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immigration - Page 1059

  • Tareq Oubrou sera-t-il ministre d’Alain Juppé ?

    Lu sur Infos Bordeaux :

    "Omar Djellil est actuellement responsable associatif à Marseille et par ailleurs très impliqué au sein de la communauté musulmane de la ville. Avant son installation sur la canebière, ce dernier a longtemps milité dans la région bordelaise. Responsable local de SOS Racisme, militant pendant dix ans au Parti Socialiste, il fréquenta assidument la mosquée de Bordeaux et son imam Tareq Oubrou.

    En janvier 2016, celui-ci publiait une lettre ouverte à son ancien mentor dont nous avions publié de larges extraits (« Ce sont tes enseignements qui nous avaient poussés à haïr le Juif » (…) « C’est de tes propres mains que nous recevions des magazines faisant l’apologie d’un certain Ben Laden que tu nous présentais comme un milliardaire islamiste charismatique »).

    Suite aux attentats de Nice, et à la réaction du maire de Bordeaux, Omar Djellil vient d’écrire une lettre ouverte à Alain Juppé où il évoque notamment des tractations entre son entourage et l’UOIF (branche issue des frères musulmans) afin de donner un poste ministériel à Tareq Oubrou !

    « Alors que je venais à peine de me remettre du témoignage bouleversant et poignant d’un père dont la fille avait été tuée lors de l’attentat de Nice, qu’elle ne fut pas ma surprise de vous entendre, vous, l’actuel maire de Bordeaux et candidat déclaré à la primaire « Les Républicains » briser le silence de mort qui entoure le deuil des Niçois pour donner des leçons de morale à la nation et au gouvernement socialiste de François HOLLANDE.

    Accusant le gouvernement d’avoir perdu du temps face à la menace terroriste et le sommant de passer à la vitesse supérieure, vous avez indécemment, comme d’autres, tenté d’instrumentaliser le drame tragique qui s’est joué à Nice. La palme de l’indécence revenant à cette désunion nationale qui s’est transformée en cacophonie politique où chacun expliquant à l’autre qu’il aurait mieux fait en matière de lutte contre le terrorisme.

    Alors que l’identification des corps n’est même pas terminée et que nombre de familles continuent à chercher leurs proches disparus, votre prise de position s’inscrit plus dans l’optique de votre course à la présidence du parti « Les Républicains » plutôt que dans une véritable démarche compassionnelle à l’égard de nos compatriotes. 

    Vous avez certes raison de pointer les carences de nos services de renseignements, faudrait-il encore que vous assumiez le fait que c’est le gouvernement SARKOZY qui a fait fendre les effectifs comme neige au soleil. Vous avez certes raison de rappeler que la menace reste persistante et qu’il faut réévaluer le niveau de vigilance. Mais faudrait-il encore que vous soyez prêt à reconnaître que le langage ultra-sécuritaire du gouvernement SARKOZY ne reposait que sur des effets d’annonce sans lendemain ?  

    Même si la douleur qui a frappé les habitants de Nice est mienne, ce n’est pas le propos de mon interpellation. En fait, Monsieur Alain JUPPÉ, avant de fustiger les uns les autres, vous devriez expliquer aux familles des victimes comment vous êtes devenu le premier soutien de l’Union des Organisations Islamiques de France, organisation qui exhorte les musulmans à rejeter vos valeurs républicaines, qui exalte l’esprit du Jihad en direction des masses musulmanes et qui banalise les attentats-suicides dans le monde arabo-musulman. Vous pourriez dire aux familles endeuillées que votre protégé Oubrou continue de mener conjointement des conférences avec Tareq Ramadan que vous ne cessez de dénoncer comme un ennemi de la République et un extrémiste religieux. Vous devriez rappeler que c’est avec beaucoup d’insistance auprès du Premier ministre Manuel VALLS, que vous avez fait obtenir à Tareq Oubrou, maître à penser de l’UOIF, sa légion d’honneur. Pourquoi ne dites-vous pas que l’un de vos élus, Marik Fethou, fait dans un mélange des genres douteux (conflit d’intérêts) en étant élu municipal, secrétaire général du CAPRI, centre de « déradicalisation » initié par Tareq Oubrou, et attaché de presse improvisé de l’autoproclamé Grand Mufti de Bordeaux.  

