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Europe et Union européenne - Page 867

  • Espagne :La moitié des électeurs du PP ne revoteront pas pour le PP

    ... en raison de son refus de restreindre l'avortement :

    "Ainsi, le Parti populaire est parvenu en cédant à toutes les révolutions sociétales socialistes (« mariage gay », avortement…) à descendre presque aussi bas que le PS français alors qu’il fait nettement mieux sur le terrain économique : réduction des déficits publics, légère baisse du chômage (qui reste malgré tout très élevé), retour à une croissance modérée après plusieurs années de récession… Tout ceci après avoir hérité d’une situation catastrophique causée par plusieurs années de gestion socialiste calamiteuse (immigration de masse, bulle immobilière gigantesque…). [...]

    De leur côté, les associations pro-vie appellent les Espagnols à ne plus voter pour le PP et à venir manifester massivement contre l’avortement le 22 novembre prochain. Cet appel a été lancé par une quarantaine d’associations qui représentent plus de 4 millions de familles espagnoles."

    Michel Janva

  • Les franco-sceptiques acceptent mal les critiques de l'UE

    Lu sur le blog d'Yves Daoudal :

    "« Le projet de budget de la France est assez loin de l'objectif, à la fois en terme de déficit et de mesures effectives, concernant le déficit structurel et le nombre et la qualité des réformes qui doivent être réalisées… On leur a donné deux ans et la question est : comment ont-ils utilisé ce temps ? Pour être tout à fait franc, je crois qu'ils ne l’ont pas utilisé. »

    Le propos est de Jeroen Dijsselbloem, ministre des Finances des Pays-Bas et actuel président de l’Eurogroupe.

    Michel Sapin a répondu :

    « Monsieur Dijsselbloem n'est pas l'Europe. Monsieur Dijsselbloem ne représente pas l'Europe. »

    Et Manuel Valls :

    « Il faut respecter la France, c'est un grand pays. Je n'accepte pas de leçons de bonne gestion. Je demande à chacun beaucoup de sang-froid, beaucoup de respect, surtout de la part de partenaires européens. »

    Mais Jeroen Dijsselbloem, qui « représente l’Europe » dans la mesure où il est le président du club des pays qui ont la monnaie unique, ne fait que dire tout haut ce que les experts de la Commission européenne disent tout bas – pas si bas que cela, d’ailleurs.

    On remarque que pour défendre leur gestion désastreuse nos politiques jouent sur le sentiment de l’honneur national bafoué, alors que lorsqu’il faut faire accepter de nouvelles pertes de souveraineté ils expliquent qu’il faut dépasser le cadre national. Ainsi quand on met davantage encore la France sous la coupe de Bruxelles (notamment en permettant à l’exécutif européen de contrôler les budgets nationaux), on nous explique que l’union fait la force et que la France est un trop petit pays pour jouer seule dans la compétition mondiale, mais quand ce même exécutif européen menace de nous sanctionner avec les sanctions que nous lui avons octroyées, tout à coup la France devient un grand pays auquel on ne fait pas la leçon… C’est pitoyable."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Grande-Bretagne : la montée de l’islam

    Lu ici, cet état des lieux de l'islamisation de l'Angleterre :

    La-montée-de-l’islam

    "Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir. Et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire."

    Ces paroles du président algérien Houari Boumédiène, qu’il prononça lors de son discours à l’ONU en 1974 semblent de plus en plus être d’actualité. Si au Moyen Orient le fondamentalisme islamique est toujours en train de conquérir de nouveaux territoires, en Occident en revanche, sa montée est silencieuse, mais elle est inarrêtable.

    Le cas de l’Angleterre est en ce sens emblématique : le pourcentage de musulmans dans les villes des Midlands et dans certains quartiers de Londres a dépassé le 30 % de la population. Ces avertissements et ces chiffres ont été confirmés ponctuellement par les données que vient de publier le 15 août 2014 l’Office for National Statistics (ONS)à propos des prénoms masculins les plus donnés en 2013.

    Il s’avère que le nom le plus répandu en Angleterre et au pays de Galles pour ces douze derniers mois est Mohammed. Certes, la recherche a officiellement mentionné le prénom « très anglais » d’Oliver comme prénom le plus donné : 6.949 fois. Pourtant une analyse plus attentive de ces données indique que ce calcul n’a pas tenu compte des différentes orthographes utilisées pour transcrire le prénom arabe Mohammed (Muhammed, Mohamed, Muhammad et Mohammad) : il en ressort que le prénom du Prophète Mahomet apparaît 7.445 fois, arrivant largement en tête des classements.

