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immigration - Page 1026

  • Réfugiés en vacances : la presse n'en parle pas

    Hier, le Salon Beige relayait cette enquête du Welt am Sonntag qui montrait que des migrants retournaient dan leurs pays... pour les vacances, et avec des aides sociales.

    Les médias allemands en parlent beaucoup

    Ainsi que la presse anglaise

    Et en France ?

    Michel Janva

  • À la demande de l’UOIF, l’État renonce à la liberté de changer de religion

    D’un coté, la république pour les Français non musulmans, et de l’autre, pour les Français musulmans les règles de la charia.

    Avec le rapport d’information n° 757, session extraordinaire de 2015-2016, enregistré à la présidence du Sénat le 5 juillet 2016 sur l’organisation, la place et le financement de l’islam en France et de ses lieux de culte – de même qu’avec la création, en 2005, du CFCM (Conseil français du culte musulman) -, il a été répondu à une fonction symbolique :« Assurer la visibilité du culte musulman au même titre que les autres cultes. »

    Il s’agissait, selon la formule reprise autant par M. Jean-Pierre Chevènement que M. Nicolas Sarkozy (en son temps),« d’asseoir l’islam à la table de la République ». Dans ce sens, les organisations voulant participer à sa création devaient accepter un texte rappelant les principes de la laïcité.

    En introduction de ce rapport, on peut lire : « La situation nationale et internationale de ces derniers mois, de ces dernières années, a placé – bien malgré elle – la communauté musulmane vivant en France au cœur de débats et d’interrogations provoqués par l’amalgame trop fréquent entre l’islamisme radical et l’islam. »

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  • RASSEMBLEMENT PATRIOTE À BUZANÇAIS !

    Buzançais, petite ville de de l’Indre de moins de 4500 habitants, s’est vue imposée il y a quelques mois un centre d’accueil pour immigrés, logés dans l’ancienne gendarmerie de la commune, suscitant la fronde de la totalité des élus de la commune, ainsi que des Buzancéens dont certains ont organisé depuis des mois une résistance locale à cet énième projet de colonisation.

    Dimanche dernier, dans le secteur de Buzançais, une trentaine de patriotes se sont réunis à l’occasion d’un banquet convivial et fédérateur. Étaient représentés à cette occasion la Dissidence Française, le Front de Défense de la France ainsi que le Parti de la France. Plusieurs Buzancéens en colère ont fait le déplacement et ont pu recevoir notre soutien total dans leur lutte pour préserver la quiétude de leur commune. Le bras de fer ne fait que commencer !

    Voici quelques photos prises à l’occasion de ce rassemblement.

     

    https://la-dissidence.org/2016/09/08/rassemblement-patriote-a-buzancais/

  • Pendant les assassinats, l’invasion continue

    Que nous disent les rapports de l’OFPRA et de la CNDA pour l’année 2015 ?

    ♦ André Posokhow, consultant Polémia, nous en donne l’analyse.

    L’actualité est dévastatrice : attentats meurtriers, invasion de l’Europe, progression de l’islamisation dans notre pays, guerre au Moyen-Orient, réactivation du front en Libye, discrédit de gouvernants accrochés à leur poste comme des moules à leur rocher. On pourrait penser que ces événements perturberaient la marche ronronnante de nos administrations en charge de l’immigration et de la gestion du droit d’asile.

    Tel n’est pas le cas.

    Développement de l’activité, accroissement des moyens, complicité affective avec l’invasion allogène et autosatisfaction ressortent de la lecture des rapports pour l’année 2015 de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) et de la Cour nationale du droit d’asile (CNDA).

    L’année 2015 a vu une forte poussée des demandes d’asile et une hausse du taux de décisions favorables

    Alors que le niveau de la demande d’asile s’était stabilisé, l’année 2015 a connu une reprise : 80.075 demandes d’asile (mineurs inclus) ont été déposées, soit une hausse de 23,6%. Celle-ci résulte pour l’essentiel du contexte de crise de l’asile que connaît l’Europe depuis la mi-2015.

    Elle correspond pour une bonne part à une démarche en faveur de l’asile à Calais (près de 2.500 demandes enregistrées pendant l’année à l’Ofpra) et en faveur des personnes mises à l’abri depuis les campements parisiens (plus de 5.000 personnes). On constate ainsi une soumission de cette administration à la politique du fait accompli et de l’occupation spontanée, pratiquée par les migrants et les associations qui les conseillent.