    Pourquoi ne reconnaissez-vous pas que des tractations sont menées actuellement entre certains de votre entourage et l’UOIF afin, qu’en cas d’élection à la présidence française, des membres de cette organisation radicale puissent obtenir des postes décisionnaires voir un poste ministériel pour Tareq Oubrou ? Pourquoi ne dites-vous pas aux Bordelais que, malgré vos déclarations publiques, vous continuez secrètement à défendre la construction d’une grande mosquée cathédrale UOIF à Bordeaux ? "[...]

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    Marie Bethanie

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  • Un migrant afghan de 17 ans attaque les passagers d’un train à la hache

    19/07/2016 – ALLEMAGNE (NOVOpress) : Un migrant afghan âgé de 17 ans a attaqué hier soir les passagers d’un train régional à hauteur de Wurtzbourg (Würzburg en allemand), en Bavière. Cinq personnes ont été blessées, dont quatre grièvement, par des coups de hache et de couteau. Le ministre de l’Intérieur bavarois a confirmé qu’il avait lancé « Allah Akbar » au moment d’attaquer les passagers.

    Agé de 17 ans, le terroriste était arrivé en Allemagne dans le flot de réfugiés et y avait été enregistré comme « mineur non accompagné ». Il y avait demandé l’asile politique et avait été hébergé dans une famille d’accueil.

    « Après l’intervention des forces de l’ordre, il a tenté de s’enfuir et a été abattu par une unité spéciale d’intervention de la police allemande (SEK) qui était postée non loin. »

    Refugees Welcome Allemagne

  • Juppé, Sarko, Valls, Cazeneuve : les incompétents se suivent et se ressemblent

    Il convient de renvoyer dos à dos tous ces foireux.

    C’est à l’AGRIF (Association générale contre le racisme et pour le respect de l’identité française et chrétienne) que l’on doit, sans doute, la meilleure appréhension de l’impuissance émolliente qui instille, au sein de l’esprit public, son poison mortel : « La classe politico-médiatique fournit en abondance à chaque attentat son lot de communiqués préprogrammés d’une insigne indigence et répétitivité, ne trouvant souvent pas autre chose à dire que “les attentats sont lâches et abjects”. Un quidam de France Info a même atteint un sommet d’une stupéfiante imbécillité en osant proférer l’interrogation : “Comment un Niçois a-t-il pu tuer d’autres Niçois ?” On reste accablé devant pareille ineptie » (15 juillet). Affligeant, en effet.

    Pas moins, cependant, que les surenchères verbeuses de nos politicards professionnels qui s’avéreraient, probablement, incapables d’organiser un plan ORSEC. Ainsi, Alain Juppé juge-t-il que « si tous les moyens avaient été pris, le drame n’aurait pas eu lieu ». Et si ma tante en avait… Le même d’ajouter : « Je connais la difficulté de la tâche, mais le fatalisme n’est pas une politique. » Martial aphorisme qui l’entraîne audacieusement jusqu’à préconiser un durcissement de « la réponse pénale, notamment pour un certain nombre de crimes terroristes », et de suggérer « d’ailleurs la création d’une police pénitentiaire » (L’Express, 17 juillet). Cela ne mange pas de pain et n’engage que les naïfs, et Dieu sait, hélas, qu’il en reste…

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  • A-t-on le droit de critiquer l’islam ?

    Un communiqué de Grégor Puppinck, directeur de l'ECLJ, sur la condamnation en Autriche d'une conférencière ayant osé parler de pédophilie au sujet de Mahomet :

    "La Cour européenne des droits de l’homme est appelée à se prononcer sur l’étendue du droit de critiquer l’islam à l’occasion de la condamnation pour blasphème d’une conférencière ayant mis en cause les mœurs de Mahomet.

