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immigration - Page 1029

  • Tobias Andersson : "Les Suédois seront minoritaires chez eux dans 20 ans"

  • La Slovaquie refuse de subventionner l’islam

    En août 2015, le Premier ministre Robert Fico avait annoncé que son pays n’offrirait l’asile qu’aux réfugiés chrétiens, invoquant des « raisons de sécurité », tandis que le ministre de l’Intérieur soulignait « l’absence de mosquées » pour justifier la politique de non-accueil de musulmans.
    La Slovaquie a adopté, mercredi 30 novembre, une loi dont le but est d’empêcher l’islam d’obtenir le statut de religion officielle.
    Jusqu’ici, un culte capable de fédérer au moins 20 000 fidèles pour bénéficier de ce statut qui ouvre la voie à des subventions publiques et la possibilité d’ouvrir ses propres écoles.
    La nouvelle législation approuvée par les deux tiers des députes fait passer cette limite minimum à 50 000 fidèles. Le parti de droite nationale, le Parti du Peuple-Notre Slovaquie (LSNS) a même proposé un quota de 250 000 adeptes mais sa proposition a été rejetée.

    Source

    http://www.contre-info.com/

  • L’embrigadement des élèves dans l’accueil des migrants

    Le site Breizh-info a relayé une information parue dans l’hebdomadaire L’Echo de l’Armor et l’Argoat du 30 novembre 2017, révélant que des collégiens avaient été chargés de collecter des produits d’hygiène et de première nécessité au profit des migrants et ce, dans le cadre de leur programme d’ « éducation morale et civique ».

    Pour ce faire, leur professeur a fait intervenir un militant du collectif de gauche Utopia 56, un des collectifs les plus mobilisés en France, paraît-il, concernant l’accueil des migrants.

    Une politique nationale

    Il ne faut pas voir dans cette situation un fait divers, une toquade du chef d’établissement ou du professeur concerné.

    En réalité, ces actions s’inscrivent dans le cadre de la  loi de « refondation de l’Ecole » du 7 juillet 2013 pour nos enfants et sont amenées à se répandre comme autant de métastases dans notre beau pays de France de plus en plus défiguré par cette politique immigrationniste assassine.

    L’ article 3 de cette loi de « refondation de l’Ecole » stipule en effet :  «La nation se fixe, comme mission première à l’Ecole, de faire partager les valeurs de la République, parmi lesquelles l’égale dignité de tous les êtres humains (…) la solidarité… ». Par ailleurs, l’article 8 précise : « A l’acquisition de connaissances et instruments du savoir, substituer l’objectif de sens moral et civique… ».

    Un abus de pouvoir

    Ainsi, les cours sont progressivement supprimés pour aboutir à leur suppression totale à la rentrée 2018, remplacés par des activités au cours desquelles les élèves sont endoctrinés : au nom de l’égalité et de la solidarité, les élèves sont embrigadés pour réaliser des activités qui répondent à des logiques destructrices de notre identité qu’ils ne peuvent non seulement pas contester, mais qu’ils sont dans l’obligation de servir, et de servir « au mieux » (!!!).

    En effet, ces activités obligées étant notées, les élèves sont conduits à déployer un zèle particulier afin d’obtenir une bonne note.

    Appréciés non plus sur des savoirs mais sur des comportements, ils sont amenés à collaborer, bien malgré eux, à entretenir une situation qui détruit notre pays.

    Nous devons dénoncer cette situation et nous opposer à l’embrigadement de nos enfants dans des logiques qui n’ont rien à voir avec ce que doit être une Ecole.

