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immigration - Page 1087

  • Il n’y a pas de « vivre-ensemble » possible avec l’islam

    « Vivre ensemble » : telle est l’ardente obligation que la propagande officielle veut imposer aux Français ! Discours politiques et associatifs, chartes d’entreprise, (dés)informations médiatiques, séries télévisées, films, publicités : tout doit y concourir, tout y concourt !

    « Vivre ensemble », c’est l’injonction politiquement correcte pour faire accepter aux Français de vivre dans une société multiraciale et multiculturelle.

    Seulement voilà : le « vivre-ensemble » avec l’islam est impossible. Pour une raison simple : le « vivre-ensemble » exige la réciprocité dans les relations (le don/le contre-don) et l’islam ignore la réciprocité.

    Ainsi, si vous invitez un pieux musulman chez vous il sera courtois de ne pas lui proposer du cochon et de l’alcool. Mais si vous êtes invité chez lui vous n’aurez pas d’autre solution que de manger halal.

    Lorsqu’une union rapproche un homme et une femme de confessions différentes, chacun peut garder sa religion ou l’un ou l’une adopter la religion de l’autre. Mais un non-musulman qui veut épouser une musulmane doit se convertir au préalable, tout comme la non-musulmane qui voudrait épouser un musulman. Avec l’islam la conversion est toujours à sens unique. Tout comme l’instruction religieuse des enfants. C’est l’islam qui impose sa loi !

    Il en va de même pour la vêture des femmes : l’Européen individualiste et tolérant sera tenté d’accepter, au nom des libertés individuelles, le voile islamique, la burka et le burkini, sans voir que le voile islamique rabaisse au statut de proies les femmes habillées plus légèrement. Le voile et la minijupe ne sont pas compatibles, comme on le voit dans les quartiers islamisés. Le burkini et le bikini ne sont pas davantage compatibles, comme on l’a vu sur les plages corses. Tolérer l’expansion des mœurs musulmanes c’est, à terme, renoncer à notre mode de vie. L’Orient musulman et l’univers européen s’opposent radicalement sur la conception des rapports hommes/femmes comme sur la représentation de la figure ou du corps humain.

    Dans une société urbaine policée chacun se préoccupe du bien-être de son environnement. Il est d’usage, quand on organise une fête amicale ou familiale, de prévenir son voisinage et de limiter le bruit produit tant dans l’intensité que dans la durée. Mais un maire qui a voulu rappeler ces règles de bon sens (et de droit sur le tapage nocturne) lors du ramadan s’est vu accusé d’ « islamophobie ». Le carême catholique est un choix individuel qui ne s’impose pas aux autres ; le ramadan est une fête collective que chacun doit pratiquer ou subir pendant un long mois lunaire.

    Le crime de Saint-Etienne-du-Rouvray est emblématique des relations entre l’islam et le catholicisme. Dans un esprit œcuménique le bon curé avait proposé un terrain à côté de l’église pour construire une mosquée. Démographie et ardeur militante ont fait le reste : Saint-Etienne-du-Rouvray est devenue une commune à majorité musulmane, terre d’islam, en quelque sorte, d’où il est logique, comme en Orient musulman, d’évincer les catholiques : l’égorgement du prêtre par des terroristes de l’Etat Islamique n’est rien d’autre que la traduction symbolique de ce constat.

    Encore une fois l’islam ignore la réciprocité : le Coran reconnaît la terre d’islam où la loi islamique (la charia) doit d’appliquer, et la terre de la guerre où le « djihad », sous une forme ou sous une autre, doit être mis en œuvre. Le Coran enseigne le combat contre les autres religions, non le respect mutuel.

    En conflit partout dans le monde – contre les chrétiens, les bouddhistes, les hindouistes, les païens, les animistes – l’islam ignore l’œcuménisme, la tolérance et le dialogue avec les autres.

    Il n’y a pas de « vivre-ensemble » possible avec l’islam. La résistance est la seule alternative à la soumission.

    Vivent les Corses !

