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immigration - Page 1046

  • Islamisme : décider vite et vrai !

    Il faut traiter radicalement les difficultés engendrées par notre immigration-invasion incontrôlée, en amont, à la source.
    Le duo fatal de gouvernement Valls-Cazeneuve, constitué de politicards menteurs, incompétents, arrogants et bouffis d’idéologies contredites tous les jours par la réalité, nous serine que nous sommes en guerre, sans préciser contre qui, ni qu’elle commence mal puisque la France a déjà perdu, dans les attentats, plus de 260 personnes en quelques mois. Ce sont des menteurs professionnels !

    Sont-ils incompétents ? Ils font ricaner le monde entier en essayant de traiter le terrorisme en aval : déradicaliser quelques volontaires, contrôler des sacs sur les plages, exposer les militaires de l’opération Sentinelle comme des cibles faciles… et surtout exhorter les Français à s’habituer au terrorisme barbare d’une minorité dans la minorité ! Voilà la honte !

    Arrogants ? Ils affirment qu’ils ont tout fait pour mettre un terme à cette suite infernale d’attentats et qu’ils veulent inaugurer de nouveaux rapports entre la France et l’islam. Cette prétention fait sourire devant les souvenirs que quinze cents ans de piraterie, de razzia, de « chicaya » et de « taqiya » ont laissés aux peuples.

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  • Anonymisation des terroristes : du f(l)outage de gueule – par André Bercoff

    André Bercoff s’insurge contre l’anonymisation des terroristes. Pour le journaliste, la lâcheté de ne pas voir ne permettra pas de vaincre l’islamisme radical qui sévit en France.

    Dans certains médias, le floutage de gueule a déjà commencé. Demain, après-demain, d’autres décapitations se commettront dans tel ou tel lieu, d’autres camions faucheront des dizaines d’hommes, de femmes et d’enfants dans une ville d’ici ou d’ailleurs, d’autres soldats fanatisés viendront pratiquer une épuration identitaire dans une boîte de nuit, un restaurant ou un café. Eh bien, il sera opposé à ces criminels l’arme absolue de l’anonymat institutionnalisé.

    (…)

    A ce stade de schizophrénie active, on ne sait plus que penser. Comment ces gens ignorent qu’Internet et les réseaux n’arrêteront jamais de diffuser les photos, les noms et les éléments à disposition, dès qu’ils seront postés par une ou plusieurs sources?

    Pour André Bercoff, il serait plus que temps d’arrêter le naufrage, car il y a encore pire que la terreur imposée par les uns : la médiocrité proposée par les autres.

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  • L’importation à valeur négative

    Bernard Plouvier

    Toute l’économie de transformation des matières premières nécessaires à la vie humaine repose sur la « valeur ajoutée » par le travail humain. L’on n’a pas attendu le clown alcoolique Karl Marx pour le savoir.

    La cuisson de la viande est un exemple de valeur ajoutée qui remonte fort loin dans la préhistoire, comme la fabrication des armes ou le tannage puis l’assemblage des peaux pour s’en vêtir, de façon à lutter contre le froid. Il appartenait à l’économie globale et à la société mondialiste, au début du XXIe siècle de notre ère, de démontrer le contraire !

    Depuis le mois de juin 2016, l’on connaît les caractéristiques de la vague migratoire de l’An funeste 2015, où l’Europe occidentale, danubienne et scandinave fut littéralement envahie d’Africains (noirs et maghrébins), de Moyens- et de Proches-Orientaux, en immense majorité musulmans.

    Ils se sont fait passer pour des demandeurs d’asile politique et quelques-uns le furent réellement. Un nombre absolument inconnu d’entre eux sont des clandestins du Djihâd, en sommeil jusqu’à ce qu’ils reçoivent l’ordre de passer à l’activité meurtrière pour la plus grande gloire d’un dénommé allah. Cela, tout le monde le sait, depuis plus d’un an.

    L’on peut déplorer que les fous furieux qui dirigent les USA depuis 2001 aient mis à feu et à sang le Maghreb et le Sahel, l’Irak, le Yémen, l’Afghanistan, la Syrie (en attendant mieux), parfois avec la complicité de dirigeants indignes des Nations britannique, française, italienne etc., ce qui n’implique nulle responsabilité de ces Nations, desquelles personne n’a songé à demander l’avis.