    Claude Meunier-Berthelot5/12/2016

    http://www.polemia.com/lembrigadement-des-eleves-dans-laccueil-des-migrants/

  • Immigration: pourquoi le patronat en veut toujours plus

    Parce que l'immigration permet de payer les salariés toujours moins. C'est ce que dit un rapport du très sérieux et très officiel Conseil d'analyse économique, intitulé «Immigration, qualifications et marché du travail». Les blogueurs du Vrai débat l'ont décrypté. Instructif. 
    On se souvient du président Pompidou avouant peu avant sa mort qu’il avait ouvert les vannes de l’immigration en France à la demande des grands patrons, désireux de pouvoir bénéficier d’une main d’oeuvre nombreuse, docile et bon marché, d’une réserve quasi inépuisable à même de réduire les ardeurs revendicatrices des travailleurs français souvent organisés. 
    Quarante ans plus tard, rien ne semble avoir changé. Au contraire, les appels à l’immigration viennent toujours du même côté, et toujours pour les mêmes raisons. Seule différence : les secteurs économiques concernés sont désormais plus nombreux, dépassant le cercle du BTP ou de la restauration pour atteindre des professions autrefois épargnées telles que les ingénieurs ou les informaticiens. 
    Ainsi, les rapports de la Commission européenne, du Medef ou du Business Europe (le Medef européen) n’ont eu de cesse depuis plusieurs décennies d’en appeler à toujours plus d’immigration. En 2008, le célèbre rapport Attali, commandé par Nicolas Sarkozy, dressait un tableau de plus de 300 mesures d’inspiration très libérale, parmi lesquelles une accélération de l’immigration. C’est d’ailleurs cette pente que suit le président de la République depuis son élection, à travers ce qu’il a nommé « l’immigration choisie ». 
    L’immigration souhaitée par le grand patronat pour faire pression à la baisse sur les salaires, voilà en résumé l’explication souvent avancée. Pour la première fois, un rapport « officiel », que nous avons décortiqué, confirme cette intuition. 
    Il date de 2009, et émane du Conseil d’Analyse Economique (CAE). Le CAE est un organe placé auprès du Premier ministre, peu réputé pour son caractère subversif dans la mesure où il regroupe tout le gratin des économistes français « officiels », ceux que les télévisions et les journaux acceptent de recevoir. 
    Vous allez le constater, la démonstration est sans appel. 


    Elle explique d’abord qu’en économie, la notion de « pénurie » de main d’œuvre dans un secteur d’activité donné n’a pas de sens en période de chômage. C’est pourtant systématiquement ce facteur qui est mis en avant pour justifier le recours à l’immigration : le bâtiment peine à recruter tant de dizaines de milliers de travailleurs en France, il faut donc aller chercher la main d’œuvre ailleurs, entend-on souvent.

 
    « Du point de vue de la science économique, la notion de pénurie n’est pas évidente » nous dit ce rapport, ajoutant que le « fait que certains natifs rejettent certains types d’emplois peut simplement signifier que les travailleurs ont de meilleures opportunités que d’occuper ces emplois, et donc que les salaires correspondants devraient augmenter pour qu’ils soient pourvus » (page 45). 
    Autrement dit, une pénurie de main d’œuvre se forme lorsqu’un secteur n’offre pas les salaires jugés suffisants pour devenir attractif. Poursuivons le raisonnement, et alors on comprend qu’au lieu d’augmenter les salaires, le patronat a tout intérêt à créer une pénurie, qu’il comblera en allant chercher ailleurs une main d’œuvre prête à accepter des salaires plus faibles. 
    C’est la conclusion à laquelle le rapport parvient sans ambiguïté : « Dans le cas du marché du travail, cela signifie qu’à la place de l’immigration des années soixante on aurait pu envisager une hausse du salaire des moins qualifiés » (page 46). 
    Le rapport du Conseil d’Analyse Économique recense également une série d’études françaises et étrangères qui ont tenté de chiffrer l’impact de l’immigration sur les salaires : « Atlonji et Card [deux économistes] trouvent qu’une hausse de la proportion d’immigrés d’un point de pourcentage réduit le salaire de 1,2% »(page 37) 
    « Hunt [une autre économiste] trouve qu’une hausse de la proportion de rapatriés d’un point de pourcentage a réduit le salaire d’environ 0,8% » (page 37). 
    Concernant les États-Unis, « Borjas [un économiste] conclut son étude en affirmant qu’entre 1980 et 2000, l’immigration aurait accueilli l’offre de travail d’environ 11%, ce qui aurait réduit le salaire des natifs d’environ 3,2%, et que cette réduction frappe la plupart des catégories d’expérience et d’éducation, mais de manière inégale » (page 38). 
    Voilà des éléments qui devraient éclairer le débat public sur l’immigration. Il est regrettable que dans notre pays une chape de plomb irrationnelle rende toute discussion sur ce sujet quasiment impossible, ce qui a le précieux avantage de permettre aux gouvernements de gauche comme de droite de continuer à mener la même politique favorable aux desiderata du grand patronat.

  • Pourquoi les terroristes musulmans, contrairement aux propos d’Eric Zemmour, ne sont pas des héros !*

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    Marc Rousset

    Qu’est-ce qu’un héros ? Un héros est un être humain d’un niveau intellectuel suffisant qui choisit consciemment, librement, courageusement, et d’une façon désintéressée son destin, en étant prêt à faire le sacrifice de sa vie pour une cause qui le dépasse.

