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géopolitique - Page 751

  • Les Etats-Unis sont-ils de nouveau menacés de sécession ?

    Divisions religieuses, inégalités sociales: de lourdes menaces sur l’unité nationale américaine se profilent à l’horizon.

    Il est venu et reparti le week-end du 4 juillet, fête de l’Indépendance américaine, synonyme de barbecues, de feux d’artifices illégaux et de manifestations de nationalisme gratuites. Cette année j’envisageais de me faire tatouer des pygargues à tête blanche [aigle emblème des Etats-Unis NdT] sur les biceps. Pour moi, la fête de l’Indépendance est aussi l’occasion de réfléchir sur notre identité en tant que nation et sur la direction que prend notre pays. Je dois avouer que je suis inquiet.

    La semaine dernière, pendant la Coupe du Monde, les Etats-Unis ont été éliminés après leur défaite face à la Belgique. Ceci dit, il n’est pas totalement déraisonnable d’imaginer que la Belgique n’existera plus lorsque viendra le temps de la prochaine Coupe, étant donné le fossé d’amertume qui sépare les Flamands et les francophones. N’allez pas croire que je m’en réjouis…

    Eh oui, bravo la Belgique. T’as gagné. Il ne te reste plus qu’à bien profiter des oubliettes de l’histoire pendant que ton pays se laisse déchirer par un ressentiment ethno-politique profondément enraciné. Les Etats-Unis, cette immense république continentale à l’incroyable diversité, à la population lourdement armée et notoirement irascible dépassant plus de 28 foiscelle de la Belgique, sera sûrement encore là, elle, en 2018, et nous n’aurons alors aucun mal à écraser les équipes de foot de Flandres, de Wallonie et du Grand-Duché de Bruxelles, quel que soit le hasardeux assortiment d’Etats qui émergera de ton naufrage.

    Raclée infligée à la Belgique mise à part, nous autres Américains ferions mieux de ne pas nous endormir sur nos lauriers. Certes, l’Amérique est grande, impressionnante et belle. Mais nous aussi avons nos divisions, que nous ne pouvons nous permettre d’ignorer.

    Cela ne veut pas dire que le pays soit sur le point d’éclater. Si les Etats-Unis le restent, il y a de bonnes raisons. Depuis notre sanglante guerre du même nom, l’idée même de sécession a perdu tout crédit.

    Sud profond et Ecotopia

    Ces dernières années, nous avons assisté à bon nombre de sécessions pacifiques, telle celle du «divorce de velours» entre la République tchèque et la Slovaquie. Si, pour une raison quelconque, l’électorat d’Hawaii ou d’Alaska manifestait la volonté de quitter l’Union, il est loin d’être évident que les Etats-Unis choisiraient de faire usage de leur puissance militaire pour les en empêcher. Par conséquent, je doute que ce soit la peur du chaos et de la violence qui assure notre unité.

    Contrairement à la Belgique, il n’y a pas aux Etats-Unis de divisions linguistiques reproduites relativement nettement par des divisions géographiques, ce qui contribue à étouffer les sentiments sécessionnistes. Pourtant il ne fait pas l’ombre d’un doute que les différences de sensibilités culturelles entre, disons, le Sud profond et le Nord-Ouest de la côte pacifique sont bien plus importantes que celles qui existent entre l’Ontario et les Etats américains voisins des Grands Lacs.

    Quelques doux rêveurs se sont ainsi demandés si nous avions partagé l’Amérique du Nord de la bonne manière, des écologistes rêvant d’un «Ecotopia» à l’ouest de la chaîne des Cascades aux nationalistes blancs imaginant un ethno-Etat aryen dans le nord de l’Idaho et le Montana.

    George Kennan, célèbre penseur spécialiste de politique étrangère et fanatique protéiforme, fantasmait à la fin de sa vie sur une fragmentation des Etats-Unis dans le style de celle de l’Union Soviétique.

