Europe et Union européenne - Page 686
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ZOOM - Xavier Moreau : "la Russie n'est pas une menace pour l'Europe !"
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Spéculations à venir sur le blé
Dans les premières minutes du film Le Sucre, le banquier véreux Grézillo organise la rumeur médiatique d’une pénurie de sucre pour faire flamber les cours. Même trame dans le film américain Un Fauteuil pour deux où deux jeunes courtiers s’unissent pour spéculer sur le jus d’orange congelé afin de ruiner deux escrocs en faisant croire à une pénurie prochaine suite à un hiver rude en Californie.
Il se passe actuellement des choses curieuses au sujet du blé qui n’est pas sans rappeler ces deux films. Après une production record l’an dernier, la France connaît un effondrement de sa production de blé pour cette année, due à un climat catastrophique entrainant une baisse de rendement (la France a un rendement à l’hectare triple de celui de la Russie et 2,5 fois celui des Etats-Unis). Le fait est acté et incontesté, l’ampleur du désastre variant selon les sources entre 29 et 40 % de récolte en moins, dans un contexte où les cours étaient au plus bas suite aux récoltes records de 2014. Ce qui est plus curieux, c’est la contradiction quand aux données mondiales.
Dans un premier temps, il fut annoncé une pénurie de blé et de maïs, avec une disparition des excédents mondiaux suite à de mauvaises récoltes estimées en Inde, en Chine et en Argentine. Pourtant, quelque mois plus tard, il était question d’une production record de blé, notamment avec des récoltes exceptionnelles en Russie et au Kazakhstan, les Etats-Unis perdant leur 3e place mondiale au profit de la Russie. On allait même jusqu’à annoncer que la Russie redevenait exportatrice de blé pour la première fois depuis 1914. Alors, pénurie ou abondance ? Si on croise ce débat avec celui sur les blés durs, dont on annonce des carences périodiques alors que, comme par hasard, il est présenté comme le seul blé jugé indispensable, on est en droit de se demander si certains individus ne s’amusent pas à jouer pour de vrai à Richesses du Monde. Le Canada exporte 60 % de la production mondiale de blé dur, les autres gros vendeurs étant généralement… la Turquie (tiens, tiens…) et la Syrie (re tiens tiens), 18 % à elles deux…
On parle du blé, mais on peut également aborder le sujet du cacao. On nous parle de pénurie (traduction : payez votre chocolat plus cher) en raison des difficultés du premier producteur mondial, la Côte d’Ivoire. Néanmoins, il y a une discrétion de violette sur l’évolution de la production de la Guinée Equatoriale, 3e producteur mondial à l’époque où elle s’appelait encore Guinée espagnole, ruinée par le régime marxiste de N’Guema Macias et qui compte bien reprendre son rang. Même chose pour le café, où les mauvaises récoltes en Colombie finiront bien par inverser la tendance, et si l’Ethiopie a retrouvé son rang d’avant l’ère communiste (5e mondial), l’Angola finira bien par retrouver le sien. Il y a néanmoins une chose curieuse : le café, le blé, le cacao montent, montent l’expresso, le croissant et le chocolat. Descendent le café, le blé et le cacao… ne rêvez pas, pas de descente de l’expresso, du croissant et du chocolat.
Pour conclure, un aparté à Alain Soral dont l’équipe d’E&R cite souvent MPI. Le Sénégal, qu’il évoquait dans une de ses vidéos sur BHL, n’a aucune ressource naturelle digne d’intérêt, à part l’arachide. Comme le contrôle du marché de la cacahuète ne déchaîne pas les passions, il y a une autre explication de présences étrangères intempestives, prophétisée dès 1992 par un de mes condisciples originaire de ce pays et qui s’était vu répondre par un éminent professeur que « les puissances mondiales se contrefichent de votre insignifiant petit pays ! ». Ce n’est plus l’avis des Chinois… Le Sénégal, c’est Dakar. Dakar, c’est « juste » une plateforme d’accès au fer mauritanien, à l’or malien et burkinabé et dont les projets ferroviaires en cours le relierait au pétrole et au gaz algérien, au cacao ivoirien et ghanéen, au bauxite guinéen, aux diamants sierra-léonais et toutes les richesses de l’ancienne AOF et du Maghreb… Bref, un hub en jargon technocrate (en bon français : une plate-forme aérienne et portuaire).
Hristo XIEP
http://www.medias-presse.info/speculations-a-venir-sur-le-ble/60355
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Il était une fois… nos ancêtres indo-européens.
