Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Europe et Union européenne - Page 985

  • Changement de cap : c’est maintenant que l’Euro va nous plomber

    François Hollande va devoir faire avec une monnaie forte, incompatible avec la situation alarmante de notre balance des paiements.

    François Hollande promet une baisse massive des charges des entreprises (30 milliards en plus des 20 milliards issus du crédit d’impôt compétitivité) afin de restaurer la compétitivité des entreprises françaises tombée à un plus bas historique et qui place la France au dernier rang de la zone euro. Contraint de réduire les déficits publics, il va devoir contrebalancer ce manque à gagner par des économies équivalentes sur les dépenses – dépenses de santé et des collectivités territoriales notamment. L’idée bien sûr est que, si les entreprises pouvaient retrouver un niveau de marge suffisant, elles pourraient investir et donc embaucher. Sur le papier, cela semble logique, sauf…

    La suite ici

  • Nigel Farage/Antonis Samaras : "Vous êtes une marionnette de Goldman Sachs" 15/01/14

  • Le petit européiste – Les référendums sur l’Europe

    Aujourd’hui je vais vous parler des référendums sur la question de l’Europe, de toute la propagande qu’il y avait eu à l’époque et à la fin je vais essayer d’expliquer pourquoi ils se sont embêtés à faire des référendums alors qu’ils pouvaient très bien faire la même chose sans en faire.

    Je vais parler juste de deux référendums qui ont eu lieu : celui de Maastricht en 1992 qui a apporté le Traité sur l’Union Européenne (ou dans la pochette surprise il y avait la création de l’euro) et celui de 2005 sur la Constitution Européenne.

    Le premier des référendums c’est celui qui intéresse le plus les politiques car c’est là ou les français ils ont dit oui même si c’est passé tout juste avec 51,04% au final. Mais en fait quand on regarde les citations de l’époque on se rend compte que les arguments de ceux qui disaient qu’il fallait voter oui ils étaient super cool. En fait si on votait oui on allait pouvoir éradiquer le chômage, retrouver de la croissance, éviter des guerres et en plus de tout ça la démocratie elle allait pouvoir être partout grâce à ce traité.

    PSD-kouchner

    L’Europe au final c’est vrai que c’est une vaste blague

    mélenchon

    Grâce à Jean-Luc les gens ils pensaient qu’on allait faire une Europe à gauche

    udf europe béni oui oui

    Bizarrement ces quatre enfants ne se sont plus exprimés depuis

    sapin3

    Non il n’y a aucune faute de frappe dans cette citation

    PSD-rocard

    Le plus rigolo c’est quand il parle de bureaucratie

    Après on s’est retrouvé en 2005 ou il y avait un nouveau référendum. Mais comme les gens ils trouvaient que les promesses qui avaient été faites avant elles étaient toujours pas arrivées bin dans les sondages on voyait le « non » qui progressait de plus en plus.

    Du coup, la stratégie elle a été complètement différente cette fois. Les ouiouistes ils ont continués à faire des promesses mais en même temps ils ont fait peur en disant que si on votait non ce serait la catastrophe, que l’économie elle allait s’effondrer d’un seul coup et que la guerre éclaterait avec des camps de concentration partout.

    Moi ça me fait un peu penser à une mafia qui fait des menaces si les gens ne votent pas oui avec des menaces gentilles au départ et de plus en plus méchantes pour ceux qui résisteraient encore. Et quand les gens ils résistent toujours, la mafia en général elle enlève son masque et elle dit franchement que de toute façon elle fera ce qu’elle veut quoiqu’il arrive.

    bayrou

    Ça c’est la version douce de l’apocalypse promise.

    PSD-chirac

    Jacques lui il choisit la technique du calimero

    royal

    Ségolène elle est plus directe et commence à faire un peu peur

    PSD-cavada

    Et ça c’est une menace très méchante par exemple

    Bon bin comme les gens ils ont finis par voter non à 54,68%, Valéry Giscard d’Estaing s’est beaucoup énervé et a finalement dit tout haut ce que les autres pensaient tout bas c’est à dire que les gens ils étaient obligés de voter oui et que sinon il fallait les faire revoter encore et encore.