    Serait-il possible que l’Amérique se divise en fonction de frontières religieuses, avec les chrétiens dévots d’un côté et le reste d’entre nous de l’autre? Pensez à ce mème, cette carte d’une Amérique du Nord divisée entre le «Jesusland» d’une part, c’est-à-dire les Etats qui ont soutenu l’élection de George W. Bush en 2004, et «the United States of Canada» qui seraient constitués du Canada et de ceux qui ont soutenu John Kerry d’autre part, carte qui réjouissait les progressistes furieux de la réélection de Bush.

    En tout cas, certains croyants fervents craignent qu’à mesure que croissent les rangs de ceux qui n’ont pas d’affiliation religieuse et que les Américains laïques insistent pour imposer leurs valeurs aux autres, les fidèles finissent par faire l’objet de persécutions. En 2000, le père John McCloskey, catholique conservateur à la réputation controversée, a écrit un article polémique sur la manière dont l’Amérique pourrait éclater. Il y dépeint un nouveau pays baigné dans la religion, appelé les Regional States of North America, y faisant sécession dans le sillage d’un «conflit court et relativement peu sanglant» contre ses oppresseurs laïques.

    Heureusement, en général c’est le bon sens qui prévaut.

    Politique d’immigration mal conçue

    Mais d’autres menaces à l’unité nationale américaine se profilent à l’horizon. Mon sentiment, certes fort peu scientifique, est que nous traversons une période dans laquelle le sens de la solidarité, ou la cohésion de groupe des Américains, est en train de décliner. Les progressistes ont tendance à considérer ce déclin de solidarité comme un symptôme des inégalités de revenus et de patrimoine. Les conservateurs l’imputent au fait que de plus en plus, l’identité ethnique l’emporterait sur l’identité nationale, ou à un tournant vers le relativisme moral. Pour ma part je le considère comme le produit d’un isolement économique et social de vastes pans de notre population.

    Un des problèmes tient à notre politique d’immigration mal conçue, qui empêche les immigrants qui vivent et travaillent aux Etats-Unis de trouver leur place dans la société américaine. Lorsque nous débattons des politiques d’immigration, nous avons tendance à nous concentrer sur l’impact économique qu’elle aura sur les travailleurs américains de souche.

    Ce que nous oublions, c’est que 13% des gens qui vivent aux Etats-Unis sont nés à l’étranger, et que la population active du pays est constituée à 16,3% d’immigrants. Ces derniers font déjà partie de notre société, et leurs intérêts devraient être pris en compte.

    Si certains de ces immigrés sont le genre de jeunes loups qui ont fondé les start-ups de la Silicon Valley et les hedge funds, une bien plus vaste majorité sont des gens aux talents modestes qui luttent pour trouver leur place dans une économie changeante.

    Le taux de pauvreté chez les immigrants naturalisés—c’est-à-dire ceux qui sont devenus citoyens américains—est plus bas que celui des Américains de souche. La pauvreté parmi les immigrants clandestins, en revanche, est un crève-cœur tant elle est élevée, à la fois parce qu’il est difficile de gagner sa vie lorsqu’on vit dans l’ombre, mais aussi parce que les immigrants clandestins sont généralement les moins qualifiés.

    Si nous légalisons la situation des immigrants clandestins et si nous acceptons le principe qu’il ressort de notre responsabilité de protéger les intérêts des immigrés qui vivent et travaillent actuellement aux Etats-Unis, augmenter l’immigration future est bien la dernière chose à faire, car elle ne ferait qu’intensifier la concurrence sur le marché du travail pour ces travailleurs-là.

    En outre, cela aura tendance à retarder le processus d’assimilation, car les immigrants seront moins susceptibles de s’installer dans des quartiers intégrés et de former des liens avec des Américains à l’origine différente de la leur.

