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immigration - Page 1091

  • Sisco : agressés par des adultes musulmans, les jeunes Corses répliquent…

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    Caroline Alamachère Riposte laïque cliquez ici

    une attaque raciste et kouffarophobe qui a eu lieu sur une plage de Sisco au Cap Corse, après que des individus arabo-musulmans s’en soient lâchement pris à des adolescents.

    La presse unanime relate l’agression en distinguant bien les agresseurs « des jeunes d’origine maghrébine », « de la communauté musulmane », alors que ceux-ci, aux dires de témoins, auraient en réalité été âgés de plus de 40 ans, tandis que les agressés, non armés, sont « des jeunes Corses » âgés, eux, de 15 à 18 ans.

    Le tableau est posé.

    Selon le témoignage d’une maman de l’un des agressés, les victimes se trouvaient sur une crique, « armés de leur serviette de plage », lorsque des individus en bandes armés, eux, de « haches, couteaux et harpons » et de matraques sont venus les poignarder, frappant notamment sur la tête le plus petit d’entre eux. Même en bande, le courage n’est pas la qualité première de ceux qui ont pour ordre divin de frapper les kouffars.

    Le tort des Corses ? Avoir pris, de loin, des photos du paysage sur lesquels apparaissaient des personnes vêtues de tenues exotiques (les femmes étaient en « burka ») datant d’une lointaine époque et donc aussi incongrues que celles de Jacquouille-la-Fripouille en plein 21e siècle. Ce n’est d’ailleurs certainement pas un hasard si les agresseurs sortis de leur propre Moyen-Age s’en sont également pris aux voitures garées là, puisque les femmes en burka ont crevé les pneus, tout comme Jacquouille en panique devant un moyen de transport moderne frappait « la chariotte du diable » du facteur.

    L’affrontement aurait fait une demi-douzaine de blessés, dont une femme enceinte ainsi qu’une autre personne dans un état très grave du côté des Maghrébins.

    La maman, décrivant une « scène de guerre » dans laquelle sont intervenus une centaine de policiers et de gendarmes, poursuit son témoignage : « le copain de ma fille, sous ses yeux, a esquiver un coup de couteau dans le ventre ». Trois des pères des jeunes Corses sont arrivés en premier sur les lieux pour tenter de régler la situation, tandis que l’un d’eux aurait esquivé un coup de couteau, avant qu’un autre ne se prenne un coup de harpon.

    « Mon frère a été tabassé, il est choqué pour toujours », a déclaré la sœur de l’un des agressés.

    Un témoin a déclaré que les agresseurs, âgés de 40 à 50 ans et, semble-il, d’origine marocaine, ont crié « Allah akhbar ! On est chez nous ! », avant de continuer : « on va niquer vos femmes, on va les mettre pleines ! On va s’en prendre à vos enfants ! ». Bref, rien que du classique. Une femme aurait également été lapidée par des Maghrébins, selon un autre témoin de la scène.

    Pour comble de crétinerie, des membres des musulmans agresseurs ont mis le feu à leurs propres véhicules…

    Après cette attaque par des adorateurs de Mahomet, on ne peut que féliciter la ténacité du maire de Cannes ainsi que celle de Lionnel Luca à Villeneuve-Loubet de n’avoir pas cédé aux revendications communautaires d’islamistes désireux d’appliquer la charia sur notre sol, la justice ayant donné raison à ceux-ci en raison du trouble à l’ordre public que le port du burkini ne pouvait que générer. Nous n’avons, en effet, pas vocation en France à tolérer des revendications d’un autre âge ostensiblement idéologiques, sexistes et porteuses de sous-entendus accusatoires laissant entendre que tous les hommes en France seraient des violeurs potentiels de musulmanes.

    Lionnel Luca avait rédigé un arrêté stipulant que « l’accès à la baignade à toute personne ne disposant pas d’une tenue correcte, respectueuse des bonnes moeurs et du principe de laïcité, et respectant les règles d’hygiène et de sécurité adaptées au domaine public maritime » serait interdit. La charia n’a en effet pas lieu d’être en France.

    C’est dans ce contexte qu’en fin de matinée, ce dimanche, suite à cette agression kouffarophobe, des manifestants ont été reçus à la préfecture de Bastia. Parmi eux, certains ont crié « aux armes, on va monter parce qu’on est chez nous ! ».

