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immigration - Page 1086

  • La crise des migrants et ses conséquences sur l’Europe, vue de Belgrade

    Dragana Trifkovic, journaliste au magazine serbe Geopolitika, et au magazine allemand Zuerst, fondateur et directeur du Centre des études géostratégiques à Belgrade, Serbie, conseillé pour le Parti Démocratique Serbe (DSS)…

    Le début de la crise migratoire

    L’année 2015 a été marquée par la crise migratoire, c’est-à-dire par un déplacement des populations d’une importance jamais vue dans l’histoire récente, ou plus précisément depuis la fin de la Deuxième Guerre mondiale. Avant d’analyser les causes et les conséquences de cette crise, il est nécessaire de se rappeler que la vague des réfugiés du Proche-Orient était précédée par des migrations des Albanais du territoire serbe, c’est-à-dire de Kosovo-et-Métochie, vers l’Union européenne, à savoir l’Allemagne. Fin décembre 2014 et début 2015, des lignes de bus spéciales ont été établies, mais ce n’était pas suffisant pour transporter tous les Albanais de Pristina vers Subotica, c’est-à-dire vers la frontière hongroise.

    En trois mois, selon certaines informations, 30.000 Albanais ont émigré depuis le territoire de la région du sud de la Serbie vers les pays de l’UE.

    Des médias serbes, ainsi que des médias étrangers ont écrit sur cet événement, curieux de savoir ce qui a motivé les Albanais à partir soudainement vers l’UE. Selon les dires des migrants qui ont répondu aux questions des journalistes curieux, en attendant le bus à la gare de Pristina, la cause en était la pauvreté et le futur incertain au Kosovo-et-Métochie. Ils ont également dit aux journalistes qu’ils avaient entendu que l’Allemagne, la France et la Suisse offraient de bonnes conditions de vie aux demandeurs d’asile.

    La région du sud de la Serbie, Kosovo-et-Métochie, se trouve sous l’autorité des forces internationales, à savoir l’OTAN (la KFOR), et, avec le soutien des Etats-Unis et l’UE, des institutions paraétatiques ont été établies dans lesquelles des structures terroristes de l’UCK (l’Armée de libération du Kosovo) ont été incorporées. En ce qui concerne la situation des droits de l’homme au Kosovo-et-Métochie après l’arrivée des forces internationales, elle est comparable à celle des droits de l’homme en Arabie Saoudite dans le sens des tortures, des représailles et des meurtres (surtout des Serbes). La situation économique est désespérément mauvaise puisque toutes les entreprises publiques, qui jadis étaient la base de l’économie, ont été détruites. Cependant, une telle situation perdure au Kosovo-et-Métochie depuis une décennie sans qu’il y ait eu auparavant des migrations organisées de la population. C’est la raison pour laquelle cet événement est resté plus ou moins sans explication, et il a été mis au second plan à cause des migrations beaucoup plus importantes des populations du Proche-Orient.

    Les causes de la crise migratoire

    En principe on peut dire que la migration des Albanais du Kosovo-et-Métochie, ainsi que celle des populations du Proche-Orient, ont été

    provoquées par les interventions des Etats-Unis et de l’UE, c’est-à-dire par leur immixtion dans la politique des Etats étrangers. Le Printemps arabe est le nom donné à plusieurs manifestations au Proche-Orient qui avaient commencé en 2010 et qui ont provoqué le changement de plusieurs gouvernements, mais aussi des guerres. Ces manifestations avaient été incitées avec la méthodologie des révolutions de couleur, définies dans le livre de Gene Sharp, spécialiste du renversement « non violent » des régimes « non démocratiques ». C’est la raison pour laquelle le Proche-Orient est aujourd’hui déstabilisé profondément et à long terme, et beaucoup de pays comme la Syrie, la Libye et l’Irak ont souffert, et souffrent encore des destructions.

    Le prix trop important que payent les peuples du Proche-Orient n’est pas causé par un manque de démocratie ou par un régime dictatorial, mais par les ressources qui existent sur leurs territoires. Pour rappel, la Libye et la Syrie étaient des pays possédant un excellent système social et économique avant la guerre. Les pays occidentaux, avec les Etats-Unis en tête, sont partis à la recherche des ressources déjà à la fin du XXe siècle, après la disparition de l’URSS. La déclaration de l’ancienne secrétaire d’Etat, Madeleine Albright, est assez connue : « Il est injuste que la Russie dispose d’un tel espace et de telles richesses naturelles, pendant que d’autres pays en manquent ». A part les Etats-Unis et l’UE qui suit la politique américaine, ceux qui jouent un rôle spécial dans les conflits du Proche-Orient ce sont les alliés américains dans la région, la Turquie, l’Arabie Saoudite et le Qatar, surtout en Syrie. Ces pays se sont ouvertement confrontés aux structures étatiques syriennes, en voulant tailler la Syrie selon leurs propres besoins.

    Le plus grand nombre de réfugiés de Syrie depuis le début des conflits dans ce pays se trouve dans le pays voisin, la Turquie, mais il y en a aussi au Liban. Selon certaines informations, la Turquie a accueilli près de deux millions et demi de réfugiés syriens. La crise migratoire a culminé quand des vagues de migrants se sont dirigées vers l’Europe, c’est-à-dire vers les pays de l’Europe de l’Ouest, qui n’était pas du tout préparée pour un tel développement de la situation. Ici non plus il n’y a pas de réponse à la question de savoir si la migration vers l’Europe a commencé spontanément ou si elle a été organisée. Comme dans le cas des Albanais de Kosovo-et-Métochie, qui vivent dans de mauvaises conditions déjà depuis plus d’une décennie, les guerres en Afghanistan et en Irak durent déjà depuis quelques années.