    Et puis il y a cette intense concentration de la pauvreté, qui m’empêche de dormir la nuit. Si 14,9% de la population américaine vivait sous le seuil de pauvreté en 2010, un quart de tous les Américains pauvres habitaient dans des quartiers dont le seuil de pauvreté dépassait 20%. Ces «zones de pauvreté» sont, en règle générale, hors de portée des opportunités d’emploi et des établissements d’enseignement de haute qualité, et leurs habitants connaissent un nombre disproportionné de crimes violents et d’incarcérations.

    Conséquence, la légitimité des institutions américaines —le système de justice criminelle en particulier, mais pas uniquement— n’est pas franchement assurée dans ces parties du pays car elles semblent être de parti pris contre ceux qui y habitent. Aucun risque que les quartiers pauvres d’Amérique ne fassent sécession. Le vrai problème est que nous, ceux qui n’en font pas partie, avons culturellement et spirituellement fait sécession de ces quartiers.

    Alors puisque nous venons de célébrer notre nation, saisissons l’occasion de nous souvenir des coins oubliés de notre pays, là où la promesse de l’American way of life reste encore à réaliser.

    Slate

    http://fortune.fdesouche.com/347925-les-etats-unis-sont-ils-de-nouveau-menaces-de-secession#more-347925

  • Syrie : entretien avec un combattant islamiste français

    Maxime, Français de 22 ans est parti faire le djihad en Syrie aux cotés de l’Etat Islamique. Lorsqu’il parle de partir en opération il est difficile de ne pas penser aux milliers d’irakiens massacrés par cette bande de barbus.

    Sans doute que ce jeune con approuve l’exécution de ces gamins syriens par ses « frères » :

    http://www.contre-info.com/

  • Le summum de la désinformation sioniste.

    Afin d’obtenir le soutien de la population américaine pour les crimes que l’armée israélienne commet avec son argent, les merdias US sont prêt à tout et surtout à faire passer les Israéliens pour les éternelles victimes.

    Afin de montrer à quel point les Israéliens souffraient des attaques du Hamas, le chaine ABC a montré une familles dite israélienne désemparée à côté de la maison qu’elle venait de perdre à cause d’un missile. Mais en réalité aucune famille israélienne, contrairement à des centaines de familles palestiniennes, n’a perdu sa maison. La chaines ABC, appliquant le principe au plus gros le mensonge au plus ça passe, a donc filmé une famille Palestinienne et raconté à son public qu’il s’agissait d’une famille israélienne.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Les martyrs ont un nom.

    Ils s’appelait Fakher Al Ajouri, était agé de 22 ans. Il était commerçant et livrait les magasins avec son tricycle à cargo. Un drone Israélien l’a pris pour cible sans raison. Comme la très grande majorité des victimes des raids israéliens, il n’avait rien avoir avec le Hamas.

    Fakher était aussi le cousin de Mohammed Moussa, l’un de nos contactes sur Gaza. Toute nos pensées vont vers Mohammed et sa famille.

    J’ai eu l’occasion de lui parler depuis la mort de Fakher. Il était bien sûr bouleversé. Ce qui est terrible, c’est qu’en plus des crimes dont ils sont les victimes, les Palestiniens ont l’impression que tout le monde est indifférent à leur sort. C’est aussi pour leur montrer que ce n’est pas le cas que j’écris cet article. Faites le passer, c’est la moindre des choses que nous puissions faire alors que les alliés de «notre» gouvernement, dont le premiers ministre est éternellement attaché à Israël, tuent les membres de leurs familles ainsi que leurs amis.
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    Elle s’appelait Maryam Al-Misry et elle avait 9 ans. Elle était la joie de sa famille. Après 3 fausses couches, elle était l’enfant tant désiré. Elle a été assassinée par l’armée israélienne.

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    La nouvelle maison de la famille Al-Haj a été prise pour cible par un missile israélien, faisant 7 morts. La photos est ce qu’il reste de l’une des petites victimes.