    De même la CNDA a connu, en 2015, une période d’intense activité avec 38.674 recours enregistrés.

    L’Ofpra se targue d’un taux de « protection », c’est-à-dire du nombre de décisions favorables (nous sommes en pleine novlangue), passé de 12,8% en 2013 à 22,9% en 2015.

    Au final, 26.818 personnes ont été « protégées » en 2015 et ce sont 206.172 personnes (à peu près l’équivalent de la ville de Rennes) qui sont estimées être sous « protection » de l’Ofpra (hors mineurs accompagnants) au 31/12/ 2015. Rassurez-vous il ne s’agit pas des Français que l’on massacre.

    La clientèle : des réfugiés ou des migrants ?

    Toute personne qui sollicite l’asile en France peut obtenir l’une ou l’autre des deux formes de protection, la seconde étant une extension de la première.

    – le statut de réfugié reconnu, conformément à l’article L. 711-1 du CESEDA :

    • en application de la Convention de Genève du 28 juillet 1951 qui définit le réfugié comme « toute personne (…) craignant avec raison d’être persécutée du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalité, de son appartenance à un certain groupe social ou de ses opinions politiques,…  » ;
    • en application du préambule de la Constitution, « à toute personne persécutée en raison de son action en faveur de la liberté » ;

    – la protection subsidiaire conformément à l’article L.712-1 du CESEDA est octroyée à la personne qui ne remplit pas les critères ci-dessus mais qui établit « qu’elle est exposée dans son pays à la peine de mort, à la torture ou à des peines ou traitements inhumains ou dégradants, ou, s’agissant d’un civil, à une menace grave, directe et individuelle contre sa vie ou sa personne en raison d’une violence généralisée résultant d’une situation de conflit armé interne ou international ».

    On assiste ainsi à un élargissement voire une dérive illimitée de l’ouverture du droit d’asile. Quelques exemples de profil trouvés dans le rapport de l’Ofpra le montrent aisément :

    – SOUDAN : 5.115 dossiers. La demande soudanaise est devenue pour la première fois le premier flux des demandes déposées en France en 2015. Elle s’exprime dans sa grande majorité par des personnes d’origine africaine du Darfour, qui fondent leur demande de protection sur leur origine ethnique. Peu de personnes invoquent un engagement personnel au sein de mouvements rebelles ;

    – PAKISTAN : 1.842 dossiers. L’actualité n’a que peu d’incidence sur les motifs des demandes : problématiques concernant des unions contrariées ayant pour origine la différence de confession ou une mésentente entre familles, auxquelles se greffe fréquemment un fond de divergence politique ; conflits fonciers, parfois en lien avec l’appartenance confessionnelle ; tentatives de recrutement forcé de la part de mouvances fondamentalistes ;
    – SÉNÉGAL : 393 dossiers. Les problématiques sociétales représentent l’essentiel de la demande d’asile. De nombreuses demandes sont fondées sur un risque de mutilation génitale féminine, d’un mariage forcé ou des craintes liées à l’orientation sexuelle du demandeur d’asile.

    Cet élargissement va plus loin avec la prise en compte des Mineurs isolés étrangers (MIE) dont Polémia (*) a déjà rendu compte et qui prend une extension inquiétante, et surtout de l’orientation sexuelle, motif le plus fréquemment invoqué dans le cas du Cameroun, qui constitue pour la CNDA, organisme très proche du Conseil d’Etat, un thème de prédilection.

    Comme disait le président Pompidou : « Lorsque les bornes sont franchies, il n’y a plus de limites ». C’est le cas aujourd’hui et nous voyons s’immiscer et s’imposer les concepts de réfugié économique et surtout de réfugié climatique et environnemental particulièrement prôné par François Gemenne qui se présente comme un géopoliticien du changement climatique et est surtout un propagandiste de l’invasion migratoire dans les pays civilisés.

    L’Ofpra et la CNDA représentent un ensemble juridico-administratif considérable

    Les deux organismes regroupent plus de 1.000 personnes sur plusieurs sites, effectif en constante augmentation : 575 agents pour l’Ofpra, 363 agents, 15 magistrats et 246 vacataires ou assesseurs pour la CNDA. Celle-ci s’enorgueillit d’être la première juridiction administrative de France en nombre de décisions rendues.

    Le budget global des deux organismes s’élève à environ 57M€. Il faut souligner que la CNDA est rattachée administrativement et budgétairement au Conseil d’Etat dont Jean Louis Harouel dit qu’il a trahi le peuple français au nom de la religion des droits de l’homme en revenant à une «  prêtrise judiciaire » et qui vient de se distinguer dans l’affaire du burkini.