Il était une fois… nos ancêtres indo-européens un nouveau livre de Jean Haudry,
Nous vivons des temps où tout est fait pour couper les Européens de leurs racines.
Et la cible prioritaire des zélotes du déracinement est, bien sûr la jeunesse.
C’est pourquoi ce livre a pour but de rappeler aux jeunes garçons et filles (mais pas seulement) de chez nous quel univers spirituel ils portent en eux, tel qu’il leur a été légué par leurs ancêtres.
Qui étaient nos ancêtres ?
Ils trouverons la réponse grâce au texte de Jean Haudry et aux illustrations d’Eric Heidenkopf, qui ont su, en se basant sur l’Histoire et la Tradition, dresser un portrait riche en couleurs de ceux qui nous ont transmis un héritage génétique et culturel à nul autre pareil.
Le livre est vendu 14 € + frais de port
+ Frais de ports France seulement pour un exemplaire : 2.75 €
+ Frais de ports Europe (CE) pour un exemplaire : 4,50 €
+ Frais de ports hors CE pour un exemplaire : 6,50 €
Chèque à l’ordre des Éditions de la Foret.
Commande à adresser à : LES ÉDITIONS DE LA FORÊT Le Mas Fougères 04300 Forcalquier
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Calais: le seuil des 10.000 migrants franchi
Alors que les rixes se succèdent, la situation dans les camps de la région devient intenable, selon la police.L'ambiance était tendue à Calais, elle devient explosive. Selon une note remise jeudi dernier au syndicat de police Alliance (majoritaire chez les gardés et gardiens), le nombre de migrants au camp de la Lande, baptisée la «jungle», «devrait atteindre les 10000 d'ici à début septembre». Les chiffres des associations humanitaires, qui évoquaient 9000 personnes (4500 en juin), sont maintenant dépassés par les propres estimations des forces de l'ordre.Et encore ne s'agit-il que des migrants de Calais, car si l'on compte le camp de Grande-Synthe, près de Dunkerque, et les multiples implantations sauvages dans plusieurs agglomérations côtières, ce sont au moins 12000 déracinés qui se concentrent dans la région, dans l'espoir de rejoindre la Grande-Bretagne.Pour le secrétaire général d'Alliance, Jean-Claude Delage, «il y aura bientôt tellement de gens dans la “jungle” que chaque jour qui passe rend plus périlleuse une évacuation en masse.» D'autant qu'il faudra reloger la plupart de ces personnes. Le gouvernement a annoncé cet été vouloir faire passer le nombre de places dans des «centres d'orientation» ailleurs en province de 2000 à 5000. Mais les 3000 places supplémentaires promises n'existent, pour l'heure, que sur le papier.Expulser les indésirables? Ceux qui ne répondent pas aux critères de l'asile, les migrants économiques donc, sont une majorité dans les camps concernés. Ils ont, en principe, vocation à partir. Mais voilà: dans le Pas-de-Calais, alors que les arrivées n'ont jamais été aussi importantes, les éloignements exécutés par les services de la Police aux frontières (PAF) ont diminué. Entre le 1er janvier et le début du mois d'août, à peine plus de 1100 illégaux ont été expulsés, soit une baisse de 4% par rapport à la même période de l'année précédente. Dans le même temps, dans le Nord, pour un total de 450 expulsions environ, il n'y a que sept éloignements de plus… en sept mois.Xavier Bertrand, le président les Républicains du conseil régional des Hauts-de-France, le regrette: «Le gouvernement n'a que trop tardé.» Lui assure ne «plus rien attendre» du trio exécutif Hollande-Valls-Cazeneuve. Car au-delà même de l'évacuation éventuelle du camp de la Lande et de ses ersatz, il convient, selon lui, de renégocier les accords du Touquet qui obligent la France à jouer les gardes-frontières pour le compte des Britanniques, moyennant quelques compensations financières. «Un marché de dupes !», proteste-t-il.Selon la note du syndicat de police Alliance, dans l'urgence, pour faire face aux assauts répétés des migrants qui tentent de monter dans les camions sur les axes routiers comme l'A16, la Place Beauvau a fait passer à Calais le nombre de compagnies de CRS de 8,5 à 10,5, soit environ 150 hommes de plus. «La Sécurité publique est très souvent employée sur la problématique migrant et non pas sur son cœur de métier et cela se ressent sur le quotidien», estiment les auteurs de la synthèse d'Alliance qui affirment que «les chiffres de la délinquance sur Calais explosent.»