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Europe et Union européenne - Page 687

  • LE PRIX DE LA LÂCHETÉ

    Les Allemands payent, lourdement, le prix du sang. Dont la responsable s’appelle Merkel. Merkel et sa folie idéologique, suicidaire pour le peuple allemand. Mais cette fille de pasteur, employée longtemps par la Stasi avant de s’acheter un passeport d’honorabilité en passant au service des chrétiens-démocrates, ces larbins du Vatican et de la Maison Blanche, n’a que faire du peuple allemand. Qui doit expier pour tous les péchés qu’il a commis, comme le dit l’enseignement de la Bible. Mais il faut, paraît-il, aimer ses ennemis, si l’on en croit les chrétiens. Et ceux-ci doivent ouvrir grands leurs bras à leurs frères musulmans, car l’islam est une religion d’amour, de paix et de tolérance. En a fait l’expérience le malheureux prêtre catholique égorgé le mardi 26 juillet, au cri de « Allah Akbar », alors qu’il célébrait la messe dans l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray, en Normandie. Il avait 86 ans. Bel exploit de ses courageux assassins. Le pape exprime « sa douleur ». Pauvre type. S’il était digne de sa fonction il appellerait à la croisade. Mais il préfère se joindre au chœur des lamentations, qui fait bien rire les fous d’Allah. Tandis que les « autorités musulmanes » dûment estampillées par la République française versent des larmes de crocodile. En serrant quand même un peu les fesses : des fois que les Gaulois finiraient par se réveiller et par appliquer la loi du talion… Mais il faudrait, pour cela, qu’ils s’émancipent de la chape de plomb du politiquement correct, mise en œuvre par les autorités officielles et les media aux ordres. Hollande découvre la lune et déclare, effaré, qu’on est en guerre. Bien.

    Alors il faut faire la guerre. La vraie. Celle qui frappe sans faiblesse, sans hésitation. Mais pour cela il faut avoir quelque chose dans le ventre – et plus bas. Les occidentaux payent leur lâcheté et leur bêtise. Tant pis pour eux. Mais la colère monte contre les incapables et les traîtres censés protéger la population. Aux Européens qui méritent encore ce nom de savoir ce qu’ils ont à faire. En envoyant se faire pendre les pleurnicheurs et les donneurs de leçon de morale.

    Pierre VIAL

    http://www.terreetpeuple.com/282-reflexion/actualite/1431-le-prix-de-la-lachete.html

  • Zak Novak, entre l’Amérique et la Serbie, jusqu’au Donbass

    Les « gueules » du Donbass recèlent parfois quelques histoires de vie et des sensibilités insoupçonnées. Ce fut le cas de ma rencontre avec Zak Novak, un Américain d’origine serbe qui a débarqué un jour de janvier 2015 à Donetsk. Son idée première était de combattre. Il n’en fut rien malgré son ardent désir de servir. Il en fut dissuadé pour servir dans un bataillon assez spécial, le Bataillon humanitaire d’Ekaterina Goubarev, l’épouse du célèbre résistant et insurgé de Donetsk. Mais revenons sur cette rencontre particulière et sur l’une des figures emblématiques des volontaires étrangers dans le Donbass. Histoire d’hommes.

    Né en 1963 dans le New Jersey, Zak a vécu toute sa vie à New York. Ses parents étaient serbes et ont été toute leur vie d’ardents partisans de la Monarchie yougoslave. C’est dans le mouvement Tchetnik qu’ils baignèrent, originaires d’ailleurs de Skopje, aujourd’hui capitale de la République de Macédoine. Le mouvement Tchetnik monarchiste fut lâché par les alliés durant la Seconde Guerre mondiale au profit des partisans communistes de Tito. Après des tractations durant la Conférence de Téhéran, Staline obtînt des alliés l’abandon de leur aide aux monarchistes tchetniks qui furent finalement les marrons de la farce. A la fin du conflit, les tchetniks qui ne furent pas tués, émigrèrent partout dans le monde, essentiellement dans les pays comme les USA, la Grande-Bretagne, l’Australie et la France. C’est ainsi que les parents de Zak arrivent à la fin des années 50 aux Etats-Unis. Leur évasion de Yougoslavie fut un périple dangereux, mari et femme suivant un itinéraire différent et périlleux. Mais ils purent s’enfuir et donnèrent naissance à Zak et d’autres enfants.

