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immigration - Page 1025

  • De l’immigration de travail au Grand Remplacement

    La question migratoire a éclipsé toutes les autres problématiques politiques s’imposant à nos contemporains. Parmi les différents défis que nos sociétés européennes doivent relever, cette dernière suscite le plus de polémiques. L’antagonisme politique fondamental oppose désormais des Mondialistes à des Identitaires. Les premiers sont ultradominants. Leurs sensibilités vont d’un mondialisme intégral dissolvant les identités historiques dans une sorte de Tour de Babel métissée, à l’assimilationnisme de rupture avec le lignage d’origine. Entre les deux, beaucoup prônent la coexistence de communautarismes unis par un patriotisme contractuel.

    Schématiquement, le spectre va de Soros à Soral ; de Terra Nova au Front national 2.0. En face, les Identitaires sont attachés aux déterminismes biologiques et sociaux issus de milliers d’années d’histoire. Mais ils sont encore fragiles et peu nombreux, cette posture étant très récente.

    Pour les uns, cette immigration est bénéfique. Elle favoriserait la croissance économique ; elle suppléerait au déclin de la natalité des Français ethniques ; elle dynamiserait notre société, etc. Pour les autres, elle est une catastrophe car perçue comme un Grand Remplacement des populations historiques et donc la disparition programmée des peuples européens et de notre civilisation.

    Relevons au passage que cette immigration allogène fut initiée dès l’avènement de la Ve République. La politique inaugurée par le tandem Charles De Gaulle/Michel Debré est suffisamment explicite sur ce point, provoquant même un scandale lors de l’affaire des Enfants de la Creuse. Près de 2.000 orphelins réunionnais furent alors déportés en France européenne et placés dans des fermes. Dans le même esprit, sous la gouvernance de Valéry Giscard d’Estaing, des femmes africaines furent mariées à des paysans français esseulés. Et c’est loin d’être tout.

    Le constat est qu’aujourd’hui cette immigration allogène et leurs descendants réunissent entre douze à quinze millions d’individus (métis compris), majoritairement des jeunes, sur le territoire de la France européenne. Beaucoup sont parfaitement intégrés. On pensera aux Afro-Antillais, aux Asiatiques, à beaucoup d’Africains, aux Hindous, etc. En revanche, une partie non négligeable de Maghrébins génère quelques difficultés… (1).

    Pourquoi la spécificité maghrébine ?

    Délicat de discuter publiquement dans le contexte actuel sur les spécificités maghrébines. L’omerta est de mise dans la sphère publique. En revanche, dans l’espace privé, le débat est plus libre, même avec des quidams d’outre-Méditerranée. Notons que parmi ces Maghrébins beaucoup ne soulèvent aucune difficulté, qu’ils soient juifs, arabes ou kabyles. Ils vivent à côté de nous et avec nous. Certains d’entre eux – on pense bien évidemment à l’irremplaçable Eric Zemmour – s’assument comme les hérauts de la race blanche chrétienne. Mais d’autres sont irréductibles. Dans mon enfance, la vox populi qualifiait ces gens ingérables de « crouilles » (2).

    Le fait est que, depuis des centaines d’années, les côtes du Maghreb furent le siège d’une piraterie réduite au XIXe siècle. Ce sont les descendants de ces pirates, dont l’économie reposait sur le pillage, que nos dirigeants ont installés dans nos villes, hier, et maintenant dans nos campagnes. Trois minutes de conversation honnête avec un Maghrébin musulman bon père de famille suffisent à s’en convaincre. Nous eûmes cette conversation alors qu’on m’avait volé un beau vélo (pneux Schwalbe Marathon Plus récents, freins hydrauliques Magura, selle Brooks en cuir noir, etc.), pourtant bien cadenassé, en plein jour dans une rue animée de Paris et réputée sûre. Lui en parlant, il m’avoua connaître un compatriote organisateur d’un réseau dédié à cette activité fort lucrative. Sa gêne était plus que sensible.

    Histoire des pirates d’Afrique du Nord

    Les côtes nord de l’Afrique furent depuis des temps immémoriaux le repère de Barbaresques. Ils vivaient de rapines, razziant tout ce qui était razziable autour d’eux, y compris chez les Maghrébins laborieux.
    Bien évidemment, leurs déterminismes personnels sont la conséquence de cette adaptation à ces pratiques économiques. Au même titre que les paysans sont généralement petits car… « la terre est basse », les pillards doivent posséder des caractéristiques spécifiques pour prospérer. Se développa alors sur les côtes d’Afrique du Nord une population aux spécificités adaptées à cette économie. Notons que des Européens en rupture de ban encadraient ces pratiques. Ces renégats dirigeaient ces indigènes. Ainsi un Hollandais fameux, Jan Janszoon alias Mourad Rais, pilla l’Islande en 1627 et l’Irlande en 1631. Le butin convoité par ces razzias était, entre autres, des esclaves blancs vendus sur les marchés d’Orient.

