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géopolitique - Page 593

  • Le pari risqué de l’Arabie saoudite après l’exécution d’un chef chiite

    L’imam chiite Nimr al Nimr, considéré comme une figure de la contestation saoudienne, et 46 autres condamnés à mort ont été exécutés samedi en Arabie saoudite, ce qui a soulevé une vague d’indignation dans la communauté chiite.

     En exécutant aussi bien des radicaux sunnites liés à al-Qaïda que quatre dignitaires chiites accusés de jeter de l’huile sur le feu en Arabie, les responsables saoudiens ont voulu adresser un message d’extrême fermeté à tous leurs ennemis, sans distinction confessionnelle. Mais en choisissant de liquider le cheikh Nimr al-Nimr, figure de la contestation chiite dans le royaume, l’Arabie a pris le risque d’aggraver dangereusement la guerre que se livrent chiites et sunnites à travers le monde arabe. Une guerre à laquelle Riyad pour les sunnites et Téhéran pour les chiites sont les principaux protagonistes, que ce soit en Syrie ou au Yémen, voire au Liban et en Irak.

    Les condamnations en provenance d’Iran - qui jure que Riyad « paiera un prix élevé » - du Bahreïn - où la majorité chiite est marginalisée par les sunnites au pouvoir alliés des Saoudiens - du Yémen - où Saoudiens et Iraniens se combattent par alliés interposés - mais aussi du Liban et d’Irak témoignent de ce fossé qui va encore se creuser, à un moment où le Moyen-Orient est déjà à feux et à sang.

    Le signal lancé par Riyad a plusieurs destinataires.

    En faisant exécuter le dignitaire chiite, l’Arabie donne des gages aux franges extrêmes de sa majorité sunnite attirée par Daech. Certains d’entre eux voient en effet l’Etat islamique comme « le meilleur défenseur » des sunnites face aux « hérétiques chiites » et à leur soutien iranien. Mais céder aux extrêmes est dangereux, y compris sur le sol saoudien.

    Si Riyad a durci sa position au printemps 2014 vis-à-vis des djihadistes locaux qui avaient été auparavant encouragé à aller mener la « guerre sainte » contre « le dictateur » Assad, le royaume reste encore le principal pourvoyeur de combattants étrangers en Syrie et en Irak, et pas seulement auprès de Daech, mais aussi auprès du Front al-Nosra, la branche locale d’al-Qaïda, et de certains groupes considérés comme « modérés » par la France ou la Grande-Bretagne comme les salafistes d’Ahrar el-Sham. [....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    On attend toujours la réaction de M. Hollande (NDLR)

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-pari-risque-de-l-Arabie

  • Poutine dit ouvertement ce que l’Occident pense tout bas à propos de la Turquie

