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Europe et Union européenne - Page 767

  • Immigration – Des policiers autrichiens se préparent aux pires émeutes – « Nous craignons tous le moment où on nous ordonnera de marcher contre notre propre peuple »

    Le magazine autrichien Info-Direkt publie un entretien avec un membre de la police autrichienne en charge de la question des « réfugiés ». Son expérience quotidienne l’amène à pronostiquer des conséquences dévastatrices et prévoit que des émeutes vont bientôt commencer.

    (…) le système d’asile ne fonctionne plus. (…) Chaque jour arrivent plusieurs milliers de réfugiés en Autriche et en Europe, dont seulement quelques centaines peuvent être enregistrés, la liste d’attente augmente tous les jours … 

    Mais c’est seulement la première étape du processus. (…) Il n’y a pas assez de policiers pour assurer l’ordre public.

    Selon Info-DIREKT,  différentes sources de police confirment que les policiers se sentent dépourvus des moyens nécessaires pour faire face à l’insécurité qui accompagne cette immigration massive. Des policiers conscients de la réalité qu’ils perçoivent chaque jour sur le terrain, commencent à se préoccuper de protéger leur maison et leur famille, en prévoyant que l’Etat échouera à assumer ses responsabilités de protection de la population.

    En fait, de nombreux collègues, officiers de police, s’assurent, pour leur propre espace privé, d’avoir des réserves d’eau, de nourriture et de munitions. 

    Mais une autre crainte se dégage, qui traduit bien la trahison des gouvernants :

    (…) nous craignons tous le moment où on nous ordonnera de marcher contre notre propre peuple. Et nous discutons souvent de ce que nous ferons alors …

    http://www.medias-presse.info/immigration-des-policiers-autrichiens-se-preparent-aux-pires-emeutes-nous-craignons-tous-le-moment-ou-on-nous-ordonnera-de-marcher-contre-notre-propre-peuple/40580

  • Les pseudo-réfugiés : une arme au service des fossoyeurs de l’Europe !

    Les Etats n’ont pas d’amis, ils n’ont que des intérêts. Cette maxime, essentielle pour comprendre la géopolitique, s’applique une fois encore à la crise migratoire que subit l’Europe. En effet, un certain nombre de pays (et de forces politiques non étatiques) dits alliés ou "amis" de la France ne se privent pas pour utiliser l’invasion des migrants à leurs fins. Lesquelles ? Affaiblir l’Europe de l’intérieur ; y acquérir une influence toujours accrue par le jeu d’intérêts divers mais aussi préparer l’avenir. Celui-ci est incertain, l’Europe n’ayant jamais été si faible et si perdue qu’aujourd’hui… Des visées économico-stratégiques aux délires idéologico-mondialistes ou religieux, de nombreux acteurs lorgnent sur l’Europe et se réjouissent des difficultés qu’elle connaît. En voici deux exemples.

    Préparer l’avenir, considérer la longue durée… C’est ce que font les richissimes Etats du Golfe. Bien plus apparentés que nous aux « migrants », ils ne sont curieusement pas une destination prisée par ceux-ci… Et pour cause ! En Arabie Saoudite ou au Qatar, la solidarité est un mot qui n’a pas le même sens qu’ici. On sait y être pragmatique. Premièrement, « les pays du Golfe ne sont pas signataires de la Convention des refugiés de 1951 et n’ont aucun engagement dans ce sens » lit-on ici. Deuxièmement, ils craignent d’être submergés par des hordes de réfugiés qui pourraient devenir des facteurs de déstabilisation intérieure. Dernièrement, ils savent bien que l’Europe va s’affaiblir encore plus et s’islamiser de concert. Donc, les « réfugiés », ils nous les laissent de bon cœur mais sont prêts à débourser ce qu'il faudra pour des centaines de nouvelles mosquées ! Ou même à payer leurs études comme le prévoit un protocole signé discrètement entre La Sorbonne et l'émir du Qatar. La première n'a pas pu résister à l'appel du pognon: 1,8 millions d'euros sur 3 ans pour une centaine d'étudiants qui seront choyés comme jamais! Ces Etats du Golfe sont pragmatiques (et militants) : ils voient une Europe qui s’enfonce dans une crise ethnique qui sera de moins en moins contrôlable. Ils se doutent bien que les musulmans seront amenés à jouer un rôle de plus en plus important sur notre sol. Le « pouvoir des ventres » joue en leur faveur, leur force communautaire également, le système droit-de-l'-hommiste idem. Que leur manque-t-il ? Des élites prêtes à remplacer celles qui existent pour le moment. C’est là qu’on comprend pourquoi le Qatar tient tant à faire étudier des « migrants » chez nous… Les musulmans n’ont que peu d’élites en Europe et seul Attali peut oser prétendre que « 98 % (des musulmans) s’intègrent, sont médecins, avocats, journalistes ». Pour l’instant. Le jour où ils seront majoritaires dans nos pays, il ne leur manquera plus que des élites… Élites qui seront toutes dévouées à ceux qui leur auront mis le pied à l’étrier. Étant donné l’énorme influence de l’Arabie Saoudite et du Qatar sur la politique française actuelle (De Villiers le rappelait encore récemment sur BFMTV), il y a de quoi sérieusement se méfier.

