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Europe et Union européenne - Page 766

  • Et maintenant, la Turquie dans l’Europe, le retour…

    Les chefs d’Etat des pays de l’union européenne étaient de nouveau réunis hier à Bruxelles pour évoquer l’actualité de la déferlante migratoire et la nécessité d’une entente dans ce dossier avec la Turquie, par laquelle transite la majorité des immigrés désireux de gagner l’Europe. François Hollande s’est saisi de cette occasion  pour se livrer à un piètre numéro de chef de file socialiste aux élections régionales en attaquant, sans le nommer, le FN, qualifiant de «manipulateurs» et de «falsificateurs» ceux qui en France «prétendent que nous serions envahis» par un afflux de clandestins «pour des raisons purement politiques, pour faire peur». «En termes de nombre, aujourd’hui, la France n’est pas soumise à un afflux de réfugiés. Aujourd’hui, où vont les réfugiés ? Essentiellement en Allemagne, en Autriche et en Suède. L’Allemagne (…) a accueilli depuis le début de l’année plus de 500 000 personnes et le pays qui, rapporté à sa population, fait le plus pour les réfugiés, c’est la Suède». Il s’agit pourtant de voir la situation en face, sans le charlatanisme propre aux immigrationnistes honteux.

    Oui, la France est confrontée depuis des décennies à une immigration massive, exorbitante, sans commune mesure avec les éventuels besoins de notre économie, extrêmement  coûteuse, facteur d’insécurités multiples, qui colonise  des pans entiers de notre territoire, accélère la paupérisation  et la défrancisation de notre pays. Oui, ces afflux d’immigrés vers une  UE sans frontières, qui se sont accélérés ces derniers mois,  contribueront  à envenimer la situation  en s’ajoutant  à une immigration dite «légale » que  M. Hollande, comme ses prédécesseurs,  impose aux Français.

    La Commission européenne a finalement annoncé cette nuit  la conclusion d’un  «plan d’action commun» avec  la Turquie. «Nous nous sommes mis d’accord sur le contenu exact de ce plan d’action» a claironné  le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, sachant  que la Turquie est  «devenue la porte d’entrée pour des centaines de milliers de réfugiés vers l’Europe.» « L’UE a besoin de la Turquie et la Turquie a besoin de l’UE» a affirmé le très mondialiste vice-président de la Commission,  Frans Timmermans, qui était à Ankara cette semaine  pour  y mener des tractations. M Timmermans, petite parenthèse, fut aussi le maître d’œuvre le 1er octobre du premier colloque de la Commission européenne « pour combattre l’antisémitisme et la haine contre les musulmans», en présence du président du Crif,  Roger Cukierman, à  qui il a promis la nomination d’un coordinateur européen pour la lutte contre l’antisémitisme. »

    Un accord avec la Turquie qui nécessite « des concessions » pour la convaincre, «n’a de sens que s’il réduit effectivement le flux de migrants », a souligné le président du Conseil européen, le très atlantiste  Donald Tusk, organisateur de ce sommet. Le Premier ministre néerlandais, Mark Rutte, s’est voulu lui aussi optimiste en assurant que «la Turquie se montre prête à accueillir davantage de réfugiés et à leur offrir plus de perspectives pour leur éducation et leur travail, à mieux les enregistrer, à une surveillance des frontières plus efficace et aussi à une lutte commune contre les réseaux criminels de trafic d’êtres humains.»

    Les «concessions» accordées au Premier ministre turc Recep Tayip Erdogan, passé maître  dans l’art du chantage, et du double ou triple jeu,  sont en fait assez ahurissantes.  Désavouée par une majorité d’Allemands, dépassée par une situation de submersion migratoire dont ses prises de position et ses déclarations  insensées sont largement responsables, Angela Merkel  s’est chargée d’annoncer  le déblocage envisagé par l’UE d’une somme d’environ  trois milliards d’euros pour fixer les «migrants»  en  Turquie.

    Dans la corbeille européenne  figure également une exigence de M. Erdogan,  une «accélération» des négociations pour faciliter la «libéralisation», l’octroi de visas aux ressortissants turcs voyageant dans l’UE. Et autre  «revanche» pour le Premier ministre turc, la chancelière allemande a  annoncé que les dirigeants européens, dont  François Hollande, sont tombés d’accord pour réactiver le processus d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne, pour ouvrir de nouveaux chapitres de discussions! Faire entrer 80 millions de Turcs dans l’UE pour décourager  l’immigration vers l’Europe,  quelle idée brillante…

    En attendant,  la Turquie n’est plus épargnée sur son sol par un terrorisme sanglant que le jeu trouble  de M. Erdogan n’a pas peu contribué à généraliser  en œuvrant au chaos, notamment en  Syrie. Pour ne rien  dire de l’augmentation de la menace d’attentats sur le sol européen qui découle de l’arrivée au sein de l’UE de centaines de milliers de réfugiés auxquels le gouvernement d’Ankara a ouvert l’accès à  l’Europe, et  qui ne  sont pas tous, en toute hypothèse,  animés des meilleures intentions.