    Pendant longtemps, l’Ordre de Malte verrouilla la Méditerranée occidentale, mais sa destruction pendant les guerres napoléoniennes permit ensuite à ces pirates de prendre toutes les initiatives contenues jusqu’alors. La réaction fut forte. Les grandes puissances maritimes allèrent détruire les bases de cette piraterie maghrébine. Les premiers à agir furent les Américains pendant les « Guerres barbaresques » de 1801 à 1815. Puis, en 1816, une flotte britanico-néerlandaise bombarda Alger, mais sans intervention terrestre. Celle-ci sera finalement opérée sous Charles X. En 1830, l’intervention française en Afrique du Nord signe l’arrêt définitif de l’activité de ces pirates. Mais la culture de piraterie subsiste. Relevons aussi que cette piraterie, partout dans le monde, fut instrumentalisée par tel ou tel prince selon ses intérêts du moment. Les pirates devenaient alors corsaires. En Afrique du Nord, beaucoup agissaient pour le compte de l’empire ottoman. La montée des Etats-nations et la révolution industrielle engendrant un accroissement des échanges ruineront cette activité dont elle contrariait le développement.

    Avec les indépendances, les nouveaux dirigeants d’Afrique du Nord voulurent eux aussi les annihiler. Face à des autorités françaises avides d’immigrés, ils ne retiendront pas les descendants de ces pirates qui pourront alors rapiner chez nous. Maintenant, on les répand sur tout le territoire. Ces trois minutes de conversation avec ce Maghrébin « bon père de famille » permirent de vite comprendre pourquoi ces individus sont ingouvernables. Au Maghreb, Ils s’en sont débarrassés avec élégance. Au Maroc, un Européen se promènerait plus en sécurité dans les quartiers les plus chauds qu’en France dans une cité « populaire ». C’est dans cette population irréductible que doit maintenant se recruter cette « caillera » tentée par le djihad. Cela amène cette connaissance marocaine m’ayant éclairé à ne plus aller à la mosquée, alors même que la sonnerie de son portable est l’appel du muezzin. C’est dire.

    Quel rôle ont joué nos dirigeants ?

    Nos dirigeants se sont-ils fait duper par plus malins qu’eux en acceptant des descendants de pillards sur notre sol, ou bien ont-ils agi sciemment pour conforter les rapports de domination sociale dont ils bénéficiaient ? L’installation de migrants en Europe, aujourd’hui, répond-elle à la même démarche ? L’oligarchie instrumentalise-t-elle la piraterie et le terrorisme sur notre sol comme les princes le firent hier ? On aimerait en savoir plus.

    Frédéric Villaret Septembre 2016

    Notes :

    1/ Immigration et délinquance : ce que l’on sait, ce que l’on croit savoir http://www.liberation.fr/france/2014/12/12/immigration-et-delinquance-ce-que-l-on-sait-ce-que-l-on-croit-savoir_1161343

    2/ « Crouille »:

    -abréviation de crouillat, emprunté à l’arabe maghrébin (‘a) khuya, « mon frère » ; terme de politesse fréquent en Afrique du Nord, altéré en crouille ;
    -de mauvaise qualité, décevant. Mais aussi coquin, d’un enfant qui a l’œil qui brille de malice : « avoir l’air (d’une) crouille » ;
    -terme injurieux et raciste pour désigner un Nord-Africain.

    http://www.polemia.com/de-limmigration-de-travail-au-grand-remplacement/

  • Incroyable percée de l’AfD à Berlin !

    AfD-Berlin.jpg

    Lionel Baland  EuroLibertés cliquez ici

    Ce dimanche 18 septembre 2016, les électeurs berlinois se sont rendus aux urnes afin d’élire les représentants du parlement du Land, ainsi que des douze conseils de quartier. Le nouveau venu, l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), est le grand vainqueur du scrutin. Malgré les attaques en tous genres, tant politiques que physiques, conduites contre ce parti patriotique, celui-ci obtient 14,2 % des voix et 25 mandats sur 160, dont 5 mandats directs. Le chef de file de l’AfD à Berlin lors de ce scrutin, Georg Pazderski, déclare : « Nous sommes passés de zéro à un résultat à deux chiffres. »

    Pour un nouveau parti ne disposant pas d’implantation, percer dans une cité, qui compte 3,5 millions d’habitants, dont les différentes parties sont l’apanage de formations politiques établies depuis longtemps et qui est connue dans le monde entier en tant que ville « tolérante », ouverte aux autres cultures et peuples, est un exploit.

    Les post-communistes de Die Linke augmentent leur score de 3,9 % et obtiennent 15,6 % des voix. Les libéraux-centristes du FDP progressent fortement et entrent au sein de l’assemblée. Les Pirates s’effondrent électoralement et ne sont plus présents au sein de ce Parlement. Les deux partis qui gouvernent Berlin, les sociaux-démocrates du SPD et les chrétiens-démocrates de la CDU, reculent chacun d’environ 6 %. Ils récoltent désormais ensemble moins de 40 % des voix.

