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Europe et Union européenne - Page 866

  • ILS sont venus malgré nous, ILS partiront grâce à vous !

    En 1974, l’ancien président de la République Démocratique et Populaire d’Algérie, Houari BOUMEDIENNE déclarait à la tribune de l’ONU :

    « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir Et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire ».

     En 1997, l’ex-maire d’Istanbul, actuel 1er ministre Turc, Recep Tayyip ERDOGAN a affirmé :

    « Les mosquées sont nos casernes, les minarets nos baïonnettes, les dômes nos casques et les croyants nos soldats ». 

    Dans le quotidien français « Le Figaro » du 19 décembre 2006, le guide de la Jamahiriya Islamique de Libye, Mouammar al-KADHAFI exprimait solennellement sa conviction :

    « Sans épée, sans fusil, sans conquêtes, les 50 millions de musulmans en Europe la transformeront bientôt en continent musulman ! »

    liberons BXLC’était clair non ? Ecrit en langue française, compréhensible par une grande majorité des européens.

    Ces trois figures emblématiques du monde islamique ont clairement affirmé leur volonté d’aliéner notre continent au monde musulman !

    A l’opposé des discours lénifiants que nos dirigeants euro mondialistes nous assènent depuis des décennies, nous constatons la réalité des faits dans notre quotidien, que ce soit à Madrid ou à Copenhague, à Cologne ou à Bruxelles :

    partout l’islamisation de nos villes et de nos quartiers s’est substituée à nos modes de vies, à nos habitudes, à nos mœurs, à nos coutumes et bientôt à nos lois et nos règlements.

    C’est inacceptable et scandaleux !

    Et ce n’est que le 7 janvier 2015 que les Français ont constaté la réalité : ce sont des musulmans d’origine immigrée -et non pas des alsaciens protestants ou des bretons amish- qui ont froidement assassinés 17 personnes innocentes.

    « Repli sur soi », « peur de l’autre », « refus de partage », « frustrations », « esprit de clocher ».

    Il y a quelques mois, j’avais publié un article au sujet de l’immigration/invasion qui depuis des années emprunte la Mare Nostrum pour s’établir sous nos cieux.

    Depuis l’An Nouveau, le flux s’amplifie au point de déborder Frontex, ce joujou de Bruxelles, destiné à surveiller et à protéger les frontières de notre continent. A tel point que les Italiens commencent à piailler et que les couloirs de Bruxelles commencent à tanguer.

    Mais pour masquer leur incompétence et pour faire oublier leurs mensonges et leurs erreurs, les inquisiteurs de la Pensée Unique et les charlatans du Politiquement Correct, nous font chier depuis plus de 40 ans avec des procès en sorcellerie au prétexte que nous serions « racistes », « fâââchistes » ou « nazis ». Mais ce sont bien EUX, ces francs-maçons, ces lobbies judéo-capitalistes, ces laïcistes invétérés et obsédés par les soutanes, ces chrétiens de « gôche » et ces « bobos » drogués au multiculturel, qui nous ont menés au fond du gouffre économique et financier, au déclin de la morale et des mœurs et à la décadence totale des valeurs de notre civilisation européenne. Pour cela ils devront être jugés et punis.

    Partout en Europe, mais surtout en France et en Belgique, depuis 40 ans, l’idiote « politique de la ville » a coûté des dizaines de milliards d’euros qui manquent dans les caisses aujourd’hui ! Résultats : ZERO ! ! ! Ces crétins de politiciens ont voulu acheter la paix dans les quartiers !

    STOP : l’argent pour nos hôpitaux d’abord ! Et que force reste à la Loi pour nettoyer et rétablir l’Ordre dans les zones de non-droit.

    Eh bien partout, de Toulouse à Bruxelles ou de Paris à Verviers, et dans toutes les provinces de la Gaule, des crapules gangstéroislamistes ont grandi sur le fumier des utopies multiculturelles avec la complaisance et l’encouragement de TOUS les partis au Pouvoir !

