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Europe et Union européenne - Page 863

  • Filip Dewinter du Vlaams Belang a-t-il échappé à une tentative d’assassinat ?

    Que serait-il arrivé à Filip Dewinter si par un hasard de calendrier, il n’avait pas été absent au moments des faits ?
    Un homme armé, le visage dissimulé s’est introduit mardi matin au domicile du député flamand à Anvers.

    L’information a été confirmée par Filip Dewinter.

    Un homme s’est visiblement introduit chez moi vers 8h00 et a déposé un costume noir dans les buissons, explique Filip Dewinter. Il portait des lunettes de soleil, un bonnet et avait le visage dissimulé sous un voile. Il était également armé. Ma voisine l’a vu et a immédiatement appelé la police. Mon gendre est ensuite sorti de la maison et est tombé nez à nez avec cet individu qui lui a demandé dans un anglais approximatif si j’habitais là.

    Le chef de file du Vlaams Belang était en vacance au moment des faits. Son gendre, mais aussi une voisine ont pu voir celui qui aurait été son agresseur, voire son assassin. L’intrus s’est enfui. La police essaya ensuite, en vain, de mettre la main dessus.

    En niant qu’il s’agissait du domicile du dirigeant politique, son beau-fils a désarçonné l’individu qui s’est enfui. « La police est rapidement arrivée sur place mais n’a plus vu l’homme », a précisé Filip Dewinter.

    La police d’Anvers a confirmé qu’il y avait bien eu « une menace » au domicile deFilip Dewinter mardi 14 avril au matin, sans vouloir apporter plus de précisions. Une « menace » qui ressemble à s’y méprendre à une tentative d’assassinat.

    http://fr.novopress.info/185744/tentative-dattentat-contre-filip-dewinter-vlaams-belang/

  • Kirghizstan: 150 tonnes de "fret diplomatique" pour l'ambassade US

    Un fret inconnu, marqué "courrier diplomatique", a été expédié à Bichkek, pour l'ambassade américaine, ce qui a fait courir des rumeurs sur la vraie nature de la cargaison. Ne s'agit-il pas d'équipements d'espionnage ou de petits billets verts pour alimenter une "révolution colorée".

    L'ambassade des Etats-Unis à Bichkek, capitale du Kirghizstan, a reçu fin mars dernier 152 tonnes de fret inconnu, marqué "courrier diplomatique", rapportent mercredi les médias locaux.

    La compagnie aérienne ukrainienne Antonov Airlines a acheminé à Bichkek plus de 150 tonnes de fret inconnu, marqué "courrier diplomatique" et destiné pour l'ambassade des Etats-Unis au Kirghizstan, écrit le journal kirghiz "Delo N°".

    Les médias soupçonnent qu'il pourrait s'agir d'équipements pour renseignement radio-électronique. Différentes hypothèses sont émises par journalistes et observateurs, d'autant plus qu'à l'époque, l'ambassade américaine n'a donné aucun commentaire à ce sujet.

    Le journal rappelle notamment qu'au début des événements en Ukraine en 2013, l'ambassade américaine avait également reçu des "frets diplomatiques", déposés par des cargos militaires US. Le Service de sécurité ukrainien (SBU) a alors établi qu'il s'agissait de boîtes contenant 60 millions de dollars en petits billets. Plus tard, de nouveaux billets de 20, 50 et 100 dollars se sont mis à circuler sur la place Maïdan de la capitale ukrainienne.

    Par ailleurs, la nomination de Richard Miles au poste d'ambassadeur des Etats-Unis au Kirghizstan augmente les craintes d'une nouvelle révolution dans le pays, d'autant plus que ce diplomate chevronné est connu comme grand spécialiste des "révolutions colorées".

    Selon les politologues, cette nomination ne relève sans doute pas du hasard.

    Or, l'ambassade des Etats-Unis a finalement décidé de commenter les publications sur un fret énigmatique.

