Manif contre intervention israélienne / Montréal – Canada 11 juillet 2014
Montréal – alors que la menace d’une intervention terrestre se fait de plus en plus pressante sur la bande de Gaza. Continuer la lecture
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Manif contre intervention israélienne / Montréal – Canada 11 juillet 2014
Montréal – alors que la menace d’une intervention terrestre se fait de plus en plus pressante sur la bande de Gaza. Continuer la lecture
Russie – Suite à l’augmentation de tirs ukrainiens touchant des localités frontalières russes – qui ont notamment fait un mort russe dimanche dernier -, Anatoli Antonov, vice-ministre de la Défense, a fait savoir que la Russie invitait les attachés militaires de 18 pays à venir le 15 juillet prochain constater par eux-mêmes la situation dans la ville russe de Donetsk (région de Rostov).
Parmi les dix-huit pays invités à envoyer leurs attachés militaires, on trouve les Etats-Unis, l’Allemagne, la Belgique, les Pays-Bas, la France, le Japon, la Chine et… l’Ukraine.
On apprend que l'opération "Barkhane" doit se mettre en place au Sahara et au Sahel à la suite de "Serval" (Mali). C'est ce que François Hollande devrait annoncer lors de la mini-tournée qu'il s'apprête à faire mardi, en Côte d'Ivoire, au Niger et au Tchad. Le terme "Barkhane" désigne les dunes sahariennes qui prennent la forme d'un croissant sous l'effet du vent. Voilà qui devrait terroriser les terroristes.
Le poste de commandement de Barkhane devrait être basé à N'djamena, capitale du Tchad, dont le président, Idriss Déby, entouré de voisins peu fiables (Libye, Soudan, Cameroun, Niger, Nigeria, Centrafrique), a tout intérêt à coopérer avec la France.
"L'acte de naissance de l'opération Barkhane sera donné à Bamako, capitale du Mali, la veille de la virée africaine du président par le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian. Car après l'opération Serval, il s'agit de « terminer le travail », selon l'expression d'une source militaire de haut rang. [...]"
Serval a permis d'éradiquer les terroristes de l'Adrar des Ifoghas (Sahara), mais le danger de voir ces groupes jihadistes se reconstituer demeure, car la porosité des frontières dans la bande sahélo-saharienne leur permet de circuler à partir de leurs camps d'entraînement dans le sud libyen, zone qui n'est plus contrôlée par personne.
"A l'Elysée, on considère qu'il existe un risque de voir se reconstituer des poches de concentration terroriste dans ce secteur... d'où le lancement de Barkhane. Son approche sera régionale, et les Etats de la zone, en particulier la Mauritanie, le Mali, le Burkina Faso et le Tchad, où les forces françaises sont stationnées, seront associés. 3 000 hommes seront affectés à cette nouvelle mission, dont la plupart sont déjà prépositionnés dans le cadre des opérations Serval au Mali et Epervier au Tchad.
Barkhane résultera ainsi de la fusion de ces deux forces et de la combinaison de leurs moyens déployés dans la zone dans le but de traquer les terroristes. D'où le prochain passage de François Hollande au Niger où des moyens de renseignement sont déjà implantés depuis la base aérienne de Niamey (environ 300 hommes).[...]"
Invité du "Grand Rendez-vous" d'Europe1 dimanche matin, Jean-Yves Le Drian a déclaré :
"Maintenant, il y a le souci pour nous et pour les pays de la zone de veiller à ce qu'il n'y ait pas de recrudescence» du terrorisme" [...] "Il y a toujours des risques majeurs de développement de jihadistes dans la zone qui va de la Corne d'Afrique à la Guinée-Bissau".
L'opération Barkhane «va se mettre en place dans les jours qui viennent», a-t-il ajouté [...]. Jean-Yves Le Drian a précisé que cette opération allait mobiliser «près de 3.000 militaires en tout», ainsi que «des drones, des hélicoptères, des avions de chasse» pour avoir «la réactivité nécessaire»."
IRIB- Selon Al Arabiya, les soldats israéliens se sont accrochés avec les combattants des brigades de Qods sur les frontières avec Gaza. Depuis vendredi, un tournant vient de se produire dans la guerre d’autodéfense que mène la Palestine contre le régime sioniste. Après avoir riposté les raids intensifs sionistes contre Gaza à coup de missiles et de roquettes, les Palestiniens ont eu recours pour la première fois aux missiles « kornet » contre un char et un véhicule blindé israéliens , attaques qui ont fait deux morts côté des soldats israliens . la Résistance palestinienne a évoqué là un tournant qui marque le début des combats terrestres des palestiniens contre le régime sioniste. les combattants du Jihad se montrent en effet d’une redoutable efficacité : selon des informations, les combattants des brigades de Qods se sont accrochés ce samedi matin avec les militaires sionistes qui voulaient s’infiltrer dans la localité de Al Chojaiya, pour y implanter des appareils d’écoute. les palestiniens ont fait exploser plusieurs bombes artisanales et tendu des salves de tirs contre les soldats sionistes dont plusieurs ont été blessés. dans le m^me temps, des unités de soutien ont tiré des roquettes 107 et 60 mm contre les sionistes .
