elles sont à l’agenda de toutes les réunions internationales, à Bruxelles, à Washington, à Davos (voir cette chronique).

    De même enfin, le Système accuse les opposants de cultiver « la haine des élites ». Là encore la mise en cause est malhonnête. Si les électeurs des partis anti Système se défie des élites actuelles, ce n’est évidemment pas par anti élitisme de principe, mais parce qu’ils sentent bien que ces élites n’agissent pas en fonction de l’intérêt général.

    Le « populisme » est donc pleinement légitime. Les élites d’aujourd’hui trahissent le peuple, qu’elles méprisent : le peuple commence à s’en rendre compte et vote en conséquence. 

    • « L’extrémisme »

    Une autre série de qualificatifs destinés à déprécier vise le positionnement politique : le Système accuse les opposants d’être « d’extrême-droite », d’être « anti républicains » et même d’être en réalité des « fascistes » (voir cet article).

    Là encore ces accusations sont efficaces. La plupart des gens n’aiment pas l’extrémisme, porteur de violence. Ils aiment encore moins le fascisme, l’allié du nazisme. Enfin la majorité des gens s’estiment républicains : toute autre position leur paraît relever de l’obscurantisme et conduire à la négation des libertés.

    Toutes efficaces qu’elles soient, les accusations portées par le Système contre ses opposants sont, là encore, mensongères. Fascisme ? L’accusation n’a pas de sens. Le fascisme ne s’est jamais implanté en France. Au contraire, l’extrême-droite d’avant-guerre, qui était violemment anti allemande, s’est massivement engagée dans la résistance (tandis que la plupart des figures de la collaboration venaient de la gauche…). Quant à Mussolini, faut-il le rappeler, il était socialiste…

    Extrême-droite ? Les partis anti Système sont hostiles à l’immigration. Mais ils sont également opposés à la mondialisation, facteur d’enrichissement des capitalistes et d’écrasement de la classe moyenne : ils rejoignent ainsi sur ce point… l’extrême-gauche. Rappelons au passage que l’extrême-droite française historique, avec Barrès, avec Maurras, était anticapitaliste et favorable aux politiques sociales.

    Anti républicains ? Parmi les opposants « de droite » au Système, la plupart ne se disent pas opposés à la république. Ils aimeraient même que l’un des principes républicains, la démocratie, soit mieux respecté, que les partis d’opposition soient mieux représentés au parlement et que soient organisés des référendums sur les principaux sujets qui engagent l’avenir du pays.

    Apportons au passage cette précision. Pour notre part, nous pensons que les opposants au Système ne devraient plus hésiter à mettre désormais en cause ouvertement les « valeurs républicaines », l’individualisme, la laïcité anti catholique, le matérialisme, la haine de la tradition, l’universalisme. Ce sont ces « valeurs » qui, selon-nous, sont à l’origine de la ruine probable de la civilisation européenne. Pour se ressourcer et se renforcer, les opposants au Système auraient intérêt désormais, nous semble-t-il, à rompre avec les valeurs et le cadre mental imposés par l’élite dirigeante, en France et en Europe, et à assumer, revendiquer et expliquer une position de transgression idéologique. Nous y reviendrons.

    Terminons sur l’accusation « d’extrémisme ». Les oligarques au pouvoir dans la plupart des pays d’Europe mènent une politique mondialiste et immigrationniste radicale. Ils n’ont pas hésité à délocaliser les emplois dans les pays à bas coût, réduisant au chômage une fraction considérable de la population. Ils abolissent les frontières économiques, enrichissant les riches comme jamais et déstabilisant les classes moyennes. Ils ont entrepris d’organiser une immigration massive, qui aboutira à la mise en minorité prochaine de la population de souche sur son propre territoire. Nous sommes là aux antipodes du registre des politiques modérées et raisonnables.

    L’accusation d’extrémisme est donc parfaitement malhonnête. C’est le mondialisme et l’immigrationnisme qui sont extrémistes. Les extrémistes ? : ils sont au pouvoir !

    • « La haine raciste »

    L’accusation la plus grave porte, comme de juste, sur la question de l’immigration, la plus vitale de toutes : le Système accuse les opposants d’être mus par « la haine raciste » (voir cet article).

    Là encore l’accusation porte, et nuit à ceux qu’elle vise. Personne en effet n’aime la haine, la violence qu’elle provoque, les guerres qu’elle annonce. Personne n’aime le racisme, marque de fabrique des crimes nazis.

    Mensonge, pourtant, là encore. Les tensions raciales ? Ce sont les dirigeants qui les provoquent en organisant une immigration massive. La haine ? Ce sont plutôt les immigrés qui manifestement l’éprouvent bien souvent à l’égard du pays d’accueil et des autochtones. La haine, encore ? Elle est souvent du côté du Système et de ses partisans, qui ne se privent pas de brandir celle qu’ils éprouvent pour les « fascistes », les « racistes », « l’extrême-droite » (voir cette chronique).

    Quant aux anti Système, ils n’ont généralement pas de haine pour les immigrés, qui franchissent une porte qu’on leur tient grand ouverte. La haine, quand il y en a, c’est à l’oligarchie immigrationniste qu’ils la réservent.

    La haine ? Ceux qui la dénoncent à tout propos sont ceux qui l’ont installée.

    Europhobie, démagogie, extrémisme, haine raciste…. : toutes ces grosses ficelles tiendront-elles encore longtemps (voir également cette chronique et celle-ci) ? Combien de temps encore les Français et les Européens, confrontés à l’invasion de leur continent, se laisseront-ils intimider, subjuguer et inhiber par la propagande du Système ?

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/