    Nous ne pouvons qu’encourager et féliciter nos amis corses pour leur courage et leur refus de ne pas se laisser marcher sur les pieds par la racaille islamiste.

    De même, on peut s’interroger sur l’incapacité de Bernard Cazeneuve de faire régner l’ordre « républicain » sur notre territoire, rôle qui lui est pourtant dévolu et pour lequel il est grassement payé. On ne peut que constater que le résultat de sa politique laxiste joue davantage en faveur des racailles qu’en faveur du peuple qu’il est supposé protéger.

    Il va falloir que cet improbable régime socialiste annonce clairement la couleur : soit il installe l’islam incompatible avec notre civilisation sur notre sol afin de nous faire disparaître, soit il nous défend de cette « idéologie d’agression » hostile à toute élévation intellectuelle, à toute beauté, et surtout à toute tolérance. En tout cas, il ne peut y avoir cohabitation. Quand on se rend à la plage avec des haches dans le but de frapper des non musulmans, ainsi que l’ordonne le coran, c’est qu’on a la volonté de nuire, qu’on est en guerre.

    Si on est en guerre, alors il faut bouter l’ennemi hostile hors de nos frontières françaises afin de protéger les nôtres, point barre.

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  • Et maintenant le burkini enflamme la Corse !

    500 personnes se sont rassemblées à Bastia pour exprimer leur colère devant cette bagarre causée par un groupe de musulmans.

    On aurait dû se dire que l’affaire était d’importance quand, ce dimanche matin, M. Cazeneuve s’est fendu d’un de ces communiqués dont il a le secret:

    Dans des circonstances et pour des motifs que l’enquête devra déterminer avec précision, une violente rixe a éclaté ce soir à Sisco (Haute-Corse) entre des riverains et un groupe d’une dizaine de personnes extérieures à la commune. Quatre personnes blessées dont une femme enceinte ont été évacuées vers le centre hospitalier de Bastia. Leur pronostic vital n’est pas engagé. Trois véhicules ont été incendiés, provoquant de fortes perturbations de la circulation et un début de feu de végétation rapidement circonscrit. L’intervention des forces de l’ordre engagées – 100 policiers et gendarmes – a permis le retour au calme dans la soirée.
    Le ministre reconnaissait bien la gravité de l’événement, mais mentait, par omission, sur les « circonstances et les motifs » et aussi sur « le retour au calme dans la soirée ». Car rapidement, le caractère intercommunautaire de la « rixe » était avéré et l’origine en serait bien… le burkini. Quant au retour au calme, ce n’était pas tout à fait le cas dimanche matin…

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  • #OPREMIGRATION : TOURS !

    Face à l’invasion migratoire, la Dissidence Française se mobilise ! Afin de faire connaître nos solutions à un nombre maximum de Français, nous avons lancé depuis plusieurs mois une vaste campagne militante dans toute la France : l’Opération Remigration (#OpRemigration).

    Il y a quelques jours, nos militants étaient ainsi mobilisés à Tours pour diffuser notre mot d’ordre « Remigration » sur plusieurs ponts d’autoroute.

    Voici quelques photos de cette opération.

     

    https://la-dissidence.org/2016/08/10/opremigration-tours/

  • La France est en guerre ? Elle l’a cherché

    Depuis l’attentat contre Charlie Hebdo, on ne cesse de nous le répéter : la France est en guerre. Après le carnage de Nice, c’est même un leitmotiv commun aux trois grandes formations politiques du pays. Eh bien, oui, n’en déplaise à tous ceux qui refusent de l’admettre pour ne pas avoir à en tirer les conséquences qui s’imposent – repenser l’immigration -, la France est en guerre. Une situation totalement inimaginable il y a dix ans, qui mérite au minimum qu’on s’interroge. Comment en sommes-nous arrivés là ?
    On ne prend conscience de la guerre que lorsqu’elle frappe à notre porte, mais la vérité, c’est que la France n’est pas en guerre depuis le 7 janvier 2015, mais depuis le 19 mars 2011, depuis l’intervention en Libye, une intervention qui, du point de vue de l’adversaire (et aussi de beaucoup d’observateurs neutres), a été perçue comme une agression unilatérale et illégitime.