«Une zone de non-droit»À les lire, «le camp n'est absolument pas contrôlé». Il «est devenu une zone de non-droit, aucun collègue ne peut y pénétrer la nuit. Seule une entrée est contrôlée par lecteur optique et identification, là où des mobil-homes sont implantés.» Une sécurité minimale pour «1500 migrants seulement», constatent-ils. L'idée d'un «couvre-feu» réclamé par Xavier Bertrand semble leur convenir. «Pourquoi pas?», écrivent-ils. Et d'ajouter: «Il est de notoriété publique que les migrants sont instrumentalisés par des activistes, tels les Black Blocs ou les No Borders, connus et identifiés par les collègues». La plupart, selon eux, sont «membres d'associations d'origine anglaise».Depuis fin juillet, deux migrants sont morts lors de rixes. Les délégués d'Alliance le redoutent: «Il va y avoir d'autres morts.» Ainsi, «dans la nuit du 22 au 23 août, une rixe a éclaté entre 400 Afghans et 400 Soudanais, faisant un mort et six blessés graves.» Conclusion: «Le ras-le-bol des Calaisiens et des commerçants est palpable. L'économie, le tourisme s'en ressentent, les policiers ont l'impression de ne servir à rien.»Cette inquiétude est partagée par tous les syndicats de policiers. L'Unsa-police, bien implantée chez les CRS, confirme qu'«en quelques semaines, le nombre de repas servis au camp de la Lande a augmenté de 30%». Or tous les migrants ne se signalent pas aux autorités.Denis Hurt, le délégué zonal de cette organisation syndicale, révèle qu'«une vingtaine de migrants parvient à passer chaque jour en Angleterre». Et pourtant, selon lui, «ce n'est visiblement pas l'eldorado tant espéré, puisque certains reviennent.»À Calais, la police se prend à rêver qu'une solution se dessine avant l'automne. Car c'est la nuit que les migrants les plus décidés passent à l'action. «Quelques usagers de la route ont déjà été pris à partie», confie Denis Hurt. Or, dans quelques semaines, la nuit sur le Calaisis tombera beaucoup plus tôt, aux heures de sortie de travail. Des confrontations plus fréquentes sont à craindre. -
L’intervention turque en Syrie annoncerait-elle un nouveau bouleversement dans les alliances ? Analyse
Les excuses d’Erdogan à la Russie suite à l’affaire de l’avion russe abattu ont entrainé un nouveau rapprochement des deux pays qui a des incidences très importantes en Syrie et une fois de plus Poutine apparaît comme le maître du jeu moyen-oriental tandis que Washington est embourbé dans ses contradictions.Lorsque l’armée turque a franchi la frontière syrienne peu après la réconciliation Poutine/Erdogan qui a eu lieu à Saint-Pétersbourg le 9 août, on pouvait se demander ce que cette armée allait faire en Syrie et quels seraient ses objectifs puisque Erdogan soutenait il y a peu encore l’État islamique ainsi que tous les groupes islamistes, notamment ceux qui sont officiellement alliés de la coalition américaine. Il est vrai que l’armée turque a pénétré en territoire syrien suite, également, à des attentats très meurtriers sur le sol de la Turquie, revendiqués par le PKK, branche politique de l’armée kurde en Syrie.Il semble bien, même si cela n’a été reconnu par aucune des deux parties, qu’une entente soit intervenue entre Poutine et Erdogan sur la Syrie à Saint-Petersbourg, il suffit de prendre connaissance de la déclaration courroucée de Washington aujourd’hui pour s’en convaincre :Les affrontements entre la Turquie et les forces arabo-kurdes soutenues par les États-Unis en Syrie sont « inacceptables », a annoncé le Pentagone américain, appelant toutes les parties à « cesser » les combats.« Nous suivons de près les informations faisant état de combats (…) entre les forces armées turques, des groupes de l’opposition (pro-Ankara, ndlr) et des unités affiliées aux Forces syriennes démocratiques (FDS) », « Nous voulons préciser que ces combats sont inacceptables et suscitent notre profonde inquiétude », a annoncé le quartier général du département américain de la Défense dans un communiqué obtenu par l’AFP lundi, il se référait aux FDS, une alliance antidjihadiste soutenue par les Américains et dominée par les Kurdes mais qui comprend également des combattants arabes. Rapporte la Radio-Télévision Suisse.
