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Joachim Véliocas : « Selon mes estimations, plus de 600 mosquées posent problème »
Mercredi, le gouvernement a décidé de fermer quatre mosquées jugées radicales. Coïncidence de dates ? Joachim Véliocas vient de publier une enquête intitulé Mosquées radicales. Ce qu’on y dit. Ce qu’on y lit.
Selon lui, si le ministère de l’Intérieur fermait toutes les mosquées qui « posent problème », celui-ci s’exposerait à des troubles ingérables.
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La solution pour endiguer les flux de migrants : retour en Afrique !
L’invasion migratoire devient un véritable casse-tête pour des politiciens européens démagogues en recherche de réélection et de popularité. Quant aux peuples européens, ils deviennent de plus en plus hostiles à ces vagues migratoires qui submergent leur pays.
Le discours immigrationniste à outrance ne fait plus recette : seul le pape François, accroché à ses illusions humanitaristes et philanthropiques à sens unique, l’utilise encore !
Féru des droits de l’homme et du droit d’asile, Thomas de Maizière, le ministre de l’Intérieur allemand du gouvernement de la chancelière vendue au mondialisme, Angela Merkel, a pourtant recadré, un peu, son message immigrationniste qui cadrait de moins en moins avec les aspirations des Germains. Pour faire face à cette immigration sauvage, il a donc lancé une proposition inusitée dans son milieu progressiste mais rabâchée depuis des lustres par les partis identitaires et nationalistes : les migrants « qui sont sauvés en Méditerranée doivent être ramenés en Afrique. »
Car selon lui, mais là-aussi les opposants à l’immigration-invasion le disent et le redisent depuis des années, cela décapiterait les organisations criminelles des trafiquants d’êtres humains : « Éliminer la propective de rejoindre l’Europe pourrait les décourager de risquer leur vie en affrontant un voyage dangereux. »
Pas fou dans ce monde politiquement correct auquel il est risqué de trop contrevenir, Thomas de Maizières ne ferme pas la porte totalement aux migrants : une fois ramenés en Tunisie, en Égypte ou autres pays d’Afrique du Nord, les migrants pourraient alors faire avancer leur demande d’asile qui, si elle aboutissait, leur consentirait de rejoindre l’Europe, sans danger.
Poussée par des partis identitaires en progression électorale grâce à leur discours anti-immigration, voici une petite avancée allemande contre l’invasion…
Francesca de Villasmundo
http://colmardabord.hautetfort.com/archive/2016/11/06/d-abord-les-ramener-en-afrique-5870591.html
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Une chose qui nuit très fortement à la mouvance identitaire : ne pas faire de prosélytisme alors que NOUS AVONS RAISON
On à tous en tête une discussion durant laquelle le front national, ou tout autre groupe idéologique nationaliste, s’est fait lapider en parole par une bande de gauchistes, qui citaient tous ensemble des arguments du style « L’immigration n’est pas le problèmes, c’est la pauvreté », « De toute manière l’existence des races est un fantasme, tout comme le grand remplacement » etc.
Lors de celles-ci, on peut assister à un festival d’insultes et de critiques envers nos idées. Mais faites l’expérience suivante : la prochaine fois que vous serez dans une telle situation, recherchez du regard le gauchiste EN CHEF du groupe. Par-là, j’entends celui qui balance les arguments à la pelle, celui qui le premier traitera de raciste quiconque ose le contredire. Celui qui terrorise intellectuellement tout le monde. Maintenant attardez-vous sur son entourage : vous remarquerez vite que la plupart du temps, une bonne partie de son auditoire ne prononce pas un traître mot.
Eh bien, je suis prêt à vous parier que dans quatre-vingt-dix pour cent des cas, vous trouverez un nationaliste ou un patriote dans le lot des silencieux. Je vais vous parler d’une expérience personnelle. J’étais avec un ami, blanc tout comme moi. Je me lançais donc dans une conversation idéologique. Il se trouvait que mon interlocuteur partageait mes idées ; il était même d’un extrémisme que je n’aurais pas soupçonné auparavant. J’en arrivais même peu à peu à me poser la question de son positionnement par rapport au national-socialisme.