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    Les familles Al-Misry et Al-Haj étaient proches de Marwan, l’un de nos contactes sur place, qui lui aussi à perdu un membre de sa famille lors d’une attaque israélienne, il y a quelques jours.

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • L’indifférence des médias face au drame palestinien (Abby Martin,09/07/14)


    L'indifférence des médias face au drame… par rehearsais

    http://www.altermedia.info/france-belgique/

  • Ukraine / Donbass : la guerre sera longue et difficile

    La guerre dans le Donbass a donc entâmé une nouvelle phase qui se traduit pour le moment par un repositionnement des forces de part et d’autre. Et si les indépendantistes, suite au retrait militaire de Slaviansk et de Kramatorsk, connaissent quelques soubresauts (opposition entre Oleg Tsarev et Igor Strelkov notamment), du côté de Kiev l’ambiance n’est pas forcément à savoir raison garder. Les déclarations du nouveau ministre ukrainien de la Défense Valery Gueleteï annonçant un prochain « défilé militaire de la Victoire à Sébastopol ukrainienne » témoignent de la dégradation de la direction militaire de l’Ukraine. Il s’agit du quatrième responsable nommé en six mois à ce poste. C’est ce qu’observe Moscou en ce moment, et la manière dont les forces gouvernementales mènent leur opération, à savoir en privilégiant les tirs d’artillerie et les bombardements contre les populations, témoigne d’un malaise évident au cœur même du commandement kievien. En fait, l’armée est pressurisée par un certain nombre de politiciens, de groupes activistes et d’oligarques qui sont prêts à tout pour satisfaire les exigences de leurs bailleurs de fonds américains, alors que le nombre de demandeurs d’asile ukrainiens est en hausse.

    Ambiance hystérique à Kiev : les fauteurs de guerre se sentent le vent en poupe depuis le retrait tactique de la milice à Slaviansk et à Kramatorsk. Outre Ihor Kolomoisky, qui gère son business en faisant assassiner ses compatriotes du Donbass, Arsen Avakov, le ministre de l’Intérieur, et son collègue à la tête du Conseil national de sécurité et de défense, Andriy Parubiy, veulent faire tout ce qui leur est possible pour forcer la Russie à intervenir dans l’est de l’Ukraine. D’ailleurs, Svoboda, dont est issu Parubiy, a le soutien complet de l’Administration US. Il n’y a pas que dans le Donbass où les sbires de ces fous de guerre sévissent : à Karkhov, à Odessa, à Dniepropetrovsk, on enlève et on assassine tous les opposants. Quant à ceux qui refusent d’aller la fleur au fusil massacrer leurs compatriotes dans l’est et le sud-est, Praviy Sektor est là pour les mâter. Ce mouvement d’inspiration ouvertement néonazie, fonctionne un peu comme les commissaires politiques de l’ex-Armée rouge : ceux qui ne veulent pas rentrer dans le rang sont purement et simplement abattus sur le champ.

    Des échanges de tirs ont eu lieu dans la nuit de dimanche à lundi sur la Place de l’Indépendance (Maïdan Nezalezhnosti) de Kiev, faisant quatre blessés. D’après l’agence Unian, ces affrontements sanglants résulteraient d’un conflit entre activistes extrémistes du Maïdan. Le maire de Kiev, Vitaly Klitschko, a même déclaré que le centre-ville de la capitale ne peut pas être considéré comme sûr pour les habitants. Édifiant !

    Dans son confortable bureau, le néonazi Parubiy (il fut cofondateur du parti social-national ukrainien, ouvertement néonazi), affirme de façon péremptoire préparer le « blocus complet » de Lugansk et de Donetsk, alors que pendant quatre mois les forces de sécurité ukrainiennes n’ont pas été en mesure de bloquer complètement Slaviansk et Kramatorsk et n’ont pas été capables d’éliminer les forces indépendantistes qui défendaient cette zone. Dans ces conditions, il est légitime de s’interroger sur les capacités de la junte à bloquer les grandes agglomérations régionales, vingt fois plus importantes.

