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Europe et Union européenne - Page 653

  • Europe centrale – Immigration : le groupe de Visegrád ne cède pas aux injonctions de Bruxelles

    A l’issue d’une réunion devant débatte de la politique immigrationniste de l’Union européenne, les ministres de l’Intérieur du Groupe de Visegrád, le V4 (Pologne, Slovaquie, Tchéquie, Hongrie), ont conjointement rejeté le système obligatoire de quotas de réfugiés prôné par Bruxelles.

    Ce lundi à Varsovie, ils ont opté pour une assistance aux réfugiés se trouvant en dehors de l’Union européenne, avec la création d’un centre de coordination des crises migratoires.

    Le ministre polonais Mariusz Blaszczak a déclaré que tous les participants avaient accepté d’«employer les bonnes pratiques d’aides aux migrants ayant fui la guerre» qui se sont réfugiés dans des camps, au Liban et en Jordanie.

    Blaszczak a également réaffirmé que le V4 était contre le système de relocalisation des réfugiés dans l’UE, car «nous croyons qu’il est inefficace». «Ce sont les faits qui le prouvent. Sur 160.000 personnes qui devaient être réparties dans les pays de l’UE, seules 6.000 personnes l’ont été à ce jour», a commenté le ministre. Et d’ajouter que les pays du V4 ont estimé qu’il était important de verrouiller les frontières de l’UE.

    Le Groupe de Visegrád a fait valoir son opposition au système de réinstallation des réfugiés et d’amendes aux pays qui refusent de les accepter. Selon la proposition de l’UE, ces derniers pourraient échapper à la relocalisation pendant un an à condition de payer une amende de 250.000€ par réfugié!

    «La politique de l’UE doit être modifiée afin de rétablir le contrôle total des mouvements migratoires actuels en Europe, afin d’éviter les effets négatifs d’une augmentation brutale de la pression migratoire au cours des prochaines années», a lancé le ministre polonais.

    Le centre sera dirigé par la Pologne, qui assume cette année la présidence tournante du V4. Dans cette réunion élargie ont également participé des délégations autrichienne, belge, bulgare, croate et slovène.

    Les petits pays de l’UE se coalisent et nous montrent la voie à suivre en affirmant leur volonté de se réapproprier les compétences des Etats-nations que Bruxelles leur a confisquées.

    Les Observateurs.ch
    23/11/2016

    Sources : Les Observateurs.ch
    http://news.xinhuanet.com/english/2016-11/22/c_135847535.htm
    http://www.auslandsdienst.pl/3/21/Artykul/281024,V4-gr%C3%BCnden-Zentrum-zur-Hilfe-f%C3%BCr-Fl%C3%BCchtlinge

    http://www.polemia.com/europe-centrale-immigration-le-groupe-de-visegrad-ne-cede-pas-aux-injonctions-de-bruxelles/

  • La Turquie menace l'Europe

    Son arme : l'immigration

    "Le président Recep Tayyip Erdogan a menacé vendredi d'ouvrir les frontières de la Turquie pour laisser passer les migrants vers l'Europe, au lendemain d'un vote du Parlement européen demandant le gel des négociations d'adhésion de son pays. L'Allemagne a immédiatement répliqué, affirmant que « menacer » le pacte UE-Turquie sur les migrants « n'avance à rien ». Même message de la France, pour qui « les surenchères et polémiques sont tout à fait contre-productives ». Les déclarations d'Erdogan surviennent après des semaines d'échanges acerbes entre Ankara et Bruxelles, qui accuse les autorités turques de matraquer l'opposition dans la foulée de la tentative du coup d'État en juillet.

    Cette tempête diplomatique fait tanguer un pacte conclu en mars entre le gouvernement turc et l'UE qui a permis d'assécher le flux de passages clandestins vers l'Europe via les îles grecques en mer Égée. « Mettez-vous ça dans la tête » « Lorsque 50 000 migrants se sont amassés au poste-frontière de Kapikule [à la frontière turco-bulgare], vous avez crié à l'aide. Vous avez commencé à vous demander : Que ferons-nous si la Turquie ouvre ses frontières ? » a déclaré vendredi le président Erdogan. « Écoutez-moi bien. Si vous allez plus loin, ces frontières s'ouvriront, mettez-vous ça dans la tête », a lancé le chef de l'État turc lors d'un discours à Istanbul."

    Cette menace affole les européistes, non en raison de l'immigration, mais en raison de de scrutins majeurs en Europe : une élection présidentielle en France, une en Autriche, des élections fédérales en Allemagne... 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Migrants : l'Aquarius sauve des naufragés, c'est très bien mais...