    La Turquie joue un jeu très dangereux en Syrie, en perdant son statut de partenaire de confiance auprès de ses alliés occidentaux, a écrit le chercheur de l'Université de Sydney Stuart Rollo pour le journal d'affaires américain Wall Street Journal.
    "En réagissant à l'incident du Su-24, le bombardier russe abattu par la Turquie, le président russe Vladimir Poutine a qualifié le gouvernement de Recep Tayyip Erdoğan de "complices des terroristes". Accusation souvent adressée à la Turquie par les occidentaux mais de manière plus diplomatique. La Turquie laisse passer en Europe à travers sa frontière des flux de pétrole et des reliques pillées par les terroristes de Daech — des takfiristes étrangers, de l'argent et des armements en sens inverse".
    M. Rollo a noté que la Turquie a été l'un des premiers pays à s'immiscer dans le conflit syrien.
    Dès le début de la guerre civile, Ankara a fait un gros pari sur le renversement du président syrien Bachar el-Assad, en essayant d'obtenir le statut de puissance dominante dans la région.
    La situation en Syrie a changé, contrairement à la stratégie de M. Erdoğan. Par conséquent, la Turquie est devenue un obstacle pour désamorcer le conflit, a ajouté le professeur dans son article pour Wall Street Journal.
    D'une part, Ankara mène une guerre contre les Kurdes syriens qui combattent efficacement les terroristes de Daech, d'autre part — la Turquie est un élément d'un réseau terroriste bien organisé, qui comprend également le groupe Daech. De plus, la Turquie prônait l'arrivée au pouvoir d'un gouvernement sunnite en Syrie qui devrait être contrôlé par une cellule locale des Frères musulmans. Ce scénario nuirait aux intérêts de la Russie et de l'Iran.
    Stuart Rollo a ajouté que cet été, le gouvernement turc de M. Erdoğan s'était accordé avec les Etats-Unis pour l'utilisation de deux bases de l'armée de l'air turque, pour que les avions américains puissent effectuer des frappes aériennes sur les positions de Daech. Dans le même temps, Ankara continuait à utiliser ces bases pour attaquer des unités kurdes en Irak et en Syrie.
    "Le gouvernement de M. Erdogan est encore plus préoccupée par la lutte contre les Kurdes en Syrie, que contre Daech" a déclaré l'analyste de l'Université de Sydney.
    Initialement, des occidentaux, comprenant les responsables politiques, les médias et la communauté universitaire considéraient la Turquie comme un modérateur puissant de la stabilité régionale et de la croissance économique, mais avec le temps ils ont commencé à considérer Ankara comme un soutien du terrorisme international. Par exemple, le vice-président américain Joe Biden dans un de ses discours publics a abordé le problème de la frontière turco-syrienne, en disant que le principal problème pour les Etats-Unis dans la lutte contre Daech était l'activité de leurs alliés. Un des responsables de la Maison Blanche a également parlé d'une "menace internationale émanant de la Syrie et passant par la Turquie". De plus, la Turquie est devenue un "allié dangereux" pour l'Otan, en engageant l'alliance dans un conflit indésirable avec la Russie.

    Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuVEuZkpZyGOZqcFXZ.shtml

  • 8 janvier conférence à Angers de Xavier Moreau : Ukraine, pourquoi la France s’est trompée

    Homme d’affaires et analyste politico-stratégique de l’Europe de l’Est, Xavier Moreau a publié un document-choc sur le conflit ukrainien, une « immense manipulation de déstabilisation de notre continent ». Il démontre l’action funeste de certains Etats et le rôle de la France et de son ministre Laurent Fabius. Pour Xavier Moreau, la France possède son plus mauvais ministre des Affaires étrangères depuis 200 ans !

    Conférence / débat organisé à Angers le 8 janvier 19h par le Front National du Maine et Loire.

    Inscription par mail ou téléphone : 06 65 86 47 49 barbara.mazieres49@sfr.fr

    Michel Janva

  • Les bombardements russes dévoilent le pillage pétrolier en Syrie

    Les frappes aériennes russes visant des tankers de Daech transportant du pétrole syrien en Turquie ont révélé l'étendue du pillage de carburant, selon le ministre syrien de l'Industrie de l'électricité.
    Le ministre syrien de l'Industrie de l'électricité Imad Khamis a mis en évidence l'importance de l'opération militaire russe en Syrie ayant permis de démasquer la perte de fonds étatiques.
    "Le gouvernement turc et d'autres groupements qui lui sont alliés ont joué un rôle important dans le vol du pétrole syrien. C'est l'un des facteurs ayant le plus grand impact sur le secteur pétrolier et énergétique (syrien, ndlr)", a déclaré Imad Khamis à l'agence Sputnik.
    "Ces derniers temps, on a pu voir un grand nombre de citernes et de tankers transportant illicitement du pétrole syrien volé en Turquie bombardés par les forces armées russes. Cela a permis d'exposer au grand jour le volume de pétrole que perd le gouvernement syrien. Il en a besoin pour produire de l'électricité", a-t-il poursuivi.
    Le ministère russe de la Défense organise régulièrement des briefings où sont montrées des photos et vidéos présentant les résultats des opérations militaires des forces aériennes russes en Syrie.
    L'état-major général des forces aériennes russes a décrit, vendredi, l'un des nouveaux itinéraires de la contrebande du pétrole syrien extrait illégalement par les terroristes de Daech: des camions font tout d'abord un raccourci en Irak pour ensuite atteindre la Turquie.