    L’UE sans politique unitaire

    Depuis le mois de mars 2015, les Balkans sont devenus une zone de transit pour les réfugiés de Syrie, l’Irak et l’Afghanistan. Des centaines de milliers de réfugiés sont passés par les frontières de la Grèce, la Macédoine et la Serbie, et puis ont continué leur chemin vers la Hongrie et les autres pays de l’UE. En Serbie, le comportement de la population envers les réfugiés était bienveillant, les citoyens ayant fait des efforts pour leur venir en aide de différentes manières, en nourriture, vêtements, médicaments, etc. Dans un passé proche, la Serbie est passée par de grandes souffrances, les guerres et l’agression de l’OTAN, et la population a de l’empathie pour les personnes passant par des souffrances semblables. Dans ce sens, la société serbe a eu un comportement plus que responsable concernant la crise migratoire, ce qui ne peut pas être affirmé pour les Etats membres de l’UE.

    La crise migratoire a démontré le fait que les pays membres de l’UE n’ont pas une politique unitaire, que l’UE est plus que sujette à la déstabilisation, qu’elle est incapable de trouver des solutions constructives et que l’administration de Bruxelles a un comportement extrêmement irresponsable. En seulement quelques mois, les principes sur lesquels est basée l’UE ont été remis en question, et il s’agit de l’unité, de la liberté de circulation et des droits de l’homme.

    Prenons l’exemple de la Hongrie et de son premier ministre Viktor Orban, comme un exemple extrême. Même s’il a conquis les sympathies de beaucoup de nationalistes, en présentant ses actions contre les migrants comme le souhait de protéger les intérêts nationaux de son pays, une telle explication est bien plus que superficielle. Pour rappel, la réaction de la Hongrie envers les migrants a été très brutale ; elle était parmi les premiers pays à ériger une clôture de barbelés ; elle a utilisé la force et le gaz lacrymogène afin d’empêcher les migrants d’entrer dans le pays. Rappelons-nous également que la Hongrie est un membre de l’OTAN, et même si elle n’a pas directement envoyé ses soldats pour bombarder la Libye, elle a participé dans le budget qui y a servi. Par ailleurs, l’UE, dont la Hongrie fait partie, a introduit des sanctions envers la Syrie, tout en fournissant des armes aux rebelles syriens. La question qui se pose alors est de savoir comment un pays peut participer dans la déstabilisation des Etats du Proche-Orient, et, quand il faut faire face à de tels actes, ce pays déclare qu’il protège ses intérêts nationaux et envoie son armée sur des familles avec enfants ?

    Complexification du problème

    Un autre problème c’est la propagation de l’islamophobie, à laquelle beaucoup d’hommes politiques en Europe recourent. Il est vrai que le déplacement des populations du Proche-Orient change l’architecture de la société en Europe, mais nous devons revenir encore une fois sur les causes, pas sur les conséquences. Les tensions en Europe augmentent, surtout parce que l’Europe n’a même pas résolu le problème de l’héritage de son colonialisme, et il s’agit des zones interdites dans beaucoup de grandes villes en Europe, dans lesquelles vivent des migrants depuis bien des années, sans aucune possibilité d’intégration dans la société.

    A cela il faut ajouter le fait que l’UE ne s’est toujours pas remise de la crise économique qui dure depuis 2008, que les Etats membres sont surendettés, certains mêmes proches de l’insolvabilité. De nouveaux problèmes, surtout avec de telles proportions comme la crise migratoire, stimulent la déstabilisation de l’UE à plusieurs niveaux, surtout après les attaques terroristes à Paris, et d’autres formes de violence (Cologne et Vienne), dans lesquelles participent les migrants du Proche-Orient. La suite des migrations en 2016 est attendue quand les conditions climatiques le permettront. Des centaines de milliers de réfugiés vont de nouveau partir vers l’Europe de l’Ouest parce que quelqu’un leur a dit que là-bas ils trouveront la paix et la sécurité. L’UE n’est pas prête pour le développement des événements, comme elle n’est pas non plus capable de faire des pas positifs avec sa politique actuelle. La politique stratégique de l’UE pour résoudre la crise migratoire n’existe pas. Eriger des clôtures, annuler les règles sur la libre circulation ou la répartition du nombre des migrants (même là-dessus les pays de l’UE n’arrivent pas à trouver un accord) ne peuvent pas faire partie d’une solution. Au bout du compte, avec un tel comportement l’UE, non seulement détruit les principes sur lesquels elle est basée, mais aussi elle ne respecte pas les accords internationaux qu’elle a signés, la Convention des Nations unies sur les réfugiés, la Convention européenne des droits de l’homme, la Convention sur le statut des réfugiés, selon lesquelles les pays ont l’obligation d’accueillir tous ceux qui fuient un danger de mort. A côté de cela, dans les pays membres de l’UE il existe des dispositions constitutionnelles qui concernent les demandeurs d’asile. L’Allemagne, par exemple, a une politique de la porte ouverte pour les réfugiés, mais cela se heurte de plus en plus à la résistance des citoyens allemands. Il est certain que continuer à pousser les problèmes causés par la crise migratoire sous le tapis et s’envoyer mutuellement la balle entre les pays membres de l’UE causeront de plus importantes radicalisations de la situation dans l’UE, les tensions vont croître, des troubles sociaux viendront, la xénophobie et l’intolérance se développeront, ce à quoi la bureaucratie de Bruxelles n’est pas prête non plus. Dans une telle ambiance, les troubles pourront facilement se transformer en quelque chose de plus grand. Où est la solution ?

