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géopolitique - Page 211

  • Donald Trump : «Le Département d'Etat, le gouvernement, le Pentagone... ils sont obsédés par l'idée de pousser l'Ukraine vers l'OTAN. Ils cherchent la confrontation comme avec l'Irak. Nous sommes au bord de la troisième guerre mondiale»

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    Vu sur TVL

    Nouvelle charge contre l'administration Biden et les faucons américains sur la guerre en Ukraine

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  • Un aperçu inattendu (pour l’élite) : Les États-Unis pourraient être les plus grands perdants de la guerre contre la Russie

    Où va l’Europe à la suite des allégations concernant Nord Stream ? Il est difficile de voir une Europe dominée par l’Allemagne s’éloigner de Washington.

    « L’OTAN n’a jamais été aussi forte ; la Russie est un paria mondial ; et le monde reste inspiré par la bravoure et la résilience ukrainiennes ; en bref, la Russie a perdu, la Russie a perdu stratégiquement, opérationnellement et tactiquement – et ils paient un prix énorme sur le champ de bataille ».

    Lui, (le général Mark Milley, chef d’état-major des armées américaines) ne croit pas un mot de tout cela. Nous savons qu’il n’y croit pas car, il y a deux mois, il a dit exactement le contraire – jusqu’à ce qu’il soit réprimandé par la Maison Blanche pour s’être écarté du message de Joe Biden. Maintenant, il est de retour et joue dans « l’équipe ».

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  • LES EUROPÉENS, DINDONS DE LA FARCE ! LA FRANCE FARCIE EN PRIORITÉ ! (3)

    Les Etats-Unis, même s’ils perdent à nouveau cette guerre, auront accentué leur mainmise sur l’Europe. La Russie semble résiliente, mais on peut être surpris par ses résultats militaires à défaut de s’en réjouir ainsi que de ses pertes humaines comme le font sans vergogne la plupart de nos médias, parmi lesquels des champions de la désinformation comme LCI, BFM ou le service prétendument public, sans compter la presse écrite et ses commissaires politiques, ses inquisiteurs propriétaires du bien et volontiers censeurs. L’explication en est simple : la Russie n’affronte pas l’Ukraine mais l’OTAN, c’est-à-dire les Etats-Unis, leurs satellites, aux deux sens du terme, et contrairement aux mensonges diffusés à foison, elle essaie de réduire ses pertes au minimum. En revanche, son économie n’a pas été détruite comme le prophétisait la baudruche pontifiante qui siège à Bercy.

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  • À mourir de rire

    par Patrick Reymond

    Je crois que certains en veulent à ma vie. Ils veulent me faire mourir de rire. Littéralement.

    Donc, relocalisation de la production de poudre pour obus…

    1200 tonnes de poudre à Bergerac à l’année, de quoi fournir 500 000 charges modulaires, soit 95 000 « coups complets », dont… 15 000 pour l’armée française. On est ici, non seulement dans les tréfonds du ridicule, mais on creuse encore, visiblement…

    L’abus de fumage de moquette a encore frappé. On serait ENCORE dans le sous équipement, si c’était du 95 000 par MOIS.

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  • Défaite garantie de l’Otan en Ukraine : 1/4 des chars promis et pas de munitions !

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    Marc Rousset

    L’OTAN avait promis en janvier à Kiev de lui fournir 320 chars d’ici le printemps. En avril seulement 50 blindés pourront finalement être livrés. L’Ukraine va se trouver dans une situation impossible sans chars et sans munitions lors de l’offensive russe majeure prévue en mars ou en avril.

    Le Ministre allemand de la défense Boris Pistorius a vertement critiqué certains pays membres de l’OTAN ( Danemark, Pays-Bas, Pologne) qui s’étaient permis de faire pression sur l’ Allemagne en lui donnant de leçons de morale afin qu’elle autorise la livraison de chars Leopard 2 à l’Ukraine. Copenhague, Varsovie et la Haye ne pourront envoyer qu’un très petit nombre des chars promis. Les stocks de Leopard 2 A4 de la Pologne ne sont pas opérationnels et ceux qui sont en possession des Pays-Bas ont été mis hors service, il y a 20 ans !