    Al manar :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuVEuEkuVpenrqQDHz.shtml

  • Plan américain pour évacuer les chefs de Daesh de la ville de Ramadi par hélicoptère

    Il y aurait aussi, à ce qu’il semble, des djihadistes modérés en Irak. Comment font-ils, à la Maison Blanche et au Pentagone pour ne pas se mélanger les pinceaux avec les bons, les méchants, les modérés et les durs de durs ? Heureusement que la Russie est là pour nous aider à y voir clair. RI

    ***

    Aime ton ennemi ? Découverte d’un plan américain d’évacuation de chefs djihadistes de Ramadi

    Un complot américain pour évacuer les dirigeants de Daesh de la ville stratégique de Ramadi au centre de l’Irak aurait été divulgué par un commandant des forces des volontaires.

    Un commandant irakien des forces volontaires a révélé des plans américains pour évacuer les dirigeants de Daesh (ISIL / ISIS) de la ville de Ramadi au centre de l’Irak, selon  l’agence de presse iranienne FARS.

    Cette divulgation a eu lieu alors que l’armée irakienne et les troupes populaires tentent de conforter leur victoire sur le groupe djihadiste à Ramadi.

    FARS a cité le commandant du Bataillon de l’Imam Khamenei Haidar al-Hosseini al-Ardavi qui a déclaré que « le ralentissement dans les opérations de libération des villes de Ramadi et Falloujah dans la province d’Anbar était dû à l’ingérence des États-Unis ».

    Les forces de sécurité irakiennes et les Forces de Mobilisation populaires alliées ont tiré des roquettes sur les positions de Daesh dans un champ de pétrole près de Beiji, à environ 250 kilomètres (155 miles) au nord de Bagdad en Irak, le samedi 24 octobre 2015

    « Il semble que les Etats-Unis ont l’intention d’évacuer en secret les infâmes meneurs du groupe terroriste ISIL (avec des hélicoptères) de la ville de Ramadi pour les mener dans des lieux inconnus », a-t-il dit, selon FARS.

    Ses remarques ont été faites au milieu des efforts déployés par les forces de sécurité irakiennes pour continuer à gagner du terrain dans le centre de Ramadi, où des centaines de terroristes Daesh sont pris au piège grâce au siège.

    Le mercredi, il a été signalé que les troupes irakiennes avaient réussi à faire des progrès significatifs dans Ramadi après avoir atteint le Tigre, et avaient commencé à entrer dans le centre-ville après avoir traversé le pont Al-Khor.

    Dans un autre développement, les forces spéciales de l’armée ont attaqué des cachettes de Daesh dans le quartier al-Zubat de la ville, et ont commencé à libérer des bâtiments gouvernementaux dans le quartier al-Hoz de Ramadi.

    Plus tôt cette semaine, le chef d’état-major de l’armée irakienne, le lieutenant général Othman al-Ghanimi avait dit que ses troupes n’avaient besoin que de quelques jours pour complètement faire sortir Daesh de la ville de Ramadi qui a été sous le contrôle des terroristes depuis mai 2015.

    Traduction Avic – Réseau International

    Source : http://sputniknews.com/middleeast/20151227/1032365363/iraq-us-daesh-ramadi.html#ixzz3vZMLLmIU

    Source Article from http://reseauinternational.net/plan-americain-pour-evacuer-les-chefs-de-daesh-de-la-ville-de-ramadi-par-helicoptere/

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Le Nouvel Ordre mondial espère la mort de la civilisation blanche européenne

    «Si vous ne pensez pas que tout ceci fait partie d’un énorme plan, vous êtes très, très naïf

    Des Etats-Unis à l’Europe, l’élite occidentale permet à un afflux massif d’étrangers d’entrer dans leurs pays, transformant radicalement le visage des sociétés occidentales dans la perspective de diviser, de conquérir et d’étendre son pouvoir militaire et financier sur une planète inconsciente.

    Angela Merkel a été récemment qualifiée par le Time’s Magazinede « Personnalité de l’année » pour avoir pris la tête du mouvement d’accueil des réfugiés dont l’arrivée menace de déchirer l’Union européenne.

    Malgré l’image créée par les médias d’une Europe prête à accepter des masses de réfugiés dans leurs sociétés conservatrices, l’histoire récente nous montre une tout autre face de la situation. Dès 2010, la chancelière allemande Angela Merkel, pour répondre à la montée de sentiments hostiles à l’immigration, choqua le monde en reconnaissant que les efforts de créer une société multiculturelle en Allemagne avaient « complètement échoué ».