    En les conduisant en Europe, au lieu de les ramener à leur point de départ, il se fait le complice actif des Mafias de passeurs-négriers.

    Les reportages destinés à faire pleurer dans les chaumières se sont multipliés ces derniers jours sur les chaînes de télé, à propos de ces migrants qui risquent leur vie pour traverser la Méditerranée et venir en Europe.

    Il faut dire qu'avec Trump et la Primaire de la Droite, les journaleux avaient d'autres chats à fouetter, et avaient donc remisé, pour un temps, leurs chers « migrants » dans les sujets « en attente ».

    Mais le parti immigrationniste a dû juger que le silence devenait trop long : et revoilà, donc, le sujet des migrants ressorti du placard. Cette fois, la vedette, c'était l'Aquarius, et son équipage qui sauvait des gens entassés sur un zodiaque, en train de sombrer. TF1, France 2, BFM/TV ou autres, impossible d'y échapper ces derniers jours... 

    Nul ne se soucie des deux paysans français qui se suicident chaque jour ; nul ne se soucie plus que cela, non plus, des dix millions de pauvres recensés par le Secours catholique, ou des huit millions et demi de mal-logés recensés par la Fondation Abbé Pierre. Il y a bien, certes, les Restos du cœur, qui peuvent occuper le devant de la scène, intouchables qu'ils sont, car « confisqués » par les bobos-gauchos. Mais, à part eux, s'occuper activement de la détresse, de la précarité, de la pauvreté qui monte, inexorablement, au milieu du peuple français, non, ce n'est pas intéressant. Cela ne vaut pas ces masses de « migrants » qui, eux, méritent toute l'attention de nos mal-généreux. 

    Mal-généreux, car sauver des malheureux qui vont se noyer, évidemment, c'est le devoir de toute personne civilisée. Encore plus lorsque l'on est en Europe, dont les racines chrétiennes sont une évidence, à part pour les adeptes de la Nouvelle Religion Républicaine, dont le sectarisme n'a d'égal que l'épaisseur de leurs œillères !

    Mais être civilisé, généreux et... sauveteur, n'empêche pas d'avoir de la jugeote. Ces pauvres malheureux, victimes des passeurs, certes, mais malgré tout victimes consentantes, ne doivent pas être conduits en Europe, lorsqu'on leur sauve la vie. Elles doivent être ramenées sur les côtes d'Afrique, d'où elles sont parties. Sinon, de toute évidence, les sauveteurs de l'Aquarius se font, volens nolens, les maillons de la chaîne maffieuse de ces esclavagistes, négriers des temps modernes, qu'on appelle aujourd'hui « passeurs ». Les Mafias savent que les bateaux européens « achèveront le travail », et les « migrants » savent qu'on viendra les chercher : tout cela consolide le trafic et lui assure une pérennité dans la malfaisance et la traite des êtres humains. 

    Et, là, il n'y a plus du tout de quoi être fier ni de quoi être comparé à un preux chevalier d'antan, volant au secours de la veuve et de l'orphelin.

    Nos mal-généreux de l'Aquarius et autres devraient y réfléchir, avant de se présenter en parangons de vertu et d'humanité... 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Europe centrale – Immigration : le groupe de Visegrád ne cède pas aux injonctions de Bruxelles

    A l’issue d’une réunion devant débatte de la politique immigrationniste de l’Union européenne, les ministres de l’Intérieur du Groupe de Visegrád, le V4 (Pologne, Slovaquie, Tchéquie, Hongrie), ont conjointement rejeté le système obligatoire de quotas de réfugiés prôné par Bruxelles.

    Ce lundi à Varsovie, ils ont opté pour une assistance aux réfugiés se trouvant en dehors de l’Union européenne, avec la création d’un centre de coordination des crises migratoires.

    Le ministre polonais Mariusz Blaszczak a déclaré que tous les participants avaient accepté d’«employer les bonnes pratiques d’aides aux migrants ayant fui la guerre» qui se sont réfugiés dans des camps, au Liban et en Jordanie.

    Blaszczak a également réaffirmé que le V4 était contre le système de relocalisation des réfugiés dans l’UE, car «nous croyons qu’il est inefficace». «Ce sont les faits qui le prouvent. Sur 160.000 personnes qui devaient être réparties dans les pays de l’UE, seules 6.000 personnes l’ont été à ce jour», a commenté le ministre. Et d’ajouter que les pays du V4 ont estimé qu’il était important de verrouiller les frontières de l’UE.

