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géopolitique - Page 693

  • Contre les djihadistes, il faut renouer avec la Syrie

    L'ancien patron de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), Bernard Squarcini, préconise une nouvelle loi-cadre sur le contre-terrorisme. Extrait de sa déclaration au Figaro :

    "Il faut légaliser les opérations spéciales. En amont du travail judiciaire, il faut autoriser administrativement les balises et les sonorisations, c'est-à-dire la pose de micros et de caméras directement dans les lieux de vie ou de réunions conspiratives, pour savoir ce qu'ils se disent. Car, on l'a bien vu avec les frères Kouachi, les écoutes téléphoniques en phase administrative ne donnent pas toujours."

    Il est vrai que Nicolas Sarkozy n'avait pas eu cette prudence et avait été longtemps (toujours ?) écouté sur son téléphone, les autorités n'ayant pas plus grave à surveiller...

    Plus concrètement, l'ancien préfet propose :

    "En termes pratiques, il faut renouer en urgence la coopération avec la Tunisie, l'Égypte, la Turquie, qui fluctuent, et, plus encore, la Syrie et le Maroc, pays avec lesquels les liens sont totalement rompus. Derrière le Maroc, par exemple, il y a la Mauritanie, à l'instabilité extrême. Comment frapper des cibles sans renseignement opérationnel en Syrie, par exemple? Comment tenir à jour la liste des djihadistes sans l'appui des Syriens?"

    La rupture des relations avec la Syrie et la volonté française de faire tomber Assad, au mépris de la plus élémentaire prudence fait porter sur nos autorités la lourde responsabilité des échecs récents de nos services de renseignement. Alors ? Hollande démission ?

    Michel Janva

  • Le terreau du radicalisme est au bout de la ligne du métro parisien, pas à Raqqa

    Lu sur Secret Défense :

    "Nous sommes en guerre, mais nous ne l'assumons pas. En guerre contre qui ? «Le terrorisme et le fondamentalisme» a répondu, dès mercredi, le président de la République dans son allocution à la suite de l'attentat contre Charlie Hebdo. Mais le terrorisme et le fondamentalisme sont des des notions bien abstraites : le premier désigne un moyen d'action, le second l'attachement excessif à des principes. Pour tuer, ces idées doivent s'incarner dans des êtres de chair bien réels, en l'occurrence tueurs qui ont mené l'attaque de mercredi à Paris. Alors que François Hollande évitait soigneusement de prononcer des mots comme islam, djihad ou musulman, les deux suspects, les frères Chérif et Saïd Kouachi, plaçaient explicitement leur attaque sous une bannière religieuse, en criant comme ils l'ont fait «Allahou Akbar» et «Nous avons vengé le Prophète». C'est un fait, dérangeant pour les innombrables Français attachés au «vivre-ensemble» et sans doute pour les musulmans pieux au premier chef, qui voient dans ces actes un «dévoiement absolu» de leur religion. Cette gêne, palpable dans les prudences des commentaires et des réactions, ne doit pourtant pas empêcher de comprendre ce qu'il arrive à notre pays. Pourquoi Chérif et Saïd Kouachi ont-ils fait cela ? Pourquoi, après Mohammed Merah à Toulouse et Mehdi Nemmouche à Bruxelles, sont-ils devenus cela ? Expliquer n'est pas excuser. [...]