    Londres, la capitale, est en train d’expérimenter à ses frais cette évolution démographique. Dans son édition du 5 août 2014, le quotidien italien “Il Messaggero.it” publiait ces lignes : « Prenons par exemple la mairie de Tower Hamlets, proche de la City et des Docklands : les musulmans y représentent désormais 35 % des habitants. Dans la City de Westminster même, – le “council” du centre de la capitale, le symbole de l’Angleterre libérale et démocratique, avec Big Ben, le Parlement et le siège du Gouvernement -, les musulmans représentent presque 20 %. Et à Luton, où se trouve le troisième aéroport de Londres, on compte plus de 50.000 musulmans (soit plus de 25 % de la population)».

    Dans le nord du pays, la situation n’est guère différente. Ainsi à Manchester, dans ce qui fut le cœur industriel de l’Angleterre, « les musulmans représentent 17 % de la population, à Birmingham : 22 %, avec des faubourgs entiers où la culture et la pratique du Coran sont prédominantes ». Et le processus d’expansion n’en est qu’à ses débuts.

    Les spécialistes estiment en effet que d’ici la fin de l’année 2014 la population musulmane du Royaume Uni dépassera les 3 millions et demi. Cette croissance incessante incite les groupes radicaux à intensifier encore plus leur action dans un contexte social toujours plus « favorable ». Un épisode alarmant et emblématique illustre cet état de fait. Il s’est déroulé à Londres il y a quelques mois, mettant en scène les membres d’un jeune gang d’islamistes qui ont été filmés tandis qu’ils arrêtaient dans la rue les passants, leur demandant de respecter les commandements de lachariaen leur disant : « Ici vous êtes dans un quartier musulman. Que cela vous plaise ou non c’est nous qui allons commander et qui allons combattre le mal. Allah est grand ! Nous sommes en train d’arriver ». Un imam musulman radical qui a été interviewé quelques jours après cet épisode n’y est pas allé par quatre chemins pour commenter ce qui s’était passé : « On assiste à un réveil. Ce qui est en cours, c’est nettement un affrontement entre l’Islam et la démocratie libérale dans certains des points-clés de Londres ».

    Par ailleurs, de nombreux musulmans de citoyenneté britannique ont quitté le pays pour aller rejoindre lejihad. Le quotidien anglais “The Independent” a publié au cours des derniers mois, des récits de vie de nombreux jeunes, hommes et femmes, qui sont partis en hâte pour se battre sous les drapeaux noirs d’Abu Bakr al-Baghdadi pour instaurer, par des persécutions, des exécutions sommaires et des décapitations, l’État Islamique de l’Iraq et du Levant (ISIS).

    L’un d’entre eux, Abu Dugma al-Britani, a lancé par un message posté sur twitter une prophétie bien précise à l’adresse du Royaume Uni et des Anglais : « Nous occuperons DowningStreet (une rue de Londres au Royaume-Uni où se situent depuis plus de deux cents ans les résidences du Premier Ministre britannique et de son chancelier de l’Échiquier, NDLR) et nous égorgerons à Trafalgar Square tous ceux qui ne voudront pas se convertir. L’Isis (l’État Islamique de l’Irak et du Levant) arrive ».

    En Angleterre l’Islam fait donc de plus en plus peur, et l’échec de la politique « multiculturelle » appliquée depuis plusieurs années est désormais évident pour tous. L’intégration ne s’est pas produite et les paroles du président algérien Houari Boumédiène résonnent chaque jour comme plus tragiquement prophétiques."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/10/grande-bretagne-la-mont%C3%A9e-de-lislam.html

  • Italie : Extrême gauche et lobby LGBT créent des incidents pour faire interdire les rassemblements de Sentinelles

    Sentinelle-in-Piedi-Trieste-mpiSentinelle-in-piedi-affiche-mpi

    C’est en Italie que le mouvement des Sentinelles, né en France, a fait le plus d’émules. Le 5 octobre, pendant que la Manif pour Tous défilait à Paris et Bordeaux, les Sentinelle in Piedi se rassemblaient paisiblement, en silence, un livre à la main, sur de nombreuses place à travers toute l’Italie.

    Les Sentinelles italiennes ont beau en appeler à la liberté d’expression et revendiquer une démarche pacifique, leur démarche n’en est pas moins jugée insupportable et « homophobe » par le lobby LGBT et l’extrême gauche. De façon régulière, les rassemblements des Sentinelle in Piedi sont désormais perturbés par des opposants aux intentions bien moins pacifiques que les défenseurs de la Famille. Le lobby LGBT et ses supplétifs anarcho-communistes veulent créer des incidents et obtenir l’interdiction des rassemblements de Sentinelles au nom du risque de trouble à l’ordre public.

    suite et fin.