    Le Groupe de Visegrád a fait valoir son opposition au système de réinstallation des réfugiés et d’amendes aux pays qui refusent de les accepter. Selon la proposition de l’UE, ces derniers pourraient échapper à la relocalisation pendant un an à condition de payer une amende de 250.000€ par réfugié!

    «La politique de l’UE doit être modifiée afin de rétablir le contrôle total des mouvements migratoires actuels en Europe, afin d’éviter les effets négatifs d’une augmentation brutale de la pression migratoire au cours des prochaines années», a lancé le ministre polonais.

    Le centre sera dirigé par la Pologne, qui assume cette année la présidence tournante du V4. Dans cette réunion élargie ont également participé des délégations autrichienne, belge, bulgare, croate et slovène.

    Les petits pays de l’UE se coalisent et nous montrent la voie à suivre en affirmant leur volonté de se réapproprier les compétences des Etats-nations que Bruxelles leur a confisquées.

    Les Observateurs.ch, 23/11/2016

    Sources : Les Observateurs.ch
    http://news.xinhuanet.com/english/2016-11/22/c_135847535.htm
    http://www.auslandsdienst.pl/3/21/Artykul/281024,V4-gr%C3%BCnden-Zentrum-zur-Hilfe-f%C3%BCr-Fl%C3%BCchtlinge

    http://www.polemia.com/europe-centrale-immigration-le-groupe-de-visegrad-ne-cede-pas-aux-injonctions-de-bruxelles/

  • Les vrais ennemis de l'Occident: Alexandre del Valle présente sa somme de géopolitique (500 pages)

  • Journal du jeudi 24 novembre 2016 - UE / Partis eurosceptiques : la chasse aux sorcières

  • Agriculture intensive : 10.000 fermes laitières sur 60.000 devraient disparaître en 2017

    Les gouvernements successifs ne cherchent pas à repenser le modèle agricole français. Depuis Maastricht, les politiques français posent des boîtes de pansements sur une jambe de bois à coup de millions d’euros d’aide aux différents secteurs agricoles.
    Les manifestations d’éleveurs se font rares. Pourtant les difficultés graves persistent, au point que la FNPL (Fédération nationale des producteurs de lait) prévoit la disparition de 10.000 éleveurs de vaches laitières en 2017 sur un total de 60.000. C’est énorme.
    Le ministre de l’Agriculture, Stéphane Le Foll, a d’ailleurs annoncé vendredi la signature d’un accord avec le fonds d’assurance Vivéa et Pôle emploi pour « accompagner les chefs d’exploitation dans leur reconversion et transition professionnelles ». Autant dire que de tous côtés on s’attend à une vaste opération de restructuration dans l’élevage. Le numéro un mondial du fromage Lactalis estime que « les volumes de lait ne disparaîtront pas. On va assister à une concentration des élevages. Pas à une chute de production ».

  • La Turquie ne doit jamais entrer dans l’Union européenne !

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    La France doit, tout comme l’Autriche, prendre rapidement position en demandant l’arrêt pur et simple des négociations.

    Persistant dans l’erreur, les élites européennes s’emploient à sauver le soldat turc contre vents et marées. Non, la Turquie n’a pas sa place dans l’Union européenne pour des raisons évidentes :

    – une infime partie, seulement, de son territoire est en Europe (la Thrace orientale, soit 3 % de sa superficie) ;
    – pays de religion musulmane, la Turquie servirait de cheval de Troie de l’islamisation progressive de l’Europe ;
    – les relations historiques entre la Turquie et l’Europe ont longtemps été conflictuelles ;
    – les dirigeants actuels de la nation ottomane sont des islamistes impérialistes qui ne respectent pas les droits fondamentaux, enfermant arbitrairement leurs opposants politiques et les journalistes qui ne leur sont pas inféodés ;
    – l’entrée de la Turquie déstabiliserait le continent sur le plan démographique en entrainant la libre circulation de plus de 100 millions de turcophones ;
    – en outre, les Turcs venus sur le continent ne cherchent pas à s’assimiler mais à créer des cinquièmes colonnes dans les nations européennes, selon les souhaits de Recep Tayyip Erdoğan, qui les y encourageait lors d’un meeting à Strasbourg ;
    – la Turquie refuse de reconnaître Chypre, qui appartient à l’Union, ne songeant qu’aux intérêts des Chypriotes d’origine turque ;

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  • Migrants : alerte sur la santé publique

    Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé, aurait-elle engagé des actions préventives qui paraissent aujourd’hui indispensables face à l’invasion migratoire que notre pays connaît depuis maintenant plusieurs années ? Alors que la tuberculose a été pratiquement éradiquée au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, on découvre aujourd’hui des cas, isolés certes mais significatifs. […]

    En septembre 2016, BFM TV nous apprend que des cas de tuberculose ont été diagnostiqués au lycée professionnel Cantau d’Anglet (64). Début novembre, France Bleu Pays Basque révèle que le premier cas, traité au printemps, concerne un lycéen ayant voyagé en Afrique… et, qu’à la rentrée, six nouveaux cas s’étaient déclarés. Devant l’ampleur du dépistage (1.800 personnes) et la gravité du problème, l’A.R.S (Agence Régionale de la Santé) mettait à disposition un camion (30.000 €) pendant 3 semaines.