    Il fut élevé dans une famille simple, recevant une solide éducation, sévère et juste. Comme il le dit lui-même : « Mes parents étaient des petites gens, modestes, ils avaient envie d’apprendre l’anglais, de s’intégrer, de travailler, de devenir Américains, mon père a travaillé dans le bâtiment ». Travaillant dur, ils fondèrent finalement un magasin à New York, vivant honnêtement de leur commerce. Zak n’avait pas dans ces jeunes années spécialement d’activités politiques, seulement un intérêt pour son pays d’origine à travers les récits de ses parents et de leur idéal d’une monarchie yougoslave. Un premier choc intervient dans sa vie lorsqu’une bande de criminels attaquèrent à main armée le magasin parental, son père fut gravement blessé ayant reçu un coup de revolver. C’est une histoire qui marqua beaucoup la vie de Zak : « j’ai commencé à perdre confiance dans l’Amérique à ce moment-là, mes parents avaient tellement fait d’efforts, tellement travaillés dur, c’est difficile de voir son père aux portes de la mort, le paradis américain s’effritait déjà ».

    En 1992, la guerre qui éclate en Yougoslavie sera un appel puissant. Il s’envole pour la Serbie, puis atterrit dans une unité tchetnik combattant les forces musulmanes en Bosnie. « J’étais devenu un fanatique, ce qui était en jeu ici c’était la survie de mes frères serbes. J’ai servi trois ans dans cette guerre, jusqu’en 1995 (médaille de la bravoure, bataille du Mont Igman). J’ai vu l’horreur absolue de la guerre, j’étais avec le commandant Dragan et j’ai assisté impuissant au génocide des civils. J’ai vu les corps déchiquetés, je me souviens d’un type qui trimballait une brouette pleine de cadavres, des pendus accrochés à des arbres, tout cela c’était les milices musulmanes qui massacraient dans l’Est, mais tout le monde massacrait finalement les civils dans cette satanée guerre. Je suis rentré aux Etats-Unis, ramenant un trophée neutralisé, un AK-47, je n’imaginais pas qu’il me poserait plus tard de graves ennuis. Je suis rentré sans problème, mais l’année suivante, en 1996 la CIA est venue m’arrêter. J’étais accusé d’être un terroriste ayant pour plan d’assassiner le président des Etats-Unis, ils sont venus m’arrêter avec plus de 15 voitures et des dizaines de policiers. Cela a été un réel traumatisme pour mes vieux parents. Ils ont fait de la casse dans la perquisition, j’ai été emmené, on me demandait de livrer mes plans. Je fus interrogé au rez-de-chaussée du World Trade Center où à cette époque se trouvaient des bureaux de la CIA. J’ai subi un interrogatoire épuisant jusqu’au lendemain, toute la nuit, sans répit. Et puis ensuite je fus relâché, tout cela était du vent, mais je fus menacé et on m’intima l’ordre de me tenir tranquille et de ne jamais avoir d’activités politiques ».