    Jean-Yves Le Gallou, 18/08/2016

    Nota bene :
    Il est possible que certains organismes parasitaires subventionnés ou financés par Soros trouvent matière à poursuivre cet article. Il est possible que des parquetiers serviles les suivent. Qu’ils sachent qu’ils ne seraient pas déçus du voyage !

    http://www.polemia.com/il-ny-a-pas-de-vivre-ensemble-possible-avec-lislam/

  • Le suicide démographique de l'Europe dénoncé au Medef

    Jean-Michel Boussemart est délégué général de Coe-Rexecode, un institut d'études économiques, et Michel Godet, membre de l'Académie des technologies et vice-président de la Fondation MMA des entrepreneurs du futur. Cet article a été écrit à l'occasion de l'atelier «Démographie: un atout pour la France», dans lequel interviendra Michel Godet le 31 août prochain à l'université d'été du Medef. Ces deux personnes invitent l'Europe à pratiquer une politique de quotas en fonction des besoins du marché du travail et à encourager la relance de la fécondité.

    Quel silence assourdissant face au suicide démographique de l'Europe à l'horizon 2050! Les projections démographiques des grandes régions du monde d'ici là sont connues et réévaluées tous les deux ans par les Nations unies et régulièrement par Eurostat pour les seuls pays de l'UE, mais il faut être un spécialiste des bases de données pour s'en servir. De fait, personne n'en parle, surtout à Bruxelles où l'on préfère produire des rapports sur les révolutions technologiques [...]"

    La table ronde du Medef abordera ces sujets :

    • Force française, faiblesse allemande ?
    • Le taux de natalité idéal existe-il ?
    • L’immigration peut-elle compenser la dénatalité ?
    • Lorsque l’enfant paraît...Quels effets sur la consommation ?
    • Mais comment rester en bonne santé démographique sur fond de croissance en panne et de chômage de masse ?
    • Comment faciliter l’insertion des jeunes sur le marché du travail ?
    • Comment garder nos jeunes talents en France ?
    • Quelle politique familiale ? Quelle politique du logement ?
    • Plus d’enfants et plus de vieux... quelles solutions pour résoudre l’équation et ne pas battre en retraite ?

    Michel Janva

  • Migrants : la Norvège construit un mur à sa frontière Shengen avec la Russie

    Un pays qui se protège

    "La Norvège a entamé la construction d'une barrière à sa frontière avec la Russie dans la région de l'Arctique afin de contrôler l'arrivée de migrants qui empruntent cette voie pour rejoindre l'Europe du Nord depuis la fermeture de la route des Balkans.
    Cette barrière, longue de 200 mètres et haute de 3,5 mètres, doit être érigée au poste frontière de Storskog afin de renforcer la sécurité à ce point d'entrée septentrional de l'espace Schengen.
    Environ 5500 migrants, principalement originaires de Syrie, sont entrés en Norvège par ce point de passage l'an dernier. Les organisations humanitaires et des représentants de l'opposition ont estimé que cette mesure allait dissuader les réfugiés fuyant les persécutions dans leur pays et qu'elle rappelait les heures sombres de la Guerre froide.
    La barrière va être érigée dans les prochains mois avant l'installation de l'hiver afin de rendre plus compliquée l'entrée en Norvège en franchissant la frontière sous le couvert d'une forêt locale. Des travaux préparatoires ont été entamés avec le retrait de vieilles barrières en bois qui servaient à contrôler les troupeaux de rennes vivant dans la région. "La barrière est une initiative responsable", a commenté le vice-ministre de la Justice Ove Vanebo".

    Lahire

  • Interdiction du voile intégral en Allemagne : l'identité au coeur du jeu politique outre-Rhin

    Il s'agit là d'une évolution importante outre-Rhin, laquelle, malgré son caractère spécifique à la société et à la politique allemandes, ne devrait pas manquer de retentir sur l'ensemble des politiques européennes face à l'immigration de masse.

    Figarovox a publié hier sur ce sujet un intéressant entretien d'Alexis Feertchak avec Jean-Louis Thiériot, avocat, historien et écrivain, qui a publié en 2011 France-Allemagne, l'heure de vérité (avec Bernard de Montferrand, éd. Tallandier).  