    Aujourd’hui, ils récoltent ce qu’ils ont semé ! Alors qu’ils assument et trouvent les remèdes…

    Deux exemples, parmi des milliers, en Belgique : Anémie NEYTS (ex-PVV, actuel Open VLD) élue durant plus de 30 ans dans différentes assemblées, avait eu le culot de déclarer en décembre 1988, lors d’un meeting public, rue Communale à Saint-Josse (ayant un bourgmestre turc depuis janvier 2013) que : « les belges devaient mettre de l’eau dans leur vin et que les immigrés, eux, devaient mettre du vin dans leur eau ! ». Devant tant d’idiotie, il y a lieu de rouvrir les culs-bas-de-fosses…

    Déjà, au début des années 80’, une autre excitée avait hurlé : « Bruxellois maître chez toi ! »,  en vomissant les Flamands. Ce sont ces pasionarias d’opérette qui sont responsables, entre autres coupables, de la situation explosive dans laquelle nous vivons.

    Portes ouvertes et « OPEN BAR ».

    L’Eldorado européen attire le tiers-monde entier, comme le miel attire les mouches et viendra le jour où nous verrons un bateau de croisière du genre « King of the Sea » ou un clone du « France » s’échouer sur les côtes de l’Adriatique ou du Languedoc en débarquant 8 ou 10.000 miséreux en quête de « mieux-être ». L’un des derniers cargos à la dérive et secouru par la marine italienne venait de Tartous en Syrie.

    Plus au sud, le Liban à lui seul supporte plus de 1,5 millions de réfugiés syriens officiels, sans compter 300 ou 400.000 illégaux. Et parmi ceux-ci, combien de futurs djihadistes ? Qui prétend que parmi les millions de réfugiés partant ou résidents au Proche-Orient, il n’y aurait aucune infiltration de terroristes ? Combien de cellules dormantes, prêtes à frapper à Beyrouth, Amman, Istanbul, Tripoli, Tunis, Madrid, Rome, Athènes, Copenhague, Paris ou Bruxelles ? Depuis 2010, tous les immigrés extra-européens ont-ils été enregistrés, contrôlés et suivis ? Non, bien sûr, car la Nouvelle Religion Droits-De- l’Hommiste, permet tous les abus et toutes les dérives, dès qu’il s’agit de « l’Autre » !

    Et si aucune mesure drastique n’est imposée d’urgence, ce sont des dizaines de milliers d’envahisseurs qui débarqueront en Europe ces prochaines semaines, pris en main par les gangs de la traite humaine, illégaux en provenance de tous les ports du sud de la Méditerranée.

    Et combien d’immigrés ces apôtres du « Vivre Ensemble » et du « Padamalgam » vont ils héberger chez eux ? Et vous ? Combien allez-vous accueillir de clandestins à la maison ? Les entretenir ? Les soigner ? Les nourrir ? Il faut stopper ce délire, demain si possible, le mois prochain si nécessaire, mais VITE !

    Parce qu’après l’exaspération des européens, le désespoir lui succédera et à ce moment, RIEN ni PERSONNE n’arrêtera la légitime colère des peuples bafoués et trahis par des dirigeants veules et incapables.

    Brüsselistan, émirat de l’EURABIA !

    De par la volonté des politiciens libéraux, socialistes et « chrétiens démocrates » (de gôche), la politique d’épuration ethnique menée depuis 40 ans porte ses fruits aujourd’hui à Bruxelles (Brussel) où les blancs sont devenus minoritaires.

    Il suffit de se promener à travers les 19 communes de l’agglomération –où résident environ 1,2 million de personnes-  pour constater le bouleversement considérable des us et coutumes, des traditions, des magasins, des habitants : à Bruxelles, il y a plus de burqàs et de tchadors qu’à Marrakech, Téhéran, Bamako, Damas ou Samarkand !

    Tous mes amis français, espagnols, italiens, allemands ou anglais sont estomaqués par cette concentration d’allogènes qui colore le centre-ville en proportion bien plus importante que chez eux. Effectivement, le grand Jacques Brel en pleurerait de rage, lui qui chantait les louanges du Bruxelles qui « Brusselait ». Maintenant c’est kebab, babouches, chichas, djellabas, barbus & C°, grâce au soutien de tous les pourriticards qui se sont succédé non seulement au gouvernement, mais aussi à la Région et surtout comme Bourgmestres de la prétendue « Capitale de l’Europe ».