    « Ma mère avait été très affectée par cette arrestation violente et j’avoue moi-même avoir vécu et subi une grave dépression et une traversée du désert à mon retour. Cela a quasiment duré dix ans et puis la guerre m’a rendu finalement pacifiste, j’étais déjà un antifasciste, alors tout doucement je suis revenu à la politique et à l’activisme vers 2007. J’ai travaillé comme moniteur d’auto-école et comme éducateur avec des enfants, j’ai adoré ce travail. Et puis j’ai participé à de nouvelles manifestations contre les guerres américaines dans le Monde. C’était impressionnant tous ces hélicoptères, des milliers de policiers bien armés. Alors j’ai recommencé à militer activement dans différents milieux de gauche, la guerre des tchetniks était déjà très loin. Mais je n’ai jamais oublié la Serbie et aussi les nombreux camarades et frères russes qui étaient venus combattre avec nous en Yougoslavie. Les événements du Maïdan m’ont beaucoup marqué, mais c’est la guerre du Donbass qui m’a convaincu de partir. Je me devais d’y aller, je ne pouvais rester impuissant. Alors j’ai répondu à l’appel, je n’ai prévenu presque personne, c’était quelques mois après la mort de ma mère, un autre choc dans ma vie. J’ai rassemblé quelque argent et je suis parti en Macédoine, puis en Serbie et de-là vers la Russie et le Donbass où je suis arrivé un jour de janvier 2015 ».

    Zak avoue n’avoir pas réfléchi longtemps pour partir, c’était une évidence. Il n’avait pourtant qu’un visa d’un mois pour la Russie et il savait qu’il serait vite bloqué dans le Donbass. Il avait eu quelques frayeurs en Serbie, lui l’ancien combattant « tchetnik ». De son propre aveu la Serbie est déjà bien dans les mains de l’Union européenne et sous pression. Il put toutefois achever le voyage sans heurt pour se rendre  utile dans le Donbass : « c’est déjà chez moi ici, après la guerre j’espère que j’emmènerais tous mes amis et collègues pour faire une grande fête en Serbie où j’ai encore un bien avec mon frère. Je sais qu’aux USA je tombe sous la menace d’un emprisonnement de 25 ans pour « terrorisme », c’est ici vous savez la politique d’Obama, bien pire encore que Bush père. Servir comme humanitaire dans le Donbass, ceci est  considéré comme « étant servir contre les intérêts des USA », voilà la liberté du rêve américain. Ici au contraire je sens les gens libres, je sens la liberté, alors le reste n’a pas d’importance. Je crois vraiment à la victoire de la Novorossia, ce sera peut-être deux républiques sœurs, ce sera peut-être une partie de la Russie, mais ce que je souhaite c’est une Novorossia qui aura décidée, libérée et jusqu’à Odessa ! Pourquoi pas ! ». Je quittais Zak avec une impression à la fois de tristesse et de joie. L’homme pendant son récit, à l’évocation de ses parents avait versé quelques larmes, les larmes d’un homme bon et sincère, les larmes d’un homme juste, très loin de la caricature qui fut faite des combattants serbes de la Guerre de Yougoslavie. Cette souffrance du peuple serbe fut incommensurable, celle de ceux du Donbass ne fait peut-être que commencer. Gageons que la victoire et la paix annoncées par Zak seront bientôt une réalité.

    Laurent Brayard

    (Des photos sont à voir sur cette page)

    http://novorossia.vision/fr/zak-novak-entre-l-amerique-et-la-serbie-jusqu-au-donbass/

  • Crise céréalière : et si les aides allaient vraiment aux agriculteurs ?

    A l’heure où les annonces de plans de soutien aux agriculteurs se succèdent pour les intrants de la future campagne, philanthropie et pragmatisme ne semblent pas dicter ces opérations.

    Pauvres semeurs, payez pour eux !

    Ainsi, le Conseil régional d’Île-de-France accorderait une aide aux semences qui viennent des firmes, dénommées « semences commerciales » ou « semences certifiées » par rapport aux semences fermières.

    Imaginons une grande entreprise qui licencierait massivement et que l’on donne une aide aux supermarchés du secteur pour combler leurs baisses d’activité provoquées par le chômage ?

    Non, pour un bon usage de fonds publics – y compris des collectivités territoriales, l’OPG de la CR demande que les aides soient ciblées sur les agriculteurs eux-mêmes plutôt que détournées en faveur de leurs fournisseurs.

    De même, des systèmes d’aides sur les intrants de la nouvelle campagne sont en train de se mettre en place en collaboration avec les banques. La gestion en étant attribuée aux coopératives, ces aides seront délivrées à leur discrétion, aux agriculteurs de leur choix, pour des produits phytopharmaceutiques choisis par leurs soins à des prix non négociés. Autant dire que la marge de manœuvre de l’agriculteur sera très réduite.