    Le bureau d’aide juridictionnelle de la CNDA a enregistré 29.181 demandes d’aide juridictionnelle. Ce nombre est en hausse constante et importante depuis plusieurs années.

    La loi sur le droit d’asile a institué, devant la CNDA, une aide juridictionnelle de plein droit, sauf si le recours est manifestement irrecevable.

    Le taux d’assistance des requérants par un avocat est en augmentation constante et c’est un millier d’avocats qui se constituent annuellement devant la Cour dans des conditions particulièrement profitables.

    Une particularité de la Cour est de mettre gratuitement à la disposition du requérant, pour l’assister à l’audience, un interprète. Les requérants étant essentiellement non francophones, plus de 320 interprètes assermentés, extérieurs à la Cour, sont intervenus cette année. Ils ont assuré 12.500 vacations dans 120 langues avec des variantes régionales. Les langues lingala, albanaise, bengalie, tamoule, arménienne et peule ont été principalement demandées. Il en va de même à l’Ofpra où 83% des auditions, soit 40.000 auditions des demandeurs, ont été réalisées à l’aide d’interprètes.

    Cette situation est démente. Au nom de principes de l’asile bafoués de manière permanente par des « réfugiés » qui sont pour la plupart des demandeurs économiques, on immobilise plus de 1.000 agents de statuts divers et des sommes importantes sont engagées pour maintenir en permanence ouverte une porte aux flots de l’invasion.

    L’Ofpra et la CNDA ont en charge la préparation et la mise en œuvre de la loi sur le droit d’asile du 29 juillet 2015

    La loi asile de juillet 2015 confère de nouveaux droits aux demandeurs d’asile :

    -systématisation de l’entretien dans le cadre de l’instruction de la première demande ;
    -faculté pour le demandeur d’être accompagné par un avocat ou un représentant d’association. La liste de celles-ci figure sur le site de l’Office ;
    -enregistrement sonore de l’entretien ;
    -communication de la transcription de l’entretien ;
    -identification des vulnérabilités ;
    -possibilité de l’utilisation de la vidéoconférence.

    Que de droits supplémentaires et de moyens offerts au demandeur qui est plus considéré comme un créancier au moins moral que comme le quémandeur d’un séjour dans un pays qui n’est pas le sien ! On n’est pas certain que les identitaires arrêtés lors de manifestations aient eu droit à autant d’égards.

    Mieux : la préfecture peut décider du placement en procédure accélérée lorsque le demandeur :

    -refuse de se conformer à la prise des empreintes digitales ;
    -a présenté de faux documents ou a dissimulé des informations relatives à son identité, sa nationalité ou ses modalités d’entrée en France ;
    -s’est présenté à la préfecture en vue de faire enregistrer une demande d’asile plus de 120 jours après la date de son entrée en France ;
    -la demande d’asile n’est présentée qu’en vue de faire échec à une mesure d’éloignement ;
    -la présence en France du demandeur constitue une menace grave pour l’ordre public, la sécurité publique ou la sûreté de l’Etat.

    Non mais on rêve, on cauchemarde ! Voilà des allogènes qui ont la chance de pouvoir entrer dans le pays d’une des plus grandes civilisations du globe, qui mentent, trichent, se rebellent ou constituent une menace et la seule sanction pourrait être une procédure accélérée ! Mais ce que nous proposons à Polémia, et nous ne sommes pas les seuls, c’est de les reconduire aux frontières de leur interdire à jamais l’accès au dispositif de l’asile et, si nécessaire, de les sanctionner voire les incarcérer, dans l’attente d’une expulsion !

    La durée moyenne de traitement des premières demandes a un peu baissé et est de 265 jours en moyenne, soit près de 9 mois. Les demandes peuvent faire l’objet de contentieux devant la CNDA, le Conseil d’Etat, la Cour de justice de l’UE, la Cour européenne des droits de l’homme. Le délai moyen des jugements de la CNDA est d’environ 7 mois.