    Aujourd’hui, Merkel a adopté un ton tout à fait différent face à la vague de réfugiés qui assaille l’Europe des quatre points cardinaux. Comptant sur l’absence de mémoire de l’opinion publique, le leader allemand a souhaité la bienvenue sur toute la longueur de la frontière de son pays, disant au monde que l’Allemagne accepte son destin en admettant plus d’un million d’arrivées nouvelles ; presque le même jour, 130 personnes étaient tuées par des gens se réclamant du fondamentalisme islamiste en région parisienne.

    Une partie du changement sentimental à l’égard des réfugiés est venue de l’histoire tragique d’Aylan Kurdis, l’enfant syrien dont le corps a été rejeté par les flots sur la côte de la Turquie, une fois que le bateau dans lequel il voyageait eut chaviré. Bien sûr, les médias détenus et contrôlés par de grands groupes, et jamais en reste pour parler d’un événement tragique (surtout s’il est accompagné de photos choquantes), l’ont publié sur la première page de tous les journaux européens. C’étaient les mêmes journaux qui ignoraient les malheurs des enfants du Moyen-Orient victimes des agressions de l’OTAN contre des pays souverains comme l’Afghanistan, l’Irak, la Libye et maintenant la Syrie. Il suffit de lire le sous-titre de la première page du Sun, quotidien anglais, qui affirmait : « Bombardez la Syrie pour venger Aylan ». C’est ainsi qu’on instrumentalise une tragédie pour vendre à l’opinion la plus laide des politiques : la guerre.

    Alors que les Européens sont forcés, par une campagne médiatique permanente, à accepter les réfugiés syriens ou sinon paraître des néofascistes (un terme que peu d’Allemands arrivent à accepter en raison du souvenir atroce de l’Allemagne nazie, souvenir que les médias ravivent sans cesse dans le cœur des Allemands), les réfugiés sont attirés comme par un aimant par une Europe qui promet l’argent facile et des emplois à gogo. Notons toutefois qu’il est prouvé que la plupart des nouveaux arrivants en Europe ne viennent pas de Syrie mais d’autres pays déchirés par la guerre comme l’Afghanistan, l’Irak et la Libye.

    Les réfugiés reçoivent en Allemagne jusqu’à 345 euros par mois du gouvernement alors qu’en Suède ce chiffre est de 224 euros. Comparé à la situation des pays d’où viennent les réfugiés, la tentation de recevoir de l’argent automatiquement est impossible à ignorer.

    Ce chaos a-t-il été planifié ?

    Même si, en apparence, la crise des réfugiés sembla avoir pris les gouvernements occidentaux par surprise, en fait elle correspond à leur plan de domination mondiale (une domination tous azimuts) qui fut présenté par un groupe aujourd’hui disparu de néoconservateurs américains connu comme « le projet pour un nouveau siècle américain » (PNAC). En septembre 2000, le groupe a sorti un document qui a pour titre « Reconstruire la défense américaine, les stratégies, les forces et les ressources pour un nouveau siècle » dans lequel des individus assoiffés de volonté de puissance affirment leur but d’asseoir la puissance américaine dans le monde entier afin de rester la super-puissance mondiale suprême.

    Le PNAC identifie 5 nations comme « profondément hostiles à l’Amérique » : la Corée du Nord, l’Irak, l’Iran, la Libye et la Syrie (un peu plus tard l’ancien général américain Wesley Clark en ajoutait trois autres à cette liste : le Liban, la Somalie et le Soudan). On ne s’étonnera pas que deux de ces cinq pays ont déjà été victimes d’une occupation/capitulation dirigée par les Etats-Unis, tandis que la Syrie essaye encore de survivre, et ce uniquement grâce à l’intervention de la Russie. Moscou semble être arrivé à la juste conclusion que l’Etat Islamique est une armée créée et mandatée par les Etats-Unis pour détruire les murs de protection des Etats souverains.

    A en juger par l’ampleur de ces plans diaboliques, il est totalement impossible que les Etats-Unis n’aient pas prévu qu’un flot de réfugiés désespérés se dirigerait bientôt vers l’Union européenne à la recherche de leur survie. Mais, là encore, cela correspond à une partie du plan d’ensemble désiré par les élites américaines, car sinon ils n’affirmeraient pas aussi agressivement les droits des étrangers illégaux face aux droits de leurs citoyens de souche. C’est clair quand on voit les désastres provoqués par l’élite occidentale dans l’économie européenne où des nations comme la Grèce, l’Italie, le Portugal et d’autres sont au bord de la faillite, ne survivant que grâce à des prêts impossibles à rembourser imposés par le FMI et la Banque mondiale.