    Nous extrayons de cet entretien quelques passages qui nous ont paru les plus significatifs.  LFAR

    « Alors qu'en France, le débat sur le voile à l'école qui a abouti au vote de la loi de 2004 a été engagé au nom du principe de laïcité, le débat actuel en Allemagne est fondé sur des considérations purement pragmatiques et concrètes. La proposition du ministre de l'intérieur Thomas de Maizière d'interdire le voile islamique dans l'espace public est faite au nom de trois idées simples : protéger la liberté des femmes, faciliter l'intégration, simplifier la tâche des forces de sécurité en évitant que les visages ne soient masqués dans les rues. Il n'y a pas de grands principes invoqués à l'appui de cette interdiction. Le débat porte seulement sur son utilité pour atteindre les objectifs précités et sur sa compatibilité avec la liberté religieuse inscrite dans la loi fondamentale. (...).

    La laïcité est un concept étranger à la vie politique allemande. Le préambule de la Grundgesetz, la loi fondamentale allemande commence par ces mots : « Conscient de sa responsabilité devant Dieu et devant l'histoire, le peuple allemand décrète que…».

    L'état de droit allemand respecte la liberté religieuse mais donne une place à la religion dans la vie de la cité. Les Eglises sont financées par le Kirchensteuer, les citoyens indiquent à quelle religion ils entendent être rattachés - pour les religions historiques, chrétiennes ou juives - ou s'ils sont sans religion. La laïcité comme valeur est une construction française, héritée de la loi de 1905 qu'on ne retrouve à peu près nulle part. En revanche, la proposition de Thomas de Maizière répond à un défi que ne connaissait pas la société allemande : celui de l'intégration d'une minorité musulmane de plus en plus importante, gonflée par l'afflux des migrants auxquels Angela Merkel a largement ouvert les portes. (...).

    Relativement bien intégrée, bénéficiant de la tradition des liens entre l'Allemagne et la Turquie qui remonte au Bagdadbahn des années 1900 et à la première guerre mondiale, la minorité turque posait assez peu de problèmes. Les musulmans ne représentaient que 4% de la population allemande en 2010 contre environ 10% en France. C'est le double choc de l'afflux d'un million de migrants, musulmans dans leur grande majorité, et des attentats terroristes en Bavière commis au nom de Daech qui amène les Allemands à réagir pour préserver la paix civile. (...).

    En dehors de l'extrême gauche de Die Linke, de la frange progressiste du SPD, des Verts et de quelques organes médiatiques comme le Spiegel, la CDU-CSU, la majorité du SPD, les libéraux du FDP et naturellement les souverainistes de l'AFD soutiennent largement cette évolution. L'opinion publique y est encore plus massivement favorable que les partis. Un sondage You Gov du 19 août indique que 85% des Allemands souhaitent l'interdiction du voile dans l'espace public. Plus qu'une problématique de laïcité, c'est une problématique d'identité qui saisit l'Allemagne, massivement. La question culturelle devient un marqueur de la vie politique allemande. Le contexte électoral des mois à venir risque de renforcer le mouvement. Les propositions sur le voile répondent d'ailleurs à l'inquiétude, pour ne pas dire à la panique de la CDU face à la progression de l'AFD qui est crédité de 19% d'intentions de vote pour les élections en Mecklembourg-Poméranie du 4 septembre, deux points seulement derrière la CDU. C'est une manière politique de répondre au refus d'Angela Merkel de revenir drastiquement sur la politique d'accueil des migrants. (...). » 

    Affaire à suivre ... 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Les œufs du dragon

    Bernard Plouvier

    On la savait depuis quelques années, mais on en a une confirmation actuelle : l’invasion de la France par les immigrés africains, noirs et maghrébins, – une invasion à forts relents islamiques –, passe à la vitesse supérieure.

    On savait déjà que, par le jeu des différences de fécondité entre Blanches, autochtones européennes de France, Noires et Maghrébines, notre pays deviendrait un État islamo-africain dans un délai de deux générations – grossièrement : dans un demi-siècle. Nos honorables envahisseurs ne veulent plus attendre le phénomène, somme toute démocratique, de la puissance du nombre pour dominer les très mols autochtones, effectivement indignes de leurs ancêtres.