    Nous n’avons, Européens de souche, à développer nulle repentance à propos des guerres qui ont ravagé les pays du Dâr al-Islam, étant donné qu’aucun des chefs « démocrates » n’a eu recours à la seule forme de démocratie qui soit : la pratique du referendum avant de se lancer dans des opérations de guerre. Après tout, c’est l’argent des Nations qui est dépensé dans ces interventions ; il est donc logique et légitime de prendre l’avis des peuples souverains.

    Sans responsabilité directe de leur part, les Européens se sont vus envahir, depuis janvier 2015, par des hordes de réfugiés-immigrés. Le pape a hurlé sur tous les tons, comme la Chancelière teutonne et luthérienne d’Allemagne, la nécessité d’accueillir ces millions d’envahisseurs qui amenaient avec eux leur avidité de biens de consommation, leur racisme anti-Blancs, leurs mœurs médiévales (notamment un mépris total de la femme), enfin leur religion de haine et d’intolérance absolue : l’islam conquérant, meurtrier par son Djihâd.

    Au plan politico-sociologique, les collaborateurs des maîtres de l’économie globale justifiaient cette immigration-invasion par l’apport de « travailleurs » qu’elle réalisait. On a surtout vu un apport de violeurs, de pillards, de vandales et d’assassins. L’on sait maintenant que l’on a surtout importé des Nuls !

    En Suède, où l’on a accueilli 163 000 « réfugiés politiques » en 2015, il s’avère que 494 seulement ont trouvé un emploi en 15 mois ! Et il s’agit de statistiques officielles issues d’une coalition gouvernementale de sociaux-démocrates et de verdâtres.

    L’Agence fédérale allemande pour l’emploi de mémé Merkel vient de rendre son verdict en juin 2016, à propos des 1,1 million de réfugiés-immigrés-envahisseurs de 2015 : un tiers sont des analphabètes (deux tiers si l’on compte les femmes). Sur 297 000 dossiers d’hommes en âge de travailler, 74% d’entre eux n’ont ni qualification ni même la moindre expérience professionnelle !

    En résumé, l’on a importé et l’on continue d’importer des Non-Valeurs, des consommateurs improductifs, soit des parasites. Et le pape François, qui ressemble bien davantage à un homme lige de la globalo-mondialisation qu’au chef de l’Église catholique, nous exhorte à continuer dans cette voie ; idem pour mémé Merkel ou nos glorieux « chefs ».

    À chacun d’en tirer ses conclusions.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Une guerre asymétrique

    « Comment un Niçois a-t-il pu s’en prendre à d’autres Niçois ? » Cette réflexion d’un journaliste, attrapée au vol sur France Info le lendemain du sinistre 14 juillet, indique bien le degré d’inconscience dans lequel se trouve, en même temps qu’une partie de la population, la caste médiatique que l’on appelle un peu vite le quatrième pouvoir.

    La plupart des hommes politiques, autointoxiqués par leur propre discours mou, pensent sans doute aussi, non sans orgueil, que l'assimilation se fera toute seule : ces étrangers (Mohamed Lahouaiej-Bouhlel est Tunisien en l'occurrence) ont une chance folle de vivre en France, ils vont spontanément s'intégrer et ne rêvent en tout cas que de cela. La réalité est chaque fois bien différente... Mais nos hommes politiques continuent d'appliquer les recettes à la petite semaine qui ont eu tant d'insuccès depuis 2015. Un attentat à Nice ? Quelques frappes supplémentaires en Syrie (frappes qui, sur Tordre des Américains, épargnent la plupart des groupes islamistes qui ne sont pas Daesh parce que les États-Unis veulent présenter des islamistes comme des partenaires fiables dans un processus de paix). Autre mesure « virile » ? On fait appel à la réserve civile. On prolonge l'état d'urgence. Cette fois - l'avez-vous remarqué ? - le cérémonial lacrymal n'a pas été théâtralisé. Personne n'a dit : « Je suis Nice ». Il n'y a pas eu de manifestation organisée : c'est les vacances et puis c'est dangereux : imaginez qu'un autre camion vienne briser les barrières de sécurité, comme l'a fait celui-là.

    Il faut quand même que les politiques réalisent que le monde a changé, que ce qu'ils ont appris à l'ENA est largement périmé, que ce n'est pas la laïcité qu'il faut invoquer, parce que la laïcité, jamais personne n'est mort pour elle. Une mère et ses trois filles viennent d'être agressées à l'arme blanche dans les Alpes Maritimes. Sans doute n'étaient-elles pas vêtues de tchadors ? En tout cas, l'une des deux fillettes est entre la vie et la mort, simplement parce qu'elle était habillée comme une fillette européenne peut l'être en été. Nous sommes bien dans un choc : civilisation contre civilisation.

