C'est TVLibertés qui nous apprend ce matin que le Brexit l'emporte :
Bravo aux britanniques : #BREXIT !pic.twitter.com/zHeC04Z5d1
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C'est TVLibertés qui nous apprend ce matin que le Brexit l'emporte :
Bravo aux britanniques : #BREXIT !pic.twitter.com/zHeC04Z5d1
Tout eurosceptique ne doit pas être tenu pour un opposant, mais pour un criminel qu’il convient de réduire.
Est-ce la panique de voir, jeudi prochain, les Britanniques choisir la liberté ?
En tout cas, l’assassinat de la députée travailliste Jo Cox par un prétendu nationaliste britannique, surtout connu pour ses antécédents psychiatriques, a manifestement libéré la parole europhile. Et c’est un discours totalement décomplexé que les nouveaux chiens de garde de l’oligarchie européiste tiennent désormais, à quelques heures du référendum par lequel les sujets de Sa Gracieuse Majesté doivent décider s’ils restent ou non au sein de l’Union européenne.
Après Maïtena Biraben interrogeant le plus sérieusement du monde, sur Canal+ vendredi dernier, Florian Philippot, qui croit tout d’abord à une plaisanterie, sur la responsabilité du FN dans le meurtre de la députée Jo Cox, c’est l’eurobéat bien connu Jean Quatremer qui, sur son blog Coulisses de Bruxelles, abrité par Libération, demande tout aussi sérieusement, ce lundi 19 juin, à propos du même fait divers : « Qui sème la haine ? » Et d’assener, avec l’autorité d’une directive de la Commission européenne : « Il faut le dire clairement : ceux qui font campagne en prônant le nationalisme, en stigmatisant l’immigré, en accusant les “élites” d’être inféodées à une Union européenne qui ne serait autre qu’un “IVe Reich” ou une nouvelle “UESSR”, ceux-là poussent les esprits faibles à la violence. » Ajoutant : « On n’a encore jamais vu un pro-européen, un démocrate-chrétien ou un social-démocrate commettre un attentat ou tuer son voisin. » Et d’en conclure que ceux que nos pro-européens orwelliens appellent de manière nuancée « europhobes », pour mieux criminaliser l’euroscepticisme au même titre que toutes les phobies judiciarisées, sont des pousse-au-crime par le simple fait d’être patriotes, de refuser les diktat bruxellois et d’émettre des doutes sur la légitimité démocratique tant des élites que des institutions européennes. [...]
François Marcilhac - La suite sur Boulevard Voltaire
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Tout-opposant-a-l-Europe-est-en
Dans ce numéro, Hervé Van Laethem vous parle de la conférence donnée à Bruxelles sur l’Aube Dorée ainsi que la situation explosive sur notre territoire avec des réseaux djihadistes toujours bien présents.
https://www.nation.be/2016/06/20/flash-actu-du-19-juin-2016/
Nicolas Bay, secrétaire général du FN, à propos du Brexit sur France Info :
"Une sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne serait l'occasion d'émettre un signal très fort en direction de tous les peuples d'Europe qui aspirent à une Europe construite totalement différemment. Il ne s'agit pas d'être antieuropéen, il s'agit de constater tous les échecs.
Cela n'empêcherait pas de maintenir le partenariat. La réalité c'est que la France a rayonné à travers le monde bien avant l'Union européenne qui entrave nos libertés. On ne peut pas ne pas faire le constat de cet échec total de l'Union européenne.
Schengen, on nous l'avait vendu comme un espace de libre circulation à l'intérieur des Etats membres, avec une maîtrise des frontières extérieures.Il n'y a aucune maîtrise des frontières extérieures. Les frontières sud de l'Europe sont de véritable passoires. Ce qui est extraordinaire avec Schengen c'est qu'on les [les migrants] laisse entrer librement en France, mais ensuite on les empêche de sortir parce que les Britanniques ont été plus prudents et ne sont pas dans Schengen"
Il est inquiétant de constater qu’un hooligan expulsé pour des faits de violence ait pu revenir sans problème sur le territoire national.
Il ne faut pas critiquer pour critiquer. L’Euro 2016 est, par bien des aspects, une belle fête populaire et sportive. Les stades sont magnifiques, remplis des chants des supporters les plus sympathiques, à l’instar des Irlandais ou des Gallois. En revanche, l’événement a été gâché par des violences quasi quotidiennes entre groupes de hooligans, principalement des Anglais et des Russes, renforcés ponctuellement par des casseurs locaux. Les autorités françaises n’ont pas été en mesure d’assurer correctement la sécurité de la compétition.