    Loin de combattre prioritairement l’Etat islamique auquel le territoire turc a servi de base arrière pour lutter contre  Bachar el-Assad, les frappes  aériennes turques en Syrie visent principalement non pas les milices djihadistes mais  le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK). Certains disent que M. Erdogan  entend ainsi  rallier la frange la plus dure de son électorat, dans la perspective  des délicates législatives du 1er novembre.

    Ce qui est certain  c’est que la Turquie atlantiste, avec la bénédiction  d’une frange de l’Etat profond états-uniens ( ?), joue actuellement un rôle contraire aux intérêts des peuples européens. C’est aussi le cas,  constate de nouveau Bruno Gollnisch,  des maîtres de cette Europe bruxelloise.  Mais est-ce une surprise ?  

    http://gollnisch.com/2015/10/16/et-maintenant-la-turquie-dans-leurope-le-retour/

  • Un assourdissant silence médiatique sur la crise migratoire en Europe

    Après avoir tenu la chronique quotidienne de l’invasion migratoire de l’Europe, les grands médias sont totalement muets depuis trois semaines sur le sujet.

    La crise migratoire est-elle donc terminée ? 
    Malheureusement, non. Les clandestins sont toujours coincés aux portes de l’Europe occidentale, aux confins de la Serbie, de la Hongrie et de la Croatie. L’Allemagne a déclaré hier qu’elle maintiendrait ses contrôles aux frontières jusqu’à fin octobre. Que se passera-t-il après, c’est-à-dire dans quinze jours ? Nul ne le sait.

    Les dirigeants européens chercheraient-ils à gagner du temps ? 
    Repousser la solution d’un problème présente l’avantage d’y habituer l’opinion, tout en rendant inévitable la solution désirée. C’est la stratégie du différé, l’une des dix techniques de manipulation de masse recensées par le linguiste américain Noam Chomsky.
    Il est évident que les dizaines milliers de clandestins ne resteront pas indéfiniment bloqués entre la Hongrie et la Croatie. L’arrivée de l’hiver constituera un argument pour émouvoir l’opinion. On parle déjà d’infections respiratoires chez les enfants. Il sera alors mal venu de rejeter ces populations aux abois.

    Les gouvernements ont-ils pris toute la mesure de cette invasion ? 
    Les gouvernements européens se sont réparti 120 000 immigrants alors que 710 000 sont déjà arrivés depuis janvier d’après l’agence européenne de surveillance des frontières.
    Plus grave, les autorités se fourvoient sur la nature de ces mouvements de population. François Hollande évoquait des « familles de réfugiés » demandant le « droit d’asile ». Or, le camp de Calais accueille une écrasante majorité de « jeunes hommes en bonne santé » pour l’ONG Human Relief. Et ceux-ci sont « de plus en plus agressifs » selon les syndicats de police, rejoignant en cela l’avis du gouvernement hongrois à l’autre bout de l’Europe.

    En attendant, la France semble prête à s’offrir à l’occupant… 
    En plus des traditionnels CMU, allocations, gîtes et couverts, les envahisseurs pourront gratuitement accéder aux trains et aux musées. Il est en outre demandé aux Français de s’adapter aux nouveaux venus. Ainsi, l’étude de la langue arabe sera encouragée à l’école.

    Maurras disait « la République est le règne de l’étranger ». C’est plus vrai que jamais.

    http://fr.novopress.info/

  • Plus d'Europe ou moins d'Européens ?

    Soudain, le 7 octobre au Parlement européen, on eut un instant l'impression que le président de la république française se réveillait de sa torpeur habituelle, le temps d'une profession de foi. Pépère, puisqu'il faut l'appeler par son nom, plaida ce jour-là, contre les sirènes souverainistes, pour ce qu'il appelle "plus d'Europe".

    Dommage, penseront certains, que le mode d'emploi de ce slogan quantitatif et répétitif n'ait pas été fourni.