    Ce n'est pas en augmentant les effectifs policiers que l'on parviendra à empêcher ces scènes horribles, qui pourraient bien se généraliser très vite, au point que Ton ne sache plus où donner de la tête.

    Ainsi ce qui est frappant avec le nouveau monstre en camion c'est qu'il s'est auto-radicalisé très rapidement. Plus besoin pour les nouveaux tueurs de faire le voyage en Syrie ! Certes mohamed a, comme on dit, des antécédents familiaux : son père est un cacique du Parti Ennahda (intégriste) à Meksen (Maroc) et il serait réputé pour sa violence. Mais Mohamed lui n'est pas un observant. Il aime les filles faciles, il consomme de l'alcool et quand il rentre à la maison, il tape dur, il n'a absolument pas le profil d'un intégriste identifiable. Qu'importe ! Il se sera laissé pousser la barbe durant les quinze derniers jours de sa vie et pourra prétendre, grâce à son titre de martyr, au Paradis d'Allah, qui d'ailleurs, comme chacun sait, n'est guère un lieu très spirituel et ressemblerait plutôt à un immense bordel. Pour les âmes simples, rien de compliqué. Il suffît d'y entrer !

    Notre Ligne Maginot administrative

    J'avoue que j'ai trouvé, pour une fois, Manuel Valls raisonnable quand il a déclaré : « Nous faisons face à une guerre que le terrorisme nous livre ». Le mot est bien trouvé : « Nous faisons face... ». Nous ne faisons pas la guerre, nous nous contentons d'y faire face. Comme la Ligne Maginot faisait face aux Allemands avec le succès que l'on sait : il leur a suffi de déborder par la Belgique. Eh bien ! Aujourd'hui il y a des millions d'occasions de déborder la Ligne Maginot pour les combattants auto-proclamés de Daesh. Et le nombre de « martyrs » islamistes potentiels se compte aussi en centaines de milliers : il y aurait 10 % de la population musulmane prête à passer à l'acte ou à soutenir un passage à l'acte. Les mesures administratives, si drastiques soient-elles, ne suffiront pas à empêcher que le terrorisme ne devienne le quotidien des Français, comme il est le quotidien des Juifs en Israël. Faut-il s'y résigner ? Ce serait la fin définitive de la civilisation chrétienne et de la paix qu'elle a établie dans le monde. Ni plus, ni moins.

    Il est donc urgent, pour éviter le pire, de changer de régime : pas forcément de régime politique, nos institutions sont solides. Mais de régime social. Il importe de répondre à la guerre de civilisation non par des mesurettes de technocrate, mais par les mêmes moyens civilisationnels, ce qui signifie reconnaître le grand ratage de l'individualisme soixante-huitard et revenir aux fondamentaux à encourager : la famille, la nation... et Dieu. Je sais bien que l'autorité politique ne peut guère donner une foi absente. Mais elle peut manifester une bienveillance, elle peut proposer la civilisation française dans les écoles, elle peut s'opposer, au nom de la tradition chrétienne, à l'enseignement de la Charia, en interdisant clairement le voile à l’école, en résistant à l'impérialisme civilisationnel de l'islam. Face à cette guerre que le terrorisme nous livre, je ne vois pas d'autre solution que de retrouver la famille, la patrie et, au-delà des contentieux confessionnels, une foi en Dieu, qui jaillit de chacun de nos cœurs. Foi humaine donc, foi christique aussi, qui ne serait pas polluée par une foi communautaire, devenant, dans le contexte social actuel, nécessairement communautariste et violente, imposant le voile aux femmes, l'abstinence d'alcool aux buveurs et pour tous la viande taxée par les imams.

    Abbé G. de Tanoüarn monde&vie  22 juillet 2016

  • Face à l’islamisme, une névrose collective, par Vincent Revel

    Nous savons tous que le problème de l’islamisme est fortement lié à notre politique migratoire irresponsable. Pourtant, aucun des deux partis soi-disant républicains, le PS et LR, n’ose aborder la question en toute liberté. Face aux actes de barbarie, l’aveuglement perdure et les tabous se renforcent.

