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immigration - Page 1063

  • Polémique sur les Gaulois : au théâtre du buzz, une mise en scène signée Hollande et Sarkozy

    Les propos de Nicolas Sarkozy sur les Gaulois ont fait réagir les proches de François Hollande. David Desgouilles considère et montre avec talent que cette polémique illustre surtout la stratégie des deux rivaux de 2012 pour rejouer le match cette année [Figarovox, 21.09] Décadence absolue de la Ve République. De la République tout court.  LFAR          

    La mécanique est bien rôdée. On croirait presque que Nicolas Sarkozy et François Hollande se concertent avant d'opérer. Le premier lâche une petite phrase dont il sait qu'elle va exciter une partie de la gauche ; puis la Hollandie dépêche ses chevau-légers qui poussent des cris d'orfraie. Tout le monde est content: Nicolas Sarkozy, qui souhaite être au centre du débat alors que la campagne de la primaire a vraiment débuté ; les indignés, qui ne vivent que pour s'indigner, surtout quand il s'agit de Nicolas Sarkozy ; et François Hollande enfin, qui pense que la désignation de son prédécesseur constitue sa seule chance de renouveler son bail à l'Elysée.

    Pourtant, à y regarder de plus près, la fameuse phrase sur «nos ancêtres les Gaulois» avait davantage de raisons de mettre en colère Robert Ménard et Renaud Camus que la gauche française, pour qui Ernest Lavisse ne devrait pas être un gros mot. Nicolas Sarkozy a délivré ici un véritable hymne au droit du sol, à rebours de récentes déclarations qui le remettaient en cause. Quel plus bel hommage, en effet pouvait-il rendre à notre droit de la nationalité en affirmant que celui qui devient français épouse dans le même temps l'histoire de tous ceux qui ont vécu sur le même sol? S'il avait voulu se montrer un défenseur exclusif du droit du sang, il n'aurait pas pu prononcer une telle phrase.

    Mais le «théâtre du buzz» n'a que faire de cette lecture précise. Les décors ne sont pas de Roger Harth mais de Nicolas Sarkozy. Les costumes ne sont pas de Donald Cardwell mais de François Hollande. Et le cocu de la pièce, c'est Alain Juppé. Celui qu'il faut faire disparaître et qui y met d'ailleurs beaucoup du sien. Les acteurs sont nombreux. Eric Ciotti qui explique que la déclaration de Nicolas Sarkozy est une évidence alors qu'il s'agit d'une formulation à caractère illustratif et symbolique. Darmanin et Duflot, dans un échange pathétique de tweets, évoquent Astérix et Casimir, de l'Ile aux enfants. Et, last but not least, notre ministre de l'Education nationale se prend les pieds dans le tapis, se vantant de donner une leçon d'histoire à Nicolas Sarkozy, et se trompant sur le nom de l'auteur du Tour de France de deux enfants.

    Mobiliser contre «le bloc réactionnaire, stratégie soufflée à François Hollande par le visiteur du soir Julien Dray, passe par la valorisation «négative» des faits et gestes de Nicolas Sarkozy. Il suffit d'observer ce qui se passe sur les réseaux sociaux: pour beaucoup d'abonnés de la gauchosphère, se mobiliser contre l'ex-président, qu'il dise tout et son contraire (cela tombe bien, c'est sa spécialité), constitue un réflexe pavlovien. Ces moutons de Panurge sont guidés par des ministres ou des chroniqueurs en service commandé. Pour Nicolas Sarkozy, qui se voit en Trump français, surfant sur les réactions du camp d'en face, c'est une aubaine. Comme l'aurait dit Ségolène Royal, c'est du gagnant-gagnant.

    Mais ce théâtre aura-t-il l'efficacité prévue? Le «peuple des primaires», plutôt âgé et moins connecté que les moins de quarante ans qui ont polémiqué toute la journée de mardi sur cette histoire de Gaulois, aura-t-il été touché par le «buzz»? Rien n'est moins certain. De même que la possibilité de rebond de François Hollande même en cas de désignation de son adversaire préféré. In fine, le numéro de duettistes Hollande-Sarkozy pourrait bien ne profiter qu'à une seule personne, Marine Le Pen. Les participants au pathétique buzz d'hier devraient sans doute y réfléchir. 

    David Desgouilles    

    David Desgouilles est membre de la rédaction de Causeur. Il a publié Le bruit de la douche, une uchronie qui imagine le destin de DSK sans l'affaire du Sofitel (éd. Michalon, juin 2015). Son prochain roman est à paraître en janvier 2017.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • A Beausoleil, les élus de la Ligue du Sud disent non à l’immigration de conquête

    Jean-Jacques Guitard, conseiller municipal de Beausoleil et président du groupe municipal de la Ligue du Sud, interpelle les autorités au sujet de l’immigration de conquête. Récemment, des immigrés illégaux ont installé des tentes devant l’Eglise Saint Joseph, un lieu symbolique qui n’est pas choisi au hasard. 