    Les pétitions de principes de ce genre ne sont en effet jamais élucidées.

    De quelle quantité "d'Europe" parle-t-on ? S'agit-il d'un rôti dont on reprend une tranche ? D'une pilule dont la posologie figure sur une ordonnance ? Ou très prosaïquement d'une monnaie.

    Il existe autant de différences entre les conceptions de l'Europe qu'entre les substances respectives des nations qui la composent et notamment de la France.

    Ainsi, un discours proeuropéen entendu en 1959, reste encore dans notre souvenir, "l'Europe n'est ni un marché, ni un continent, c'est une race d'hommes qui ont bâti une civilisation et qui doivent s'unir pour la défendre" : une telle définition ne pourrait plus être énoncée dans ces termes, depuis la jurisprudence Nadine Morano.

    Au moins comprend-on ce qu'elle veut dire.

    Elle ne ressemble pas en effet à celle de l'ex strauss-kahnien Le Guen : "L'Europe, a-t-il déclaré sur Radio Classique le 16 septembre, c'est deux choses : l'euro et Schengen."

    La première définition de l'Europe inclut la Grande Bretagne.

    La seconde l'exclut, comme elle écarte aussi d'ailleurs la Suède, la Pologne ou la Tchéquie.

    La passe d'armes franco-françaises du 7 octobre au Parlement européen laissait de côté le vrai problème, du moins celui qui va se poser dans les mois à venir à l'Union européenne : l'éventualité du retrait de la Grande-Bretagne si le référendum promis par son gouvernement donne un résultat négatif, fin 2016 ou en 2017.

    Les observateurs londoniens s'accordent considérer, face à cette question du maintien dans l'Union européenne, trois grandes tendances et pas seulement deux se dessinent dans les rangs conservateurs, y compris parmi les ministres.

    Ceux qu'on appelle les "eurosceptiques" sont décidés à voter non au référendum d'appartenance. Ils espèrent, depuis plus de 30 ans, aboutir effectivement au "brexit" c'est-à-dire à la sortie du Royaume Uni.

    Mais ils ne sont pas seulement confrontés aux partisans du maintien dans l'Union européenne, ils doivent surtout compter avec une manœuvre britannique typique : la "renégociation".

    Cette dernière option, celle dont le cabinet que dirige David Cameron se nourrit, bien évidemment, de la menace d'un "brexit" que les concessions, notamment allemandes, sauront empêcher.

    La conférence du parti conservateur à Manchester le 6 octobre avait pourtant montré une très forte progression de cette hypothèse, malgré des sondages légèrement favorables au maintien et en dépit de l'imbroglio juridique qui résulterait du fait que l'Écosse, elle, est désireuse, de demeurer dans l'Union européenne.

    On doit bien mesurer à cet égard qu'à Manchester la question de l'immigration était en fait celle qui, manifestement préoccupait le plus les Tories. Elle fut soulevée de façon très ferme par Mme Theresa May, ministre de l'Intérieur qui semblait inamovible depuis 2010 et qui a provoqué une sorte de mini-scandale par ses propositions jugées politiquement incorrectes par les bien-pensants.

    En regard on pourrait remarquer aussi que sur un discours de clôture du 7 octobre d'une durée d'une heure, le Premier ministre ne consacra que 2 (deux) minutes à la question européenne, et pour dire qu'il accordait la priorité à la défense des intérêts britanniques en demeurant au sein de l'Union.

    Un groupe appelé "Vote Leave" s'est donc formé au sein des Tories. Il est composé de chefs de d'entreprises, de donateurs et d'anciens dirigeants résolus à faire campagne pour le Non au maintien. Ce comité non seulement ne croit pas à la capacité du premier ministre de renégocier les conditions d'appartenance du Royaume Uni, mais il développe une critique, fondamentale et non négociable, de la réglementation européenne.

    Or, le 9 octobre au soir, David Cameron, dont c'était le 49e anniversaire recevait Angela Merkel aux Chequers. En cette circonstance, 3 questions furent à l'ordre du jour des entretiens bilatéraux, dont celle de la campagne pour ou contre le "brexit", mais aussi, sinon surtout, la crise migratoire et l'affaire syrienne.

    Le Premier ministre a fait part de quatre objectifs du Royaume Uni dans la renégociation : 1° la garantie que l'on ne s'achemine plus de façon irréversible vers un Super-État 2° la renonciation au statut de l'euro monnaie de l'Union 3° la fin du primat de la Zone Euro à 19 sur l'Union à 28, 4° la possibilité pour les parlements de remettre en cause les réglementations bruxelloises.