  • Il faut dénoncer la Convention européenne des droits de l’homme

    De moins en moins d’électeurs font confiance aux hommes politiques.

    À juste titre : ceux-ci multiplient déclarations et annonces sans aucune conséquence pratique.

    Et pour cause : le pouvoir a quitté les parlements et les palais ministériels. Ce sont les juges qui l’exercent.

    Juges européens, membres du Conseil constitutionnel, conseillers d’État et conseillers à la Cour de cassation ont réalisé un coup d’État silencieux : en s’appuyant sur le pouvoir médiatique, ils se sont emparés du vrai pouvoir législatif en interprétant à la mode politiquement correcte des textes généraux. La glose sur la Convention européenne des droits de l’homme ou sur la Convention internationale des droits de l’enfant permet de décider de tout.

    Les Français ne veulent pas de la gestation pour autrui (GPA) et de la procréation médicale assistée pour les paires homosexuelles ? Qu’importe ! La Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) et la Cour de cassation les imposent au nom du principe d’égalité entre enfants nés en France et enfants nés à l’étranger.

    Les gendarmes et les soldats n’ont pas le droit de se syndiquer ? La CEDH balaie d’un revers ce principe régalien au nom de l’égalité des droits entre civils et militaires.

    Depuis 30 ans, des dizaines de lois ont été votées sur le séjour des étrangers, toutes dans le but de limiter l’immigration. Une immigration que les trois quarts des Français jugent excessive. Mais les lois, rédigées sous le contrôle du Conseil d’État, et les jurisprudences qui les appliquent n’ont cessé d’élargir les droits des étrangers : au regroupement familial, aux aides sociales et au logement et au séjour, même clandestin. Aujourd’hui, un délinquant clandestin un peu patient peut engager une dizaine de recours successifs contre l’État et finit toujours par être régularisé. Quant aux enfants français en danger, il n’y a plus de place pour eux dans les centres départementaux d’aide à l’enfance car les juges les remplissent avec des mineurs étrangers clandestins, pas toujours mineurs d’ailleurs…

    Nicolas Sarkozy avait qualifié les juges de « petits pois ». Ce sont les « petits pois » qui exercent le vrai pouvoir aujourd’hui. Un pouvoir irresponsable et coupé du peuple. Donc sans légitimité.

    Comment y mettre un terme : en permettant au peuple de s’exprimer directement par référendum (et référendum d’initiative populaire), en changeant la Constitution et en dénonçant la Convention européenne des droits de l’homme. Tout le reste n’est que billevesées.

    J’entends déjà les cris d’orfraie : dénoncer la Convention européenne des droits de l’homme, quel danger pour les libertés !

    Précisément non ! La France a connu (sauf période de guerre) une grande liberté d’expression et d’opinion de 1881 (loi sur la presse) à 1972 (loi Pleven). Depuis, les lois liberticides se multiplient au nom de la lutte contre le racisme (loi Pleven), la mémoire (lois Gayssot et Taubira), la lutte contre l’homophobie (loi Lellouche), sans parler des lois visant à prévenir le terrorisme. La CEDH ne s’y est pas opposée. Et les libertés ont régressé.

    In fine, la CEDH est inutile pour nos libertés et nuisible à notre identité.
    Il faut donc reprendre notre indépendance et notre souveraineté.

    La dénonciation de la Convention européenne des droits de l’homme est la condition préalable à la crédibilité d’un programme politique. Le reste ne sert qu’à amuser la galerie.

    Jean-Yves Le Gallou président de Polémia dans Boulevard Voltaire

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/il-faut-denoncer-la-convention-europeenne-des-droits-de-lhomme_118564.html#more-118564

  • L'Ukip entre au Parlement britannique

    Le parti souverainiste Ukip entre pour la première fois au Parlement britanniqueaprès la victoire de son représentant Douglas Carswell dans une législative partielle, avec 60% des voix. M. Carswell, député sortant, avait lui-même provoqué cette partielle en claquant la porte du parti conservateur.

    La victoire de cet eurosceptique permet à l'Ukip de décrocher son premier siège de député à Westminster depuis sa création en 1993. Elle valide le succès des élections européennes, où le parti est arrivé en tête en mai, et permet à son leader Nigel Farage de prendre date pour les élections générales de 2015.