    Et si on osait parler de solidarité ?

    Ce sont les agriculteurs qui subissent la crise ! Tout doit être mis en œuvre pour qu’ils bénéficient de 100 % des aides accordées.

    Les paysans constatent de manière amère que, même en période de crise, on les prend encore pour des bêtes à tondre !

    Installons une vraie solidarité entre les membres de l’interprofession céréalière de sorte que l’aval (coopératives et agro-alimentaire) vienne enfin et sans arrière-pensée en soutien de l’amont (les agriculteurs) !

    http://www.coordinationrurale.fr/crise-cerealiere-aides-allaient-vraiment-aux-agriculteurs/

  • Italie : Gabriele Adinolfi présente son projet politique

    Il sera à Rungis le dimanche 2 octobre :

  • Le suicide démographique de l'Europe dénoncé au Medef

    Jean-Michel Boussemart est délégué général de Coe-Rexecode, un institut d'études économiques, et Michel Godet, membre de l'Académie des technologies et vice-président de la Fondation MMA des entrepreneurs du futur. Cet article a été écrit à l'occasion de l'atelier «Démographie: un atout pour la France», dans lequel interviendra Michel Godet le 31 août prochain à l'université d'été du Medef. Ces deux personnes invitent l'Europe à pratiquer une politique de quotas en fonction des besoins du marché du travail et à encourager la relance de la fécondité.

    Quel silence assourdissant face au suicide démographique de l'Europe à l'horizon 2050! Les projections démographiques des grandes régions du monde d'ici là sont connues et réévaluées tous les deux ans par les Nations unies et régulièrement par Eurostat pour les seuls pays de l'UE, mais il faut être un spécialiste des bases de données pour s'en servir. De fait, personne n'en parle, surtout à Bruxelles où l'on préfère produire des rapports sur les révolutions technologiques [...]"

    La table ronde du Medef abordera ces sujets :

    • Force française, faiblesse allemande ?
    • Le taux de natalité idéal existe-il ?
    • L’immigration peut-elle compenser la dénatalité ?
    • Lorsque l’enfant paraît...Quels effets sur la consommation ?
    • Mais comment rester en bonne santé démographique sur fond de croissance en panne et de chômage de masse ?
    • Comment faciliter l’insertion des jeunes sur le marché du travail ?
    • Comment garder nos jeunes talents en France ?
    • Quelle politique familiale ? Quelle politique du logement ?
    • Plus d’enfants et plus de vieux... quelles solutions pour résoudre l’équation et ne pas battre en retraite ?

    Michel Janva

  • Migrants : la Norvège construit un mur à sa frontière Shengen avec la Russie

    Un pays qui se protège

    "La Norvège a entamé la construction d'une barrière à sa frontière avec la Russie dans la région de l'Arctique afin de contrôler l'arrivée de migrants qui empruntent cette voie pour rejoindre l'Europe du Nord depuis la fermeture de la route des Balkans.
    Cette barrière, longue de 200 mètres et haute de 3,5 mètres, doit être érigée au poste frontière de Storskog afin de renforcer la sécurité à ce point d'entrée septentrional de l'espace Schengen.
    Environ 5500 migrants, principalement originaires de Syrie, sont entrés en Norvège par ce point de passage l'an dernier. Les organisations humanitaires et des représentants de l'opposition ont estimé que cette mesure allait dissuader les réfugiés fuyant les persécutions dans leur pays et qu'elle rappelait les heures sombres de la Guerre froide.
    La barrière va être érigée dans les prochains mois avant l'installation de l'hiver afin de rendre plus compliquée l'entrée en Norvège en franchissant la frontière sous le couvert d'une forêt locale. Des travaux préparatoires ont été entamés avec le retrait de vieilles barrières en bois qui servaient à contrôler les troupeaux de rennes vivant dans la région. "La barrière est une initiative responsable", a commenté le vice-ministre de la Justice Ove Vanebo".