    Une ville morcelée politiquement

    De par son histoire complexe, Berlin est une ville morcelée politiquement. Seul le Parti social-démocrate SPD arrive à y être fort partout. Dans l’Est de la ville, les post-communistes sont puissants alors que dans le centre de l’Ouest, les écologistes sont forts. La CDU obtient de bons résultats dans certains quartiers périphériques de l’Ouest.

    Le Land de Berlin présente la particularité d’être le résultat de la fusion de deux zones au passé très différent. Avant la chute du Rideau de fer, Berlin-Ouest était entourée d’un mur et constituait une enclave capitaliste au sein du monde communiste, alors que Berlin-Est était, de fait, la capitale de la République Démocratique Allemande au sein de laquelle régnait le communisme. [Officiellement, la capitale de cet État était Pankow qui est un quartier périphérique de Berlin].

    Est de Berlin

    À l’époque du communisme, Berlin-Est était peuplée de nombreux apparatchiks du parti qui exerçaient des fonctions au sein des administrations, de l’enseignement et des autres organismes d’État. Ces gens ont souvent gardé la nostalgie de cette époque et accordent volontiers leurs suffrages au parti post-communiste Die Linke. Seul le parti social-démocrate SPD arrive à y obtenir des résultats proches. Pourtant, cette fois, l’AfD est arrivée à concurrencer dans l’Est de Berlin à la fois Die Linke et le SPD. La CDU, le FDP et les écologistes y restent faibles.

    Ouest de Berlin

    L’AfD a eu beaucoup plus de difficultés à percer dans l’Ouest de la cité car la population est sous le contrôle idéologique du système en place, via les médias et l’enseignement, depuis la fin de la IIe Guerre mondiale, alors que, dans l’Est, ce phénomène n’a pu être mis en place qu’après la chute du communisme à la fin de l’année 1989. L’Ouest est plus riche que l’Est et cela influe également sur les résultats des partis : la CDU, le FDP et les écologistes captent plus facilement les voix des couches aisées de la population.

    Notons qu’en janvier 1989, alors que le système communiste tanguait à l’Est, un parti nationaliste intitulé les Republikaner (les Républicains) avait fait son entrée au sein du Parlement de Berlin-Ouest en décrochant 7,5 % des voix. La réunification de l’Allemagne et de Berlin ont eu ensuite raison de cette formation politique.

    Forte concurrence pour l’AfD

    La concurrence a été rude, lors du scrutin de ce 18 septembre 2016, entre diverses forces de type patriotique. L’Alternative pour l’Allemagne a dû faire face au parti de son ancien dirigeant Bernd Lucke : Alfa obtient 0,4 %. Pro Deutschland, un parti actif à Berlin et fondé à partir de pro Köln (Pour Cologne) – qui dispose d’élus au sein de Conseil municipal de Cologne en Rhénanie du Nord-Westphalie –, décroche 0,4%. Le parti ultranationaliste NPD obtient 0,6 %.

    5 Mandats directs

    Les électeurs allemands disposent de deux voix. La première est accordée lors d’un scrutin majoritaire uninominal à un tour et la deuxième lors d’un scrutin de listes au niveau de l’ensemble du Land. Au sein de cinq des circonscriptions du Land de Berlin, situées dans l’Est à la périphérie, l’AfD est arrivée première lors du scrutin majoritaire uninominal à un tour.

    L’AfD présente partout dans l’Est de l’Allemagne

    L’AfD siège désormais dans l’ensemble des Parlements des Länder de l’Est du pays : Thuringe, Saxe, Brandebourg, Saxe-Anhalt, Mecklembourg-Poméranie occidentale et Berlin.

    Qui a voté AFD ?

    L’AfD est surreprésentée chez les personnes de 45 à 69 ans et sous-représentée chez les électeurs de moins de 35 ans. Ce parti obtient avant tout du succès auprès des ouvriers et des chômeurs. 18 % des hommes et 11 % des femmes ont voté AfD. Les électeurs qui ont accordé leurs voix à l’AfD viennent de l’abstention ou ont voté la fois précédente pour de petites formations politiques. L’AfD prend également des voix à tous les partis en place, surtout à la CDU.

    Le prochain gouvernement

    Le SPD et la CDU ne disposant plus d’une majorité au sein du parlement du Land de Berlin, le SPD devrait y former une coalition gouvernementale avec les écologistes et les post-communistes de Die Linke.

    Le début de la fin pour Merkel ?

    Ce type de gouvernement rouge-rouge-vert pourrait présager la formation d’un gouvernement national aux mêmes couleurs à l’issue des élections législatives de 2017 qui pourraient mettre un terme au règne de la Chancelière CDU Angela Merkel.

    Cette dernière, en virant politiquement vers la gauche tout en refusant toute alliance avec l’AfD, a conduit son parti dans une impasse. Cependant, la situation n’est pas encore perdue pour l’Union (CDU+CSU) car Angela Merkel, qui a souvent fait preuve d’opportunisme politique, pourrait très bien tenter d’assurer sa survie politique en virant de bord politiquement et en ramenant la CDU vers des eaux plus conservatrices. De plus, le parti libéral-centriste FDP pourrait passer la barre des 5 % et un gouvernement national CDU-CSU-FDP pourrait voir le jour.