    L’assassinat du père Hamel dans l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray n’est que le prolongement logique de ce qui s’est passé les semaines et les mois précédents. Il faut comprendre que les djihadistes, de plus en plus nombreux sur notre territoire, ne renonceront pas à nous faire plier les genoux à terre. Nos politiques parlent de guerre mais ils oublient de nommer correctement l’ennemi de ce fait la menace qui pèse de plus en plus sur nos épaules n’est pas prête de s’atténuer.

    Nos dirigeants, nourris aux mamelles de la nouvelle religion des droits de l’hommisme, sont incapables d’avoir un discours clair aboutissant à des actes forts.Faisant la promotion d’une société multiculturelle, favorisant un déracinement radical, notre élite néo-libérale se trouve incapable d’agir efficacement. La pensée antiraciste leur interdit toutes paroles patriotes et actes courageux.

    Née de la rencontre du libéralisme et du communisme, deux idéologies basées sur la mort des nations et des frontières, cette pensée antiraciste trouve auprès de l’Eglise actuelle un allié de poids. Empêtré dans son Amour de l’Autre, dans sa charité universaliste, le christianisme ne cesse désormais, comme les nouveaux censeurs laïcs, de culpabiliser les Européens d’être des enfants héritiers d’une longue et belle tradition.

    Notre conscience est devenue avec le temps un enjeu de tous les instants. Transformée en mauvaise conscience, elle est à présent un outil pour déconstruire ce que nos élites économiques, politiques, médiatiques et religieuses aiment le moins au monde : les patries charnelles. Tout est mis en ordre pour la tirer vers le bas, pour atteindre notre âme et la détruire. Rien ne doit nous permettre de retrouver les rivages du courage et de la fierté. La démission et le renoncement se retrouvent à tous les niveaux d’éducation et d’information. La haine de soi, la haine de notre mémoire transpirent de tous les côtés.

    Avec l’arrivée en masse du monothéisme islamique sur notre continent, cette mauvaise conscience est prête à se soumettre à sa prochaine dhimmitude.L’Européen, malgré son statut de victime, ne peut que prétendre à baisser les yeux, apprendre à vivre avec la peur, à se renier et à accepter ce qu’aucun peuple digne ne pourrait tolérer. Pensant se défendre avec des peluches, des fleurs et des bougies, il écoute avec espoir des responsables encore plus déconnectés que lui de la réalité.

    L’archevêque de Rouen, Monseigneur Lebrun, est l’exemple même de la folie destructrice qui règne dans l’esprit de nos responsables. Nous sommes plusieurs à répéter avec bon sens qu’avec le fanatisme islamique, nous ne pouvons qu’engager une lutte totale pour espérer le vaincre. Ce n’est pas en poussant ses ouailles à « prier et aimer » que nous mettrons hors service des gens capables d’égorger un vieillard de 86 ans. Le temps de la main tendue est révolu si nous voulons espérer vraiment gagner ce combat pour notre liberté.

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/

  • Brest : une élue d'extrême gauche s'amuse de l'assassinat du prêtre normand et le qualifie de pédophile

    BREIZATAO – POLITIKEREZH (28/07/2016) L’élue d’extrême-gauche brestoise Julie Le Goïc, connue pour son engagement en faveur de l’imam salafiste de Brest (voir ici) et son soutien aux filières de migrants clandestins, vient probablement de commettre la provocation de trop : une apologie d’acte de terrorisme en bonne et due forme.

    Sur son compte Twitter, Julie Le Goïc s’amuse publiquement de l’exécution barbare du Père Hamel à Rouen, suggérant qu’il était pédophile et que sa récompense pour avoir été égorgé par deux djihadistes serait “70 enfants de choeur”. Une analogie à la promesse faite aux musulmans engagés dans le djihad de recevoir “72 vierges” au paradis s’ils meurent au combat.

    Du coup, le prêtre mort en martyr, il a le droit à 70 enfants de choeur au Paradis ?

    Les connaisseurs de la vie politique brestoise se rappellent que cette anarcho-gauchiste, élue en 2014 sur la socialiste de François Cuillandre avant de s’en dissocier, avait introduit des clandestins musulmans dans la salle du conseil municipal de Brest récemment. Une scène ubuesque – et filmée – qui s’était terminée par de la casse de matériel et des menaces à l’encontre des élus (voir ici et ici).

    BREIZ ATAO a régulièrement dénoncé dans ses colonnes le soutien actif de Le Goïc aux salafistes de Brest au nom de “l’antiracisme” ainsi que son aide aux filières d’immigration clandestine de la mafia albanaise musulmane opérant dans la ville. L’impunité dont elle bénéficie – comme l’avait à nouveau démontré l’émeute qu’elle avait orchestrée lors du conseil municipal – signalant la complicité active de la gauche socialiste avec cet élément radical.