    Lahire

  • Interdiction du voile intégral en Allemagne : l'identité au coeur du jeu politique outre-Rhin

    Il s'agit là d'une évolution importante outre-Rhin, laquelle, malgré son caractère spécifique à la société et à la politique allemandes, ne devrait pas manquer de retentir sur l'ensemble des politiques européennes face à l'immigration de masse.

    Figarovox a publié hier sur ce sujet un intéressant entretien d'Alexis Feertchak avec Jean-Louis Thiériot, avocat, historien et écrivain, qui a publié en 2011 France-Allemagne, l'heure de vérité (avec Bernard de Montferrand, éd. Tallandier).  

    Nous extrayons de cet entretien quelques passages qui nous ont paru les plus significatifs.  LFAR

    « Alors qu'en France, le débat sur le voile à l'école qui a abouti au vote de la loi de 2004 a été engagé au nom du principe de laïcité, le débat actuel en Allemagne est fondé sur des considérations purement pragmatiques et concrètes. La proposition du ministre de l'intérieur Thomas de Maizière d'interdire le voile islamique dans l'espace public est faite au nom de trois idées simples : protéger la liberté des femmes, faciliter l'intégration, simplifier la tâche des forces de sécurité en évitant que les visages ne soient masqués dans les rues. Il n'y a pas de grands principes invoqués à l'appui de cette interdiction. Le débat porte seulement sur son utilité pour atteindre les objectifs précités et sur sa compatibilité avec la liberté religieuse inscrite dans la loi fondamentale. (...).

    La laïcité est un concept étranger à la vie politique allemande. Le préambule de la Grundgesetz, la loi fondamentale allemande commence par ces mots : « Conscient de sa responsabilité devant Dieu et devant l'histoire, le peuple allemand décrète que…».

    L'état de droit allemand respecte la liberté religieuse mais donne une place à la religion dans la vie de la cité. Les Eglises sont financées par le Kirchensteuer, les citoyens indiquent à quelle religion ils entendent être rattachés - pour les religions historiques, chrétiennes ou juives - ou s'ils sont sans religion. La laïcité comme valeur est une construction française, héritée de la loi de 1905 qu'on ne retrouve à peu près nulle part. En revanche, la proposition de Thomas de Maizière répond à un défi que ne connaissait pas la société allemande : celui de l'intégration d'une minorité musulmane de plus en plus importante, gonflée par l'afflux des migrants auxquels Angela Merkel a largement ouvert les portes. (...).

    Relativement bien intégrée, bénéficiant de la tradition des liens entre l'Allemagne et la Turquie qui remonte au Bagdadbahn des années 1900 et à la première guerre mondiale, la minorité turque posait assez peu de problèmes. Les musulmans ne représentaient que 4% de la population allemande en 2010 contre environ 10% en France. C'est le double choc de l'afflux d'un million de migrants, musulmans dans leur grande majorité, et des attentats terroristes en Bavière commis au nom de Daech qui amène les Allemands à réagir pour préserver la paix civile. (...).

    En dehors de l'extrême gauche de Die Linke, de la frange progressiste du SPD, des Verts et de quelques organes médiatiques comme le Spiegel, la CDU-CSU, la majorité du SPD, les libéraux du FDP et naturellement les souverainistes de l'AFD soutiennent largement cette évolution. L'opinion publique y est encore plus massivement favorable que les partis. Un sondage You Gov du 19 août indique que 85% des Allemands souhaitent l'interdiction du voile dans l'espace public. Plus qu'une problématique de laïcité, c'est une problématique d'identité qui saisit l'Allemagne, massivement. La question culturelle devient un marqueur de la vie politique allemande. Le contexte électoral des mois à venir risque de renforcer le mouvement. Les propositions sur le voile répondent d'ailleurs à l'inquiétude, pour ne pas dire à la panique de la CDU face à la progression de l'AFD qui est crédité de 19% d'intentions de vote pour les élections en Mecklembourg-Poméranie du 4 septembre, deux points seulement derrière la CDU. C'est une manière politique de répondre au refus d'Angela Merkel de revenir drastiquement sur la politique d'accueil des migrants. (...). » 

    Affaire à suivre ... 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Les œufs du dragon

    Bernard Plouvier

    On la savait depuis quelques années, mais on en a une confirmation actuelle : l’invasion de la France par les immigrés africains, noirs et maghrébins, – une invasion à forts relents islamiques –, passe à la vitesse supérieure.