    La conférencière qui saisit la Cour de Strasbourg a été reconnue coupable d’avoir publiquement « dénigré une personne qui est un objet de vénération », à savoir « Mahomet », le prophète de l’islam, d’une manière « susceptible de susciter une indignation justifiée », en violation de l’article 188 du Code pénal autrichien.

    Les propos litigieux ont été tenus durant un cycle de conférences intitulé « Connaissances de base sur l’Islam » à l’Institut d’éducation du Parti autrichien de la liberté (FPÖ) devant une trentaine de participants.

    Il est reproché en substance à la conférencière d’avoir dit que Mahomet avait des tendances pédophiles (il « aimait le faire avec des enfants ») car il s’est marié avec une fille de six ans (Aïcha) et a consommé ce mariage lorsqu’elle n’avait que neuf ans. La conférencière notait que cela posait problème dans la mesure où « le plus haut commandement pour un homme musulman est d’imiter Mahomet », ajoutant plus généralement que « les musulmans entrent en conflit avec la démocratie et notre système de valeurs ».

    Suite à une plainte de journalistes, la conférencière fut condamnée à payer 480 euros ou à purger une peine de soixante jours d’emprisonnement en cas de défaut de paiement. Les juridictions autrichiennes avait jugé ainsi dans le but de protéger la sensibilité religieuse des fidèles musulmans ainsi que « la paix religieuse » en Autriche.

    La conférencière a porté l’affaire devant la Cour européenne des droits de l’homme qui devra juger si la liberté d’expression peut céder le pas devant le respect de Mahomet et de la « sensibilité religieuse » des musulmans.

    L’ECLJ a été autorisé à soumettre des observations écrites à la Cour.

    Pour l’ECLJ, seule la diffusion d’obscénités gratuitement offensantes et inutiles au débat ainsi que les propos incitant à la violence immédiate peuvent être restreints. Tout autre propos –surtout lorsqu’il est appuyé sur des faits réels- devrait être toléré au titre de la liberté d’expression ; cela résulte d’ailleurs de la jurisprudence de Strasbourg.

    Dans son mémoire, l’ECLJ expose notamment la tentative menée au plan international par l’Organisation de la Conférence Islamique pour intégrer au sein du droit international un délit de blasphème sous l’appellation de « diffamation de l’islam ». L’ECLJ s’est opposé à cette initiative au sein des Nations Unies depuis plusieurs années, estimant que les libertés de religion et d’expression sont complémentaires et qu’il n’existe pas de droit pour des croyants (pas plus que pour des non-croyants)  à ne pas faire l’objet de critiques. Plus généralement, la recherche sincère de la vérité devrait toujours être encouragée et bénéficier de la liberté d’expression.

    En l’espèce, pour l’ECLJ, le droit à la liberté d’expression de la conférencière a été violé, celle-ci ayant été condamnée pour avoir dénigré une croyance en elle-même, c'est-à-dire pour blasphème,alors même que ses propos s’appuyaient sur des faits historiques avérés dont la diffusion, dans un contexte politique, participe au débat public."

    Voir ici les observations écrites de l’ECLJ

    Voir ici l’exposé des faits (en anglais)

    Marie Bethanie

  • Les électrons libres du Djihâd

    Dr Bernard Plouvier

    L’on comprend fort bien le désarroi de nos sublimes dirigeants devant l’attentat niçois de la soirée du 14 juillet 2016.

    Pacha Ier (et dernier, espérons-le) et ses ministres avaient assez donné de gages aux roitelets islamo-pétroliers d’Arabie et du Qatar, aux ulémas du milieu musulman grassement établi en France, au sultan turc (dont le trône est plus mal assuré qu’on ne le croyait), pour espérer le calme intérieur avant les présidentielles de 2017. Des tractations avec l’État Islamique établi sur le sol du Kurdistan et avec l’entourage du calife de Mossoul avaient même été débutées.