    Ce n’est un secret pour personne : toutes les forces du système cosmopolito-mondialisé soutiennent le déferlement des pseudo-migrants sur notre continent. Nous avons multiplié les exemples dans le Regard sur l’actu #18 qui revient amplement sur la question (partie 1 et partie 2). Ils en rêvent : nous détruire en tant que peuple et en tant que puissance. Ces gens-là haïssent tout ce que l’Europe représente, ses traditions, son histoire, sa grandeur passée. Ils ne supportent pas de la voir toujours debout. Ils constatent bien que de plus en plus d’Européens redeviennent conscients et entrent dans diverses formes de résistance. Ils auront pourtant tout essayé : de la culpabilisation collective à l’invasion par le tiers-monde… L’oligarchie mondialisto-financière, celle qui décide à Washington ou à Bruxelles, ira jusqu’au bout. L’un de ses principaux acteurs, le militant juif milliardaire Georges Soros, habitué des sales coups tout autour du globe, ne s’en cache pas. Dans une récente lettre ouverte, ne déclare-t-il pas que “[…] l’UE doit accepter au moins un million de demandeurs d’asile par an… L’UE devrait donner 15 000 euros par demandeur d’asile pendant les deux premières années afin de leur assurer un logement, des soins, une éducation”. Je sais, Soros a des problèmes avec les chiffres… Mais Attali, c’est pareil. Voyez plus haut son histoire des 98%... Et pour mieux nous endormir, ces tarés pour qui notre destruction est une guerre sacrée utilisent toutes les ficelles possibles et imaginables. La tromperie dont ils abusent les fait avoir des discours délirants dans le style Attali : « Ces gens-là (les « réfugiés ») vont faire de l’Europe, la première puissance du monde. ». Sachant que cette clique ne jure bien souvent que par Israël, allons voir un peu ce qu’il s’y passe. De réfugiés, on n'en veut pas sur le territoire de l'Eretz! Netanyahu le dit d'ailleurs bien fort: «Nous ne laisserons pas Israël être submergé par une vague de migrants illégaux et d’activistes terroristes». On va donc laisser les Européens se débrouiller avec et sombrer avec... Bingo, IsraAID, organisation financée par le B’naï Brith fait tout son possible pour aider les "réfugiés" à atteindre l'Europe. Forte de son expérience, l’organisation israélienne est présente en divers points de notre continent (îles grecques, frontière Croatie-Hongrie) afin d’accompagner les clandestins tout au long de leur « voyage » (eh oui ! ils sont en voyage… du tourisme économique!). En lien direct avec les groupes de pression juifs aux Etats-Unis et avec le gouvernement israélien, on aurait bien du mal à ne pas voir quel jeu trouble joue IsraAID et par effet ricochet, tous ceux qui la supportent et la financent.