    VGE.jpg

    Le référendum sur l’Europe il a servi à rien du tout là au final car comme vous le savez les français ils ont dit non et y’a pas eu besoin de les faire revoter pour que finalement il passe et soit ratifié.  Ils sont très fort en marketing – et comme la communication pour que les gens ils disent oui elle avait raté – ils ont juste changé l’emballage et ils ont fait passer le traité quand même. D’ailleurs les irlandais ils ont dit non eux aussi et ça a servi à rien du tout.

    En fait un référendum à la base c’est pour demander au peuple si il est d’accord avec ce que l’on veut faire, sauf que là dès le départ il n’y avait pas le choix. Le problème ça vient pas du fait de faire un référendum car c’est plutôt bien de demander à la population, mais c’est de faire un référendum sur le sujet de l’Europe car sur ce sujet c’est pas la France qui décide puisqu’il y a plein d’autres pays européens autour.

    Alors du coup on comprend plus trop pourquoi il ont fait un référendum pour demander à la population alors que c’est pas eux qui décident et que de toute façon ils devaient ratifier le traité à la fin.

    Sur le sujet de l’Europe en fait le référendum il a juste servi à faire une opération de communication pour dire qu’on avait le choix et cacher à tous les français le fait qu’on est en dictature. Ça a marché tout juste en 1992 grâce à beaucoup de propagande (la publicité l’Europe elle maîtrise ça) et ça a permis de dire en plus de ça que les français ils étaient pour l’Europe. Mais ça a pas marché en 2005 alors que pourtant ils avaient fait beaucoup d’effort pour faire peur aux français ! Donc du coup maintenant on ne fait plus du tout de référendum sur la question de l’Europe et c’est pour ça qu’il n’y en aura pas par exemple sur le grand marché transatlantique. Comme ça c’est beaucoup plus simple.

     Source : http://lepetiteuropeiste.blogspot.fr/2014/01/les-referendums.html

    http://francelibre.tumblr.com/

  • French bashing : Messieurs les Anglais, tirez les premiers !

    Mais tirez-vous surtout de l’Europe. Ce qui est déjà à moitié fait.

    Ce qu’il y a de bien, avec les Anglais, c’est que lorsqu’il n’y en a plus, il en reste encore. Comment s’occuper quand on s’ennuie ? En tapant sur les Français, pardi : d’où le fameux French bashing. En 2003, lors de la seconde guerre d’Irak, alors que Tony Blair mentait comme un arracheur de dents à son propre peuple, Jacques Chirac avait les honneurs de leur presse de caniveau, la tristement célèbre « gutter press ». Parce qu’il s’opposait à cette ratonnade internationale, il n’était qu’un « ver ». Photomontage à l’appui avec notre Président d’alors en forme de lombric.

    Là, voilà que ça les reprend. Une véritable manie depuis Fachoda et Mers el-Kébir. À tel point que Bernard Émié, notre ambassadeur en perfide Albion – plénipotentiaire incarnant la fine fleur du Quai d’Orsay –, a dû remettre les pendules de Big Ben à l’heure. Motif de cette énième fâcherie ? Un article publié par City A.M., quotidien économique gratuit. Lequel assure que « l’expérience socialiste de la France tourne à la tragédie » et stigmatise au passage notre « haine généralisée pour le commerce, le capitalisme, les succès et l’effort »… Ambiance.

    Nicolas Gauthier Boulevard Voltaire

  • "Il n'y a plus de politique intérieure nationale"

    "Il n'y a plus de politique intérieure nationale"

    C'est ce que dit la vice-présidente de la commission européene en visite en France à l''assemblée nationale devant ministres et députés français au garde à vous et résignés...

    Vidéo effrayante mais bien réelle à regarder jusqu'au bout (4'56'') pour ouvrir les yeux de ceux qui croient encore à la souveraineté nationale !

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/01/il-ny-a-plus-de-politique-int%C3%A9rieure-nationale.html