    À y regarder de plus près ces revendications, essentiellement de principe, pourraient bien convenir au gouvernement de Berlin.

    La question du "plus d'Europe" ne se résume pas en effet à "plus ou moins de Bruxelles". Et, aux yeux de beaucoup, la question la plus urgente semble bien de savoir si en Europe nous acceptons qu'il y ait moins d'Européens et plus d'islamistes. 

    JG Malliarakis

    http://www.insolent.fr/

  • Allemagne : les autorités accusées de taire les violences commises par les immigrés

    Lu sur Réinformation.tv :

    Images-3"Depuis plusieurs jours, l’Allemagne, pays en pointe dans l’accueil irraisonné des « migrants », est le théâtre de violences toujours plus inquiétantes entre différents groupes ethniques, mais également à l’encontre des femmes et des chrétiens. Désormais, police et associations accusent les autorités de taire l’augmentation des violences et des viols commis par les clandestins.

    La police allemande a récemment averti que la violence qui s’exprime à l’intérieur comme à l’extérieur des centres d’asile est désormais hors de contrôle : des dizaines de personnes ont déjà été blessées dans des affrontements communautaires ou ethniques.

    Plusieurs réfugiés chrétiens ont par ailleurs témoigné de violences à leur égard dans les camps de réfugiés. Certains ont même décidé de rentrer dans leur pays d’origine ou de fuir les centres d’accueil après avoir reçu des menaces de mort. De nombreuses autorités, notamment policières, ont préconisé la séparation entre chrétiens et musulmans, ce que le ministre de l’Intérieur, Thomas de Maizière, a jugé « inacceptable », faisant fi de toute réalité.

    Le constat est le même dans de nombreuses villes allemandes : les rixes se multiplient et les centres d’accueil sont toujours plus remplis. La spirale infernale ne peut s’arrêter.

    A titre d’exemple, en Rhénanie du Nord-Westphalie, la police a été appelée près de 1.000 fois en août. Le responsable du second plus gros syndicat allemand de police décrit cette situation comme « le plus grand défi dans l’histoire d’après-guerre ». [...]

    Plusieurs syndicats de police ainsi que quelques associations de défense des femmes sont pourtant montés au créneau, accusant les autorités allemandes de taire ces crimes par intérêt politique et par peur de provoquer un plus grand rejet de ces vagues migratoires incessantes. [...]"

    Michel Janva

  • Migrants : en Autriche, la police déplore une situation devenue « ingérable »

    Nombreux sont les membres de la police à s'assurer « pour leur propre espace privé, d'avoir des réserves d'eau, de nourriture et de munitions » !

    En France, des proches du pouvoir ont le sentiment que « ça va péter quelque part ». En Autriche, des policiers travaillant sur la question des réfugiés décrivent une situation devenue « ingérable » et « intolérable »…

    Non seulement chaque jour des milliers de migrants arrivent en Autriche et en Europe, dont quelques centaines seulement peuvent être enregistrés, ce qui représente déjà un travail colossal pour les policiers, les bénévoles et autres interprètes en nombre insuffisant, raconte un membre de la police au cours d’un entretien avec info-direkt, mais à l’intérieur des centres d’asile, la cohabitation entre migrants génère d’ores et déjà beaucoup de conflits. À commencer entre populations chiites et sunnites, à tel point qu’un Syrien déplore de trouver en Autriche ce qu’il a fui dans son pays. C’est dire…

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  • «Nous venons en paix» : et maintenant des passes gratuites pour les «réfugiés» ?

    « Nous venons en paix », c’est notre chronique de choses vues sur le web et les réseaux sociaux à propos de nos chers « migrants »/« réfugiés »/Bisounours… une petite pastille de vérité dans un océan de propagande aux bons sentiments… mais chut… PADAMALGAM !
    Aujourd’hui, retour en Allemagne, où les aficionados des « migrants » ne savent plus quoi inventer pour le confort de leurs chouchous. Là, c’est un pasteur qui a proposé la mise à disposition gratuite de prostituées pour éviter les crimes sexuels. Comment ? Les gentils migrants seraient capables de crimes ??