    La crise migratoire que nous connaissons n’est malheureusement pas le seul vecteur des attaques subies par le vieux continent. Pas d’amis, l’Europe n’a pas d’amis et ne pourra compter que sur elle-même. Elle a dominé le monde avant 1914. C’est maintenant le reste du monde qui veut la dominer et qui utilisera pour cela tous les moyens possibles.

    Rüdiger/C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/archive/2015/10/01/les-pseudo-refugies-une-arme-au-service-des-fossoyeurs-de-l-5693490.html

  • La Bavière défie Angela Merkel sur la question des réfugiés

    ♦ Le ministre-président de Bavière Horst Seehofer a menacé Angela Merkel de porter plainte à Karlsruhe si elle ne faisait pas cesser les arrivées de réfugiés. La crise est désormais ouverte au sein de la droite allemande.

    La CSU bavaroise prend la voie du conflit ouvert avec Angela Merkel. Ce vendredi 9 octobre, le gouvernement régional bavarois a annoncé dans un communiqué officiel à l’issue d’un conseil des ministres extraordinaire que, « si le gouvernement fédéral ne prenait pas de mesures pour réduire le flux des réfugiés », il irait devant la Cour constitutionnelle fédérale de Karlsruhe pour « mise en danger de la capacité d’action propre » d’un Land.

    La Bavière exige que les réfugiés soient refoulés à la frontière autrichienne et que les demandeurs d’asile qui arrivent en Bavière soient immédiatement redistribués sur l’ensemble du territoire fédéral allemand. Le ministre-président de Bavière, président de la CSU, Horst Seehofer, a indiqué que cette demande a été formulée pour «prendre en compte la situation sécuritaire, pas seulement en ce qui concerne le terrorisme, mais aussi la criminalité ». Et de conclure, menaçant : « Le sérieux de la situation apparaît chaque jour davantage et nous sommes sérieux dans nos exigences – notamment la plainte constitutionnelle. »

    Changement d’atmosphère outre-Rhin

    La très conservatrice Bavière est en première ligne de l’arrivée des réfugiés en provenance du Moyen-Orient qui traversent la frontière autrichienne. Mais cette annonce du gouvernement bavarois montre un raidissement politique de la part d’une partie de la droite allemande qui rejette la politique d’accueil de la chancelière fédérale Angela Merkel. Depuis les premiers jours de la crise, la CSU a émis des doutes sur cette politique, mais Horst Seehofer se sent désormais en position de force dans la mesure où l’atmosphère change actuellement en Allemagne. Une majorité (51 % selon un sondage paru vendredi dernier) de la population s’inquiète désormais de l’arrivée des réfugiés. Par ailleurs, les eurosceptiques xénophobes d’AfD remontent dans les sondages et les manifestations du mouvement d’extrême droite PEGIDA font de nouveau le plein en Saxe.

    Angela Merkel tient bon

    Malgré ce changement d’humeur, Angela Merkel tient bon. Mercredi soir, sur la première chaîne ARD, elle a réaffirmé sa politique d’accueil en expliquant qu’il n’y avait pas de « bouton pour stopper le mouvement » et en réaffirmant son slogan « wir schaffen das ! » (« Nous y arriverons ! »). Mais elle est en situation très délicate. Pour la première fois depuis son arrivée à la chancellerie, elle doit faire face à une véritable rébellion de sa droite. Car Horst Seehofer va très loin. Président d’un parti membre de la coalition fédérale, il menace le gouvernement fédéral d’une action en justice. Du reste, il ne cache plus la tension avec Angela Merkel. Jeudi, il a affirmé qu’il n’avait pas vu la chancelière à la télévision parce qu’il « ne regarde pas la télévision pendant son temps libre ». Il espère évidemment qu’en exerçant cette pression, la chancelière cèdera pour ne pas prendre le risque de voir le camp conservateur éclater.

    Inquiétude bavaroise

    Derrière cette rébellion bavaroise, il y a sans doute une forme de revanche d’un parti qui a longtemps été compté pour portion congrue dans la majorité par Angela Merkel. Mais il y a aussi de l’opportunisme électoral et de la peur de la CSU de se voir déborder sur sa droite. Les deux derniers sondages bavarois parus les 7 et 8 octobre donnent 43% et 46% à la CSU contre les 47,7% de 2013, tandis qu’AfD entrerait au Maximilianeum, le siège du parlement bavarois.

