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Europe et Union européenne - Page 772

  • Allemagne : Le Congrès fondateur du parti anti-immigration décide que “l’islam n’a pas sa place en Allemagne”

     
    Le parti “Alternative pour l’Allemagne” tenait son congrès fondateur ce week-end à Stuttgart. L’occasion pour le parti de droite nationale d’inscrire l’opposition à l’islamisation dans son programme. 
     
    “L’islam ne fait pas partie de l’Allemagne” 
    Le manifeste adopté par les 2000 congressistes présents affirme que “l’islam ne fait pas partie de l’Allemagne”. Une prise de position en forme de réponse à Angela Merkel, au plus bas dans les sondages, qui avait affirmé que “l’islam faisait partie de l’Allemagne”. Le parti entend ainsi interdire les minarets, les appels à la prière, les voiles ou encore remettre en question l’impôt qui finance les activités religieuses en Allemagne. Le parti est désormais représentés dans 8 états régionaux sur 16 et aborde les élections législatives de 2017 avec 14% des intentions de vote. 
     
    “Patriotisme libre et sain” 
    Le chef du parti, Jörg Meuthen, a présenté l’AfD dans son discours d’ouverture comme représentatif d’un “conservatisme moderne et d’un patriotisme libre et sain”, ajoutant que la culture de l’Allemagne était ancrée dans les valeurs “chrétiennes et occidentales” et non pas l’islam. Les membres du parti ont également approuvé un engagement à défendre les frontières allemandes, la sortie de l’euro ou encore le rétablissement du service militaire obligatoire. Ils ont également condamné “l’idéologie du multiculturalisme” et réaffirmé les valeurs de la famille traditionnelle comme de la culture nationale allemande.
     

  • Journal du Mardi 10 Mai 2016 : Terrorisme / L’Allemagne récolte la tempête

  • Un mort et trois blessés dans une attaque islamiste près de Munich

    MUNICH (NOVOpress) : Un homme est mort et trois autres ont été blessées au petit matin à la gare de Grafing, près de Munich, par un homme qui a crié « Allah Akbar » avant de les poignarder.

     

    http://fr.novopress.info/

  • De quoi Sadiq Khan est-il le nom ?

    Source : Boulevard Voltaire

    L’élection du nouveau maire travailliste de Londres n’a pas manqué de susciter les réactions les plus diverses. Sadiq Khan restera pour l’Histoire, quoi que puissent en dire les beaux esprits, le premier maire musulman d’une grande ville européenne, et pas des moindres. Londres bascule entre les mains des travaillistes après une longue période conservatrice, incarnée par le charismatique Boris Johnson, actuel meneur des partisans du « Brexit ».

    Néanmoins, si vous pensiez que Sadiq Khan appartenait à la faction islamo-gauchiste du grand parti de gauche britannique, vous vous trompiez. L’homme est plutôt considéré comme un bébé Tony Blair, héritier de la deuxième gauche parfois abusivement qualifiée de « libérale-libertaire » et partisan convaincu du maintien de la Grande-Bretagne dans l’Union européenne. Son modèle politique n’est autre que le baron Kinnock, chef de l’opposition travailliste de 1983 à 1992, membre de la Commission européenne de 1995 à 2004 et connu pour son engagement militant au sein de l’Association humaniste britannique (British Humanist Association). Sadiq Khan s’est aussi fait remarquer pour son zèle en faveur de l’immigration de masse, se laissant photographier muni d’une pancarte « Refugees Welcome » en plein cœur de la capitale anglaise.

    N’appartenant certes pas au courant islamo-gauchiste et antisioniste du Parti travailliste, Sadiq Khan a su se ménager cette faction importante de la formation politique, actuellement déchirée entre les partisans de Corbyn et les nostalgiques de Tony Blair. Comment ? D’abord pour ce qu’il est essentiellement, c’est-à-dire le fils d’un immigré pakistanais musulman. Même s’ils ne sont pas très exactement sur sa ligne politique, les gauchistes communautaristes savent que les symboles comptent plus que toute autre chose en politique. Sadiq Khan incarne, après Barack Obama, la revanche des anciens colonisés, des damnés de la Terre, sur ce « monde blanc » honni. Malin, il a d’ailleurs laissé les antisionistes du parti attaquer son adversaire conservateur Zac Goldsmith, milliardaire de confession juive, sans les appuyer ni les contredire.