    Pour exiger la démission de cette élément pro-islamiste, protestez auprès de la Mairie de Brest :

    Tél: 02 98 00 80 80

    Fax : 02 98 00 81 08

    Email : contact@mairie-brest.fr

    http://breizatao.com/2016/07/28/brest-lelue-dextreme-gauche-julie-le-goic-soutien-de-limam-salafiste-samuse-de-legorgement-du-pretre-de-rouen-et-le-qualifie-de-pedophile/

     

  • L'Islam est étranger à la civilisation française. Pourquoi ne pas l'admettre une fois pour toutes ?

    Par Gilbert CLARET

    Un commentaire, reçu sur Lafautearousseau vendredi 29, qui a retenu notre attention parmi ceux de ces derniers jours, nombreux et souvent excellents. Un regard raisonnable, clair, pondéré et néanmoins très ferme, sur le rapport de la société française à l'Islam. Il nous a paru important de le donner à lire au plus grand nombre de lecteurs de Lafautearousseau. Même si l'heure est plutôt à l'affrontement qui nous est tragiquement imposé, qu'à la réflexion sereine. Mais sans-doute faut-il considérer que l'une et l'autre ne s'excluent pas.  LFAR   

    L'Islam est étranger à la civilisation française. Pourquoi ne pas l'admettre une fois pour toutes ?

    Cette admission était implicite dans la rupture politique avec le concept d'Algérie française. L'Algérie aux algériens, la France aux français. De Gaule l'avait parfaitement compris et mise en pratique tel un homme d'Etat digne de ce nom..

    Ceci étant posé, la France, fidèle à sa tradition d'ouverture d'esprit universel, pouvait et pourrait encore parfaitement accepter qu'une petite minorité de musulmans vivent sur son sol, disons dans une proportion de 2% ou 3% de la population française, telle une curiosité intéressante permettant de débattre sur les mérites et particularités ou bizarreries de cette religion si peu conforme à nos religions judéo-chrétiennes, mœurs, mentalités et formes de pensée bimillénaires, sans prétendre nier les apports estimables  arabo-berbéro-ottomano musulmans dans les arts, les sciences, l'architecture et la littérature notamment.

    Jacques Chirac, après avoir nié contre toute évidence les racines chrétiennes de l'Europe, a eu l'audace d'ajouter contre la conviction intime des Français, que ses racines étaient autant musulmanes que chrétiennes. Jacques Chirac, parlant au nom de la France, parangon de la haine de soi au sommet de l'Etat ! Il est temps pour la France de recommencer à être elle-même et à s'aimer dans ses racines bimillénaires. Comme l'énonce un sage adage : « soyez vous-même, les autres sont déjà pris ».

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le karatéka Christophe Pinna : « S’il faut prendre les armes, on prendra les armes »

    Le champion du monde de karaté Christophe Pinna est né à Nice. Le 26 juillet, après les 84 morts de l’attentat islamiste de Nice et après l’assassinat par égorgement du père Hamel à Saint-Etienne-du-Rouvray par deux islamistes, il a publié ce message sur sa page Facebook suivie par près de 7 000 personnes :

    « Ça suffit. Aujourd’hui dans une église. Si nos dirigeants sont des incapables, des vendus, nous devons prendre le pouvoir. Ne rien faire aujourd’hui c’est collaborer avec le terrorisme. S’il faut prendre les armes, on prendra les armes. Maintenant, ça suffit. On doit se regrouper. Je créerai bientôt une page pour nous regrouper et passer à l’action. »

    Quelques heures plus tard, il a retiré le premier message et en a publié un nouveau, qui faisait écho au premier : « J’ai reçu des centaines de messages. Je ne peux malheureusement pas répondre à tous. Je vous remercie sincèrement pour votre soutien. […] Je ne me suis jamais vraiment intéressé à Facebook, sauf depuis ces dernières et tristes semaines. Ma page Perso revient à ses origines, le sport. On se retrouvera très bientôt… ailleurs. »

    Christophe Pinna Message

  • Le jour où un iman sera assassiné…

    Le roi d’Arabie Saoudite et le recteur de la mosquée Al-Azhar lanceront des appels à la paix, au pardon et à la fraternité. 