    On savait déjà que, par le jeu des différences de fécondité entre Blanches, autochtones européennes de France, Noires et Maghrébines, notre pays deviendrait un État islamo-africain dans un délai de deux générations – grossièrement : dans un demi-siècle. Nos honorables envahisseurs ne veulent plus attendre le phénomène, somme toute démocratique, de la puissance du nombre pour dominer les très mols autochtones, effectivement indignes de leurs ancêtres.

    Grâce à une multitude de collaborateurs, qui trahissent leur race par amour de l’islamo-pétrodollar, par pure démagogie électoraliste ou par crétinisme, issu de réflexes marxistes ou d’une repentance historiquement absurde, les agités et agitées du bocal, issus de l’immigration-invasion, s’en donnent à cœur joie depuis l’An 2014, où les premiers attentats perpétrés au nom d’un certain allah ont débuté en France.

    Il n’est pas de semaine où, quelque part en Europe de l’Ouest – car le cas français n’est pas isolé -, un ou des Blancs sont poignardés par des meurtriers immigrés. Mais en août 2016, c’est pour un Noir, porteur d’une cardiopathie congénitale et dopé au haschich, mort lors d’une course-poursuite entreprise par les forces de l’ordre, que les media collaborateurs versent des torrents de larmes et d’imprécations (alors même que deux autopsies ont donné tous les renseignements utiles sur cette affaire).

    Qui s’intéresse aux malheurs des Blancs attaqués chez eux, dans le pays de leurs pères, dans le continent européen, qui fut source de la civilisation moderne ? Personne… et pas vraiment les génies du Front ex-National qui sont curieusement devenus très « libéraux ». En d’autres temps, l’on eût entendu les protestations rudes et justes d’un certain Jean-Marie… mais c’était autrefois.

    De nos jours, les Français de souche européenne, davantage gras de la cervelle que du bide – ce qui n’est pas peu dire -, obsédés de cette respectabilité démocratique, qui a remplacé la variété bourgeoise, laissent faire, pratiquant la politique du chien crevé au fil de l’eau.

    On le voit ce 25 août 2016 où, à Reims dans un Centre international de séjour, deux immigrées féministes, spécialisées dans la rage haineuse anti-Blancs – si juteuse en retombées médiatico-politiques, en dollars issus des fondations US ou judéo-US, et bien sûr en islamo-pétrodollars -, ouvrent leur colloque de trois jours consacré aux « victimes du racisme d’État ».

    On imagine aussitôt que l’on va y traiter de la ségrégation raciale intitulée « discrimination positive », qui permet à des extra-Européens de jouir de postes réservés, ou de l’effarant laxisme judiciaire – héritage de l’illustre Taubira – qui permet aux fruits pourris de l’invasion africaine et proche-orientale de jouer en toute impunité aux délinquants multirécidivistes : soit les expressions les plus achevées d’un racisme d’État.

    Non, pas vraiment ! Il s’agit de geindre une millionième fois sur les « violences policières » et sur les misères de l’époque coloniale, de pleurer sur une institution organisée par des Noirs et des marchands musulmans : l’esclavage aboli en 1848, sauf en terres d’islam où il fait toujours florès, en dépit d’hypocrites dénégations officielles.

    Il s’agit aussi (voire surtout) de pousser les imams de banlieues et les féministes les plus fortes en gueule à se lancer dans la politique… et l’on imagine que le Parti socialiste à la dérive et les millionnaires en euros du Parti de gauche espèrent un regain de participations immigrées aux prochains scrutins. Les votes, c’est comme l’argent du regretté Vespasien : ça n’a pas d’odeur.

