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Europe et Union européenne - Page 768

  • Marine Le Pen traite François Hollande de "vice-chancelier" d'Angela Merkel

  • Allemagne: nouvelle manifestation contre l'accueil des réfugiés

    Environ 8.000 personnes ont à nouveau manifesté mercredi soir à Erfurt en Allemagne (Est) contre la politique d'accueil de milliers de réfugiés d'Angela Merkel, a indiqué la police locale, dans un contexte de mécontentement croissant dans le pays.

    Environ 8.000 personnes ont à nouveau manifesté mercredi soir à Erfurt en Allemagne (Est) contre la politique d'accueil de milliers de réfugiés d'Angela Merkel, a indiqué la police locale, dans un contexte de mécontentement croissant dans le pays.

    Le rassemblement dans le centre de cette ville de Thuringe avait été organisé à l'appel du parti anti-immigrés et populiste AfD (Alternative pour l'Allemagne), qui grimpe dans les derniers sondages en surfant sur les craintes qu'engendrent dans l'opinion l'arrivée d'un nombre record de migrants dans le pays.

    Selon la dernière enquête publiée mercredi, ce mouvement convaincrait 7% des électeurs allemands en cas d'élections des députés.

    Lors de la manifestation d'Erfurt, des contre-manifestants ont jeté des pierres sur les partisans du parti populiste et des deux côté des pétards ont été allumés. Un manifestant a été légèrement blessé, selon des éléments donnés jeudi matin par la police.

    Des milliers de personnes s'étaient aussi rassemblées lundi soir à Dresde (est), à l'appel d'un autre mouvement anti-immigré et islamophobe, Pegida, pour dénoncer l'afflux massif et croissant de migrants en Allemagne.

    L'Allemagne s'attend à accueillir, selon des estimations officielles, entre 800.000 et un million de demandeurs d'asile en 2015, un record dans ce pays comme en Europe.

    source : Le Parisien lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_international/EuuukAEFklRZUxeaAk.shtml

  • Ils parlent d'intégration, mais qui en veut ?

    En somme, et avec un peu de recul, on peut dire que la votation du 29 novembre sur les minarets a été extrêmement utile, au-delà même de son objet: elle a permis de soulever le couvercle d’une marmite qui, en Europe, aurait tôt ou tard explosé.
    Le plus remarquable, en effet, ne s’est pas produit en Suisse – où en gros il ne s’est rien passé. Certains médias, et pas mal de politiciens, en ont été profondément frustrés : malgré leurs honteux appels du pied, on n’a pas vu de jeunes excités brûler des drapeaux suisses, aucun attentat n’a eu lieu, et les appels au retrait de fonds des banques suisses ont fait un flop. Les investisseurs sont plus intelligents et plus sages que les agitateurs
    Expression d’un peuple moins trouillard, ou moins résigné, que ses dirigeants.
    C’est en Europe que le vote des Suisses a eu les effets les plus spectaculaires. Et, comme on pouvait s’y attendre, la Suisse n’a pas été mise au ban des nations civilisées, mais elle a tout au contraire été admirée, félicitée, enviée. Du moins par les peuples, et de manière éclatante, moins par les élites, et on comprend tout de suite pourquoi : la Suisse, cette tache énervante sur le drapeau de l’Empire, a montré qu’elle pratiquait, même au 21e siècle, une démocratie vivante et forte, expression d’un peuple moins trouillard, ou moins résigné, que ses dirigeants. De quoi faire venir le rouge au front desdites élites européennes, dans les pays de laquelle la démocratie a été réduite à sa plus misérable expression : l’élection, tous les quatre ou cinq ans, d’une majorité qui passera la législature à défaire ce qu’a fait la précédente. Cela, souvent au moyen de systèmes électoraux particulièrement inégalitaires, voyez la France.
    L’effet le plus spectaculaire du vote suisse a été de faire émerger en Europe, jusqu’à la prise de conscience, un problème bien réel, mais obstinément censuré par les gouvernements. L’Europe, on ose enfin le reconnaître, a un problème avec l’islam, ou plus précisément avec l’image qu’elle s’en fait, certes déformée, à travers une actualité quotidienne terrifiante, à cause aussi de l’ambiguïté des musulmans d’Europe à l’égard de la violence islamiste. Ce n’est pas attenter à la paix civile que de le dire et de le reconnaître. Au contraire : pour apaiser des tensions connues de tous, il est préférable d’en débattre plutôt que de les cacher sous le tapis et d’en interdire la discussion.
    La votation du 29 novembre a fait émerger et discuter quantités de problèmes et de malentendus
    Dans de nombreux pays européens, la votation du 29 novembre a fait émerger et discuter quantités de problèmes et de malentendus. Cela ne signifie pas qu’on les a résolus, évidemment. En France, les médias osent exposer «ce qui ne va pas», au niveau du quotidien vécu par les Français. Le Figaro (*) a publié le 15 décembre un article révélateur sur les exigences croissantes des musulmans dans l’entreprise, dans les écoles, dans les hôpitaux. Ainsi, dans les cantines, où le porc est interdit, le fait qu’il y ait de la viande halal à côté de la viande «normale» ne suffit plus : ce voisinage n’est plus accepté, il faut des cantines séparées; de même il est exigé que le personnel de service féminin porte des manches longues. On réclame encore des lieux de culte dans les entreprises, et la reconnaissance des jours fériés musulmans. A l’hôpital, les incidents sont quotidiens, notamment dans les services d’obstétrique, où les médecins hommes sont régulièrement agressés par des maris ou des frères
    On nous dira que d’autres communautés religieuses ont, elles aussi, des exigences particulières, pas forcément conformes aux us et coutumes locaux. C’est parfaitement exact mais, dans la plupart des cas, ces communautés ne commencent pas par exiger et menacer; se sachant minoritaires, elles préfèrent la négociation, voire l’adaptation contre son gré, à l’arrogance et au bras de fer. Faire profil bas, s’il le faut, est encore le meilleur moyen de vivre en paix lorsqu’on veut préserver des valeurs qui ne sont pas celles de la majorité.
    L’intégration fraîche et joyeuse prônée par nos pasteurs, curés et politiciens bien-pensants est une vue de l’esprit
    Ces difficultés, qui vont aller croissant pour de simples raisons démographiques, montrent que l’intégration fraîche et joyeuse prônée par nos pasteurs, curés et politiciens bien-pensants est une vue de l’esprit, qui n’intéresse pas grand monde, en tout cas pas les musulmans. Pour des raisons qui leurs sont propres, il sont attachés, dans la vie en société, au communautarisme et non à l’intégration. Ce n’est ni un crime ni une vertu, juste une réalité. Pour beaucoup, l’intégration signifierait s’adapter à un mode de vie impur, et ce serait bien la pire des trahisons à l’égard de leur religion. D’une certaine manière, l’intégration est la négation même de la manière dont ils veulent vivre leur foi, eux et leur famille, là où ils sont établis. Il faut en prendre acte, car il est inutile de culpabiliser sans cesse les Suisses, les Français ou les Hollandais pour qu’eux seuls cultivent l’intégration. Pour faire une bonne intégration, c’est comme dans le mariage: il faut être deux.
    Philippe Barraud : Commentaires.com 16/12/2009
    http://www.commentaires.com/suisse/ils-parlent-d%e2%80%99integration-mais-qui-en-veut

