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Europe et Union européenne - Page 867

  • La Grèce, et après ? Michel Drac et Pierre Stadere sur Méridien Zéro (27 février 2015)

  • Les réformes ou la faillite

    Les négociations de cette semaine à Bruxelles le confirment. Ce 20 mars au matin, Le Figaro en ligne pouvait résumer la situation en titrant : "La Grèce promet des réformes en urgence pour déjouer la faillite". (1)⇓

    Car le gouvernement gauchiste de Tsipras, soutenu par les souverainistes locaux du délirant Kammenos, a plongé la malheureuse Grèce dans une situation dramatique dont son prédécesseur était en train de la sortir.

     

    Aujourd'hui comme hier ce pays, ne saurait envisager par conséquent que deux issues possibles : les réformes, les vraies, celle que requiert le bon sens économique et social, quel que soit le costume porté par les représentants, nécessairement impopulaires, des créanciers – ou la faillite, conséquence désormais inéluctable de la démagogie.

    On peut l'observer de diverses manières : froidement, si l'on n'entretient aucun rapport affectif avec le pays considéré ; tristement si l'on confond le peuple et son gouvernement ; hardiment si l'on se situe dans l'action politique.

    Mais, dans tous les cas, ceci vaut en fait, comme la loi de la pesanteur, sous toutes les latitudes.

    Retenons 3 règles, que le socialisme, et pas seulement les politiciens étiquetés sous ce label prétendent ignorer :

    1. On ne peut pas faire de social à crédit.

    2. On ne doit pas engager de dépenses publiques au-delà des recettes budgétaires effectives.

    3. On doit concentrer l'action du gouvernement sur les tâches régaliennes de l'État. Point final.

    Or depuis le début de ce qu'on appelle la "crise grecque", le prétendu "modèle français" s'entrevoit en filigrane.

    Peut-être la faillite hexagonale ne prendra-t-elle pas les mêmes formes que la faillite d'autre pays. C'est la seule originalité qui demeurera.

    Politiquement, tout le système des socialistes a jusqu'ici reposé sur l'union de la gauche. Cette union se trouve sérieusement mise en péril par une partie des anciens soutiens de la campagne Hollande de 2012. Et aujourd'hui le pouvoir s'efforce de présenter pour des "réformes" un certain nombre de mesures démagogiques ou destructrices. Car toute loi votée peut ainsi, faussement, être appelée "réforme".

    Le contresens est total, car la plupart de ces lois nouvelles enfreignent l'une des trois règles citées plus haut. Soulignons au besoin que la prétendue "droite" fait en général de même, quoique sur une échelle un tout petit plus "modérée", quand elle occupe le pouvoir : on prétend faire du social à crédit, on accepte des budgets en déficits couverts par emprunt, on multiplie les interventions de l'État dans des domaines où il ne devrait pas se mêler, en laissant de côté les tâches prioritaires de défense des frontières, de défense de la sûreté des citoyens, de défense de l'ordre et de la loi.

    Ajoutons que ces questions devraient, auraient dû, constituer la trame du débat des élections départementales puisque les finances de nos collectivités territoriales surannées reposent toutes sur des fictions et des subventions. Mais qui s'en préoccupe ?

    Alors, sans préconiser l'abstention, – et ne votant pas moi-même ce 22 mars puisqu’électeur parisien, – je vois mal comment en condamner la progression annoncée, pas plus que l'on ne devrait s'étonner du nombre des voix protestataires promises par sondages aux diverses forces d'opposition.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1.  cf. Le Figaro du 20 mars. 

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  • Le Vlaams Belang lance une campagne pour la remigration

    Le Vlaams Belang a lancé jeudi une nouvelle campagne incitant les musulmans “qui ne sentent pas chez eux ici” ou partisans de l’introduction de la sharia à quitter la Belgique pour aller vivre en terre d’islam.

    Intitulée “Oost West? Thuis Best!” (“est ouest, plutôt à la maison”), cette campagne propose également un concours permettant de gagner dix billets d’avion “vers un pays islamique au choix”.

    Filip Dewinter, le chef de file du Vlaams Belang, plaide pour une “politique de retour active” autrement dit de remigration. La section anversoise distribuera dans un premier temps 60 000 tracts dans les quartiers à forte population immigrée d’Anvers-Nord, de Borgerhout, de Deurne-Nord et de Hoboken.