    Acceptation de la responsabilité et la résolution du problème

    Avant tout, les bureaucrates de Bruxelles doivent accepter la responsabilité pour la politique de suivi à l’aveugle des intérêts américains. Une telle politique n’est pas souveraine et ne correspond pas aux intérêts de l’Europe, mais exclusivement aux intérêts des Etats-Unis. Ceci sous-entend des actions radicales et la prise de distance par rapport aux Etats-Unis, mais c’est uniquement comme cela que les politiques européens pourront arrêter les conséquences possibles. Une autre possibilité c’est que le mécontentement croissant chez les élites politiques conduira au changement des politiques dans l’UE, si avant cela il n’y a pas d’intensification de la situation. Dans des conditions pareilles, les nouvelles élites politiques devraient être prêtes à se battre pour résoudre tous les problèmes qui se sont accumulés depuis un certain temps. En ce qui concerne les relations entre l’UE et les Etats-Unis, elles devront de toute façon être redéfinies, car il est devenu clair que l’Europe paye toutes les factures à la place des Etats-Unis, partiellement par sa propre faute. L’UE doit définir une politique stratégique relative à la résolution des problèmes liés à la crise migratoire. Le problème avec les migrants peut être résolu aux bénéfices de l’Europe uniquement si on crée les conditions pour que les réfugiés rentrent chez eux, c’est-à-dire si la situation au Proche-Orient se stabilise. Nous devons également avoir en vue que la résolution de ce problème est à caractère urgent à cause des dangers d’une culmination de la crise en Europe. Cette situation renvoie inévitablement l’Europe vers la Russie, qui a pris les premiers pas en aidant la Syrie dans la lutte contre les terroristes. Si la situation en Syrie se stabilise, et il y a des indications que cela arrivera très prochainement, l’UE devrait alors diriger ses ressources qu’elle gardait pour armer « l’opposition modérée », vers l’aide de l’Etat syrien, c’est-à-dire qu’elle devrait fournir les moyens pour aider les réfugiés par un fonds pour la reconstruction de la Syrie. La même chose vaut aussi pour la Libye, l’Irak et l’Afghanistan, mais le plus grand obstacle à la stabilisation du Proche-Orient peut être les Etats-Unis et leurs alliés, l’Arabie Saoudite, la Turquie, le Qatar, les Emirats arabes unis, etc. Il est évident que la paix mondiale est remise en question par le refus des Etats-Unis d’accepter sa perte de position de la plus grande puissance politique, économique et militaire.

    Enfin, dans le cadre de la redéfinition des relations avec les Etats-Unis, l’Europe doit poser la question sur la responsabilité des Etats-Unis à cause de la catastrophe humanitaire au Proche-Orient, causée par la politique de l’interventionnisme.

    En ce qui concerne la Serbie, elle sera toujours une zone de transit, en tenant compte que les migrants ne sont pas intéressés par un asile en Serbie. La Serbie est un pays très pauvre et n’a pas les capacités pour garantir une vie normale même pour ses propres citoyens. Par ailleurs, la Serbie n’a même pas encore résolu le problème des réfugiés serbes venant de Croatie, Bosnie et Herzégovine, Kosovo-et-Métochie, qui encore aujourd’hui vivent dans des centres collectifs, dans des conditions de vie déplorables. L’UE insiste pour que la Serbie, en tant que candidat à l’accession, accepte une partie des obligations et s’occupe d’un certain nombre de réfugiés. Une telle demande est extrêmement insolente, compte tenu du fait que l’UE n’a aucunement aidé la Serbie en ce qui concerne les réfugiés serbes des républiques de l’ex-Yougoslavie ou de Kosovo-et-Métochie. A part cela, l’UE doit être consciente du fait que la Serbie n’a nullement participé dans la déstabilisation des pays du Proche-Orient et qu’elle n’a aucune responsabilité pour le malheur de ces gens, à la différence des pays membres de l’UE, c’est-à-dire l’OTAN. Le danger existe que le gouvernement serbe, avec Aleksandar Vucic à sa tête, accepte de telles propositions indécentes de la part de l’UE, au préjudice de la Serbie, afin de pouvoir, comme si souvent jusqu’alors, courtiser les fonctionnaires de Bruxelles. La Serbie a l’obligation de faciliter le transit rapide des réfugiés et de leur fournir les premiers soins, ainsi que d’avoir un comportement humain envers eux sur son territoire. Les autres actions et la responsabilité des décisions politiques reviennent exclusivement à l’UE.

