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Après la formation des « Patriotes pour l’Europe », 4e groupe au Parlement européen, regroupant 84 eurodéputés issus notamment du RN, du Fidesz hongrois, du FPÖ autrichien et de la Lega italienne, et présidé par Jordan Bardella, voici « L’Europe des nations souveraines ».
L’Union européenne n’a pas renoncé à l’idée de mettre fin prématurément à la présidence de la Hongrie au sein de la communauté.
Un vote ouvert sur la question de la destitution de Viktor Orban de la présidence du Conseil de l’UE obligerait Bruxelles à reconnaître la division au sein de l’union. Il faut s’attendre à ce que les pays membres de l’Union européenne commencent à fouiller dans le «linge sale» de la politique nationale hongroise, cherchant un prétexte pour imposer des sanctions contre Budapest. Auparavant, le ministre polonais des Affaires étrangères, Radoslaw Sikorski, avait déclaré que l’UE avait trouvé des «idées créatives» contre la Hongrie.
Les équilibres commencent à se stabiliser au sein du Parlement européen, un mois après les élections européennes. Le Parti populaire européen (PPE), au sein duquel siègent Les Républicains menés par François-Xavier Bellamy, reste la première force politique à Strasbourg, avec 188 députés. Derrière, en deuxième place, on trouve toujours le groupe des Socialistes et Démocrates, avec 136 élus.
Courageux Orban, le président hongrois, à peine à la présidence de l’union européenne, a pris son bâton de pèlerin pour essayer de faire sortir l’Europe d’une guerre qui ne sert à rien. Il est parti voir Poutine, puis Xi JingPing, tenter simplement de renouer le dialogue. Mais il n’a pas de mandat européen pour négocier évidemment, tout passe par la grande prêtresse qui marchande des millions de vaccins par SMS sans consulter personne et elle n’est pas contente, évidemment, signe qu’elle veut la guerre. Tout comme les autres protagonistes européens, dont le nôtre, Macron, qui n’est pas non plus content, lui aussi, veut la guerre mais on le savait. L’avion d’Orban est pisté, surveillé et le président hongrois est marqué à la culotte, signe que cette Europe fait la guerre à l’extérieur, mais aussi à l’intérieur, contre ses propres membres qui n’ont pas décidé de marcher au pas.
Plusieurs députés européens italiens et hongrois ont annoncé, ce 8 juillet, que Jordan Bardella allait prendre la tête d'un nouveau groupe nationaliste au Parlement européen. Derrière l'étiquette « Patriotes pour l'Europe », cette nouvelle alliance impulsée par Viktor Orbán, Premier ministre hongrois, à la fin du mois de juin sera donc la troisième force politique à Strasbourg.
Tony Blair, ancien Premier ministre britannique, a récemment fait une intervention notable dans la sphère politique, offrant des conseils à Keir Starmer, le nouveau Premier ministre travailliste. Blair a publié une tribune dans le Sunday Times où il dresse un parallèle entre la situation politique au Royaume-Uni et celle en France et en Italie, notant que les partis traditionnels subissent une déstabilisation similaire.
La commission d’enquête démontre comment la facture des Français pourrait ainsi fondre de 40 % selon un rapport spécial du Sénat publié ce jeudi 4 juillet.
La commission d’enquête sénatoriale sur l’électricité a publié un rapport qui pourrait faire du bruit. Installée au terme d’une crise de l’énergie qui a vu en 2022 le prix de l’électricité s’envoler, cette commission a entendu plus de 140 personnes en six mois. Et sa conclusion est tranchée : il y a la possibilité de réduire considérablement l’addition.
On sait que la présidence de l’Union européenne est tournante. Il fallait bien que ce fût un jour le tour de la Hongrie. Viktor Orbán concentrait contre lui, depuis des années, toutes les critiques de la gauche et des pays dits progressistes : on l’annonçait fasciste, ennemi des libertés, on dénonçait depuis des années sa politique illibérale. Aussi n’était-ce pas sans une certaine gourmandise que ses voisins européens attendait qu’il s’installe à la tête des institutions bruxelloises, réputées intangibles, et en tous les cas peu enclines à voir ce chef d’État si opposé à leurs priorités s’emparer des leviers de commande.