    Cette intervention il faut le souligner, fut le fait de Nicolas Sarkozy et de personne d’autre. Preuve que cette guerre, il la voulait à tout prix, bien qu’il ne fût pas suivi au sommet de Bruxelles du 11 mars 2011 sur une demande d’instauration d’une zone d’exclusion aérienne, et bien qu’il se retrouvât isolé lors du sommet du G8 à Paris, il ne se découragea pas. C’est au Conseil de sécurité, suite au forcing du Qatar et de l’Arabie saoudite, que notre Président emportera l’adhésion de ses alliés, usant d’un stratagème déjà testé dans cette même enceinte en 2003 : la menace d’un génocide sur la ville de Benghazi, une fable inventée de toutes pièces par les insurgés et colportée complaisamment par l’inénarrable Bernard-Henri Lévy. Nicolas Sarkozy voulait singer son mentor George W. Bush et la Libye lui en fournissait le prétexte ; tout le reste n’est que littérature.
      Exit Sarkozy, voilà que l’insignifiant François Hollande, afin de se donner un semblant de stature de chef d’État (il était tombé à 36 % d’opinions favorables six mois à peine après son élection, record absolu), se crut obligé de faire dans la surenchère. Encouragé par un ministre des Affaires étrangères irresponsable et irréfléchi (« Al-Nosra fait du bon boulot »), celui que les Français allaient vite caricaturer comme l’homme au pédalo se prit de donner à la France, et devant les caméras du monde entier, des allures de grand propagateur des valeurs « démocratiques », pour comble au moment précis où les USA, forts des leçons du bourbier irakien, semblaient y renoncer.

    En 2003, la France s’était courageusement opposée à l’intervention en Irak. Depuis, comme pour faire amende honorable, elle a pris la tête du camp des jusqu’au-boutistes, sans en avoir ni les moyens ni la crédibilité. Pour Daech et les autres composantes du djihadisme, elle est perçue comme un adversaire particulièrement vulnérable, le maillon faible de la coalition. Et pour cause : l’accès par voie terrestre y est aisé, le gouvernement central y est faible, une cinquième colonne est déjà en place et, surtout, son armée est incapable de soutenir à la fois des opérations extérieures et la défense du territoire.

    Frapper la France au cœur jusqu’à ce que son gouvernement soit contraint de rapatrier toutes les forces engagées en Afrique et au Proche-Orient est une stratégie tellement évidente qu’un novice en l’art de la guerre ne pourrait la manquer. Tant que nous n’aurons pas un chef d’État capable d’admettre à la fois que l’armée française n’a strictement rien à faire hors des frontières de l’Europe et que, de toute façon, elle n’a aucune leçon de démocratie à donner à qui que ce soit, le sang de nos concitoyens coulera.

     Christophe Servan

    Boulevard Voltaire 

    http://philippedelbauvre.blogspot.fr/

  • Rire ou sourire un peu ... même s'il n'y a vraiment pas de quoi

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  • Emmanuelle Cosse veut que les Français hébergent chez eux les immigrés ! Et elle, elle en a pris combien ?

    C’est la dernière folie du gouvernement : Emmanuelle Cosse, ministre du Logement et de l’Habitat durable, demande aux Français de participer à « l’hébergement citoyen » des nouveaux immigrés.

    L’État, dans sa grande générosité, soutiendra financièrement (jusqu’à 1 500 euros par personne et par an) les associations qui organiseront un accompagnement individuel des « réfugiés » chez des particuliers qui les hébergeront.

    Le communiqué ministériel stipule :

    « Cet appel à projets concerne des personnes majeures, volontaires, ayant obtenu le statut de réfugié. Elles seront logées à titre gratuit, sur tout le territoire national et dans des logements comportant au moins une chambre privative. Une convention devra être signée entre le réfugié, le ménage d’accueil et l’association qui les accompagne. Les futurs hôtes s’engagent pour une durée minimum de trois mois et jusqu’à un an. »

    « De leur côté, les associations sélectionnées vont identifier les réfugiés susceptibles de participer à ce dispositif, recenser les propositions d’accueil, procéder à la mise en relation et assurer le suivi social des personnes hébergées. Pour que ce dispositif soit une pleine réussite, les associations seront particulièrement vigilantes sur les conditions matérielles de l’hébergement. Elles auront également la charge de bien informer les hôtes et les réfugiés ainsi que de préparer la rencontre (sensibilisation à la médiation interculturelle, échanges…) »

    Les associations devront s’engager à accompagner au moins 50 réfugiés.

