Lors d’une émission télévisée, l’un des journalistes rétorque à Jean-Frédéric Poisson, Président du parti VIA : « Heureusement que l’Ukraine a des armes pour défendre nos valeurs ! » (1). En fait, la phrase est incomplète. Elle aurait dû être : « Heureusement que l’Ukraine a des armes, et que ses soldats, des garçons de 16 ans, des filles de 18 ans, des personnes âgées de 70 ans, se font massacrer pour défendre nos valeurs ». Et de fait, c’est actuellement la situation, et c’est l’état de la conscription en Ukraine. Par ailleurs, les analystes sont aujourd’hui d’accord pour dire que jusqu’ici, plus de 60.000 soldats ukrainiens ont perdu la vie dans ce conflit (2), ce qui veut dire qu’il y a au minimum 2 à 3 fois plus de blessés. Cela fait, pour 7 mois de guerre, entre 180.000 et 240.000 morts ou blessés, du côté des militaires ukrainiens. C’est une effroyable boucherie !
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Ukraine : arrêtez le massacre ! par François Martin
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Des jours sombres s’annoncent pour l’Europe
La perte du pétrole russe pourrait déclencher la « pire crise énergétique depuis des décennies »
par Jade.
L’interdiction européenne de la plupart des importations de pétrole brut en provenance de Russie entrera en vigueur en décembre. Pour les dirigeants européens, la prochaine tâche à accomplir est de trouver de nouvelles sources de pétrole brut avant ce qui pourrait être un hiver très sombre et froid.
La décision des pays de l’UE de sanctionner sans cesse la Russie pour la guerre du président Vladimir Poutine contre l’Ukraine en interrompant les importations de pétrole brut dans le courant de l’année est une tentative de « faire payer le Kremlin » pour l’invasion, a récemment déclaré Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne. Mais cela n’a fait que se retourner contre le Kremlin, qui a vu son trésor de guerre gonfler de plusieurs dizaines de milliards de dollars avec l’hyperinflation des prix de l’énergie et la découverte de nouveaux acheteurs en Asie.
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Conflit en Ukraine : À QUI LA FAUTE ?
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Guerre d’Ukraine – Jours 231-232 – Les dirigeants occidentaux sous-estiment le rejet qu’ils inspirent désormais dans le reste du monde
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Le courage et le choc
Le 8 juin dernier j'avais publié, dans un nouvel article titré "Le courage et le choc", des réflexions illustrées tentant de vous rapprocher de l'intensité héroïque des combats se déroulant sur ce front russo-ukrainen rassemblant dans un même chaudron la guerre des tranchées de 14-18, la guerre des blindés de 39-45 et cette guerre technologique en train de naître à l'aube de notre XXIème siècle.
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« L’économie russe à l’agonie ! » (ironie)
Du moins dans les fantasmes délirants de l’économiste
en chefen herbe B. Lemairepar Vincent Gouysse.
N’en déplaise au sinistre de la macronie en charge de l’économie et des finances qui promettait il y a sept mois de « livrer une guerre économique et financière totale » afin de « provoquer l’effondrement de l’économie russe », la cible principale (revendiquée) des sanctions atlantistes semble aujourd’hui être totalement manquée ! En ce jour d’octobre 2022, la journaloperie merdiatique atlantiste reconnaît en effet que « L’économie russe résiste mieux que prévu aux sanctions » :
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Pour le deuxième jour consécutif, l’armée russe bombarde massivement l’Ukraine
par Christelle Néant.
Après une première journée de bombardements massifs à coup de missiles de haute précision et de drones kamikazes Geran-2, l’armée russe a continué le 11 octobre à détruire les infrastructures énergétiques et militaires de l’Ukraine.
Le 10 octobre 2022, en réponse à l’attentat terroriste qui a frappé le pont de Crimée deux jours plus tôt, l’armée russe a lourdement bombardé les infrastructures énergétiques et militaires de l’Ukraine.
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C’est le retour au Moyen-Âge qui guette l’Ukraine si Zelensky s’obstine
L’Ukraine a dorénavant davantage besoin de bougies que d’obus !
Après des mois de retenue, face aux bombardements ukrainiens sur les civils du Donbass, après l’assassinat de Daria Douguina, âgée de 30 ans, après le sabotage des gazoducs Nord Stream et suite à l’attentat sur le pont de Crimée, la coupe était pleine. La riposte russe est donc à la hauteur des attentes des durs du régime moscovite, qui piaffent d’impatience avant la reconquête des territoires récemment perdus.
Pendant longtemps, Poutine s’est refusé à détruire les infrastructures civiles ukrainiennes, considérant qu’il combattait le régime antirusse en place à Kiev et non le peuple.
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Gare à vous les supporters ! La guerre démolit les stades
Déclaration de Pino CABRAS, ex-député, analyste financier, fondateur du parti l’Alternativa.
Parmi les cibles que la Russie a frappé ce matin en Ukraine, il y en a une sans valeur stratégique apparente mais qui fait impression : l’entrepôt d’une société de cosmétiques de Kiev.
Sur une des pages de la société, il y a quelques jours, ils se réjouissaient de l’attaque qui avait endommagé le méga-pont de Kertch.
L’entrepôt a-t-il été détruit par un missile de précision pas si « précis » que ça ? Qui sait ?
Ou peut-être s’agissait-il d’un acte délibéré, un signal à l’intention de ceux qui traitent la « gravitas » de la guerre avec autant de superficialité et de triomphalisme stupide ?
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L’Occident a désormais mis le cap vers une guerre terroriste totale
par The Saker.Tout d’abord, je veux poster une vidéo que j’ai trouvée sur Twitter (original ici) qui montre quel type d’explosion a eu lieu sur le pont de Crimée.
D’après ce que j’ai lu, un camion rempli d’explosifs a explosé, tuant trois personnes dans une voiture à proximité, puis les flammes se sont emparées d’un train qui traversait également le pont. Ce train était plein de carburant. Ce n’est que grâce à l’étonnante rapidité avec laquelle les équipes du pont ont réagi que les dégâts ont été limités à seulement 9 wagons et, par conséquent, à un segment beaucoup plus court de voies ferrées.
En regardant la vidéo, on pourrait imaginer que le pont est en ruines. En fait, le trafic a été rétabli sur les deux voies ferrées et sur la route en moins de 24 heures (à l’exception des poids lourds). En d’autres termes, il s’agit d’un nouveau cas de « c’est humiliant, mais pas dangereux » (обидно но не опасно).