    Des « zones de transit » ?

    Reste à savoir jusqu’où ira Horst Seehofer. Il cherche à forcer la main du gouvernement fédéral pour créer des « zones de transit » à la frontière, pour refouler avant leur entrée en Allemagne les réfugiés qui ne seraient pas de « vrais » demandeurs d’asile. Ce serait alors rejeter sur l’Autriche l’essentiel du poids du flux des réfugiés et Vienne s’en est déjà émue, alors même que le pays doit faire face à une forte montée de l’extrême droite xénophobe qui, le 27 septembre, a doublé son score en Haute-Autriche et s’apprête à réaliser un très bon score aux élections viennoises de ce 11 octobre. La stratégie de Horst Seehofer n’est pas très éloignée de celle de Viktor Orban, le premier ministre hongrois, qu’il avait, du reste, reçu en grande pompe en septembre dans un congrès de la CSU, comme un défi à Angela Merkel.

    Crise au sein du camp conservateur allemand

    Nul ne sait jusqu’où ira cette crise entre Munich et Berlin. La CSU n’est certes pas un allié indispensable pour la « grande coalition » d’Angela Merkel, mais une rupture ouverte serait un désastre politique pour la chancelière. Alors qu’un ralentissement économique se dessine, cette dernière doit donc faire face à des vents contraires. Sa capacité à maintenir l’unité entre conservateurs et centristes, qui lui a permis de se maintenir au pouvoir jusqu’à présent, est désormais menacée. D’autant qu’elle ne peut, comme à son habitude, jouer sur le temps. Les arrivées des réfugiés ne le permettent pas. C’est donc un moment décisif pour l’avenir politique de la chancelière.

    Romaric Godin  9/10/2015

    Source : La Tribune (9/10/2015)

    http://www.polemia.com/la-baviere-defie-angela-merkel-sur-la-question-des-refugies/

  • Complices contre Marine Le Pen

    Il ne suffit pas de changer le nom du parti pour échapper au sigle accusateur UMP-PS ! L’important, c’est la réalité qu’il recouvre, cette complicité ancienne et objective entre le PS et l’UMP. Le ciment idéologique de ce compagnonnage c’est l’Europe, ils ont la même en indivision, ont dit oui ensemble à tous les traités qui ont aliéné l’indépendance française. Mardi à Strasbourg, ç’aurait pu être Nicolas Sarkozy qui figurât aux côtés d’Angela Merkel au lieu de Hollande, nul ne se serait aperçu de la différence.

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    On comprend mieux que les sarkozystes, mais pas eux seulement, se soient spontanément rangés derrière François Hollande interpellé par Marine. Éric Woerth en a eu mal pour le président : « J’avais honte pour Madame Le Pen quand elle s’adressait au président de la République française devant tous les députés européens et devant la chancelière allemande, pour essayer de rabaisser d’une certaine façon la France. Et à ce moment-là, oui, j’aurais probablement applaudi François Hollande. » Il aurait applaudi quoi ? L’éructation colérique qui a servi de réponse à l’intervention argumentée de Marine Le Pen ? Même son de cloche chez Fillon qui juge « inqualifiable » pour une élue de la nation française « de s’adresser au président de la République française dans ces conditions. C’est une honte pour le pays et je trouve qu’elle se déshonore ». Quant à l’UDI, Jean-Christophe Lagarde, qui ne peut exister médiatiquement que dans l’outrance, il dénonce « l’anti-France » qui ne serait pas incarnée par Hollande bradant la souveraineté de notre pays, mais par Marine Le Pen qui la défend. Et la même antienne sur « l’humiliation » : « Quand on se prétend patriote, on n’humilie pas celui qui représente la France, on n’abaisse pas la France. »

    Oui, c’est vrai, le chef de l’État a été humilié et la France avec lui, mais pas par Marine Le Pen, par l’intéressé lui-même quand on l’a surpris au petit matin, dissimulé sous un casque, enfourchant un scooter après avoir passé la nuit avec sa dernière maîtresse en date. Le cliché a fait le tour du monde, les capitales étrangères se gaussant de ce héros de vaudeville qu’est devenu celui qui « représente la France », en en faisant la risée de la presse internationale. Oui, il a été humilié, et avec lui notre pays, mais pas par la présidente du Front national, mais par une autre de ses concubines, Valérie Trierweiler, qui a révélé dans un ouvrage traduit en douze langues l’odieux personnage qu’il est, sa duplicité, son goût du mensonge, sa muflerie, son insensibilité minérale, son mépris des pauvres qu’il appelle les « sans dents ».