    « L’hébergement chez les particuliers est une opportunité pour les réfugiés qui ne peuvent ou ne souhaitent pas tout de suite avoir accès à un logement pérenne. (…) Cette expérience et ce temps d’échange particulier sont riches dans la démarche d’intégration des réfugiés », ajoute encore le ministère.

    Le communiqué ministériel ne donne par contre aucune indication de l’application par les membres du gouvernement de cette nouvelle idée. Combien d’immigrés vont-ils être logés à l’Elysée ? Et à Matignon ? Combien chez Emmanuelle Cosse ? 

    Le communiqué ministériel ne dit rien non plus de ce qu’a prévu Emmanuelle Cosse et le gouvernement pour les Français de souche sans logement. La préférence étrangère est bien de mise chez ceux qui nous gouvernent.

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    http://www.medias-presse.info/emmanuelle-cosse-veut-que-les-francais-hebergent-chez-eux-les-immigres-et-elle-elle-en-a-pris-combien/59514

  • Les bons apôtres et les imbéciles

    Bernard Plouvier

    C’est une mode intellectuelle qui existe en Occident depuis une dizaine d’années et qui reprend vigueur en ces années 2015-2016, avec le puissant soutien d’un pape fort curieux et de soi-disant élites culturelles - jamais un homme sensé ne placerait les politiciens dans l’élite, à l’exception de « l’homme d’État », soit un individu rencontré une ou deux fois par siècle et par continent - : l’islam pourrait s’adapter à la vie contemporaine, perdre ses caractéristiques barbares et sanguinaires, abandonner son obscurantisme et sa criminalité… en un mot faire sa Renaissance.

    Il est exact que la charî’a (la Loi coranique), dans certaines de ses applications pratiques (rapports avec la richesse, partage des biens entre héritiers, peines au pénal etc.), peut devenir plastique voire accommodante, surtout si les chefs du Pouvoir temporel l’exigent. Les ulémas, souvent gras et repus de faveurs, ne sont guère plus courageux que nos magistrats, quand ils affrontent les desiderata ou les ukases de l’exécutif.

    En revanche, les stipulations coraniques sont, pour tout musulman, des impératifs catégoriques jugés sine varietur. Le coran est, pour le muslim, la parole d’allah, dictée par l’archange Gabriel à Mahomet. C’est dire que chacun de ses mots, chacune de ses courbures graphiques et de ses ponctuations sont sacrés.    

    Rien ne peut être remis en cause du contenu des sourates haineuses 2,3, 8, 9, 10, 22, 47, 58, 59, 60 et 61 qui recommandent le djihâd – la guerre sainte –, avec appropriation des biens des infidèles vaincus, à exterminer s’ils refusent de se convertir, tandis que leurs femmes et enfants deviennent automatiquement des esclaves. Rien ne peut être changé à la sourate 4 qui exige la mise à mort, par égorgement, des apostats de l’islam.

    Idem, rien ne peut être fondamentalement différent des ordres du « saint coran », à propos des relations entre musulmans et infidèles en zones du Dâr al-Harb. Il s’agit toujours d’un domaine de la guerre, où il est sage de faire semblant de se soumettre aux usages locaux tant que les fidèles ne sont pas en force (ce sont les hadîths qui le recommandent… et c’est déjà un comportement qui paraît discutable aux rigoureux observantins du coran).

    Dès qu’ils sont suffisamment nombreux et bien armés, surtout s’ils sont aidés par des collaborateurs infidèles vénaux ou abrutis, les musulmans doivent lutter pour transformer la zone occupée en Dâr al-Islam. C’est le principe même du rapport de forces prôné par le coran : tout ce qui n’est pas terre d’islam doit le devenir.  

    Les bons apôtres signalés plus haut ne sont que des ignares ou des traîtres. Ceux qui acceptent leurs mensonges ne sont que des imbéciles.

    La lecture du coran doit être imposée à tout électeur européen et d’urgence. Que ce livre, épouvantablement mal rédigé, soit absolument indigeste pour un Européen féru de belle littérature, c’est une absolue évidence… et ce texte, contrairement à ce qu’ont pu écrire des collaborateurs ou des gens qui ne l’ont pas lu, n’a rien de poétique.