Quelques jours plus tard, je le retrouvais entouré d’une bande d’amis. Je me suis donc intégré à leur conversation. Le sujet du front national fut vite abordé : comme je l’ai expliqué auparavant, un individu démagogue se mit à haranguer le groupe entier avec un réquisitoire sur la prétendue stupidité de Marine Le Pen, et sur la fin hypothétique de la France en cas de victoire de celle-ci. Mais le problème dans cette histoire était le suivant : cet individu était celui-là même qui quelques jours auparavant, me semblait prêt à recréer la L.V.F. Comment peut-on expliquer ce changement abrupt de positionnement ? Tout simplement de par la présence d’un noir et de plusieurs filles dens le groupe.
Cela nous montre bien une chose qui nuit très fortement à la mouvance identitaire : l' »intimisation » de l’idéologie. Le fait de garder en soi ce qu’on pense VRAIMENT de la France actuelle. En effet, dès lors qu’une baisse de popularité ou de l’estime qu’une fille peut nous porter est possible, on se tait. Après tout, il faut être stupide pour ne pas avoir compris que le nationalisme n’est pas très « tendance » par les temps qui courent.
Il serait enfin temps que les gens comprennent que se taire pour plaire à des gens dont le seul souhait est d’ouvrir les frontières en grand est une ânerie aux graves conséquences. Tout au plus peut-on le comprendre lorsque les personnes sus-citées sont celles qui vous versent votre salaire, mais bon sang vous ne risquez pas de voir la police débarquer chez-vous pour une discussion de bar. De plus, vous gagnerez en estime personnelle à vous opposer lorsque cela est nécessaire, au soldat zélé de l’immigrationisme, et ça, croyez-moi ça n’a jamais tué personne.
Guillaume Robert
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ILS AIMENT LES IMMIGRÉS SANS LES CONNAÎTRE
+ raciste que le gaucho, tu meurs !Illégitimité du discours antiraciste des bobos de gauche…
Après avoir démontré que le gauchiste est très généralement un membre de la bourgeoisie défendant en priorité ses intérêts de classe, grâce à « l’armée de réserve du Capital » (l’immigration), et décrit sa lutte éternelle contre la prise du pouvoir par le prolétariat,-aujourd’hui naturellement acquis à la cause nationale grâce à sa compréhension du rôle protecteur joué par un état patriote (les ouvriers votent FN)-, nous pouvons analyser les autres facettes de l’illégitimité foncière du gauchiste à parler d’un réel qu’il ne connait pas.
L’argument souvent décrié par le gauchiste du « j’ai un ami noir ou arabe », prononcé par le prolétaire pour se défendre d’une accusation de racisme, est assez éloquent ; en effet, le bourgeois de gauche n’a que très peu côtoyé l’extra-européen au cours de sa vie, compte-tenu de sa caste sociale de naissance, que ce soit à l’école, dans les très coûteux établissements d’enseignements supérieurs qu’il a fréquentés ou à son travail de cadre, de banquier ou de fonctionnaire bien placé, sans parler de son habitat très éloigné des banlieues multiculturelles.
Aussi, un simple coup d’œil sur sa liste d’amis Facebook démontre toute son hypocrisie par l’uniformité raciale des relations sociales qu’il entretient. Il n’est ami qu’avec des blancs, ce soi-disant amoureux du tiers-monde ! Le prolétaire, lui, va dans des écoles, et exerce métiers et loisirs de prolétaires… où il est bien plus à même de connaitre et d’échanger avec l’autre partie de la population défavorisée, comme il l’est lui-même. C’est à dire des noirs, des maghrébins, et des européens de l’est (polonais, balkaniques, roumains).
Le prolétaire peut parler du comportement et de la nature des immigrés, car IL LES CONNAIT VRAIMENT.L’immigré n’est pas un problème pour le riche possédant de gauche, il n’est en aucun cas un concurrent ou une source d’insécurité (puisque le bobo ne le croise jamais ou presque), bien au contraire en divisant le prolétariat et en empêchant toute lutte méritocratique pour le pouvoir et l’influence, il peut garder à jamais sa place de nanti ; en sa qualité de bourgeois, il sait pertinemment que la baisse des salaires (des prolétaires bien sûr) lui fera faire des économies qu’il pourra réinjecter pour son propre intérêt dès lors qu’il en aura besoin dans ses travaux, ses services ou ses biens de consommation au quotidien.