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  • Affaire Snowden: Kidnapping du fils d’un député russe

    RT: Roman Seleznyov, 30 ans, le fils d’un député russe a été kidnapé par les États-Unis au Maldives alors qu’il s’apprêtait à prendre l’avions pour Moscou. Des agents US l’ont obligé à embarquer dans un jet privé à destination de l’ile de Guam. La justice US lui reproche d’avoir commis des actes de fraude informatiques dont certaines victimes seraient américaines.

    Le fait qu’il soit envoyé à Guam n’est en aucun cas un acte anodin. En effet, si l’ile de Guam appartient aux États-Unis, elle n’est fait pas à proprement dit partie. C’est à dire que les droits constitutionnels dont bénéficie un accusé aux États-Unis, ne s’appliquent pas forcément à Guam. Ce qui permet aux autorités US de ne pas lui permettre de prendre contacte avec sa famille et/ou son avocat.

     

    D’après le père de Roman, le député russe Valery Seleznyov, son fils aurait été kidnappé pour servir de monnaie d’échange pour l’agent US passé en Russie, Edward Snoden.

    Valery Sleznyov

    Valery Sleznyov (RIA Novosti / Vladimir Fedorenko)

    Source: RT.com

    http://www.altermedia.info/france-belgique/atteinte-aux-libertes/affaire-snowden-kidnapping-du-fils-dun-depute-russe_111833.html#more-111833

  • Le traité transatlantique avance masqué... jusqu'à sa signature

    Susan George, militante altermondialiste et présidente d'honneur d'ATTAC, est interrogé dasn Télérama :

    "Le débat sur le TTIP-Tafta a émergé pendant la campagne des élections européennes. C'est un début de fonctionnement démocratique, non ?

    Qu'on débatte ou non, ces négociations restent antidémocratiques, parce que personne ne dispose des textes, pas même les députés européens. Nous ne pouvons délibérer qu'à partir d'hypothèses. Or, seuls les députés de la Commission du commerce international sont informés de temps à autre par le commissaire européen au commerce, Karel De Gucht, qui leur dit ce qu'il veut bien leur dire. A l'issue de chaque cycle de négociations, nous ne savons pas ce qui a été discuté, ces gens ne sont comptables de rien, c'est secret, et une fois le traité signé, il sera irréversible."

    Michel Janva

  • L’Allemagne expulse le chef de la CIA à Berlin

    L’Allemagne a expulsé hier le chef de la CIA à Berlin suite à deux affaires d’espionnage au profit des États-Unis. « Il a été demandé au représentant des services secrets américains à l’ambassade des Etats-Unis de quitter l’Allemagne », a déclaré le porte-parole du gouvernement, Steffen Seibert, dans un communiqué. Selon la BBC, le porte-parole du Parlement allemand a justifié cette demande par le fait que les services secrets américains « n’ont pas assez coopéré et n’ont apporté aucune réponse » aux questions des autorités allemandes sur les récentes affaires d’espionnage.

    La semaine dernière, un agent des services de renseignement allemands (BND) âgé de 31 ans a été arrêté, à la suite de soupçons d’espionnage au profit de la CIA. L’homme, qui travaillait au siège de l’organisation, à Pullach, dans la banlieue de Munich, aurait remis plus de deux cents documents aux Etats-Unis depuis la fin de 2012.

    Pour la deuxième fois en cinq jours, la justice allemande a ouvert une enquête, mercredi, sur un espion présumé, travaillant, selon des médias, pour le compte de Washington. Il s’agit cette fois d’un soldat travaillant au ministère de la défense, selon la presse allemande. Le parquet fédéral a annoncé enquêter sur un nouveau cas d’espionnage présumé au profit de l’étranger, sans préciser le pays bénéficiaire.

    http://medias-presse.info/lallemagne-expulse-le-chef-de-la-cia-a-berlin/12682