Brett McGurk a ajouté: « Les FDS ont montré qu’elles étaient une force fiable et compétente. Notre soutien aux FDS dans leur lutte contre le groupe EI est toujours d’actualité, et nous allons continuer à les appuyer. Ils se sont battus et se sont sacrifiés pour essayer de débarrasser la Syrie de ce groupe haineux », a encore souligné le Pentagone.« Les États-Unis ne sont pas impliqués dans ces activités (…) nous ne les soutenons pas », a-t-il affirmé, avant d’appeler les différentes parties « à prendre des mesures appropriées pour cesser les combats. »
Opération Bouclier de l’Euphrate
En effet les lignes de combats ont explosé la semaine dernière avec l’entrée de l’armée turque sur le territoire syrien du nord où se battent les Kurdes et l’Armée de Libération Démocratique, cette dernière étant une nouvelle émanation des USA et s’ajoute aux autres groupes islamistes prétendument modérés soutenus par les États-Unis. L’armée turque dispose actuellement d’une cinquantaine de chars et de centaines de soldats sur le sol syrien. Or les troupes turques se battent contre les alliés Kurdes et arabes des Américains et déclare avoir pénétré sur le sol syrien pour combattre à la fois l’ État islamique (EI) et les forces autonomistes kurdes. Mais comme rien n’est simple dans cette histoire les troupes de l’ Armée Syrienne Libre (ASL) ont fait alliance contre les Kurdes et l’Etat islamique dans le cadre de l’opération Bouclier de l’Euphrate des Forces armées turques. La formation Armée Syrienne Libre a été le premier allié des Occidentaux contre Bachar el-Assad. Mais la Turquie n’a pas dans son viseur, du moins actuellement, les troupes syriennes loyalistes, car s’en prendre aux troupes gouvernementales syriennes serait s’en prendre à la Russie et cela entrainerait immédiatement, pour le moins, les effets désastreux que l’avion russe abattu avait eu et qu’Erdogan a eu tant de mal à se faire pardonner. -
Le choix de l’ennemi ne doit pas forcément être le nôtre
Bernard Plouvier
Dans une Guerre, il est fort dangereux de ne pas fixer son but essentiel. De 1914 à 1918, les Européens ont avancé à l’aveuglette, changeant constamment de « buts de guerre », et ce des deux côtés. Au combat, il est nécessaire de ne pas se tromper de cible.
Depuis la fin des années 1980 (où ils n’avaient que l’expression « putain de ta race » à la bouche), nos envahisseurs ont déclenché une guérilla, en France et dans de nombreux pays européens où l’opinion publique était aveulie par la propagande tiers-mondiste au point d’importer en masse ces « travailleurs » exotiques qui devaient « payer les retraites des Européens » vieillissants, alors qu’il aurait été plus intelligent d’assurer le renouvellement autochtone de la population du continent.
Le combat de l’immigration-invasion était alors mené pour assurer le triomphe de la race africaine, dans toutes ses variantes. Et l’on pariait sur la différence des courbes de natalité entre Européennes de souche et Africaines, noires et maghrébines, pour obtenir la domination politique et sociale au bout de deux générations.
Or, Noirs et Maghrébins ne s’entendaient guère et, assez vite, la fraction la plus évoluée des immigrées a modifié son comportement matrimonial. Avec ou sans l’accord du seigneur et maître, nombre d’Africaines ont adopté la contraception hormonale (qui n’est pas sans risques, lorsqu’il existe une obésité ou un tabagisme).
En outre, les sauvageons de l’immigration étaient pressés : ils ne voulaient pas attendre la substitution de population majoritaire pour s’assurer la domination dans les grandes cités où leur médiocrité les faisait végéter. Il existait toutefois une faille dans cette pratique : les actes criminels n’étaient pas réellement punis (du moins en France), mais la violence stupide écartait une majorité d’immigrés de la guérilla. Il fallait trouver autre chose - un mythe fondateur - pour justifier le passage à la guerre ouverte.
Les théoriciens tentèrent de changer de registre, pour souder ces innombrables Noirs, Maghrébins et Proche-Orientaux que l’État français, par bêtise, veulerie ou corruption de ses « chefs », accueillait en énorme quantité (idem en Belgique, Pays-Bas, Allemagne, Grande-Bretagne etc.). Depuis les années 2010, grâce en partie aux stupidités made in USA et à la rouerie du crypto-islamiste Barack-Hussein Obama, c’est désormais pour le triomphe de l’islam que s’agitent les immigrés.