    Un autre facteur peut aussi intervenir. La très conservatrice CSU bavaroise pourrait tenter d’imposer son candidat au poste de chancelier, le ministre-président de Bavière Horst Seehofer, opposé à la politique migratoire de la porte ouverte conduite par Angela Merkel et mettre ainsi hors-jeu Angela Merkel et sauver l’Union (CDU+CSU) d’un naufrage électoral. Notons que, par deux fois, la CSU est arrivée à imposer son candidat à la chancellerie (Franz Josef Strauß puis Edmund Stoiber) à la CDU et que, dans ces deux cas, l’Union a perdu les élections législatives.

    Angela Merkel n’est pas encore politiquement morte, mais elle est désormais dans une situation plus que délicate. Son parti doit affronter le 26 mars 2017 des élections pour le Parlement de la Sarre, le 7 mai des élections pour le Parlement du Schleswig-Holstein et le 14 mai des élections pour le Parlement de Rhénanie du Nord-Westphalie, avant le grand rendez-vous, en septembre 2017, des législatives. Il reste quelques mois à l’Union pour redresser la barre.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/09/19/incroyable-percee-de-l-afd-a-berlin-5849784.html

  • Sarkozy, islam… c’est quoi le problème?

    Le site d’Europe 1  a mis en ligne  un article consacré  à  la volonté (bien légitime) de Marine  de «diversifier les profils (des cadres frontistes)  pour rassembler un maximum d’électeurs» en vue de la  présidentielle, et  en conclut que ces nouveaux «visages impeccables» «tenteront de faire oublier les années Jean-Marie Le Pen.». Jugement un peu bêta  au moment ou la conjoncture nationale et internationale valide de manière saisissante les analyses, avertissements portés par les visages repoussants (!?) du Front National et de son président depuis son émergence électorale au début des années 80, alors vox clamantis in deserto…Analyses frontistes reprises (en grande partie), toute honte bue,  hier par Nicolas Sarkozy hier soir, invité sur France 2 de la nouvelle émission politique de David Pujadas.

    France 24 cite Jean-Yves Camus, chercheur associé à l’Iris, spécialiste es FN  qui note assez justement que «Sarkozy  a compris (que) la campagne se jouera à droite.  Il y a un retournement de l’opinion depuis les attentats [janvier 2015, ndlr], mais la question pour lui est de savoir comment convaincre les électeurs de droite partis au FN de lui faire à nouveau confiance». «Contrairement à 2007, Nicolas Sarkozy a effectivement un bilan de président. Or,celui-ci ne plaide pas en sa faveur aux yeux des électeurs frontistes qui ont pu constater l’écart entre les promesses de campagne et l’action menée à l’Élysée entre 2007 et 2012. Pour séduire, l’ex-patron du parti Les Républicains, candidat pour la troisième fois à l’élection présidentielle, est donc contraint de faire dans la surenchère. »

    «Le problème, c’est qu’il ne suffit pas de pousser le bouchon un peu loin quand on parle de sécurité et de terrorisme (…) explique Jean-Yves Camus. Il faut bien regarder le programme de Marine Le Pen dans le détail pour s’en rendre compte. Il y est notamment question de peine de mort, de la fin de Schengen, de la sortie de l’Union européenne, du retour au franc ou de la sortie de l’Otan. Nicolas Sarkozy ne propose pas tout ça.». «Reste que le contexte actuel lié aux attentats  (97% des Français estiment que la menace terroriste est « élevée » ou « très élevée », indique un sondage Ifop paru  aujourd’hui, NDLR) change la donne, estime le chercheur. Et à en croire les derniers sondages qui éliminent la gauche du deuxième tour dans toutes les hypothèses envisagées, la stratégie de la surenchère droitière pourrait cette fois-ci s’avérer gagnante.»

    Surenchère droitière ? Plus prosaïquement  prise en compte d’un ressenti de nos compatriotes qui dépasse le simple clivage droite-gauche. Nous l’avons dit, un sondage Ipsos publié fin août par Le Figaro indiquait que seuls 11% des Français pensaient que l’immigration a un impact positif pour notre pays .  Celui réalisé début septembre par l’Ifop pour Valeurs actuelles  affirmait  que 59% des Français (et 52% des sympathisants du PS) étaient favorables à «la suppression de l’acquisition automatique de la nationalité française pour les enfants nés en France de parents étrangers et à l’instauration du droit de la filiation». Une mesure figurant depuis toujours dans le programme du FN , comme la  la «suppression du regroupement familial»  plébiscitée par 60% des personnes sondées (dont 46% des électeurs socialistes).