    Si l’on en juge par les réactions actuelles à la suite de l’égorgement du père Hamel et de la tentative d’assassinat d’un fidèle catholique de 86 ans, on peut préjuger de ce qu’il adviendra le jour où un iman sera assassiné, non pas par un membre de l’État islamique qui l’aura considéré comme un mécréant, mais par un ultra-nationaliste déséquilibré.

    Chacun, politicien, responsable religieux, responsable associatif ou simple citoyen, fera sa petite déclaration ou son petit tweet de condamnation, ce qui sera tout à fait normal. Les déclarations en question se garderont bien de nommer le nationalisme mais se diront en guerre contre le terrorisme.

    Les journalistes iront interroger la mère du présumé innocent pour qu’elle puisse expliquer que c’était un brave gamin, et ses voisins pour qu’ils témoignent de sa radicalisation récente et du fait qu’au sein des mouvements nationalistes, on se méfiait de lui.

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  • Nos ennemis les islamistes, par Guy Rouvrais

    Les membres du gouvernement, les éditorialistes et l’épiscopat français nous exhortent à ne pas tomber dans le « piège » que nous tend l’Etat islamique : la division, l’affrontement entre chrétiens et musulmans débouchant sur une guerre civile. Que faire alors ? Rester unis et se répandre en baisers Lamourette entre chrétiens et musulmans, gens de droite et de gauche, libéraux et socialistes, citoyens des villes et gens des champs. Alors déconcertés, si ce n’est épouvantés, par tous ces gars de France qui se tiennent la main pour faire une ronde autour de l’Hexagone, les terroristes reculeraient, n’oseraient plus trancher une seule gorge au sein d’un peuple si uni. « Damned ! Ils nous ont vaincus ! » lanceraient-ils en larmes et en arabe.

    Unis, les Français ne le furent jamais autant qu’au lendemain de l’attentat contre Charlie Hebdo qui vit des millions de personnes, de convictions et de conditions diverses, envahir le pavé parisien. Cela fut suivi de votes unanimes au Parlement. Dix mois plus tard, il y eut le 13 novembre et la suite sanglante que l’on connaît. C’est dire si les démonstrations d’unité non seulement n’impressionnent pas les tueurs islamistes mais au contraire les flattent dans leur pouvoir de mobiliser tant de foules avec peu d’hommes et de moyens.

    Mais, surtout, nos moralistes et stratèges d’occasion se trompent sur l’objectif de Daesh. Ce n’est pas la guerre, ce n’est pas de provoquer un affrontement entre chrétiens et musulmans. Le but, que les islamistes proclament depuis toujours, c’est l’instauration du califat partout dans le monde, donc en France, pour la victoire finale de l’islam promise par Mahomet. La guerre sainte n’est qu’un moyen. Si nous nous soumettons volontairement en acceptant la loi islamique ou, en tant que chrétiens, la condition de dhimmi, ils n’auront plus de raisons de nous faire la guerre. Nous pouvons donc y échapper, faire cesser les attentats et les égorgements, il suffit que nous acceptions de vivre à genoux sous le glaive au lieu de nous battre pour mourir debout sous la croix. L’alternative est bien celle-là !

    Nos évêques, eux, nous expliquent qu’en tant que chrétiens nous ne devons pas nous laisser envahir par la haine ou un esprit de vengeance. Certes, mais rappelons que les grands hommes de guerre, souvent chrétiens, combattent sans haine mais par amour de la patrie, la terre des pères. Comme on défend sa famille, son épouse, ses enfants, non par animosité pour ceux qui veulent les agresser mais par amour des siens. « Aimer nos ennemis » ? C’est dans l’Evangile mais cela ne résume pas toute la doctrine de l’Eglise, élaborée au fil des siècles, sur les guerres justes et injustes.

    Aimer nos ennemis, c’est d’abord reconnaître que nous, chrétiens, nous avons des ennemis et que leur hostilité n’est pas soluble dans une accolade fraternelle. C’est aussi les désigner comme tels. Or, avons-nous entendu un seul évêque – ou le pape – dire : « nos ennemis les islamistes » ? Pas les musulmans – car selon Vatican II ce sont nos amis – mais seulement les islamistes ? Même pas ! Comme si, déjà, énoncer la simple vérité était gros d’on ne sait quels belliqueux sentiments ! Comment vaincre nos ennemis si nous n’osons même pas dire que ce sont des ennemis ?

    Guy Rouvrais

    Article paru dans Présent daté du 30 juillet 2016

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