    C’est précisément de ces derniers que Marine Le Pen a porté la parole haut et fort à Strasbourg. Elle a parlé au nom des humiliés et des oubliés, broyés par une politique européenne qui les appauvrit chaque jour davantage, préférant réserver sa générosité aux « réfugiés » venus d’ailleurs. Ce sont ceux-là que François Hollande a stigmatisés dans ses imprécations contre le « populisme », si proche de « populace ». C’est de cela aussi que les sarkozystes et assimilés se sont rendus solidaires. Les électeurs s’en souviendront.

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/

  • Allemagne : police et associations accusent les autorités de taire l’augmentation des violences et des viols commis par les clandestins

    Il aura fallu peu de temps avant que les vagues migratoires massives de ces dernières semaines se transforment ensources de violence inouïe dans les pays d’accueil. Depuis plusieurs jours, l’Allemagne, pays en pointe dans l’accueil irraisonné des « migrants », est le théâtre de violences toujours plus inquiétantes entre différents groupes ethniques, mais également à l’encontre des femmes et des chrétiens. Désormais, police et associations accusent les autorités de taire l’augmentation des violences et des viols commis par les clandestins.

    La police allemande a récemment averti que la violence qui s’exprime à l’intérieur comme à l’extérieur des centres d’asile est désormais hors de contrôle : des dizaines de personnes ont déjà été blessées dans des affrontements communautaires ou ethniques.
    Multiplication des violences à proximité des centres d’accueil de clandestins en Allemagne


    Plusieurs réfugiés chrétiens ont par ailleurs témoigné de violences à leur égard dans les camps de réfugiés. Certains ont même décidé de rentrer dans leur pays d’origine ou de fuir les centres d’accueil après avoir reçu des menaces de mort. De nombreuses autorités, notamment policières, ont préconisé la séparation entre chrétiens et musulmans, ce que le ministre de l’Intérieur, Thomas de Maizière, a jugé « inacceptable », faisant fi de toute réalité.

    Le constat est le même dans de nombreuses villes allemandes : les rixes se multiplient et les centres d’accueil sont toujours plus remplis. La spirale infernale ne peut s’arrêter.

    A titre d’exemple, en Rhénanie du Nord-Westphalie, la police a été appelée près de 1.000 fois en août. Le responsable du second plus gros syndicat allemand de police décrit cette situation comme « le plus grand défi dans l’histoire d’après-guerre ».

    En réaction, les manifestations anti-immigration se multiplient dans le pays, drainant toujours plus de monde.
    Les autorités accusées de taire les viols et agressions sexuelles en constante augmentation
    Thomas de Maizière a appelé les Allemands à ne pas écouter les folles « rumeurs » qui courent sur la toile à propos de ces clandestins. En cause, un nombre croissant d’accusations de viols et d’agressions sexuelles dans les centres de réfugiés ou aux alentours.

    Plusieurs syndicats de police ainsi que quelques associations de défense des femmes sont pourtant montés au créneau, accusant les autorités allemandes de taire ces crimes par intérêt politique et par peur de provoquer un plus grand rejet de ces vagues migratoires incessantes.

    Pour continuer à mener sa politique destructrice du pays, c’est la vérité que le gouvernement allemand a choisi de sacrifier.