    Mais ce pensum doit être infligé aux Européens, d’abord comme pénitence pour avoir admis une immigration musulmane massive sur leur continent, ensuite pour comprendre qu’il est nécessaire d’organiser – au plus vite – le grand retour des musulmans dans leurs domaines ancestraux et que l’islam, religion de haine et de conquête par tueries de masse, doit être prohibé sur le continent européen.

    Nous n’avons qu’un unique devoir : préserver notre continent pour nos descendants de race européenne.

     
  • Abolition de la distinction entre immigration régulière et immigration illégale

    Selon Alexis Théas, universitaire et juriste, dans Le Figaro :

    "Le 1er août 2016, les ministres de l'Intérieur et du Logement ont publié un communiqué passé totalement inaperçu dans la torpeur de l'été mais d'une importance capitale sur le plan de l'évolution des mentalités et de l'idéologie politique française. Ce texte marque une inflexion profonde de la conception française de l'immigration. Jusqu'alors, celle-ci était fondée sur la distinction entre l'immigration régulière et l'immigration illégale. La première, conforme à la loi, était destinée par exemple à accueillir des travailleurs dont la France peut avoir besoin, à former des étudiants dans l'intérêt de la France ou du pays d'origine, ou bien à assurer le principe d'unité familiale. Elle était évaluée à environ 200 000 personnes par an - ce qui est considérable dans un pays dévasté par le chômage. En revanche, les migrants en situation irrégulière, entrés ou séjournant en infraction avec la loi, devaient impérativement repartir dans leur pays, volontairement ou par la contrainte. Tel était le principe. Cette différence, pour la première fois depuis que l'immigration est devenue un sujet politique au début des années 1980, est désormais officiellement condamnée par l'Etat. Le migrant en situation irrégulière n'a plus vocation à être reconduit dans son pays, mais à être accueilli en France et pris en charge par la puissance publique, au même titre qu'un étranger en situation régulière ou qu'un citoyen français en difficulté.

    Communiqué du 1er août 2016:

    «Créé le 25 février dernier à l'initiative de Bernard Cazeneuve, ministre de l'Intérieur, et d'Emmanuelle Cosse, ministre du Logement et de l'Habitat durable, le comité de suivi du plan de mise à l'abri des migrants sans-abri s'est à nouveau réuni mardi 26 juillet 2016. Présidée par Emmanuelle Cosse, en présence de représentants du Ministère de l'Intérieur, du Ministère de la Famille, de l'Enfance et des Droits des Femmes et de la Préfecture du Pas- de-Calais, cette séance a rassemblé une trentaine d'associations engagées dans l'accompagnement des migrants. Les pouvoirs publics ont tenu à saluer leur travail et leur mobilisation pour faire face à cette crise migratoire sans précédent. A cette occasion, le ministère de l'Intérieur et le ministère du Logement et de l'Habitat durable ont présenté aux associations la Charte de fonctionnement des Centres d'Accueil et d'Orientation (CAO). Répondant à un souhait partagé de l'Etat et des acteurs associatifs, et rédigée au terme de plusieurs semaines de dialogue avec les opérateurs des CAO, cette charte édicte des règles claires de fonctionnement et décrit les principales prestations délivrées aux migrants sans-abri qui y sont accueillis: conditions d'accueil et de localisation, taux d'encadrement, restauration, évaluation - juridique, sociale et médicale - de la situation des personnes accueillies et accompagnement adapté, sécurité, etc. La prise en charge en CAO doit ainsi permettre aux personnes migrantes sans-abri de bénéficier d'un temps de répit et d'engager, si elles le souhaitent, une démarche de demande d'asile. Elle leur permet également d'avoir accès à une offre de soins adaptée et d'être orientées rapidement vers des structures qui correspondent à leur situation (CADA pour les demandeurs d'asile, etc.). Depuis le 27 octobre dernier, 148 Centres d'accueil et d'orientation ont été ouverts sur l'ensemble du territoire national pour un total de près de 2000 places qui ont permis de mettre l'abri plus de 4700 personnes dans des délais très resserrés.»