    Tout cela est long, dispendieux et ne peut que contribuer à encombrer un dispositif déjà engorgé et souvent dénoncé par Eric Ciotti. Tout le système est à réformer et changer de fond en comble. Il ne s’agit pas ici de préparer des textes de loi mais il n’est pas interdit de formuler quelques propositions de base :

    -abolir la loi socialo-gauchiste sur l’asile du 29 juillet 2015 ;
    -considérer que les demandeurs d’asile se doivent d’être modestes, respectueux de nos lois et de nos usages et en cas de « protection » présents sur notre sol d’une manière temporaire ;
    -instruire les demandes dans nos consulats installés dans le pays d’origine du demandeur ;
    -supprimer les pompes aspirantes sociales accordées aux demandeurs d’asile ;
    -suppression de la CNDA et déjudiciarisation de la procédure ;
    -modification profonde de la composition de l’Ofpra.

    L’Ofpra et la CNDA sont-ils des organismes administratifs français ou des officines immigrationnistes ?

    Affirmer que l’Ofpra et la CNDA ne sont que des officines immigrationnistes ne correspondrait pas complètement à la réalité. Ces organismes effectuent un travail considérable et difficile en application de lois qu’ils ne font pas, même s’il leur arrive de les inspirer quelque peu. Le taux d’admission est de moins du quart des demandes. Ils n’ouvrent pas la porte grande ouverte.

    Cependant, cette porte, ils se gardent bien de la fermer malgré le raz-de-marée migratoire. C’est surtout l’état d’esprit de ces deux maisons, fortement influencées par le Conseil d’Etat et leur action en dehors de la routine des instructions individuelles qui montrent que la protection du sol et des citoyens français n’est pas leur souci majeur.

    Donnons quelques exemples parmi d’autres :

    • L’Ofpra a, en 2015, effectué 5 missions au Liban, en Egypte et en Jordanie pour protéger 1.000 personnes signalées par le HCR comme se trouvant en particulière vulnérabilité. Ce dispositif leur permet de gagner l’Europe sans perdre la vie. En l’occurrence l’Ofpra n’agit pas comme une barrière sévère et néanmoins bienveillante, mais va chercher les migrants outre-mer. Ce n’est plus la même chose !
    • Selon le rapport de l’Ofpra, celui-ci a contribué, avec ses partenaires institutionnels et associatifs, à installer durablement une culture de l’asile à Calais et également à la Grande-Synthe et dans les campements parisiens. En d’autres termes, allié des associations immigrationnistes, l’Ofpra, organisme administratif français, se place du côté de clandestins pour pérenniser une intrusion.
    • Toutes les opérations de communication, et elles sont nombreuses, sont menées dans un état d’esprit favorable aux migrants et à l’immigration.

    En définitive, les rapports de l’Ofpra et de la CNDA montrent que, si ces deux organismes administratifs ne se veulent pas complètement étrangers à la protection des frontières de notre pays et la protection de nos concitoyens, ils placent ces objectifs loin derrière les intérêts des demandeurs d’asile et l’idéologie multiculturaliste du globalisme.

     A ce titre et par leur état d’esprit que reflètent leurs actions de communication, ils constituent un vecteur efficace de l’immigrationnisme bien au-delà de leur mission juridico-administrative.

     Le directeur général de l’Ofpra dans la conclusion du rapport de 2015 a souhaité affirmer que : « L’Ofpra entend rester plus que jamais mobilisé en 2016 au service des demandeurs d’asile et des réfugiés, au côté de ses partenaires et dans le plus absolu respect de son indépendance de décision désormais consacrée par la loi ».

     Cette affirmation d’indépendance de la part d’un organisme administratif apparaît particulièrement choquante et, pour le coup, contraire, non pas aux valeurs de la République dont on nous rebat les oreilles, mais à ses principes fondamentaux de subordination de l’administration au politique et surtout au peuple français qui est bien oublié dans cette affaire.

     André Posokhow Consultant Polémia 9/09/2016

    Note : La rumeur du 9-3 : la preuve par les mineurs isolés étrangers (17/04/2014)

    http://www.polemia.com/pendant-les-assassinats-linvasion-continue/

  • L’Islamisation c’est l’introduction progressive des règles de la charia dans notre société…

    Qu’est ce que l’islamisation ?
    L’Islamisation c’est l’introduction progressive des règles de la charia dans notre société…

    Interdiction du porc dans les cantines, rayon halal dans les magasins, port du vêtement islamique, etc, tout cela fait partie de la charia;
    Ces règles sont d’ores et déjà en vigueur en France, tout comme la finance islamique introduite en France sous le gouvernement Sarkozy par la ministre Christine Lagarde !

    Ces dernières années, la France (et l’Europe) s’islamise à vitesse grand V, les lois de la charia REMPLACENT celles de la République, celles de notre société occidentale

    Parmi les autres lois de la charia il y a, entre autre, la lapidation ainsi que le mariage des petites filles de 9 ans….