Notre gouvernement semble ne plus vivre avec nous, totalement déconnecté de la réalité. Ainsi, les ministres des Sports et de l’Intérieur ont présenté, après dix jours de compétition, le bilan de sécurité de l’Euro 2016 comme étant « globalement positif », malgré des violences qui ont conduit à (excusez du peu) 557 interpellations. Mais de qui se moquent-ils ? Patrick Kanner et Bernard Cazeneuve sont-ils aveugles ? Ont-ils comparé l’Euro 2016 avec les compétitions précédentes qui se sont tenues en Europe au cours des quinze dernières années, exemptes de violences comparables à celles qu’ont pu connaître les villes de Marseille, Nice, Lille ou Lyon ?
L'Europe, faut-il y croire? La question taraude les Européens qui, de plus en plus nombreux, s'interrogent sur l'avenir d'une Union faite de bric et de broc. Et ce ne sont pas les eurosceptiques qui les démentiront, dont le Royaume-Uni en donne un avant-goût. Le «Brexit» - British exit, ou sortie de la Grande-Bretagne de l'UE - excite et désole des Européens qui ne savent où se situer dans un ensemble [l'Union européenne] qui n'arrive ni à convaincre ni à prendre les contours d'un gouvernement européen avéré. Les Européens ne s'y retrouvent simplement pas dans un pouvoir bruxellois en décalage par rapport aux réalités européennes. S'il existe une «Union européenne», il n'existe pas en revanche des «citoyens européens». Les Français, Belges, Allemands, Italiens, Anglais et les 23 autres nationalités ne se sentent seulement pas européens. De fait, les Européens, si autant ils existent, vivent une crise existentielle et sont de plus en plus nombreux à refuser l'autocratie d'un pouvoir non élu. C'est sans doute là le noeud gordien du problème européen au moment où les notions de liberté et de démocratie se sont potentiellement élargies. On ne s'intéresse pas suffisamment à cet aspect de la question alors que les citoyens européens ne se reconnaissent pas dans des dirigeants «cooptés», sans lien avec les populations. En fait, dès le départ, le projet européen était une utopie, issu d'un rêve sans consistance dès lors qu'il ne s'inscrivait pas dans la perspective d'une «nationalité-identité» européenne. La crise des réfugiés a d'ailleurs été un révélateur de la faiblesse de la notion identitaire européenne lorsque chaque pays a retrouvé ses réflexes nationalistes, s'enfermant sur son quant-à-soi, nourrissant une xénophobie poussée par un populisme exacerbé. De fait, eurosceptisme et populisme s'alimentent l'un l'autre. La bureaucratie bruxelloise a fait le reste, mettant à mal les souverainetés nationales, quand l'élite bruxelloise prend l'ascendant sur les Etats nationaux. En fait, les Européens sentent confusément comme un défaut, un manque dans une UE sans âme sous l'emprise des multinationales. La dérive s'est accentuée ces dernières années, l'UE s'éloignant des peuples tout en se rapprochant d'une mondialisation sous la férule des multinationales. Le corollaire étant celui de la disparition progressive des Etats nations sans que, pour autant, soit offerte une citoyenneté européenne de rechange. Dans un accès de lucidité, le président du Conseil de l'UE, Donald Tusk a jugé récemment que l'Union, «obsédée avec l'idée d'une intégration instantanée et totale», n'avait «pas remarqué que les gens ordinaires, les citoyens européens, ne partagent pas notre euro-enthousiasme». Sans doute que le dirigeant européen n'est pas allé au fond de son analyse - ou ne voit pas le problème sous cet angle - car la première anomalie de l'UE est que ses dirigeants [commissaires «ministres»] ne sont pas élus par les citoyens européens, alors que la Commission européenne [le pouvoir européen installé à Bruxelles] prend de plus en plus de l'ascendant sur les Etats, imposant des lois qui prennent le pas sur les lois nationales. En fait, depuis une trentaine d'années, les Etats européens ont transféré des parts de plus en plus importantes de leurs pouvoirs à l'Union européenne dont, rappelle-t-on, les institutions ne sont pas démocratiques, ne serait-ce que du fait que la Commission européenne ne rend pas compte aux Européens, ni n'est «limogée». Si le Parlement européen est élu au suffrage universel, certes, ses pouvoirs de décision sont limités et n'a que peu d'influence sur la gestion des affaires européennes par l'UE. Il suffit de noter que le «gouvernement» européen [la Commission européenne] n'est pas issu d'une élection normale par les citoyens européens. Ce n'est pas cela la démocratie dont se réclame l'UE. En effet, quelle différence peut-il y avoir entre la Commission européenne (non élue et cooptée) et le Soviet suprême en ex-Urss tout aussi coopté? Aucune! Les deux pouvoirs sont (ou ont été) désignés dans l'opacité totale. Et vive la démocratie! Et ce sont ces gens qui parlent des libertés au nom de l'Europe et des Européens, qui décident pour le devenir du monde et, partant, pour d'autres peuples. Aussi, l'Europe des 28 fait-elle face à un déficit flagrant de démocratie, surtout pour des pays férus de «libertés» et de «démocratie». Ce que sans doute les pro-Brixit, plus tournés naturellement vers les Etats-Unis, ont compris sans le dire explicitement.