    http://archives.polemia.com/article.php?id=2594

  • Affaire Morano, audition Bernard Cazeneuve, Erdogan à Strasbourg… l'actu vue par Bruno Gollnisch

  • Berlin : un centre d’enregistrement des réfugiés sous très haute tension

    Reportage d’Itélé sur un « hotspot » d’enregistrement des clandestins  en Allemagne. 

     

    http://www.contre-info.com/

  • La nouvelle illusion turque

    Elle semble sur le point de s'installer dans les cercles de pouvoir de l'Europe institutionnelle. Il s'agit, de la part de MM. Jean-Claude Juncker, Donald Tusk et Martin Schulz, de supplier le gouvernement d'Ankara de contrôler les flux migratoires qui transitent actuellement par son territoire.

    Une première rencontre s'est tenue le 5 octobre. On a déployé à Bruxelles le tapis rouge au président turc Erdogan. On a tout dégagé en vue du lèche-vitrines de son épouse Emine avenue Louise "n’hésitant pas, selon les clients, à faire bloquer par son service de sécurité l’entrée à certains magasins qu’elle visitait." (1)⇓

    Les Européens ont absolument besoin de la Turquie, tel est le message que l'on veut faire passer. Le Monde parlait à l'avance, dès le 3 octobre, d'une sorte d'alliance "obligatoire". (2)⇓

    Voilà, dès lors, comment le journal conservateur allemand Die Welt (3)⇓ évoque de tels pourparlers. "Beaucoup de paroles chaleureuses de la part des plus hauts représentants de l'Union européenne. Ceci est un jour important pour le président turc, Recep Tayyip Erdogan. "Nous avons besoin de la Turquie. Nous ne pouvons pas nous y prendre tous seuls" (toujours cette expression "wir schaffen das"…), a déclaré le président du Conseil européen, Donald Tusk, ayant en vue le nombre croissant de réfugiés en Europe. En outre au nom de l'Union européenne Tusk était même prêt à parler d'une "zone tampon"en Syrie le long de la frontière turque. Ceci est une vieille revendication que formule Ankara. Erdogan sourit : "Nous sommes prêts à toutes les formes de coopération." Et le journal conclut : "La Turquie est maintenant plus importante que jamais pour l'Union européenne".