    Le site helvétique  La Pravda.ch a publié un entretien avec Alain Escada, dans lequel le  président de Civitas observe «que tous les gouvernements d’Europe de l’Ouest, quelle que soit leur couleur politique, pratiquent la même politique immigrationniste suicidaire. De la part de la gauche et de l’extrême gauche, on peut penser que l’immigration est vue comme un électorat potentiel qui pourra ultérieurement être substitué aux électeurs de souche . C’est le conseil exprimé très officiellement par des think tanks au service des partis de gauche. Mais il faut surtout considérer que tout cela est vraisemblablement planifié, organisé. Différents éléments confirment l’implication du milliardaire cosmopolite George Soros dans l’organisation de ce déferlement d’immigrés. Cela signifie que cela entre dans le plan du Nouvel Ordre mondial (…). »

    Interrogé sur les récents propos d’Éric Zemmour (l’islam ne s’adaptera jamais à nos modes de vie, et réciproquement, il n’y a «pas de différence entre islam et islamisme », « l’islam n’est pas une religion, c’est une Loi, une nation»), M. Escada constate  que « l’actualité nous rapporte des faits qui viennent alimenter le rejet de l’islam chez beaucoup de nos contemporains». Et de noter , comme Bruno Gollnisch le précise depuis de nombreuses années, qu’ «il n’en reste pas moins que l’origine du problème est cette immigration. Si la majorité des immigrés arrivant en Europe étaient des Sikhs, des animistes ou des adeptes du Vaudou, cette immigration massive resterait tout autant inacceptable.»

    Il existe un angélisme criminel consistant à minorer la montée en puissance dans le monde musulman comme dans nos quartiers, d’un extrémisme islamique qui a incontestablement le vent en poupe, qui est théorisé, légitimé par des guides politico-religieux,   par la mise en avant de sourates du Coran appelant à la guerre sainte, à l’usage de la violence contre les infidèlesFace au vide spirituel, au matérialisme de nos sociétés occidentales, à des élites, des intellectuels, des professeurs qui pratiquent la repentance, l’auto flagellation, dénigrent notre Histoire et les valeurs fondatrices de notre civilisation européenne, cet extrémisme religieux trouve un terrain favorable chez les  enfants de l’immigration massive.

    Inassimilés ou désassimilés, les déracinés, les  acculturés des banlieues françaises  se saisissent  de cet islam là qui devient  revendication d’une altérité, recherche d’une identité.  Et très souvent la justification, l’habillage d’un racisme anti Gaulois, d’une haine toute basique de la France et des Français qui se drape  dans les oripeaux de la religion… Ou s’exprime de manière platement  « laïque» dans les clips de rap exhibant des racailles crachant sur notre pays, l’Etat, la police, les  Blancs, les Françaises…

    Il existe aussi une grille de lecture simpliste de la réalité  du monde musulman et de son milliard de fidèles, dont les pratiques, la vision du monde, le rapport à la foi, la lecture de l’islam diffèrent souvent radicalement. Le blogue de Jacques Bordes a eu la bonne idée de se faire l’écho  du «Discours à la nation» prononcé le 20 août dernier par le Roi du Maroc (et Commandeur des Croyants)  Mohammed VI. Royaume chérifien, exemplaire dans la lutte contre le terrorisme, symbole de l’islam du juste milieu,  qui est aussi travaillé, menacé peut-être demain par la montée en puissance de l’islamisme radical.

    Le souverain marocain l’a réaffirmé sans ambages: « Ceux qui incitent au meurtre et à l’agression, qui excommunient indûment les gens et qui font du Coran et de la Sunna une lecture conforme à leurs intérêts, ne font que colporter le mensonge au nom de Dieu et du Prophète… C’est cela la vraie mécréance ». « Les terroristes qui agissent au nom de l’islam (…) sont des individus égarés condamnés à l’enfer pour toujours. Ils instrumentalisent certains jeunes musulmans, plus particulièrement en Europe, et exploitent leur méconnaissance de la langue arabe et de l’islam véridique pour relayer leurs messages erronés et leurs promesses dévoyées». Il a rappelé que la notion de djihâd n’est « envisageable que par nécessité d’autodéfense, et non pour commettre un meurtre ou une agression ».

    Non l’islam  n’est pas d’un bloc, oui il existe un islam violent, radical,  sanglant cherchant à imposer le khalifat par la terreur  mais aussi une pratique pacifique de l’islam.  Bref, pour ce qui nous concerne, nous continuons de penser que l’on peut être  à la fois un musulman et  un patriote Français ;  Jean-Marie Le Pen l’affirmait hier, Marine Le  Pen le redit aujourd’hui.

    http://gollnisch.com/2016/09/16/sarkozy-islam-cest-quoi-probleme/

  • Migrants, clandestins, immigrés ... : ce sont « des êtres humains » . En voilà un qui a découvert l'eau tiède !

    Migrants, clandestins, étrangers, immigrés : ce sont tous « des êtres humains » ... En voilà un qui a découvert l'eau tiède !

    Eh ! oui : c'est sur BFM-TV, après un édifiant (!) reportage sur la « jungle » de Calais, qu'un obscur représentant de France terre d'asile est venu, doctement, nous asséner cette vérité élémentaire, croyant, sans doute, que cette évidence valait sommation d'accueillir, à Calais et dans toute la France, les 2,8 milliards de personnes - soit près de la moitié de la population mondiale - qui vivent avec moins de 2 dollars par jour. En tout cas, c'est ce qu'il demandait : « accueillir l'autre » puisque « ce sont des êtres humains » !...