    Cette radicalisation au sein de l'islam [...] est sans frontière. On l'observe partout où il y a des musulmans. La France n'y échappe pas et il ne s'agit plus d'un conflit importé comme lors des précédentes vagues de terrorisme des années 80 et 90, lorsque Libanais, Iraniens ou Algériens faisaient exploser des bombes sur notre sol. Cette fois-ci, les tueurs sont nos enfants. Une infime minorité d'entre eux, mais nos enfants quand même. Impossible de s'abriter derrière une quelconque ligne Maginot en boutant l'étranger hors de France. Cherif et Saïd Kouachi sont nés à Paris, en 1980 et 1982, et ils ont grandi dans le quartier des Buttes-Chaumont. Ils ne viennent pas d'une vallée reculée de l'Afghanistan ou du Yémen, mais du métro Bolivar et de la place des Fêtes. Ils sont allés à l'école de la République et l'un d'eux a pu, un soir, vous livrer une pizza sur sa mobylette comme vous avez pu croiser son frère dans une salle de sport.Nemmouche, lui, est né à Roubaix, et Merah à Toulouse. Rien que de la petite ville de Lunel dans l'Hérault, six jeunes sont partis pour la Syrie, où ils sont morts. Environ 1200 jeunes Français, ou résidents en France, sont impliqués dans les réseaux djihadistes vers le Proche-Orient et, parmi eux, un quart sont des convertis. Du jamais vu. Et rien ne dit que ce ne soit pas qu'un début.

    Qu'est-ce qui a mal tourné ? Au delà de l'émotion et du rappel des grands principes, il faut s'interroger. Le chercheur Olivier Roy confiait récemment à l'Opinion que «chez les jeunes anti-système,le djihad a remplacé le mythe de la Révolution» de sa propre jeunesse. Il y avait eu les anarchistes à la fin du XIXe siècle, qui ont assassiné le président de la République Sadi Carnot et le tsar Alexandre II, puis les mouvements d'extrême-gauche des années 70 (Brigades rouges, Fraction armée rouge, Action directe). Il y a aujourd'hui le djihadisme, qui fait appel à la même logique suicidaire d'un romantisme révolutionnaire.

    Le terreau de ce radicalisme politique est au bout de la ligne du métro parisien, pas à Raqqa, «capitale» autoproclamée de l'Etat islamique. [...] [L]es plus modérés, comme les Frères musulmans de l'UOIF, veulent une communauté repliée sur elle-même, où l'on mange halal, refuse les mariages mixtes et dont les femmes portent le voile. Le politologique Gilles Kepel l'a décrit dans son livre «Quatre-vingt-treize» (Gallimard, 2012), fruit d'une enquête de terrain en Seine-Saint-Denis. Les plus radicaux sont dans une logique de confrontation, de guerre sainte (djihad) contre les mécréants. [...]

    Au Sahel et au Proche-Orient, notre pays fait la guerre aux djihadistes, un conflit qui a des ramifications jusque dans l'Hexagone. Or, la guerre finit toujours par imposer sa logique à la vie nationale. Pourra-t-on longtemps cloisonner les fronts extérieurs du théâtre intérieur, alors que la menace est globale ? Veut-on s'installer dans une situation où l'ennemi intérieur serait votre livreur de pizza ? Le défi, politique, est là."

    Michel Janva

  • Alexandre Latsa : « Le grand basculement du monde vers l’Asie est quasiment inévitable »

     Alexandre Latsa est Chef d’entreprise français en Russie où il réside depuis 2008. Il anime le site Dissonance, destiné à donner un “autre regard sur la Russie” et qui traite principalement de géopolitique, du traitement médiatique français sur la Russie, des relations Russie-Occident ou encore de la démographie en Russie. Il participe à de nombreuses autres publications et intervient également régulièrement dans les médias russes et français. Il a bien voulu répondre aux questions du Rouge & le Noir.

    R&N : Alexandre Latsa bonjour, vous êtes parti vivre en Russie en 2008. Pourquoi avoir quitté la France ?

    A. Latsa : Je suis parti vivre en Russie pour un ensemble de raisons, avant tout personnelles et professionnelles. On pourrait citer l’opportunité de m’y installer, la volonté de rejoindre un marché en croissance ou plus simplement la nécessité morale de fuir la France occupée, comme du reste l’illustre général De Gaulle l’avait fait bien avant moi.