    Dragana Trifkovic11/04/2016

    http://www.polemia.com/la-crise-des-migrants-et-ses-consequences-sur-leurope-vue-de-belgrade/

  • L’actuelle inversion des valeurs en Europe occidentale

    Dr Bernard Plouvier

    Autrefois, quand un étranger s’établissait dans un pays d’accueil, il en adoptait la langue et les usages. C’était à la fois une manifestation de pure logique et un désir d’intégration (qui ne signifie pas obligatoirement : assimilation, qui – elle – implique une union physique par mariage et engendrement).

    De nos jours, où les maîtres du jeu économico-politique veulent casser les valeurs identitaires (si l’on préfère : les valeurs nationales), les immigrés sont encouragés à se comporter en envahisseurs, exigeant le respect de leurs usages exotiques et ne prenant pas toujours la peine d’apprendre la langue du pays, qu’ils considèrent davantage comme une zone à conquérir que comme un site de refuge.

    Ils y sont grandement aidés par une multitude de collaborateurs locaux qui préfèrent sacrifier les coutumes ancestrales à l’ombrageuse fierté des envahisseurs. Les boucheries hallal remplacent les boucheries de tradition ; le porc disparaît des cantines de l’État ou des municipalités ; le port de la chemise brodée d’édelweiss est devenu prohibé par nombre d’enseignants suisses qui tolèrent parfaitement que de jeunes musulmanes arborent leur voile islamique ; les islamistes peuvent hurler leurs prières en pleine rue, le vendredi soir, et nombreux sont les politiciens à aider, avec l’argent public, la construction de mosquées

    L’on pourrait multiplier les exemples de cette inversion de polarité. Plutôt que de forcer les nouveaux venus, issus de cultures et de mentalités opposées à celles des Européens, on exige des autochtones, pourtant encore majoritaires, une tolérance d’usages médiévaux, d’abus manifestes, d’ingérences multiples dans la vie de la Nation.

    Ceci s’explique très aisément. La veulerie d’une majorité de citoyens-électeurs a permis l’accès aux apparences du Pouvoir d’une cohorte de politiciens rarement efficaces, parfois corrompus, mais tous soumis à la propagande globalo-mondialiste qui exige, pour assurer la pérennité de la domination des maîtres de l’économie, la réduction des Européens en un état proche de l’abêtissement, qui sera grandement favorisé par le brassage des races, riche d’une promesse de métissage généralisé.

    La grande peur des bien-pensants actuels est le réveil de fierté des Européens de souche, face à la désertification industrielle de leur continent, à l’afflux d’immigrés d’origine extra-européenne, à l’invasion par les islamistes conquérants.  

    La vie en société doit tenir compte de l’opposition irréductible, car génétiquement programmée, entre les hommes d’ordre et les libéraux. Il ne s’agit pas de la simple opposition entre la « droite » et la « gauche » parlementaires, notions simplettes devenues universelles depuis les pitreries rhétoriques puis l’agitation sanguinaire des membres des assemblées françaises, qui ont débuté l’année 1789.

    Le tenant de l’ordre n’est pas obligatoirement un conservateur aux plans politique et social, mais il est de personnalité obsessionnelle. Fiable, psychorigide et intransigeant, il peut être altruiste, mais de façon méthodique, donc légaliste. S’il est sentimental, il devient le serviteur fanatiquement dévoué d’une grande cause. Sa motivation est le sens du devoir et le sens de l’honneur.

    Le libéral, en économie comme en politique, est un enthousiaste sectaire : il croit au progrès, mais il hait toute tradition. Altruiste avec l’argent commun, le produit des impôts, il peut être le pire des esclavagistes dans sa famille ou son entreprise. Le libéral est par essence un égoïste, dont la motivation est le succès personnel, un homme qui n’en fait qu’à sa guise tout en se donnant bonne conscience et en voulant paraître à son avantage dans la comédie humaine.

    En raison de caractéristiques cérébrales différentes, l’homme, plus rationnel, est bien plus légaliste que la femme, elle-même généralement plus sensible aux charmes d’un accommodement entre parties opposées. Cette propension féminine à « arranger les choses », à ne pas suivre les règlements, à détruire les valeurs anciennes et à tolérer l’importation d’absurdités exotiques pour éviter des affrontements, est à la mode en Europe occidentale, où les hommes se sont laissés imposer depuis 1945 le féminisme, dans tous ses débordements.

    Tant que les Européens n’auront pas pris conscience de l’érosion quotidienne de leurs valeurs identitaires par la mollesse politique et administrative, ils iront lentement mais sûrement vers la pire catastrophe de leur histoire.

    La fin de l’Empire romain d’Occident pas plus que la Shoah ne furent des catastrophes européennes, mais elles en initièrent d’autres.

    Du IIIe au VIe siècles, l’Empire accueillit de gré ou de force des tribus germaniques (dont certaines aidèrent à repousser l’invasion asiate des Huns), mais ce fut l’occasion d’une régénération du capital génétique européen, tandis que la catastrophe venait de l’implantation d’une foi rejetant la force. Le christianisme fut l’un des pires agents de destruction de l’Empire romain d’Occident… en Orient, les empereurs ayant compris la leçon, domestiquèrent leurs patriarches et poursuivirent la rude tradition impériale.

    La Shoah fut une catastrophe pour les Juifs, mais elle leur permit d’obtenir un Etat indépendant en plus d’un afflux considérable – qui n’est toujours pas tari - de richesses. L’évocation quotidienne de cet épisode historique fut une catastrophe pour les Européens, étant source de dévirilisation, de repentance grotesque dans sa durée et ses effets, puisqu’étant devenue tous azimuts.