    « Certaines choses méritent d’être critiquées », a vaguement reconnu Thomas de Maizière sans autre précision, « mais il n’y a aucune raison de faire peser une suspicion générale sur l’ensemble des réfugiés », s’est-il empressé d’ajouter.
    La police et des associations accusent ; les autorités laissent les frontières grandes ouvertes
    « Le ministre de l’Intérieur serait bien avisé de jeter un coup d’œil sur ses propres rapports afin de savoir ce qui se passe exactement le soir dans nos rues et dans les centres d’accueil », a répondu Rainer Wendt, responsable d’un syndicat de police.

    Un constat partagé par un certain nombre d’associations : « Nous avons reçu plusieurs rapports dignes de confiance à propos d’agressions sexuelles et de viols de la part de victimes, comme de groupes consultatifs ou d’ONG », a expliqué Barbara Helfrich, membre de l’association caritative Paritaetischer Bund. Plusieurs associations ont rédigé une lettre ouverte pour sensibiliser au nombre croissant de viols, d’agressions sexuelles et de réseaux de prostitution organisés dans les centres d’accueil de clandestins. Là encore, plusieurs personnes ont réclamé la séparation des hommes et des femmes dans les centres… Les autorités restent sourdes et muettes sur le sujet.

    La situation est plus explosive que jamais, et les frontières toujours béantes.

    Béatrice Romée pour Reinformation.tv

    http://www.contre-info.com/allemagne-police-et-associations-accusent-les-autorites-de-taire-laugmentation-des-violences-et-des-viols-commis-par-les-clandestins#more-39531

  • Angela Merkel en burqa : scandale en Allemagne

     

    Source : OJIM
    Pour avoir diffusé une image représentant Angela Merkel, portant une burqa devant un Reichstag entouré de minarets, la chaîne de télévision allemande ARD est sous le feu des critiques.

    Souhaitant lancer un débat sur « l’avenir des valeurs allemandes » à l’heure des grandes vagues migratoires encouragées par la Chancelière, le présentateur Rainald Becker ne pensait pas susciter une telle levée de bouclier. « Choqués », de nombreux téléspectateurs ont accusé, sur les réseaux sociaux, la chaîne de « propager l’islamophobie ».

    Sur sa page Facebook, l’émission s’est défendue en expliquant que « l’image corrélait bien avec l’annonce de Rainald Becker accompagnant le reportage portant sur les valeurs de notre société. Le présentateur parlait des progrès de la société occidentale — de la liberté de parole et de l’égalité. Ces valeurs étaient reflétées dans le photomontage. La chaîne voulait souligner des contradictions en lançant ainsi une discussion. L’usage d’images polémiques n’est pas interdit par la loi. Nous réfutons fermement toute accusation d’incitation à l’islamophobie. »

    Alors que les clandestins sont de plus en plus nombreux à affluer en Allemagne (on estime à présent leur nombre à 1,8 million pour la seule année 2015 !) et qu’une majorité d’Allemands commence à craindre cette invasion (sondage Infratest Dimap), il semble tout aussi difficile d’exprimer une opinion transgressive dans les médias allemands que dans ceux de l’autre côté du Rhin.

    http://fr.novopress.info/

  • 7% pour le parti anti-immigration en Allemagne

    A propos des « réfugiés », une chronique de Dpa – kekn (Knitter Scheidt).

    ♦ S’il y avait dimanche une élection au Bundestag, l’AfD (*) franchirait allégrement la barre des 5%. Avec son positionnement hostile aux réfugiés, le parti marque des points. Un politicien de l’Union [CDU/CSU] contribue [involontairement] à cette poussée.

    Hambourg – Le parti de droite populiste AfD progresse de manière significative dans les enquêtes d’opinion. Dans l’actuelle « Wahltrend » [tendance électorale ; sondage hebdomadaire] de l’institut de sondage Forsa pour le magazine Stern et RTL, le parti grimpe à 7% avec son positionnement hostile aux réfugiés, soit deux points de pourcentage de plus que la semaine précédente.

    Les parties de l’Union CDU/CSU perdent un point à 39% – environ 2,5% de moins qu’à l’élection générale il y a deux ans. Les Verts et Die Linke cèdent également un point dans cette enquête et tombent tous les deux à 9%. Le SPD gagne un point, à 25%, tandis que le FDP reste encore enlisé à 5%. Les autres petits partis représentent ensemble 6%.