    De droite, de gauche ou du centre mou, tous ont œuvré au sabotage de nos valeurs, à la perte de nos traditions, à la suppression de nos valeurs, au laxisme de nos lois et surtout, oui ô surtout à l’innommable lâcheté du refus de désigner clairement les ennemis de notre civilisation !

    Par le biais de dons, d’aides, de subventions ou de crédits à taux privilégiés, ces laïcards ont commencé par vider les églises pour remplir les mosquées, en favorisant l’implantation de populations majoritairement maghrébines, turques et africaines. Depuis quelques années, les classes maternelles et primaires dans certains quartiers sont exclusivement peuplées d’enfants d’immigrés et non plus de têtes blondes ! Et à la cantine, c’est « Halal pour tous …et tous pour Allah ! »

    Selon des études universitaires, la population de Bruxelles compte plus de 66% d’étrangers dont 50% sont des musulmans. Depuis 1979, ce sont 850.000 étrangers qui ont été naturalisés en Belgique (population = 11 millions d’habitants), et le  pays en totalise encore 1.200.000, sans compter les demandeurs d’asile ni les clandestins (estimés à plus de 120.000). Les partis du Régime sont les seuls responsables de cette situation dangereuse !

    Alors OUI, face à la « pensée unique », face au « politiquement correct », face aux utopies des gourous qui mendient nos suffrages il est temps de dresser leur bilan !

    Pourquoi donc vouloir accepter maintenant ce qu’ils n’ont pas su, pas voulu ou pas pu appliquer de leurs programmes précédents et qu’ils voudraient réaliser durant les prochaines années ?

    Ce bilan est calamiteux : en Belgique, plus d’un million de personnes sont au chômage ou bénéficient d’argent public sans réellement chercher un emploi.

    Plus de 900.000 salariés travaillent dans l’administration et le secteur public.

    A Bruxelles il y a 21% de chômage (95.000 inscrits) et plus de 100.000 analphabètes et ce, depuis des lustres.

    On ne trouve pas de secrétaires trilingues, de paveurs ou de plombiers depuis plus de 25 ans !

    La dette publique nominale belge augmente chaque mois d’un milliard d’euros, pour atteindre le top européen de 38.300 € par habitant. Et la pression fiscale chez nous est de 45,6% du P.I.B !

    Un tiers des élèves qui terminent leurs humanités (fin du secondaire) ne savent ni lire correctement ni s’exprimer clairement ! Merci aux divers ministres de l’enseignement. On a déjà vu mieux dans le passé…

    80% de ceux qui sont traduits devant les tribunaux n’appartiennent ni à notre culture, ni à notre civilisation : POURQUOI ?

    600 racailles multirécidivistes sèment la terreur dans les quartiers bruxellois : par laxisme ou par complaisance ?

    Mais les électeurs, parents, contribuables, ouvriers, pensionnés, automobilistes, confrontés chaque jour aux mêmes maux qui les accablent, ne vont toujours pas, dans le secret de l’isoloir, déposer un carton rouge pour punir les bonimenteurs libéraux-écolos-démocrates-socialistes, qui les trompent en permanence. C’est à croire qu’ils vivent sur une autre planète, ou alors enfermés dans leur bulle !

    Quant à nous, nationalistes, nous avons la Foi dans la rectitude de nos choix.

    Pieter KERSTENS.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/ils-sont-venus-malgre-nous-ils-partiront-grace-a-vous_127436.html#more-127436

  • Les Serbes n'ont pas commis de génocide

    La Serbie n'a pas commis de génocide contre les Croates lors de la guerre qui les opposa au début des années 90, a jugé aujourd'hui la Cour internationale de justice (CIJ). "La Croatie n'a pas réussi à prouver ses allégations selon lesquelles un génocide a été commis", a déclaré le juge président Peter Tomka lors d'une audience publique à La Haye, où siège la CIJ. 
     