    Des pleurs sur le sort des Juifs on est passé à la ridicule tolérance d’un islam militant et conquérant, à l’abjecte résignation face aux viols de la dernière Saint-Sylvestre en Allemagne, aux discours absurdes, parce qu’incomplets, sectaires et faux, sur la colonisation et l’esclavage. Les politiciens mollassons d’Europe occidentale et scandinave enfoncent jour après jour les Européens dans leur abjection.

    L’Europe a besoin d’hommes d’ordre pour se régénérer. Leurs premières actions seront, bien sûr, de faire respecter les lois de séparation des États et des cultes par les islamistes et d’organiser le retour dans leurs continents d’origine des immigrés extra-européens, pour qu’ils puissent les civiliser, les faire prospérer à l’européenne.

    L’Europe n’est pas une terre d’islam et ne doit jamais le devenir. L’Europe n’appartient qu’à la race européenne, de la même façon que l’Afrique n’appartient qu’aux Africains.  

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’ensauvagement de la France : des rixes de migrants du métro parisien au harcèlement scolaire

    Ces hommes censés fuir la guerre semblent l’importer dans notre pays.
    Nous assistons à l’ensauvagement progressif de la France. Progressif à l’échelle de nos vies mortelles, fulgurant à l’échelle de l’Histoire. Sous les effets conjugués du laxisme et de l’immigration massive, la tiers-mondisation du pays n’est plus désormais le seul « fantasme » de Jean Raspail et Louis Pauwels, vilipendés en 1985 pour avoir osé jouer les Cassandre avec une certaine prescience, mais un phénomène observable sur lequel nous n’avons, pour lors, aucune influence. Les exemples prouvant cet ensauvagement sont multiples, il faudrait un véritable almanach pour les recenser. Deux d’entre eux ont attiré mon attention cette semaine ; ils sont éminemment révélateurs.

    Jeudi soir, deux « rixes » sont survenues sous la station du métro aérien Stalingrad à Paris. Depuis le début du mois de mars, des centaines de « migrants », originaires de plusieurs régions du monde (Érythrée, Soudan ou bien encore Afghanistan), campent à cet endroit. La cohabitation est difficile entre ces migrants aux origines ethnoculturelles variées, mais tout sauf européennes. Inévitablement, des tensions se font fait jour pour le contrôle du territoire, des trafics, la domination d’une communauté.

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  • Tribune libre – L’intégration à la française, par Vincent Revel

    « L’immigration est une chance pour la France. » Aujourd’hui, personne n’a pu échapper à ce slogan formaté. Bien que la majorité des Français commence à penser, avec raison et bon sens, que c’est un mensonge, rien n’y fait : le slogan continue à tourner en boucle dans la bouche de nos dirigeants, de nos médias, de nos artistes et des nombreuses associations militantes situées souvent à l’extrême gauche du paysage politique.

    Pourtant, chaque jour, les faits parlent d’eux-mêmes. Pas un seul lieu en France n’est épargné par les problèmes liés à l’immigration. Il y a de ça quelques mois, j’avais pris la ville de Saint-Etienne pour exemple. Je m’étais « amusé » à relever, sur un seul week-end, quelques faits divers ayant eu lieu dans cette cité de moins de 200 000 habitants. Le résultat fut édifiant : deux filles avait été agressées par trois « jeunes » dont l’un avait sorti un pistolet à cartouches de gaz pour projeter des billes d’acier car les demoiselles avaient eu le culot de rejeter leurs aimables avances (en sachant que l’un des coupables accumulait déjà 47 méfaits !) ; un autre jeune homme, qui accompagnait ses deux cousines, avait été sauvagement agressé sans raison par d’autres « jeunes » ; et, pour finir, le délinquant Ynès Mouhieddine comparaissait au tribunal pour l’agression avec un pistolet à grenaille d’un étudiant dans le bus Saint-Etienne/Montbrison.

    Nos antiracistes me diront que je stigmatise et que les amalgames douteux n’amènent qu’à la haine de l’autre. Soit. Comme ce n’est pas le but recherché et que j’essaye réellement de mieux comprendre ceux que nous avons généreusement accueillis, je me suis penché, en toute impartialité, sur certains propos des représentants des minorités dites discriminées et soi-disant, selon les défenseurs du bien vivre ensemble, parfaitement intégrées.

    Pour commencer, Marwan Muhammad, ex-porte-parole du Collectif contre l’islamophobie en France, avait déclaré à la mosquée d’Orly, en août 2011 : « Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne dans ce pays n’a le droit de nous enlever ça. Personne n’a le droit de nous nier cet espoir-là. De nous nier le droit d’espérer dans une société globale fidèle à l’islam. Personne n’a le droit dans ce pays de définir pour nous ce qu’est l’identité française. » A mon sens, ces paroles ont le mérite d’être claires. Ce Monsieur Muhammad, qui parle au nom de la communauté islamique de France, a visiblement une définition bien particulière de notre système d’intégration.