    Cette initiative fait écho aux propositions faites par le Bloc identitaire en France avec ses 26 mesures pour la remigration.

    http://fr.novopress.info/184328/vlaams-belang-lance-campagne-remigration/

  • L’arme de l’information « Made in USA » contre les dirigeants européens …

    Doit on les appeller « alliés »? Nous n’arrivons plus à digérer tout ce qui vient de l’autre côté de l’Atlantique. Les moyens de pressions qu’ils emploient envers tous ceux qui ont des vélléités d’indépendance, sont à la mesure des mètres carrés de leur territoire. Ils ne reculeront devant aucune bassesse, pour maintenir leur « titre » de « gendarme du monde ». Quitte pour cela, à fomenter guerre et atrocités, dont ils s’empresseront de rejeter la responsabilité sur ceux qu’ils ont osé leur résister. Quels moyens de pressions ont ils sur la France, pour que nous soyons à genoux devant ces « va t-en guerre »?

    Anonymous est apparu pour la première fois sur la toile d’Internet en 2003 comme un groupe de hackers activistes défendant la liberté d’expression et opérant comme un «  cerveau digital global anarchiste. » Il s’agit d’un instrument, ou plutôt d’une arme destinée à être utilisée dans la guerre de l’information. Et cette arme a un avantage considérable : il s’est bien souvent avéré difficile de savoir qui l’utilisait vraiment. Pourtant, le problème ne se posait pas lorsqu’Anonymous publiait en 1993 une photo d’Angela Merkel rendant visite au Club Elbterrassen pour y rencontrer quelques skinheads et quelques autres personnages dont l’un exécutait un salut nazi…

    Berlin s’était alors fendu d’explications circonstanciées, mais ce n’est pas là le problème. Une photo vieille de plus de 12 ans vient d’être publiée le 9 février dernier, juste avant la visite d’Angela Merkel à Washington, et après sa rencontre avec le président français François Hollande et le président russe Vladimir Poutine à Moscou, une réunion qui a duré plusieurs heures.

    En publiant cette photo, Anonymous demandait si, pour diriger l’Allemagne, on pouvait vraiment faire confiance à une femme politique qui fut membre de l’Organisation de la Jeunesse socialiste en Allemagne de l’Est, qui était une espionne de Berlin Est, et qui fricotait avec les nazis.

    L’attaque médiatique a été précédée par un événement notable : la chancelière s’est opposée à l’idée de fournir des armes léthales à  l’Ukraine. Angela Merkel a pris la parole lors d’une conférence sur la Sécurité à Munich le 7 février pour dire que « la situation de l’Ukraine ne s’améliorera pas en fournissant plus d’armes. » Et elle a réitéré cette affirmation un certain nombre de fois lors de ses récents voyages aux États-Unis et au Canada. Aux USA, ce sont le sénateur John McCain et la secrétaire d’État adjointe aux affaires européennes et asiatiques, Victoria Nuland, qui ont répondu en premier. Le Sénateur a comparé les tractations entre Merkel, Hollande et Poutine à la réunion d’apaisement entre Neville Chamberlin et Adolf Hitler. Mme Nuland a, comme à son habitude, utilisé un langage particulièrement obscène pour qualifier la dirigeante du principal État européen.

    Il faut se rappeler aussi que depuis un certain temps, les services secrets américains ont abondamment collecté toute sorte d’informations, par différents moyens, dans le but de pouvoir les utiliser contre la chancelière allemande. On a appris par exemple en octobre 2013 que la NSA (National Security Agency) avait mis sur écoute le téléphone personnel de Mme Merkel, et l’information selon laquelle l’Agence américaine maintenait depuis plus de 10 ans la Chancelière sous surveillance a provoqué un énorme scandale. Mme Merkel a expliqué qu’elle n’attendait ni n’exigeait aucune excuse particulière, mais cette affaire a ouvert une importante brèche dans la confiance mutuelle et il a fallu des efforts importants pour tenter de la restaurer. Les promesses n’ont pas suffi, et la situation imposait des changements. Dans ces circonstances, la Chancelière pouvait difficilement calmer l’indignation générale, mais Washington a fait la sourde oreille sur ce qu’elle disait. L’histoire des enregistrements a finalement été étouffée et il n’y a eu aucun réel changement.

    Angela Merkel n’est pas la seule dirigeante européenne à avoir fait l’expérience des pratiques de Washington concernant toute « liberté de pensée »  des leaders européens, en particulier quand il  s’agit de la Russie. Les exemples ne manquent pas.

    La Hongrie, emmenée par son premier ministre Victor Orban, a signé avec la Russie un contrat pour achever la construction de deux centrales nucléaires situées à 100 km de Budapest. Les États-Unis ont [immédiatement] imposé des sanctions contre la Hongrie. Le Sénateur McCain, toujours aussi prompt à dégainer, a qualifié le premier ministre hongrois de « dictateur fasciste ». [Dans le même temps], le président Poutine était attendu à Budapest le 17 février.