Sa « haine de soi » n’en est pas vraiment une. C’est un égoïsme bien dissimulé. C’est aussi et surtout un refus de la lutte hiérarchique entre les hommes ; il se sait parfaitement illégitime et faible dans la compétition pour la survie, et n’a aucun intérêt à démarrer une compétition avec ses semblables, c’est pourquoi il renverse le jeu en niant les différences qualitatives entre les êtres dans ses discours, et en rabaissant le prolétaire blanc, lui reprochant par une inversion totale des valeurs toutes les aliénations du Capital dont il est pourtant la clé de voûte contemporaine.
D’où sa haine de la religion (1789 : lui, le bourgeois remplaçant l’aristocratie catholique), et encore une fois c’est assez ironique : pour en revenir à la problématique des migrants, ce sont bien aujourd’hui des familles catholiques et pieuses qui, contrairement aux riches gauchistes, prennent de leur temps et de leur énergie pour les accueillir chez eux, les nourrir et les aider à s’installer en France. Les « affreux religieux » sont les plus ardents défenseurs de la cause immigrationniste. Et pourtant, Mélenchon et toute sa clique continue de les détester viscéralement.
Double voire triple illégitimité dans le débat public du bobo, nous rappelant l’aspect essentiel de l’appartenance de classe comme ciment idéologique, et la lutte constante entre le producteur sédentaire (fermier, salarié, ouvrier) et le nomade parasite et cosmopolite (travaillant à la fonction publique, à la solde de l’Etat avec tous les avantages qui vont avec)…
Les symboles communistes qu’il tend à montrer dans les manifestations et les défilés avec allégresse, c’est bien joli… mais a-t-il seulement et ne serait-ce qu’une fois, vu ou utilisé une vraie faucille ou un vrai marteau ?
Je parle des outils qui permettent de travailler, pas de l’image d’Epinal qu’on voit sur les drapeaux rouges.Cédric
http://suavelos.eu/ils-aiment-les-immigres-sans-les-connaitre
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La France Guerilla par Thierry DUROLLE
La fiction rattrape-t-elle la réalité ou est-ce la réalité qui rattrape la fiction ? Lentement mais sûrement, l’état de la province France se désagrège et ce qui lui sert dorénavant de peuple reste, médusé, à contempler un naufrage inévitable. Dans les milieux de la droite nationale et radicale, nombreux sont ceux qui jacassent et fantasment, au choix, sur une future guerre civile ou une prochaine troisième guerre mondiale. Or nous sommes déjà en pleine guerre civile !
Certes, cette guerre est larvée, de basse intensité. Elle s’émaille d’une liste interminable de faits-divers souvent tragiques et toujours symptomatiques de la société multiculturelle. Comme tous les conflits, elle connaît des fluctuations d’intensité, des accalmies plus ou moins longues et bien entendu une bataille finale. Guerilla de Laurent Obertone décrit justement la bataille finale de la province France. Ne vous fiez pas à ce titre qui évoque plutôt la tactique du harcèlement, ce que nous vivons actuellement à chaque fait-divers, à chaque attentats. Ce roman d’anticipation, très attendu, relate l’effondrement, le dernier souffle de l’animal. À moins que…
Le début de la fin a curieusement un arrière-goût de novembre 2005. Il se déroule en effet dans une enclave ethnico-religieuse, dans une cité de la Courneuve, la « Cité Taubira ». L’hommage de la vertu au vice sans doute ! Une brigade de police est appelée pour secourir une personne en danger de mort et les « sauveurs » deviennent les victimes. Des « jeunes » s’en prennent aux policiers, tuant l’un d’entre eux et le malinois les accompagnant. Il reste plus qu’une fliquette tétanisée par la peur et le doigt de son collègue sur la détente de son Sig Sauer. On vous laisse deviner la suite…
Les événements s’accélèrent brutalement grâce notamment à la complicité des médiats avec l’envahisseur attaqué. Ces derniers jettent de l’huile sur le feu, la doxa crache son venin et une grande partie du peuple français aboie avec les chiens galeux contre le « fascisme policier ». Il faut sauver le « Très-bien-vivre-ensemble » avant tout, quitte à ce que le pays s’écroule et que la cohorte des cloportes tombe avec lui.