    Ce communiqué enterre donc toute notion d'immigration irrégulière. Il abolit le clivage entre légalité et illégalité en matière d'immigration. Il va dans le sens de la loi du 6 mars 2016, dont les dispositions reviennent à rendre très difficiles l'application des mesures d'éloignement. Il proclame que la France a le devoir d'accueillir et de prendre en charge tout étranger sur son territoire, qu'il soit autorisé à entrer et à séjourner ou qu'il ne le soit pas. De facto, le principe ainsi proclamé abroge l'idée de frontière ou de respect du droit de l'entrée et de séjour. Les associations humanitaires, les idéologues, les partisans de la liberté totale d'immigrer en rêvaient depuis au moins quarante ans. M. Cazeneuve et Mme Cosse l'ont fait. La question est de savoir quel sera l'ampleur de l'appel d'air que cette transformation profonde de tous les fondements de la politique d'immigration française est susceptible provoquer à terme. Le communiqué annonce une France ouverte, qui n'éloigne plus ses migrants illégaux mais au contraire les accueille. Le potentiel d'émigration est infini: des centaines de millions de personnes déshéritées et désœuvrées, dans ce monde en ébullition, ne songent qu'à trouver un point d'accueil. Le gouvernement, par ce communiqué officiel, leur ouvre les portes de la maison. Reste à savoir si la France, qui compte cinq millions de chômeurs, de gigantesques problèmes de logement, des centaines de milliers de personnes vivant sous le seuil de pauvreté, un millier de cités sensibles dévastées par la violence, l'exclusion, le communautarisme, l'islamisme radical, si cette France a les moyens de ce grand appel généreux. Mais pour M. Cazeneuve et Mme Cosse, c'est une autre affaire. Et ce n'est visiblement pas la leur."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Calais (encore !) au bord de l’explosion ?

    Calais, ça ressemble à une expérience en laboratoire qu’un savant déjanté mènerait à son point culminant.

    Calais, Hollande n’y a jamais mis les pieds. Et pour cause : 4.500 migrants dans la jungle, au mois de juin, selon le recensement de l’État. Plus de 9.000, soit une augmentation de 2.000 personnes par mois depuis cette date, selon L’Auberge des migrants et Help Refugees.

    Des commerces illégaux que la justice refuse de fermer, des immondices amoncelés amenant les rats, des agressions, des vols, la prostitution, des rixes entre ethnies allant jusqu’à la mort, des No Borders qui mettent le bazar : dans la jungle de Calais, c’est l’enfer. Un enfer qui se poursuit au-dehors, sur l’autoroute A16, où des migrants, prêts à tout pour rejoindre l’Angleterre, prennent d’assaut les camions, avec une violence allant crescendo. C’est un enfer, aussi, pour les habitants, tout proches, de plus en plus en colère. Mais ils sont impuissants. Car le démantèlement de la jungle sud n’a strictement rien changé à une situation déjà cauchemardesque. Entre la concentration, augmentée par principe de vase communicant, de la zone nord et les arrivées quotidiennes de migrants venant d’Italie, Calais est de nouveau au bord de l’explosion.

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  • Croire ou ne pas croire en la rééducation des terroristes

    Bernard Plouvier 

    Depuis trois millénaires et demi - d’abord avec Akhenaton-Aménophis IV, 14 siècles avant notre ère, puis avec Zoroastre 7 siècles plus tard, enfin avec Jésus de Nazareth -, on nous assure que la création serait belle et bonne, puisqu’étant issue d’un dieu bon… même si un dieu mauvais ou des anges dévoyés devenus démoniaques l’auraient pervertie.

    En Europe occidentale, il fallut attendre le XVIIe siècle après J.-C. pour généraliser cette autre croyance absurde : l’agressivité humaine serait le fruit de la peur et de l’ignorance. En conséquence, depuis le milieu du XVIIIe siècle, une invraisemblable quantité de réformateurs optimistes se sont proposé d’éduquer les humains, puis de les rééduquer après un passage à la délinquance ou au crime.

    Pourtant, il existe à peu près autant d’observateurs du monde animal et de son soi-disant chef d’œuvre, l’Homo sapiens sapiens, qui, après de longues études et de saines réflexions, ont considéré que l’avidité, la jalousie et la joie de nuire à autrui étaient des facteurs bien plus puissants que la peur et l’ignorance pour expliquer la haine, les pulsions meurtrières, la méchanceté gratuite, toutes choses qui trouvent un moderne apogée dans le terrorisme islamique, actuel sommet de l’agressivité de la bête humaine, ayant détrôné le marxisme au hit-parade de la nuisance suprême.