    Ce qui augmente massivement, c’est aussi la proportion de non-votants et d’indécis : avec près de 33%, cette proportion est beaucoup plus grande qu’à l’élection générale de 2013, où seuls 28,5% de l’électorat s’étaient abstenus.

    L’AfD connaît sa plus forte adhésion en Allemagne de l’Est. Ici, elle obtiendrait 12%, tandis que la CDU, avec 3,5 points de pourcentage en moins dans les nouveaux Länder, perd plus de deux fois plus que dans l’ex-Allemagne de l’Ouest (-1,6%).

    Plus grandes encore sont les pertes accusées par la CSU, qui cède 5,3 points de pourcentage. Le patron de Forsa, Manfred Güllner, propose l’explication suivante : « Les attaques du premier ministre Horst Seehofer contre la chancelière ont, dans une large mesure, poussé les électeurs les plus à droite de la CSU vers l’AfD ».

    En référence à la situation des réfugiés en Bavière, Seehofer vient de déclarer, contrairement aux assurances de Merkel : « Plus, ce n’est plus possible ».

    Cependant, Seehofer ne se nuit visiblement pas seulement à lui-même, avec son attitude rebelle, mais il nuit également à la tête du parti frère : à la question de savoir quel serait le chancelier favori des Allemands si l’hôte de la chancellerie pouvait être élu directement, Angela Merkel perd deux points par rapport à la semaine dernière, à 47%.

    Elle doit cette plus faible valeur de l’année avant tout au défaut de soutien de la part des partisans de la CSU : seulement 63% des chrétiens-sociaux choisiraient Merkel comme chancelière.

    Dpa – kekn (Knitter Scheidt) 7/10/2015

    Sources : Handelsblatt (7/10/2015) et Frankfurter Allgemeine/ Flüchtlingskrise

    Traduction : F.S.

    Note : pour les lecteurs qui ne seraient pas au fait de la politique allemande, voici une légende leur permettant d’identifier les formations postulant des sièges au Bundestag. (source : Wikipédia).

    –AfD : Alternative pour l’Allemagne ( Alternative für Deutschland, initiales AfD) est un parti politique eurosceptique allemand, créé le 6 février 2013 et lancé officiellement le 14 avril suivant à Berlin.

    –CDU/CSU : Le groupe CDU/CSU au Bundestag (CDU/CSU-Fraktion im Deutschen Bundestag ou CDU/CSU-Bundestagsfraktion) est le groupe parlementaire commun formé au Bundestag par les parlementaires membres de l’Union chrétienne-démocrate d’Allemagne (CDU), présente dans tous les Länder sauf en Bavière, et de l’Union chrétienne-sociale en Bavière (CSU), présente en Bavière seulement.

    –Die Linke (La Gauche) : parti politique allemand, né de la fusion le 16 juin 2007 du Parti du socialisme démocratique (PDS, ex-SED qui fut le parti officiel de la RDA) et de l’Alternative électorale travail et justice sociale (WASG).

    –SPD : Le Parti social-démocrate d’Allemagne (Sozialdemokratische Partei Deutschlands, SPD), qui a été fondé en 1875 (sous le nom de SAP, renommé SPD en 1890), est le plus vieux parti politique d’Allemagne

    –FDP : Le Parti libéral-démocrate (Freie Demokratische Partei, FDP) est un parti politique libéral allemand créé en 1948. Il défend des politiques combinant la défense des libertés fondamentales et du libre-échange avec certains éléments de l’État-providence allemand. Aujourd’hui, il n’est plus représenté au Bundestag à la suite de la perte de tous ses sièges lors des dernières élections fédérales.