    C’est un droit et un DEVOIR pour nous européens de défendre notre pays, de défendre notre société, de défendre notre culture, de défendre notre liberté contre des gens qui tentent d’introduire la charia dans notre société.

    France - Revolution 

    http://philippedelbauvre.blogspot.fr/

  • « Ils » ont la gueule de bois? 2016-2017, la période de tous les possibles!

    Un  document de la commission des affaires étrangères du Parlement britannique, rendu public hier,  pointe les conséquences de l’intervention militaire contre la Libye en 2011, voulue en France  par Nicolas Sarkozy,  soutenue par son ministre des Affaires étrangères Alain Juppé, et à laquelle se rallia David Cameron. Le rapport note Le Monde, « met en cause le processus de décision qui a transformé une intervention censée venir en aide à des civils, à Benghazi, menacés par la répression du colonel Mouammar Kadhafi – une menace surestimée, affirment les députés –, en une opération visant le régime. » Il est fait état  également de  « la pression  des Libyens exilés en France disposant d’alliés au sein de l’establishment intellectuel français »…comment ne pas penser en effet  au  rôle très nocif joué dans cette tragédie par le « philosophe » pipo(le)  BHL. Le rapport de 49 pages conclut très sévèrement mais très justement  que « le résultat de l’intervention des Français, des Britanniques et des Américains (fut)  un effondrement politique et économique, des affrontements entre milices et tribus, des crises humanitaires et migratoires, des violations des droits de l’homme à grande échelle, la dissémination des armes du régime de Kadhafi dans toute la région et l’expansion de l’Etat islamique en Afrique du Nord. »

    Les pontes de l’Europe bruxelloise seront eux aussi très sévèrement jugés par l’Histoire au regard de leur aveuglement coupable, de leur dogmatisme , de leur incapacité si ce n’est  à comprendre, du moins  à entendre les peuples dont ils entendent guider les destinées vers le paradis supranational…

    « Bien fol qui ne s’enivre jamais » disait Rabelais…qui ne s’enivre jamais à grand coup de doxa européiste pourrait affirmer Jean-Claude Juncker, président de la Commission européenne, qui  tenait hier son second discours sur « L’état de l’Union« . Dans  une sorte d’inventaire à la Prévert,  il a  annoncé le déploiement, de la 5 G en 2025, le doublement (bien hypothétique…) du « plan Juncker » pour soutenir les investissements des entreprises, sa volonté de permettrre aux commissaires européns de cumuler les mandats en se présentant aux élections…Il ne s’est pas arrêté en si » bon chemin » en militant pour la création d’ un « corps européen de solidarité »  qui rémunérerait 100 000 jeunes (qui paiera?) et qui serait activé en cas de crise; il appelé aussi de ses vœux « un quartier général militaitre commun » aux pays de l’UE car celle-ci « ne peut plus se permettre de dépendre des capacités de défense de pays individuels »; la création imminente d’un « fonds européen de la défense » , mais aussi la mise en place d’un « véritable ministre européenne des Affaires extérieures », qui parlerait au nom de tous les Etats membres…

    Sans surprise,  M. Juncker a appelé à dépasser la « crise existentielle » générée par le Brexit,  n’a pas remis en cause l’accueil de l’immigration massive,  et  a exhorté  les gouvernements à résister aux aspirations souverainistes, identitaires de leurs citoyens, aux « populismes. »

    Comme le notait récemment un article paru sur slate.fr, « l’Union européenne a tout pour être une cible préférentielle du FN, qui peut la désigner avec crédibilité comme un artefact supranational, postdémocratique, technocratique, turbocapitaliste. » Bref, « Jamais Marine Le Pen, Florian Philippot ne pourront faire mieux que José Manuel Barroso et Jean-Claude Juncker pour écœurer l’opinion publique de la construction européenne »!

    Cette fébrilité des euromondialistes s’explique  aussi par le calendrier  électoral dans les mois à venir,  lourd de menaces pour les tenants du Système bruxellois. Au délà du cas de l’Espagne qui verra sans doute se dérouler des législatives avant la fin de l’année, se tiendra  cet automne   en Italie   un référendum constitutionnel. Le chef du gouvernement Matteo Renzi (élu par ses pairs et non  par les urnes),  a déclaré qu’en cas de vote négatif il remettrait sa démission. Ce qui aurait pour effet  de déclencher  des élections législatives au printemps 2017, dans un contexte, comme l’ont prouvé les  municipales de juin dernier,  de regain de forme de la formation eurosceptique et anti euro  Mouvement cinq étoiles, (Movimento 5 Stelle) et avec une Ligue du Nord qui continue de peser dans ses bastions.