    Ces choix personnels sont ceux d’un français trentenaire moyen patriote pour qui la vie au Poutinistan de 2014 est bien plus cohérente et logique que celle au sein de la France d’aujourd’hui, défigurée par quarante ans de destruction organisée comme vient de parfaitement le synthétiser Éric Zemmour dans son dernier ouvrage. Et ce même si la vie en Russie présente des difficultés réelles pour un étranger, administratives ou climatiques par exemple.

    Mon cas n’est pas unique et je ne suis qu’une statistique, partie d’une évolution sociologique de plus grande ampleur assez facile à vérifier si l’on étudie les chiffres de l’émigration française hors de France au cours de ces dernières années. Cette hémorragie qui ne fait que commencer d’après moi est due aux raisons que l’on connait tous : destruction organisée de l’économie et de l’État, dilution de la nation au sein du grand magma Bruxellois, anéantissement du vivre-ensemble par un remplacement de population et l’arrêt autoritaire de l’assimilation, mise en place d’un cadre sociétal totalement américanisé ayant permis la prise de pouvoir des minorités sur la majorité etc.

    Ces processus ne sont pas hasardeux mais volontaires. La situation que nous connaissons résulte de choix politiques conscients fait par des élites politiques dont la médiocrité n’est égalée historiquement que par leur incompétence et leur lâcheté. La fin de la raison d’État, pour citer un de mes amis, aura probablement pour corolaire historique la fin de la France telle que nous la connaissons. A moins d’un miracle et qu’une Jeanne d’Arc 2.0 ne survienne de nouveau pour sauver notre nation.

    R&N : Athée mais de culture catholique, vous vous êtes converti à l’orthodoxie. Pouvez-vous nous expliquer votre cheminement spirituel ?

    A. Latsa : Oui il est fondé sur un axiome simple que Benoît XVI a parfaitement résumé « La rationalité est l’amie de Dieu ». Mon rejet personnel et instinctif de la décadence environnante que je qualifie de moderno-consumériste (au cœur du processus d’occidentisme totalitaire de la France des années 90) ne s’est pas traduit chez moi par une conversion à l’Islam et un engagement militaire au sud de la Méditerranée mais plutôt par un attrait vers les antimodernes européens, les Serbes d’abord, puis logiquement les Russes ensuite, et donc, au centre spirituel de ces territoires, l’orthodoxie [....]

    La suite sur le Rouge et le Noir

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Alexandre-Latsa-Le-grand

  • 2000 tués par Boko Haram : le président de la conférence des évêques du Nigeria reproche son silence et son inaction à l'Occident

    ici en VO : Un des plus hauts dirigeants religieux de l'Afrique a accusé l'Occident d'ignorer la menace du groupe islamiste Boko Haram, quelques jours seulement après le massacre de 2000 personnes.

    La différence de traitement choque l'Afrique. 

    Le Salon Beige

  • La France, championne du paiement des rançons à al-Qaida

    Les enlèvements d’otages ont rapporté au moins 125 millions de dollars aux groupes terroristes affiliés à al-Qaida depuis 2008. La France en a payé près de la moitié, selon une enquête du New York Times.

    «Prendre des otages est une ressource que je décrirais comme un commerce lucratif et un précieux trésor», a écrit Nasser al-Wuhayshi, le chef d’al-Qaida dans le péninsule arabique .(et supposé  cerveau des frères Kouachi, ndlr Fortune).

    Le commerce des otages est une activité lucrative. Les rançons ont rapporté près de 125 millions de dollars à al-Qaida et ses groupes affiliés depuis 2008, selon une longue enquête du New York Times.

    Selon le journal, la France est le principal payeur de rançons. Elle le fait directement ou par des intermédiaires comme Areva ou certains pays du Golfe.

    Paris a versé 58,1 millions de dollars depuis 2008 pour libérer ses ressortissants retenus par al-Qaida au Maghreb islamique. Mais le chiffre pourrait être plus élevé, dans la mesure où le quotidien américain mentionne également une rançon de 9,5 millions de dollars pour libérer trois ressortissant français, sans avoir établi qui l’avait payé.