Le pays que décrit Obertone est à la fois réaliste et grossièrement ridicule. L’auteur y exagère la moindre boursouflure si bien que la personne consciente des temps présents peut se dire qu’Obertone en fait trop. Peut-être. Néanmoins il est effrayant de réaliser qu’il ne faut pas grand-chose pour que notre société franchisse le pas. Toujours plus loin dans la haine de soi, la xénophilie, le manque de courage et de volonté politique. Des symptômes qui indiquent une maladie beaucoup plus grave et plus profonde qu’on ne le croit, et que Laurent Obertone met clairement en évidence. L’un des mérites du livre qui est en réalité une sonnette d’alarme et un livre ultra-politique, est la question de l’identité et du fait ethnique. On devine sans peine qui sont les « sauvageons », rien n’est camouflé. Aussi la culpabilité des Blancs crève les yeux du lecteur comme dans ce passage où l’une des protagonistes se trouve Gare du Nord : « Elle était blanche, aisée, elle faisait partie des oppresseurs. Mal à l’aise, elle pensait payer là une sorte d’impôt sur sa couleur ». On se serait en revanche bien passé du cliché sur le camionneur russe faisant face à une horde de gauchistes, (pseudo)-symbole de virilité pour bon nombre de droitards aux réactions de femelles et incapable d’assumer leur rôle d’homme, de Vir au sens romain et plus largement européen. Le manque de courage c’est cela aussi.
Relaté sur trois jours, ce roman catastrophe file comme le vent. Lecture fluide qui sacrifie le style pour mieux mettre l’emphase sur le mouvement et la rapidité de la chute, il ne faut pas s’attendre en effet à de la grande littérature. Mais est-ce ce que l’on cherche à travers la lecture de Guerilla ? Bien sûr que non, et Laurent Obertone ne souhaite probablement pas à rentrer à l’Académie française. Il est le témoin de l’interregnum que nous vivons. La violence de ce siècle est omniprésente dans son roman et nous ne parlons pas que de la violence physique. Le monde du dernier homme est intrinsèquement violent car profondément absurde et vide de sens. Les événements relatés dans Guerilla sont possibles car un énorme vide les invite à prendre place, la nature, c’est bien connu, ayant horreur du vide. L’une des questions qui vient forcément au lecteur est la possibilité d’une situation similaire à celle du roman. Oui, elle est possible tout en ayant peu de chance de se réaliser. Une telle convergence de catastrophes et l’écroulement du pays qui en découle nous semble irréalisable du simple fait que nous croyons à une intervention extérieure, une ingérence de l’OTAN par exemple, pour prendre le contrôle de la situation, chose qu’Obertone écarte trop facilement selon nous.
En conclusion Guérilla est un bon roman. Il est surtout politiquement utile car il désigne l’ennemi et rend compte des réalités. C’est exactement ce dont a besoin tout citoyen lambada ; mais n’espérons pas que cela pèse dans la balance, du moins à lui tout seul. Il constituera peut-être une pierre de l’édifice à réveiller notre peuple. Seul l’Histoire nous le dira. Les événements récents tels la recrudescence des attaques à l’encontre des policiers, des églises, des rixes entre « itinérants » et de leurs assauts contre la population, leur implantation de masse dans nos campagnes témoignent d’une avancée vers des temps incertains. Demain serait-il le zénith de la France Guerilla ?
Thierry Durolle
• Laurent Obertone, Guerilla, Ring, coll. « Rig blanche », 2016, 425 p., 19,95 €.
http://www.europemaxima.com/la-france-guerilla-par-thierry-durolle/
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Comment répondre aux mensonges autour des attentats islamistes (argumentaire III) ?