  • Chronique de livre : Laurent Obertone "Guerilla"

    1034219532.jpgObertone connait la France. Ses rouages, ses ressorts secrets. Il sait que tout cela est potentiellement déjà mort, que la structure est branchée sur respirateur artificiel et que « l’incident » qui tranchera les câbles peut survenir à tout instant.

    Obertone imagine et montre.

    Il imagine le scénario du pire et le pousse à son paroxysme. Ainsi, l’effondrement de la structure France qu’il dépeint se fait en trois jours. Trois jours entre notre situation actuelle et l’univers de Mad Max. Et oui, Laurent Obertone n’y va pas avec le dos de la cuillère!

    Certains verront là une forme d’outrance et une dimension « irréaliste ». Mais là n’est pas le fond de l’ouvrage. Ce livre est le récit du « collapse » du système, de sa faillite à tous niveaux. Certes. Mais là n’est pas l’essentiel.

    Car Guerilla, plus que l’histoire de l’effondrement, est plutôt le récit de la dépression occidentale, de la xénophilie à outrance, de l’ethnomasochisme total. Guerilla est un constat froid et résolument implacable sur l’état de notre société. Et surtout sur l’état de la psyché de « l’homme blanc » contemporain. De ses manies, de ses tares.

    Obertone, par ce texte fort et acéré, prononce une accusation. Une accusation lourde et remuante. Pour formuler son réquisitoire, l’auteur se contente de montrer. Le livre bien qu’œuvre de fiction, et offrant au lecteur des revirements parfois surprenants, parle surtout du réel… Et le constat qu’il en tire est terrifiant.

    Dans ce livre vous ne trouverez pas de héros, ou peut-être quelques rares figures attachantes mais résolument désenchantées, lucides. Trop lucides... Les personnages que l’auteur décrit avec une grande acuité sont, pour la plupart, atteints d’une forme de peste intérieure. Cette peste est incurable et nombre des protagonistes que vous rencontrerez à travers les quelques 400 pages du texte en crèveront… Et de manières peu réjouissantes.

    Dépressifs s’abstenir… Ce texte vous collera au cerveau pendant plusieurs semaines. Et les lueurs d’espérance n'y sont guère nombreuses.

    Guerilla est aussi le récit de l’ultra-violence, du déchaînement absolu. Du ré-ensauvagement brutal des villes et des campagnes de l’Hexagone. De la livraison des cités de France aux barbares. D’ailleurs, l’auteur brille par ses descriptions. Il dévoile la violence totale. Pas de fard ni d’entourloupe. Toutefois, à aucun moment nous ne tombons dans le gore et l’outrance. Cela est un beau tour de force.

    Vous trouverez aussi quelques passages truculents, car le chaos absolu que décrit ce livre peut être le prétexte à une forme d’humour. Un humour sombre : le meilleur.

    Le récit est aisé à lire. Le style est clair, net. Les paragraphes sont courts et accompagnent les respirations du lecteur. Les amateurs de « punchlines » seront satisfaits.

    Guerilla est à mettre dans toutes les mains. Certains se diront mal à l’aise en le lisant. D’autres y verront une prophétie. Parfois on vous hurlera dessus, on vous accusera de faire de la sinistrose et d’être un fasciste primaire. Il s’agit incontestablement de très bonnes raisons de l’acquérir et de le lire. Et surtout de l’offrir sur un ton narquois en affirmant : « Tiens, voici la France qui vient. Tu ne pourras pas dire que tu ne savais pas ».

    Jacques Thomas / C.N.C.

     

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/

  • Invasion migratoire : le temps de la dissidence et de la résistance est venu

    Intervention de Jean-Yves Le Gallou, le 23 septembre 2016, Place du Trocadéro pour le lancement de l’opération « Sauvons la France » par Riposte laïque.

    ♦Pour la première fois depuis deux siècles la sécurité sur les routes n’est plus assurée : à Calais les routes et les autoroutes sont coupées, des automobilistes sont délibérément accidentés ou blessés.

    Et les auteurs de ces actes de piraterie sont laissés en liberté et relâchés quand ils sont arrêtés.

    Pour la première fois depuis quarante ans des étrangers délinquants clandestins se voient reconnaître – par le seul fait qu’ils sont délinquants et clandestins – des droits au séjour et au logement.

    10 000 clandestins de Calais vont être répartis sur l’ensemble de la France.