    "Ce ne sont que des matériaux de construction ordinaires pour un nouveau bâtiment de l'ambassade", a déclaré un diplomate américain.

    http://fr.sputniknews.com/international/20150415/1015677796.html#ixzz3XPUNZgCJ

  • L'Allemagne n'a jamais été aussi pauvre depuis la réunification

    Les inégalités s'accroissent dans la première économie de la zone Euro. Selon un rapport, la pauvreté en Allemagne est actuellement à son niveau le plus élevé depuis la réunification, en 1990.

    La première économie de la zone Euro est de plus en plus pauvre. Alors que le salaire minimum est entré en vigueur il y a quelques semaines, la pauvreté ne cesse d'augmenter en Allemagne. Elle vient même d'atteindre son plus haut niveau depuis la Réunification en 1990, selon un rapport de la Paritätische Gesamtverband, une fédération regroupant 10.000 associations du domaine social et de la santé. 

    Ainsi, le taux de pauvreté est passé de 15% en 2012 à 15,5% en 2013. Cela signifie que sur 80 millions d'habitants, le pays compte 12,5 millions de personnes pauvres, vivant avec un revenu inférieur à 60% au revenu médian. Sans surprise, on trouve parmi les plus touchés les familles monoparentales, dont 43% sont classées comme pauvres. Les chômeurs représente 60% de cette catégorie, qui compte aussi de nombreux mineurs et retraités. La Paritätische Gesamtverband demande un relèvement des allocations sociales ainsi que des programmes destinés aux chômeurs de longue durée et aux mères célibataires, afin de mieux lutter contre la pauvreté. 

    Le fossé se creuse entre les régions

    "Jamais les clivages régionaux n'ont été aussi profonds", a déclaré jeudi à Berlin Ulrich Schneider, le président de la fédération Paritätische Gesamtverband. "Le fossé entre les Länder (Etats régionaux) les plus riches et les plus pauvres s'agrandit de plus en plus", s'est-il inquiété. D'après le rapport, la situation s'est dégradée dans 13 des 16 Länder. Les villes-Etats de Brême et de Berlin ainsi que le Land de Mecklembourg-Poméranie-Occidentale, dans le nord du pays, sont les plus exposés à la pauvreté. A l'inverse, la Bavière (sud) et le Bade-Wurtemberg (sud-ouest) sont les moins frappés.

    source : L'Express.fr avec AFP :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuklAAAFyFvJdUMlTj.shtml

     

  • Conseil de l’Europe : remise de la plus grande pétition pour la condamnation des infanticides néonataux

    Le Centre Européen pour le Droit et la Justice va remettre cette semaine à la Présidence de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe une pétitionpour la condamnation des infanticides néonataux, signée par plus de 185 000 citoyens européensLe dossier qui sera remis au Bureau devrait faire l’objet d’un premier examen durant la prochaine session du 20 au 24 avril 2015.

    "C’est une procédure importante à plus d’un titre. C’est la première fois que cette Assemblée est saisie par une pétition d’une telle ampleur : près de 200 000 citoyens demandant aux députés européens issus des 47 États Membres de condamner la pratique des infanticides néonataux et de rappeler que toute personne née vivante a droit au respect de sa vie et aux soins, quelles que soient les circonstances de sa naissance.

    Cette pétition amorce une procédure officielle et concrète au sein de l’Assemblée Parlementaire. Saisi de la pétition, le Bureau de l’Assemblée, après examen de sa recevabilité, va charger l’une des commissions parlementaires de l’Assemblée d’examiner la pétition au fond et de faire rapport. La procédure de rapport permettra d’enquêter sur ces faits et de les exposer publiquement. Le Bureau de l’Assemblée décidera ensuite des suites à donner, telle que la préparation d’une résolution.