    Nul en effet, chez les stratèges de l’islam conquérant, n’a intérêt à ce que la Nation française, molle et aveulie, ne se réveille subitement et ne mette en selle un Pouvoir populiste qui entreprendrait le grand rembarquement, c’est-à-dire organiserait le retour massif des musulmans en Dâr al-Islam (en moins beau langage : dans leurs gourbis).

    Seulement, la réalité est là et bien là ! Les attentats se poursuivent, et sont même particulièrement meurtriers : 84 morts et 200 blessés dont une cinquantaine grièvement, c’est un score bien supérieur à n’importe quelle explosion de kamikaze musulman ou de voiture piégée pour la plus grande gloire d’allah. L’inventivité des crapules islamiques de France est d’un rendement bien supérieur à celle des amateurs du Tiers-Monde.

    Comme à l’accoutumée, l’entourage nous présente l’honorable assassin comme un parangon de vertu civique, et l’on nous ressort le couplet – devenu ritournelle obligée depuis l’An 2015 - : il était indifférent à la religion !!! Bref un Djihadiste qui, comme d’autres, n’aurait même pas lu le coran. On nous a déjà joué le scénario et on s’en moque totalement.

    Tout Français teinté de culture islamique – l’on est bien obligé de se pencher sur cette sous-littérature puisque l’on est envahi par les sectateurs d’un allah qui se rapproche dangereusement de la notion de satan – connaît la Taqiya. On savait déjà que le serment d’un Juif n’a de valeur talmudique que s’il est prononcé kippa en tête en se référant à la Torah, étant préférentiellement émis devant un rabbin. La Taqiya, c’est la dissimulation institutionnelle du brave muslim en terre d’infidèles, soit dans le Dâr al-Harb – le Domaine de la Guerre des musulmans contre tous ceux qui ne sont pas musulmans.

    On peut donc tenir pour nulles et non avenues toutes les déclarations de musulmans – des proches de l’assassin jusqu’au recteur honoraire de grande mosquée. Un tueur est un tueur, soit, dans l’exemple des attentats commis depuis 2014 en France, un sociopathe voulant assouvir sa joie de nuire en tuant des « infidèles », un raciste se faisant une joie de tuer du Blanc pour punir la France de ne pas l’avoir fait PDG d’une grande société ou haut-fonctionnaire.

    Comment devient-on un tueur d’allah ? De deux façons. Soit en se convainquant de la justesse de la notion du Djihâd, ce qui définit le fanatique religieux sincère. Abou Bakr II a simplifié le problème en autorisant tout muslim, quels que soient ses âge et sexe, à participer à la féérie du meurtre pour allah, en n’hésitant pas à tuer sans discernement, dans le style : « dieu reconnaîtra les siens ».

    Soit en recyclant sa propre joie de nuire aux autres et à la société, sa haine de minus et de rebut de la société. C’est pourquoi l’on voit quantité de délinquants et de criminels de droit commun se lancer dans le Djihâd, histoire de se donner le beau rôle aux yeux des sauvageons de banlieues, des abrutis des cités de non-droit et des pasionarias du voile coranique. Quand on est une nullité sociale, quand on est incapable de faire quoi que ce soit de positif pour la communauté dans laquelle on vit, on devient un criminel pour allah.

    Ça pose un homme (ou une femme) ; ça ne demande guère d’intelligence, seulement quelques contacts dans le milieu de la drogue pour trouver l’argent nécessaire à l’achat d’armes et d’explosifs… les trafiquants d’armes sont aussi nombreux parmi nos merveilleux immigrés musulmans que les trafiquants de haschich.

    Et l’on introduit l’électron-libre du terrorisme. De même qu’en 1966-68, les gauchistes ont organisé la chienlit occidentale, puis le terrorisme, sans demander l’avis des chefs du Kremlin, les islamistes débiles et ultra-violents de France, de Belgique (en attendant l’action des paumés de Scandinavie ou de Grande-Bretagne) tuent sans être manipulés par les imams djihadistes.

    On en est revenu aux joyeux temps de l’anarchie. On ne tue plus pour mettre fin à l’exploitation capitaliste des peuples, mais pour passer du statut de petite frappe de banlieue à celui de héros et martyr de la cause d’allah le tout-puissant… il y a belle lurette qu’il n’est plus miséricordieux !