  • Pour réduire sa dette, la Grèce doit abandonner l’euro

    Jacques Bichot, économiste, mathématicien de formation, professeur émérite à l’université Lyon3.

    La dette grecque pèse aujourd’hui 320 milliards d’euros.

    Encourager la production grecque en revenant à la drachme et réduire la dette en la convertissant en drachmes au taux existant lors du passage à l’euro résoudrait à la fois le problème de compétitivité et celui de l’endettement excessif.

    La Grèce doit abandonner l’euro pour la drachme

    Les gouvernements européens et les autorités bruxelloises tournent en rond à propos de la Grèce alors que la solution est, dans son principe, d’une extrême simplicité : que la Grèce abandonne l’euro et que sa dette soit convertie en drachmes au taux de change qui était celui de la drachme lors du passage de la Grèce à l’euro.

    La drachme ne manquerait alors pas de chuter fortement relativement à l’euro, ce qui rendrait la dette grecque supportable (moyennant peut-être quelques rééchelonnements), et rétablirait la compétitivité de ce pays, sans avoir à réduire encore les salaires nominaux.

    Une sortie de la zone euro inévitable pour redémarrer la production grecque

    Le problème essentiel est de faire redémarrer la production en Grèce. Pour cela, il faut que les importations deviennent chères, donc que la Grèce sorte de la zone euro. L’adoption de l’euro par ce pays a été une erreur : il faut la corriger. Rappelons-nous le dicton : errare humanum est, sed perseverare diabolicum. Mais il ne servirait à rien de réaliser cette opération de retour à la drachme tout en maintenant une dette en euros impossible à rembourser.

    L’Europe doit choisir une solution de marché

    Alors, pourquoi chercher des solutions alambiquées destinées à réduire cette dette en euros d’un montant déterminé à l’avance ? Rendre la dette grecque remboursable par le travail des Grecs, cela signifie tout simplement la convertir en drachmes. Faire cela dirait clairement à nos amis grecs que nous parions sur leur redressement : s’ils se débrouillent pour remonter la pente, la drachme ne tombera pas indéfiniment, et nous récupérerons une partie de nos créances.

    Cela indiquerait aussi que l’Europe n’est pas purement bureaucratique, mais sait choisir une solution de marché lorsqu’il en existe une bonne : en l’occurrence le marché des changes, bien mieux à même que des politiciens et des banquiers centraux semi-politiciens de déterminer ce que la Grèce est capable de rembourser, ce que valent les créances que nous avons sur elles.

    Jacques Bichot, 02/02/2015

    Source : Economie matin.fr

    http://www.polemia.com/pour-reduire-sa-dette-la-grece-doit-abandonner-leuro/

  • Pour combattre le crime, la Norvège expulse… des immigrés

    La Norvège vient de trouver un moyen efficace et plein de sagesse pour lutter contre la délinquance allogène : les expulsions des étrangers en infraction avec la loi. Ainsi environ 5200 immigrés ont pris le chemin du retour vers leur pays d’origine en 2013 soit une augmentation de 31% par rapport à 2012. Il s’agit d’un record historique selon le chef du département de l’Immigration pour lequel« nous croyons que l’une des raisons de cette augmentation est la prise de conscience par la police de l’utilisation de l’expulsion comme un outil de lutte contre le crime ». Parmi les populations concernées par ces mesures on trouve surtout des Nigérians, des Afghans, des Irakiens, des Marocains… 
    Un exemple pour Manuel Valls ?

  • La CEDH incite au trafic international d’enfant

    La CEDH a jugé – par cinq voix contre deux — que le retrait d'un enfant né à l'étraanger par GPA a porté atteinte à la vie privée et familiale du couple l'ayant acheté. L’achat d’un enfant confère ainsi aux acquéreurs un droit sur cet enfant au nom de l’intérêt de l’enfant tel que déterminé par les juges strasbourgeois (qui n’ont consulté aucun expert). Pour Gregor Puppinck :

    "D’un crime naît un droit. Ainsi la Cour valide-t-elle la vente d’enfant. Il faut le dire lucidement : le prétendu « intérêt de l’enfant » cache en réalité celui des juges à imposer la libéralisation de la GPA.