    Pour poursuivre notre chemin nous menant à la rencontre de l’Autre continuons avec Nabil Ennasri, qualifié de « propagandiste en chef du Qatar à Paris ». En tant que président du Collectif des musulmans de France, il avait déclaré en interpellant les futurs candidats à la présidentielle : « Je me déterminerai au moment de l’élection en fonction de ton rapport avec les citoyens musulmans. » Cette phrase qui appelait les musulmans français à s’enfermer dans un communautarisme sectaire avait pour cible Nicolas Sarkozy et Manuel Valls. C’était un autre bel exemple d’intégration réussie par l’un des plus importants représentants de la communauté islamique en France !

    Pour terminer, nous allons conclure avec Hassan Iquioussen, imam membre de l’UOIF, organisme islamique très influente en France et proche des Frères musulmans égyptiens : « Si vous éloignez la femme musulmane de sa religion, vous avez éloigné les musulmans de l’islam, car la femme est la moitié de la communauté et celle qui éduque les enfants. Vous tuez la femme, vous avez tué les hommes. Donc, ils (les Français) s’attaquent à l’essentiel, notre bijou, notre joyau. » Ce discours ne fut pas tenu en Syrie ni en Arabie saoudite mais à la mosquée de Béziers !

    A titre personnel, je ne peux pas dire que ce fut très encourageant comme rencontre mais je dois avouer que je n’avais aucune illusion. Alors je sais : « Ne stigmatisons pas ! » Mais malgré tout, je persiste et, aujourd’hui, je peux affirmer, sans aucun risque de me tromper, que nos politiques nous ont mentis et nous ont lâchement abandonnés et ont profondément changé la règle du jeu de notre système d’intégration et d’assimilation.

    A présent, c’est à la population de la société d’accueil de s’adapter aux populations immigrés et non plus l’inverse. Pour ne pas stigmatiser, l’autochtone doit s’effacer face à la diversité, face à l’étranger. A ce rythme soutenu de déconstruction nationale, la France, comme le souhaitait tant Jacques Chirac en son temps, aura bel et bien un passé islamique. Ce fatalisme nihiliste, les patriotes ne l’acceptent pas et c’est pour cette unique raison que le gouvernement socialiste cherche à nous faire taire.

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/200424/tribune-libre-lintegration-francaise-vincent-revel/

  • Etat d’urgence pour quoi faire ? Les casseurs-pilleurs de gauche s’en donnent à cœur joie dans Paris

    Hier soir une partie de la manifestation de « Nuit debout » autorisée malgré l’état d’urgence, a quitté la place de la République suite à l’intervention télévisée de François Hollande, pour se diriger vers les Xe et XIXe arrondissements, où elle a pu casser et piller à son aise. Ainsi qu’en témoignait sur BFMTV aujourd’hui un concessionnaire automobile dont le commerce a été ravagé: « qu’est-ce que ça aurait été s’il n’y avait pas eu d’état d’urgence? » Ils étaient en foule ainsi que le montre la prise d’assaut d’un des Supermùarché Franprix.

    Et surtout pas d’amalgame! Tenus à bout de bras par les gros médias (donc de gauche!), « Nuit debout » a surtout pour résultat de mettre Paris à sac, sans que les forces de police n’interviennent alors que l’Etat nous impose par ailleurs un état d’urgence au nom duquel le général Piquemal a été arrêté parce qu’il avait osé prendre la parole dans une manifestation pacifique qui avait le tort de dénoncer l’immigration/invasion. Il est vrai que « Nuit debout » est un mouvement gauchiste, inspiré de Podemos en Espagne, qui espère sauver la gauche du fiasco. Donc pas de poursuites contre les amis du système, même quand ils cassent les outils de travail des honnêtes gens. Par contre, ces casseurs pilleurs ont été gentiment détournés de l’Elysée, où ils comptaient se rendre, loin des centres du pouvoir où il leur a été laissé tout loisir de saccager et de piller ainsi que le montrent les vidéos.

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  • Musulmans en Grande-Bretagne : le sondage qui fait peur

    Un sondage ICM, réalisé pour un documentaire de la chaîne Channel 4 et publié par le Times au début de la semaine, apporte de nouveaux arguments à ceux qui mettent en garde contre l’immigration massive de musulmans dans les pays occidentaux. En effet, d’après ce sondage, qui va dans le même sens que d’autres réalisés en Europe et aux Etats-Unis, 20 % des musulmans vivant en Grande-Bretagne n’entrent jamais dans une maison non musulmane, 39 % des musulmans des deux sexes considèrent qu’une femme doit toujours obéir à son mari, 31 % soutiennent le droit à la polygamie, 52 % voudraient interdire l’homosexualité et 23 % souhaiteraient que la charia remplace les lois votées par le Parlement de Westminster. « Seulement » 4 % disent avoir de la sympathie pour les auteurs d’attentats-suicides.

    Autre sujet d’inquiétude, le nombre officiel de musulmans résidant au Royaume-Uni a doublé en dix ans et dépasse désormais les 3 millions, dont la moitié sont nés à l’étranger. Soit dit en passant, 4 % de 3 millions, cela représente 120 000 musulmans qui ressentent, ou ressentiront quand ils seront un peu plus grands, de la sympathie pour les terroristes !