    La quasi-totalité des musulmans qui rejoignent le djihad armé, Al-Qaeda ou l’Etat islamique, relèvent de quatre catégories. Ce sont :

    a) des délinquants ou des criminels, souvent recrutés en prison. La plupart sont des minables avec des têtes vides qui ne connaissent rien au Coran. L’islam leur apporte clés en main ces repères dont ils ressentent le besoin.

    b) des exaltés et des dérangés qui rêvent de guerre et d’action, qui cherchent à affirmer leur virilité à tout prix et qui sont en recherche de violence fanatique pour l’exprimer

    c) des frustrés ne parvenant pas à s’intégrer dans notre société par le travail, l’étude, la socialisation, le mariage. Ces frustrés jalousent et haïssent les Européens de souche pour ce qu’ils sont : des êtres libres avec une organisation sociale supérieure, des réalisations techniques et spirituelles supérieures, un niveau de vie plus élevé.

    d) des demeurés et des simples d’esprit, des adolescents ou des enfants, sans repère, d’une grande fragilité psychologique, sur lesquels la propagande aussi stupide que simpliste des barbus fonctionne à merveille. C’est ainsi qu’en Irak, Daech appelle ses kamikazes des « jeunes mariés » parce qu’il leur promet d’épouser 72 jeunes filles vierges, une fois leur crime accompli. Juste avant leur mission suicide, des responsables religieux leur récitent des versets du Coran et les droguent avec de la fénétyline, substance psychotrope synthétique interdite dans la plupart des pays.

    Si les terroristes risquent leur vie, il est tout aussi vrai que ce sont des lâches pour oser s’en prendre, armés, à des civils désarmés.

    S’ils sont éduqués, désintéressés, non endoctrinés et libres de leurs actes, cas très peu fréquent, ce sont effectivement des héros. Ce pourrait être le cas pour quelques-uns des Saoudiens diplômés et conscients qui ont jeté, le « 11 Septembre » 2001, leur avion contre les tours du World Trade Center à New-York. Encore, outre le fait qu’ils s’en prenaient à des civils sans défense, faudrait-il s’assurer, ce qui est fort possible, que ces Saoudiens n’aient pas perçu la mort violente et combattante pour l’islam comme le privilège d’accéder rapidement en martyr à la félicité divine et d’échapper ainsi à l’interminable « supplice de la tombe » .

    Il est donc vrai que même chez les pires terroristes imbéciles, il y a un fond d’héroïsme, mais de là à faire des terroristes musulmans des héros, non, dans plus de 95% des cas ! La plupart ne sont pas des héros, mais des zéros, des fous manipulés, endoctrinés, frustrés relevant de la psychiatrie !

    * Cette chronique n'est en aucune façon une attaque contre mon ami Eric Zemmour, mais pour une fois, l'exception qui confirme la règle, Zemmour s'est "planté", tout en voulant faire passer une idée juste, à savoir le manque de courage et d'héroïsme des Européens

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Conférence de Philippe de Villiers sur son livre "Les cloches sonneront-elles encore demain ?"

  • Autriche : que la gauche ne se réjouisse pas trop vite...

    Dans Présent, Olivier Bault rappelle que 

    8750-20161207.jpg"la fonction présidentielle autrichienne n’a que des prérogatives limitées et pour les élections qui comptent le plus, les législatives prévues pour 2018, le FPÖ du candidat perdant Norbert Hofer reste donné largement en tête dans les sondages. Ce qui pourrait d’ailleurs causer en 2018 une crise des institutions autrichiennes puisque le vainqueur de l’élection d’hier a promis pendant sa campagne qu’il ne nommerait pas le chef du FPÖ Heinz-Christian Strache au poste de chancelier même si c’est à ce parti que les Autrichiens choisissent de donner la majorité. Comme on le voit, la conception de la démocratie de la gauche libertaire européiste est la même à Vienne qu’à Paris et Bruxelles.

    La victoire de l’écolo Alexander Van der Bellen a aussi eu un coût :il lui a fallu renoncer le temps d’une campagne à sa culture permissive et immigrationniste pour promettre la tolérance zéro en matière de délinquance et d’immigration. Ce n’est donc plus uniquement la coalition des sociaux-démocrates et du centre-droit, écrasée au premier tour des présidentielles, qui a fait volte-face en Autriche sur ces sujets, puisque l’extrême gauche verte est obligée de faire de même. En ce sens, et dans ce domaine, le FPÖ a déjà en partie gagné puisque c’est tout de même déjà un peu sa politique qui est appliquée par l’Autriche. Van der Bellen a toutefois maintenu sa ligne en faveur d’un fédéralisme européen et du « mariage gay » face au conservateur chrétien Norbert Hofer. [...]"

