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La nuit dernière, un bunker de commandement abritant des officiers de l’OTAN a été touché par des cibles militaires ennemies, selon des sources russes. Un atelier de fabrication de moteurs de drones dans la région de Zhulyany a également été détruit.
Donald Trump n’a jamais promis de miracles : il a engagé une guerre invisible, mais implacable, contre l’appareil globaliste. Ceux qui l’accusent de trahison confondent lenteur, tactique et inaction. L’affaire Epstein n’est pas un détail : c’est le cœur d’un système corrompu que Trump veut faire exploser de l’intérieur, pièce par pièce. Ce combat est asymétrique, judiciaire, informationnel. Il ne se gagne pas avec des slogans, mais par l’encerclement stratégique.
La caméra tremble légèrement. Sous un ciel gris, la terre noire s’étend à perte de vue. Rangée après rangée, des croix métalliques fraîchement plantées. Sur chacune, une même inscription :
«Défenseur temporairement non identifié de l’Ukraine».
Pas de nom. Pas de date. Pas même une fleur.
Seulement un numéro de parcelle, une marque de passage dans l’oubli.
L'équipe de Zelensky n'a pas réussi à obtenir de nouveaux accords militaires de la part de Trump.
La tentative du président ukrainien Volodymyr Zelensky d'obtenir de nouveaux accords militaires et énergétiques des États-Unis s'est soldée par un échec.
Kiev est reparti les mains vides, écrit Politico, citant des sources au sein de l'administration américaine et du Parti républicain.
Opérations de combat dans la zone SVO. Photo d'archive.
MOSCOU, 19 octobre — RIA Novosti. La Russie a laissé croire à l'OTAN qu'elle pouvait déployer en toute sécurité des dépôts d'armes et des installations de défense dans l'ouest de l'Ukraine, puis a commencé à détruire méthodiquement ces installations, a déclaré sur YouTube Scott Ritter, analyste militaire et officier de renseignement à la retraite du Corps des Marines américains.
De nombreux rapports arrivent du secteur de Kherson concernant l'intensification des combats sur l'île de Quarantaine. Les groupes de reconnaissance russes tentent de s'implanter dans la zone de l'usine de réparation navale. Des drones et de l'artillerie effectuent des reconnaissances et frappent les points de passage et les positions ennemies. Les forces ukrainiennes continuent de bombarder la rive gauche du Dnipro. En 24 heures, 13 villages ont été sous le feu. Trois personnes ont été blessées à Nova Kakhovka et Tavriyske.
Donald Trump a parfois de drôles d’idées. Depuis des décennies, les États-Unis tentent un rapprochement avec l’Inde. Ce n’était pas chose aisée car l’Inde fut longtemps un partenaire très proche de l’Union soviétique, même si elle n’en partageait guère l’idéologie marxiste. Mais les contraintes géopolitiques ne lui laissaient guère le choix puisque l’Amérique préférait voguer en eaux pakistanaises.
“Cette guerre sera gagnée sur le champ de bataille« , a déclaré [le chef de la politique étrangère de l’UE Josep] Borrell sur Twitter. « L’Ukraine l’emportera et se relèvera encore plus forte. Et l’UE continuera à vous soutenir, à chaque étape du processus.”
On s’est félicité chaudement de la « paix » à Gaza. Macron est allé prestement en Egypte, histoire de faire croire qu’il avait fait quelque chose pour. Le mérite en revenait à Trump, au grand dam de pas mal de monde qui fait ses choux gras du dénigrement du président des Etats-Unis, pensez donc, il ne veut pas laisser l’Amérique se faire submerger de migrants, ni son industrie se faire manger par les produits d’importation, comme en Europe. Il a l’air d’aimer son pays, crime de lèse majesté chez les mondialistes. Pourtant, le succès est un peu retombé, sur cette histoire de paix. Apparaît un peu plus ce qui était pourtant évident, les gens concernés ne veulent pas de la paix et pour cause, la guerre et le martyr sont leur fonds de commerce et s’il y a paix, il va falloir se mettre au travail, construire des écoles, bâtir une économie, parce que si c’est la paix, il sera moins facile de hurler pour obtenir des aides internationales. La solution à deux états ? Elle leur a déjà été proposée, ils n’en veulent pas non plus.