    Quelques commentateurs informés ont jugé bon de préciser que Sadiq Khan n’était pas aimé des musulmans londoniens les plus radicaux, notamment les influents salafistes, en raison de certaines prises de position « progressistes » comme son vote en faveur du mariage homosexuel. Ce qui vaut pour des minorités agissantes ne vaut pas pour le petit peuple musulman de Londres. D’abord, une grande majorité n’était certainement pas au courant. Ensuite, ceux qui l’étaient ne pouvaient que s’en moquer car ces « choses-là » n’auront pas cours dans la « communauté ». Sadiq Khan n’a pas été élu maire de Londres uniquement en raison de ses origines ou de sa religion. Il serait faux de le dire. Il a été principalement élu maire de Londres parce que les électeurs en avaient assez d’une caste politique souvent interchangeable, mais aussi en raison d’un programme plus social dans une ville à deux vitesses.

    On aurait cependant tort de sous-estimer ce fait majeur de notre histoire contemporaine, témoignant des profonds changements démographiques à l’œuvre en Europe de l’Ouest. Ce n’est pas anodin. Sadiq Khan incarne physiquement la transformation de l’Europe par un phénomène que certains appellent le « Grand Remplacement ». Bientôt, les Européens natifs ne pourront plus gagner des élections dans les grands centres urbains. La gauche continentale l’a très bien assimilé. Pour que l’électorat issu de la « diversité », ou plus précisément extra-européen, ait envie de se déplacer, il faudra que les candidats lui ressemblent. Et c’est cet électorat-là qui fera pencher la balance en faveur de la gauche, quand la bobocratie locale lui est déjà acquise quoi qu’il advienne… Sadiq Khan est donc le nom d’un changement de paradigme : le vote ethnique dans l’Europe multiculturelle.

    Gabriel Robin

    http://fr.novopress.info/200888/sadiq-khan-il-nom/#more-200888

  • Journal du lundi 9 mai 2016 : union européenne / Londres : chronique du grand remplacement

  • Ce que l’élection de Sadiq Khan signifie, par Anthony Florent

    C’est donc fait : après une campagne axée sur les questions identitaires, le fils d’immigrés pakistanais Sadiq Khan est devenu maire de Londres. Londres, capitale de ce qui fut l’Empire britannique, ancien phare de la civilisation européenne, est aujourd’hui dirigée par un musulman.

    La nouvelle est-elle importante ? Nous savions déjà qu’à Londres, les « Blancs britanniques » sont minoritaires [1] ; que dans certains quartiers, l’anglais est de fait une langue étrangère [2]. L’Angleterre, d’une manière plus générale, a été touchée par des affaires de prostitution où des adolescentes anglaises de souche un peu paumées étaient réduites en esclavage sexuel par des gangs pakistanais [3].

    Londres, comme Paris, a connu ses émeutes ethniques faisant suite à une pseudo-bavure policière. A Londres, encore plus qu’à Paris, les femmes en niqab intégral ne surprennent plus personne, et manger halal ne présente pas la moindre espèce de difficulté.

    Londres a toléré des mosquées radicales, comme celle de Finsbury Park, qui fut fréquentée par des opérateurs d’Al Qaïda et où on prêchait la haine de l’infidèle. Le Royaume-Uni, pendant des années, a accordé asile à Rachid Ramda, « cerveau » des attentats de 1995, et n’a accepté de l’extrader vers la France qu’après les attentats du 7 juillet 2005, qui firent 56 morts et 700 blessés.

    Alors, à coté de cette situation qui dure depuis des années, que vaut l’élection de Sadiq Khan ? Les hommes politiques d’origine européenne ne posent-ils pas, eux aussi, avec des panneaux « Refugees Welcome » ? Sadiq Khan est-il plus susceptible qu’un autre de promouvoir le remplacement de la population anglaise par des peuples extra-européens ? La gestion municipale de Sadiq Khan sera-t-elle différente de ce qu’aurait été la gestion d’un élu travailliste quelconque ?

    Sans doute pas. D’un point de vue juridique ou administratif, l’élection de Sadiq Khan est très probablement un non-évènement. Mais, symboliquement, l’accession d’un immigré extra-européen musulman à la tête d’une des plus grandes capitales européennes est d’une importance capitale. Car il s’agit d’une nouvelle étape dans la dépossession des Européens de leur destin.