    Il est tentant d’appeler l’attention sur la vie pittoresque de Barack Hussein Obama – premier président américain noir d’origine kenyane dont on sait qu’il a des opinions bien précises sur la façon dont ont été et sont traitées les minorités – pour expliquer la destruction des frontières nationales dans le monde entier et surtout de façon frappante aux Etats-Unis et dans l’Union européenne. En fait, le milliardaire de l’immobilier Donald Trump semble avoir réussi à se faire nommer candidat des Républicains à l’élection présidentielle sur la seule promesse de construire un « mur gigantesque » pour séparer l’Amérique du Mexique. Alors, pourquoi Obama ne fait-il pas la même promesse pour faire taire une bonne fois pour toutes ce Trump menaçant ?

    Bien que je pense qu’Obama est prédisposé à la fois par la couleur de sa peau et par son histoire à montrer de la compassion pour le sort des réfugiés et des minorités, et par conséquent peu enclin à fermer les frontières de l’Amérique, je ne pense pas que la race du président américain puisse tout expliquer (ce qui empêcherait d’ailleurs toute critique à son égard comme émanant d’un raciste). Le fait est là : Obama applique une ligne écrite il y a plusieurs années. Washington est sous la coupe de manipulateurs cachés trop puissants pour que le hasard intervienne de quelque façon que ce soit dans la politique des Etats-Unis.

    Selon le sociologue allemand Gunnar Heinsohn, au milieu du XXIe siècle, des millions de migrants en provenance d’Afrique et d’Asie (950 millions d’entre eux voudraient d’ores et déjà s’implanter dans l’Union européenne) vont plonger l’Europe dans un retour à la barbarie. N’est-ce pas exactement ce que Barack Obama, avec ses racines africaines, souhaite grâce à sa politique étrangère ?

    Ce serait une erreur de reprocher à l’individu Barack Hussein Obama de détruire la civilisation blanche européenne si fière dans le passé (qui ne tient plus qu’à un fil aujourd’hui dans quelques foyers de résistance tenace comme la Russie, la Hongrie et la Biélorussie). Le responsable est surtout le système maléfique que tout président américain est contraint d’accepter ou de combattre dès son arrivée dans le Bureau ovale (John F. Kennedy est peut-être la meilleure preuve de ce qui arrivera à tout président des Etats-Unis qui essaiera d’être indépendant et d’exiger un véritable changement).

    Nous ne pouvons plus nous permettre de nous faire des illusions sur ce qui se passe réellement dans le monde aujourd’hui. Les Etats-Unis s’activent pour détruire volontairement les vieilles nations, ce véritable ciment qui maintient l’unité des cultures et des civilisations. Peu importe si l’Etat est un ami ou non, chrétien ou musulman, riche ou pauvre. Le plan essentiel est de détruire toute homogénéité raciale et de la remplacer par un système unipolaire impérial dirigé par les Etats-Unis et reposant sur la force brutale pour maintenir « l’ordre et la paix ». Comme déjà dit, c’est plus facile si les citoyens n’ont plus rien de commun avec leurs voisins. Le microcosme de ce système démoniaque est déjà à l’œuvre auprès de l’Américain moyen, aux Etats-Unis, où la police vient de recevoir un armement militaire à user contre le peuple américain. Pendant ce temps, nos frontières restent ouvertes aux tueurs, aux violeurs et aux trafiquants de drogue d’Amérique du Sud.

    En Europe, exactement la même tragédie se joue comme un meurtre de sang-froid en plein jour. Comme le veut la téméraire politique étrangère américaine devenue folle après les attentats du 11 septembre, les pays de l’OTAN sont entraînés, impuissants, dans des batailles en dépit des cris et des protestations des peuples contre ces guerres illégales qui ont déjà eu lieu en Irak, en Afghanistan, en Libye et aujourd’hui en Syrie. Toutes ont abouti, ou aboutiront bientôt, à des Etats en faillite.