    http://www.polemia.com/7-pour-le-parti-anti-immigration-en-allemagne/

  • Marine Le Pen attaque

    Merkel et Hollande, en se présentant ensemble au Parlement européen, voulaient sans doute entrer dans l’histoire comme Mitterrand et Kohl, en 1989, quelques semaines après la chute du mur de Berlin. Mais il y a un quart de siècle, il s’agissait de célébrer à Strasbourg la liberté recouvrée de nations captives, alors qu’aujourd’hui, au contraire, leurs successeurs veulent museler celles qui entendent se libérer de la tutelle allemande et qui refusent qu’on leur impose d’abandonner des pans de leur territoire à des « réfugiés », des clandestins et parmi eux nombre de terroristes.
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    Merkel et Hollande n’ont pas joué la difficulté, ils ont prêché devant un parterre majoritairement composé de convaincus, ils ont obtenu de faciles applaudissements. S’il n’y avait eu la présence de Marine Le Pen et ses quatre minutes d’une intervention aussi vigoureuse que pertinente, nul n’aurait porté la voix des millions d’Européens qui refusent cette Europe de l’austérité, des frontières ouvertes aux étrangers, une Europe de la contrainte pour ses ressortissants, de la punition pour les nations indociles.

    Le chef du gouvernement allemand et celui de l’État français ont en commun un manque certain d’imagination ! Pour porter remède à une crise, celle des « réfugiés », que tout le monde s’accorde à juger sans précédent, ils n’ont que leurs vieilles recettes, que dis-je, leur seule recette, ainsi rappelée par Angela Merkel : « Il nous faut plus d’Europe ».
    Depuis Maastricht, nous avons eu toujours plus d’Europe et toujours moins de liberté, moins de croissance, moins d’emplois et plus d’immigrés. Ça ne fait rien, continuons quand même, les lendemains chanteront un jour, foi de Merkel !
    Et Hollande, celui que Marine Le Pen appelle avec justesse « le vice-chancelier », de renchérir dans le style « je dirai même plus » : « Le débat, il n’est pas entre moins d’Europe et plus d’Europe, il est entre l’affirmation de l’Europe ou la fin de l’Europe. » Comme si l’Europe n’avait pas existé avant l’Union européenne !

    Que se passerait-il s’il n’y avait pas « plus d’Europe » ? Ce serait « le retour des frontières nationales, le démantèlement des politiques communautaires, l’abandon de l’euro », a dit le président français. Ce que François Hollande présente aux élus européens comme l’Apocalypse serait pour des millions d’Européens la libération à laquelle ils aspirent, ce dont témoignent les élections dans de nombreux pays, dont le nôtre.
    Si le débat est entre l’aggravation de leur Europe ou sa fin, il convient de le trancher et non point de le fermer. C’est aux peuples européens de se prononcer. Mais ni Hollande ni Merkel, ces grands démocrates, ne veulent leur poser la question. Ils savent ce qui est bon pour nous et que nous répondrions « mal ».

    On avait omis de nous préciser que le « oui » à Maastricht, prononcé du bout des lèvres il y a 25 ans, était irréversible et qu’il nous engageait pour toujours, le droit à la parole nous étant dès lors interdit, sauf pour acclamer le numéro de duettistes exténués de Merkel et Hollande.

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/

  • Marine Le Pen : « Je suis l’anti-Merkel ! J’en accepte l’augure ! »

    Alors que Hollande, quelques minutes plus tôt, avait comparé "le souverainisme au déclinisme", la présidente du FN lui a rappelé que l’article 1 d’une Constitution qu’il était censé servir s’intitulait "de la souveraineté"…

    Au milieu du ronron bien-pensant, d’une Europe à la pensée prémâchée, le réveil a sonné mercredi au Parlement européen, il a retenti pendant quatre longues minutes, vissant dans leur siège Angela Merkel et son escort boy François Hollande, qui se sont vu donner par Marine Le Pen une leçon de souverainisme, une leçon de démocratie – certains diront une leçon de courage politique.

    Ce 7 octobre, en assemblée plénière à Strasbourg, madame Merkel et monsieur Hollande sont venus vanter aux représentants européens tous les bienfaits de la crise migratoire actuelle, façon Oui-Oui, Plus belle la vie.

    Il s’agissait d’ancrer profondément dans les consciences anesthésiées la nécessité d’accueillir grand, d’ouvrir largement des frontières qui déjà n’existent plus, sous fond de pseudo-charité dégoulinante d’hypocrisie. Contre recherche de main-d’œuvre à bas prix.

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