C’est une motivation parfaitement adaptée au fanatisme de sujets primaires. Elle peut, en outre, être présentée comme un noble objectif aux sujets moralement exigeants. Elle sert surtout de reconversion aux voyous de banlieue sans perspective d’avenir et d’agent fédérateur de communautés qui, jusqu’alors, se haïssaient autant que les peuples européens se sont haïs jusqu’au début des années 1950.
Il serait stupide de ne pas comprendre le jeu de nos ennemis, qui sont des roublards d’exception, et de les suivre dans leur apparent délire religieux. La guerre déclenchée en Europe occidentale et scandinave est une guerre de races, une guerre traditionnelle pour la domination de terres d’expansion démographique et de conquêtes des richesses d’autrui. Les peuples danubiens, longtemps soumis à l’immonde tyrannie turque, l’ont parfaitement compris, contrairement aux Occidentaux et aux Scandinaves moralement avachis.
Les Européens doivent défendre leur continent, leur civilisation, leur race face aux envahisseurs. C’est une évidence. Mais la notion de foi ne doit intervenir que de façon individuelle ; non comme motivation, mais comme aide spirituelle pour celles et ceux qui ne peuvent se passer de téléfinalité et d’assurance-vie éternelle.
Il ne doit en aucun cas s’agir d’une croisade des chrétiens contre les mahométans… pour un athée, il n’existe pas plus d’allah que toute autre essence supérieure : appelons les fous furieux d’entre nos ennemis de façon juste, soit des fanatiques, intoxiqués par les textes du sieur Mahomet.
Il ne peut s’agir d’un retour à une religiosité de type médiéval, où tous les États d’Europe étaient officiellement « chrétiens », ce qui permettait aux souverains de se réclamer d’un droit divin. L’histoire réelle de cet « Âge des Ténèbres » (l’expression « Dark ages » est classique dans la littérature britannique) prouve que les maîtres des sociétés utilisaient la religion pour asservir ou justifier des mesures fort peu « chrétiennes ». Seuls des saints se mettaient au service de la foi – et de façon rarement raisonnable. Or, le saint, à toute époque et en tout continent, a toujours été l’exception.
Combattons pour notre civilisation européenne et notre race. C’est un assez bel objectif en soi.
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Bernard Antony : "C'est l’islamisation totalitaire de nos sociétés qui est le danger"
Extrait de la réaction de Bernard Antony à propos du burkini :
"(...) L’affaire du burkini islamique, ignominieusement donc réservé aux seules femmes, aura en fait déplacé la question fondamentale qui est celle de l’expansion de l’islam en France et dans toute l’Europe occidentale et hélas encore dans bien d’autres pays. Avec Mohamed-Christophe et autres convertis au Christ venus de l’islam, nous n’avons cessé de le rappeler, c’est l’islamisation totalitaire de nos sociétés qui est le danger.
Elle ne cesse de progresser avec la mortelle dialectique de « l’islam mains rouges » et de « l’islam patte blanche », ce dernier se présentant comme la pacifique alternative à l’abomination de l’islam jihâdiste. Et elle avance avec le piège pour les gogos ignorants du « pas d’amalgame » massivement matraqué par les médias, les politiciens et tant de religieux, diversement à la fois trompeurs et trompés, tous aux cerveaux plus ou moins lessivés par la constante instillation de l’idéologie de l’antiracisme.
Le burkini est au moins un révélateur. Les analphabètes politico-médiatiques de la réalité de l’islam, le présentent comme un signe religieux. Combien de fois faudra-t-il redire et répéter que l’islam n’est pas principalement une religion mais un totalitarisme politico-religieux culturel et moral ? Sa visibilité n’est pas pour l’heure le pire danger mais au contraire un avertisseur de sa rapide avancée qu’il faudrait coûte que coûte conjurer.
Car dès que l’islam, sans attendre d’être majoritaire, devient une forte minorité alors l’histoire enseigne que très vite, il impose sa domination, l‘avancée de la charia et la soumission à la dhimmitude pour « les gens du livre ».Or justement, tout le problème de l’islam réside dans ses livres, le Coran et les hadîths, qui ne sont ni des livres de paix ni de tolérance mais la source de l’exemplarité cruelle du prophète. Nous aurons hélas l’occasion d’en reparler."