    Or, à Saint Bauzille de Putois (34), le maire écrivait le 28/10 que des Soudanais étaient bien arrivés et que  la « tradition d’accueil du village » continuait. Par contre, d’autres médias indiquaient qu’avec les Soudanais se trouvait un Érythréen et un Pakistanais qui a été immédiatement hospitalisé dés son arrivée. Alors, en tant que mère de famille je me pose quelques questions. Sachant que les cas de tuberculose en vertu du règlement sanitaire international doivent être déclarés, je m’étonne du silence médiatique devant l’affaire d’Anglet. Le ministère de la Santé a-t-il été associé à l’évacuation de Calais ? Des mesures prophylactiques ont elles été envisagées puisque l’on sait que les invasions migratoires mettent en danger la santé publique des Français.

    Les migrants, dont le gouvernement impuissant à contrôler et à endiguer le flux, dispersent à travers le pays des maladies contagieuses, endémiques dans leurs pays d’origine et les amènent avec eux. Il convient de les dépister, les traiter pour les prévenir :

    1°) Ce sont des affections parasitaires qui peuvent provoquer des bilharzioses urinaires et intestinales, des amibiases. Les docteurs Larivière (*) et Rousset (*) signalent que ces pathologies se répandent par voie génitale et contact buccal direct. Quant aux parasites du tube digestif, ils se développent dans le sol, l’eau, les milieux humides et restent infectants une vingtaine de jours. Aussi, il convient de veiller aux eaux de baignades et à la qualité des réseaux d’assainissement. Les moustiques peuvent transmettre le paludisme, la maladie du sommeil, la leishmaniose (les souches importées peuvent se recombiner avec celles présentes en France), la borréliose, la fièvre jaune, la dengue, le chikungunya…

    2°) Ce sont aussi des maladies tropicales, lèpre, mycoses, des maladies sexuellement transmissibles comme la syphilis. Le docteur André Basset (*) fait observer que la lèpre, chez un migrant, peut demeurer sous forme latente ou inapparente et rester plusieurs années avant de se déclarer. Il préconise le dépistage aux frontières. Chez un migrant, la sérologie positive, séquelle de l’enfance n’est pas contagieuse, elle l’est en provenance d’un contact récent.

    3°) C’est aussi la tuberculose, surtout sous la forme pulmonaire qui est la plus contagieuse. Le docteur Gentilini (*) indique que « chez le noir, elle est caractérisée par son polymorphisme, sa survenue entre le sixième et le vingtième mois de séjour en France ». Le docteur Coudrau (*) souligne lui aussi qu’elle touche surtout les africains noirs.

    Les migrants, le plus souvent africains, que l’on impose dans nos villages constituent donc un groupe à haut risque. Le Docteur Gentilini (*) tout comme l’O.M.S en 2016 préconise un dépistage systématique dés l’arrivée, et, au minimum tous les six mois, sur une durée de 18 à 24 mois. IL déclarait indispensable l’établissement d’un carnet de santé national pour tout immigré ainsi que la vaccination obligatoire par B.C.G bien qu’elle ait une protection limitée en raison de la sur contamination.

    L’Institut Pasteur recommande de surveiller les eaux et les aliments pour éviter d’exposer la population locale à des risques inutiles d’hépatites A, ainsi que diffuser l’information aux populations sur les risques d’hépatites B, laquelle se transmet par le sang et le sexe.

    L’OMS demande un dépistage systématique des cas de Coronavirus (Mers-Cov) et la prévision de salles d’isolement car il peut engendrer des pneumopathies sévères. De même pour les porteurs de VIH et hépatites virales. Le réseau « sentinelles » avec Fanette Blaizeau, dés 2013 recommande la vaccination des migrants de plus de 16 ans par DT Polio, ROR et Méningo C.

    On impose au cœur de nos villages, comme à Arzon (56) ou à Sainte Marie (66) des populations de clandestins, réservoirs infectieux contaminants et rien n’est prévu pour la prophylaxie. Ces « sacs à maladie » sont de plus en plus difficiles à soigner car tout dépistage ou traitement leur paraît discriminant. En l’état actuel de l’autorité de l’État, il semble improbable d’imaginer une quelconque contrainte.