    Grâce à une multitude de collaborateurs, qui trahissent leur race par amour de l’islamo-pétrodollar, par pure démagogie électoraliste ou par crétinisme, issu de réflexes marxistes ou d’une repentance historiquement absurde, les agités et agitées du bocal, issus de l’immigration-invasion, s’en donnent à cœur joie depuis l’An 2014, où les premiers attentats perpétrés au nom d’un certain allah ont débuté en France.

    Il n’est pas de semaine où, quelque part en Europe de l’Ouest – car le cas français n’est pas isolé -, un ou des Blancs sont poignardés par des meurtriers immigrés. Mais en août 2016, c’est pour un Noir, porteur d’une cardiopathie congénitale et dopé au haschich, mort lors d’une course-poursuite entreprise par les forces de l’ordre, que les media collaborateurs versent des torrents de larmes et d’imprécations (alors même que deux autopsies ont donné tous les renseignements utiles sur cette affaire).

    Qui s’intéresse aux malheurs des Blancs attaqués chez eux, dans le pays de leurs pères, dans le continent européen, qui fut source de la civilisation moderne ? Personne… et pas vraiment les génies du Front ex-National qui sont curieusement devenus très « libéraux ». En d’autres temps, l’on eût entendu les protestations rudes et justes d’un certain Jean-Marie… mais c’était autrefois.

    De nos jours, les Français de souche européenne, davantage gras de la cervelle que du bide – ce qui n’est pas peu dire -, obsédés de cette respectabilité démocratique, qui a remplacé la variété bourgeoise, laissent faire, pratiquant la politique du chien crevé au fil de l’eau.

    On le voit ce 25 août 2016 où, à Reims dans un Centre international de séjour, deux immigrées féministes, spécialisées dans la rage haineuse anti-Blancs – si juteuse en retombées médiatico-politiques, en dollars issus des fondations US ou judéo-US, et bien sûr en islamo-pétrodollars -, ouvrent leur colloque de trois jours consacré aux « victimes du racisme d’État ».

    On imagine aussitôt que l’on va y traiter de la ségrégation raciale intitulée « discrimination positive », qui permet à des extra-Européens de jouir de postes réservés, ou de l’effarant laxisme judiciaire – héritage de l’illustre Taubira – qui permet aux fruits pourris de l’invasion africaine et proche-orientale de jouer en toute impunité aux délinquants multirécidivistes : soit les expressions les plus achevées d’un racisme d’État.

    Non, pas vraiment ! Il s’agit de geindre une millionième fois sur les « violences policières » et sur les misères de l’époque coloniale, de pleurer sur une institution organisée par des Noirs et des marchands musulmans : l’esclavage aboli en 1848, sauf en terres d’islam où il fait toujours florès, en dépit d’hypocrites dénégations officielles.

    Il s’agit aussi (voire surtout) de pousser les imams de banlieues et les féministes les plus fortes en gueule à se lancer dans la politique… et l’on imagine que le Parti socialiste à la dérive et les millionnaires en euros du Parti de gauche espèrent un regain de participations immigrées aux prochains scrutins. Les votes, c’est comme l’argent du regretté Vespasien : ça n’a pas d’odeur.

    Dans toutes les histoires de dragon, la mise à mort de celui-ci ne sert à rien si l’on n’a pas détruit ses œufs… c’est ce qui permet de sortir une ou des suites. Il est indispensable de bien cibler notre dragon, destructeur d’êtres et de biens, puis de tirer toutes les conséquences de cette identification.  

    L’An 2015 fut pourri, sanglant, ignoble. L’An 2016 est purement et simplement immonde. Qu’en dépit de toutes les saloperies perpétrées contre des autochtones depuis trois années par les envahisseurs, des rejetons de l’immigration continuent de s’agiter de façon aussi contraire au bon sens et à la réalité des faits, prouve notre degré d’aveulissement.

    Si nous laissons délirer les agitées du bocal, tandis que leurs mâles pillent, incendient, violent, tuent, nous ne sommes bons que pour l’esclavage, car nous sommes devenus indignes de nos pères.