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Le parti de Geert Wilders veut désislamiser les Pays-Bas
Geert Wilders, le président du Parti de la Liberté, n'est visiblement pas un adepte du vivre-ensemble et encore moins du politiquement correct. Il ne considère pas l'islam comme une simple religion mais comme "un totalitarisme politique" :
"Le parti néerlandais d'extrême droite PVV, en tête des sondages pour les législatives de mars 2017, veut "fermer toutes les mosquées" et "interdire le Coran", selon son programme électoral publié jeudi par son président, le député Geert Wilders.
"Toutes les mosquées et écoles musulmanes fermées, interdiction du Coran", indique, sans plus de détails, le document d'une page intitulé "Projet - Programme électoral PVV 2017-2021" publié sur le compte Twitter du député qui écrit: "les Pays-Bas à nouveau à nous".
Le parti pour la liberté (PVV) souhaite "désislamiser" le pays, annonce-t-il, notamment en fermant les frontières et centres de demandeurs d'asile ainsi qu'en interdisant l'arrivée de migrants originaires de pays musulmans, le port du foulard dans la fonction publique et le retour aux Pays-Bas de personnes parties en Syrie (...)
Les sondages prédisaient l'année dernière au PVV jusqu'à 38 sièges sur les 150 que compte la chambre basse du Parlement (...)"http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Où chercher les racines de notre civilisation ?
Bernard Plouvier
À l’occasion des curiosités islamiques qui ont, depuis l’année 2014, souillé notre pays, ensanglanté notre Nation et déshonoré l’État, la fraction la moins sotte des Français de souche européenne (estimons-la aux alentours de 25 – 30%) a débuté une réflexion sur la guerre des races et des religions qui empuantit notre vie publique.
On comprend qu’un lecteur du Monde ou de Libération, un spectateur assidu des actualités télévisées des chaînes publiques ou mondialistes - il n’existe nulle différence entre elles -, soient décérébrés, admirablement formatés au point de nier la réalité du fait : la guérilla civile qui est en train de basculer vers la guerre ouverte. Nier l’évidence des faits, c’est la définition même du délire et celui-ci est organisé par les vrais maîtres : les patrons de la production des biens de consommation et de leur distribution.
Comme ce fut toujours le cas de l’histoire humaine, seule compte l’élite de la pensée et surtout de l’action. Toutefois, il ne faut pas se tromper dans sa réflexion de fond et confondre civilisation et choix individuel qui, pour être authentique, doit être librement adopté (et sûrement pas « consenti »).
L’adhésion à une religion, ou son refus, est affaire purement personnelle et ne devrait jamais être imposée à autrui. Même le port ostentatoire de symboles religieux – et beaucoup de fidèles se croient investis de la mission divine de propager leur croyance – est une atteinte à la liberté des autres, une nuisance identique à celle des vêtures bizarres, du rap ou des musiques gitanes que les immigrés imposent aux Français de souche européenne.
En aucun cas, une religion ne peut être considérée comme la ou l’une des « racine(s) » d’un peuple. Si elle est considérée comme telle, de fait ou de droit, c’est qu’elle a été imposée comme mythe fondateur. C’est le cas pour la religion juive, particulariste à l’extrême, pratiquant l’exclusion des autres.
Ni le christianisme, ni le crétinisme marxiste, ni la religion des droits de l’homme ne font partie des racines de l’Europe et l’islam n’a pas vocation pour le devenir. Une foi n’est un fondement spirituel et moral que pour celles et ceux qui l’ont librement choisie, idéalement après mûre réflexion et pas seulement par héritage familial.
Il en va tout autrement des sources d’une civilisation. Celles-ci sont un mélange d’usages domestiques et communautaires, de culture juridique, intellectuelle et artistique, enfin d’heurs et de malheurs vécus en commun au fil des siècles. La religion n’en fait partie qu’à titre individuel pour les conduites morales, à titre collectif par ses créations architecturales et ses éventuelles œuvres d’art non grotesques.
En Athènes, au 5e siècle avant J.-C., on tolérait qu’un Démocrite fût athée. Il demeure l’immortel auteur d’une phrase parfaitement adaptée à notre monde aléatoire et à la programmation génétique des comportements animaux (remaniée, chez l’homme, par l’intervention du libre-arbitre et de la transcendance) : « Tout ce qui existe est le fruit du hasard et de la nécessité ». Un siècle et demi plus tard, le plus grand philosophe de l’Antiquité, Épicure - le vrai, pas celui des légendes colportées par ses ennemis stoïciens -, pouvait soutenir que les essences supérieures, si elles existent, ne se soucient nullement de l’humanité.