    Pour ce qui est de l'actualité fugace, cependant, il convient ici de rappeler aux gentils négociateurs bruxellois quelques données, sur lesquelles nos médias demeurent fort discrets.

    La Turquie n'est pas seulement inondée de réfugiés et migrants. Elle se débat dans une grave crise monétaire. En un an, entre octobre 2014 et octobre 2015, la livre turque est passée de 2,21 pour un dollar à 3,02, soit un dévissage de 36 %.

    Elle est en pleine campagne électorale. La guerre dans le sud-est anatolien a repris par la volonté d'Erdogan de ressembler le nationalisme turc contre le PKK.

    Soulignons que sur c'est sur ce thème qu'il a organisé ce 4 octobre un énorme meeting de 12 000 personnes à Strasbourg, s'impliquant plus que jamais dans la campagne électorale, espérant rallier une partie de l'électorat nationaliste. Cette intervention la veille de sa visite d'État relève autant du mauvais goût que du mélange des genres.

    Car la majorité AKP a été durablement ébranlée par divers scandales. Dès lors on dit s'inquiéter du fait que l'on négocie avec M. Erdogan dont le pouvoir constitutionnel reste encore, sur le papier, à peu près égal celui du grand-duc de Luxembourg quoique sa mégalomanie soit devenue grandissante depuis quelque temps.

    Certes la diplomatie d'État de ce pays, la résilience de son peuple et, même, l'habileté de ses dirigeants au cours sa longue histoire permettent de préjuger de sa capacité à rebondir.

    La part d'illusion consiste d’autre part, à faire l'impasse sur la politique étrangère de "chauve-souris" qui caractérise la diplomatie turque, tiraillée au moins entre trois identités contradictoires, dont l'islam sunnite et l'Asie centrale, qui l'éloignent de l'Europe. (4)⇓

    Mais justement, il se révélera d'autant plus nécessaire de rappeler aussi quelques faits historiques dont la mémoire habite encore les peuples de l'est européens. Ils sont en général d'autant mieux passés sous silence que l'on a réduit à sa plus simple expression l'enseignement de l'Histoire aussi bien dans le secondaire, depuis la réforme Haby de 1975, ou par l'invasion des soixante-huitards ou dans des programmes comme ceux de l'Institut d'Études politiques sous la régence de feu Richard Descoings.

    Après 40 ans de giscardo-chiraco-socialisme la mémoire nationale des Français n'existe plus, et leur conscience européenne semble s'être réduite à ce que peut en penser Cyril Hanouna.

    Voilà qui permet de répandre, dans une opinion décérébrée, toutes les illusions, en général, et celles qui ont trait à la politique de l'Europe, en particulier.

    JG Malliarakis

    À lire en relation avec cette chronique

    "La Question turque et l'Europe" par JG Malliarakis à commander aux Éditions du Trident, sur la page catalogue ou par correspondace en adressant un chèque de 20 euros aux Éditions du Trident, 39 rue du Cherche-Midi 75006 Paris. 

    Apostilles

     1) cf. sur le site "capitale.be" le 5 octobre 2015 à 15 h 51, et la protestation d'un conseiller communal. 

    2)  cf. "Le Monde" le 3 octobre 2015 à 10h43 "Erdogan, allié obligé de l’Europe"

     3 )cf. "Die Welt" le 5 octobre, article "Flüchtlingskrise : Wir brauchen die Türkei" ("Crise des réfugiés: "Nous avons besoin de la Turquie").

    4) cf. notre chronique de 2009 "La chauve-souris turque sa propagande et sa diplomatie 
du pacte germano-soviétique jusqu'à nos jours", base d'un chapitre de mon petit livre "La Question turque et l'Europe" à commander aux Éditions du Trident, sur la page catalogue ou par correspondace en adressant un chèque de 20 euros aux Éditions du Trident, 39 rue du Cherche-Midi 75006 Paris. 

     http://www.insolent.fr/2015/10/la-nouvelle-illusion-turque.html

  • L’Europe préfère fermer les yeux sur les infanticides néonataux

    Communiqué de Choisir la vie :

    "Vendredi dernier, le Bureau de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe a rejeté, à la majorité, la pétition initiée par le CELJ-  Centre Européen pour la Justice et les Droits de l’Homme contre les infanticides néonataux.

    Cette pétition atteignait pourtant 224 000 signatures ! Il a jugé cette pétition trop sensible politiquement !

    Rappelons que l’infanticide néonatal est une pratique barbare qui concerne chaque année, en Europe, de nombreux enfants qui naissent vivants à l’issue d’un avortement, en particulier lorsqu’ils sont pratiqués au-delà de la 20ème semaine de grossesse. Ces enfants sont, le plus souvent, abandonnés à la mort, sans soins, luttant pour respirer pendant parfois plusieurs heures ou tués par injection létale ou asphyxie. Leur corps est généralement incinéré avec les  déchets biologiques.