    Sur décision de la cour suprême autrichienne, octobre verra le peuple autrichien revoter pour désigner son président de la République, suite aux fraudes qui avaient entaché le deuxième tour au détriment du sympathique  candidat des nationaux du Fpö, Norbert Hofer. Une victoire possible qui consoliderait la naissance, au sein de la Mitteleuropa,  d’un bloc de nations ( Pologne, Autriche, Hongrie, Tchéquie) qui se réclament et entendent défendre avec fierté les racines helléno-chrétiennes de l’Europe,   dirigées par des patriotes souverainistes,  des nationaux-conservateurs…  des « réactionnaires » selon la terminologie des grands prêtres du clergé progressiste européiste. Un véritable  cauchemar pour certains!

    En mars 2017,   les Néerlandais désigneront leurs députés, élections législatives que  le PVV antibruxellois et anti-immigration   de Geert Wilders  peut gagner.   Rappelons qu’une pétition rassemblant au moins  300.000 Néerlandais rendrait possible la tenue d’un référendum (certes consultatif)  sur l’adhésion des Pays-Bas à l’UE.  Un nouveau gouvernement Wilders l’écarterait-il, a fortiori après le précédent britannique?  Cela donnerait en tout cas  des ailes aux eurosceptiquesDanois et Suédois

    En avril et en  juin de l’année prochaine,  Marine et le FN porteront bien évidemment en France tous  les espoirs du camp patriotique à la présidentielle et aux législatives.  L’Allemagne bouclera  en septembre 2017 ce cycle électoral  avec les législatives (die Bundeswahlen). Le parti souverainiste et identitaire  de Frauke Petry, l’AFD,  peut confirmer  à cette occasion sa spectaculaire percée de ces derniers mois, nos cousins germains imitant alors  en cela leurs cousins Autrichiens…

    Il va sans dire également que le score qui sera celui de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine de novembre, face à la candidate chouchou de la Commission européenne,  de Goldman Sachs   et de Davos,  participera au climat général des mois à venir, que Bruno Gollnisch espère riches en rebondissements  et  en heureux évènements! L’Europe des patries n’a pas dit son dernier mot!

    http://gollnisch.com/2016/09/15/ont-gueule-de-bois-2016-2017-periode-de-possibles/

  • Ouvrir des mosquées salafistes oui, laisser Zemmour parler, non

    Le PS a le sens des priorités :

    "Benoît Payan, président du groupe PS à la ville de Marseille, a ainsi écrit mercredi 14 septembre au maire Jean-Claude Gaudin. [...]

    Comme vous, je suis profondément attaché à la liberté d’expression. Comme vous, je crois que c’est par la diversité des opinions que s’affermît le socle républicain. Mais comme vous,je n’accepte ni le racisme ni l’antisémitisme qui dans notre pays ne sont pas des opinions. En France, ce sont des délits et en l’espèce, Monsieur Zemmour est un récidiviste.

    Et l'élu marseillais de justifier la demande d'annulation de cette conférence au motif qu'elle serait à ses yeux "susceptible d’occasionner de graves troubles à l’ordre public".

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Une seule solution pour les migrants : « le retour au pays »

    1266578810.jpgRichard Roudier

    Ligue du Midi.

    Ca y est, la nouvelle est tombée le 13/09/16 : un document confidentiel du Ministère de l’intérieur concernant le démantèlement de la Jungle de Calais vient d’être rendu public par le Figaro : « Le schéma de mobilisation des places d’hébergement sur l’ensemble du territoire a été validé », annonce ce document. Dans les faits, cela signifie que partout en France, des CAO (Centres d’Accueil et d’Orientation) vont devoir être créés pour accueillir toujours plus de migrants.