    On conçoit que Hollande- Valls-Cazeneuve soient désarçonnés. Les contacts diplomatiques même sulfureux, les concessions aux islamistes, le pire laxisme judiciaire ne servent de rien, face aux électrons-libres et à leur désir de gloriole.

    Il faut revoir la copie ! De même que les « gentils noirs des USA qui sont les victimes des vilains racistes de policiers blancs » représentent 40% de la population carcérale des States (alors que leur poids démographique n’est que de 13%), les « gentils islamistes de France » ne sont peut-être pas nos amis. Peut-être bien que l’immigration-invasion n’est pas réellement une bonne chose et qu’importer des fous furieux venus tout droit du haut-Moyen Âge n’est pas vraiment ce qu’il faut à la Nation française.

    Ohé, les bisounours, il faudrait peut-être ouvrir les yeux ! Et fissa !

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Les policiers municipaux et nationaux doivent être armés d'armes lourdes

    Pierre Martinet est un ancien de la DGSE Service Action. Il travaille aujourd'hui comme directeur associé en charge des opérations pour Corpguard, une société spécialisée dans la prévention et la gestion des risques en France et à l'international. (Nous avons posté ici à plusieurs reprises des interventions de David Hornus, le directeur de Corpguard). Pierre Martinet ne mâche pas ses mots sur la légèreté de la France en "état d'urgence" :

    "Lyoncapitale.fr : Un camion qui fonce sur la foule à Nice, que vous inspire ce mode d'action ?

    Pierre Martinet : Ce mode d'action existe depuis des années, notamment en Israël. Un véhicule lourd ou léger est une arme aussi efficace si ce n’est plus efficace qu'une kalachnikov. Le porte-parole de l'Etat islamique a appelé tous les Musulmans qui adhèrent à leur projet à frapper tous les mécréants avec tout ce qu'ils trouvent sous la main. La première fois, ça a été avec un couteau contre un commissariat du 18e arrondissement de Paris. Le couteau aussi contre deux policiers égorgés à leur domicile, pareil pour l'attaque contre un militaire à La Défense. Ne faisons pas comme si c'était nouveau. La seule différence à Nice, c'est que la personne, plutôt que d'utiliser une voiture, a utilisé un 19 tonnes lancée à une vitesse assez élevée qui fait qu'avec le poids et l’inertie, c’est très difficile à stopper. Surtout pour des primo-intervenants qui ne sont pas équipés comme ils devaient l'être en état de guerre.

    "Si les primo-intervenants étaient équipés d'HK G36, des fusils d'assaut comme la BAC, ça aurait pu changer les choses."

    Les forces de police ne sont pas assez armées selon vous ?

    Ils ont du 9 mm : sur un pare-brise, on l'a vu contre le camion à Nice, ça ne sert à rien. Si les primo-intervenants étaient équipés d'HK G36, des fusils d'assaut comme la BAC, ça aurait pu changer les choses. On fustige toujours les Etats-Unis sur cette question, sauf que eux sont en menace permanente et que les policiers sont équipés d'armes lourdes. On ne met pas des 9 mm en face de kalachnikovs ! Les policiers municipaux et nationaux doivent être armés d'armes lourdes. Ça n'arrêtera pas les terroristes mais ça permettra de les ralentir quand ils entrent en action.

    Comment un camion de 19 tonnes a pu rentrer sur la Promenade des Anglais ?

    Il n'est pas rentré puisque ce n'était pas fermé ! On ne peut pas autoriser ce genre de rassemblement quand on est en état d'urgence et en état de guerre. Les « fan zones » lors de l'Euro de foot, c'était très sécurisé, il y avait des fouilles pour entrer, des forces de sécurité aux abords. Sur la voie publique, c'est impossible d'avoir une telle organisation. Il y a un moment donné, il faut prendre des mesures en adéquation avec cet état d'urgence.

    "238 morts depuis les attentats de janvier 2015... Israël ne l'a pas ce décompte macabre"

    Changer nos comportements notamment ?