http://populismes.blogspot.fr/2016/06/leurope-en-crise-existentielle.html
UE : SORTIR OU MOURIR ! À quelques jours du vote historique des Britanniques, les militants de l’AF Lyon rappelaient aujourd’hui même aux Lyonnais que la souveraineté nationale est pleine et entière ou n’est pas du tout. Vive la France, Vive le Roi !
Confrontée à des vagues migratoires exogènes sans équivalent dans son histoire, l’Europe voit se développer un nouveau courant politique: les Identitaires.
L’idée est simple : l’Europe est le continent des peuples de race blanche… et doit rester ainsi. Qu’importe le modèle politique adopté. En face d’eux, des Mondialistes changent la population d’origine de l’Europe en en détruisant les fondements historiques, en imposant le métissage et en organisant d’incessantes installations d’allogènes. Le constat est indiscutable et compris par de plus en plus d’aborigènes.
Aussi, désormais le clivage fondamental en politique oppose des Identitaires en devenir à des Mondialistes en position de force. La montée aux extrêmes ne fait que commencer. Un groupe éliminera l’autre. C’est évident. Le consensus est impossible. Mais qui l’emportera ?
Pour les Identitaires, la création d’une Forteresse Europe est le préalable incontournable à toute autre démarche. Effectivement, en situation d’urgence, se replier sur des bases consolidées permet de prendre un peu de recul. Mais pas de gagner une guerre. Les exemples abondent où le repli dans une barricade marque le début de la fin.
Comme Français, nous savons que d’Alésia à la Ligne Maginot, on ne gagne pas une guerre en s’enfermant dans le béton. On pourrait évoquer aussi Constantinople tombée en 1453 sous les assauts turcs ; la Muraille de Chine finalement submergée par les Mongols, etc. Le repli sur soi marque le début de la fin. C’est historiquement indiscutable. En tant que fin en soi, la forteresse préfigure la défaite finale.
En revanche, quand elle est intégrée à un schéma tactique, opératif ou stratégique, elle a son utilité. On citera comme illustration à ce propos la ville de Stalingrad en 1942 permettant aux Russes d’inverser le cours de la guerre contre l’Axe. Dans des dimensions plus modestes, le réduit de Bir-Hakeim permit aux Britanniques de remporter la bataille d’El Alamein en 1942. Ou encore Fort Alamo (1836) bloquant Santa Anna et ses troupes innombrables pendant que Sam Houston organisait la conquête du nord du Mexique. Ces points de fixation permirent de vaincre l’ennemi.
Il s’agit donc désormais d’envisager le moyen de reprendre l’initiative dans la guerre actuelle. Dans cet esprit, la forteresse fixe et épuise l’ennemi tout en permettant d’avoir le temps d’organiser la contre-offensive. La forteresse est donc un outil au service d’une ambition plus large; pas une fin en soi. Or, aujourd’hui, la guerre se mène essentiellement sur le front des idées.
Nous vivons la réalisation d’un monde imaginé récemmment. Il triomphe au prix de nos identités pluri-millénaires. Un autre monde est à envisager pour garantir la survie des lignées ayant fait l’Histoire, en général, et notre histoire, en particulier. Encore faut-il s’armer de visions nouvelles pour aller au front. L’essentiel de ce travail est encore à accomplir. Nous en sommes tous comptables. Il appartient donc à chacun de nous de forger ces armes pour remporter définitivement la bataille des idées. Mais, de grâce, ne restons pas figés dans des forteresses n’offrant que des protections illusoires.
Cette bataille des idées ne fait que commencer. Une fois gagnée, la victoire politique coulera de source. Dans une prochaine contribution, nous exposerons dans quel cadre pourrait se développer une vision respectueuse de nos lignées et de notre histoire.
Frédéric Villaret, 17/06/2016