    niqab

    Femme portant le niqab. c’est sûr, ça donne moins envie… 

    Quand nous lisions dans ces colonnes une étude liant explosion du nombre de viols en Allemagne et flux migratoires, on pensait à une mauvaise propagande de vilains fascistes refusant le vivre-Ensemble et les joies de la société métissée. Pas possible que nos chers « migrants » puissent s’adonner à de répréhensibles pratiques ! Et puis on lit ailleurs qu’il est conseillé aux jeunes Allemandes d’éviter jupes courtes et décolletés pour éviter les malentendus…
    Mais bon sang, mais c’est bien sûr ! Dans leur culture si supérieure à la nôtre, la femme est bâchée pour éviter aux hommes de brusques et incontrôlables montées d’hormones… Toute femme ne respectant pas ce code vestimentaire de bon sens envoie donc un message clair à tout « migrant » : « prends-moi ! » Sans doute au Moyen-Orient et en Afrique les seules productions cinématographiques européennes à être diffusées sont-elles classées « X » chez nous…

    C’est ce qu’a bien compris ce pasteur allemand, qui propose, sûrement le temps que les Allemandes s’habituent au niqab, d’offrir des prostituées aux migrants.
    Le journal bavarois Merkur rapporte

    L’idée m’est venue quand un ami m’a raconté que dans son village se sont installés 100 demandeurs d’asile et maintenant les gens ont peur que tant d’hommes puissent harceler les femmes du village.

    Le tout pourrait être financé par une action humanitaire qui s’appellerait « Amour libre pour être humains libres », ou la générosité de patrons de maison close. C’est bien connu, le meilleur moyen de faire passer une tentation étant d’y céder immédiatement, les troubles pensées de nos chers « réfugiés » à la vue de femmes indécemment vêtues passeront mieux s’ils peuvent se défouler sur des personnes mandatées à cet effet…
    Autre effet bénéfique, la mesure risquerait de conforter les clandestins dans leurs penchants, leur inculquant par là l’un des sommets de la civilisation occidentale : la soumission à toutes ses pulsions, les préparant ainsi à devenir de bons consommateurs, acheteurs compulsifs de tous les gadgets sans lesquels il n’est pas de bonheur terrestre possible, à défaut d’être des voisins paisibles…
    Nous serons pour notre part curieux de savoir à quelle église appartient le bon pasteur, pour ainsi prôner « l’amour libre » au lieu de la vertu et la justification des pulsions au lieu du respect de la femme (la sienne et celle d’autrui…)

    http://fr.novopress.info/193524/venons-en-paix-maintenant-passes-gratuites-les-refugies/

  • Municipales à Vienne (Autriche) : perçée du FPÖ

    Les Viennois étaient appelés aux urnes hier pour élire leur exécutif au terme d’une campagne centrée sur les immigrés clandestins qui affluent en Europe.

    Qu’est il sorti des urnes ? 
    Le SPÖ, le parti socialiste autrichien qui dirige la ville de Vienne, traditionnellement ancrée à gauche puisqu’elle n’a jamais basculé depuis 1945 est arrivé en tête avec 40 % des voix. LE FPÖ, de droite nationale et allié du FN au Parlement européen réalise un résultat encourageant avec 31 % des voix.
    En 10 ans, le FPÖ a doublé son résultat et s’affirme ainsi comme la deuxième force politique régionale. Les conservateurs du ÖVP sont relégués dans le rôle du troisième homme. Cette victoire du SPÖ qui montre toute la mainmise des socialistes sur Vienne ne fait pas oublier la lente érosion qu’ils subissent. Ils avaient été obligés en 2010 de former une coalition avec les verts.

    Que faut il en retirer ? 
    Si le thème des immigrés clandestins était au cœur de la campagne puisque le maire SPÖ avait annoncé que Vienne POUVAIT les accueillir, le FPÖ progresse et avance vers son véritable objectif. Heinz Christian Strache, chef du FPÖ, a réussi à mettre en sourdine l’outrance de son parti et a engrangé le soutien d’un maire d’arrondissement conservateur. Strache compte devenir chancelier dès les élections législatives de 2018.

    http://fr.novopress.info/

  • Souvenez-vous : UMP : vous avez aimé les divisions sur le mariage homo ? Vous adorerez celles sur l'Europe