Les racines de l’Europe ne sont en aucun cas « judéo-chrétiennes », ni même chrétiennes, comme des convaincus veulent nous le faire accroire, en pitoyable réaction au fanatisme des sectaires de l’islam conquérant. Nos racines, ce sont la culture gréco-romaine, bien connue des humanistes, et la celto-germanique, dont on commence seulement à comprendre la grandeur. Ce sont aussi la féérie de la grande Renaissance, celle du Quattrocento italien et de sa poursuite en Europe occidentale au XVIe siècle, ainsi que les progrès scientifiques et techniques ininterrompus depuis l’aube du XVIIIe siècle.
En revanche, la religiosité hypocrite des Droits de l’homme est une invention britannique et nord-américaine, et, comme tout ce qui vient de ces cyniques contrées, c’est une croyance entachée d’argent et de manipulation de l’opinion publique à des fins commerciales. On peut donc la négliger.
Enfin et surtout, la principale racine d’un continent, c’est sa race. On comprend que les Chinois, les Mongols ou les Japonais puissent se glorifier de leurs ancêtres et de leurs civilisations respectives. On ne trouve que les Européens, depuis l’année 1945 – l’An Zéro de la réflexion politique, historique et sociologique sur notre continent –, pour cracher sur leur histoire et en renier des pans entiers… comme l’apport de la civilisation technique et scientifique moderne aux peuples arriérés (Afrique et Océanie) ou assoupis après un départ grandiose (Asie et Amériques du centre et du sud).
Cette repentance, absurde et grotesque, n’est rien d’autre qu’un délire de négation, à soigner par un regain d’orgueil et une cure d’action. Il est évident qu’il ne manque pas de points d’application à cette dernière mesure : nettoyer notre continent, devenu porcherie ; renvoyer illico-presto et sans exception les extra-Européens dans leur continent d’origine ; lutter contre toute forme de fanatisme religieux.
Certes, il est nécessaire de créer une communauté eurasiatique, amplement justifiée par une égalité de comportement des Européens et des Extrêmes-Orientaux face au travail, mais cette institution devra être précédée par l’établissement de l’Empire européen, de l’Atlantique à Vladivostok, exclusivement peuplé de ressortissants de la race européenne.
Chacun chez soi : l’expérience des sinistres années qui ont suivi l’An 1976 en France démontre à l’évidence l’intelligence profonde de ce dogme. Les amateurs de métissage et de melting pot ont l’immense continent des Trois Amériques pour assouvir leur passion.
La religion de l’agapè – soit l’amour supposé d’un dieu pour ses créatures et, en retour, la pratique de l’amour entre « enfants de dieu », toutes races confondues - est une utopie, que des naïfs peuvent considérer comme « admirable ». On peut, à l’inverse, estimer la charité – soit le don absolu, sans espoir de réciprocité – comme une pratique absurde, si l’on considère l’espèce humaine comme elle est, si on la juge par ce qu’elle a produit depuis des millénaires.
Au XXIe siècle du comput actuel, l’Europe est envahie de barbares avides et conquérants, de pillards et de violeurs, d’incendiaires et de vandales, d’incultes et de sous-doués. Que les chrétiens absolvent s’ils le jugent bon, à la suite d’un pape curieux et d’une chancelière allemande luthérienne, les violeurs, les assassins et les terroristes, cela ne regarde que leur conscience. En aucun cas, ce choix dogmatique ne doit influer sur la conduite des affaires politiques et militaires. « Pardonner aux terroristes, c’est le rôle de dieu. Les envoyer auprès de lui, c’est le mien » a fort bien dit Vladimir Poutine, en novembre 2015.
Une saine réflexion sur les racines d’une civilisation ne doit surtout pas se tromper de définition, pour ne pas errer dans les mesures à prendre.
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De l’importance des frontières pour l’Europe
Réponse à l’europhobe Juncker
Ex: http://thomasferrier.hautetfort.com
Aux yeux de Jean-Claude Juncker, président de la commission dite « européenne », « les frontières sont la pire invention politique. » Un tel propos traduit, outre une inconscience politique totale à un moment où les Européens s’inquiètent d’un flux migratoire aux frontières du continent, une idéologie de nature mondialiste. Dans sa vision du monde, la seule frontière c’est celle qui sépare le globe de l’espace.