    Michel Janva  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Comment la laïcité dévoyée contribue à l’islamisation de la France, par Bruno Mégret

    La notion de laïcité, telle qu’elle est utilisée par le Système dans les débats sur l’immigration, se révèle être d’une grande ambiguïté. Normalement, la laïcité devrait conduire à contester l’islam qui est réfractaire à ce concept et à reconnaître son incompatibilité avec les principes qui régissent notre société.

    Lorsque, il y a de nombreuses années, je me suis rendu compte que l’immigration massive allait générer un processus d’islamisation, j’ai pensé que cette nouvelle donne pouvait progressivement faire éclater le consensus de la classe politique et médiatique en faveur de la politique d’immigration à tout va.Car c’est l’idéologie officielle des tenants du Système qui se trouvait ainsi mise en cause par l’islam et bien au-delà, d’ailleurs, de la laïcité. L’égalité des citoyens compromise par le statut d’infériorité réservé aux femmes, la démocratie contestée par la légitimité de la loi divine, les valeurs des lumières réfutées par la confusion du politique et du religieux, il était clair que l’islam n’était compatible ni avec la République ni avec les droits de l’homme. Dès lors, on pouvait penser que ceux qui défendaient ces principes, les tenants de l’idéologie politiquement correcte, ne pourraient que s’inquiéter de la montée de l’islam et, ce faisant, rejoindre ceux qui contestaient la politique d’immigration massive suivie jusqu’alors.

    Certains l’ont fait avec courage mais ils n’ont été qu’une petite minorité. L’essentiel du Système a choisi de rester sur une ligne immigrationniste et a entrepris un exercice idéologique acrobatique pour gommer les contradictions pourtant inhérentes à cette position. Pis : la manière dont ils manipulent leurs principes les amène aujourd’hui à transformer la laïcité en un instrument qui détruit notre identité et qui assure, en revanche, la promotion de l’islam.

    Ils ont en effet dénaturé la notion même de laïcité en y introduisant une idée d’égalité : l’idée que l’Etat et les pouvoirs publics doivent traiter également toutes les religions. Or cette dimension égalitaire, qui n’est nullement contenue dans le concept de laïcité, est naturellement celle qui est la plus utilisée par les tenants du politiquement correct. Lesquels vont dès lors utiliser la laïcité pour mettre sur le même plan la religion chrétienne et la religion musulmane, ce qui les conduit à faire reculer la première et à assurer la promotion de la seconde. N’est-ce pas d’ailleurs ce que l’on observe tous les jours ? L’islam est au centre des préoccupations des médias quand le christianisme en est pratiquement absent.

    C’est en effet au nom de la laïcité, remise à l’honneur par la montée de l’islam, que le Système s’en prend maintenant à toutes les manifestations publiques du christianisme avec comme objectif de l’évacuer totalement de la sphère publique. C’est, par exemple, au nom de cette logique que certains réclament l’interdiction des crèches à Noël, que d’autres veulent faire taire les cloches des églises et que d’autres encore font la chasse aux croix dans l’espace public. Pis : lorsqu’on veut réglementer une pratique de l’islam contraire à nos traditions, on cherche à s’en prendre symétriquement à l’une de nos coutumes : ainsi, l’interdiction du port du tchador sera-t-elle étendue à tous les signes religieux ostensibles, y compris, bien sûr, au port d’une croix, lequel ne posait pourtant aucun problème.

    De plus, cette vision d’un laïcisme symétrique et égalitaire conduit à nier la composante chrétienne de notre identité. Indépendamment de toute considération religieuse, que l’on soit catholique ou non, pratiquant ou non, personne ne peut nier pourtant que notre nation a été façonnée par le christianisme. Il suffit d’observer notre territoire si riche de calvaires, d’églises et de cathédrales, ou de s’intéresser au nom des lieux désignés pour beaucoup par le nom d’un saint, ou encore de se rappeler que les jours fériés correspondent pour la plupart à des fêtes chrétiennes. Or, si l’on nie cette réalité, si l’on cherche à l’occulter voire à la détruire au nom de la laïcité, on gomme tout un pan de notre identité face à l’identité conquérante de l’islam.

    En plaçant ainsi sur le même plan une religion qui a marqué notre nation pendant quinze siècles et une autre qui n’est présente dans l’Hexagone que depuis quelques décennies seulement, on assure une promotion extraordinaire à l’islam, lui conférant de ce fait un statut de tout premier plan au sein de notre pays. Dévoyée par les tenants du Système, la laïcité conduit dès lors, indirectement et paradoxalement, à renforcer l’islam en l’installant et en le légitimant sur notre sol, tout en érodant par ailleurs notre propre identité.