    Arrive ensuite la Suisse avec 12,4 millions de dollars et l’Espagne avec 10,1 millions de dollars. Le Qatar et Oman ont également payé des rançons à al-Qaida dans la péninsule arabique. Entre 2012 et 2013, ils ont versé 20,4 millions de dollars pour libérer deux Finlandais, un Australien et un Suisse. Ces deux pays du Golfe sont souvent utilisés comme intermédiaires par les occidentaux.

    Une rançon peut atteindre 10 millions de dollars

    Cette manne financière est progressivement devenue l’une des principales ressources des organisations terroristes.

     

    «Prendre des otages est une ressource que je décrirais comme un commerce lucratif et un précieux trésor», a écrit Nasser al-Wuhayshi, le chef d’al-Qaida dans le péninsule arabique (et supposé  cerveau des frères Kouachi, ndlr Fortune).

    Des documents internes cités par le New York Times montrent que le commandement central d’al-Qaida, installé au Pakistan, supervisait déjà, il y a cinq ans, les négociations pour les rançons d’otages capturés dans des coins reculés d’Afrique.

    Les trois principaux groupes affiliés à l’organisation terroriste – al-Qaida au Maghreb islamique, al-Qaida dans la péninsule arabique et les Shébabs en Somalie – ont développé un protocole commun pour les enlèvements et le processus de négociation.

    Ils vont jusqu’à sous-traiter les prises d’otages à des groupes criminels qui toucheront une commission de 10% sur la rançon. Une forme d’intéressement au résultat…

    Le commerce de la prise d’otage est florissant: en 2003, la première rançon jamais versée s’élevait à 200.000 dollars par otage. Aujourd’hui, elles peuvent atteindre les 10 millions de dollars. Le second du commandement central d’al-Qaida a récemment estimé que ces versements représentent désormais la moitié des revenus opérationnels de l’organisation.

    Seuls quelques pays ont toujours refusé catégoriquement de payer des rançons.

    Les États-Unis et la Grande-Bretagne sont les fers de lance de cette doctrine qui peut coûter cher en vie humaine. Le seul espoir de l’otage reste alors l’intervention de forces spéciales, ou l’évasion. Sinon, ils peuvent être détenus indéfiniment, quand ils ne sont pas exécutés. En 2002, le reporter du Wall Street Journal Daniel Pearl sera décapité par Khalid Shaikh Mohammed, considéré comme l’un des architectes des attaques du 11-Septembre, neuf jours après sa capture au Pakistan.

    Mais cette stratégie semble porter ses fruits sur le long terme. Sur les 53 otages enlevés par al-Qaida, qui ont été recensés ces cinq dernières années, il n’y avait que trois Américains.

    En revanche, un tiers d’entre eux étaient français, les ressortissants de nations comme l’Autriche, la Suisse ou l’Espagne représentaient 20% des personnes enlevées.

    «Les Européens auraient beaucoup de choses à dire sur le sujet»,

    estime Vicki Huddleston, ancienne diplomate américaine au Mali.

    «C’est une politique à double-face. Ils payent des rançons, puis nient les avoir payées. Le danger, ce n’est pas seulement de renforcer les groupes terroristes, c’est aussi de rendre nos ressortissants vulnérables.»

    Mais la plupart des pays européens confrontés à ce dilemme ont choisi la moins pire des solutions: payer la rançon, plutôt que de voir son otage exécuté publiquement.

    lefigaro.fr

    http://fortune.fdesouche.com/371019-la-france-championne-du-paiement-des-rancons-al-qaida#more-371019

  • Israël profite des attentats pour justifier ses agressions contre la Palestine et l’Iran

    Les israéliens mettent volontairement dans le même sac les mouvements d’islamistes fanatiques et les mouvements de nationalistes musulmans comme le Hamas et le Hezbollah qui défendent leurs terres face aux agressions juives. Netanyahu en profite également pour refaire le coup du choc des civilisations… Les forces décadentes atlanto-sionistes doivent s’unir contre le moyen et l’extrême orient musulman.