IRIB- Selon Al Arabiya, les soldats israéliens se sont accrochés avec les combattants des brigades de Qods sur les frontières avec Gaza. Depuis vendredi, un tournant vient de se produire dans la guerre d’autodéfense que mène la Palestine contre le régime sioniste. Après avoir riposté les raids intensifs sionistes contre Gaza à coup de missiles et de roquettes, les Palestiniens ont eu recours pour la première fois aux missiles « kornet » contre un char et un véhicule blindé israéliens , attaques qui ont fait deux morts côté des soldats israliens . la Résistance palestinienne a évoqué là un tournant qui marque le début des combats terrestres des palestiniens contre le régime sioniste. les combattants du Jihad se montrent en effet d’une redoutable efficacité : selon des informations, les combattants des brigades de Qods se sont accrochés ce samedi matin avec les militaires sionistes qui voulaient s’infiltrer dans la localité de Al Chojaiya, pour y implanter des appareils d’écoute. les palestiniens ont fait exploser plusieurs bombes artisanales et tendu des salves de tirs contre les soldats sionistes dont plusieurs ont été blessés. dans le m^me temps, des unités de soutien ont tiré des roquettes 107 et 60 mm contre les sionistes .
Une étude de 175 pages réalisée par le projet Salam passe au crible le cas de 399 personnes ayant figuré dans les fichiers du ministère de la justice des États-Unis entre 2001 et 2010. Le moins que l’on puisse dire, c’est que les méthodes pour identifier et poursuivre les présumés terroristes s’en trouvent fortement critiquées.
La plupart des arrestations qui s’en sont suivies sont survenues dans le cadre de la soi-disant guerre contre le terrorisme lancée après le 11 Septembre. Selon le rapport intitulé « Inventing terrorists : the lawfare of preemptive persecution », nombre de citoyens étasuniens de confession musulmane ont été injustement ciblés. Ce document est le premier document du genre à aborder de manière aussi nette la question des « accusations préventives ».
Ses auteurs donnent une définition de ce tout nouveau concept juridique et l’inscrivent dans la stratégie de mise en œuvre des lois postérieures aux attentats pour identifier et poursuivre des personnes ou des organisations dont les idées, les croyances ou les affiliations religieuses soulèvent des préoccupations pour le gouvernement en matière de sécurité. Seuls 25 % des cas (99 personnes sur 399) portent sur des allégations de soutien matériel au terrorisme. 30 % d’entre eux font l’objet d’accusations de complot. Un peu plus de 17 % (71 personnes sur 399) ont été impliqués dans des opérations d’infiltration du territoire. Enfin, 16% concernent de fausses déclarations ou des allégations de parjure, alors que les délits liés aux lois migratoires n’impliquent que 6 % des cas.
Toujours selon ce même rapport, onze cas à peine peuvent être réellement définis comme une menace potentiellement importante pour les États-Unis. Et les menaces n’étaient réellement fondées que dans trois cas seulement : pour les frères Tsarnaïev et Nidal Malik Hasan.
L’une des stratégies du FBI est d’utiliser des agents provocateurs pour inciter les supposés terroristes à franchir le Rubicon. « Le gouvernement a ciblé les personnes exprimant de idées non-conformes et leur a fait parvenir, par le biais d’agents fédéraux utilisés à dessein, de faux missiles, des armes, des fusils d’assaut et de l’argent ». Ce n’est pas tout. « Les agents ont également adressé à ces personnes des encouragements, se liant même parfois d’amitié avec elles. Ils les aidaient dans la planification technique et stratégique pour savoir si elles pouvaient être manipulées et commettre des actions violentes ou criminelles », indique le rapport.
Le gouvernement étasunien pouvait également mettre en avant des « délits techniques mineurs », comme des erreurs administratives sur des documents relatifs à l’émigration, de présumées fausses déclarations à un agent public ou de simples problèmes liés au fisc pour poursuivre quelqu’un qui aurait eu le malheur de déplaire. « Le but évidemment est de faire croire au commun des mortels qu’il vit sous la menace constante d’attentats terroristes. Les États-Unis sont très impliqués dans la surveillance de tout un chacun, et cette surveillance leur est précieuse », explique Steven Downs, un avocat membre du projet Salam qui a publié le rapport. « La justification légale de ces actions découle de l’existence de la guerre contre le terrorisme. Rien n’aurait été possible sans cette dernière. C’est pourquoi ils (les agents fédéraux, NDLR) doivent continuer à arrêter des personnes et les incarcérer pour invoquer la menace du risque terroriste et donner une justification au maintien des mesures d’exception ».