    Aussi, pour combattre la montée de l’islam faut-il sortir du schéma politiquement correct, car les valeurs républicaines comme celle de la laïcité ne sont pas suffisantes pour asseoir intellectuellement une opposition claire à l’islamisation de notre pays.

    Sur le plan idéologique, c’est bien le recours au concept d’identité qui permet de lever toutes les ambiguïtés. L’islamisation doit être combattue car l’islam n’est pas compatible avec notre identité, ni sur le plan historique, ni sur le plan religieux, ni sur le plan des valeurs. En clair, il ne procède pas de la même civilisation. Et la défense, ô combien légitime, de notre propre civilisation nous impose donc d’empêcher l’islam de s’installer massivement sur notre sol.

    Bruno Mégret

    Texte repris du site de la Fondation Polémia

    http://fr.novopress.info/

  • L’immigration, un business lucratif – Ces associations qui vivent de subventions…

    Le 23 novembre, l’Assemblée nationale a voté les  » jaunes budgétaires « , ces annexes du projet de loi de finances (PLF). Il s’agit de l’affectation annuelle de subventions accordées par les différents ministères à des associations de leur choix. Ce qui ressemble fort à une distribution de l’argent du contribuable à un petit club de copains.

    Et comme la transparence n’est pas une vertu politique très partagée, le citoyen qui voudrait connaître la liste des heureuses associations gagnantes devra parcourir trois volumineux rapports faits de tableaux et de chiffres sur un total de 1.400 pages. Les plus motivés n’auront cependant accès à ces documents qu’avec un temps de retard. De quoi nous permettre de vous divulguer quelques chiffres des subventions accordées en 2015.

    Dans cet article, nous limiterons notre attention aux associations ayant un lien direct ou indirect avec l’immigration. Une thématique très lucrative, comme vous allez pouvoir vous en rendre compte.

    • France Terre d’Asile : 348.000 euros de subventions
    • Association de Service Social et Familial des Migrants (ASSFAM) : 177.000 euros de subventions
    • Association d’aide aux travailleurs migrants de la région Nord : 90.000 euros de subventions
    • Inter-Service des Migrants : plus de 50.000 euros de subventions
    • Croix-Rouge : 50.500 euros de subventions pour son programme  » Immigration et Asile « 
    • Migrations Culturelles Aquitaine : 30.000 euros de subventions pour  » donner une visibilité aux expressions artistiques des Afriques « 
    • Réseau aquitain sur l’Histoire et la Mémoire de l’Immigration : 30.000 euros de subventions
    • Forum réfugié de Villeurbanne : 20.000 euros de subventions
    • Groupe d’information et de soutien aux immigrés : 12.500 euros de subventions

    La liste n’est pas exhaustive, car il faudrait des journées entières pour décortiquer les rapports officiels. Ces chiffres ne tiennent pas compte des subventions accordées à d’autres niveaux (conseil général, conseil régional, conseil municipal).

    Enfin, il convient d’ajouter à cela les professionnels de l’antiracisme:

    • SOS Racisme : près de 400.000 euros de subventions
    • La Maison des Potes : 115.000 euros de subventions
    • MRAP : près de 30.000 euros de subventions
    • LICRA : 550.000 euros de subventions 

    http://www.medias-presse.info/limmigration-un-business-lucratif-ces-associations-qui-vivent-de-subventions/65717/

  • Un « migrant » mineur tue une jeune Allemande : Merkel a du sang sur les mains

    Venu en Allemagne en provenance d’Afghanistan en tant que « mineur non accompagné », le monstre a pu bénéficier de la générosité de nos voisins d’outre-Rhin.
    Le 16 octobre dernier, le corps inanimé de Maria L. était retrouvé sur les bords de la rivière Dreisam, à Fribourg. Cette jeune femme de 19 ans menait une existence insouciante d’étudiante en médecine, privilège d’une jeunesse interrompue trop tôt par un criminel qui n’aurait jamais dû se trouver sur le sol allemand.

    Venu en Allemagne en provenance d’Afghanistan en tant que « mineur non accompagné », le monstre a pu bénéficier de la générosité de nos voisins d’outre-Rhin, trouvant refuge dans une famille d’accueil… Quelques mois plus tard, en guise de remerciements, il assassinait et violait une jeune fille innocente. Il a heureusement été confondu par son ADN retrouvé sur les lieux du crime. Un autre crime à caractère sexuel s’est également produit dans le secteur en novembre. L’enquête dira s’il s’agissait du même auteur.

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