    Lorsqu’un enfant naît grand prématuré, tout est mis en œuvre pour le sauver. Si ce n’est pas possible, il reçoit des soins de confort et est entouré jusqu’à son décès. Tout autre est la situation de ceux qui naissent vivants après un échec de l’avortement. En effet, chaque année, dans les pays européens, des nombreux enfants naissent vivants lors d’avortements, en particulier quand ils sont pratiqués au-delà de la 20ème semaine de grossesse. Selon le British Journal of Obstetrics and Gynaecology, à 23 semaines de gestation, 10% des enfants survivent à l’avortement. Ces enfants, qui peuvent être blessés par l’avortement, sont le plus souvent abandonnés à la mort sans soins, agonisant dans une bassine et luttant pour respirer, ou tués par injection létale ou asphyxie, en particulier lorsqu’ils sont viables, voire jetés avec les déchets biologiques. C’est un traitement inhumain et contraire aux droits de l’homme les plus élémentaires. Les statistiques officielles pour l’Angleterre et le pays de Galles indiquent qu’en 2005, 66 nouveau-nés ont survécu à leur avortement et ont agonisé pendant parfois plus de dix heures. Suite au scandale provoqué par la révélation de ces faits, la Grande-Bretagne a cessé de révéler ces statistiques. Dans les seuls hôpitaux publics du Canada (hors Québec), 622 bébés sont nés vivants après une IVG entre 2000 et 2011. Rares sont les pays qui reconnaissent officiellement ces situations mais elles se produisent partout. La presse en rapporte parfois, comme en Italie en 2010 : un bébé avorté à 20 semaines (quatre mois et demi) pour un bec-de-lièvre a vécu deux jours. Nul ne sait le nombre de ces enfants ni le sort qui leur est réservé. Si certains sont probablement bien pris en charge pendant leur courte vie, il semble que d’autres ne bénéficient pas du même traitement. Des témoignages et des faits divers révèlent des pratiques terrifiantes : bébés abandonnés dans une pièce vide ou un placard jusqu’à ce qu’ils soient morts, ou tués (souvent par asphyxie), ou encore envoyés avec les déchets hospitaliers malgré des signes de vie. Ces enfants naissent pour mourir dans une agonie que l’on ne tolérerait pas s’il s’agissait d’animaux. Priver des nouveau-nés des soins les plus élémentaires – et d’une simple présence humaine jusqu’à leur mort si on ne peut les sauver – est un comportement barbare et une violation flagrante de leurs droits fondamentaux.

    L’ECLJ espère vivement que cette pétition fera sortir de l’ombre le drame de ces enfants nés vivant qui ne bénéficient d’aucuns soins auxquels ils ont pourtant droit en vertu de leur droit à la vie et à l’intégrité physique. Il est souhaitable que cette pétition amène l’Assemblée du Conseil de l’Europe à rappeler l’égalité en droit de tous les hommes, quelles que soient les conditions de leur naissance."

    Michel Janva

  • Et combattre la haine antichrétienne en Europe, c'est facultatif ?

    Lu sur l'Observatoire de la christianophobie :

    "La Commission européenne organisera à Bruxelles, les 1er et 2 octobre prochain, son « premier colloque annuel sur les droits fondamentaux dans l’Union européenne ». Le thème de ce colloque – en anglais, car il n’y a pas de version française présentement – est « Tolerance and respect: preventing and combating anti-Semitic and anti-Muslim hatred in Europe ». Je traduis : « Tolérance et respect : empêcher et combattre la haine antisémite et anti-musulmane en Europe ». M’est avis qu’il manque quelque chose… Mais quoi ? Ah oui, bon sang, mais c’est bien sûr… Et la haine antichrétienne en Europe ? Zut, ils l’ont oubliée. Je vais les y faire songer de ce pas… Vous pouvez aussi le faire ici, et en français !"

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Gabriele Adinolfi : "Je suis à la fois avec Pravyï-Sector et Poutine !"