Au moment où le quart de la population totale des prisonniers à l’échelle du globe se trouve aux États-Unis, rien d’étonnant à ce que certains observateurs internationaux respectés définissent l’État qui se considère comme un exemple de liberté et de démocratie comme une « dictature démocratique ».
L’économiste canadien Michel Chossudovsky énonce quant à lui une évidence douloureuse quand il écrit qu’aux États-Unis s’accentue la tendance à « un État totalitaire militaire en costume civil ». Autrement dit, l’Oncle Sam ne veut la démocratie qu’à l’unique condition qu’il puisse la contrôler. La démocratie étasunienne, c’est un système où vous êtes libre de faire tout ce que vous voulez tant que vous faites ce qu’on vous dit.
Capitaine Martin.
C'est la question que l'on se pose après avoir appris que les jihadistes de l'EI ont investi le site d'Al Muthanna, qui avait servi sous Saddam Hussein à fabriquer des armes chimiques dans un premier temps, puis à détruire ces mêmes armes par la suite.
Les autorités irakiennes ne savent pas ce que les jihadistes ont fait avec le matériel provenant de l'ancien programme d'armement chimique stocké dans deux bunkers, et qu'ils comptaient détruire. Les Irakiens ont annoncé qu'ils n'étaient plus en mesure de poursuivre le programme de destruction de ces armes chimiques tant qu'ils n'auraient pas repris le contrôle du site.
Plus grave: les jihadistes se seraient emparés de matériel nucléaire stocké à des fins de recherche à l'université de Mossoul. Les Irakiens pensent que ce matériel pourrait servir à la fabrication d'armes de destruction massive, mais ce n'est pas l'avis de Washington, qui pense que le matériau radioactif n'est pas de qualité militaire. En revanche, si ce matériel ne peut être utilisé pour fabriquer une bombe nucléaire, il pourrait servir autrement :
" [...] si ces matériaux radioactifs ne peuvent pas être utilisés pour concevoir une arme nucléaire, ils sont susceptibles de servir à la fabrication d’une bombe radiologique (ou « bombe sale »), beaucoup plus facile, qui plus est, à mettre au point dans la mesure où il suffit de faire exploser un mélange radioactif pour contaminer un secteur déterminé. L’effet n’est pas spectaculaire (ce que recherchent les terroristes) mais il peut être très meutrier.
Ainsi, à Goiania, au Brésil, en 1987, seulement 20 grammes de césium trouvés dans un appareil de radiologie volé avaient suffi pour contaminer 112.000 personnes en l’espace de quelques heures (7 en mourront). En 2002, à Chicago, José Padilla (alias Abdullah al-Mujahir) fut arrêté alors qu’il comptait faire exploser une bombe radiologique pour le compte d’al-Qaïda. [...]"
Plutôt inquiétant ...
La plupart d’entre nous l’ignore, c’était aussi mon cas jusqu’à aujourd’hui, la Palestine, et plus précisément Gaza, sont ont d’immenses réserves de gaz et peut être même de pétrole. Mais l’élection de Sharon en 2001 a été un revers pour l’autorité palestinienne. Sharon avait annoncé qu’islaël n’acheterait jamais du gaz venant de Palestine, préférant se servir lui même. L’une des excuses des Israéliens pour ne pas laisser les Palestiniens profiter de leur manne pétrolière est que le Hamas pourrait lui aussi en profiter.
J’ai trouvé plusieurs articles en Anglais sur sujet. Les détails datent ne sont plus si importants. Le fait est que le premier ministre israélien, dont les services ont cyniquement tu le fait qu’ils savaient que les 3 jeunes Israéliens étaient morts afin de justifier des actions contre l’autorité palestinienne et Gaza, a tout intérêt à continuer son acharnement contre la population de Gaza. D’un côté ça lui permet de maintenir sa coalition avec le parti de Lieberman dont les membres veullent une solution finale au «problème» palestinien, et d’un autre côté mettre la main sur la manne pétrolière de la côte de Gaza.
Dans le même registre, d’après un article du «Business Insider» du 22/02/2013, Israël octroie une licence exclusive pour l’extraction de pétrole et de gaz dans le Golan, province syrienne sous occupation sioniste, à une compagnie proche dans la quelle Dick Cheney serait impliqué.
Références:
War and Natural Gas: The Israeli Invasion and Gaza’s Offshore Gas Fields
IDF’s Gaza Assault is to Control Palestinian Gas, Avert Israeli Energy Crisis
Israel Grants First Golan Heights Oil Drilling License To Dick Cheney-Linked Company