    Sous l’effet du Grand Remplacement, du terrorisme, des associations antiracistes, nous, Européens, étions déjà dépossédés de portions entières de nos territoires, de nos cultures, de nos libertés. Sous l’effet de la mondialisation, nous avons perdu le contrôle de nos économies, avons laissé des territoires entiers (la France périphérique et ses équivalents chez nos voisins) devenir des déserts, sans richesse ni avenir, et condamné des millions de nos compatriotes à la misère.

    Aujourd’hui, avec l’élection de Sadiq Khan, nous sommes dépossédés de nos responsables politiques. Nous ne sommes plus dirigés par nous-mêmes. Ceux qui font les lois ne sont plus des nôtres.

    Encore une fois, cela ne change sans doute pas grand-chose sur le fond. Les très européens François Hollande, Jean-Claude Junker, Angela Merkel, ou tous les autres, sont les premiers responsables l’orientation catastrophique de notre civilisation.

    Mais symboliquement, nous sommes aujourd’hui dépossédés des derniers arpents de pouvoir que nous avions sur nos pays. Nous ne sommes plus chez nous : nous sommes désormais une minorité comme les autres.

    Mais nous ne sommes dépossédés que parce que nous le laissons faire. Il ne tient qu’à nous de reprendre le contrôle de notre continent. Il ne tient qu’à nous de refuser de perdre le contrôle de notre destin. Nous, Européens, sommes encore largement en mesure de nous lever et de proclamer que nous sommes chez nous, et que nous entendons bien rester maîtres chez nous.

    Anthony Florent, militant GI (@AnthonyFlorent)

     

    http://fr.novopress.info/

  • Lorsque les populations sont remplacées, les dirigeants aussi

    Suite à l'élection d'un maire musulman à Londres, Pascal Gannat prédit 

    https://twitter.com/pgannat/status/728915383596486657?ref_src=twsrc%5Etfw

    https://twitter.com/pgannat/status/728932965359702016?ref_src=twsrc%5Etfw

    Le Lab rapporte ces tweets en expliquant :

    "Concernant par ailleurs le "grand remplacement", certains responsables FN valident totalement et ouvertement cette théorie de l'écrivain d'extrême droite Renaud Camus. Stéphane Ravier donc, mais aussi Marion Maréchal-Le Pen ou Gilbert Collard, sans parler de Jean-Marie Le Pen.

    Marine Le Pen, de son côté, s'attache à ne pas prononcer les termes en question, tout en jugeant que la théorie qu'ils dessinent est valable."

    Pascal Gannat explique :

    "1/ Je parle d'expérience : élu municipal de ROUBAIX durant 12 ans, et conseiller régional du Nord durant 6 ans, j'ai vu progressivement cette ville se modifier radicalement dans sa composition sociologique et sa population, sous la pression de l'immigration. Les Français de souche ont quitté cette ville massivement. La majorité des habitants de cette ville est aujourd'hui d'origine immigrée et bien évidemment, un jour aura un maire issu de l'une de ses communautés non française de culture. Un colloque de la Fondation Polignac-Singer au début des années 2000 précisait qu'entre 2035 et 2045, 40 % des naisssances en France seraient d'origine arabo-musulmane, ou africano-musulmane, par la simple prolongation des courbes démograpiques de l'époque, il y a donc plus de 10 ans.

    2/ D'autre part, Sadik KHAN demeure très proche de milieux islamistes fondamentalistes, bien que pour masquer cela et faire progressiste, il se soit prononcé en faveur du mariage homo. Cette position -qui n'a d'ailleurs rien pour me plaire- n'est en rien un signe de rupture avec les milieux radicaux qui se fichent éperdument de la législation britannique, dans laquelle au passage le mariage religieux équivaut au mariage civil. Il a justifié l'infériorité des femmes pour des raisons religieuses. Durant sa campagne électorale, sa femme aparaissait les cheveux libres et en lunettes de soleil, le soir de son élection sa femme portait à nouveau le voile qui cachait ses cheveux [cf photo, NDMJ]. Un comportement typique des fondamentalistes, modernistes en apparence, mais porteurs d'un islam radical en fait.

    3/ Sadik KHAN est contre le BREXIT, c'est à dire un vote en faveur de la sortie du Royaume Uni de l'Europe : il est immigrationniste et il sait très bien que la porte d'entrée de quelques dizaines de millions d'autres immigrés dans les 20 ans à venir se trouve à Bruxelles. Socialiste, il ressemble aux socialistes de la fondation TERRA NOVA qui prônait dans un rapport le soutien de la gauche aux immigrés et l'abandon des français modestes, jugés irrécupérables, car attachés à leurs racines et à la défense de leurs intérêts légitimes de citoyens français.