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  • Les neocons ont ouvert une boite de Pandore géopolitique

    Le président de la Russie a dit que l’Ukraine, qui fait partie des territoires traditionnels russes, est occupée, et que cette occupation fait partie d’un plan qui existe depuis le XIXe siècle ; l’un des principaux planificateurs de ce plan étant la Pologne. 

    Cela pourrait signifie que les territoires traditionnels de la Russie devraient être libérés des occupants qui tentent de mener à bien ce plan élaboré au XIXe siècle. 

    D’une certaine façon cette analyse donne une profondeur stratégique à l’action de la Russie.

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  • Les limites de la guerre

    par Dmitry Orlov

    Une guerre chaude fait rage au cœur du sous-continent européen qui, si vous consultez une carte géographique, s’étend du pittoresque Cabo da Roca au Portugal (entrée gratuite) à la majestueuse chaîne de montagnes de l’Oural, à l’extrémité orientale de la Russie européenne. Le site actuel se trouve dans les provinces russes récemment (re)acquises de Lugansk, Donetsk, Zaporozhye et Kherson. Avec d’autres provinces, comme Odessa, Kharkov et Kiev, ces provinces étaient des terres russes jusqu’à ce que Vladimir Lénine juge bon de les regrouper dans une République socialiste soviétique d’Ukraine concoctée à la hâte. Mais cette entité chimérique a disparu depuis plus de 30 ans maintenant et ce qui l’a remplacée s’est avéré non viable et se trouve actuellement à un stade avancé de décomposition politique. C’est la proverbiale valise sans poignée : impossible de la soulever, mais trop précieuse pour la laisser derrière soi ; d’où le conflit actuel, qui consiste à l’ouvrir et à ramasser le butin qu’elle contient.

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  • Dmitri Medvedev : "Puisque les États-Unis veulent vaincre la Russie, nous avons le droit de nous défendre avec toutes les armes, y compris les armes nucléaires"

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    Le vice-président du Conseil de sécurité russe, Dmitri Medvedev, a déclaré que puisque les États-Unis tentent d'infliger une défaite stratégique à la Russie dans le conflit en Ukraine, Moscou a le droit de se défendre par tous les moyens nécessaires, y compris les armes nucléaires. Il a averti que les élites américaines ne devaient pas se considérer comme intouchables, alors qu'il s'exprimait mercredi après les discours prononcés la veille par les dirigeants de la Russie et des États-Unis.

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  • La géopolitique : débats sémantiques 3/3

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    C’est dans ce contexte mondial que la géo-économie, définie comme forme nouvelle de rivalité entre États et groupe d’États, s’impose : « Dans cette géo-économie, les capitaux investis ou drainés par l’État sont l’équivalent de la puissance de feu ; les subventions au développement des produits correspondent aux progrès de l’armement ; la pénétration des marchés avec l’aide de l’État remplace les bases et les garnisons militaires déployées à l’étranger, ainsi que “l’influence diplomatique”. Ces diverses activités (…) sont également le lot quotidien des entreprises privées qui les exercent pour des motifs purement commerciaux. Mais quand l’État intervient, lorsqu’il encourage, assiste ou dirige ces mêmes activités, ce n’est plus de l’économie “pur sucre”, mais de la géo-économie » (p. 34). Cette discipline est donc plus qu’une simple géographie économique du XXIe siècle. Elle étudie les formes économiques et commerciales prise par les logiques conflictuelles inter-étatiques et le même terme désigne les mesures prises dans le cadre du combat planétaire pour la suprématie technico-économique. On distinguera donc la géo-économie-méthode de la géo-économie-pratique ou utilisation diplomatico-stratégique de l’économie.

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  • Turquie, Syrie : un séisme qui rebat les cartes au Moyen Orient ?

    Turquie, Syrie : un séisme qui rebat les cartes au Moyen Orient ?
     Fév 19, 2023
    Billet du lundi 20 février 2023 rédigé par Patricia Lalonde, Vice-présidente et membre du Conseil d’administration de Geopragma.
    Indécence… 44.000 morts. A peine quelque jours après le désastreux tremblement de terre qui a frappé la Turquie et la Syrie, elle-même déjà en proie à douze années de guerre, certains journalistes, sans doute mus par leurs belles âmes « droit de l’hommistes » occidentales osent souffler sur les braises d’une polémique choquante contre les régimes turc et syrien.

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