Les Identitaires publient des fiches argumentaires sur leur site web. Voici un extrait d’un troisième document qui propose de répondre aux mensonges autour des attentats islamistes. Il s’agit de répondre à l’assertion selon laquelle la majorité des musulmans sont modérés
Ils disent souvent « La majorité des musulmans sont modérés ». Mais pourquoi le disent-ils ?
Répétée tel un exorcisme, cette affirmation n’a jamais été prouvée. Elle vise à faire croire qu’il n’y aucune sympathie dans la communauté musulmane pour les motivations des terroristes ou les thèses islamistes. Cet argument permet de dissocier l’immigration et le djihadisme, en
opposant «musulmans» et «islamistes». Pourtant, l’équation est simple : sans immigration musulmane, pas d’islamistes en France.Pourquoi c’est faux ? Dans les études d’opinion : 54% des musulmans de France sont pour une application «totale» ou «partielle» de la charia en France. Presque 30% d’entre eux souhaitent son application intégrale.
Découvrir cette fiche-argumentaire : http://www.les-identitaires.com/2016/10/argumentaire-iii-majorite-musulmans-moderes
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Eric Zemmour à Jean-Frédéric Poisson : "Dans quelques années, tout le monde sera pour la préférence nationale"
"Ainsi donc, pendant que nous en avons le temps, faisons le bien envers tous, et surtout envers les frères dans la foi" (Saint Paul, Galates 6-10)
Jean-Frédéric Poisson était l'invité de l'émission Zemmour et Naulleau le 19 octobre dernier. A cette occasion, Eric Zemmour a mis Jean-Frédéric Poisson devant ses contradictions (à partir de 25'20''), plusieurs fois exprimées ici par des lecteurs du Salon beige. Il lui a notamment reproché de se mettre dans la situation intenable, par la mécanique des primaires, de devoir soutenir Alain Juppé (ou même Nicolas Sarkozy) alors qu'il défend des convictions totalement opposées. L'expression utilisée est même dure : "En fait, vous allez vous coucher devant Juppé !"
Autre exemple, la préférence nationale est donnée en exemple par Jean-Frédéric Poisson comme point de désaccord profond avec le Front national. Eric Zemmour lui explique que cette idée va pourtant se développer :
"Aujourd'hui, la préférence nationale, qui était honnie dans le débat politique français, c'est le premier ministre anglais, un conservateur, et pas du tout un nazi, qui va l'imposer. Et vous allez voir, je prends les paris, dans quelques années, tout le monde sera pour la préférence nationale. Tout le monde exigera qu'il y ait une primauté et une prééminence aux salariés nationaux français ou britanniques en Angleterre. Tout le monde exigera une différence de traitement entre les étrangers et les Français pour les allocations sociales. Ca va aller très vite maintenant que les Anglais ont donné le La (...)"
Il est vrai que la notion de préférence nationale revient dans le débat politique :
Grande-Bretagne : vers une préférence nationale pour les travailleurs britanniques ?
Theresa May veut instaurer la préférence nationale sur les embauches
Faut-il une préférence nationale pour le versement des aides sociales ?
La «préférence nationale light» au menu de Bruxelles
"La rencontre, où il sera question de «la préférence nationale light», aura lieu ce mardi 25 octobre et doit permettre de s'informer mutuellement à ce sujet ainsi que de discuter des éléments encore à éclaircir. Un haut fonctionnaire européen a confirmé cette information (...) La «préférence nationale light» a été abordée il y a une semaine par les ambassadeurs de l'UE. Ils se sont basés sur un premier avis juridique d'experts de l'Union européenne."
Même Christian Estrosi, qui a toujours combattu cette idée lorsqu'elle venait du FN, s'y rallie dans une déclinaison certes régionale mais le principe est le même :
Marchés publics : la région PACA opte pour la « préférence régionale »
Théorisée dans un livre par Jean-Yves le Gallou en 1985, La préférence nationale consiste à réserver des avantages sociaux ainsi que la priorité à l'emploi, à qualification égale, aux nationaux. Cette règle est déjà appliquée en France, sans que cela ne choque personne, pour l'accès à la plupart des emplois de la fonction publique et pour les mandats électifs nationaux (député, sénateur, président).