    À aucun moment, la Cour ne s’interroge sur la moralité de la GPA, sur l’origine de l’enfant, sur l’exploitation des vendeurs de gamètes et de la mère porteuse à l’origine de son existence. La vente d’enfant ne la choque pas, elle ne sourcille pas, elle précise que ce n’est pas son affaire. Elle ne s’interroge pas davantage sur la violence irrémédiable infligée aux enfants nés de GPA : condamnés « pour leur bien », selon sa logique, à vivre avec ceux-là même qui les ont privé de leurs vrais parents et les ont achetés. [...]

    Cet arrêt est dévastateur, et les deux juges dissidents l’ont souligné : il réduit à néant la liberté des États de ne pas reconnaître d’effets juridiques à la gestation pour autrui, et même la légitimité du choix de l’État en ce sens. Plus encore, cet arrêt est une incitation au trafic international d’enfant ; il retire aux États les motifs et les moyens de s’y opposer.

    [...] Il faut espérer que le gouvernement italien fera appel, et que d’autres gouvernements le soutiendront ; mais la Cour a le pouvoir de rejeter cette demande sans justification. Cependant, peut-être que le gouvernement ne fera pas appel, car la Cour a assorti son jugement d’une mention qui semble réduire à néant sa propre argumentation : il n’est pas nécessaire de « rendre » l’enfant à ses acquéreurs car il vit depuis 2013 dans une famille.

    Ainsi, la véritable obligation concrète qui résulte de cet arrêt est celle pour l’Italie et les 46 autres États européens de ne plus s’opposer à l’avenir à la vie de telles « familles »."

    Michel Janva

  • Les Etats-Unis envisagent de livrer à nouveau des armes à Kiev

    Alors que la situation en Ukraine ne cesse de se détériorer depuis quelques semaines, le gouvernement des Etats-Unis pourrait à nouveau fournir aux forces ukrainiennes des armes et des équipements défensifs, affirme dimanche 1er février The New York Times (NYT).

    Le « New York Times » a rapporté, dimanche 1er février, que Washington étudiait cette possibilité face à l’intensification des combats dans l’est de l’Ukraine. | AFP/OLEKSANDER STASHEVSKY

    Selon le quotidien, huit anciens hauts responsables américains doivent publier lundi un rapport demandant à Washington d’envoyer à Kiev pour 3 milliards de dollars (2,6 milliards d’euros) de matériel militaire, notamment des missiles antichars et des drones de reconnaissance. Cette mesure serait prise en réaction à l’intensification des combats contre les séparatistes prorusses dans l’est du pays.

    « SOLUTION NÉGOCIÉE DE LA CRISE »

    Le secrétaire d’Etat américain John Kerry et le chef d’état-major interarmés, le général Martin Dempsey, se sont dits ouverts à la discussion sur le sujet, tandis que le commandant des forces de l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN) en Europe, le général Philip Breedlove, est désormais favorable à la fourniture d’équipements à destination létale, affirment les sources du NYT.

    La conseillère nationale à la sécurité, Susan Rice, jusqu’ici réticente à la fourniture de ce genre d’aide, serait, elle aussi, prête à revoir sa position. « Bien que nous restions concentrés sur la recherche d’une solution par les moyens diplomatiques, nous évaluons sans cesse d’autres options afin de créer un espace pour une solution négociée de la crise », a déclaré au quotidien la porte-parole du Conseil de sécurité nationale, Bernadette Meehan.