    On réagit ou l’on meurt. C’est vrai pour un homme, comme ce l’est pour une civilisation.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Horreur des charniers découverts en Syrie, tandis que des dizaines de milliers de djihadistes abattus restent non-identifiés. Analyse de la situation

    Alors que les charniers autour de la ville de Palmyre, qui a été occupée par les islamistes, n’en finissent plus d’être découverts depuis que l’armée syrienne à l’aide de l’aviation russe l’a libérée, les traces d’horreurs et de tortures que révèlent les cadavres dépassent toute imagination. Dans le même temps la Syrie tente d’identifier les dizaines de milliers de cadavres de djihadistes abattus, qui appartiennent à de multiples nationalités, dont la France.

    Le président du Comité suprême d’expertise médico-légale de Syrie, Hussein Nofal a déclaré devant le Conseil de Sécurité de l’ONU:

    « Nous avons réussi à identifier des dizaines de milliers de djihadistes abattus, qui étaient citoyens de France, de Turquie, d’Irak, d’Arabie saoudite, de Jordanie, du Liban et d’autres pays arabes. Mais il nous reste encore 30.000 cadavres non-identifiés ».

    A propos des charniers: 

    « Lorsque nous trouvons des fosses communes dans les localités libérées, le plus souvent nous ne réussissons qu’à établir la cause du décès, beaucoup trop de temps s’étant écoulé depuis le moment de la mort. Très souvent, nous découvrons que les habitants tués ont été torturés, battus, blessés, ou ont subi des injections de fuel et d’huile dans le sang. Certains cadavres féminins contenaient des objets étrangers introduits du vivant des femmes ».

    Il ajoute que 60% des violences perpétrées en Syrie ont visé des enfants qui subissent de plus en plus des sévices corporelles et sexuelles, tout comme les femmes. 

    La Syrie accuse la France

    La France, notamment, refuse de coopérer avec les services syriens pour identifier ses ressortissants islamistes abattus et refuse de récupérer leurs cadavres. Dans le même temps à l’ONU la Syrie a accusé la France d’avoir lancé une attaque au gaz sarin dans la région de Damas en 2013 qui aurait fait 1500 morts civiles. C’est le journal britannique The Independent qui rapporte les propos du représentant de la Syrie:

    « L’utilisation d’armes chimiques dans la région de Damas a été conçue pourempêcher le Dr Ake Sellström [enquêteur de l’ONU] d’aller à Alep, car [la France] savait qui avait utilisé des armes chimiques à Alep. Ils voulaient empêcher par tout les moyens, le Dr Sellström d’atteindre Alep  et par conséquent, ils ont utilisé des armes chimiques à Damas avec la participation des services secrets français. » explique Bashar al-Jaafari, représentant permanent de la Syrie à l’Organisation des Nations Unies.

    Selon les accusations syriennes, cette nouvelle attaque au gaz en 2013, alors que l’ONU enquêtait pour déterminer l’origine de précédentes attaques chimiques, est venue renforcer les accusations internationales contre la Syrie, alors qu’il était évident que la Syrie avait toutes les raisons de ne pas les faire, puisqu’elle était en train de tenter de convaincre les enquêteurs de son innocence. Mais, contre toute raison, cette nouvelle attaque au gaz a renforcé les attaques internationale contre Bachar-el Assad et dressé l’opinion contre son gouvernement,  accuse la Syrie.

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  • L’inversion accusatoire : un artifice de propagande aux mains de l’oligarchie, qu’il faut dénoncer

    A côté de la novlangue, l’inversion accusatoire tient une place de choix dans les outils de propagande de l’oligarchie. Décryptage.

    Une défense et une arme

    L’inversion accusatoire est un processus de défense bien connu des prétoires consistant à imputer la cause finale d’un délit non pas au coupable mais… à sa victime.

    Ainsi, par exemple, si un touriste a été victime d’un pickpocket, c’est parce qu’il a été imprudent en faisant étalage de son argent : en quelque sorte il a incité le voleur à passer à l’acte.