    Trevor Phillips, qui commentait le sondage pour Channel 4, a fait partie, en tant que président de la commission britannique pour l’égalité et les droits de l’homme (EHRC) de 2003 à 2012, de ceux qui ont imposé le terme d’islamophobie dans le vocabulaire anglais. Il reconnaît aujourd’hui que ce concept a surtout servi à faire taire ceux qui s’inquiétaient de cette immigration et des attitudes de nombreux musulmans. Le vrai problème, explique désormais Trevor Phillips, ce n’est pas l’islamophobie mais le fait que les musulmans britanniques constituent « une nation dans la nation » et que beaucoup d’entre eux ne deviendront jamais des citoyens loyaux, même s’ils sont largement plus de 80 % à affirmer leur sentiment d’appartenance à la nation britannique.

    Trevor Phillips ne manque pas non plus de remarquer le profond mépris pour les filles et femmes blanches, caractéristique d’une partie des musulmans, comme l’ont montré les récents scandales à Rotherham, Oxford, Rochdale et ailleurs. Une prise de conscience un peu tardive pour cet ex-gardien en chef du politiquement correct qui a malgré tout le mérite, contrairement à beaucoup d’autres, de reconnaître publiquement ses graves erreurs de jugement.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent n° 8588 daté du 15 avril 2016

    http://fr.novopress.info/200374/musulmans-en-grande-bretagne-sondage-fait-peur/

  • DERRIÈRE L’ISLAMISATION DE LA FRANCE, LA FRACTURE RACIALE

    Notre communauté de la ré-information patriote, si faible numériquement soit-elle, n’en témoigne pas moins d’un extrême dynamisme. Néanmoins, ce foisonnement d’idées, de livres et d’initiatives émanant de la « réinfosphère », pèche par une insuffisante prise en compte de la fracture raciale de notre pays. On doit cette lacune au fait que la majorité des blogs de la réinfosphère sont animés par des catholiques imprégnés d’universalisme chrétien voyant l’Autre comme un frère et concentrant principalement leur lutte contre l’islam politique.

    Ainsi, par exemple, le charismatique François Billot de Lochner, directeur du collectif France Audace, ne propose pour résoudre le malaise identitaire, dans son dernier ouvrage Eviter la mort de la France, que le tarissement des flux migratoires, alors même que les naissances extra-européennes sur notre territoire dépasseront dans 10 ans celles des autochtones.

    Son site, Liberté Politique, souhaite convertir les musulmans au christianisme afin de les assimiler. Mais ce désir se bloque à plusieurs problèmes concrets. D’une part, il ne s’est jamais vu dans l’Histoire qu’un peuple en train de devenir démographiquement minoritaire puisse intégrer à sa culture et à sa religion des minorités en passe de le dominer par le nombre. D’autre part, si la conversion avait lieu, elle serait minée par des différences identitaires. En effet, l’universalisme des grandes religions planétaires butte systématiquement sur la diversité ethnique qui a tendance à modifier le dogme originel en fonction des spécificités ethno-culturelles. Pour pouvoir divulguer leur foi à l’Humanité, le christianisme et l’islam postulent que les êtres humains sont identiques. Or ce paradigme est faux. Les distinctions culturelles et sociologiques ont pour source des différences biologiques irréfragables.

    Exemple chrétien : le dogme de l’incarnation du Christ a été défini non pas à l’aube du christianisme mais plusieurs siècles plus tard au travers des conciles œcuméniques organisés par une élite impériale européenne dont les aïeux vénéraient des dieux et héros païens incarnés, engendrés de vierges. Mais ce dogme fut majoritairement rejeté par les chrétiens sémites d’Afrique du Nord et du Moyen Orient qui adoraient dans leur passé pré-chrétien des dieux purement spirituels. Aujourd’hui comme hier, 90% d’entre eux sont donc monophysites, (*) excluant pour certains la nature humaine et pour d’autres la nature divine du Christ.

    Ces fractures existent aussi dans l’islam, même radical. Celui-ci émane des bédouins de la pureté du désert de la péninsule arabique et considère qu’on ne doit rendre un culte qu’à un Dieu absolu et uniquement spirituel. Toute vénération des saints est donc totalement prohibée. Or l’islam radical qui gagne toujours plus d’Africains subsahariens ne parvient guère à les extraire de leur culture animiste ancestrale. La secte islamiste nigérienne Boko Haram qui souhaite étendre l’islam radical dans tout l’arc saharo-sahélien a eu beaucoup de mal à conclure une alliance avec l’organisation Daesh implantée en Libye, répugnée par ses pratiques animistes jugées infâmes. Comme l’a exprimé avec justesse le romancier ivoirien Ahmadou Khourouma : « l’Afrique est habitée par des animistes, les uns teintés de christianisme, les autres d’Islam ».

    Pour finir, quand bien même tous les extra-Européens seraient de fervents cathos-tradis, la France resterait un enfer. Il suffit simplement de voir ce que sont devenues les Amériques, dont l’écrasante majorité des populations est chrétienne. Comme nous pouvons le constater sur la carte Sécurité voyageurs de notre ministère des Affaires étrangères, les pays d’Amérique latine les plus sûrs sont ceux où l’homogénéité raciale à dominance européenne est la plus forte, comme par exemple l’Argentine (87% de blancs) et le Chili (58% de blancs). Plus la société est diverse et plus elle est dangereuse à l’instar de la Colombie (37% de blancs, 49% de métis 10,6% de noirs et 3,4% d’amérindiens) ou du Mexique (15% blancs, 70% métis, 12% indigènes, 3% autres).