    Les places à créer devront être nombreuses, pour désengorger la « jungle » de Calais, afin de répartir les clandestins (de 7 000 à 18 000 selon les sources) sur l’ensemble du territoire. Au total, d’après Cazeneuve, 12 000 places sont à trouver en France. Sur l’ensemble du territoire ? Pas si sûr ! Selon les informations du Figaro, deux exceptions sont toutefois à noter dans la répartition : la région Ile-de-France déjà lourdement empêtrée sur la question de l’hébergement des migrants, et la Corse. Selon l’analyse du quotidien national, le gouvernement tient compte des récents évènements survenus sur l’île de beauté, et notamment l’épisode du saccage d’une salle de prière musulmane à Ajaccio et la rixe autour du burkini à Sisco. Rappelons que le burkini, le voile ou la burka, contrairement à ce que veulent nous faire avaler les islamo-gauchistes, ne sont pas de simples morceaux de tissu, mais des étendards de ralliement à l’islamisme. Les Corses ont compris ça! Comme quoi si l’on veut être pénard, rien ne vaut un bon trouble à l’ordre public.

    Pour l’heure, les préfets sont en attente d’une liste des sites qui pourront être mobilisés pour faciliter l’accueil. Il s’agit notamment « des centres gérés par des grandes entreprises publiques ou des groupes de tourisme social ». « La liste devra être remontée sans que soit au préalable recherché l’accord avec des élus locaux » (sic), indique le document ministériel adressé aux préfets. Ce mardi, sur France Inter dans la matinale de Patrick Cohen, on a pu entendre le maire d’une commune de 2500 habitants qui voulait organiser un référendum sur l’obligation faite par le préfet d’accueillir 70 migrants. Le préfet rétorquait que le référendum était illégal parce que “cette question n’était pas une affaire communale “ (Quand va-t-on se débarrasser enfin des préfets ? Cette institution ringarde que le monde entier ne nous envie pas…).

    La région Occitanie, sera la 3ème région de France qui devra accueillir le plus de migrants avec, d’ici la fin de l’année, 1 445 personnes, contre 354 accueillies à ce jour (chiffres officiels). Pour atteindre ces 1 445 places, il faudra donc 1 091 places supplémentaires à créer, et à répartir dans différents CAO. A Montpellier, deux sites sont à privilégier, le Centre situé derrière le lycée Mermoz et l’ancienne gendarmerie de la route de Lodève.

    Une bonne nouvelle –il était temps- : la droite parlementaire en région semble se lever contre la dissémination de la jungle le Calais. On se souvient de la réaction, la semaine dernière, de Forges-les-Bains, cette petite ville de 4000 habitants de l’Essonne, où, à la suite d’une réunion houleuse, le futur Centre d’Accueil des Migrants était incendié. Dans un communiqué la municipalité, sans étiquette, expliquait que ”la commune n’avait pas été consultée” pour l’ouverture du centre et assurait subir un diktat de l’État.

    Le pouvoir socialiste qui voit se profiler à l’horizon la débâcle électorale de 2017 prend, chaque jour un peu plus, une posture autoritaire, voire dictatoriale, très éloignée de son discours lénifiant droit de l’hommiste. La Ligue du Midi invite les maires à utiliser tous les recours juridiques face aux oukases préfectoraux, et à ne pas hésiter à se tourner vers la population en organisant des consultations locales. N’oublions jamais que nous sommes la majorité et qu’aucun compromis n’est négociable pour la survie de notre peuple…

    Pas de mini-jungle de Calais chez nous !

    Une seule solution pour les migrants : le retour au pays !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Une seule solution pour les migrants : « le retour au pays »

    1266578810.jpgRichard Roudier

    Ligue du Midi.

    Ca y est, la nouvelle est tombée le 13/09/16 : un document confidentiel du Ministère de l’intérieur concernant le démantèlement de la Jungle de Calais vient d’être rendu public par le Figaro : « Le schéma de mobilisation des places d’hébergement sur l’ensemble du territoire a été validé », annonce ce document. Dans les faits, cela signifie que partout en France, des CAO (Centres d’Accueil et d’Orientation) vont devoir être créés pour accueillir toujours plus de migrants.

    Les places à créer devront être nombreuses, pour désengorger la « jungle » de Calais, afin de répartir les clandestins (de 7 000 à 18 000 selon les sources) sur l’ensemble du territoire. Au total, d’après Cazeneuve, 12 000 places sont à trouver en France. Sur l’ensemble du territoire ? Pas si sûr ! Selon les informations du Figaro, deux exceptions sont toutefois à noter dans la répartition : la région Ile-de-France déjà lourdement empêtrée sur la question de l’hébergement des migrants, et la Corse. Selon l’analyse du quotidien national, le gouvernement tient compte des récents évènements survenus sur l’île de beauté, et notamment l’épisode du saccage d’une salle de prière musulmane à Ajaccio et la rixe autour du burkini à Sisco. Rappelons que le burkini, le voile ou la burka, contrairement à ce que veulent nous faire avaler les islamo-gauchistes, ne sont pas de simples morceaux de tissu, mais des étendards de ralliement à l’islamisme. Les Corses ont compris ça! Comme quoi si l’on veut être pénard, rien ne vaut un bon trouble à l’ordre public.