    Les élections européennes ont lieu dans un an et suscitent déjà convoitises et divisions souterraines à l'UMP. l’UMP, la guerre interne autour du "mariage entre deux personnes de même sexe" n’en finit pas de connaitre ses derniers soubresauts ( le dernier en date étant le souhait de Guillaume Peltier, tenant de la Droite Forte, de ne pas voir Nathalie Koziusko-Morizet désignée comme candidate à la primaire pour les Municipales), que déjà une nouvelle ligne de fracture est en train de resurgir, autour de l’Europe cette fois. La question européenne est récurrente à Droite et comme les élections européennes ont lieu dans un an, après les municipales, les appétits s’aiguisent. Les amateurs de pugilat peuvent se frotter les mains : ils ne seront pas déçus. Car l’éternel débat philosophique entre souverainistes et fédéralistes dissimule une lutte acharnée pour l’obtention d’un siège au Parlement Européen, autrement dit pour figurer sur une liste composée par l’état-major du Parti. Mais chut, pas question d’évoquer ces querelles au grand jour pour l’instant. Des tenants de la ligne fédéraliste en ont fait les frais hier. 
    Les dirigeants du courant France Moderne et Humaniste, emmenés par Jean-Pierre Raffarin et Luc Chatel avaient organisé une conférence de presse sur un thème alléchant : "Y a-t-il encore une place pour les Européens à l’UMP ?". Voilà qui promettait, mais les amateurs de joutes oratoires en ont été pour leurs frais. La provoc est restée sur le papier. En fait de débat interne, les intervenants se sont relayés pour exprimer leur inquiétude à cause de "la façon dont François Hollande dégrade la construction européenne et la relation franco-allemande", et, de façon générale, mettre en pièces la politique européenne du Président de la République , "qui a perdu une année", et dont les "propositions nouvelles ; elles avaient était faites par Nicolas Sarkozy en son temps", pour déplorer aussi que "le PS a fait reculer la construction européenne depuis 2005 ", que "la France soit devenue le mauvais élève de l’Europe", et pour réaffirmer leur foi en "deux grandes idées, le fédéralisme budgétaire et la création d’une fédération franco allemande". Enfin les Humanistes proposent de présenter des listes communes avec les centristes de l’UDI. Fermez le ban. 
    C’est qu’à l’UMP, il est devenu urgent d’attendre. Les "Humanistes" l’auront sans doute compris en entendant le coup de gueule d’une députée de Moselle , Marie-Jo Zimmermann, élue depuis 1998, qui a, dans le huis clos de la réunion de Bureau du Groupe, exprimé son ras le bol de n’entendre que les "battus". Dans son viseur, Nadine Morano, qui veut figurer sur la liste du grand Est au détriment d’une députée sortante. Ils ont sans doute également écoutés Valérie Pécresse, active au sein de la commission d’investiture, qui explique plus chastement qu’il ne faut pas "démobiliser" les sortants, et qu’il convient de s’occuper en priorité des municipales, qui ont lieu en mars. Ils ont sans doute aussi mesuré les rivalités internes à leur courant, car derrière celui qui fait figure de sage stratosphérique, et se désole "qu’au moment où la croissance se fait à l’échelon continental ( Asie, Afrique, Chine ), l’Europe se fragilise", les uns et les autres se marquent à la culotte, surveillant de près un Luc Chatel, dont la tête pourrait dépasser. Et il ne s’agit là que d’un courant de l’UMP, de loin pas le plus important, surtout en ce qui concerne la question de l’Europe. Les souverainistes, nombreux au sein de la Droite Populaire, n’ont pas l’intention de se ranger derrière les fédéralistes."L’Europe, vous voulez parlez de ce corbillard ?" lance Jacques Myard, qui affirme que "toute la construction européenne est en train de se casser la gueule ; la machine est en train de se gripper", car on "a construit l’Europe sur une utopie" ! A l’opposé des fédéralistes, ce souverainiste revendiqué pense que "l’Allemagne a la tentation de sortir" et préconise de la coopération plutôt que de l’intégration ! 
    Le débat va forcément revenir au grand jour à l’occasion de la Convention sur l’Europe que l’UMP organise très prochainement, afin de se doter d’un corpus idéologique. Jusqu’à présent l’UMP, qui espérait regrouper toute la droite, n’a, pas plus que le RPR autrefois, tranché sur "le degré d’abandon de souveraineté auquel on peut consentir". Comme le souligne le député des Français de l’étranger Thierry Mariani, "deux positions contradictoires cohabitent : celle, plutôt souverainiste du RPR et la position fédéraliste de l’ancienne UDF. C’est cette dernière qui est la position officielle mais elle ne plait pas à notre électorat , et c’est pourquoi on ne fera pas beaucoup de voix , c’est un boulevard pour d’autres listes ….". Un scénario qui s’est déjà produit lors de précédents scrutins. Quant à l’UDI, elle attend tranquillement les propositions officielles ; Jean-Louis Borloo a déjà prévenu : "les Européens, ce sont les Centristes !"

    Source

    http://www.oragesdacier.info/