    Ne riez pas ! C’est en application de ce processus, par exemple, que dans le métro parisien on vous avertit dans toutes les langues que des pickpockets sont susceptibles d’être présents dans la station. Conclusion : s’ils vous volent ce sera de votre faute car la RATP vous avait prévenu !

    Ce type de défense est très prisé de nos jours puisqu’il correspond à l’idéologie rousseauiste : l’homme est bon par nature et c’est la société qui le corrompt. Il correspond aussi à l’idéologie gauchiste de la Défense Sociale Nouvelle (1), consistant à présenter les délinquants comme des victimes que l’on doit réinsérer au plus vite dans la société. Il fait le lit du laxisme pénal car il génère la culture de l’excuse avec toutes les conséquences que l’on connaît.

    Mais l’inversion accusatoire ne se cantonne pas à la procédure judiciaire. Elle est aussi devenue une arme aux mains de l’oligarchie, d’autant plus redoutable qu’elle s’appuie sur la sidération médiatique. Les oligarques ne cessent, en effet, d’accuser leurs opposants et les peuples européens de leurs propres vices. Quelques exemples.

    Premier exemple : vous jouez sur les peurs !

    Un argument accusatoire habituel de la propagande officielle consiste à affirmer que les populistes joueraient sur les peurs (notamment la peur de l’immigration), ce qui ne serait pas bien.

    Mais que font en réalité les oligarques sinon essayer de provoquer la peur à chaque consultation électorale ?

    Ainsi, que n’ont-ils pas dit avant le vote anglais sur le Brexit ? Par exemple que l’économie anglaise allait s’effondrer, que les marchés allaient s’affoler et que, bien sûr, cela coûterait à la France une diminution de sa croissance.

    De même, s’agissant de l’euro et des traités européens, l’oligarchie ne cesse de jouer sur le registre de la peur : si l’on sort de l’euro, les Français perdront leurs économies… Si l’on sort de l’Union européenne, ce sera la guerre, etc.

    On a vu de même, cet été, le gouvernement socialiste et ses médias diffuser la thématique selon laquelle la France serait au bord de la guerre civile (2) : nouvel exemple d’instrumentation de la peur.

    Second exemple : vous êtes des complotistes !

    Autre exemple d’inversion accusatoire : le complotisme, qui serait une maladie d’extrême droite consistant à voir des complots partout.

    Mais en réalité c’est bien l’oligarchie qui complote en permanence contre les peuples européens : contre leur souveraineté et leur identité.

    L’oligarchie ne complote pas mais elle négocie dans le plus grand secret le Traité Transatlantique. Elle necomplote pas mais elle s’efforce par tous les moyens de nous entraîner dans une hostilité croissante vis-à-vis de la Russie. Elle ne complote pas mais elle impose au peuple français, avec le Traité de Lisbonne, un traité européen qu’il avait récusé par référendum.

    Elle ne complote pas mais la fondation Open Society de G. Soros (3) finance partout des mouvements destinés à diffuser l’idéologie libérale/libertaire et à favoriser l’immigration. L’oligarchie ne complote pas mais ses principaux leaders européens sont tous passés par les Young Leaders ou la banque Goldman Sachs.

    Troisième exemple : vous êtes raciste !

    L’accusation de racisme, sans cesse proférée à l’encontre des Européens en général et des Français en particulier, relève également de l’inversion accusatoire.

    Car en réalité la dénonciation obsessionnelle du racisme des autochtones traduit la haine cosmopolite de toutes les identités – et notamment de l’identité européenne – qui anime les oligarques. Les oligarques préfèrent toujours l’homme aux semelles de vent, plus malléable, à l’homme enraciné. Ils préfèrent les immigrants aux autochtones et les étrangers aux citoyens.

    En fait, leur antiracisme ostentatoire cache leur haine de tout ce qui est « terroir, bourrées, binious, bref, franchouillard ou cocardier » (4). Il est d’ailleurs frappant de constater que ces prétendus « antiracistes » professionnels refusent de reconnaître et donc de combattre le racisme antifrançais ou bien la christianophobie : ce qui traduit bien la véritable orientation haineuse de leur posture (5).