    Choisir la Vie, scandalisée par cette décision, qui va totalement à l’encontre des Droits fondamentaux prétendument garantis et défendus par l’Europe.

    Elle appelle tous ses sympathisants à se mobiliser et venir faire entendre la voix de tous ces petits abandonnés à la mort sans soins, ou tués après leur naissance lors de  la Marche pour la Vie du 24 janvier 2016 à Paris qu’elle organise et qui sera une occasion privilégiée de défendre le respect de la Vie de tous ces enfants."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Europe : Marine Le Pen a des choses à dire !

    Marine Le Pen compte bien profiter de son temps de parole demain au parlement de Strasbourg pour attaquer la politique européenne que Merkel et Hollande viendront défendre devant les eurodéputés.

    Alors que l’Union Européenne est de plus en plus contestée, que le fameux couple franco-allemand et sa politique migratoire irresponsable fait grincer de plus en plus de dents, Merkel et Hollande vont s’exprimer demain devant le parlement européen pour tenter de resserrer les boulons et lancer l’idée d’une réforme de l’Union économique et monétaire. Le tout annoncé en grande pompe par Martin Schulz, le président du Parlement européen, évoquant une « visite historique dans une période historiquement difficile ».

    Une occasion en or pour Marine Le Pen, qui en tant que tête de liste du groupe « Europe des nations et des libertés » aura droit à 2 minutes 30 de parole. 2 minutes 30. C’est peu et beaucoup à la fois pour quelqu’un dont le temps de parole habituel est d’une minute. Elle estime que ce sera largement suffisant pour faire passer le message.
    « Je compte leur dire ce que je pense de leur politique et le ton sera dur parce que je crois que leur responsabilité est lourde »,
    a annoncé au Figaro la présidente de Front National, ajoutant qu’elle porte la parole de millions d’Européens en désaccord avec cette politique.
    Si vous souhaitez écouter les interventions de cette journée, rendez-vous ici demain de 15 h à 17h.

    http://fr.novopress.info/193281/europe-marine-le-pen-a-des-choses-a-dire/

  • L’Allemagne en question

    La révélation, en septembre 2015, de l’installation par le groupe Volkswagen (Audi, Porsche, Skoda, VW, etc.) d’un logiciel permettant de manipuler les tests antipollution sur ses moteurs diesel aux États-Unis, confirmée par l’annonce par Volkswagen que le moteur incriminé équipe 11 millions de véhicules dans le monde et par la déclaration du ministre des Transports allemand Alexander Dobrindt admettant que la manipulation des tests antipollution avait également eu lieu en Europe, constitue un scandale sans précédent.

    Cette affaire concernant le premier constructeur automobile mondial porte atteinte à la fois à l’image de « sérieux » de l’industrie automobile allemande, et à la crédibilité d’une Allemagne qui feint de se présenter comme un champion de l’écologie et une puissance respectable.

     

    Crédibilité affectée

    Les conséquences de sa propre fraude sur le groupe allemand sont déjà importantes. Sa crédibilité et son capital confiance sont affectés. Dès l’annonce du scandale, le titre a perdu près du tiers de son cours à la Bourse de Francfort en trois jours, soit une perte de plus de 22 milliards d’euros. Le déficit de confiance est considérables auprès des actionnaires et, surtout, des clients qui ont découvert avec stupeur que la réputation de fiabilité et de compétence des firmes allemandes était largement surfaite. À terme, les sanctions que ne devraient pas manquer de prendre les États-Unis pourraient coûter près de 10 milliards d’euros sans compter les rappels des véhicules aux États-Unis mais aussi en Europe et dans certains pays asiatiques.

    En outre, le scandale a éclaté à un moment de crise économique généralisée. Ainsi, le ralentissement de l’économie de la Chine aura aussi des conséquences sur les résultats du groupe allemand pour qui la Chine est un marché essentiel. Plus largement, c’est le prétendu « modèle » allemand qui est mis à l’épreuve par une affaire qui révèle crûment les contradictions et l’hypocrisie d’un système que certains se sont trop empressés de célébrer à qui mieux mieux.

    L’impossible double jeu allemand

    Voici donc une Allemagne qui prétend se faire le champion de l’écologie quand il s’agit, par exemple, de saboter, avec ses supplétifs « verts », le nucléaire français, mais qui n’a aucun scrupule à entretenir des centrales à charbon - source d’énergie émettant le plus de gaz à effet de serre – et fraude sans vergogne sur les tests anti-pollution de ses automobiles. [....]

    Dr. Charles Saint Prot

    La suite sur Alayammagazine.com

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-Allemagne-en-question

  • 1 milliard d'euros pour la Turquie

    Lu dans la Lettre de l'Expansion :

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    Michel Janva