    La suite sur Le Monde.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Les-Etats-Unis-envisagent-de

  • Des centaines de milliers de mercenaires de l’Otan en Ukraine

    Pour cacher quelque chose, il n’y a pas de meilleure moyen que de la laisser en pleine vue ! C’est ce que font les Etats-Unis et l’Otan en Ukraine. Si, en plus, on a une machine de propagande fonctionnant à plein régime, le succès est (presque) assuré.
    Robert Parry (https://consortiumnews.com), le journaliste d’investigation américain connu, qui dénonce la propagande américaine est parfois déstabilisé par la puissance de cette propagande. Il dit à propos d’une récent article de l’économiste américain Paul Krugman : « que même des gens intelligents comme Paul Krugman puissent accepter la propagande à propos de la crise ukrainienne me fait hésiter entre le désespoir de voir un jour l’Amérique comprendre les problèmes du monde et l’émerveillement à propos de la puissance de cette propagande et sa capacité à fabriquer sa propre réalité. »
    “When even smart people like economist Paul Krugman buy into the false narrative about the Ukraine crisis, it’s hard to decide whether to despair over the impossibility of America ever understanding the world’s problems or to marvel at the power of the U.S. political/media propaganda machine to manufacture its own reality.”
    On ne lit pas, évidemment, ce genre de choses dans la presse officielle française.
    La machine de propagande, on en connaît les éléments principaux. En tête, Victoria Nuland assistante secrétaire d’état qui dirige les opérations en Europe pour le compte du département d’état. Les services secrets américains aussi. On en parle peu, mais ils disposent de tout un étage dans le bâtiment des services secrets ukrainiens à Kiev. L’Otan évidemment dont le secrétaire général déclarait encore samedi dans une interview au Figaro : « La Russie viole les règles (du droit international) et les frontières de ses voisins ». Sans parler des fonctionnaires de l’Union Européenne dont l’activité principale semble être devenu la préparation de sanctions contre la Russie, des élus du Parlement Européen qui prônent le dialogue mais excluent les interlocuteurs qui ne leur conviennent pas, ni des gouvernements Polonais, Estonien, Letton et Lituanien. La liste pourrait être plus longue, nous nous arrêterons là.
    Les médias officiels français et européens ouvrent largement leurs colonnes à ceux-là. En revanche, quand une opinion dissonante vient du « camp d’en face » on ne la mentionne pas ou seulement pour la tourner en dérision. Aujourd’hui, dans le camp occidental on ne discute plus avec ceux qui ne sont pas de votre avis. On les discrédite, on les « démonise », on les exclut. Plus de diplomatie, des ultimatums.
    Alors quand le « grand méchant Vladimir » déclare que les volontaires du Donbass combattent non pas l’armée de Kiev mais une armée de mercenaires de l’Otan, ou pouffe ! Mais qu’est-ce qu’il raconte donc ?
    Il dit simplement la vérité. Le Larousse nous donne la définition suivante du mot « mercenaire » : « Soldat qui sert à prix d'argent un gouvernement étranger. » Les deux expressions importantes sont « à prix d’argent » et « gouvernement étranger ».
    Les armées de Kiev servent-elles le gouvernement démocratiquement élu de l’Ukraine, ou les intérêts des citoyens ukrainiens ? Je ne reviendrai pas sur la qualité « démocratique » du gouvernement Poroshenko, c’est un autre sujet. Mais en tout cas, cette armée ne sert pas les intérêts du pays. Il n’y a qu’à voir la situation économique dans laquelle il se débat et qui est aggravée par la guerre. L’Ukraine a besoin, au plus vite, de rétablir la paix sur l’ensemble de son territoire. Un gouvernement qui sabote les discussions de Minsk et qui proclame la mobilisation générale par étapes n’est pas un gouvernement qui cherche à rétablir la paix. D’autant que dans le même temps où il proclame ses « intentions pacifiques », il réclame armes et argent à ses sponsors étrangers.
    Et si encore, il n’y avait que l’armée régulière. Mais un certains nombre de bataillons ont été formés qui sont financés par des oligarques ukrainiens soucieux de protéger leurs intérêts économiques régionaux. On ne les a pas encore beaucoup vu et entendu, mais si Kiev venait à rechercher véritablement un accord de paix avec le Donbass, ils entreraient certainement en scène. Qu’ils s’appellent “Donbass”, “Secteur droit”, “Azov” ou encore “Kharkiv-1” ces bataillons répondent bien à la définition de « mercenaires ».
    Mais alors, me direz-vous, s’ils ne défendent pas les intérêts de l’Ukraine, quels intérêts défendent-ils donc ? L’Otan n’est pas en guerre contre la Russie, voyons !
    En êtes-vous sûr ? Avez-vous entendu Victoria Nuland en voyage d’inspection…, oh, pardon « en visite amicale » dans une unité de gardes frontières ukrainiens près de Kiev, le 28 janvier, déclarer : « … urged NATO to install command and control centers in all six frontline states”. En Français, cela donnerait : « l’Otan doit installer des centres de commandement et de contrôle dans les six états de la LIGNE DE FRONT !... » S’il y a ligne de front, c’est bien qu’il y a guerre, au moins dans l’esprit de Victoria Nuland, et de la plupart des néo-cons américains ! Une guerre entre les Etats-Unis et la Russie. Mais une guerre que les américains peuvent nier puisqu’il n’y a pas de soldats réguliers américains sur le terrain. La méthode a déjà été souvent employée, en Amérique du Sud, par exemple. On appelle cela des guerres par procuration. Les combattants sont des mercenaires.
    Et par qui les mercenaires combattant en Ukraine sont-ils payés ? La même Victoria Nuland nous a déjà expliqué il y a un an que les Etats-Unis avaient « investi » cinq milliards de dollars dans les « aspirations des Ukrainiens à la démocratie ». Les fonds continuent à arriver de la même source, mais aussi, de l’Union Européenne et même du FMI dont les statuts prévoient pourtant qu’il ne peut pas prêter d’argent à un pays en guerre.
    Les soldats de Kiev servent donc des intérêts qui ne sont pas ceux de leur pays et ils sont payé par des pays étrangers. Je sais, le paiement n’est pas direct, mais celui qui paie la solde n’est qu’un relai pour celui qui donne effectivement l’argent, non ?
    C’est sans doute pour cela que Vladimir Poutine a parlé de mercenaires de l’Otan et non, simplement de mercenaires américains, pour tenir compte de la diversité des sources de financement qui toutes, cependant, viennent de pays appartenant à l’Otan.