Cette phobie des frontières, cette « horophobie », n’est pas l’apanage du seul Juncker. C’est la pensée de tous ceux qui prônent l’adhésion de la Turquie à l’Union Européenne, de tous ceux soutiennent une immigration aneuropéenne sans limites, une Europe passoire où tout migrant qui franchit ses « frontières » devient automatiquement citoyen. Elle accompagne naturellement le rejet du « droit du sang » donc de la notion de droit de propriété sur un territoire donné. « Le monde appartient à tous » et autres niaiseries gauchistes, qui nous démunissent face au mal, dominent leur (non-)pensée.
A contrario, les souverainistes fétichisent la notion de « frontière nationale » sans saisir le fait qu’avec la mondialisation la frontière est surtout à l’intérieur même de la nation, entre ceux qui y ont leur place légitime et ceux dont des gouvernements laxistes ont choisi d’imposer la présence aux dits légitimes.
La question de Schengen est très significative. Le choix de supprimer les frontières internes à l’Union Européenne n’est pas scandaleux. La frontière a pour but de séparer deux entités et non de diviser une seule entité. Si on estime que les Européens ont entre eux une parenté commune et un devenir commun, alors il est même normal qu’ils aient une frontière commune.
Le problème de Schengen, c’est néanmoins celui du vase à moitié rempli, comme dans tout ce que fait l’actuelle Union Européenne qui ne va jamais au bout des choses. La suppression des frontières intérieures implique le renforcement des frontières extérieures et non leur fragilisation. En laissant aux Etats le soin de protéger leurs frontières avec l’espace hors Schengen, donc en mettant en première ligne des pays comme la Grèce, l’Espagne ou l’Italie, des pays sous-dimensionnés en moyens financiers, pour certains à peine sortis de dictatures et donc plus enclin au laxisme de type gauchiste, ou chrétien, que les autres, l’Union Européenne a commis une faute majeure.
Puisque Schengen est incapable de faire respecter les frontières communes, alors que se passe-t-il ? Chacun fait comme il peut. La Grèce construit un mur à sa frontière avec la Turquie en Thrace. La Hongrie construit un mur tout autour pour empêcher les migrants d’y pénétrer. Le Royaume-Uni vote en faveur d’un brexit, même s’il n’est pourtant pas membre de l’espace Schengen, tant l’incapacité de l’UE à maîtriser les flux migratoires est patente.
Faire l’Europe, c’est en définir précisément les frontières, les pays qui ont vocation à en faire partie et sur quelle base. Le problème n’est pas de ne pas avoir de frontières intérieures, à partir du moment où les frontières extérieures sont bien gardées, ce qui n’est malheureusement pas le cas.
Créer un corps européen de garde-frontières doté des moyens d’agir ne suffirait pas. Déterminer une politique européenne à adopter face aux migrants, et ce dans le sens de la fermeté et de la reconduite systématique aux frontières, est nécessaire. Cela veut dire harmoniser les lois en Europe, couper l’appel d’air que certains pays comme la France envoient stupidement par idéologie mondialiste ou comme l’Italie avec les déclarations inopportunes du Vatican dans le sens du laxisme.
Cela veut aussi dire verrouiller les frontières de l’Union Européenne avec la Turquie et de contrôler activement la Mer Egée afin de ne plus être les otages d’Erdogan. Il est d’ailleurs plus que temps de mettre fin au processus d’adhésion de la Turquie à l’Union Européenne. Défendons nos frontières.
Mais qui dit diplomatie européenne, politique européenne de gestion des flux migratoires, corps européen de garde-frontières, et donc implicitement armée européenne et police européenne, donc en somme qui dit frontières européennes, dit « Etat européen ». On retrouve là le concept propre au Parti des Européens, à savoir que sans Etat européen unitaire, et identitaire, nous sommes démunis. A ce moment là, les souverainistes ont raison. Sans frontières européennes, les frontières nationales s’imposent automatiquement.
Donc oui aux frontières, mais à de vraies frontières européennes, solidement gardées même si ouvertes aux Serbes, Albanais, Arméniens, Ukrainiens ou Russes par exemple, qui sont des Européens, mais fermées aux autres. Refusons de supprimer les visas pour les Turcs mais réfléchissons vraiment à les supprimer pour les Russes, un souhait de Poutine qui irait dans l’intérêt de toute l’Europe, à partir du moment où la Russie respecte des normes précises, et communes, permettant d’éviter toute falsification par des migrants. Certains dénoncent une Forteresse Europe imaginaire, alors que le laxisme règne. Au contraire, bâtissons-la.
Thomas FERRIER (Le Parti des Européens)