    En outre, comme le faisait remarquer Annie Kriegel en son temps, la dénonciation du racisme à tout bout de champ, initiée notamment en France par l’opération SOS-Racisme, a contribué à diffuser « une vision racialiste des rapports sociaux », c’est-à-dire à voir des questions raciales là où il n’y en avait pas. Donc en réalité àdiffuser le racisme en France.

     Les oligarques, qui prétendent lutter contre la diffamation raciale, diffament en réalité en permanence et en toute impunité les Français et les Européens en les accusant, et eux seuls, de tous les crimes possibles : croisades, esclavage, colonialisme, militarisme, antisémitisme, xénophobie, racisme, etc.

    Quatrième exemple : vous menacez la démocratie !

    Enfin, dernier exemple, l’accusation portée à l’encontre des mouvements populistes de menacer la démocratie, voire de vouloir imposer un régime dictatorial.

     Il s’agit également d’une belle inversion accusatoire car c’est bien l’oligarchie qui détruit la démocratie en particulier en s’attaquant à la souveraineté des nations, en marginalisant la citoyenneté (6) et en donnant aux juges inamovibles la primauté sur les législateurs. Il suffit aussi de se rappeler ces oligarques vitupérant contre le référendum après le vote anglais sur le Brexit (7) pour mesurer l’étendue de leur esprit « démocratique ». En réalité, ce qu’ils nomment démocratie signifie seulement la soumission des peuples à l’idéologie et aux intérêts de l’oligarchie.

    Il est d’ailleurs significatif que les oligarques aient choisi de donner un sens péjoratif au mot populiste : car dans leur esprit il ne faut surtout pas faire la volonté du peuple, mais au contraire soumettre tous les peuples à leur loi et à leur gouvernement (8).

    Il faut dénoncer l’inversion accusatoire

    Le décryptage de la novlangue nous a appris à distinguer la réalité derrière le masque des mots.

    Nous savons, par exemple, que ce que les oligarques nomment liberté désigne en réalité la nouvelle condition servile qu’ils veulent nous imposer. Comme nous savons ce que veulent vraiment dire des expressions commeun quartier populaire, ou l’acte d’un déséquilibré.

     En ouvrant les yeux sur les pièges de l’inversion accusatoire, nous allons maintenant découvrir que ceux qui jouent en permanence les procureurs des peuples européens les accusent en réalité des crimes qu’ils ont l’intention de commettre contre eux.

    La novlangue est une tromperie sur et par le langage (9). L’inversion accusatoire est une tromperie encore plus grave car elle porte sur la distinction entre le Bien et le Mal. Car avec l’inversion accusatoire, le Mal se pare des couleurs du Bien et du Juste.

    C’est pourquoi il faut dénoncer cette autre forme de désinformation.

    A vous de jouer maintenant !

    Michel Geoffroy, 20/08/2016

    Notes : 

    1. Voir notamment l’œuvre de Marc Ancel.
    2. A cause de… l’ultra-droite, selon le responsable de la DCRI…
    3. LeMonde.fr du 19 août 2016 présente M. Soros sous les traits d’un « philanthrope »…
    4. « Bien sûr, tout ce qui est terroir, bourrées, binious, bref, franchouillard ou cocardier nous est étranger, voire odieux », Bernard-Henri Lévy, Edito de Globe paru en 1985.
    5. Ce qui ne les empêche pas, dans un autre processus d’inversion accusatoire, de clamer « FN = F Haine » !
    6. En donnant aux étrangers les mêmes droits, voire des droits supérieurs, que ceux des citoyens.
    7. « Il faut arrêter de dire que le peuple a toujours raison », Daniel Cohn-Bendit, LeFigaro.fr du 5 juillet 2016.
    8. Les cosmopolites qui préconisent un gouvernement mondial veulent instaurer en réalité une dictature mondiale : la leur.
    9. Pour reprendre l’expression du journaliste Michel Legris.

    http://www.polemia.com/linversion-accusatoire-un-artifice-de-propagande-aux-mains-de-loligarchie-quil-faut-denoncer/