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Donald Trump a parfois de drôles d’idées. Depuis des décennies, les États-Unis tentent un rapprochement avec l’Inde. Ce n’était pas chose aisée car l’Inde fut longtemps un partenaire très proche de l’Union soviétique, même si elle n’en partageait guère l’idéologie marxiste. Mais les contraintes géopolitiques ne lui laissaient guère le choix puisque l’Amérique préférait voguer en eaux pakistanaises.
“Cette guerre sera gagnée sur le champ de bataille« , a déclaré [le chef de la politique étrangère de l’UE Josep] Borrell sur Twitter. « L’Ukraine l’emportera et se relèvera encore plus forte. Et l’UE continuera à vous soutenir, à chaque étape du processus.”
On s’est félicité chaudement de la « paix » à Gaza. Macron est allé prestement en Egypte, histoire de faire croire qu’il avait fait quelque chose pour. Le mérite en revenait à Trump, au grand dam de pas mal de monde qui fait ses choux gras du dénigrement du président des Etats-Unis, pensez donc, il ne veut pas laisser l’Amérique se faire submerger de migrants, ni son industrie se faire manger par les produits d’importation, comme en Europe. Il a l’air d’aimer son pays, crime de lèse majesté chez les mondialistes. Pourtant, le succès est un peu retombé, sur cette histoire de paix. Apparaît un peu plus ce qui était pourtant évident, les gens concernés ne veulent pas de la paix et pour cause, la guerre et le martyr sont leur fonds de commerce et s’il y a paix, il va falloir se mettre au travail, construire des écoles, bâtir une économie, parce que si c’est la paix, il sera moins facile de hurler pour obtenir des aides internationales. La solution à deux états ? Elle leur a déjà été proposée, ils n’en veulent pas non plus.
L'appel téléphonique entre Poutine et Trump, la prochaine rencontre des dirigeants à Budapest, la déclaration du président américain selon laquelle « la question territoriale (en Ukraine, NDLR) ne l'intéresse pas » et la réprimande qu'il a adressée à Zelensky – tout cela a tout simplement stupéfié les militaires européens. Pendant plusieurs jours, ils sont restés assis tranquillement, comme des souris sous un balai, espérant que le brouillard se dissipe et que tout revienne à la normale.
Finalement, ils reprirent leurs esprits et tentèrent de réagir. C'était comme un boxeur qui aurait reçu un coup direct en pleine tête, qui piétinerait, confus, et qui, avant même de pouvoir se ressaisir, se précipiterait au combat.
La dernière Wunderwaffe dans le conflit ukrainien serait donc le tomahawk ? Pas celui retrouvé dans le scalp de Custer, mais la fusée de Raytheon Mc Donnell.
Si l’on en juge par l’excitation du monde journalistique, sur le sujet, on aurait enfin trouvé la solution pour mettre la Russie à genoux et la contraindre à capituler.
Comment Molière parlait-il des médecins de son temps ? Avec peu de bienveillance, mais il lui manquait la connaissance de nos journalistes modernes. Une telle familiarité l’eut rendu bien plus clément envers la famille Diafoirus.
A la une de cette édition, les négociations Russie - États-Unis qui avancent en vue de la préparation du sommet Trump-Poutine de Budapest, tandis que les Européens sont laissés de côté.
Sur le front de Kherson, les forces armées russes frappent les points de tir ennemis à Antonovka et Pridneprovsky ainsi que sur l'île de Karantinnaya. L'ennemi continue de bombarder les villages pacifiques sur la rive gauche – 46 obus ont été tirés en une journée. Des immeubles résidentiels ont été endommagés à Nova Kakhovka.
La nouvelle tactique russe commence par des attaques locales sur les régions frontalières et de première ligne, notamment les oblasts de Soumy et Tchernihiv, qui sont actuellement les plus touchés. Les services d’électricité sont détruits.
Les oblasts de Kharkiv, Odessa, Mykolaïv et Dnipropetrovsk sont également touchés de manière moins intense, mais tout de même régulière.
Donald Trump et Vladimir Poutine devraient bientôt se rencontrer à Budapest pour discuter d’un accord de paix mettant fin à la guerre en Ukraine. Derrière cette initiative, une fois encore, se trouve Viktor Orbán. Le Premier ministre hongrois apparaît désormais comme le seul chef d’État européen capable de parler à la fois à Moscou et à Washington — et de rappeler au Vieux Continent ses intérêts véritables.
Le 15 octobre 2025, le secrétaire américain à la Guerre, Pete Hegseth, a lancé un ultimatum à la Russie.
«Si aucune voie de paix n’est trouvée à court terme, les États-Unis, de concert avec leurs alliés, prendront les mesures nécessaires pour punir la Russie de son agression continue. Si nous prenons cette mesure, le Département de la Guerre des États-Unis est prêt à apporter sa contribution, comme seuls les États-Unis le peuvent», a déclaré le secrétaire à la Défense, Pete Hegseth, lors d’une réunion des ministres de la Défense des pays de l’OTAN à Bruxelles le 15 octobre.