    Pour l’heure, les préfets sont en attente d’une liste des sites qui pourront être mobilisés pour faciliter l’accueil. Il s’agit notamment « des centres gérés par des grandes entreprises publiques ou des groupes de tourisme social ». « La liste devra être remontée sans que soit au préalable recherché l’accord avec des élus locaux » (sic), indique le document ministériel adressé aux préfets. Ce mardi, sur France Inter dans la matinale de Patrick Cohen, on a pu entendre le maire d’une commune de 2500 habitants qui voulait organiser un référendum sur l’obligation faite par le préfet d’accueillir 70 migrants. Le préfet rétorquait que le référendum était illégal parce que “cette question n’était pas une affaire communale “ (Quand va-t-on se débarrasser enfin des préfets ? Cette institution ringarde que le monde entier ne nous envie pas…).

    La région Occitanie, sera la 3ème région de France qui devra accueillir le plus de migrants avec, d’ici la fin de l’année, 1 445 personnes, contre 354 accueillies à ce jour (chiffres officiels). Pour atteindre ces 1 445 places, il faudra donc 1 091 places supplémentaires à créer, et à répartir dans différents CAO. A Montpellier, deux sites sont à privilégier, le Centre situé derrière le lycée Mermoz et l’ancienne gendarmerie de la route de Lodève.

    Une bonne nouvelle –il était temps- : la droite parlementaire en région semble se lever contre la dissémination de la jungle le Calais. On se souvient de la réaction, la semaine dernière, de Forges-les-Bains, cette petite ville de 4000 habitants de l’Essonne, où, à la suite d’une réunion houleuse, le futur Centre d’Accueil des Migrants était incendié. Dans un communiqué la municipalité, sans étiquette, expliquait que ”la commune n’avait pas été consultée” pour l’ouverture du centre et assurait subir un diktat de l’État.

    Le pouvoir socialiste qui voit se profiler à l’horizon la débâcle électorale de 2017 prend, chaque jour un peu plus, une posture autoritaire, voire dictatoriale, très éloignée de son discours lénifiant droit de l’hommiste. La Ligue du Midi invite les maires à utiliser tous les recours juridiques face aux oukases préfectoraux, et à ne pas hésiter à se tourner vers la population en organisant des consultations locales. N’oublions jamais que nous sommes la majorité et qu’aucun compromis n’est négociable pour la survie de notre peuple…

    Pas de mini-jungle de Calais chez nous !

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  • Migrants : ce gouvernement se moque de nous !

    Sur injonction de Bruxelles, la France va répartir ses « réfugiés » migrants clandestins hors la loi dans ses villes et villages.
    C’est parti ! Sur injonction de Bruxelles, dont les « commissaires » sont bien au chaud dans leurs charentaises dorées, la France va répartir ses « réfugiés » migrants clandestins hors la loi dans ses villes et villages. Sans identité souvent, sans visa toujours, sans âge pour les ados qui préfèrent être traités comme mineurs, voilà que notre gouvernement va les choyer avec nos sous. « C’est l’État qui paie ». À raison d’un coût estimé entre 25 et 40 euros par jour, ces sans-loi mais grande foi pour Allah, hélas, vont être logés, nourris, qui dans un château comme à Allex (petit bourg de la Drôme), qui dans des foyers ou des appartements et hangars réquisitionnés. 

De qui se moque-t-on ? Manuel Valls cornaqué par François Hollande se moque de nous, et surtout de nos huit millions de pauvres. « Charité bien ordonnée commence par soi-même », nous dit la Bible. Mais il est vrai que ce n’est pas tellement leur livre de chevet. Alors, ils abandonnent l’idée de secourir nos milliers de SDF auxquels jamais ils n’auraient eu l’idée de proposer une résidence de châtelain. Et à la fin de cet hiver, le SAMU social nous annoncera que X sans-abri français sont morts sur nos trottoirs pendant que ces milliers de clandestins auront été hébergés à travers la France. A-t-on jamais proposé à des SDF de leur ouvrir les chambres d’un château ? Leur a-t-on ouvert un dortoir dans un hangar désaffecté et réhabilité à grands frais ?

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