    Gabriele Adinolfi : "Je suis à la fois avec... par agenceinfolibre

  • Populisme italien : le thermomètre qui monte

    D’accord, ce n’est pas nouveau, le populisme ayant toujours été assez notable chez nos cousins italiens. Outre les traditionnels et constants électorats radicaux, ces deux dernières années, ceux qui rêvaient d’une révolution douce avaient placé leurs espoirs dans les manifestations des « Forconi » (sorte de « Bonnets rouges ») et dans le parti « Cinque Stelle » du comique Beppe Grillo, qui a très vite montré ses limites.
    
La nouveauté est que, pour la première fois peut-être, tout en se passant des alliances avec les conservateurs immobilistes et autres libéraux convaincus de la droite molle, on peut parler de rassemblement. Un fait particulier dans un pays où les mouvements dits « national-populistes » (il faudrait vraiment leur trouver une dénomination satisfaisante !) sont nombreux et en opposition pérenne, parfois pour de minimes divergences.
    Ainsi, la récente manifestation du 28 février dernier à Rome, organisée par la Lega Nord et rassemblant plusieurs de ces mouvances, fut un succès : Lega Nord, CasaPound, Fratelli d’Italia… tous ralliés autour du slogan « Renzi, rentre chez toi » 1 mais surtout unis autour des thèmes les plus graves : immigration, sortie de l’euro, souveraineté et préférence nationales.
    
Le mérite en est au travail du nouveau secrétaire général de la Lega Nord, Matteo Salvini. Il a su mettre entre parenthèses les aspects – osons le dire – plus sots de la ligue, comme le mépris et les inlassables moqueries des Italiens du Sud (chez lesquels un projet similaire à la Lega semble voir le jour) ; amoindrir le sécessionnisme du Nord permettant ainsi à d’autres mouvements comme CasaPound de se rapprocher ; et focaliser sur la véritable urgence : l’immigration de masse.
    
La situation est catastrophique, Frontex annonçant un million de futurs immigrés prêts à traverser la Méditerranée cette année. Et tant que la politique italienne, avec son opération Mare Nostrum, se résumera à lancer ses bateaux à la rescousse dès qu’un boat people pointe au large, le rythme n’est pas près de ralentir. Le message « venez donc, les militaires italiens vous escortent jusqu’à la rive, et les Français financeront votre installation » lancé à toute l’Afrique encourageant les candidats au départ.

 Cependant, comme en France avec les promesses du Front national, l’incertitude demeure : quand bien même quelque coalition arriverait au pouvoir, pourra-t-elle vraiment faire quelque chose en matière d’immigration et d’économie ? Mais, surtout, un véritable changement de nos sociétés (à défaut de révolution) pourra-t-il naître des urnes ? Si cela fut le cas dans les années 30, il faut se rappeler qu’à l’époque les souverainetés nationales existaient encore et les pouvoirs forts étaient quand même beaucoup moins forts.

    Audrey D’Aguanno

    Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EukllkluklMGRfdZWA.shtml

  • La fronde contre les sanctions antirusses

    De nombreuses voix s’élèvent pour dénoncer les mesures de rétorsions antirusses décidées par Bruxelles. Selon le Daily Telegraph, cette opposition pourrait même déboucher à terme sur la création d’un groupe de pays fédérés autour de la Grèce (1) : Hongrie, Slovaquie, Italie, Autriche, Espagne et Chypre, lesquels pourraient user de leur droit de véto. Pour le quotidien britannique « il est évident que si l’UE ne prolonge pas les sanctions contre la Russie, cela sèmera la discorde entre Bruxelles et Washington. Ce conflit ne cessera d’affaiblir l’Alliance atlantique [OTAN] ».

    (1) Le premier ministre grec, Alexis Tsipras (photo), a affirmé que les « sanctions contre la Russie ne mènent nulle part. »

    http://fr.novopress.info/

  • Non, la Russie n'a pas essayé d'envahir militairement l'Ukraine

    C'est le Général Gomart, Directeur du Renseignement Militaire (DRM) français qui l'a affirmé lors de son audition devant la commission de la défense de l'Assemblée nationale, le 25 mars dernier. Extraits.