    Et ils seront remplacés à Calais par de nouveaux clandestins.

    La preuve ?

    Au moment où le gouvernement prétend démanteler la jungle de Calais, il fait ériger un mur entre l’autoroute et cette jungle qui est donc appelé à perdurer !

    Bernard Cazeneuve n’est pas ministre de l’Intérieur de la République, il est ministre de l’invasion, de l’islamisation et de l’occupation de la France.

    Il envoie tous les jours aux préfets des consignes leur enjoignant prioritairement de trouver des logements pour des étrangers clandestins, c’est-à-dire pour des délinquants, c’est-à-dire pour des envahisseurs.

    Un préfet nommé par Cazeneuve, c’est un homme qui réunit ses collaborateurs dans une salle qui porte le nom de Jean Moulin mais qui travaille dans le même esprit que Maurice Papon en 1943. Les plus zélés des préfets mériteraient des Papons d’Or !

    Alors que faut-il faire ?

    Se souvenir, comme le rappelait le général De Gaulle, que « la France vient du fond des âges » et qu’elle n’a pas à se laisser submerger.

    Se rappeler que si l’Etat a contribué à faire la France, aujourd’hui il la défait.

    Et, puisque l’Etat défait la France, il faut le contester.

    Le temps de la dissidence et de la résistance est venu.

    J’appelle les fonctionnaires des préfectures et des directions départementales et régionales de l’Etat, comme les policiers et les gendarmes, à cesser de collaborer à l’invasion de leur propre pays. Je les invite à dévoiler aux citoyens, aux élus locaux, aux médias alternatifs les projets d’installation de migrants sur le territoire. Qu’ils trouvent les moyens les plus appropriés pour faire sortir les informations ! Y compris par les messageries cryptées, comme Télégram ou Signal, qui ne doivent pas seulement servir aux djihadistes mais aussi aux Résistants.

    Un Papon d’Or pour le préfet des Yvelines ?

    Quant à vous, chers amis, n’attendez pas je ne sais quel grand soir – électoral ou non – c’est maintenant qu’il faut vous mobiliser. Il faut vous mobiliser pour des actions locales.

    – C’est localement qu’il faut s’opposer aux associations immigrationnistes.

    – C’est localement qu’il faut s’opposer aux constructions de mosquées.

    – C’est localement qu’il faut s’opposer au halal, dans les cantines, dans les restaurants d’entreprise, dans les grandes surfaces commerciales.

    – C’est localement qu’il faut faire savoir aux femmes bâchées et aux barbus en djellabas qu’ils n’ont pas leur place en France.

    – C’est localement qu’il faut s’opposer à l’implantation de centres d’accueil de clandestins. Et là, chers amis, vous allez avoir du boulot ! Beaucoup de boulot ! Cazeneuve a menti en affirmant que l’Ile-de-France ne serait pas concernée par l’accueil de clandestins.

    Sachez-le : le préfet des Yvelines fait du zèle, il veut son Papon d’Or : il a promis à Cazeneuve de trouver 400 places pour les clandestins… dans un premier temps. Il a déjà proposé deux sites à Rocquencourt et à Louveciennes, et s’apprête à y faire poser les premiers algécos.

    Les maires s’opposent mais parlent de « migrants » alors que ce sont des clandestins, principalement des jeunes hommes africains, délinquants du séjour, squattant Calais ou la jungle de Barbès.

    Il faut réagir vite et fort.

    Très vite et très fort.

    Il y aura dès demain, à l’appel de Versailles Familles Avenir, une grande marche de protestation de la mairie à la préfecture. Rendez-vous demain à 15 heures devant la mairie de Versailles pour aller dire votre colère au petit Papon de la préfecture !

    N’oubliez pas que la seule région de France qui est épargnée par la répartition des clandestins sur tout le territoire national c’est la Corse. Parce que les Corses à Ajaccio comme à Sisco ont pris leur destin en main. Sans l’Etat et même contre l’Etat.

    Prenons exemple sur l’île de Beauté, réagissons, prenons notre destin en main ! Résistons avant qu’il ne soit trop tard ! Dès demain !

    Jean-Yves Le Gallou
    23/09/2016

    Jean-Yves Le Gallou, haut fonctionnaire, intellectuel, homme politique, co-fondateur du club de l’horloge, fondateur et président de la fondation Polémia.

    http://www.polemia.com/invasion-migratoire-le-temps-de-la-dissidence-et-de-la-resistance-est-venu/

  • Journal du Lundi 26 septembre 2016 : Immigration / La riposte contre les camps de migrants

  • Invasion migratoire : un Calaisien témoigne à Versailles