    Mais ce docte inconnu semble oublier que, nous aussi, habitants du pays d'accueil, nous les indigènes, les autochtones, c'est-à-dire tout simplement nous, les Français, nous sommes aussi des êtres humains. Et nous avons aussi des droits : ceux que nous donnent la possession du pays que, depuis des siècles, des millénaires, façonnent nos prédécesseurs. Dans cette « communauté de destin » - mais aussi d'héritage - qu'est la Nation, nous poursuivons l'oeuvre de nos ancêtres à notre tour, maillons dans la chaînes des âges...

    Le donneur de leçons à deux centimes d'euro de France Terre d'asile devrait commencer par le commencement, et reconnaître d'abord les droits des Français dans leur propre pays :

    par exemple, les Calaisiens ont le droit de vivre dans une ville sûre, propre, agréable ; où les « migrants » ne percent pas, chaque nuit, le grillage de votre jardin, comme le montre un peu après le même reportage ; et cela pour vous voler tout ce qu'ils peuvent, et qu'ils iront ensuite déposer sur l'autoroute voisine, afin d'y faire un barrage pour arrêter les camions, mais risquant ainsi de créer des accidents mortels...

    par exemple, les jeunes de Sisco ont le droit, en plein été, d'aller dans les criques de leur village pour s'y baigner, sans qu'une horde de maghrébins ne surgissent, avec un harpon, pour leur faire violence...

    par exemple, les Marseillais ont le droit de sortir en plein jour dans leurs rues, sans risquer de se prendre une balle perdue venue d'une kalachnikov déchargée à cinquante mètres à peine de l'Hôtel de police, c'est-à-dire en plein centre-ville !...

    On se contentera de ces trois exemples récents, mais, l'énumération pourrait durer bien longtemps, de tous ces gens qui sont des êtres humains et qui aimeraient bien être traités comme tels, dans leur pays, qu'ils ont reçu de leurs ancêtres, dont ils prolongent l'aventure...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2016/09/17/societe-migrants-clandestins-etrangers-immigres-ce-sont-de-5849104.html

  • Le traitement de la radicalisation : le gouvernement en flagrant échec

    Le copinage ne fait pas tout :

    "Composez le numéro Vert, connectez-vous sur Stop djihadisme, et nos équipes de psychologues, juristes, criminologues, éducateurs spécialisés, vous épauleront et vous accompagneront dans cette épreuve difficile. Vous n'êtes pas seuls. Dounia Bouzar dirigeait le Centre de prévention des dérives sectaires liées à l'islam (CPDSI). Elle a mis fin à sa mission en avril 2016, officiellement pour marquer son désaccord avec le gouvernement au moment du débat sur la déchéance de nationalité. Omniprésente sur les plateaux de télévision, dans les studios de radio, adulée autant que critiquée sur la pertinence et l'efficacité de sa méthode, on ne peut cependant pas lui reprocher de ne pas avoir travaillé, testé et défriché une matière que personne ne connaissait, et de ne pas avoir fait ce qu'elle pouvait avec les moyens dont elle disposait.

    Julien Revial, lui, a travaillé un an dans l'autre structure «référence», avec Sonia Imloul au sein de la Maison de la prévention et de la famille. Il a rapporté de cette expérience un témoignage aussi étourdissant qu'accablant, publié par les éditions Michalon*. C'est un peu Candide au pays de la déradicalisation. Souvent drôle, mais aussi glaçant. Car on se rend compte, à la lecture de ce journal de bord, que l'on a confié une partie d'une mission essentielle pour la sécurité nationale à une bande de Pieds Nickelés, peu scrupuleux et parfois carrément malhonnêtes. Tout ça pour quoi ? Pour cacher la misère, colmater avec des rustines. Mais en communiquant. Ça, pour communiquer, on a communiqué".

    Lahire http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Celui qui appelait en 2007 au « métissage de la France » veut maintenant la suspension provisoire du regroupement familial

    Rappel opportun de Politique Magazine :

    "Alors qu’il a débuté sa troisième campagne présidentielle, celui qui appelait en 2007 au « métissage de la France » a affirmé vouloir la suspension provisoire du regroupement familial…

    L’un de ses proches, Eric Woerth, a quant à lui été contredit par le journaliste Jean-Jacques Bourdin au micro de la radio RMC, ce dernier assurant que les lois mises en cause n’avaient fait entrer que 20 000 personnes sur le territoire national en 2015. Les chiffres du ministère de l’Intérieur donnent une autre image.

    L’immigration légale issue d’un rapprochement familial a ainsi représenté 45 % des entrées l’an dernier. On peut obtenir un premier visa de longue durée en France pour rejoindre un membre de sa famille naturalisé (54 000 personnes), mais aussi en habitant chez un proche ne possédant lui-même qu’un titre de séjour temporaire (43 000).