     

    L’administration US est aussi insatisfaite de la position de Milos Zeman, le président de la République tchèque, qui a osé demander des preuves que les troupes russes ont bien envahi l’Ukraine, et a appelé les États-Unis et l’Union européenne à mettre fin aux sanctions. Les USA ont alors utilisé leurs réseaux dans le pays pour lancer une vaste campagne discréditant le Président.

    Alors qu’il était premier ministre de l’Italie, Silvio Berlusconi n’hésita pas à affirmer que la compréhension mutuelle entre la Russie et les États-Unis était une exigence pour la stabilité en Europe. Il a déclaré que les USA avaient agi de façon irresponsable en déployant des missiles de défense en Pologne et en République tchèque, en reconnaissant l’indépendance du Kosovo, et en poussant la Géorgie et l’Ukraine dans l’OTAN.

    Dominique Strauss-Kahn, ex-directeur du fonds monétaire international, a été victime d’une provocation planifiée longtemps à l’avance et organisée contre lui aux États-Unis où il a été accusé d’avoir violé une femme de chambre noire lors de son séjour à New York. Il a dû faire faire à un procès aux États-Unis. On a su par la suite que la femme de chambre avait menti, mais cela est passé totalement inaperçu. Strauss-Kahn a perdu son poste au FMI et n’a pas pu se présenter aux élections présidentielles en France.

    Orban, Zeman, Berlusconi, Strauss-Kahn, et maintenant Merkel : tous sont devenus des cibles pour les frappes chirurgicales des armes de l’information US contre les politiciens européens montrant de bien trop grandes velléités d’indépendance en matière de politique étrangère, au goût de Washington.

    L’establishment américain pense que l’Europe doit rester sur sa ligne et suivre la politique étrangère US sans aucune variante possible. Selon eux, c’est comme cela que s’obtient la quintessence de la coopération transatlantique. Juste après sa rencontre avec Angela Merkel, le président américain a expliqué lors d’une interview à Vox.com, que les États-Unis étaient  obligés d’avoir « la plus puissante armée du monde. » Et il a ajouté « nous devons parfois tordre un peu le bras de certains pays qui ne veulent pas faire ce qu’on leur demande. » La brutalité de cette déclaration ne laisse aucun doute sur le fait que les États-Unis sont prêts à « tordre le bras » de n’importe quel allié qui n’aurait pas les mêmes vues qu’eux sur les différents problèmes dans le monde.

    Les alliés (vassaux ?) européens, ou asiatiques peuvent être certain de cela. Le président turc Erdogan est très certainement le prochain sur la liste. On ne lui pardonne pas d’avoir signé avec Poutine l’accord sur le gazoduc « Turkish Stream ». Et on entend clairement le tic-tac de l’horloge.

    - Source : Georgy Voskresensky-Traduction Christophe

    Ex: http://zejournal.mobi

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2015/02/22/l-arme-de-l-information-made-in-usa-contre-les-dirigeants-europeens.html

  • Plus de 80 000 soldats russes en manoeuvres militaires inédites

    La démonstration de force a pris de l'ampleur avec l'ordre donné par Vladimir Poutine d'organiser immédiatement des exercices militaires surprises en Crimée.
    Plus de 80 000 soldats russes sont désormais engagés aux quatre coins de la Russie dans des exercices militaires à grande échelle. Une démonstration de force mettant en oeuvre navires de guerre, défense antiaérienne, blindés et bombardiers stratégiques, a annoncé jeudi l'état-major de l'armée russe. "Le nombre de soldats impliqués est désormais de 80 000 et le nombre d'avions est passé à 220", a indiqué le chef d'état-major russe, Valeri Guerassimov, cité par l'agence de presse russe Ria Novosti.
    L'armée russe avait commencé la semaine dernière par déployer 8 000 artilleurs dans la péninsule ukrainienne de Crimée, annexée en mars 2014 par la Russie, et dans le sud-ouest, près de la frontière avec l'Ukraine. Au même moment, environ 200 tankistes s'entraînaient à assiéger une ville dans le centre de la Russie. Et en Bouriatie (Sibérie), des unités aériennes s'entraînaient "à répondre de façon pratique à une guerre électronique", selon un porte-parole militaire.
    Missiles antiaériens
    Dès lundi, la démonstration de force a pris de l'ampleur avec l'ordre donné par Vladimir Poutine d'organiser immédiatement des exercices militaires surprises impliquant le déploiement de bombardiers stratégiques en Crimée ou de 38 000 soldats dans la région stratégique de l'Arctique. Des bombardiers stratégiques Tupolev Tu-22M3 ont atterri mercredi dans la péninsule annexée. Moscou a plusieurs fois répété sa volonté de voir ces bombardiers à long rayon d'action être basés en Crimée à partir de 2016. Dans la foulée, les soldats des régions centre et ouest du pays ont à leur tour été mis en état d'alerte.
    Et plus de 3 000 soldats ont par ailleurs été envoyés sur l'île Sakhaline, proche du Japon dans l'Extrême-Orient russe, selon le ministère de la Défense. Des batteries de missiles antiaériens y ont été installées. Toujours dans le cadre de ces manoeuvres, une vingtaine de bâtiments de guerre, vedettes, navires et sous-marins sont en route pour la mer de Baltique. Ils acheminent des batteries de missiles Iskander-M dans l'enclave occidentale de Kaliningrad, frontalière de la Pologne et de la Lituanie.
    Cette série d'exercices militaires, qui durera jusqu'à la fin du mois de mars, implique aussi le déploiement de soldats en Arménie et dans les deux républiques séparatistes géorgiennes d'Abkhazie et d'Ossétie du Sud. La Norvège procède par ailleurs depuis le 9 mars, et jusqu'à mardi, à de grandes manoeuvres dans la province du Finmark, près de sa frontière avec la Russie. Baptisées Joint Viking, elles sont, en faisant intervenir plus de 5 000 soldats, les plus importantes de l'armée de ce pays scandinave depuis 1967.