  • Destinée de la monarchie en Grande Bretagne

    Ce 31 janvier le quotidien conservateur britannique The Telegraph annonçait la publication de deux biographies consacrées au prince de Galles. Il ne s'agit aucunement de reportages mondains, encore moins de ces ragots dérisoires prétendument sensationnels, à laquelle on semble trop souvent réduire, de ce côté-ci de la Manche, la famille royale d'Angleterre.

    Il s'agit, au contraire, de livres fort sérieux, publiés respectivement par la rédactrice en chef de Time Magazine, Mme Catherine Mayer, et par un ancien directeur de la communication et de la stratégie du 10 Downing Street, Alister Campbell, proche conseiller de Tony Blair.

    Car, à 66 ans, l'héritier présomptif de la glorieuse Couronne d'Édouard le Confesseur, a eu le temps depuis tant d'années de se passionner pour de nombreux centres d'intérêt. La galanterie française m'interdisant de souligner ici que Sa Gracieuse Majesté sa mère n'est âgée que de 88 ans, qu'elle ne règne que depuis 62 ans, et ne devrait rencontrer aucune difficulté à dépasser, avec l'aide de Dieu, la durée du règne de Victoria étiré de 1837 à 1901. De plus en plus amené à exercer, parmi les 16 royaumes et les 53 pays du Commonwealth, plus quelques autres, ce métier harassant de la représentation, le prince ne bénéficie pas du compte de pénibilité.

    Au-delà des sottises médiatiques il apparaît que le fils d'Élizabeth est un grand homme, doué d'une forte personnalité, et c'est peut-être ce qui lui rendra difficile son métier de Roi. Soyons cependant certains que la relève sera assurée, par lui ou par ses fils, comme elle l'a toujours été, même aux heures les plus mouvementées de sa Maison.