    Les autres sources d’immigration légale sont les visas étudiants (70 000 jeunes, en forte hausse), les visas économiques (21 000 personnes) et les visas liés à une demande dite humanitaire (26 000 titres délivrés sur une demande totale de 80 000 pour la seule année 2015). Cette immigration légale est issue de pays situés en dehors de l’espace économique européen.

    Si les visas de longue durée atteignaient déjà les 150 000 unités annuelles à la fin de la décennie 90, ils se sont élevés l’an dernier à près de 215 000, soit l’équivalent d’une ville comme Bordeaux. Les délivrances de titres de séjour avaient notamment augmenté de 17 % entre 2007 et 2012 sous la mandature de l’actuel président des Républicains, Nicolas Sarkozy…"

    Paula Corbulon

  • L’islam n’est compatible ni avec la République, ni avec l’esprit français, ni avec la civilisation européenne

    « L’islam est compatible avec la République » : de Mélanchon à Marine Le Pen, en passant par Valls, Juppé, Sarkozy et Macron, toute la classe politique répète ce mantra. On les comprend. C’est une police d’assurance politiquement correcte pour l’accès aux médias. C’est aussi rassurant pour les Français à qui on dit « Dormez, braves gens, tout va s’arranger ». Et c’est une démarche électoraliste en direction de la communauté musulmane : les uns escomptent ses voix au premier tour (Juppé, Mélanchon, Macron), les autres espèrent (Sarkozy, Marine Le Pen) éviter une surmobilisation contre eux au deuxième tour.

    Beaux calculs, en vérité ! Mais fondés sur l’erreur (le « wishful thinking ») ou le mensonge.

    Non, l’islam n’est compatible ni avec la République, ni avec l’esprit français, ni avec la civilisation européenne et chrétienne !

    L’islam n’est pas une religion confinée à l’espace privé, c’est une culture, une civilisation, des coutumes, un mode de vie, un droit (la charia), un projet politique.

    L’islam est fondé sur l’affirmation d’une double inégalité : de l’homme sur la femme, du musulman sur le non-musulman.

    L’islam ne reconnaît pas la liberté d’expression : critiquer l’islam c’est « islamophobe », représenter le « prophète », c’est « blasphématoire » et légitime la peine de mort.

    L’islam ignore la réciprocité : l’islam vise la conversion des autres ; il interdit la conversion des siens. Le non-musulman qui épouse une musulmane doit se convertir, tout comme la non-musulmane qui épouse un musulman.

    L’islam impose ses pratiques dans l’espace public sans considération des libertés et de la tranquillité d’autrui : femmes voilées et femmes bâchées, ramadan pour tous, halalisation des abattoirs, des cantines, des restaurants et des grandes surfaces commerciales.

    C’est évidemment incompatible avec les sacro-saintes valeurs de la République. Et les paléo-jacobins qui veulent appliquer aux musulmans la formule de Clermont-Tonnerre en 1789 sur les juifs : « Tout leur accorder comme citoyens, rien comme communauté », n’ont pas compris que la situation était radicalement différente à l’époque de la Révolution et lorsque Napoléon créa le Consistoire israélite : parce que les musulmans sont plus de 10% de la population (et pas 0,2%), parce qu’ils veulent imposer leurs pratiques dans l’espace public (et convertir et conquérir), parce qu’ils ont en face d’eux un Etat faible… et qu’ils sont adossés à des émirats riches et puissants.

    Plus fondamentalement, l’islam est incompatible avec l’esprit français qui accorde beaucoup de place à l’humour, à l’esprit critique, à l’indépendance d’esprit, à la raison.

    Plus fondamentalement encore, la civilisation musulmane, fondée sur la soumission, est opposée à la civilisation européenne et chrétienne, culture de l’incarnation, art de la représentation, valorisation du libre-arbitre, dialectique de la foi et de la raison.

    L’islam est donc incompatible avec notre identité. Il l’est aussi avec notre souveraineté : car c’est un mondialisme qui transcende – et nie – les frontières nationales. L’Oummah, la communauté des croyants, a vocation à unir par-delà les Etats, surtout s’ils ne sont pas à direction musulmane, donc « illégitimes ». Etre souverainiste et croire l’islam compatible avec la République, c’est n’avoir pas tout compris… Chevènementistes, encore un effort !

    Bien sûr, un homme, ou une femme, venu du Maghreb, du Machrek ou du Proche-Orient, peut devenir pleinement français – par le cœur, la culture, le mode de vie – mais cela suppose qu’il ne soit pas musulman ou qu’il ait pris de grandes, de très grandes distances, avec l’islam.

    Arrêtons de bercer les Français d’illusions. Démasquons les balivernes politico-médiatiques !

    Jean-Yves Le Gallou, 17/09/2016

    http://www.polemia.com/lislam-nest-compatible-ni-avec-la-republique-ni-avec-lesprit-francais-ni-avec-la-civilisation-europeenne/

  • La sénatrice Lienemann : Faire interdire Zemmour par le CSA au nom de la République !