    4/ En France ce sera pire, et je maintiens, car 20 % de l'Islam français n'est pas intégré et que la moitié des mosquées françaises sont administrées par des fondamentalistes."

    Michel Janva

  • Après le Traité de Lisbonne, Nicolas Sarkozy veut... un nouveau traité

    Après le rejet du Traité constitutionnel européen par les Français en 2005, Nicolas Sarkozy nous a imposé de force le Traité de Lisbonne, en tout point comparable. Devant l'échec criant de l'Union européenne face aux crises économique, migratoire, identitaire..., il propose rien de moins qu'un nouveau traité :

    "Au point où nous en sommes, il faut un nouveau traité, un traité de refondation. C'est la proposition que la France devra mettre sur la table dès le début de l'alternance. Et cela quelle que soit l'issue du référendum sur le Brexit. Si le Royaume-Uni sort de l'Union, ce sera une catastrophe pour eux et pour nous, annonçant une période de grande incertitude économique et politique. Sinon, ce sera évidemment une très bonne nouvelle, mais une véritable refondation de l'Europe n'en restera pas moins nécessaire.

    En quoi consisterait ce nouveau traité ?

    Il devra changer deux choses prioritairement: les compétences des institutions communautaires et leur fonctionnement. Il existe en réalité deux Europe qui n'ont plus besoin des mêmes politiques. Dans l'organisation de la zone euro, il faut aller jusqu'au bout de l'intégration: je proposerai la création d'un Fonds monétaire européen et d'un secrétaire général du gouvernement économique qui agisse comme un véritable directeur du Trésor. Le FMI n'a pas de légitimité pour s'occuper des affaires de l'UE, compte tenu notamment du poids qu'y ont les États-Unis. La légitimité du gouvernement économique de la zone euro devra reposer sur l'union de la France et de l'Allemagne, car nous représentons 50 % de son PIB.

    Quid des autres ?

    S'agissant de l'Europe à 28, il faut revoir complètement la répartition des compétences entre les États et l'Union. L'Europe s'occupe de beaucoup trop de choses. Il faut notamment en finir avec les excès de la Commission sur les «actes délégués».L'Europe doit recentrer ses compétences sur pas plus d'une dizaine de politiques communes prioritaires. Notamment, le droit de la concurrence européen doit être complètement revu. La Commission européenne ne peut pas constituer tout à la fois un exécutif, un législatif et un tribunal. L'Europe doit à nouveau être comprise des Européens."

    Sic. Ce fonctionnement décrié par Nicolas Sarkozy est issu du Traité de Lisbonne (qui reprend lui-même les traités antérieurs).

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La générosité sur le dos du peuple, spécialité des élites mondialisées

    Nous courons tout droit vers la catastrophe économique.

    L’une des plus grosses escroqueries intellectuelles de la période récente consiste à faire croire aux électeurs européens que le coût des dépenses nouvelles ou exceptionnelles que les États vont devoir engager en relation avec l’immigration sera supporté équitablement par l’ensemble des contribuables, comme toutes les autres dépenses publiques. Or, c’est archi-faux.

    Lorsqu’un État est obligé d’emprunter pour boucler son budget et que, par ailleurs, il est engagé dans une politique de réduction de ses dépenses et de gel des impôts, toute dépense supplémentaire ne peut être financée que par le recours à l’emprunt ou en procédant à des arbitrages aux dépens des dépenses courantes. C’est ce que les économistes appellent raisonner en coût marginal, par opposition au coût moyen. Dans le cas particulier de l’aide aux réfugiés – et il faut être clair là-dessus -, non seulement les gros contribuables ne paieront rien du tout (pas de nouvel impôt), mais encore ils ne subiront bien évidemment aucune pression à la baisse sur leurs revenus, et même pourront disposer d’une main-d’œuvre corvéable à merci (ouvriers, employés de maison). Comme on dit trivialement, pour eux, c’est tout bénef. En revanche, pour le citoyen lambda, c’est la double peine. Non seulement il va devoir accepter une concurrence déloyale sur le marché du travail, mais en plus, c’est lui qui va payer car, au minimum, il va devoir supporter – maîtrise des dépenses oblige – l’inévitable diminution en qualité (si ce n’est en quantité) du service public (protection sociale, assurance maladie, etc.).

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