    Dans ce film américain à grand spectacle consacré en 1963 aux "55 jours de Pékin", une image forte méritait qu'on la retienne. On y voit les ambassadeurs de France et de Grande-Bretagne – l'excellent David Niven – contraints de jeter des livres au feu, se débarrassant sans regret des histoires respectives de leurs nations alors encore rivales. L'épisode se passe pendant la guerre dite des Boxers, en 1900, donc entre la crise de Fachoda de 1898 et l'Entente Cordiale de 1905. Aujourd'hui on peut se demander si on disposerait même, dans les hautes sphères de notre république nombriliste, d'une connaissance de l'Histoire de l'Angleterre, indispensable cependant pour comprendre la nôtre.

    En France, en effet, sous l'Ancien Régime, nous avons adulé nos rois, sans doute au-delà de toute raison. Même au malheureux Charles VI, on pardonna sa "petite reine", Odette de Champdivers qui, pour le divertir, introduisit à la cour le jeu de cartes. C'est la rupture de cet attachement passionnel à la royauté, en particulier entre 1790 et 1792, qui a rendu si difficile par le passé, l'idée de rétablir raisonnablement une monarchie constitutionnelle.

    En Angleterre, au contraire, on peut soutenir que c'est d'abord l'institution que l'on a toujours respectée, comme ciment de la nation, y compris aux pires moments, y compris au XVIIIe siècle quand le roi ne parlait même pas la langue de ses sujets. Cette force civique admirable n'interdit certes pas d'aimer, mais elle ne s'en embarrasse pas.

    Cette puissance conservatrice a son histoire… qui mérite plus qu'une visite !

    Sayous+coningsby- celle du XVIIe siècle avec les "Deux Révolutions d'Angleterre" par Edmond Sayous

    - celle de l'apparition du parti conservateur au XIXe siècle, à découvrir avec le roman à clef "Coningsby"par Benjamin Disraëli

    Profitez de l'offre spécialeque vous proposent les Éditions du Trident !

    http://www.insolent.fr/

  • Obama reconnaît que le Maïdan est l'œuvre de Washington

    Le président américain a enfin reconnu ouvertement le rôle de premier plan joué par Washington dans le renversement du président ukrainien Viktor Ianoukovitch. Barack Obama a également laissé entendre qu'il n'irait pas jusqu'à un conflit armé direct avec la Russie.

    Barack Obama a dévoilé son jeu. Visiblement, il n'a plus rien à perdre. Dans une interview accordée à CNN, il a reconnu que les USA avaient réussi à "faire transférer le pouvoir" en Ukraine. En d'autres termes, le dirigeant américain a constaté que le coup d'État survenu dans ce pays en février 2014, qui a entraîné des conséquences gravissimes et de nombreuses victimes, s'est déroulé avec une implication directe des USA sur le plan logistique et technique. Il a ainsi désavoué toutes les déclarations antérieures des politiciens et des diplomates américains, qui affirmaient jusqu'alors que l'Euromaïdan était un phénomène ukrainien purement intérieur basé sur la protestation noble du grand public contre le régime corrompu de Viktor Ianoukovitch.

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  • Les instances européennes ne se soucient pas d'écouter les peuples

    Chantal Delsol est interrogée dans le Figarovox :

    "Comment expliquer la défiance des peuples européens qui s'exprime d'élections en sondages vis-à-vis de l'Union européenne?

    Les peuples européens ont le sentiment de n'être plus maîtres de leur destin, et ce sentiment est justifié. Ils ont été pris en main et en charge par des super-gouvernants qui pensent connaître leur bien mieux qu'eux-mêmes. C'est ni plus ni moins une variante du despotisme éclairé, ce qui à l'âge contemporain s'appelle une technocratie: le gouvernement ressortit à une science, entre les mains de quelques compétents.

    Avant chaque élection, on dit aux peuples ce qu'ils doivent voter, et on injurie ceux qui n'ont pas l'intention de voter correctement. S'ils votent mal, on attend un peu et on les fait voter à nouveau jusqu'à obtenir finalement le résultat attendu. Les instances européennes ne se soucient pas d'écouter les peuples, et répètent que les peuples ont besoin de davantage d'explications, comme s'il s'agissait d'une classe enfantine et non de groupes de citoyens."

    Michel Janva