    Or la situation est criminelle car il faut savoir que le crachat d’un homme atteint de tuberculose contient des bacilles pouvant survivre plusieurs mois dans la terre. De plus les animaux, porteurs de souches proches, peuvent les transmettre aux aliments… sans évoquer certaines pratiques avec les animaux… Le 19/03/16, l’ O.M.S signalait le risque très élevé de la tuberculose multi résistante chez les migrants. Il faut savoir que la résistance aux anti-microbiens rend mortelles des maladies devenues incurables telles que pneumonies, V.I.H, tuberculose et paludisme etc, mortelles aussi pour les populations d’accueil.

    Pour rappel, les eaux, la terre, les aliments, peuvent être contaminés même en évitant le contact direct. Alors, est-il prévu de décontaminer les locaux, les moyens de transport de ces gens, interdire les baignades en rivière ou en piscine ? C’est une bien cruelle responsabilité qui échoit aux maires des communes d’accueil alors qu’ils n’y ont pas été préparés et ils auront pourtant à rendre des comptes. Ont ils demandé une décharge aux préfets ? Sont ils bien conscients de leurs responsabilités ?

    Eric Obso

    Texte repris de la Fondation Polémia

    http://fr.novopress.info/

  • Autriche – Entretien exclusif avec Norbert Hofer, candidat à la présidence autrichienne : «Je veux une Europe forte et unie, composée d’Etats-nations forts et sûrs d’eux-mêmes»

    Norbert Hofer[1], candidat du FPÖ (Parti de la liberté, parti national-libéral), se présente à la présidence autrichienne le 4 décembre prochain. Son adversaire, l’apparatchik Alexandre van der Bellen – qui a grimpé les échelons au sein du Parti communiste (KPÖ), du Parti socialiste (SPÖ)[2] et des Verts (Die Grünen) dont il a été le porte-parole pendant onze ans – s’affiche comme indépendant! Cet atlantiste, centralisateur et immigrationniste est soutenu par l’extrême gauche, notamment par le KPÖ[3]. Le palmarès de ce renégat ferait se retourner ses ancêtres dans leur tombe: le NéerlandaisJohann Abraham arriva dans l’Empire russe en 1763[4] et son fils Alexandre fut anobli par Nicolas Ier.[5]

    Quant à Norbert Hofer et au FPÖ, ils sont souvent faussement représentés par les médias européens comme étant d’extrême droite, alors qu’ils ne font que défendre des positions conservatrices, identitaires et libérales au plan économique. Le message phare adressé au peuple autrichien par Norbert Hofer, «Je vous rendrai votre Autriche!»[6], le crédite aujourd’hui de 60% des intentions de vote[7]. Entretien avec Norbert Hofer réalisé par Jeanne de Baylan pour Médias Presse Info.

    POLITIQUE INTERIEURE

    ► Vos adversaires prétendent incarner la démocratie, mais ils n’ont pas hésité à truquer l’élection pour la présidence autrichienne. Qui sont les vrais démocrates en Autriche? Et avez-vous des garanties que, cette fois, le scrutin se déroulera sans trucage?

    L’Autriche est une démocratie développée et l’annulation du second tour des élections présidentielles de mai a démontré que l’Etat de droit autrichien fonctionne. Les irrégularités étaient tellement graves que la Cour constitutionnelle ne pouvait exclure des manipulations. Il faut souligner que les débats furent accessibles au public afin que les citoyens intéressés aient la possibilité de comprendre la prise de décision de la Cour.

    Cette décision est unique en Autriche. Elle montre d’abord que la démocratie et le droit fonctionnent, et elle a par ailleurs abouti à un réveil des administrations et fonctionnaires concernés. Par conséquent, je pars du principe que le troisième tour de scrutin du 4 décembre se déroulera sans incidents, de façon acceptable et honnête.

    ► Comment expliquez-vous votre popularité en Autriche aujourd’hui? Quelle est la recette de ce succès?

    Au début, ma cote de popularité n’atteignait pas les 10%, et beaucoup pensaient que je n’avais pas de réelles chances. Depuis que je me suis lancé dans la bataille électorale en janvier, elle a augmenté. Ma «recette» est que je suis toujours authentique. Je ne triche pas, et les citoyens le sentent bien et l’apprécient. Ma façon d’être modéré dans le ton mais ferme dans mes convictions a également été appréciée par des représentants appartenant à d’autres groupes politiques[8].

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