    La vraie difficulté avec l’OTAN, c’est que le renseignement américain y est prépondérant, tandis que le renseignement français y est plus ou moins pris en compte – d’où l’importance pour nous d’alimenter suffisamment les commanders de l’OTAN en renseignements d’origine française. L’OTAN avait annoncé que les Russes allaient envahir l’Ukraine alors que, selon les renseignements de la DRM, rien ne venait étayer cette hypothèse – nous avions en effet constaté que les Russes n’avaient pas déployé de commandement ni de moyens logistiques, notamment d’hôpitaux de campagne, permettant d’envisager une invasion militaire et les unités de deuxième échelon n’avaient effectué aucun mouvement. La suite a montré que nous avions raison car, si des soldats russes ont effectivement été vus en Ukraine, il s’agissait plus d’une manœuvre destinée à faire pression sur le président ukrainien Porochenko que d’une tentative d’invasion. ( ...)

    La coopération avec les pays d’Europe occidentale est bonne. La DRM participe à deux forums, dont l’un réunissant régulièrement les pays de l’OTAN autour de divers sujets. Je me souviens quelors de l’un de ces forums, on a cherché à nous forcer la main au sujet de l’Ukraine.Cela montre bien l’importance de disposer de renseignements concrets et factuels : de ce point de vue, la France dispose des moyens lui permettant d’apprécier les situations et de faire valoir son point de vue. (...)

    Pour ce qui est du partage de renseignements avec nos alliés, j’insiste sur le fait qu’une telle pratique est toujours compliquée à mettre en œuvre.Pour moi,le renseignement est avant tout national, dans la mesure où il permet à notre pays de disposer de son indépendance en matière de politique étrangère,et à nos dirigeants de prendre des décisions importantes. Pour le directeur d’un service de renseignement, toute la difficulté consiste à déterminer ce qu’il peut communiquer en toute sécurité à ses alliés et partenaires, notamment au vu de leur possible utilisation pour une action militaire.

    Pour ce qui est de la coopération avec nos amis américains, la problématique est davantage liée à leur organisation. Lors de mes voyages aux États-Unis, j’ai eu l’occasion de rencontrer le directeur national du renseignement américain, à qui j’ai clairement dit qu’il devait ouvrir les robinets plus largement s’il voulait obtenir plus de renseignements de la part de la France Pour le moment, les Américains se réfèrent à l’accord dit Five Eyes, conclu entre les services de renseignement des États-Unis, de l’Australie, du Canada, de la Nouvelle-Zélande et du Royaume-Uni, et dans le cadre duquel ils partagent beaucoup. Je verrais comme une contrainte le fait d’intégrer ce Five Eyes, dans la mesure où cela nous obligerait à partager systématiquement l’intégralité de notre renseignement brut : en l’état actuel des choses, nous n’échangeons avec ces alliés que du renseignement élaboré. Fournir du renseignement brut impliquerait de dévoiler nos capacités – que les Américains connaissent déjà en grande partie, il est vrai.

    Paula Corbulon

  • Tsípras : un suicide grec ?

    Plus le temps passe, plus la conduite du nouveau Premier ministre grec devient problématique. On finit par se demander quelle stratégie il poursuit et même s’il en a une !

    Plus le temps passe, plus la conduite du nouveau Premier ministre grec devient problématique. On finit par se demander quelle stratégie il poursuit et même s’il en a une !

    Il n’a absolument rien obtenu de l’Union européenne. La BCE vient de fermer le robinet monétaire en interdisant aux banques grecques, qu’elle maintient à flot, de prêter de l’argent à leur gouvernement. Les États-Unis et les Russes se contentent de belles paroles sans aucune aide financière concrète. Seule la Chine a consenti à verser une maigre obole dans la sébile de monsieur Tsípras et a souscrit quelques bons du Trésor après que ce dernier s’est résolu à leur vendre un des derniers bijoux de famille : le port du Pirée.

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