    Source : afp via le Point :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EukyZZykVAfCcQXSNc.shtml

  • L'Europe a désarmé et a affaibli ses défenses

    Il ne faut jamais désespérer. Tout arrive. Manuel Valls a déclaré des choses très justes mercredi à huis-clos devant la Commission européenne :

    "L'Europe a désarmé et a affaibli ses défenses. J'ai noté avec intérêt ce que Jean-Claude Juncker a déclaré il y a quelques jours sur une armée européenne. Ma réponse est simple: cette armée, elle existe, en l'état ... car c'est la France qui en assume le plus gros de la charge, notamment au Mali et au Sahel, pour lutter contre le terrorisme."

    Quelqu'un peut-il lui rappeller que c'est François Hollande qui a décidé deréduire les forces armées françaises de 24 000 hommes entre 2016 et 2019 ? Il est vrai que cela est peu de choses par rapport à la déflation de 54 000 postes imposée par son prédécesseur Nicolas Sarkozy...

    Philippe Carhon  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Salafistes, Pegida et antifas en viennent aux mains à Wuppertal

    La situation est de plus en plus tendue en Allemagne. Samedi dernier, dans la ville de Wuppertal, se tenaient simultanément un meeting salafiste en plein air, une manifestation de Pegida et une manifestation de l’extrême gauche et des antifas. La police a eu bien du mal à séparer les différents groupes.

    http://www.medias-presse.info/salafistes-pegida-et-antifas-en-viennent-aux-mains-a-wuppertal/27763

  • UK : des policiers accusés d’avoir couvert un réseau pédophile impliquant des politiques

    La police des polices britannique a annoncé aujourd’hui avoir ouvert une enquête à la suite de plaintes accusant des policiers d’avoir couvert les agissements d’unréseau de pédophiles impliquant des responsables politiques et des institutions publiques dans les années 1970-2000.

    Ces fonctionnaires sont soupçonnés d’avoir « supprimé des preuves, (…) ralenti ou interrompu des investigations (et) couvert des délits du fait de l’implication de membres du parlement ou d’officiers de police », écrit la commission indépendante sur les plaintes à l’encontre de la police (IPCC) sur son site internet. « Ce sont des accusations des plus graves », a jugé l’IPCC, qui compte étudier 14 plaintes.

    Une enquête de la police est par ailleurs en cours sur les abus d’enfants qui auraient été commis au cours de ces années.
    En décembre, une victime présumée, identifiée sous le nom de Nick, avait raconté aux enquêteurs comment lui et plusieurs autres garçons étaient conduits à différentes adresses de Londres et de la périphérie de la capitale britannique, y compris sur des bases militaires, où ils étaient abusés sexuellement par des groupes d’hommes.

     

    Il avait aussi accusé des députés et d’autres personnalités de premier plan d’être liées au meurtre de trois enfants, âgés entre 7 et 16 ans. L’été dernier, des révélations de presse confirmées par les ministères concernés avaient montré que 114 dossiers relatifs à des accusations de sévices sexuels infligés à des enfants entre 1979 et 1999 avaient disparu. Un de ces dossiers portait, selon la presse, sur l’implication de députés et d’autres personnalités politiques.

    Le premier ministre britannique David Cameron avait promis en juillet « de faire toute la lumière » et d' »explorer toutes les pistes pour découvrir la vérité sur ce qui s’est passé ».

    Source

    http://www.contre-info.com/uk-des-policiers-accuses-davoir-couvert-un-reseau-pedophiles-impliquant-des-politiques

  • CDV - Entretien avec Pierre Jovanovic à Bruxelles - Actualité économique