    Benjamin Netanyahu a déclaré lors d’une visite à la résidence de l’ambassadeur de France Patrick Maisonnave :

    « Nous réaffirmons notre engagement à travailler ensemble pour vaincre les ennemis des valeurs démocratiques que nous chérissons tous. Nous devons lutter contre ces ennemis de notre civilisation commune. Ces terroristes qui ont abattu des journalistes à Paris ; ils décapitent les travailleurs humanitaires en Syrie ; ils enlèvent écolières au Nigeria ; ils détruisent des églises en Irak ; ils égorgent les touristes à Bali ; ils tirent des roquettes sur des civils depuis Gaza, ils s’efforcent de construire des armes nucléaires en Iran. Ils peuvent avoir des noms différents : ISIS, Boko Haram, Hamas, al-Shabab, Al-Qaïda, ou Hezbollah. Mais tous sont entraînés par la même haine et le même fanatisme sanguinaire. Et chacun d’entre eux cherchent à détruire nos libertés et à nous imposer à tous une violente, la tyrannie médiévale. C’est une lutte mondiale. Et ce n’est que le début… Cela doit être suivi par un assaut, dans le monde entier, contre les forces de l’Islam radical. C’est le combat de tout le monde. Les terroristes ont montré qu’ils ont la volonté de nous écraser, mais ils n’ont pas cette capacité. À présent, nous devons montrer que nous avons la volonté de les vaincre et de les écraser. C’est l’essence de la bataille que nous livrons : la liberté contre la barbarie. La liberté doit gagner, mais pour gagner, nous devons être ensemble et combattre ensemble.  »

    http://www.contre-info.com/

  • C'est une vraie guerre : la guerre du fanatisme islamiste contre l'Occident

    D'Alexis Brézet dans Le Figaro :

    "C'est une guerre, une vraie guerre, menée non par des soldats mais par des assassins de l'ombre, des tueurs méthodiques et organisés, dont la tranquille sauvagerie glace le sang. Elle a tué, hier, en plein Paris.

    Cette guerre, longtemps nous n'avons pas voulu la voir. Elle se déroulait si loin de nous, n'est-ce pas?, aux confins de la Syrie, de l'Irak, du Nigeria ou de la Libye… Par scrupule - sans doute par peur aussi -, nous n'osions pas même dire son nom. Les oiseaux de mauvais augure qui ne craignaient pas d'enfreindre la consigne étaient promptement disqualifiés. Les signes avant-coureurs - ces «gestes fous» commis à Noël encore par des «déséquilibrés» - aussitôt minimisés. Depuis hier, les euphémismes ne sont plus de mise: c'est une guerre, une vraie guerre, qui nous a été déclarée: la guerre du fanatisme islamiste contre l'Occident, l'Europe et les valeurs de la démocratie.

    [...] Face à la guerre, le premier devoir est de s'unir. [...] Mais le second devoir est de s'armer. Moralement, d'abord - comment défendre nos valeurs si nous ne sommes pas convaincus de leur prééminente dignité? Politiquement et juridiquement, ensuite: trop longtemps, au nom d'un humanisme perverti, d'un antiracisme dévoyé, nous avons fait preuve de complaisance envers nos pires ennemis. Ces «enfants perdus du djihad», ces fanatiques qui se déchaînent sur Internet, mais aussi ces groupes d'influence qui, drapés dans leurs oripeaux «communautaires», conspirent à ciel ouvert contre notre pays et sa sécurité. Contre ceux-là, nous devons frapper. Sans faiblesse ni pusillanimité. Quand la guerre est là, il faut la gagner."

    Michel Janva