    Evidemment. Un rassemblement à Nice, je vous le répète, on ne peut pas l'autoriser. Le camion n'est jamais rentré car il n'y a jamais eu de secteur limité et sécurisé. Il y a 238 morts depuis les attentats de janvier 2015 et près de 400 blessés... Israël ne l'a pas ce décompte macabre. Il faut être vigilant au quotidien. Ça doit être l'affaire de tout un chacun. Est-ce qu'on est en état de guerre ? Oui ! Mais avez-vous vu des changements dans notre quotidien ? Moi non. Il n'y a par exemple pas plus de contrôles...

    "Les militaires de la force Sentinelle qui ont pour ordre de ne pas ouvrir le feu sur l'ennemi, on marche sur la tête !"

    On a vu que les militaires de la force Sentinelle qui étaient présents aux abords du Bataclan, lors des attentats, ont eu pour ordre de ne pas ouvrir le feu. Est-ce encore possible que ces militaires n’interviennent pas ?

    Là, on marche sur la tête. Les militaires ont eu pour ordre de ne pas ouvrir le feu, vous rendez-vous compte ? Nos militaires n'ont pas de mission claire. Ils sont là pour rassurer la population. Ça ne sert à rien s'ils ont pour ordre de ne pas intervenir, à rien. On doit leur dire clairement d'ouvrir le feu face à l'ennemi. Il faut un changement dans les ordre à donner.

    "On est trop laxiste avec les Frères musulmans et les salafistes"

    N'y-a-t-il pas en toile de fond les gueguerres entre les services?

    Il y a toujours eu des accrochages mais quand je vois le rapport Fenech (président de la commission d'enquête parlementaire sur les attentats de Paris et conseiller municipal de Lyon, NdlR) qui dit que la France n'est pas prête face à la menace terroriste, je tombe de ma chaise. On est prêt depuis 1995, à l'époque j'étais encore dans la DGSE. Le problème c'est qu'on a laissé monté cette idéologie de l'islamisme radical en France qui, aujourd'hui, est incontenable. On a été trop laxiste avec les Frères Musulmans, avec les salafistes et toutes les revendications religieuses, au sein des entreprises, au sein des écoles publiques, avec le voile. Une partie du monde musulman se sent attaquée par l'Occident qui refuse le voile. Une partie de l'islam politique en France adhère au projet de l'Etat islamique.

    Quel recul a-t-on sur nos actions militaires en Libye, en Syrie, en Irak ?

    L’efficacité de nos actions militaires sur le front ne se mesurent pas sur une décennie mais sur 30 ou 40 ans. Ben Laden, quand il a frappé le 11 septembre, voulait attaquer les États-Unis pour créer une coalition de certains pays musulmans contre les États-Unis : le principe du terrorisme islamiste est de créer des clivages communautaires. C'est ça le grand risque : l’émotion , la psychose et la déstabilisation d'un pays."[...]

    [Lire la suite sur Lyon Capitale]

    Marie Bethanie

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  • Nice : la voix du bon sens

    Quand LCI interroge le "mauvais" témoin sur le drame de Nice, à une heure de grande écoute :

     

    Marie Bethanie

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  • Dijon : l’imam était proxénète !

    Source : Boulevard Voltaire

    Le barbu qui louait celui de ses petites protégées officiait dans la capitale de la moutarde.

    Il s’agit là d’une vieille blague anticléricale, certes pas très finaude, mais qui peut faire marrer tout le monde, même les copains curés : « La première phrase qu’un flic dit à un pédophile consiste à l’obliger à descendre sa soutane sur ses chaussettes ! » Mondialisation et flux migratoires obligent, l’humour se fait plus fluctuant : les délices de la chair tarifée étant depuis longtemps sans frontières.

    D’où cet imam de Dijon qui vient de se faire poisser dans une vilaine affaire de proxénétisme, à en croire Europe 1. Ce clerc, dont l’identité n’a pas été dévoilée, et dont on ne sait s’il était de tendance libérale ou progressiste, était donc plus porté sur le pain de fesses que les cinq piliers de la foi, même en période de ramadan.