Voici ce que disait Bruno Gollnisch en 2007 :
"L'Eglise qui proclame que tous les hommes sont frères, corrige l'interprétation erronée qu'on donne parfois à cette fraternité universelle. Elle déclare, en effet, que chacun doit aimer particulièrement ceux qui sont nés sur le même sol que lui, qui parlent la même langue, ont hérité des mêmes richesses historiques, artistiques, culturelles, qui constituent dans l'humanité cette communauté spéciale que nous appelons notre patrie, véritable mère, qui a contribué à former chacun de ses enfants. Elle a droit à un amour de préférence".
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L’État détourne un legs pour en faire un « centre de déradicalisation »
Texte de François Teutsch sur Bd Voltaire à propos du « centre de déradicalisation » [sic] de Beaumont-en-Véron, qui a déjà donné lieu à de nombreux articles dans la presse :
« L’implantation scandaleuse de ce nid d’islamisme en plein cœur de la Touraine, quand il existe tant de lieux en Île-de-France – certes plus près des lieux de vie de nos dirigeants -, se double désormais d’une question juridique qui, en d’autres circonstances, aurait semblé secondaire.
C’est, en effet, au domaine de Pontourny que cette estimable institution doit s’installer. Dans un château bâti au XVIIIe siècle appartenant à l’Assistance publique, jusque-là occupé par un centre de formation professionnelle pour jeunes filles en difficulté. Un domaine appartenant autrefois à la famille Gréban de Pontourny, que son dernier représentant, Alphonse Marie, décédé en 1896, a légué à Jean-Baptiste Turquet, en précisant que « le domaine doit avoir pour mission une œuvre charitable chrétienne avec obligation du culte catholique, un office par semaine ». En 1902, Jean-Baptiste Turquet en fait don, à son tour, à l’Assistance publique, aux mêmes conditions. Des conditions peu respectées en ce qui concerne le caractère chrétien de l’œuvre. Mais le dernier donateur pouvait-il prévoir ce qu’il adviendrait de son domaine au début du XXIesiècle ?
Le bénéficiaire d’un legs à titre particulier doit en respecter les conditions posées par le testateur. Quel que soit le temps écoulé, il appartient à l’actuel propriétaire de se conformer aux volontés de Marie-Alphonse Gréban de Pontourny. Qui n’a sans aucun doute pas donné son accord pour que, d’institution charitable chrétienne, son domaine devienne un centre d’hébergement d’islamistes en djellaba.
Une association de contribuables de Touraine et Bretagne, qui revendique 1.500 adhérents, a saisi un avocat pour faire respecter les volontés du dernier maître de Pontourny.
Mais seuls les descendants de Jean-Baptiste Turquet pourraient agir judiciairement pour faire respecter la volonté de leur aïeul. Et aucun d’entre eux ne s’est manifesté à ce jour. À défaut, l’action judiciaire est irrecevable.
Il existe de multiples manières de lutter contre l’islamisation de la France. À défaut de convertir les musulmans à l’amour des paysages ligériens – moyen certainement efficace pour en faire d’authentiques Français de désir et de futurs chrétiens –, s’opposer à l’installation de tels nids de frelons en est un. Pour cela, il est indispensable qu’un descendant de Jean-Baptiste Turquet se manifeste et décide d’agir. Votre serviteur n’est malheureusement pas de ceux-là… Mais qui sait, parmi les lecteurs de Boulevard Voltaire, si l’un se trouvait, soudain, concerné par la question… Quant au financement du procès, l’association a mis en place un compte en ligne. Et là, nul besoin d’être un héritier Turquet.
Une fois encore, le régime en place montre qu’il ne respecte rien. Qui s’en soucie ? Aimer la France, manifester son patriotisme, c’est aussi faire respecter son Histoire, son passé, son patrimoine, ses paysages. C’est considérer qu’un lieu, échu à l’État par nécessité et volonté charitable, doit conserver à la fois son âme et la destination qu’en a décidée son donateur. Mais lorsqu’on ose transformer les jardins de Versailles en écrin pour le « Vagin de la Reine », à quoi bon s’ennuyer avec les dernières volontés d’un aristocrate catholique –sans doute royaliste- de la fin du XIXe siècle ? »