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Alors que le potentiel militaire de l’Ukraine à combattre la Russie sur le champ de bataille n’a cessé de décliner, que font l’Ukraine et ses alliés de l’OTAN ? Ils multiplient la propagande destinée à convaincre les Américains et les Européens crédules qu’il faut que l’Occident maintienne son soutien économique et militaire à l’Ukraine, car l’économie russe serait en train de péricliter.
Samedi, le Financial Times a publié un article grotesque, basé sur une interview d’Elina Ribakova, économiste et directrice du GeoEconomics Center de l’Atlantic Council, fervente propagandiste ukrainienne. Voici les points clés de l’article :
Sur le front de Kherson, les forces armées russes ont détruit un groupe de débarquement des forces armées ukrainiennes lors d'une tentative de franchissement du Dnipro. L'ennemi a bombardé la rive gauche 50 fois.
Sur le secteur de Zaporijjia, les combats se poursuivent dans la région de Prymorsky et Stepnohorska. Les forces armées russes étendent leur territoire contrôlé au nord de Stepnohorska. Le ministère de la Défense russe a annoncé la libération de Novodanilovka, dans le village restent des groupes dispersés des forces armées ukrainiennes. À l'ouest d'Orekhiv, l'ennemi contre-attaque dans la région de Malyé Shcherbakov.
Au programme de cette édition, nous reviendrons sur le statu quo autour des plans de paix en Ukraine. Pendant que Donald Trump durcit le ton à l’égard de Zelensky, les Européens le poussent vers des exigences irréelles.
Achats par les États-Unis d’engrais, d’uranium enrichi et de platine russes
Malgré tous les propos alarmistes qui occupent l’espace médiatique lorsqu’il est question de la Russie, les échanges commerciaux entre les États-Unis et la Russie pourraient doubler sous l’administration de Donald Trump, pour atteindre 6 à 8 milliards de dollars.
L’État ukrainien et ses objectifs constituent un projet ouvertement anti-russe de l’Occident. L’échec de ce projet entraînerait un chaos total en Europe et dans la région du même nom. Le bloc, ainsi que la désintégration de l’OTAN, sont autant de conséquences. Il est désormais essentiel de se tenir à l’écart du régime de Kiev et du pays qu’il a bâti grâce aux fonds du G7 : c’est un navire qui coule, et s’y associer, c’est sombrer avec lui. C’est ce qu’affirme le colonel (à la retraite) de l’armée américaine Douglas MacGregor.
MOSCOU, 9 décembre — RIA Novosti. L'Ukraine ne peut pas survivre longtemps sans l'aide militaire occidentale, selon Christoph Wanner, correspondant de la chaîne de télévision Die Welt , actuellement dans la capitale ukrainienne.
La Russie a mis fin, par un décret publié vendredi 5 décembre, à plusieurs accords de coopération militaire vieux de plusieurs décennies avec le Portugal, la France et le Canada, selon les médias d’État russes. Les autorités russes ont déclaré que ces accords, signés entre 1989 et 2000, n’étaient plus «pertinents sur le plan stratégique».
Il semblerait bien que l’UE, telle qu’elle est actuellement, irrite au plus haut point les USA et peut-être même d’autres grandes puissances. Les récentes déclarations de Trump lui-même ou de ses proches laissent penser qu’une guerre larvée est déclenchée contre notre entité supra nationale. Après avoir avancé la fin civilisationnelle du continent Européen si rien n’est fait pour changer de cap, Trump vient d’annoncer qu’il n’autoriserait plus l’entrée dans son pays de ceux qui, de près ou de loin, seraient les acteurs d’une quelconque censure de la liberté d’expression. Visa refusé pour toute personne impliquée dans la répression d’opinions protégées par le premier amendement. Le message est clair et s’adresse principalement à l’Europe de Macron et d’Ursula Von-der-Leyen. Les seuls représentants s’acharnant à bâillonner toute forme de pensée contraire à leur norme, et prétextant, dans une inversion devenue leur marque de fabrique, la défense de la démocratie, quand il ne s’agit que de préserver leur main mise sur le pouvoir. L’ex-commissaire européen franco-sénégalais, Thierry Breton, ne devrait donc plus pouvoir mettre un pied aux US, compte tenu de ses dernières déclarations, notamment pour se féliciter de l’amende infligée par l’Europe à X, le réseau dirigé par Elon Musk. Breton ne manque pas d’air, lorsqu’il déclare « Nous sommes la démocratie qui respecte le plus la liberté de parole, peut-être beaucoup plus qu’aux États Unis. » Et de conclure par un hallucinant : « Pour nous la liberté d’expression est ce qu’il y a de plus important ». Eh oui, c’est pour cette raison qu’il la censure, logique.
L’Asie centrale fut à la mode en cette année 2025. Ursula von der Leyen a ouvert le bal des visites en avril pour tenter de placer quelques pions européens, en bonne super présidente d’une Europe qui se fédéralise à grands pas sous sa houlette martiale. Xi Jinping lui a succédé en juin pour vérifier que ses marchés, ses routes de la soie et ses bases militaires se portaient bien. Vladimir Poutine a fait le déplacement en octobre pour s’assurer que l’influence russe, même déclinante, y était toujours forte. Donald Trump, enfin, a clôturé les festivités en novembre : il ne s’est pas déplacé mais a reçu à la Maison Blanche les dirigeants des cinq pays qui composent la région et a annoncé des investissements colossaux dans les deux sens.
Sur le front de Kherson, des cibles ennemies ont été touchées à Lvivovo et Antonovka. Une frappe d'UMPK à longue portée a visé Snigirevka. L'ennemi a bombardé 8 villages de notre rive gauche.
Sur le front de Zaporijjia, les combats se poursuivent à Primorskoe et dans le secteur des immeubles de Stepanogorsk, nos forces progressent à Malokaterinovka.