    Certes, être gardien de chèvres pour prostiputes relève du plus vieux métier du monde, et l’islam, même respectueux des cultures et religions ayant précédé son avènement, ne saurait non plus autoriser ces sortes de dérives plus ou moins déviantes. Bon, si l’on résume, le barbu qui louait celui de ses petites protégées officiait dans la capitale de la moutarde ; mais de là à faire commerce de tartes aux poils plus épicées, il y a un pas que même un pied pieux ne saurait franchir de la babouche – ou de la Nike, les chiens d’infidèles, eux aussi, sachant se trouver dans le sens du vent américain dominant.

    Pourtant, les amateurs de la petite entreprise ne pourront que louer l’évident sens du commerce de ce Julot casse-croûte – ou Mouloud kebab –, sachant que le hareng mahométan possédait quelques appartements tournant à plein régime dans la ville d’Amora. Pour tout arranger – la famille, un peu comme la religion, qu’on y croie ou non, demeure une notion forçant immanquablement le respect -, le chéri de ces dames travaillait aussi avec sa fifille, elle-même connue pour monnayer son entrecuisse au premier amant venu disposant d’un brin de liquidités, bancaires comme physiologiques. Bref, une donzelle dont la vertu se réduisait un peu au string minimum.

    Soucieux de son confort, il va de soi que notre maquereau ne roulait pas en Twingo, mais en Porsche Cayenne, lequel véhicule a évidemment été saisi par les autorités judiciaires. Mieux : l’olibrius était aussi aumônier carcéral. C’est-à-dire homme chargé de convaincre ses ouailles de revenir dans le droit chemin ; un peu comme si les époux Balkany ouvraient une école de maintien.

    À cette heure, on n’en sait guère plus, si ce n’est que 80 % de ses donzelles étaient étrangères, principalement issues d’Europe de l’Est et d’Amérique du Sud. Il n’y a donc pas eu de discrimination au faciès. L’honneur républicain est sauf et notre homme, remis en liberté, est aujourd’hui sous contrôle judiciaire. Une heure libre et l’autre pas. C’est le Coran alternatif.

    Nicolas Gauthier

    http://fr.novopress.info/202524/dijon-limam-etait-proxenete/#more-202524

  • Marion Maréchal-Le Pen : « Si nous ne tuons pas l’islamisme, c’est lui qui nous tuera »

    A la suite de l’attentat de Nice, Marion Maréchal-Le Pen, présidente du groupe FN au conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, a effectué une déclaration solennelle. « Si nous ne tuons pas l’islamisme, c’est lui qui nous tuera », affirme-t-elle, avant de livrer un implacable réquisitoire contre ceux qui mènent une politique multiculturelle, devenue « un véritable cauchemar pour les Français ».

     

  • L’état d’urgence ? Une très coûteuse fumisterie à la Hollande

    Ce n’est pas le populisme qui menace la France. C’est François Hollande, en refusant de désigner l’islamisme comme notre ennemi absolu.

    Ne sachant pas comment lutter contre les terroristes islamistes, notre bien-aimé Président François Hollande, dit Flanby-le-Mou, avait pris le taureau par les cornes au lendemain des mortelles fusillades du 13 novembre. Il avait déclaré l’état d’urgence, soutenu par l’ensemble de la classe politique qui ne pouvait qu’approuver une telle mesure sauf à passer pour traître à la nation.

    Et le matin du 14 juillet, tout guilleret, il annonçait que l’état d’urgence, cela suffisait. À partir du 26 juillet, la France pouvait retrouver son état normal. Pour un Président normal, c’était une réaction normale, attendue, vu qu’au bout de neuf mois et des millions d’euros plus tard, notre Président s’est aperçu que, l’urgence n’ayant donné que de piètres résultats et épuisé la troupe, il était urgent d’annoncer sa fin. Ce qu’il fit sans que les deux journalistes, faire-valoir de la communication élyséenne, s’en étonnent.

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