    Dans toutes les histoires de dragon, la mise à mort de celui-ci ne sert à rien si l’on n’a pas détruit ses œufs… c’est ce qui permet de sortir une ou des suites. Il est indispensable de bien cibler notre dragon, destructeur d’êtres et de biens, puis de tirer toutes les conséquences de cette identification.  

    L’An 2015 fut pourri, sanglant, ignoble. L’An 2016 est purement et simplement immonde. Qu’en dépit de toutes les saloperies perpétrées contre des autochtones depuis trois années par les envahisseurs, des rejetons de l’immigration continuent de s’agiter de façon aussi contraire au bon sens et à la réalité des faits, prouve notre degré d’aveulissement.

    Si nous laissons délirer les agitées du bocal, tandis que leurs mâles pillent, incendient, violent, tuent, nous ne sommes bons que pour l’esclavage, car nous sommes devenus indignes de nos pères.

    On réagit ou l’on meurt. C’est vrai pour un homme, comme ce l’est pour une civilisation.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Arte, une chaîne de propagande européiste sous perfusion

    De Marc Baudriller dans Challenges :

    "264 millions d’euros, telle est la confortable enveloppe offerte pour l’année 2016 par l’Etat français à la chaîne Arte France qui présentait ce mercredi 24 août sa grille des programmes. C’est trois fois le budget de BFM TV, quatre fois celui de la mini-généraliste de TF1, la chaine TMC pour une audience comparable (2,2% sur les 4 ans et plus pour Arte, contre 2,6 pour TMC et 2,8 pour BFM TV au format différent de chaine d’information). Mais la présidente d’Arte France Véronique Cayla s’apprête à entamer des négociations sur un budget 2017 qu’elle espère évidemment en hausse.

    Alors, les dirigeants insistent sur les symboles. C’est "un des plus beaux emblèmes de la coopération franco-allemande", estime le président d’Arte GEIE (le holding franco-allemand), l’Allemand Peter Boudgoust. "En cette période de crise profonde de l’Europe, la responsabilité de cette chaîne consiste à porter les valeurs de la France, de l’Allemagne et de l’Europe", au moment où "les peuples sont tentés de se replier sur eux-mêmes", poursuit-il. Arte veut au contraire "une Europe des peuples et des valeurs", "de l’intégration et du métissage". Il s’agit de "faire vivre cette Europe de la culture dont nous avons le plus grand besoin".

    Bref : le contribuable paie pour avoir de la propagande... qu'il regarde peu.

    Michel Janva

  • Reportage : Occupation du siège de Lactalis

    Leader mondial du lait, Lactalis est la « laiterie » française qui visse le plus le prix de la tonne de lait. Ses fournisseurs ont vu une baisse d’un tiers de leur facturation en deux ans, une baisse suffisante pour supprimer toute marge et donc toute rémunération pour les producteurs et leur famille. Le tout « justifié » par la suppression des quotas laitiers européens et l’alignement « libéral » des prix sur le moins-disant.

    Guerre des prix et culture du silence

    Lactalis n’en est pas à son premier bras de fer avec les éleveurs de vaches laitières. Le groupe s’est construit sur sa capacité à « maîtriser ses achats », comprendre : faire baisser sans cesse les prix pour dégager la marge nécessaire à son développement. Une stratégie qui paie, puisque le groupe a – notamment grâce à une croissance externe agressive – fait passer son chiffre d’affaires de 5 milliards d’euros en 2004 à près de 15 milliards en 2010. Au détriment des agriculteurs français… Ce qui n’inquiète probablement pas les dirigeants du groupe. Si les marques de Lactalis (Président, Lou Pérac, Salakis, Bridélice, Lanquetot, Rondelé…) réalisent une grande partie de leur chiffre d’affaires auprès des consommateurs français, le groupe saura facilement se tourner vers les pays européens à bas coûts pour prendre le relais de la disparition de notre élevage laitier.

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