    Lucette Jeanpierre Riposte laïque cliquez ici

    Marie-Noëlle est aujourd’hui âgée de 65 ans, comme Mélenchon. Elle est sénatrice de Paris et fut députée européenne, ministre déléguée au Logement et au Cadre de vie dans le gouvernement de Pierre Bérégovoy, secrétaire d’État au Logement dans le gouvernement de Lionel Jospin, députée de la septième circonscription de l’Essonne, conseillère régionale de la région Nord-Pas-de-Calais, conseillère générale du canton de Massy, maire d’Athis-Mons, adjointe au maire d’Hénin-Beaumont et de Massy.

    Elle fut longtemps, avec Julien Dray et Jean-Luc Mélenchon, la figure de proue de la Gauche socialiste, ce groupuscule d’anciens trotskistes qui choisissaient de faire carrière au PS, tout en faisant semblant de la gauchiser.

    La malheureuse a passé un très mauvais week-end, à cause du très méchant Eric Zemmour.

    « C’est terrible », gémit-elle, sur le plateau de LCI. Incapable de citer les trois phrases qu’elle avait gardée sous le coude, elle bredouille que le journaliste du Figaro aurait sommé les musulmans de choisir entre la France et l’islam. Et selon elle, de tels propos doivent être interdits, rien de moins.

    Elle compte donc saisir le CSA, mais avec d’autres organisations politiques, tout en disant que ce n’est pas politique, mais au nom de la République. Il paraîtrait qu’Eric aurait touché au bien le plus précieux de la grandeur de la France. Et la sentence tombe : le voilà qualifié de « honte nationale », rien de moins.

    Décidément, à l’aile gauche du PS, on paraît avoir un problème avec la liberté d’expression, quand celle-ci se traduit par des propos que les bien-pensants ne partagent pas. Faut-il rappeler que Méluche demandait l’interdiction du FN, rien de moins. Faut-il rappeler que son bras droit, Corbière, a fait interdire de Salon littéraire Pierre Cassen et Christine Tasin, qui devaient exposer le livre « Les Assises internationales sur l’islamisation de nos pays », à la mairie du 16e arrondissement. Faut-il rappeler que c’est à Julien Dray qu’on doit Sos Racisme, et ses multiples plaintes contre tous ceux qui s’opposent à l’invasion migratoire et dénoncent sa réalité.

    Dans la même lignée, Marie-Noëlle Lienemann va donc saisir le CSA. Que signifie cette démarche, et qu’attend-elle ? Si elle est cohérente, elle va sommer cette police politique des médias de faire savoir aux rares chaînes qui osent encore inviter Eric Zemmour de ne plus le faire, puisque ces paroles sont si « terribles » que cela. Elle demande, comme l’avait fait la CGT des médias, l’interdiction du journaliste des médias, rien de moins.

    Marie-Noëlle Lienemann incarne jusqu’à la caricature le Parti millénaire des collabos, que dénonce avec talent l’essayiste. Alors que les soldats d’Allah ont tué près de 250 personnes en France, en moins de 18 mois, et qu’ils prétendent interdire toute critique de l’islam, l’amalgamant à du racisme, l’islamo-collabo Lienemman, en service commandé, accède à leur demande, en demandant des sanctions contre la seule personne publique qui a le courage de dire la vérité sur l’islam. La sénatrice socialiste joue la cerbère de l’ordre islamiste qui se met en place, et applique à la lettre l’article 22 de la déclaration des Droits de l’Homme en Islam », qui conditionne la liberté d’expression au respect de la charia.

    Elle incarne cette gauche totalitaire incapable de débattre sans invectiver, insulter et interdire, au nom du camp du bien. Se disant catholique, elle excommunie tout ce qui la dérange, au nom des idéaux de la République. Bien loin d’un Voltaire qui réclamait la liberté d’expression de ses contradicteurs, elle veut les faire taire, comme l’ont fait avant elle ses ancêtres politiques Staline, Mao ou Pol Pot, chez qui toutes les Marie-Noëlle Lienemann auraient fait merveille.

    Faut-il rappeler à cette grande donneuse de leçons républicaines qu’elle fut maire-adjointe à Hénin-Beaumont, ville rongée par la mafia socialiste locale et l’affairisme, et qu’elle échappa miraculeusement à la Justice, contrairement à d’autres de ses camarades, comme le maire Gérard Dalongeville ?

    Immigrationniste folle, islamo-collabo notoire, Marie-Noëlle a été, tout au long de sa carrière politique, une active militante de la destruction quotidienne de la France et de la République, qui a mangé – fort bien – dans la gamelle socialiste, en essayant de se donner une bonne conscience de gôche.

    Entre Eric Zemmour et elle, il y a toute la différence entre un esprit libre et une pensée dogmatique figée, entre un Résistant et une collabo, entre un Français et une internationaliste, entre un homme courageux et une lâche balance, entre un homme de conviction et une opportuniste, entre un journaliste admirable et une politicarde méprisable.

     

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