    Les Etats-Unis n’échappent pas à la règle. Ces fractures se montrent au grand jour lors des élections. Les Blancs qui seront minoritaires en 2060 votent à plus de 60% pour le parti républicain, alors que les Noirs donnent 90% de leurs voix et les Latinos 70% des leurs au parti démocrate. Au sein de ces populations, il y a une ethnicisation du christianisme : les Latinos pratiquant un catholicisme quasi-identitaire, aux côtés de protestants divisés, si l’on schématise, entre baptistes afro-américains et méthodistes anglo-américains. Dans ce pays multiracial dont nous avons une image tronquée par les réussites de Facebook, Google et de l’industrie hollywoodienne, le reporter Michel Floquet nous rappelle qu’un enfant sur quatre mange à la soupe populaire alors que 50% du budget annuel sont consacrés à une armée qui perd toutes ses guerres, que 30 personnes environ meurent quotidiennement sous les balles d’armes à feu et qu’un quart des jeunes noirs est dans des prisons contenant la plus grande population carcérale, dépassant proportionnellement celle de la Chine et de la Corée du Nord !

    Comme chez nous, l’écrasante majorité des extra-Européens s’est implantée à partir des années 1970 grâce à la loi du Président Johnson libéralisant l’immigration. Les Afro-américains issus de cette nouvelle vague récente sont beaucoup plus nombreux que les descendants d’esclaves et de la ségrégation. De mémoire, il y a 50 millions d’hispaniques dont 11 millions d’illégaux. Un flux continu d’immigrés se déverse du Mexique charriant un grand nombre de criminels et de trafiquants de drogues. Ils émanent des cartels mexicains qui ont en 2015, torturé et tué, à proportion égale, deux fois plus de victimes que Daesh, selon le géopolitologue Alexandre Del Valle. Un grand nombre de Latinos ne s’intègre pas, refusant de parler l’anglais et souhaitant rattacher les Etats du sud au Mexique qui les avaient perdus lors de la guerre américano-mexicaine (1846-1848). En ayant ces données en tête, on comprend la popularité d’un Trump !

    Par conséquent, au côté d’une lutte implacable contre l’islam radical, le redressement de la France – puisque c’est elle qui nous intéresse au premier chef – nécessitera la mise en place, sur une période de 40 ans, d’une remigration de tous les extra-Européens ne pouvant ou ne voulant s’intégrer économiquement et culturellement. Au côté de cette remigration, notre diplomatie devra favoriser l’émergence de pouvoirs forts et durables en Afrique afin qu’ils mettent en place des politiques de régulation des naissances à l’instar de la Chine afin d’enrayer une démographie suicidaire, principale cause de la paupérisation et de la radicalisation islamique du continent noir et du déferlement migratoire sur l’Europe.

    Jean Dutreuil

    Source : Nouvelles de France

    https://la-dissidence.org/2016/04/15/derriere-lislamisation-la-france-la-fracture-raciale/

  • Encore une jeune fille assassinée par un « migrant »

    A Genève (Suisse francophone), « la police recherche activement un suspect d’origine africaine qui l’a frappée à coups de barre de fer. »

    Le 11 au soir, « dans le quartier des Hôpitaux universitaires de Genève, une étudiante d’origine italienne de 29 ans a été agressée par un homme qui s’en est pris à elle avec une barre de fer. La jeune femme rentrait à son domicile lorsqu’elle a été subitement attaquée par un individu qui en voulait, semble-t-il, à son sac. La malheureuse a eu le crâne fracassé et est décédée à l’hôpital cantonal des suites de ses blessures.

    Devant l’allée du 22 avenue de la Croisette, à deux pas de l’hôpital de pédiatrie, on voit encore des traces de sang sur le trottoir. François, 54 ans, qui habite l’allée, a vu la jeune femme entourée des secouristes, juste à côté d’une Suzuki swift blanche aux plaques françaises. Il a aussi vu l’arme du crime. »

    Source et suite : leMatin

    http://www.contre-info.com/

  • Déradicalisation : avec un Coran et un tapis de prière, ça marche ?

    Devinez qui se bouscule au portillon des centres de déradicalisation ?

    Parents du monde entier, vous n’êtes pas musulmans du tout, vous vous occupez bien de votre petite Camille, meilleure élève de sa classe avec son amie Sarah la musulmane, vous lui donnez tout votre amour, mais en dépit de tous ces facteurs bénéfiques, elle a basculé dans la radicalisation ? Comment faire, à présent, pour l’aider à se sortir des griffes des djihadistes ? Ainsi, sur France 5, le 7 avril, Dounia Bouzar présente-t-elle son livre Ma meilleure amie s’est fait embrigader.

    Parce que les statistiques, c’est les statistiques. Les nouveaux djihadistes ayant « tellement affiné leurs techniques de recrutement », dit la pionnière en Centre de prévention des dérives sectaires liées à l’islam, créé en 2014, toutes les familles sont concernées. Y compris et surtout celles dans lesquelles on s’y attend le moins. D’ailleurs, même Sarah – « une musulmane vendue », d’après Camille – n’a rien vu venir. Le temps que tout le monde s’aperçoive de l’étrange retranchement de Camille dans son monde intérieur devenu paranoïaque, c’était trop tard : le mal était fait.

    Lire la suite