    Mais les véritables Etats faillis seront finalement ceux de la vieille Europe coloniale qui est sur la ligne de front du tsunami de réfugiés provoqué par les Etats-Unis qui ruine actuellement la région et menace de submerger toutes les villes, de Lisbonne à Helsinki. Ce développement se poursuit entre les mains de Washington tandis que les peuples d’Europe – de plus en plus terrifiés par les actes de guerre, le terrorisme et l’effondrement financier organisés et planifiés – sont à la recherche d’un sauveur pour venir à leur secours. Le moment venu, ils marcheront gaiement et aveuglément vers leur captivité, tels des agneaux sur le chemin de l’abattoir, croyant qu’ils sont libres jusqu’au moment final de leur destruction – autrement dit, quand le véritable visage du tyran mondial leur aura été révélé et qu’il sera trop tard pour inverser leur destin.

    Robert Bridge, Russia Insider, 20/12/2015

    Robert Bridge :
    http://russia-insider.com/en/robert_bridge

    Titre original :
    US Elites Are Trying to Destroy Europe with Immigrants
    http://russia-insider.com/en/politics/us-elites-are-trying-destroy-europe-immigrants/ri11942

    Source : Russia-Insider.com

    http://www.polemia.com/le-nouvel-ordre-mondial-espere-la-mort-de-la-civilisation-blanche-europeenne/

  • L'aviation irakienne élimine 25 chefs terroristes

    Les avions irakiens ont effectué une frappe de précision contre les terroristes à El-Kaïm, dans l'ouest de la province d'Al-Anbar.
    L'aviation irakienne a détruit dimanche 25 chefs du groupe terroriste Etat islamique (EI, ou Daech) dans l'ouest du pays, rapporte l'agence Iraqi Media News Agency se référant au bureau de l'information militaire irakien.
    "Les avions de l'Armée de l'air irakienne ont porté une frappe de précision contre la ville d'El-Kaïm, dans l'ouest de la province d'Al-Anbar. La frappe a permis d'éliminer 25 commandants du groupe terroriste Daech et de détruire deux positions des terroristes", ont indiqué les militaires cités par l'agence.

    L'armée irakienne mène une opération contre les terroristes dans la province d'Al-Anbar. Elle est épaulée par l'aviation de la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis et des groupes de combattants volontaires. La ville de Ramadi, contrôlée par l'EI depuis mai dernier, est le lieu des combats les plus acharnés. Les troupes irakiennes ont lancé mardi une offensive à Ramadi.

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  • Un bataillon de femmes chrétiennes à Damas

    Un bataillon de chrétiennes syriennes s’est formé à Damas  pour lutter contre les terroristes islamistes. 

    Ce bataillon féminin Al-Maghari, entièrement composé de volontaires, est un modèle de vaillance. Une fois leur préparation militaire terminée, les jeunes filles qui y sont engagées n’hésitent pas à se battre sur tous les fronts, notamment dans les « points chauds » aux alentours de la capitale syrienne.

    « La lutte contre les islamistes, nous nous y sommes engagées délibérément. Tout en nous rendant compte de l’ampleur des difficultés à surmonter, nous nous sommes tout de même décidées à nous porter volontaires », a confié une des combattante à la chaîne russe RT.

    chrétienne-syrie1-285x300.jpgBabylonia est du nombre de ces soldats au féminin. Son mari est lui-même déjà soldat, c’est lui qui a exhorté sa femme à prendre les armes pour «lutter contre l’idée que la femme syriaque est bonne à rien, sauf l’entretien du ménage et le maquillage» (sic), dit-elle. «Je suis chrétienne pratiquante, la pensée de mes enfants me rend plus forte et plus déterminée dans ma lutte contre l’Etat islamique», ajoute-t-elle.

    Les chrétiens syriaques appartiennent à l’une des plus vieilles, sinon à la plus ancienne tradition chrétienne orientale et prient en araméen, la langue de Jésus. Parmi eux il y a des orthodoxes et des catholiques. Les Syriaques constituent environ 15% des 1,2 millions de chrétiens de la Syrie, soit 89 000 avant le début de la guerre, ils sont donc en grande menace de disparaître complètement. Avant le début du conflit en Mars 2011, les chrétiens constituaient environ 10% de la population syrienne, principalement regroupés dans le Nord-est du pays.

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