    Michel Janva

  • Allemagne : bataille rangée entre Kurdes et musulmans pro-État islamique

     En Allemagne dans la ville de Hambourg, des musulmans ont attaqué à la machette et au couteau une manifestation de Kurdes hostiles à l’organisation terroriste « État islamique » dans la nuit du 7 au 8 octobre. Selon Le Monde, les deux groupes étaient armés. Les manifestants kurdes protestaient contre un massacre commis par les islamistes dans une ville syrienne quelques jours plus tôt.

    Une vidéo (ci-dessous) postée par la chaîne d’informations russe Russia Today titre cependant que ce sont les islamistes qui auraient attaqué les kurdes (Germany: Pro-IS mob attacks Kurdish protesters with MACHETES and KNIVES). Le peuple kurde, présent notamment en Irak et en Syrie, a pris fait et cause contre les organisation terroristes qui y sévissent au nom de l’islam.

    Il ne se passe plus un conflit dans le monde sans que de graves répercussions n’aient lieu en Europe de l’Ouest. En cause ? La politique d’immigration aberrante menées par les libéraux, gauche et droite confondues, depuis des décennies, important dans la vieille Europe des populations entières aux intérêts parfois antagonistes, et donc leurs guerres. Additionné au développement d’un islam politique cherchant à s’implanter partout dans le monde y compris dans nos pays, le cocktail est explosif. C’est en Allemagne, ainsi qu’au Royaume-Uni, que sont en train d’émerger des “Sharia Police”, groupes de musulmans parcourant les rues des grandes villes, pour y appliquer la loi islamique.

    http://fr.novopress.info/176420/allemagne-bataille-rangee-kurdes-musulmans-pro-etat-islamique/

  • Londres menace de s’affranchir de la CEDH

    Le gouvernement britannique a lancé une nouvelle charge contre l’Union européenne, s’en prenant cette fois aux décisions des juges de la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH), dont il menace de s’affranchir s’il n’obtient pas certaines libertés.
     
    Trop laxistes à son goût, les décisions des juges de Strasbourg n’ont plus rien à voir avec les principes à l’origine de la Convention européenne des droits de l’Homme ratifiée par Winston Churchill il y a 60 ans, a affirmé le ministre de la Justice Chris Grayling, dans une tribune publiée vendredi par le quotidien Daily Mail.
    "Des prisonniers autorisés à des traitements d’insémination artificielle au motif de protéger leurs droits familiaux, le droit de vote pour nos détenus, pas de peine à vie pour les criminels les plus violents, pas d’expulsion des terroristes", a-t-il énuméré, soulignant qu’il était temps pour son pays de "reprendre le pouvoir aux juges européens".
    Si les conservateurs gardent le pouvoir à l’issue des législatives de mai prochain, alors ils exigeront que les décisions des juges de Strasbourg ne soient plus que consultatives. A défaut, ils rompront avec eux. Ils abrogeront aussi la Loi sur les droits de l’Homme (Human right act) votée en 1998 sous les travaillistes pour instaurer à la place un British Bill of rights, ancré dans "les valeurs" britanniques.
    "Nous dirons très clairement (...) que les décisions concernant notre nation doivent être prises par notre Parlement et nos tribunaux et pas ailleurs", a affirmé M. Grayling.
    Trop laxistes à son goût, les décisions des juges de Strasbourg n’ont plus rien à voir avec les principes à l’origine de la Convention européenne des droits de l’Homme ratifiée par Winston Churchill il y a 60 ans, a affirmé le ministre de la Justice Chris Grayling, dans une tribune publiée vendredi par le quotidien Daily Mail.
    "Des prisonniers autorisés à des traitements d’insémination artificielle au motif de protéger leurs droits familiaux, le droit de vote pour nos détenus, pas de peine à vie pour les criminels les plus violents, pas d’expulsion des terroristes", a-t-il énuméré, soulignant qu’il était temps pour son pays de "reprendre le pouvoir aux juges européens".
    Si les conservateurs gardent le pouvoir à l’issue des législatives de mai prochain, alors ils exigeront que les décisions des juges de Strasbourg ne soient plus que consultatives. A défaut, ils rompront avec eux. Ils abrogeront aussi la Loi sur les droits de l’Homme (Human right act) votée en 1998 sous les travaillistes pour instaurer à la place un British Bill of rights, ancré dans "les valeurs" britanniques.
    "Nous dirons très clairement (...) que les décisions concernant notre nation doivent être prises par notre Parlement et nos tribunaux et pas ailleurs", a affirmé M. Grayling.
    Vu sur Le Figaro.fr