  • UE* la libre-circulation prend du plomb dans l’aile

    Dans le débat relatif à la levée des restrictions sur la libre circulation des travailleurs dans l’UE, certains pays comme la Grande-Bretagne et l’Allemagne craignent une asphyxie de leur système de protection sociale. Dans le quotidien conservateur Financial Times, l’éditorialiste Gideon Rachman préconise de rompre avec le principe européen établissant l’égalité en droits de tous les citoyens de l’UE : “L’idée selon laquelle un gouvernement national ne doit faire aucune différence entre ses propres citoyens et les ressortissants d’autres Etats membres de l’UE est un principe essentiel aux yeux de Bruxelles. Mais dans de nombreuses régions de l’UE, il paraît plus évident d’afficher davantage de solidarité avec ses propres citoyens qu’avec les autres Européens. …
    La modification des règles relatives aux prestations sociales, laquelle confèrerait une plus grande marge de manœuvre aux pays pour privilégier leurs propres citoyens, permettrait de mieux faire passer le principe fondamental de la suppression des frontières. Pourquoi ne pas essayer ?” (Financial Times)

    http://francelibre.tumblr.com/

  • Les camps-bidonvilles Roms ou les plateformes de la criminalité

    « A l’époque, rapporte un gendarme, les équipes séjournaient durablement en Europe, de l’ordre de trois à quatre mois, ce qui explique qu’on ait pu les taper en Belgique, en Allemagne et en France. Aujourd’hui, les chefs d’équipe et les hommes de main sont plus mobiles. Ils travaillent en faisant des raids. Ils viennent une semaine ou deux, cassent et repartent. Le problème c’est que le temps de l’enquête judiciaire n’est pas le même. Lorsque les rapprochements sont faits entre les affaires, ils ne sont plus là et la marchandise est déjà en Roumanie. » Selon les observateurs et les enquêtes, les casseurs s’appuient sur des relais locaux lors de leurs brefs séjours. Des membres de la diaspora implantés durablement et des camps-bidonvilles

         En Roumanie, le milieu est divisé en deux communautés : non-Roms comme [certains gangs Roumains], et Roms. Ces derniers fonctionnent de la manière que leurs collègues, en trois niveaux.   
         Dans leur cas, le caïd du clan resté au pays est appelé le Buli basha et offre souvent la même image caricaturale selon un connaisseur : « Il est entouré de gardes du corps, roule en Porsche, et possède plusieurs villas. » 
         Si les deux communautés travaillent le plus souvent séparément, ils leur arrivent de cohabiter. Dans un camp de la banlieue parisienne, on assiste à une transposition de la situation locale : les Roms y sont exploités par les Roumains. Le chef et l’un de ses lieutenants receleurs non roms règnent sur des chefs d’équipe et des hommes de main tous roms et dont certaines des femmes sont obligées de se prostituer. Le patron a des chefs d’équipe en France, en Belgique, qui pilotent des équipes d’hommes de main. 
          En juillet 2004, lorsque des policiers et des gendarmes ont débarqué dans un camp de Saint-Denis, le Buli basha, un homme de 49 ans, n’était pas là. Depuis la Roumanie, il faisait bosser une quinzaine d’hommes qui cambriolaient par équipes et de nuit dans un rayon de 300 kilomètres autour de Paris. Détectés en avril 2003, en Seine-et-Marne, les cambrioleurs auraient visité plus d’une centaine de maisons de particuliers et de commerces en Île-de-France, dans la région de Rouen et dans la Sarthe. Les vêtements, le matériel hi-fi et vidéo, les portables, les bijoux, etc., étaient revendus et prenaient sous forme liquide le chemin de la Roumanie. 
         Idem, un an plus tard. En mai 2005, une autre équipe est interpellée dans le même camp. Chaque soir, elle prend le train, tape dans une ville et revient au petit matin. Les gendarmes avaient constaté une explosion des cambriolages le long de la ligne SNCF/Persan, autour des gares. Un mois après, en juin, une troisième équipe est à son tour levée. Celle-ci part travailler en voiture. En suivant les axes routiers, la A15 et la A115, les casseurs fracturent des pavillons en série dans le Val-d’Oise (130 pour ce seul département), l’Oise, la Somme, l’Eure, le Calvados... entre minuit et cinq heures avec une technique immuable : ils percent un trou à la chignole dans une poignée de fenêtre et s’introduisent chez les propriétaires pendant leur sommeil. Les deux équipes auraient cassé plusieurs centaines de pavillons en quelques mois à raison d’une dizaine par nuit
    Lorsqu’ils ne volent pas à l’étalage, dans des entreprises ou chez les particuliers, les « petites mains » roumaines le font dans les remorques des camions. Ils ne sont pas les seuls bien sûr. Faute de banques à dévaliser, le banditisme – notamment les équipes de cités et les manouches – s’y est mis. Les vols de fret (braquage de camions, vol de remorque, cambriolage dans les entrepôts...) ont augmenté de 85% entre 1997 et 2003, avec 3 500 cas en 2002, avant de se stabiliser ces dernières années (2 500 en 2006) et de baisser en 2007 (1 500), notamment depuis le renforcement des mesures de sécurité prises par les entreprises de transport : accès aux entrepôts, sélection du personnel, camions équipés de système de repérage GPS... Ce qui n’a pas vraiment gêné les voleurs roumains habitués du « vol à la bâche » : une discipline – 80% des vols de fret – pratiquée sur les aires de repos des autoroutes lors de raids nocturnes. En février 2007, une équipe roumaine était surprise en train de lacérer une vingtaine de camions sur l’aire de repos de Nemours sur l’A6. Une fois dans la remorque, les voleurs ouvrent les cartons et font leur marché : spiritueux, chaussures, produits d’hygiène, etc. En juin 2005, ce sont des mineurs recrutés au pays et logés dans des hôtels en banlieue parisienne qui étaient convoyés chaque nuit sur les aires d’autoroute de la région. Pour endiguer le vol à la bâche, les chauffeurs sont encouragés à se reposer sur des aires sécurisées et les sociétés de transport à camoufler les marques des cartons avec des enveloppes de film plastique noir. 
         Mais des équipes roumaines – ainsi que britanniques – ont contourné le problème, en créant de vraies sociétés de transport qui répondent à des annonces d’appel d’offres dans les bourses de fret sur Internet. La marchandise chargée, les camions loués pour l’occasion disparaissent avec...