    De fait, en dépit d’une alphabétisation générale (du moins en zones occidentales), malgré de fabuleux progrès scientifiques et techniques, le XXe siècle de l’ère si mal dénommée « chrétienne » fut sans conteste le plus sanglant et le plus inhumain de l’histoire humaine. On reconnaît volontiers que la préhistoire semble avoir été assez sordide, mais l’on connut, à compter de 1914, de nombreux exemples de cannibalisme et de tortures immondes, et l’on en vint même à redonner une actualité aux génocides bibliques. Le XXIe siècle, à peine entamé, s’avère pire encore, par l’agitation de millions de sous-doués qui veulent imposer à l’humanité la barbarie et l’obscurantisme musulmans.

    L’éthologie comparée nous enseigne que ni le rire ni la guerre intra-spécifique [au sein de la même espèce] ne sont le propre de l’homme… tant pis pour Aristote et une foule d’auteurs ignares. Anéantissant impitoyablement une multitude d’œuvres de profonds penseurs béats (philosophes, sociologues, économistes, éducateurs, psychologues, sans oublier les imposteurs de la psychanalyse), l’histoire humaine des deux derniers siècles nous apprend que la rééducation des grands criminels autant que celle des petits délinquants est statistiquement illusoire.

    Un terroriste n’est pas un « fou d’allah » ou de n’importe quels autres divinités ou cultes politiques. C’est soit un psychotique délirant (en langage populaire, un fou dangereux), soit un psychopathe, incapable d’agir efficacement dans une société, et d’autant plus avide de sentir sa toute-puissance s’exercer sur des proies, faciles parce que désarmées, soit un sociopathe, un tueur en série qui procure à sa haine sociale l’alibi d’une soi-disant noble cause, religieuse ou politique.  

    Le terrorisme est en soi un acte de guerre. C’est l’expression la plus achevée de la haine envers l’humanité dans son ensemble ou envers une société particulière. C’est le summum de la joie de nuire à un prochain anonyme, pour des fanatiques politiques ou religieux, mais aussi pour d’innombrables petites frappes incultes, passées de la délinquance et du crime de droit commun à la féérie activiste.

    Ne pas y répondre de façon appropriée est la pire erreur que l’on puisse commettre : c’est encourager à la récidive. Par leur faiblesse dans la réaction à la barbarie islamique, les adultes d’Europe occidentale et scandinave sont grandement fautifs, mettant en danger la jeune génération de souche européenne qu’ils ont pourtant le devoir de protéger. Il n’est qu’une réponse au terrorisme : l’élimination radicale des acteurs, des inspirateurs et des complices.

    En outre, comme l’unique cause actuelle de terrorisme en Europe est l’islam djihadiste, les Européens de souche doivent organiser le grand retour en terres de charî’â des musulmans. L’adage « Chacun chez soi » demeure le fondement d’une société saine. Le dogme « un continent  = une race » doit demeurer la règle, les amateurs de brassage racial ayant le très vaste continent des Trois Amériques pour assouvir leur penchant.

    Les européens doivent abandonner, sans regret ni esprit de retour, la dangereuse absurdité d’une amélioration des mentalités humaines, parallèle aux progrès scientifiques et techniques, ainsi que l’illusion grotesque de la rééducation possible des canailles et des crapules. L’homme, produit de sa génétique, demeure moralement inchangé depuis la préhistoire, comme demeurent immuables les comportements de toutes les autres espèces animales.

    Qui est génétiquement programmé pour être une canaille ou une crapule peut résister à la tentation du passage à l’acte, grâce à ses facultés de libre-arbitre et de transcendance, devenant un saint. Mais s’il cède une fois à la part pourrie de son programme génétique, il récidivera dès qu’il en aura la possibilité.

    Un saint est un personnage admirable, mais il n’en est pas moins une exception. L’assassin, le terroriste, le violeur, le trafiquant de drogues et d’armes sont les équivalents humains de la bête féroce, mais en pire, car l’homme (c’est un terme générique « qui embrasse la femme »… enfin pas tous et pas toutes) est doté d’une intelligence et d’une inventivité, donc d’une malfaisance, bien supérieures à celles des autres espèces animales.

    Une fois admises ces notions, il faut en tirer toutes les conséquences.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/tribune-du-dr-bernard-plouvier/