    Jérôme Pierrat, Mafias, gangs et cartels. La criminalité internationale en France

    http://www.oragesdacier.info/2014/01/les-camps-bidonvilles-roms-ou-les.html

  • La fin du monopole de la Sécurité sociale…

    L’ordonnance 2001-377 dispense de payer la CSG et la CRDS ceux qui choisissent un organisme dans un autre pays européen, et cela est caché...

     
     

    Il n’est pas question, dans cet article, d’inciter à fuir notre régime d’assurance obligatoire… cela est interdit par l’article L114-18 (2006) du Code de la sécurité sociale…

    Cependant, il n’est pas inutile de rappeler les éléments suivants…

    La Commission européenne a confirmé la fin du monopole des retraites et, implicitement, de la Sécurité sociale en France instaurée par de Gaulle en 1945 sous l’influence du Parti communiste français et des syndicats très puissants à l’époque. Nos avantages sociaux ont tenu bon durant plus de 60 ans tout en creusant régulièrement le trou de leur déficit. La Sécurité sociale est un État dans l’État et son budget est comparable à celui de la France. Son déficit entraîne le pays vers des profondeurs abyssales. Il est plus que probable qu’elle ne tardera pas à exploser, et il est donc urgent de rechercher des solutions avant l’effondrement total du monopole.

    Lire la suite ...

  • ¡ Viva España ! Le ministre de la Justice espagnol, à propos du projet de loi sur l’avortement : « Cette loi nous situera à l’avant-garde du XXIe siècle et elle va rouvrir le débat ailleurs en Europe. »

    Avec le soutien du premier ministre Mariano Rajoy, Alberto Ruiz-Gallardón défend l’avant-projet de loi adopté quelques jours avant Noël par le gouvernement espagnol conformément à sa promesse électorale de restreindre l’accès à l’avortement.

    Si la gauche espagnole, parti socialiste (PSOE) en tête, parle d’un terrible retour en arrière et promet de refuser en bloc toute remise en cause de la libéralisation de l’avortement jusqu’à la 14e semaine instaurée par le gouvernement Zapatero alors que cela n’avait pas fait partie de son programme électoral, le ministre de la Justice du Parti Populaire (PP) estime lui que son projet sera la loi la plus avancée et la plus progressiste qu’il lui aura été donné de soutenir en 30 ans de politique. Malgré quelques voix discordantes au sein du PP, et même si le premier ministre a promis que l’avant-projet de loi pouvait encore être modifié dans le cadre du débat parlementaire, Gallardón semble convaincu qu’il n’y aura pas de modification majeure puisque le projet actuel est déjà le fruit de deux ans de discussions au sein du PP et que son parti votera en bloc pour cette loi conformément à une de ses promesses électorales pour lesquelles les Espagnols lui ont donné la majorité absolue au parlement il y a deux ans. [...]

    La suite sur Novopress